Ligue africaine de football : Pas de victoire en match d’ouverture !

Le premier match de l’histoire de l’African Football League, ou Ligue africaine de football en français, a eu lieu vendredi à Dar Es Salam, en Tanzanie, à l’occasion du quart de finale aller entre Simba et Al Ahly. Meilleur club africain du XXe siècle et détenteur du record de sacres en Ligue des champions africaine (11), le géant cairote est revenu avec un bon résultat (2-2) mais a été sérieusement secoué par moment.

 

Dès le sortir du premier quart d’heure, Tau, superbement décalé par Afsha, puis Kahraba, disposaient pourtant de deux occasions en or mais vendangeaient dans la surface. Après un temps faible, les Egyptiens mettaient un nouveau coup d’accélérateur avant la pause. Si la VAR leur refusait un penalty, sur un contre, Kahraba servait le Marocain Reda Slim, qui concluait et inscrivait le premier but de l’histoire de cette Ligue Africaine de Football (0-1, 45e+1) !

 

 

Reda Slim à jamais le premier, Simba renversant

Loin de se laisser abattre, les Tanzaniens réagissaient d’entrée au retour des vestiaires et Denis Kibu profitait d’une remise de Chama pour égaliser d’une tête plongeante (1-1, 53e). Une poignée de minutes plus tard, l’entrant Sadio Kanouté plaçait même les locaux en tête en égalisant d’une tête au premier poteau sur corner (2-1, 60e).




Un regard neuf sur le secteur bancaire mondial met en évidence les risques associés à des taux d’intérêt durablement élevés  

La hausse des taux d’intérêt a révélé les facteurs de vulnérabilité d’un certain nombre de banques, et le maintien prolongé d’une orientation monétaire restrictive en fragiliserait beaucoup d’autres.

Les banques centrales pourraient maintenir les taux d’intérêt durablement élevés pour lutter contre une inflation tenace dans de nombreux pays — et, par-là, freiner l’économie.

Il s’agit d’une situation inédite pour les marchés financiers mondiaux depuis une génération. Par conséquent, les autorités de contrôle du secteur financier doivent affiner leurs outils analytiques et leur riposte réglementaire pour contrer les menaces qui se font jour. Face aux risques qui s’amoncellent au sein du système bancaire et au-delà, l’heure est venue de redoubler d’efforts pour repérer les prêteurs les plus fragiles.

En conséquence, nous avons perfectionné nos tests de résistance pour étudier les risques résultant de la hausse des taux d’intérêt et prendre en compte le type de difficultés de financement qui ont conduit à l’effondrement de certaines banques au mois de mars. Nous avons également mis au point un outil de surveillance qui permet, grâce à des prévisions d’analystes et des indicateurs bancaires classiques, de suivre l’évolution des facteurs de vulnérabilité du système bancaire. Ces outils de suivi, reposant sur des données publiques, ont vocation à compléter les tests de résistance que réalisent les autorités de contrôle et les équipes du FMI et de la Banque mondiale lors de programmes d’évaluation du secteur financier à partir de données de surveillance confidentielles et plus détaillées.

La hausse des taux d’intérêt présente un risque pour les banques, même si elle profite aux nombreux établissements qui ont augmenté leurs taux débiteurs tout en maintenant des taux d’intérêt créditeurs faibles. En outre, les pertes sur prêts pourraient bien s’accentuer dans la mesure où tant les consommateurs que les entreprises doivent désormais faire face à des coûts d’emprunts plus élevés, en particulier s’ils se retrouvent sans emploi ou voient leur chiffre d’affaires reculer. Outre leur activité de prêts, les banques investissent dans des obligations et dans d’autres titres de créance, dont la valeur diminue lorsque les taux d’intérêt montent. Or, elles pourraient être contraintes à revendre à perte ces actifs en cas de retraits soudains des dépôts ou de difficultés de financements inattendues : la faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) est un exemple frappant de ce vecteur obligations-pertes.

Tests de résistance

Le système bancaire semble globalement résilient, d’après les résultats de notre nouveau test de résistance à l’échelle mondiale mené sur près de 900 prêteurs dans 29 pays, que nous présentons dans un chapitre de notre dernier Rapport sur la stabilité financière dans le monde. Cet exercice, qui montre la situation des prêteurs dans le scénario de référence défini dans l’édition d’octobre 2023 des Perspectives de l’économie mondiale, recense 30 établissements bancaires caractérisés par un faible niveau de fonds propres — et totalisant environ 3 % des actifs bancaires dans le monde.

Cependant, en cas de stagflation sévère (forte inflation accompagnée d’une contraction de l’économie mondiale de 2 %) conjuguée à de nouveaux relèvements des taux directeurs des banques centrales, l’ampleur des pertes serait nettement plus importante. Le nombre d’établissements bancaires fragiles passerait à 153 et ces établissements représenteraient alors plus d’un tiers des actifs bancaires au niveau mondial. Abstraction faite de la Chine, les pays avancés comptent bien plus de banques fragiles que les pays émergents.

Ce groupe de banques fragiles pâtit de la hausse des taux d’intérêt, de l’augmentation des défauts de remboursement de prêts et de la baisse des prix des titres. Fait important, une analyse supplémentaire montre que les pertes imputables à la revente de titres en cas de fuite des dépôts sont moins préjudiciables lorsque les banques ont accès aux facilités de prêt des banques centrales, comme le guichet d’escompte de la Réserve fédérale des États-Unis.

Afin de compléter ce test de résistance à l’échelle mondiale, notre nouvel outil de surveillance inclut des indicateurs de supervision classiques, tels que le ratio fonds propres/actifs, ainsi que des indicateurs de marché, comme le ratio valeur de marché/valeur comptable des fonds propres de la banque. Par le passé, ces derniers se sont avérés d’efficaces facteurs prédictifs de la perte de confiance lors de tensions bancaires. Notre outil fait ressortir les banques à examiner de façon plus poussée lorsqu’elles présentent des résultats atypiques pour au moins trois des cinq indicateurs de risques étudiés : l’adéquation des fonds propres, la qualité des actifs, les bénéfices, la liquidité et la capitalisation boursière.

En période de tensions, un grand nombre de banques peuvent apparaître comme potentiellement vulnérables alors que seul un petit nombre d’entre elles connaissent de réelles difficultés. Lorsque l’on utilise cet outil sur des données antérieures, il montre que le nombre d’établissements potentiellement vulnérables a explosé au début de la pandémie et a augmenté à un rythme régulier à la fin de 2022 quand les effets de la hausse des taux d’intérêt ont commencé à se faire sentir. Dans ce dernier groupe se trouvaient les quatre banques qui ont fait faillite ou ont été rachetées en mars.

En s’appuyant sur les données de marchés actuelles et les analyses faisant consensus auprès des analystes, ces indicateurs font apparaître un ensemble considérable de petites banques à risque aux États‐Unis et des sources d’inquiétude pour certains prêteurs en Asie, notamment en Chine et en Europe, sur fond de persistance des pressions sur la liquidité et les bénéfices.

Le groupe substantiel de banques fragiles mis en évidence dans les deux exercices souligne la nécessité d’appliquer de nouvelles mesures dans le secteur bancaire :

Les tests de résistance menés par les autorités de contrôle devraient comporter une analyse fondée sur le marché, inclure les petits prêteurs et utiliser des scénarios beaucoup plus défavorables, mais toujours plausibles.

Les autorités de contrôle bancaire doivent adopter une démarche volontariste et se montrer prêtes et disposées à corriger les insuffisances répertoriées. D’après les résultats de notre programme d’évaluation du secteur financier, plus de la moitié des pays sont dépourvus d’autorités de contrôle bancaire indépendantes dotées des ressources nécessaires.

Il convient de durcir les normes internationales afin de contenir les risques de liquidité et de taux d’intérêt. Dans au moins un pays sur cinq, les pratiques de surveillance et de réglementation pour suivre ces risques et y remédier laissent à désirer. Or, les turbulences de mars dernier sont venues rappeler leur importance.

Les banques seraient plus résilientes si elles étaient mieux préparées à recourir aux facilités de prêt des banques centrales. Les banques devraient régulièrement vérifier leur accès à ces facilités, et les autorités de contrôle devraient s’assurer que les prêteurs les plus fragiles peuvent aisément solliciter l’aide d’urgence.

Maintenant que les tensions bancaires se sont atténuées, les établissements et leurs instances de contrôle et de réglementation devraient s’attacher à renforcer la résilience. Ils devraient également se préparer à une possible résurgence de ces risques, dans la mesure où la hausse des taux d’intérêt pourrait être plus longue et plus durable que ne l’indiquent les prix actuels du marché.




La dette mondiale retrouve sa tendance à la hausse  

Bien que la dette mondiale ait enregistré une nouvelle baisse considérable en 2022, elle reste élevée et sa viabilité préoccupante.

La charge de la dette mondiale a reculé pour la deuxième année consécutive, même si elle reste supérieure à son niveau déjà élevé d’avant la pandémie, selon la dernière mise à jour de notre base de données mondiale sur la dette. La dette totale représentait 238 % du produit intérieur brut mondial l’année dernière, soit 9 points de pourcentage de plus qu’en 2019. En dollars américains, la dette s’élevait à 235 000 milliards de dollars, soit 200 milliards de dollars de plus qu’en 2021.

Au cours des prochaines années, les décideurs devront faire preuve d’un engagement résolu pour préserver la viabilité de la dette.

Malgré le rebond de la croissance à partir de 2020 et une inflation largement supérieure aux prévisions, la dette publique est restée obstinément élevée. Les déficits budgétaires en sont notamment responsables, car de nombreux pays ont dépensé plus pour stimuler la croissance et répondre à la flambée des prix des denrées alimentaires et de l’énergie, alors même qu’ils mettaient fin au soutien budgétaire lié à la pandémie.

C’est pourquoi la dette publique n’a diminué que de 8 points de pourcentage du PIB au cours des deux dernières années, ce qui n’a compensé que la moitié environ de l’augmentation liée à la pandémie, selon notre dernier numéro du Global Debt Monitor (moniteur de la dette mondiale). La dette privée, qui comprend la dette des ménages et des sociétés non financières, a diminué plus rapidement, de 12 points de pourcentage du PIB. Mais cette baisse n’a pas suffi à neutraliser l’augmentation due à la pandémie.

Quels facteurs déterminent la tendance en matière de dette ?

Avant la pandémie, les ratios dette mondiale/PIB avaient suivi une trajectoire ascendante pendant des décennies. La dette publique mondiale a triplé depuis le milieu des années 1970 pour atteindre 92 % du PIB (soit un peu plus de 91 000 milliards de dollars) à la fin de 2022. La dette privée a elle aussi triplé pour atteindre 146 % du PIB (soit près de 144 000 milliards de dollars), mais sur une période plus longue, entre 1960 et 2022.

L’augmentation de la dette mondiale ces dernières décennies est en grande partie imputable à la Chine, car le volume des emprunts a surpassé la croissance économique. Le niveau d’endettement de la Chine, en part du PIB, a quasiment rejoint celui des États-Unis, alors qu’en dollars, sa dette totale est encore nettement inférieure (47 500 milliards de dollars contre près de 70 000 milliards de dollars). En ce qui concerne la dette des sociétés non financières, la part de la Chine (28 %) est la plus importante au monde.

La dette des pays en développement à faible revenu a également considérablement augmenté ces vingt dernières années, bien qu’en partant d’un niveau plus bas initialement. Même si la dette de ces pays, en particulier la dette privée, reste en moyenne relativement faible comparée à celle des pays avancés et émergents, son augmentation rapide depuis la crise financière mondiale engendre des difficultés et des facteurs de vulnérabilité. Plus de la moitié des pays en développement à faible revenu sont en situation de surendettement ou présentent un risque élevé de surendettement, et environ un cinquième des pays émergents ont émis des obligations souveraines qui s’échangent à des prix fortement décotés.

Remédier aux facteurs de vulnérabilité liés à la dette

Les pouvoirs publics doivent prendre des mesures de toute urgence pour réduire les facteurs de vulnérabilité de la dette et inverser les tendances de la dette à long terme. Pour la dette du secteur privé, cela pourrait notamment consister à suivre de près l’endettement des ménages et des sociétés non financières ainsi que les risques correspondants pour la stabilité financière. En ce qui concerne la dette publique, l’instauration d’un cadre budgétaire crédible pourrait guider le processus visant à mieux concilier les besoins de dépenses et la viabilité de la dette.

Pour les pays en développement à faible revenu, il s’agit avant tout de renforcer leur capacité à recouvrer davantage de recettes fiscales ; nous l’avions indiqué dans le Moniteur des finances publiques d’avril dernier. Pour ceux dont la dette est insoutenable, il convient aussi d’adopter une stratégie plus globale, associant discipline budgétaire et la restructuration de la dette au titre du cadre commun du Groupe des Vingt (le mécanisme multilatéral d’annulation et de restructuration de la dette souveraine), le cas échéant, comme souligné dans les Perspectives de l’économie mondiale du mois d’avril.

Par ailleurs, il ne faut pas oublier qu’en réduisant la charge de la dette, un espace budgétaire se dégage qui permet de réaliser de nouveaux investissements, ce qui contribuera à stimuler la croissance économique dans les années à venir. Appliquer aux marchés du travail et des produits des réformes qui augmentent la production potentielle à l’échelle nationale vont dans le sens de cet objectif. La coopération internationale en matière de fiscalité, notamment sur la taxation du carbone, pourrait également atténuer les tensions qui s’exercent sur le financement public.




Kinshasa : Denis Kadima lance la campagne de sensibilisation pour les élections générales de décembre 2023

Après la publication des listes provisoires des candidats à l’élection présidentielle, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a lancé ce vendredi 20 octobre 2023, la campagne de sensibilisation pour les élections générales du 20 décembre 2023. Cette activité a connu la participation de plusieurs membres de la société civile congolaise et de quelques responsables des médias partenaires de la CENI.

Prenant la parole à cette occasion, le deuxième vice-président de la CENI Didi Manara a estimé que le défi dans ce processus reste encore grand « la responsabilité de la sensibilisation reste une tâche de toutes les parties et regroupements politiques, les organisations de la société civile, les médias, les institutions de l’Etat, les partenaires techniques et financiers ont un rôle à jouer à la hauteur des enjeux et des défis à relever. Il y a des défis à relever ensemble, notamment la mobilisation populaire, la crédibilisation du processus électoral, l’inclusion de toutes les catégories des citoyens dont les femmes avec handicap et le peuple autochtones ».

Pour sa part, Denis Kadima, président de la CENI a réitéré une fois de plus la volonté de son institution d’organiser les élections dans le délai constitutionnel, avant d’appeler tous les partenaires et les parties prenantes de pouvoir contribuer à la réussite de ce processus.

« A deux mois de ce scrutin, il est maintenant question de préparer les électeurs à jouer correctement leur rôle. Il est temps de former et d’informer les électeurs et toutes les parties prenantes sur les dispositions légales et réglementaires relatives aux opérations électorales ainsi que sur la conduite à suivre dans un bureau de vote devant les dispositifs électroniques de vote », ainsi a souligné Denis Kadima.

Après cette étape, une caravane motorisée a été organisée sur toute l’étendue de la ville province de Kinshasa, question d’informer la population de cette étape importante dans ce processus en cours.




Algérie-Israël : “L’Egypte perd une cargaison de gaz liquéfié.. et l’Algérie s’empare de l’affaire”

Depuis la reprise des relations maroco-israéliennes, la frustration est devenue l’humeur dominante à alger, où les généraux et leur porte-voix et néanmoins président de la «Ripoux-blique», Abdelmadjid Tebboune, mènent une campagne contre les deux pays, qualifiant leur alliance de «malsaine». Si le régime algérien prétend rejeter toute coopération avec l’Etat hébreu, une enquête publiée par le journal Independent Arabiale dit contraire:

Le pétrolier « Sea Peak Catalunya » a changé de cap depuis le terminal GNL d'”Idku” en Égypte et se dirige maintenant vers la raffinerie d’« Arzew » en Algérie.

Selon des analystes cités par le journal, le pétrolier Sea Peak Catalonia, qui était initialement en route vers le terminal GNL d’Idku en Égypte, a modifié sa trajectoire et se dirige maintenant vers la raffinerie d’Arzew en Algérie. Cette décision a été prise en réponse à la fermeture du champ gazier israélien de Tamar par Chevron, en raison du conflit avec le Hamas. En conséquence, les exportations de gaz d’Israël vers l’Égypte via le gazoduc sous-marin de la Méditerranée orientale ont également été suspendues.

“L’Egypte perd une cargaison de gaz liquéfié… et l’Algérie s’empare de l’affaire” la plateforme “Attaqa”.

La plateforme “Attaqa” confirme l’information

Attaqa, une plateforme de média, de recherche et de conseil spécialisée sur les marchés de l’énergie aux niveaux économique, politique, environnemental et technique, couvrant tout ce qui touche au changement climatique, à la transition énergétique et à la neutralité carbone, y compris les minéraux et les opérations minières nécessaires à cette transformation.

La plateforme a été créée en janvier 2020 à Washington, D.C., et a commencé à publier pour la première fois en avril 2020. Elle dispose de bureaux et de correspondants dans un certain nombre de pays arabes et étrangers.

L’équipe «Attaqa» est composée de plus de 25 spécialistes dans divers domaines médiatiques, tels que le pétrole et le gaz, les énergies renouvelables, l’économie, les marchés automobiles, les actions, les médias sociaux, le design, la vidéo et la langue arabe, et elle a des correspondants dans plusieurs Pays arabes et étrangers.

«Attaqa» comprend quatre unités spécialisées : l’« Unité de recherche », l’« Unité des médias audiovisuels », l’« Unité de formation et d’enseignement », ainsi que l’« Unité de production littéraire et de relecture linguistique ».

L’unité de recherche réalise des rapports hebdomadaires, mensuels, trimestriels et annuels, y compris des rapports annuels sur tous les marchés de l’énergie. Parmi les produits les plus importants de l’unité de recherche figurent des rapports hebdomadaires sur les stocks et les plates-formes, en plus des rapports mensuels sur le marché pétrolier.




Le processus d’accréditation des médias pour la CAN Côte d’Ivoire 2023 est désormais ouvert

La fenêtre de demande d’accréditation des médias pour la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023 est désormais ouverte.

La date limite de demande d’accréditation est fixée au 24 novembre 2023.

La 34e édition de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies se déroulera à Abidjan, Korhogo, Bouake, Yamoussokro et San Pedro du 13 janvier au 11 février 2024.

Les médias intéressés par la couverture du tournoi peuvent demander une accréditation via le Media Channel de la CAF

L’autorisation d’accéder au Media Channel de la CAF ne signifie pas que l’accréditation vous a été accordée. Toutes les demandes sont sujettes à confirmation.

La confirmation ne se fera pas sur la base du premier arrivé, premier servi. Les candidats retenus seront notifiés et recevront de plus amples informations en temps voulu.

Pour l’événement de la Côte d’Ivoire, la CAF a introduit des “quotas” pour chaque nation en raison de la forte demande des médias du monde entier.

Tous les candidats recevront une réponse au plus tard le 08 décembre 2023.

Pour plus d’informations sur la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023, visitez notre site web www.cafonline.com.




Pour une campagne électorale apaisée : Dodo Kamba se ressource auprès du SGCP Willy Makiashi   

Bravant l’atrocité des rayons solaires de ce vendredi 20 octobre 2023, le Responsable des Églises de réveil en Rdc, le Révérend Pasteur Dodo Kamba a eu des échanges enrichissants de près de 2 heures, avec le Prof Willy Makiashi, à la Cité du Fleuve. C’était en présence du SPP a.i Abel Falashi, du SN Claude Matala et tant d’autres Cadres du parti.

Somme toute, le temporisateur spirituel Dodo Kamba était accompagné de Responsables des Églises de l’armée du Salut, de Cheikh Abdallah Mangala, n°1 de la Communauté islamique en Rdc, du Pasteur Fumumapanda, des Églises des Noirs, et tant d’autres branches spirituelles. D’entrée de jeu, après une courte prière, l’Hôte du SGCP WM a pris la parole pour expliquer le motif de leur visite à savoir : se ressourcer premièrement auprès du PALU, vu son expérience politique cinquantenaire pétrie, récolter ses avis pour une campagne électorale apaisée, écouter les conseils du SGCP…

D’entrée de jeu, il a déclaré que le PALU, vu son poids politique incontestable, sa discipline et son encrage vérifiable, doit jouer un grand rôle pour une campagne électorale apaisée avant les scrutins du 20 décembre 2023. Selon lui, son Organisation compte sur le PALU afin de distiller des messages de paix, de tolérance et non-violence au sein de la société congolaise.

En réaction, le Prof Willy Makiashi lui a rassuré que le PALU, entant que moelle épinière de l’arène politique congolaise, a capté par dévers lui, le message des Églises de réveil et fera tout pour s’impliquer. Le SGCP a exhorté le Pasteur Dodo Kamba à montrer aux acteurs politiques congolais la voie à suivre et leur prodiguer des conseils qui reflètent la volonté divine.

Il a ensuite évoqué la pensée de Saint Thomas Dakin à savoir : « la politique est l’art de gouverner la Cité de Dieu ». Pour autant dire qu’en réalité, tout acteur politique doit consulter régulièrement la boussole divine pour la réussite de sa carrière. Appliquant ses astuces pédagogiques d’antan, le Prof Willy Makiashi a invité l’Église de rappeler aux acteurs politiques congolais, les prescrits et repères fondamentaux de leurs ascendances idéologiques et les interdits clairement énumérés dans la Constitution congolaise pour fixer l’opinion sur « qui est qui? Qui veut quoi? Qui vient de quelle idéologie?

Aussi, il est temps que cette Église sauve la Rdc pendant les périodes tumultueuses où nous abordons le dernier virage électoral, en insistant sur la mise à l’écart des discours de haine. Il a martelé sur la prépondérance du rôle de l’Église, qui est aussi de sauver la République et d’introniser dignement ses Dirigeants qui bénéficieront l’appui du peuple.

À une question du Révérend Dodo Kamba de savoir si le SGCP est prêt à pardonner et accueillir les « égarés», le Prof. WM a répondu ainsi: « au PALU, les portes sont grandement ouvertes pour accueillir tout « enfant prodige » qui cherchera à rentrer dans sa maison.

Sauf le « fils de la perdition ». Très satisfait et persuadé des arguments du SGCP Willy Makiashi, le Pasteur Dodo Kamba a promis d’en faire bon usage pour un aboutissement heureux du cycle électoral 2023. Il a enfin accordé une interview à la presse, en élucidant les contours de leur visite. Photo de famille.

 

SN/COMM.&PRESSE/PALU




Grâce aux innovations diplomatiques pivotantes : La Rdc élue 1er vice-président du Conseil exécutif de l’OMT

L’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) a organisé la 25ème session de son Assemblée générale, en Ouzbékistan, du 16 au 20 octobre 2023.

La Rdc comme membre de cette organisation, est représentée par Me Didier Mazenga Mukanzu, ministre du Tourisme, à la tête d’une forte délégation.

Suite aux innovations diplomatiques pivotantes, en matière de Tourisme, du ministre Didier Mazenga M. et sous l’encadrement drastique du Premier ministre Sama Lukonde, la Rdc vient d’être élue 1er vice-président du Conseil exécutif de l’OMT.

Voici les résultats complets et la nouvelle composition du Bureau du Conseil exécutif de l’OMT, au terme des élections après: Président : Arabie Saoudite ; 1er Vice-Président: Rdc; 2ème Vice-Président : Jamaïque.

Désormais, voici en substance l’image de 4 nouveaux responsables de l’Organisation Mondiale du Tourisme. Merci au Chef de l’Etat Félix Tshisekedi qui s’évertue à replacer la Rdc à l’échiquier mondial d’honneur.




A deux mois des scrutins: Denis Kadima donne le go de la mobilisation maximale des électeurs et l’inclusion de toutes les catégories

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis KADIMA KAZADI, a lancé la campagne de sensibilisation pour les élections générales du 20 décembre 2023, à Béatrice Hôtel.

En présence notamment des membres de l’assemblée plénière de la Centrale électorale, des représentants des partenaires techniques et financiers de la Centrale électorale et des médias. Moment crucial du processus électoral qui prépare les électeurs à jouer pleinement leur rôle à exactement deux mois des scrutins couplés à venir.

Denis Kadima Kazadi a mis en avant les enjeux de ces consultations électorales qui continuent à mobiliser toutes les forces vives de la CENI qui y travaillent d’arrache-pied pour relever le défi et gagner ce pari.

« Les jours se succèdent mais ne se ressemblent pas. Nous avons pris l’habitude de nous retrouver à chaque étape importante du processus électoral en cours. Impliquer les parties prenantes à ce que nous faisons est pour nous une exigence de transparence et d’ouverture aux autres. C’est ce qui explique que le calendrier électoral de la CENI soit jalonné de moments de rencontres avant, pendant ou après chaque opération. Hier, la CENI a publié la liste provisoire des candidatures déclarées recevables et irrecevables à l’élection du Président de la République.

Sur le total de 24 candidatures réceptionnées, toutes ont été jugées conformes et déclarées recevables. Les candidats Président de la République repris sur la liste provisoire seront notifiés sans délai. Les réclamations et contestations relatives à la validité d’une candidature sont portées devant la Cour constitutionnelle dans les 48h suivant la publication de la notification de la Décision de la CENI. Et la Cour constitutionnelle statue sans frais dans les sept jours qui suivent l’expiration du délai évoqué », a indiqué Denis Kadima Kazadi.

 

La CENI n’exclut aucun candidat

Avant de rappeler l’engagement de la CENI de n’exclure aucun candidat remplissant les conditions requises.

« Avec la fin de la réception et du traitement des candidatures y compris pour de l’élection présidentielle, la CENI aura ainsi honoré son engagement de n’exclure aucun candidat qui réunit les conditions. Aujourd’hui, nous entamons une phase cruciale qui place les électeurs au centre des préoccupations. Certes, pendant l’opération de la révision du fichier électoral, la population a été approchée en vue de la constitution du fichier électoral, un outil indispensable à l’organisation des élections. A exactement deux mois des scrutins, il est maintenant question de préparer les électeurs à jouer correctement leur rôle le mercredi 20 décembre 2023. Il est temps de former et informer les électeurs et toutes les parties prenantes sur les dispositions légales et règlementaires relatives aux opérations électorales ainsi que sur la conduite à tenir dans un bureau de vote et devant le Dispositif Électronique de Vote (DEV). L’enjeu étant la mobilisation maximale des électeurs et l’inclusion de toutes les catégories des citoyens pour une participation de qualité », a-t-il souligné.

La plus haute hiérarchie de la CENI a appelé à une sensibilisation maximale des masses d’électeurs pour une importante participation citoyenne.

« La CENI accorde une attention particulière aux jeunes et aux femmes qui constituent la grande majorité de la population électrice. La Commission électorale n’est pas la seule concernée par cet effort d’éducation des électeurs. La Loi organique n° 10/013 portant organisation et fonctionnement de la Commission Électorale Nationale Indépendante, en son article 9, lui confie en plus de la mission d’organiser, en toute indépendance, neutralité et impartialité des scrutins libres, démocratiques et transparents, la responsabilité de vulgariser en français et en langues nationales les lois relatives au processus électoral et référendaire et de coordonner la campagne d’éducation civique de la population en matière électorale. Je saisis cette occasion pour lancer un appel à la mobilisation des partenaires de la société civile, particulièrement les associations populaires, les confessions religieuses, les organisations féminines et des jeunes, les structures d’encadrement des personnes en situation d’handicap et des peuples autochtones, les médias et particulièrement les radios communautaires, pour une sensibilisation maximale des électeurs », a soutenu le numéro un de la Centrale électorale.

A la société civile de sensibiliser

Denis Kadima a invité les partenaires financiers à apporter un soutien aux organisations de la société civile en vue de leur permettre la sensibilisation des électeurs aussi bien dans les zones urbaines que rurales. « J’aimerais également insister sur le fait que la CENI travaille d’arrache-pied afin d’organiser les élections générales le 20 décembre 2023. Ses équipes réalisent la partie invisible du travail par notamment l’acquisition de plusieurs types de matériel et leur acheminement à travers le pays. Tout ce travail de la CENI est bien planifié. Concernant les cartes d’électeur défectueuses, il y a lieu de souligner qu’une série a été affectée par une réaction chimique et nous sommes en train de prendre des dispositions pour les remplacer allant même au-delà des territoires comme exigé par la loi, nous irons jusqu’au niveau des secteurs et ce problème sera résolu dans les semaines qui viennent. Il importe de relever que le verre est à moitié plein, à deux tiers même, rejoignez-nous dans la sensibilisation des masses d’électeurs en vue de réussir le pari d’organiser les élections de qualité avec une importante participation citoyenne », dit-il.

Auparavant, le 2e Vice-Président, Didi Manara Linga, a mis en avant le respect scrupuleux de toutes les étapes du processus électoral que s’est imposé la CENI de son calendrier.

Relevant qu’il est certes établi que la sensibilisation incombe à la CENI, mais il n’en demeure pas moins vrai que toutes les parties prenantes à ce processus sont appelées à jouer leur partition pour l’objectif commun : contribuer à la consolidation de la démocratie par des élections crédibles, transparentes et inclusives.

Séance tenante, il a été procédé à une simulation de cette opération qui a attend les électeurs à travers le Dispositif électronique de vote pour expliquer à l’assistance son fonctionnement.

Dans la foulée, le Président Denis Kadima Kazadi a donné le départ, devant le siège de la CENI, de la caravane motorisée qui s’est mise en mouvement sur les trois grands axes de la ville (Kin-Est, Kin-Centre et Kin-Ouest), en vue de porter au loin le message de sensibilisation des masses.