En prévision de leur match retour des éliminatoires des J.0 2023: Les Léopards dames boudent d’affronter les sud-africaines à Soweto  

Ce que vivent les Léopards/football dames engagées aux éliminatoires des Jeux Olympiques Paris 2024, ne cessera pas de sitôt d’alimenter la chronique sportive en RDC.

Contraintes au partage (1-1) par les Banyana Banyana d’Afrique du Sud au match aller joué le Jeudi 26 octobre 2023 à Kinshasa suite aux déboires qu’elles ont subi, les Léopards dames ne sont pas sorties de l’auberge. Loin de trouver des solutions à leurs revendications, elles doivent affronter les mêmes adversaires le lundi prochain à Soweto, en Afrique du Sud pour le match retour. Mais voilà, la sérénité est loin de régner au sein des Léopards dames. Elles boudent pour ne pas dire refusent de jouer ce match faute d’avoir perçu leur prime. Même la démarche entreprise par le comité de normalisation de la Fécofa auprès de la Rawbank où il s’est agi de l’ouverture de compte pour ces filles que le gouvernement devait leur verser leur prime. Ayant constaté qu’aucun rond n’est entré dans leur compte ainsi ouvert, les filles boudent et sont inconsolables. Auront-elles leur argent ? That is the question disent les anglais.

Antoine Bolia




Taekwondo ITF: Me Teddy Salumu et ses poulains préparent le gala de Taekwondo ITF à Bukavu

Après la brillante participation de la RDC à la 10ème édition de la Coupe de l’Ambassade/Kigali 2023 organisée du samedi 3 au dimanche 4 juin 2023 dernier à Kigali Arena d’une capacité de 10.000 places dans la capitale du Rwanda, Me Teddy Salumu et ses poulains se préparent le gala de Taekwondo ITF prévu le 5 novembre 2023 à Bukavu, dans le Sud-Kivu.

Rappelons qu’à la compétition sus évoquée, la RDC avait aligné 4 athlètes qui appartenaient tous à la ligue de taekwondo du Nord-Kivu et particulièrement de la ville de Goma. Il s’agit de 2 athlètes de paras taekwondo et 2 valides. Ces athlètes étaient coachés par l’expert et expérimenté Me Teddy Salumu.

La RDC avait glané 2 médailles d’argent par les athlètes Klose Kalwira en Para (-71 kg) et Freddy Kangendo Valide (-58 kg) et une médaille en bronze par Kasereka Samuel (-61 kg).

Outre le gala de Bukavu, il est prévu un séminaire de Taekwondo ITF du 5 au 6 novembre 2023 à Zanzibar, en Tanzanie. Et le mois prochain, il sera organisé la 4è édition du championnat Est Africain de Taekwondo ITF le 6, 7 et 8 décembre 2023 à Nairobi, Kenya.

Antoine Bolia




Malaise au sein de l’équipe championne de la Rdc VC Espoir: L’entraineur principal Fedo Nembuzu et l’adjoint Pius Eanga démissionnent

A quelques jours de la 9ème édition du championnat d’Afrique des clubs champions dames et messieurs de la Confédération Africaine de Volley-ball ‘’CAVB/Zone 4 qui se jouera à Kinshasa, c’est avec étonnement qu’il nous revient qu’il y a démission des membres du staff technique de VC Espoir, équipe championne de la RDC et de Kinshasa en titre.

En effet, l’entraineur principal Fedo Nembunzu et son adjoint Pius Kinsama Eanga Jean-Claude viennent de démissionner de leur poste au sein VC Espoir du tuteur Christian Matata, président de la Févoco. Pourquoi les précités ont-ils démissionné ? La question reste posée car à premièrement vue, c’est surprenant que ces deux membres du staff technique après avoir conduit Espoir au sacre au niveau local (Kinshasa) et national (Coupe de la Févoco) puisque du coup démissionner. Nous approcherons les deux coaches pour découvrir les raisons qui les ont poussé à la démission. Néanmoins, d’après notre confrère Dieudonné Mukendi de la Dircom de la Févoco, les deux coachs ont démissionné pour des raisons qui leur sont personnelles.

Pour ne pas laisser un vide, le VC Espoir a fait recours à un expert en la personne de Thomas Mukuidi qui a déjà entrainé l’équipe. C’est donc ce dernier qui conduira l’équipe VC Espoir à la 9ème édition du championnat d’Afrique des clubs champions dames et messieurs de la Confédération Africaine de Volley-ball ‘’CAVB/Zone 4.

Antoine Bolia




Nicolas Kazadi, Elysé Bokumwana et le Dg de City Bank signent pour la bancarisation des salaires des diplomates 

Bonne nouvelle pour la diplomatie congolaise. Le ministre des Finances Nicolas Kazadi et le Vice-ministre du Budget Elysé Bokumwana ont signé un protocole d’accord avec le Directeur général de City Bank pour la bancarisation des salaires des diplomates et autres dépenses. C’était en présence du patron de la diplomatie congolaise, Christophe Lutundula.

Pour le ministre des Finances, la diplomatie congolaise jouit désormais d’une crédibilité certaine au vu de ses réalisations palpables sous le leadership du président de la République, Félix Tshisekedi. Ce qui conduit une banque aussi respectée que Citigroup Congo de signer ce protocole d’accord.

Cette réforme va permettre à chaque diplomate de recevoir son salaire directement dans son compte bancaire sans le moindre retard. Les autres dépenses des ambassades passeront également par Citybank en raison de son large réseau à travers le monde.




Rdc : « Soutenir les vainqueurs d’Ebola à mieux surmonter la stigmatisation dans l’Est »

L’infirmière Mwamini Kavugho fait partie de l’Association des vainqueurs d’Ebola de Beni. Elle a été également parmi les toutes premières personnes à avoir été déchargées de la maladie au centre de traitement Ebola en octobre 2018 à Beni. OMS/Hugh Cunningham Kinsella

A droite, Elizabeth Zawadi, esquisse un sourire avant de poser avec ses autres collègues devant le siège de l’Association des vainqueurs d’Ebola, AVE, à Beni. OMS/Hugh Cunningham Kinsella

Depuis 2018, la région du grand nord (Province du Nord-Kivu), dans l’Est de la République démocratique du Congo, a été le foyer de quatre épidémies de la maladie à virus Ebola, touchant notamment plusieurs zones de santé de Beni, Biena et Butembo, avec un millier de personnes ayant survécu à la maladie.

Il y a cinq ans, Mwamini Kavugho, habitante de Beni avait vaincu la terrible maladie, après une prise en charge au Centre de traitement Ebola, au grand soulagement de sa famille et de sa communauté. Infirmière dans un établissement de santé de Beni pendant une dizaine d’années, cette héroïne méconnue fait partie d’un millier d’autres survivants qui tentent désormais de surmonter la détresse psychosociale, en plus de la difficulté pour trouver du travail ou des sources de revenus.

“Depuis ma guérison d’Ebola fin octobre 2018, je n’ai plus retrouvé mon travail dans la clinique pédiatrique où je prestais auparavant, en dépit du soutien que nous avions bénéficié du programme de suivi dédié aux vainqueurs d’Ebola”, raconte Mwamini, 43 ans, mère de deux enfants.

Le programme de suivi multidisciplinaire des anciens patients d’Ebola a été mis en place par le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention avec le soutien de l’OMS et de l’UNICEF. C’est une bouée de sauvetage essentielle pour suivre les personnes survivantes pendant 18 mois, en leur fournissant mensuellement des soins de santé, des conseils et un soutien coordonné grâce aux cliniques spécialisées, en ce qui concerne notamment les aspects cliniques, biologiques et psychologiques.

“Ce sont des choses qui font partie de l’être humain, même si les gens vous regardent autrement et croient que vous portiez toujours le virus”, a déclaré Mwamini.

Mwamini fait actuellement du petit commerce, et tant d’autres petites occupations journalières pour tenir, mais son espoir est toujours de retrouver un jour son emploi dans la pédiatrie qu’elle faisait avant qu’elle ait contracté le virus Ebola en 2018. “Parfois, on peut trouver du travail, mais alors un travail tellement épuisant qu’on finit par l’abandonner”, dit-elle.

Pour une autre survivante, Elizabeth Zawadi, 32 ans, “beaucoup de gens pensent que le fait d’avoir survécu à Ebola nous a ôtés d’une partie de nos facultés mentales. J’ai déjà fait l’objet de moqueries de la part de certains membres de ma famille, juste pour un simple oubli de quelque chose. Pour eux, ce type d’oubli est la conséquence d’avoir eu Ebola, ce qui n’est pas vrai du tout, car l’oubli est humain, ça peut arriver à tout le monde”.

“Souvent, je ressens des vagues intenses de chagrin quand je fais face à ce type de stigmatisation, j’essaie parfois de cacher mes émotions, mais vous savez, ce sont des choses parfois dévastatrices sans paroles”, ajoute Zawadi.

“Mais ces braves vainqueurs d’Ebola ont été témoins de nombreuses dépressions, d’anxiété et de trouble de stress post-traumatique au cours de ces années écoulées, et dont il n’était pas toujours facile d’en saisir l’impact psychologique. Ils ont encore besoin de beaucoup de soins, de beaucoup de soutien psychologique”, a indiqué le Dr Jérémie Katsavara, médecin-directeur de l’hôpital général de référence de Beni.

Katsavara a été longtemps en première ligne dans la prise en charge de ces anciens guéris lors de la dixième épidémie de 2018-2020. Il a expliqué que ce qui a été d’une grande aide pour la région, c’est ce programme de suivi des vainqueurs du virus d’Ebola, ayant bénéficié du soutien financier de la Chine. Ça a été indispensable à cette communauté, en termes de soutien psychologique dont elle avait besoin pour mettre en lumière leur énergie et leur volonté de continuer à se battre. Il pense aussi que face aux terribles conséquences de la maladie, ’’il faudra faire plus, de la part du gouvernement, des partenaires et de la communauté pour accompagner davantage les vainqueurs de ce virus potentiellement meurtrier d’Ebola’’.

“Une des choses qui a été intéressante pour les vainqueurs d’Ebola, ce qu’ils ont créé une relation de confiance très forte entre eux. Ils se regroupent dans des associations communautaires sans but lucratif pour échanger et partager une multitude d’expériences ou suivre certaines formations de renforcement des capacités pour réaliser leur plein potentiel. Cela a toujours grandement contribué à remonter leur moral”, a souligné Rachel Kashimoto, en charge de l’accompagnement psychosocial au sein du programme de suivi.

Aujourd’hui, cette jeune femme de 33 ans, qui vit à Beni, fait partie d’un groupe de prestataires qui continuent de faciliter l’accès de vainqueurs d’Ebola aux services psychosociaux dont ils ont besoin‘‘. Au cours des dernières années, nous avons fortement applaudi toutes les initiatives de santé publique et les opportunités liées à la santé mentale de ces anciens guéris. Nous les accompagnons à mieux gérer des situations stressantes, mais ils ont appris à être résilients’’, ajoute Kashimoto. La dixième épidémie de la maladie à virus Ebola en RDC avait enregistré un total de 3470 cas, 2 287 décès et 1170 guérisons.

Le Dr Boureima Hama Sambo, représentant résident de l’OMS en RDC s’est dit “inspiré par l’admirable résilience des anciens patients et vainqueurs d’Ebola, qui ont su courageusement surmonter les défis de la vie au quotidien, grâce notamment au solide partenariat de l’OMS avec l’Agence chinoise de coopération internationale pour le développement.”

“Nos défis communs nécessitent des solutions partagées. Les vainqueurs de la maladie à virus Ebola ont vu en ce partenariat quelque de très positif qui a eu un impact considérable sur leur vie, leur permettant tout simplement de bénéficier d’un suivi rigoureux pour leur santé et leur réintégration dans la société”, a déclaré le Dr Sambo.

Les membres des différentes commissions mises en place pour la riposte contre Ebola posent dans l’enceinte du Bureau central de la zone de santé (BCZ) de Beni, en présence de l’équipe de l’OMS. Les épidémies majeures qui ont touché la région ont souvent été cordonnées à partir de ce BCZ.




Rejetée par la CENI : La candidature de Joël Bilé sur la bonne voie

Après avoir vu son dossier être rejeté par la CENI pour des raisons qu’elle ignore, ayant saisi la Cour constitutionnelle après ce fait, la requête de Mme Joël Bilé, l’une des candidats à l’élection présidentielle du 2023, a été déclarée recevable ce vendredi 27 octobre par la Haute Cour siégeant en matière de traitement des contentieux électoral.

Joël Bilé est invitée à amener toutes les pièces de son dossier pour permettre à la Cour constitutionnelle de se prononcer une fois pour toute sur son affaire, un motif de satisfaction pour Mme Joël Bilé.

« Mon dossier a été jugé recevable par la Cour qui nous demande d’apporter routes les preuves. J’ai été pour des raisons jusque-là inconnues refusée de déposer mon dossier aujourd’hui. La Cour nous demande de pouvoir constituer le dossier et le déposer au plus tard le lundi pour qu’il soit examiné de la meilleure manière. Je considère que ce que j’ai subi jusque-là n’était qu’une discrimination », a-t-elle indiqué.

Et d’ajouter que si j’ai déposé ma candidature, c’est parce que je ne peux pas comprendre que ce grand pays de plus de 100 millions d’habitants se retrouve avec une seule candidate comme si la constitution ne nous garantisse pas la parité au sein de la société civile. Au nom des femmes, des jeunes et des personnes vulnérables que je représente dire ma joie parce que pour moi la Cour constitutionnelle, c’est le rempart à la démocratie et ce qui vient de se produire pour mon cas c’est une belle réussite avant la liste définitive.

La Cour va se prononcer sur ce cas le lundi 30 octobre 2023. Sachez que Joël Bilé est la 2ème femme candidate à cette élection présidentielle 2023, après Ifoku.




Elections 2023 : CASE pour une surveillance citoyenne du processus électoral à 10 échelles

La Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) que préside Simaro Mbayo Ngongo, son président, note que l’équipe Kadima a levé l’option du FORCING ÉLECTORAL CATASTROPHIQUE en République Démocratique du Congo et tient à rappeler la nécessité d’une surveillance électorale citoyenne très renforcée afin de juger à la preuve, tous les actes de FRAUDE ÉLECTORALE ORGANISÉE. La surveillance citoyenne accrue, massive, vive, responsable et lucide prendra en charge chaque détail de la JOURNÉE ÉLECTORALE de 5h00 jusqu’à l’aube. Cette surveillance citoyenne massive suivra spécifiquement les étapes de vote, de comptage manuel des voix, d’affichage des résultats bureau de vote par bureau de vote, de mise à disposition des fiches de résultats, de compilation des résultats (CLCR), de transmission des résultats au Centre National de Traitement sous accompagnement des témoins et observateurs jusqu’au jour de publication des résultats électoraux. La CASE rappelle que le processus électoral piloté arbitrairement par M. Denis Kadima connaîtra dix échelles de surveillance ci-après:

(1) la désignation tribale du président de la CENI: effectuée en toute opacité sous une très forte pression politique et menace de mort infligée aux grands électeurs (les Chefs des Confessions religieuses). Pour ce faire, l’équipe Kadima sera contestée de manière éternelle ;

(2) l’enrôlement des électeurs : Plusieurs irrégularités et fraudes décelées n’ont pu être corrigées. Le fichier électoral est anémique et étripé d’électeurs attendus. La CASE note que ce précédent électoral demeure un poison contre le processus électoral ;

(3) la liste des candidats : La CENI a enduré une pression politique stalinienne de la part du parti présidentiel pour tenter d’éliminer certains candidats à forte chance de gagner. La manœuvre a échoué après que le candidat Katumbi ait présenté finalement les originaux des pièces constitutives de son dossier ;

(4) la liste définitive : Tous les regards sont tournés vers la Cour Constitutionnelle où des nouvelles manœuvres s’organisent contre le même candidat. Les actes de la HAUTE COUR sont scrutés et toute fraude à la LOI sera contestée, condamnée et documentée. A ce niveau, la Cour Constitutionnelle doit savoir que la moindre gestion tribale des dossiers en présence est susceptible de provoquer des tensions au pays et compromettre toute la suite du processus électoral ;

(5) le scrutin du 20 décembre : S’il est militairement organisé, il sera le plus surveillé étant donné que le processus est conduit par des administrateurs illégitimes et douteux. Le moindre incident signalé en cette journée délicate risque d’être génératrice de réactions populaires inattendues ;

(6) la proclamation des résultats provisoires : La CENI-Kadima devra s’abstenir de toute expérience pyromane en ne s’en tenant qu’à l’esprit et à la lettre de la loi ;

(7) le contentieux électoral : La triste réputation de la Cour Constitutionnelle n’inspire confiance à aucun Congolais sérieux. Ici encore, la tribu du pouvoir est interpellée.

(8) les résultats définitifs : Si les étapes précédentes sont franchies raisonnablement, la Cour Constitutionnelle sera toujours sous les feux des caméras et des réseaux sociaux. Dans le cas contraire, cette Cour risquera de connaître et de déclencher dans le pays, des troubles non souhaités;

(9) la certification de la vérité des urnes par le peuple : Le respect de toutes les étapes constitutionnelles et légales prévues permettra de définir les contours de l’acceptation des résultats des votes. Sinon, une deuxième crise de légitimité prendra place et le candidat bénéficiaire de la fraude sera contesté ;

 (10) l’investiture du Président de la République élu : Afin de consolider la jeune démocratie congolaise, il est recommandé à la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) illégalement investie et à la Cour Constitutionnelle contestée de ne dire que LA VÉRITÉ DES URNES. Dans le cas contraire, le Peuple Congolais promet de rendre publics les résultats électoraux naturellement et véritablement issus des urnes.




La cartographie de Bureaux de Vote (BV) disponible dans les Antennes de la CENI et sur www.ceni.cd

Conformément à l’article 47 bis de la Loi électorale, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) informe l’opinion publique qu’elle publie par sa Décision N° 117/CENI/AP/2023 du 28 octobre 2023 portant publication de la cartographie de Bureaux de Vote (BV).

Dans un communiqué publié à cet effet, Mme Patricia Nseya, Rapporteur de la CENI précise que la Cartographie publiée est disponible dans les Antennes ainsi que sur le site Web de la CENI à l’adresse www.ceni.cd suivant les formats ci-après :

Répertoire des Centres de Vote (CV) et Bureaux de Vote (BV) avec leurs adresses physiques en format téléchargeable et imprimable:

Cartes des Secteurs, Chefferies et Communes présentant la cartographie de Centres de Vote et Bureaux de Vote en format téléchargeable et imprimable:

Plateforme Web interactive de visualisation des localisations des Centres de Vote et Bureaux de Vote.

Les électeurs, candidats, partis et regroupements politiques ainsi que les témoins et observateurs ont la possibilité de visualiser la localisation des Centres de Vote et Bureaux de Vote par Province, Ville, Territoire et par Secteur/Chefferie/Commune,

La CENI annonce à l’opinion publique que les travaux relatifs à la production de l’Atlas électoral sont en cours.




Le Maroc, le Portugal et l’Espagne partagent leur vision de la Coupe du Monde de la FIFA 2030  

Les présidents des fédérations de football du Maroc, du Portugal et de l’Espagne se sont réunis aujourd’hui à Rabat pour signer une lettre confirmant leur intérêt pour la candidature à la Coupe du Monde de la FIFA 2030 et pour partager leur vision du tournoi avec le monde.

Le processus de candidature ayant été officiellement lancé par la FIFA, les présidents des trois fédérations se sont réunis en personne pour confirmer leur intérêt pour la candidature – la première étape du processus de candidature de la FIFA – et célébrer ensemble cette étape officielle.

 

Fouzi Lekjaa, Président de la Fédération Royale Marocaine de Football, Fernando Gomes, Président de la Fédération Portugaise de Football et Pedro Rocha, Président de la Fédération Royale Espagnole de Football, ont partagé leur vision d’un tournoi qui renforce l’héritage de la Coupe du Monde de la FIFA, développe le football et a un impact dans le monde entier.

 

100 ans après la première Coupe du Monde de la FIFA, les trois pays souhaitent tirer parti de leur patrimoine footballistique unique, de leurs traditions vivantes et de mille ans de cultures entremêlées et d’histoire commune pour organiser un tournoi inclusif, innovant et durable, dans un véritable esprit de célébration. Pour y parvenir, la Coupe du Monde 2030 sera organisée comme un tournoi accessible et axé sur les supporters, ce qui profitera à l’ensemble de l’écosystème du football.

 

La Coupe du Monde de la FIFA 2030 au Maroc, au Portugal et en Espagne sera la première Coupe du Monde masculine organisée sur deux continents et sera axée sur le renforcement des liens entre l’Europe, l’Afrique et le reste du monde. La Coupe du monde intercontinentale sera donc l’occasion de mettre en valeur la diversité du football, de favoriser la collaboration entre les nations et de laisser un héritage social fort dans les trois pays, mais aussi dans le monde entier.

Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football, a souligné les aspects historiques de la candidature commune des deux continents et des trois pays à la Coupe du monde de la FIFA 2030 :

“C’est une Coupe du monde qui nous aidera à unir davantage nos civilisations communes établies il y a plus de dix siècles. Les trois pays partagent une histoire commune, un présent commun et se tournent vers un avenir commun. Tout cela démontre, depuis les deux rives de la Méditerranée, que le succès collectif est possible et que la prospérité peut avoir une perspective partagée et collective”.

 

Fernando Gomes, président de la Fédération portugaise de football, a souligné l’ambition que représente l’organisation de la Coupe du monde de la FIFA 2030 et la trace que les trois pays veulent laisser :

 

“C’est un moment historique car il marque le début officiel de notre processus avec la FIFA pour pouvoir organiser la Coupe du Monde de la FIFA en 2030. C’est un grand moment pour nous, hautement symbolique puisqu’il s’agit du centenaire de la première édition du tournoi. Mais 2030 sera bien plus qu’une célébration du passé ! Grâce à l’ambition et à la compétence de nos trois fédérations, nous pensons que ce tournoi marquera un changement de paradigme dans la manière dont les grands événements seront organisés à l’avenir. Telle est notre ambition ! ».

Pedro Rocha, le président de la Fédération royale espagnole de football, a souligné l’opportunité unique de collaboration entre les différentes fédérations de football, les pays et les peuples :

“Cette candidature est un message d’espoir et d’unité, car cette Coupe du monde sera une démonstration de l’union des cultures et de la promotion de l’inclusion, de la diversité et du respect. Ce sera une Coupe du monde avec un héritage social important qui restera au Maroc, au Portugal, en Espagne et dans le monde entier. Nous avons un projet commun qui suscitera l’enthousiasme partout. Faisons en sorte que ce rêve devienne réalité !

En ce qui concerne les stades des trois pays qui seront inclus dans la candidature finale, les trois présidents ont convenu qu’il était prématuré à ce stade de prendre des décisions à ce sujet, car les études et le travail d’évaluation des équipes techniques sont en cours.

La prochaine étape de la procédure de candidature de la FIFA pour la Coupe du Monde 2030 consistera pour les trois Fédérations à soumettre les accords de candidature à la FIFA à la fin du mois de novembre 2023.




Kinshasa : Eddy Mfumumpoko lance la compagne de recouvrement forcé de la vignette pour l’exercice 2021, 2022 et 2023

Après avoir donné le temps suffisant à travers le moratoire de plusieurs semaines accordé aux conducteurs et propriétaires des véhicules sur l’ensemble de la ville province de Kinshasa, c’est ce vendredi 27 octobre 2023 que la Direction générale des recettes de Kinshasa au travers son Directeur général Eddy Mfumumpoko que la campagne de recouvrement forcé de la vignette 2021-2022-2023 sur toute l’étendue de la Ville de Kinshasa a été officiellement lancée.


Cette cérémonie officielle est intervenue à la Place Victoire dans la commune de Kalamu où le numéro 1 de la régie financière provinciale qui était accompagné d’une forte délégation de la DGRK et de la Police nationale congolaise a tenu à passer à l’action pour s’assurer si les assujettis se sont conformés à cette obligation.
Le patron de la DGRK a personnellement effectué le contrôle de paiement de vignette à un bon nombre des assujettis qui étaient sur place. Mais malheureusement, le constat est inquiétant, parce que la plupart des chauffeurs interrogés par le Directeur général de la DGRK n’étaient pas en ordre. Après ce constat malheureux, Eddy Mfumumpoko regrette qu’un bon nombre de gens n’ont pas répondu à l’invitation de la DGRK pour le paiement volontaire, malgré le moratoire largement dépassé. C’est qui prouve que la population kinoise n’a pas encore intériorisé la culture de la fiscalité.
Sur place, a-t-il regretté, quelques véhicules non en règle ont été immobilisés et envoyés à la fourrière. Étonné de ce constat, Eddy Mfumumpoko précise que « nous avons fait un communiqué à travers lequel, nous avons demandé à la population Kinoise de pouvoir se conformer par rapport au paiement de l’impôt sur les véhicules et la taxe spéciale de la circulation routière dont la vignette serait le document qui matérialise sa régularité », a déclaré le numéro 1 de la DRGK.


Eddy Mfumumpoko Monsempo a profité de l’occasion pour appeler au bon sens des Kinois de s’acquitter de cette obligation pour donner à l’exécutif provincial les moyens de sa politique. «Il faudrait que chacun de nous sache que l’Etat n’a pas d’autres moyens de sa politique que le paiement des impôts et taxes », a-t-il fait savoir.
Au sujet des inquiétudes de la population sur les éventuels embouteillages qu’on peut constater durant cette période de la campagne de recouvrement forcé, le DG Eddy Mfumumpoko Monsempo rassure la population Kinoise que la DGRK travaille avec la Police spécialisée dans la régulation de la circulation routière.
Sachez que cette campagne de recouvrement forcé de la vignette 2021, 2022 et 2023, qui a été lancée ce vendredi 27 octobre 2023, ira jusqu’au mois de janvier 2024, a souligné le patron de la Direction générale des recettes de Kinshasa.