La Commission électorale nationale indépendante (CENI) procède à la convocation de l’électorat pour la présidentielle ce 1er septembre 2023. Et ce, après celles de l’élection pour la députation nationale, provinciale et celle des conseillers communaux.

Le Bureau de réception et de traitement des Candidatures (BRTC) a été officiellement établi au siège de la CENI à Kinshasa, au 4471 Boulevard du 30 juin, dans la Commune de la Gombe. Celui-ci sera opérationnel du 9 septembre au 8 octobre 2023, soit durant une période de 30 jours de 8h30′ à 16h30′.

Pour être éligible à l’élection présidentielle, les candidats doivent remplir plusieurs conditions requises par la loi électorale. Ils doivent être de nationalité congolaise d’origine (preuve à l’appui) et avoir au moins 30 ans. Ils doivent également jouir de leurs droits civils et politiques et justifier d’une expérience professionnelle d’au moins 5 ans dans le domaine politique, administratif ou socio-économique.

En sus, les candidats doivent être électeurs ou s’inscrire lors du dépôt de leur candidature en fournissant les différents documents, tels qu’une lettre de consentement conforme au modèle de la CENI dûment signée, une fiche d’identité accompagnée d’un curriculum vitae détaillé et une déclaration sur l’honneur affirmant l’exactitude des informations fournies.

Outre ces documents, il est également nécessaire de présenter 4 photos format passeport ainsi qu’un symbole ou un logo du parti politique ou du regroupement politique auquel le candidat est affilié (sauf pour les candidats indépendants).

Diverses pièces justificatives doivent également accompagner la déclaration de candidature, y compris un certificat de nationalité, un extrait de casier judiciaire valide, une photocopie de la carte d’électeur et un reçu de paiement des frais de dépôt de candidature, fixés à 160.000.000 de francs congolais.

Il faut préciser que les candidats doivent présenter l’original de la lettre d’investiture émanant de leur parti politique ou de leur regroupement politique, ainsi qu’une attestation académique ou une attestation professionnelle prouvant une expérience de cinq ans dans les domaines politique, administratif ou socio-économique.

Les candidats peuvent déposer leur déclaration de candidature en personne ou par l’intermédiaire d’un mandataire, en obtenant un récépissé de la CEN

Jean-Luc Lukanda

Aux prophètes de malheur qui espèrent et affirment à haute voix que la CENI sera la cause d’un violent conflit post-électoral qui justifierait une grave instabilité politique et qui conduirait à un changement de régime antidémocratique, la CENI leur répond simplement en deux mots : Sans effets.  Elle rappelle que sa vision est celle de devenir « une CENI de standard mondial qui imprime une culture démocratique pérenne en République Démocratique du Congo ».

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, a annoncé solennellement la convocation de l’électorat pour l’élection du Président de la République devant l’ensemble du Bureau et de la Plénière, le gotha d’invités et la presse à la salle Abbé Apollinaire Malu-Malu.

Après celle de l’élection à la députation nationale, provinciale et des conseillers communaux qui s’est clôturée le dimanche 27 août 2023, place à la Présidentielle couplée aux trois autres scrutins susnommés prévus le 20 décembre 2023.

Par ricochet, cette annonce marque l’ouverture, du 9 septembre au 8 octobre (soit 30 jours) du Bureau de Réception et Traitement des candidatures au siège de la CENI sur le Boulevard du 30 juin.

Denis Kadima rend hommage aux 33 agents de la CENI

Le numéro un de la Centrale électorale, rappelant le parcours entrepris par l’institution qu’il dirige, a mis en avant les faits saillants de son évolution.

« Le processus électoral est, aujourd’hui, à un tournant important avec la cérémonie de convocation de l’électorat pour l’élection du Président de la République. Mais tout d’abord, j’aimerais une fois de plus rendre un hommage aux 33 agents de la CENI qui ont perdu la vie lors de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs. Ces personnes ont sacrifié leur existence pour consolider la jeune démocratie qu’est la RDC. En effet, depuis le début de ce cycle électoral, la CENI s’emploie à satisfaire toutes les conditions pour organiser des élections crédibles, transparentes, inclusives et apaisées. Ses agents et cadres ne ménagent aucun effort pour mettre en œuvre les opérations inscrites dans le calendrier électoral publié il y a près d’un an, et ainsi répondre aux aspirations du peuple congolais », a fait souligné le Président Denis Kadima Kazadi, non sans avoir épinglé ici les principales innovations marquantes.

Et d’ajouter que le grand défi pour la CENI et pour toutes les parties prenantes au processus électoral demeure la tenue des élections dans le délai constitutionnel, sur base d’un fichier électoral fiable et de candidatures aux différents scrutins certifiées et sans exclusive. La CENI a démarré ses opérations en procédant à une évaluation sans complaisance de la situation de départ : le corpus de textes juridiques disponibles, son organisation et son fonctionnement, ses moyens techniques et financiers, tout en étant consciente qu’elle allait devoir se livrer à une course contre la montre. Nous sommes aujourd’hui à 110 jours du vote. Elle s’est fixée pour objectif primordial d’améliorer la qualité du processus électoral avec entre autres la prise en considération des observations et recommandations faites par les missions d’observations électorales et les autres parties prenantes.

La CENI s’est dotée d’une stratégie

« La CENI s’est dotée d’un plan stratégique qui explique clairement sa volonté de changement en créant une nouvelle image et en développant ses relations avec les parties prenantes pour une plus grande confiance. En matière de gouvernance, elle a activé une Cellule de Gestion et de Passation des Marchés publics. Pour pérenniser son action, la CENI a investi en acquérant un entrepôt central de 20 000 m2, et acheté puis rénové le bâtiment de son Siège national, auparavant loué, qui abrite la cérémonie de ce jour. En matière technique : la CENI s’est attelée à actualiser ses cartographies opérationnelles. Cette opération a permis de disposer d’un outil de travail performant pour organiser principalement l’identification et l’enrôlement des électeurs. La cartographie a offert aux parties prenantes au processus électoral un instrument de surveillance garantissant la transparence des scrutins. Autre innovation technique : les équipes de la CENI ont produit une application mobile de pré-enregistrement qui a permis de résorber les longues files d’attentes devant les centres d’inscription. En matière de communication : la CENI a redynamisé les cadres de concertation avec les partis politiques, la société civile, le monde scientifique, les personnes vivant avec handicap et autres personnes vulnérables ou encore les jeunes. Ces cadres de concertation se sont tenus aussi bien à Kinshasa que dans les 25 autres provinces de notre pays. Considérant le travail déjà accompli, il y a plusieurs raisons qui doivent pousser les parties prenantes à soutenir ce processus pour qu’il arrive à terme. En voici quelques-unes : la CENI a organisé l’identification et l’enrôlement des électeurs en 4 mois contrairement aux cycles passés. Elle a renforcé les mesures de sécurité en insérant la capture de l’iris pour garantir l’intégrité du vote : un électeur, une voix. Elle possède aujourd’hui un fichier électoral fiable fort de près de 44 millions d’électeurs », a fait observer le Président de la CENI.

Avant de clarifier : « Les bureaux de vote de la CENI pourront accueillir, pour la première fois, des Congolais résidant à l’étranger. Seuls cinq pays sont concernés pour le moment mais la CENI espère tirer les leçons de cette expérience pilote pour la généraliser au prochain cycle. Les électeurs congolais vont pouvoir, cette fois-ci, élire les conseillers communaux des communes situés dans les 26 chefs-lieux des provinces de la RDC. Enfin, pour la première fois, la CENI a accordé l’accréditation de long terme aux observateurs nationaux à déployer pour les opérations pré-électorales. Ces améliorations, apportées par la CENI, ont été soulignées par plusieurs parties prenantes locales et internationales qui ont apprécié les efforts inlassables consentis par la CENI pour tenir les élections crédibles, transparentes, inclusives, apaisées et à temps. Nous leur sommes reconnaissants pour tous ces encouragements. J’aimerais donc saisir cette occasion pour lancer un appel à toutes les parties prenantes à soutenir ce processus qui s’engage sur la dernière ligne droite. Et, je tiens à rassurer l’opinion publique que les élections générales se tiendront le mercredi 20 décembre 2023. Le fichier électoral est complété ; les candidatures pour les législatives et les communales ont été déposées. Il ne reste plus qu’à recevoir les candidatures pour la Présidentielle, et tel est notre message aujourd’hui ».

« Sans effet »

A tous ceux qui prédisent le malheur en faisant un procès d’intention à la CENI après les consultations électorales, Denis Kadima Kazadi a voulu conjurer le sort.

« A ceux qui pensent ou même espèrent que la CENI va conduire le processus électoral, et plus précisément la gestion et la publication des résultats électoraux, dans l’opacité et de manière partisane se détrompent. La CENI ne souscrit pas à cette négativité. Il s’agit là d’un procès d’intention qui, jusqu’à ce stade du processus, s’est avéré sans fondement. Nous avons donc géré avec professionnalisme et honnêteté la cartographie opérationnelle, la refonte du fichier électoral, la répartition des sièges ainsi que les candidatures.

L’équipe que je dirige travaille avec intégrité et le fait ainsi par conviction. Nous sommes convaincus que ce 4ème cycle électoral va hausser le standard en matière électorale et ainsi contribuer à la consolidation de la démocratie et de la paix dans notre cher pays. Ainsi à ces prophètes de malheur qui espèrent et affirment à haute voix que la CENI sera la cause d’un violent conflit post-électoral qui justifierait une grave instabilité politique et qui conduirait à un changement de régime antidémocratique, nous leur répondons simplement en deux mots : Sans effets. N’oubliez pas que la vision de la CENI est celle de devenir « une CENI de standard mondial qui imprime une culture démocratique pérenne en République Démocratique du Congo ». Nous aspirons aussi bien avec humilité qu’avec détermination à être un modèle de gestion électorale qui va inspirer et émuler les équipes qui nous succéderont à la CENI ainsi que nos sœurs et frères d’autres pays africains et au-delà », a-t-il conclu.

Auparavant, le Rapporteur Patricia Nseya Mulela a lu la décision portant convocation de l’électorat et ouverture du Bureau de réception et traitement des candidatures pour l’élection.

M.Denis Kadima, président de la Centrale Électorale vient de donner le go, ce vendredi 1er septembre 2023, dans la salle Abbé Malu-Malu, de la convocation de l’électorat pour l’élection présidentielle du 20 décembre prochain, comme annoncé dans son communiqué publié mardi dernier.

Cette annonce de la CENI fait suite au calendrier électoral qu’elle a publié le 26 novembre 2022. Selon cet agenda, l’élection du Président de la République est prévue en décembre 2023.

En effet, le processus électoral est aujourd’hui à un tournant important avec la cérémonie de convocation de l’électorat pour l’élection du Président de la République. À cet effet, Déni Kadima a convoqué, ce jour l’électorat pour l’élection du Président de la République devant les cadres, les chefs de regroupements ainsi que les ambassadeurs des pays confondus.

Profitant de l’occasion, Déni Kadima a lancé un appel à toutes les parties prenantes à soutenir ” ce processus qui s’engage sur la dernière ligne droite “. « Je tiens à rassurer l’opinion publique que les élections générales se tiendront le mercredi 20 décembre 2023 », a-t-il souligné.

Avant de clore son discours, le patron de la commission électorale nationale indépendante (CENI) a fait appel à la conscience et la conviction de tous.

« À ces prophètes de malheur qui espèrent et affirment à haute voix que la CENI sera la cause d’un violent conflit post-électoral qui justifierait une grave instabilité politique et qui conduirait à un changement de régime antidémocratique, nous leur répondons simplement en deux mots : sans effet », a déclaré Déni Kadima.

Pour rappel, le Bureau de Réception et Traitement des Candidatures (BRTC) pour la présidentielle est installé au 1er niveau de l’immeuble abritant le siège de la CENI à Kinshasa/ Gombe qui  sera ouvert du 09 septembre au 08 octobre prochain, soit pendant 30 jours.

Jean-Luc Lukanda

Le Peuple de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire en voie de la poursuite du statut de la Puissance économique et où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes dont le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR) appelle KIM JONG UN son bienfaiteur, dignement et fièrement.

1. L’histoire du Centre de Bains Publics Ryukyong

Le Centre de Bains Publics Ryukyong (ou la capitale pleine de saules; l’ancienne appellation de la Capitale de la RPDC, NDLR) se trouve au bord pittoresque du Fleuve Taedong-gang (source de la Civilisation Taedong-gang de 5.000 ans avec son 1^er Etat Co-Joson ou Corée antique, NDLR) dans la Capitale Pyongyang.

En mai 2012, KIM JONG UN a;

• trouvé le temps de visiter ce Centre en voie de construction (Les rampes d’escalier n’ont pas encore été achevées,)
• inspecté tous les coins et recoins du futur Centre de Bains Publics
• insisté, dans une salle de bains collectifs, sur la nécessité de concevoir, avec plus de soin, la cuve d’eau et éclairé les cadres sur les problèmes à ne pas négliger au niveau de l’aménagement des baignoires à ultrasons
• indiqué, au 3^ème et dernier étage du bâtiment, d’utiliser l’espace avec efficacité
• recommandé, aux responsables du chantier, de porter de gros efforts sur l’amélioration de la qualité de la construction en disant; Ce qui compte dans toute construction est son contenu.

En juillet 2012 alors que les travaux de construction touchent à leur fin, KIM JONG UN revoilà au chantier; il;

• a inspecté le salon de beauté, la salle de bains collectifs et les salles de sauna
• est entré dans plusieurs salles de sauna dont celle de sauna humide et celle de sauna sec pour dire aux cadres de prendre des mesures hygiéniques et d’installer des bancs en bois pour que les clients puissent prendre un bain de vapeur à l’aise
• insisté, dans le salon de coiffure, la salle de massage et d’autres salles du Centre, sur la nécessité, pour les bâtisseurs, de faire de petites retouches jusqu’au moment d’achèvement des travaux, sans oublier qu’il ne peut y avoir de satisfaction dans toute entreprise pour le bien-être des gens du Peuple.

En novembre 2012, KIM JONG UN a visité ce Centre, à nouveau à la veille de son inauguration. Il a;

• passé le corridor large et propre (Un espace large du hall est orné de belles guirlandes de fleurs et muni de bancs circulaires tout particuliers.) pour entrer dans le hall spacieux de repos et s’en montrer très heureux de l’avoir bien aménagé au point que les gens du Peuple l’utilisent pour passer leurs moments de loisir agréable
• essayé, en personne, un de ces bancs
• examiné, attentivement, le sol recouvert de tapis, avant d’insister sur la nécessité d’orner mieux le sol de bois de qualité en disant; Rien ne doit passer pour satisfaisant pour servir le Peuple.
• dit, après avoir fait un tour dans la salle de bains collectifs, la salle de fitness, la salle de bains froids et d’autres endroits: Lorsque le Centre de Bains Publics Ryukyong sera ouvert, les gens du Peuple le fréquenteront avec plaisir. C’est surtout en hiver qu’ils en bénéficieront beaucoup des bienfaits.
• insisté sur la nécessité d’organiser, avec minutie, les services pour les clients et d’entretenir, avec soin, ce centre
• exprimé une grande satisfaction de sa visite en disant d’organiser la cérémonie d’inauguration dudit Centre pour permettre, aux gens du Peuple, de jouir d’une vie heureuse, en tant que créateur et bénéficiaires de la culture socialiste.

2. A un centre d’élevage

Un jour d’août 2012, KIM JONG UN a visité un combinat d’élevage. Il a;

• dit; L’échange de l’herbe contre de la viande passe par l’introduction des animaux domestiques de bonne race comme par le perfectionnement et la généralisation des méthodes d’élevage scientifiques.
• parcouru une prairie artificielle et une salle de traitement de pâturage pour se diriger vers le centre de recherche sur l’élevage de bonnes races
• bien voulu assister, dans l’Expo de réalisations technoscientifiques, à une vidéo rapportant les réalisations scientifiques obtenues par ledit institut
• demandé de quelle façon celui-ci recevait les données sci-tech (Il a lu l’absence du système pertinent de vulgarisation de données sci-tech sur les visages des cadres qui hésitaient à répondre.) pour indiquer; La vulgarisation de technologies nouvelles constitue l’essentiel dans les travaux d’études scientifiques; le personnel du Combinat est appelé à soigner l’introduction de techniques avancées.
• daigné prendre des mesures efficaces pour que l’entreprise reçoive, directement, les données technoscientifiques avancées de la part de la Capitale
• insisté de suppléer d’équipements nécessaires, à la vue du manque d’instruments de laboratoire.

Après sa visite, ce combinat d’élevage situé dans une région montagneuse reculée est pourvu de solides assises matérielles et techniques lui permettant d’apporter une grande contribution au développement de l’élevage du Pays.

3. Pour féliciter les occupants dans de nouveaux logements

Un jour du septembre 2012, KIM JONG UN a rendu visite chez les occupants de nouveaux logements dans la Cité Changjon, nouvellement construite à Pyongyang.

D’abord, chez un ouvrier PAK Sung Il, KIM JONG UN a;

• pris le 2^ème fils de l’ouvrier sur ses genoux pour lui demander le nom de son école et son âge en tapotant, affectueusement, les joues de l’enfant
• examiné les dessins faits par celui-ci, dans la chambre pour enfants, pour lui enseigner, par le menu, le moyen de les achever
• appris que le fils aîné n’était pas encore rentré de l’école pour regretter son absence (De longs moments s’étaient écoulés quand le 1^er enfant de la famille est rentré. KIM JONG UN s’est montré heureux de le voir enfin, lui demandant la raison de son retard. L’enfant lui a répondu qu’il rentrait de son cercle de football.)
• écouté, avec satisfaction, la détermination de l’enfant de devenir footballeur pour bénir son avenir
• offert, à ces frères, les «Recueils de célèbres contes du monde pour enfants» qu’il a préparés lui-même.

L’heure de bonheur est écoulée comme dans un rêve. Au moment de partir, KIM JONG UN;

• a embrassé, dans ses bras, les 2 enfants, leur disant d’étudier assidûment, surtout au 2^ème d’achever ses dessins comme il l’avait indiqué
• s’est fait photographier, en souvenir, avec les membres de la famille d’ouvrier.

Ensuite, chez un couple d’ouvriers, KIM JONG UN a;

• causé, sans façon, avec les membres de la famille, s’intéressant, de près, de la vie de cette famille avec un sentiment paternel (Ses interlocuteurs lui ont fait part de leur envie de se vanter, à la face du monde, de ce que leur Pays est le monde appartenant à la classe ouvrière et un Pays populaire où les gens du Peuple jouissent de tout le bien-être.)
• écouté, tout sourire, leurs paroles imbues de sincérité
• remis une boîte d’allumettes au maître de la maison pour dire; Je l’ai apportée car, selon notre coutume traditionnelle, on emporte une boîte d’allumettes pour aller visiter une famille installée dans un nouveau logement.

Et puis, chez une famille d’enseignants KIM JONG UN a prodigué les sollicitudes affectueuses, en lui offrant les ustensiles de ménage.

4. En frayant un chemin périlleux

Le 20 mai 2013, KIM JONG UN s’est rendu en visite au chantier de construction d’un centre d’élevage de reproducteurs. Comme c’était au moment de déjeuner, les gens étaient très étonnés de son arrivée et ne pouvaient même pas le saluer comme il faut, ne savant où donner de la tête. KIM JONG UN;

• a dit, tout sourire en parcourant ses regards autour du chantier; Bien que pénible, j’ai bien fait de venir aujourd’hui.
• a détaillé la mission principale dudit centre
• a pressé ses accompagnateurs d’aller ensemble à l’étable où l’on élevait les chèvres Boer (race caprine originaire de l’Afrique du Sud pour être développé sur tous les Continents, vu sa grande capacité à fournir de la viande, NDLR)
• est monté dans sa jeep, persistant dans sa résolution, malgré les recommandations instantes des cadres (La route donnant à l’étable située au fond d’une vallée était plus escarpée que le trajet qu’on avait parcouru pour atteindre le chantier. La jeep avançait, lentement, le long d’un chemin et a fini par s’enliser dans la boue. Les roues tournaient à vide, le bruit déchirant. Les membres de la suite étaient confus devant cette scène; mais, KIM JONG UN est descendu à terre pour marcher un chemin boueux. Lors de son arrivée à l’étable, les troupeaux de chèvres Boer regagnaient leurs cages.)
• a caressé, de la main, un chevreau pour faire d’un ton gai; Si jamais ces animaux pourraient comprendre notre volonté d’offrir, en permanence, de la viande à notre population dans les meilleurs délais.
• a esquissé un sourire en tapotant le dos d’un petit animal qui bêlait en sautant: Il me semble que même ce biquet me comprend.

Toute l’assistance avait le sourire aux lèvres. Le dévouement ardent de KIM JONG UN qui ne lésine rien pour approvisionner les gens du Peuple en une quantité de viande constitue une force motrice ayant permis d’impulser fort la construction de ce centre d’élevage.

5. La hauteur qu’on ne peut mesurer

• Un jour d’avril 2015, KIM JONG UN a inspecté le chantier de construction d’une centrale des jeunes dans le Secteur du Mont Paektu-san (mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution d’où l’objet du pèlerinage de toute la Nation, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1^er parmi les 6 monts célèbres de la Péninsule coréenne pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 937-1925, NDLR) très éloigné de la Capitale Pyongyang. Il a loué les cadres d’avoir fait beaucoup de choses même dans la situation difficile, disant: Notre Parti du Travail de Corée (PTC de la plus longue histoire du monde comme parti au pouvoir depuis 1945, NDLR) résoudra tous les problèmes posés par la construction de la Centrale et vous vous emploierez à impulser le travail politique et l’émulation socialiste visant à mettre en jeu la force inépuisable des membres de la Troupe de Choc de Jeunesse et à soigner l’organisation pour pousser, parallèlement, les travaux de construction. Ainsi, vous devrez atteindre les objectifs par étape et par sujet selon le programme établi.
• Lors de sa visite en septembre 2015 à la Centrale № 1 à la veille de son inauguration, KIM JONG UN a qualifié les jeunes de Héros et baptisa la Centrale sous le nom de la Centrale des Jeunes Héros de Paektu-san. En contemplant le barrage de la Centrale № 1, il a déclaré: Voici un barrage surgi grâce à l’esprit moral de nos jeunes. C’est ainsi que sa hauteur ne peut être mesurée avec l’unité de mesure. L’hauteur du barrage de la Centrale № 1 des Jeunes Héros de Paektu-san peut s’expliquer par celle du patriotisme de nos jeunes, celle d’une puissance de la jeunesse.
• Un jour d’avril 2016, KIM JONG UN a trouvé le temps de visiter la Centrale № 3 des Jeunes Héros de Paektu-san pour exprimer sa grande satisfaction et adresser ses remerciements au nom du PTC tout en disant; La construction des Centrales № 1-3 a manifesté, de nouveau au monde entier, l’esprit inflexible et la force inépuisable des jeunes de notre RPDC qui s’élancent contre vent et marée à l’appel du PTC.

Le Lieutenant  général  Christian Tshiwewe Shongesha,   chef  d’Etat-major  général  de l’armée  congolaise  et le général  Mbadu   de l’armée  ougandaise   ont échangé  à  Kampala,   capitale  de l’Ouganda  voisin  autour   de l’évolution des  opérations  militaires  contre les rebelles ADF  à Beni au Nord-Kivu  et Irumu en Ituri  dans  la partie   Est de la République démocratique du Congo.

Au  terme  de  cette réunion stratégiques,   des  experts  de   deux forces  armées   ont reconnu   des avancées significatives  qui  sont observées  dans  la traque  contre  les  terroristes  qui se manifeste par la neutralisation de plus  548 ADF et plus de 500 otages libérés des mains des assaillants.

Le Colonel  Deo  Akiki, porte-parole  adjoint de l’armée ougandaise  indique que des nouvelles stratégies militaires ont été établies par ces deux officiers généraux des armées  dans l’objectif d’intensifier   les opérations  militaires  dans  la partie  Ouest du territoire de Beni  sur la route nationale numéro 4   où les rebelles se sont réfugiés fouillant la pression militaire  à Mwalika, dans la chefferie de Bashu.

Cependant,  cet officier de l’armée ougandaise demande à la population de  collaborer avec les soldats engagés dans les opérations conjointes FARDC-UPDF  afin d’espérer au retour de la paix et la sécurité dans la région de Beni et Irumu.

Alain Wayire/Beni

Après la mort de 43 civils au cours d’un raid des FARDC mené contre des membres de la secte mystico-religieuse « la Foi Naturelle Judaique Messianique vers les Nations » (FNJMN) suite à un appel à manifestation contre la MONUSCO le 30 août dernier, l’auditorat militaire de garnison de Goma a ouvert une enquête « «pour que les responsabilités soient dégagées et que les coupables puissent répondre de leurs actes devant la justice ».

Dans un communiqué publié le jeudi 31 Août, le gouvernement congolais déplore les pertes en vie humaines et présente ses condoléances aux familles des victimes.

“Dans cette perspective, les services de sécurité sont formellement instruits à collaborer avec la Justice Militaire dans la collecte des éléments de preuve. Ceux qui ont été interpellés seront jugés en flagrance dans les prochaines heures. Aussi, rassure-t-il qu’aucune impunité ne saurait être tolérée”, rapporte un communiqué officiel publié ce jeudi soir par le ministère de la Communication et Medias.

Une délégation gouvernementale se rendra incessamment à Goma pour faire le point général de la situation, indique le communiqué.

Rappelons que d’après le rapport transmis par les autorités militaires et médicales, le bilan fait état de : 43 décès, 56 blessés, dont 20 saignés à l’Hôpital Militaire du Camp Katindo, 29 à l’Hôpital CBCA NDOSHO et 7 à l’Hôpital Heal Africa; 158 personnes appréhendées, y compris le leader de la secte, qui se trouvent actuellement entre les mains des services habilités.

Derick Katola

À l’issue d’une Assemblée générale extraordinaire tenue ce jeudi 31 août 2023, les enseignants de la sous division de l’EPST ville de Beni réunis au sein du syndicat des enseignants du Congo (SYECO), du syndicat national des enseignants catholiques (SYNECAT) et de la force du syndicat nationale ont décidé finalement de reprendre avec les activités scolaires dès ce lundi 04 septembre, date marquant le début de la rentrée scolaire édition 2023-2024 en République démocratique du Congo, conformément au calendrier du ministre de tutelle.

Christophe Kanyambwe, Secrétaire permanent du SYECO /Beni indique que cette décision est un signe de compassion envers les enfants de la région de Beni longtemps victimes atrocités commises par les groupes.

Profitant de cette accalmie qui s’observe dans la région, les enseignants sont appelés à encadrer nt les écoliers et élèves pour une bonne préparation de leur avenir meilleur.

Néanmoins, ce professionnel de la craie blanche regrette que le gouvernement n’a toujours pas honoré ses promesses dont la prise en charge des enseignants nouvelles unités, mais également l’amélioration des leurs conditions de vie.

Même son de cloche pour Michael Lukobatundi, président provincial de la Forces syndicale nationale, selon qui, la décision de la majorité des enseignants d’aller en grève a été violée par sa hiérarchie.

Toutefois, il précise que si le gouvernement congolais ne répond pas à ses revendications, les enseignants ne tarderont pas en entrer en grève pour réclamer leurs droits.

Alain Wayire/Beni