Papy Tamba : « Fatshi, une page tournée »  

La validation des candidatures de Moïse Katumbi et de Matata Ponyo n’est pas un cadeau. Ce n’est pas une stratégie non plus. C’est un échec du régime qui a tenté tous les coups pour invalider ces deux candidats. Bien que tout indique que les élections du 20 décembre 2023 n’auront pas lieu et que Fatshi quittera le pouvoir par l’article 64 le cas échéant, il était important qu’il soit ceinturé. Merci aux ambassades et missions diplomatiques ainsi qu’aux USA et la France qui n’auraient laissé aucun espace à la talibanie d’exécuter leurs projets macabres. C’est bien pour eux d’éviter des lourdes sanctions. Qu’ils aillent en paix.

Aux rêveurs qui se consolent par le mot STRATÉGIE de préparer plutôt leurs bagages pour une très longue et éternelle OPPOSITION. Le vin étant tiré, il ne leur reste qu’à le boire.

En seulement 1 825 jours de pouvoir, le pouvoir de Fatshi à fait trop de peines au peuple congolais. Ils ont signé leur premier scandale avec le dossier 100 jours. De scandales à scandales, ils nous ont servi en dernière minute celui de la francophonie. Seul le peuple décidera de leur sort après le 24 janvier 2024.

Quand l’on se rappelle que l’aéroport de Ndjili était devenu une sorte de gestapo, que la liberté de la presse était étouffée, les opposants envoyés en prison de façon arbitraire, les injures, les menaces, le manque de respect au sénateur à vie, une méchanceté sans raison d’être, seul l’avenir sait ce qu’il réserve à ces gens avec leur force du progrès.

Ils laissent le pays dans un trou très profond. Étant donné que tout sera à refaire, quel est, selon vous, le premier secteur de développement à redresser ?

À vous les claviers.

L’archange Papy TAMBA,

Le Papy le plus célèbre de la RDC




Voici l’intégralité des arrêts de la Cour constitutionnelle liés au contentieux de candidatures à l’élection présidentielle

Accusé pour défaut de nationalité congolaise d’origine par Noël Tshiani, un autre candidat à l’élection présidentielle et président du parti politique la Force du changement, Moïse Katumbi a été blanchi ce lundi 30 octobre par la Cour constitutionnelle siégeant en matière de contentieux de candidatures à l’élection présidentielle et reste dans la course pour la présidentielle de décembre prochain.

Un motif de satisfaction pour le camp Katumbi qui pense avoir remporté une fois pour toute la bataille interminable sur la question de la nationalité du président d’Ensemble pour la République.

Me Hervé Diakesse, l’un des avocats de Moïse Katumbi qui a dédié cette victoire à tous les membres et proches de l’ancien gouvernement du Grand Katanga, notamment à Chérubin Okende, Salomon Kalonda Dela, Mike Mukebayi et Baba Kyungu wa Kumwanza, estime qu’une nouvelle page s’ouvre en faveur de la lutte de Moïse Katumbi.

“Aujourd’hui, au plus haut niveau de la juridiction congolaise, la question de la nationalité de Moïse Katumbi Tchapwe est close et tous les débats en la matière n’ont qu’une seule place, la Cour constitutionnelle a trouvé cette place dans la poubelle de l’histoire”.

Pour lui, une nouvelle page s’ouvre ” à ce jour. Notre seule préoccupation, c’est de préparer la remise reprise en 2024 à la présidence de la République entre Moïse Katumbi futur président et Félix Tshisekedi “, a dit Me Hervé Diakesse.

Osée Kalombo




Sahara marocain : Le Maroc se félicite de l’adoption par le Conseil de Sécurité de l’ONU de la résolution 2703 (MAE)

Le Royaume du Maroc se félicite de l’adoption, lundi, par le Conseil de Sécurité de l’ONU de la résolution 2703 relative à la question du Sahara marocain, qui intervient dans “un contexte marqué par la poursuite de la dynamique positive que connaît le dossier, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste”, indique le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

La résolution 2703 renouvelle le mandat de la MINURSO pour une année, jusqu’à fin octobre 2024.

Dans un communiqué, le ministère souligne que le soutien international grandissant de près d’une centaine de pays à l’Initiative Marocaine d’Autonomie, l’ouverture à Laâyoune et à Dakhla de plus d’une trentaine de Consulats Généraux, la non-reconnaissance de plus de 84% des Etats membres de l’ONU de l’entité fantoche, ainsi que l’essor économique et social de la région dans le cadre du Nouveau Modèle de Développement pour les Provinces du Sud confortent, en effet, l’approche préconisée par le Royaume dans le traitement de cette question.

C’est dans ce contexte que le Conseil de Sécurité, à travers la résolution d’aujourd’hui, conforte sa démarche au sujet de la question du Sahara marocain, aussi bien au niveau de l’identification des parties, la consécration du cadre du processus, que de la confirmation de sa finalité, affirme la même source.

La résolution, poursuit le communiqué, a identifié clairement les parties au processus politique, qui doivent assumer leur responsabilité politique, juridique et morale dans la recherche d’une solution définitive au différend régional sur le Sahara marocain. Elle cite en particulier l’Algérie à six reprises, soit autant de fois que le Maroc, confirmant que l’Algérie est bel et bien la partie principale à ce différend artificiel.

De même, affirme le ministère, la nouvelle résolution consacre les tables rondes comme seul cadre du processus politique, avec notamment la participation de l’Algérie, partie prenante directement interpellée.

Enfin, le Conseil de Sécurité a confirmé que la solution politique définitive ne peut être qu’une “solution politique réaliste, pragmatique, durable et basée sur le compromis”, précise la même source, relevant que ces paramètres sont de nouveau couplés à l’appui du Conseil de Sécurité à l’Initiative Marocaine d’Autonomie, qualifiée de “sérieuse et crédible”.

Il est important de relever, dans ce cadre, que plusieurs pays à travers le monde expriment clairement leur soutien à cette Initiative comme base incontournable de toute solution à ce différend régional.

Par ailleurs, la nouvelle résolution a adressé un rappel à l’ordre au “polisario” concernant ses violations et ses restrictions sur la liberté de circulation de la MINURSO, fait remarquer le communiqué, notant qu’elle a demandé de nouveau à l’Algérie de permettre l’enregistrement des populations des camps de Tindouf.

Fort de ses acquis et de la constance de l’approche du Conseil de Sécurité, le Royaume du Maroc, comme l’a réaffirmé Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, demeure pleinement engagé pour appuyer les efforts du Secrétaire Général de l’ONU et son Envoyé Personnel visant la relance du processus des tables rondes, en vue de parvenir à une solution politique, basée sur l’Initiative Marocaine d’Autonomie et dans le strict respect de l’intégrité territoriale et la souveraineté nationale du Royaume, conclut le communiqué.




Le Conseil de sécurité réaffirme son soutien à l’initiative marocaine d’autonomie

Le Conseil de sécurité des Nations-Unies a réaffirmé, lundi, son soutien à l’initiative marocaine d’autonomie, présentée par le Maroc en 2007.

Dans cette nouvelle résolution, l’instance exécutive des Nations-Unies a réaffirmé son soutien à l’initiative marocaine d’autonomie, présentée par le Maroc en 2007, en tant que base sérieuse et crédible à même de mettre fin au différend régional sur le Sahara marocain, tel que consacré dans les résolutions du Conseil de sécurité.




Lionel Messi : 8ème ballon d’or pour quelles performances ?

Lionel Messi est à son 8ème Ballon d’Or, avec cette énième consécration qui semble être la toute dernière. Pour plusieurs observateurs, il s’agit d’une cérémonie d’au revoir organisé par un Messi qui n’a rien apporté à Paris Saint Germain. Il faudra désormais compter avec des jeunes qui se distinguent, que ce retraité qui n’a plus rien à démontrer.

Ce lundi soir, Lionel Messi a remporté le huitième Ballon d’Or de sa carrière, au Théâtre du Châtelet à Paris. Retour en images sur l’incroyable palmarès de l’international argentin en la matière.

« La Pulga » vient donc de soulever le huitième Ballon d’Or de sa carrière. Cela ne faisait guère de doutes depuis que le quotidien catalan Sport avait annoncé deux semaines auparavant que l’Argentin serait le lauréat de cette 67e édition. Lionel Messi est donc considéré comme le meilleur joueur de la saison 2022/2023. « C’était une année spectaculaire. Je vois beaucoup de visages que je souhaite remercier parce qu’ils ont tous consacré beaucoup de temps à ce succès. Ce Mondial, c’était le titre qui me manquait », a déclaré le natif de Rosario, qui remplit parfaitement les trois critères permettant de décrocher la fameuse récompense. Reprenons-les dans l’ordre.

Les performances individuelles et le caractère décisif et impressionnant des prétendants

Auteur de sept buts durant la Coupe du monde au Qatar, Messi a été élu meilleur joueur de la compétition. En club, avec le Paris Saint-Germain, le natif de Rosario a été décisif 41 fois en autant matches (21 buts et 20 passes décisives).

Les performances collectives et le palmarès accumulé au cours de la saison écoulée

Pour la toute première fois de sa carrière, Lionel Messi a atteint le Graal en remportant la Coupe du monde. Avec le club de la capitale, il a décroché le championnat de France.

La classe du joueur et son sens du fairplay

L’international albiceleste est un joueur de classe mondiale. Sa finesse et sa technique légendaires ne sont plus à prouver depuis bien longtemps.

Avec ce huitième Ballon d’Or, Lionel Messi entre encore un peu plus dans l’histoire du football. Au palmarès de cette récompense, il devance désormais largement son éternel rival. Effectivement, Cristiano Ronaldo accuse désormais trois trophées de retard sur l’ancien joueur du FC Barcelone. Retour en images sur la folle histoire de « La Pulga » avec la plus importante distinction individuelle en matière de ballon rond.




Élections de décembre 2023: L’ACP de Gentiny Ngobila bat le rappel des troupes 

L’Alliance des congolais progressistes (ACP) de Gentiny Ngobila Mbaka se met déjà en ordre de bataille pour les élections générales de décembre. Samedi 28 octobre dernier, l’Autorité morale de cette formation politique, Gentiny Ngobila Mbaka, a assisté au terrain Saint Adrien dans la commune de Ngaba, à la cérémonie de présentation des candidats ACP aux législatives provinciales et aux élections municipales.

Devant une foule immense composée essentiellement des militants de l’ACP, l’Autorité morale Gentiny Ngobila Mbaka a mobilisé ses partisans à répondre massivement au vote de tous les candidats du parti en décembre. Il a rappelé aussi que le Président Félix Tshisekedi reste le candidat unique de l’ACP à l’élection présidentielle. Organisée par le Secrétaire Général de l’ACP, Charles Mbutamuntu, cette activité politique a aussi constitué une occasion pour le gouverneur Gentiny Ngobila de parler de ses différentes réalisations depuis son avènement à la tête de la ville de Kinshasa.

Après Ngaba, le Boss de l’Alliance des Congolais progressistes est allé communier avec ses militants de la commune de Kisenso réunis par un autre cadre du parti, Gigal Kasongo Ntumba, candidat aux législatives nationales à Mont Amba et aux provinciales à Kisenso. Là aussi, l’Autorité morale Gentiny Ngobila Mbaka a battu le rappel des troupes en invitant les filles et fils de Kisenso à faire confiance en leur candidat Gigal Kasongo. Il a également mobilisé en faveur de la candidature de Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de décembre 2023.

Par ailleurs, l’Autorité morale de l’ACP, parlant en qualité de gouverneur de Kinshasa, a fait part de son bilan à la tête de la capitale RD-congolaise. Il a cité plusieurs de ses réalisations, notamment la réhabilitation de l’éclairage public dans la ville, la construction du marché central de Kinshasa dont les travaux tendent vers la fin. Le gouverneur Ngobila a évoqué aussi les nombreuses routes construites ou réhabilitées sous son règne. Parmi lesquelles les avenues Elengesa, Kikwit, Mombele, Bongolo, CECOMAF, De la paix, Landu, Birmanie, Asosa, Shaba et d’autres.

Il faut noter qu’aux élections législatives, municipales et locales, l’Alliance des Congolais progressistes a aligné des candidats à tous les échelons.




Sama Lukonde annonce le lancement des travaux de rénovation du chemin de fer Bumba-Buta-Aketi

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a visité la gare centrale de Buta pour booster le lancement des travaux de rénovation du chemin de fer Bumba-Buta-Aketi.

En effet, l’ancien chemin de fer, vieux de près d’un siècle, construit en 1924 n’est plus adapté au passage des trains modernes du fait de l’étroitesse de l’écartement de ses rails qui suivaient le modèle des locomotives de l’époque de 1920.

Signalons, pourtant, que cette gare et ses rails seront gardés comme musée. Après cette visite de la Gare Centrale de Chemin de fer de Buta, le Chef du gouvernement a présidé des réunions avec les sénateurs, les députés nationaux, et les députés provinciaux de cette entité.

Il sied de rappeler que commencer la veille avec la réunion du Conseil provincial de sécurité de la province du Bas-Uélé élargi à d’autres membres, qu’il avait présidée, les activités du Premier Ministre à Buta se sont poursuivies, ce jour, avec cette visite et les différentes réunions qu’il a eues avec les représentants du peuple du Bas-Uélé.

Au regard de l’état des lieux, qui lui avait été présenté et les problèmes soulevés par les autorités de cette province, au nombre desquels figurait la question des infrastructures de transport pour une province à vocation agricole, où se pose le problème d’évacuation des produits, le Premier Ministre, qui avait promis d’y apporter des réponses, a démontré, à travers cette visite de la gare, sa détermination à ne ménager aucun effort quant à ce.

Bouclant sa tournée dans le Haut et le Bas-Uélé, le chef du gouvernement est passé par Kisangani, chef-lieu de la Tshopo pour retourner à Kinshasa, la ca

pitale.




IXes Jeux de la Francophonie: Une délégation de l’OIF à Kinshasa pour l’audit du budget opérationnel

Une délégation de l’Organisation Internationale de la Francophonie est arrivée à Kinshasa la nuit de dimanche 29 octobre 2023 pour l’audit du budget opérationnel alloué à l’organisation des IXes Jeux de la Francophonie du 28 juillet au 6 août dernier.

Conduite par Zeina Mina, Directrice du Comité International des Jeux de la Francophonie, la délégation a été accueillie par le Directeur du Comité national, M. Isidore Kwandja Ngembo.

« Nous sommes en mission après Jeux, je suis accompagné par un commissaire aux comptes de la Direction Générale des Finances Publiques Françaises pour effectuer un audit sur le budget opérationnel des IXes Jeux de la Francophonie », a dit Zeina Mina à la presse.

Répondant à la question sur la gestion du budget des IXes Jeux de la Francophonie, le Directeur du CNJF M. Isidore Kwandja a précisé « qu’il n’y a pas de guerre des chiffres car le budget alloué à l’organisation des Jeux de la Francophonie est connu et qui était adopté par le Comité de Pilotage et le Comité International des Jeux de la Francophonie. C’est ce budget-là qui fait l’objet de cette mission de l’OIF qui va faire la reddition des comptes et voir comment cet argent a été géré ».

Rappelons qu’après la tenue des Jeux, le Comité National travaille actuellement sur la production des rapports et des états financiers et boucler le projet comme le stipule le cahier des charges.




Élections 2023: Denis Kadima rassure la mission de la CEEAC quant au respect des délais constitutionnels

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, s’est entretenu avec une délégation de la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC) conduite par Mangaral Bante, Commissaire aux Affaires politiques, paix et sécurité de cette institution dont le siège est à Libreville, au Gabon.

Le numéro un de la Centrale électorale, accompagné du Rapporteur, Patricia Nseya Mulela, a évoqué avec ses hôtes des avancées enregistrées par le processus électoral qui vont ouvrir la voie aux consultations électorales prévues le 20 décembre 2023.

« Nous sommes une délégation de la CEEAC que je conduis venue rencontrer le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante et son équipe pour nous enquérir de l’état des préparatifs des élections générales qui vont se tenir en République Démocratique du Congo en décembre 2023. Nous sommes entretenus sur les différents aspects de ces préparatifs et le Président Kadima nous a exposé les problèmes que la CENI rencontre au cours de ces préparatifs et nous a également entretenus sur les avancées déjà enregistrées dans ce cadre. Et selon l’exposé que nous avons suivi avec une attention très soutenue, les préparatifs vont bon train et nous a assurés que les délais seront respectés en ce qui concerne la tenue de ces élections », a indiqué Mangaral Bante.

Relevant qu’après l’entrevue que cette délégation a eue au mois de mars 2023 avec la hiérarchie de la CENI, il était indispensable qu’elle revienne pour s’assurer que le processus est bien mené.

« Nous avons déjà effectué une mission préalable au mois de mars dernier, lorsque l’enrôlement des électeurs était encore en cours, mais depuis lors beaucoup d’événements se sont produits. L’enrôlement achevé et aujourd’hui, la CENI est dans une nouvelle phase qui est celle de conduire le processus vers son terme. C’est pourquoi nous sommes revenus sur nos pas pour mettre à jour nos informations et nous assurer que le processus se déroule bien », a-t-il affirmé.




Sécurisation des élections du 20 décembre 2023: L’Inspection générale de la police rassure la CENI de son accompagnement 

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, a échangé avec le Commissaire divisionnaire principal (Inspecteur général de la Police Nationale Congolaise), Philémon Patience Mushid Yav, sur le déroulement du processus électoral en cours.

Le numéro un de la Centrale électorale était accompagné du premier Vice-président, Bienvenu Ilanga Lembow, et du Rapporteur, Patricia Nseya Mulela, au cours de cette entrevue qui a permis au management de la Centrale électorale d’exprimer ses attentes sur la question sécuritaire pour que les élections prévues à la fin de cette année se déroulent en toute quiétude.

À l’issue de l’audience, l’Inspecteur général de la police en a fait la restitution.

« Les élections dans notre pays, c’est une affaire qui intéresse tout le monde. L’équipe de l’Inspection générale de la police constituée ici présente de ma personne et mes deux adjoints, a échangé avec le Président de la CENI et les membres de son bureau. Il nous reste seulement de travailler ensemble jusqu’à la tenue des élections pour que celles-ci se passent très bien dans le pays de sorte que la population congolaise renouvelle ses dirigeants », a indiqué Mushid YAV.

Avant de renchérir : « L’Inspection générale a pour mission l’évaluation de tout ce que fait la police nationale. Raison pour laquelle, nous avons jugé utile de venir à la CENI pour cerner le travail qu’elle attend de la police nationale pour que les scrutins se tiennent en toute sécurité le jour-j. Nous avons besoin que le policier congolais se comporte bien dans l’exécution de sa tâche. Nous voulons aussi planifier une meilleure sécurisation du matériel électoral et du personnel de la CENI ».