La ministre de la Culture, Arts et Patrimoines a discuté avec la délégation Générale du Centre Wallonie Bruxelles sur le Projet de Restitution des biens culturels, la coopération institutionnelle et l’appuis aux artistes.

Selon une dépêche parvenue à notre rédaction, Mme Kathungu Furaha a plaidé pour une « co-création » avec aussi les artistes des provinces, la numérisation de la culture et aide aux femmes culturelles résilientes.

Le nouveau délégué Général du Centre Wallonie Bruxelles David Thonon, accompagné de l’ambassadrice Roxane Bilderling a précisé que au-delà de la Culture, la délégation Générale est une représentation diplomatique. Dès le second semestre de 2024, le Centre Wallonie Bruxelles doit être un lieu de rencontre entre les talents des artistes Belges et Congolais, afin de produire des représentations internationales communes pour des marchés communs. Il va aussi stimuler les arts digitaux en RDC.

Le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, a pris une part active, lundi 16 octobre 2023, au lancement officiel des travaux de reconstruction du bâtiment administratif de la maison communale et d’aménagement de deux espaces publics à la place sainte Thérèse dans la commune de Ndjili. Le go des travaux a été donné par le ministre d’État en charge des Infrastructures et travaux publics, Alexis Gisaro, dans le cadre du projet Kin Elenda, un projet de très grande envergure dont la première phase porte un financement de la Banque mondiale de 500 millions de dollars américains.

Dans son mot de circonstance, le Premier citoyen de la ville de Kinshasa a d’abord rendu hommage au Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, pour sa vision éclairée et sa diplomatie agissante ayant permis de mobiliser des fonds auprès de ces partenaires techniques et financiers, afin de financer ce grand projet au bénéfice de la population kinoise. Pour le gouverneur Gentiny Ngobila, le gouvernement provincial de Kinshasa attend énormément de la mise en œuvre du projet Kin Elenda au regard de sa multisectorialité et aux multiples réponses qu’il est appelé à apporter aux problèmes spécifiques et cruciaux de la population kinoise.

Il a fait savoir que son gouvernement attache une grande importance à la reconstruction de la maison communale de N’Djili car, sa réalisation permettra d’améliorer non seulement les conditions de travail des agents, mais également la fourniture des services au profit de la population. Au total quatre bâtiments sont concernés par les travaux de construction du bâtiment administratif et de l’aménagement de la place publique de la maison communale. Il s’agit de trois bâtiments à construire et un à réhabiliter. Les ouvrages neufs sont : la maison communale avec son enceinte périphérique, le commissariat de police associé à la maison communale et tant d’autres. Pour ce qui est de l’aménagement de la place sainte Thérèse, il est prévu des aménagements paysages ainsi que la construction des équipements de sport.

« Le gouvernement provincial de Kinshasa attend d’autres réalisations dans le cadre du volet gouvernance locale du projet Kin elenda avec la construction d’un bâtiment à Limete pour la DGRK, la construction d’un bâtiment à trois étages dans la concession du gouvernement provincial à Gombe devant abriter quelques services urbains», a fait savoir le gouverneur Ngobila, qui n’a pas manqué de remercier la banque mondiale pour son appui dans la ville de Kinshasa. De l’avis du gouverneur de la ville de Kinshasa, la présence de la banque mondiale témoigne non seulement de son engagement pour le bien-être de tous, mais également de l’intérêt qu’elle manifeste pour le développement de la capitale RD-congolaise. Par ailleurs, il a émis le voeu de voir la réalisation de ces ouvrages qui sont encore pour la plus part au niveau des études. Le premier citoyen de la ville a rassuré de sa conviction que le train de Kin Elenda est désormais en marche et que plus rien ne peut l’arrêter.

Dans son dernier rapport au Conseil de sécurité sur la question du Sahara, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres a, une nouvelle fois, mis à nu les mensonges répétés ad nauseam par l’Algérie au sujet du prétendu référendum.

En effet, M. Guterres a mis en relief, dans ses observations et recommandations, la nécessité d’aboutir à une solution politique mutuellement acceptable sur la base exclusive des résolutions adoptées par le Conseil de sécurité, depuis 2018, dont la résolution 2654 d’octobre 2022.

En outre, toutes les résolutions du Conseil de sécurité et rapports du Secrétaire général, depuis plus de deux décennies, ne font aucune référence au prétendu référendum, mort et enterré et qui n’a d’existence que dans l’imaginaire des adversaires de l’intégrité territoriale du Royaume.

Les résolutions du Conseil de sécurité depuis 2018 appellent à une solution politique, réaliste, pragmatique, durable et de compromis à ce différend régional, auquel l’Algérie est partie principale. Les mêmes résolutions, au même titre que toutes celles qui les ont précédés depuis 2007, consacrent la primauté de l’Initiative marocaine d’autonomie, comme seule solution sérieuse et crédible à ce différend hérité de la Guerre froide.

Les mêmes résolutions consacrent, depuis 2018, le processus des tables rondes avec la participation notamment du Maroc, de l’Algérie et de la Mauritanie, comme cadre unique de mise en œuvre du processus politique exclusivement onusien.

Dans le même sillage, M. Guterres a souligné qu’une solution à ce conflit est possible pourvu que “toutes les parties concernées’’, particulièrement l’Algérie, s’engagent de bonne foi, avec réalisme et dans un esprit de compromis, dans l’effort de facilitation conduit par son Envoyé personnel, Staffan de Mistura, dans la continuité de la dynamique des tables rondes initiée par son prédécesseur.

L’aboutissement à une solution politique négociée est, ainsi, consacré dans ce nouveau rapport du Secrétaire général, comme dans les rapports antérieurs et les résolutions du Conseil de sécurité et ce, depuis une vingtaine d’années, comme la seule voie à même de permettre une solution à ce conflit régional artificiel.

Par ailleurs, le Secrétaire général de l’ONU a souligné que le rôle de l’Algérie demeure crucial pour la réalisation d’une solution politique à la question du Sahara.

Tout en réitérant l’expression de sa “préoccupation face à la détérioration des relations entre le Maroc et l’Algérie”, M. Guterres a renouvelé ses appels pour un “retour à la normalité dans les relations entre les deux pays en vue de créer un climat favorable à la paix”.

Le lien direct établi au plus haut niveau de l’ONU entre la quête d’une solution politique, juste, durable et mutuellement acceptable et la détérioration des relations entre le Maroc et l’Algérie, démontre, encore une fois, si besoin est, la responsabilité de l’Algérie dans la pérennisation de ce conflit régional.

En effet, l’Algérie ne peut se dérober de ses responsabilités politiques, historiques et morales, dans non seulement la création, ex nihilo, de ce conflit, mais également dans sa pérennisation par le blocage des efforts onusiens visant une solution politique et par la multiplication des actes unilatéraux haineux et belliqueux ayant provoqué une détérioration délibérée des relations entre les deux pays frères.

Les activités et toute initiative de convocation de la plénière sont suspendues jusqu’à nouvel ordre à l’Assemblée provinciale de Kinshasa.
La décision a été prise le lundi 16 Octobre par le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et sécurité, Me Peter Kazadi.

Dans un télégramme envoyé au président de l’APK, au gouverneur de la ville de Kinshasa et à son adjoint, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur justifie sa décision au regard de la situation de crise qui prévaut au sein de l’Assemblée provinciale de Kinshasa.

Entre-temps, les protagonistes à savoir Godé Mpoyi, Gentiny Ngobila, Gérard Mulumba et tous les membres du bureau de l’Assemblée provinciale de Kinshasa sont convoqués ce mardi à une réunion au cabinet de Peter Kazadi pour consultation.

Signalons qu’une plénière pour élire le remplaçant de Godé Mpoyi devrait avoir lieu ce mardi à l’APK malgré l’annulation de la destitution du président de l’organe délibérant de Kinshasa par la Cour d’Appel de Kinshasa.

Derick Katola

Déterminé à faire monter en puissance les forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), le  Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a décidé du renforcement de l’armée nationale. C’est ainsi qu’à partir du mois de  novembre 2023,  des nouvelles brigades structurées, organisées et bien dotées seront  sur terrain. L’annonce, au nom du Commandant suprême des FARDC et de la Police nationale congolaise (PNC), a été faite lundi 16 octobre 2023 au camp Colonel Kokolo à Kinshasa, par le chef d’Etat-major général des FARDC, Christian Tshiwewe au cours d’une causerie morale des FARDC.

Selon le Chef d’Etat-major général des FARDC Christian Tshiwewe, “la montée en puissance n’est pas un rêve. A partir du mois prochain, des brigades vont sortir. Des brigades structurées, organisées et puis bien dotées. Je pèse bien mes mots. Je pense que ces unités-là lorsqu’elles arriveront, elles nous donneront un nouveau souffle et puis je vous demande, vous anciens militaires de les accepter et de bien les accueillir”, a-t-il déclaré.

A l’appel de mobilisation du chef de l’État contre l’agression du pays, plus de 40 000 volontaires, des jeunes congolais, ont récemment rejoint des FARDC et ont été formés  au centre d’instruction de Kitona, dans le Kongo Central, au camp Bahuma, dans la province de la Tshopo et au centre de Kalemie, dans le Tanganyika.

Bien que formés dans différents centres d’instructions, le chef d’Etat-major des FARDC a saisi l’occasion au cours de cette parade militaire, pour rappeler que l’armée n’obéit  qu’à un seul  Chef des armées,  le président de la République constitutionnellement reconnu comme le commandant suprême des FARDC et de la police nationale congolaise.

“Nous n’avons qu’un seul chef. C’est par-là que je mets en garde les rêveurs. Ils pensent qu’ils vont donner des ordres à l’armée. Oh, nous sommes en contact avec les généraux. Toi tu penses que les généraux qui sont ici sont distraits ? Chacun fait sa vie. Moi-même tel que je suis là j’ai une famille au-delà de l’armée je dois la protéger. Toi tu penses qu’un général se permettra d’entrer dans une aventure parce que toi, tu as parlé. Qui es-tu ? Si tu as ta rébellion vas-y, tu vas nous croiser sur ton chemin et nous allons nous battre, puis vous ne resterez pas. C’est un rêve. Il n’est pas interdit de rêver. De rêver debout”, a-il-prévenu.

Ces rappels semblent faire écho à la sortie médiatique d’un  certain général déserteur-fugitif sous le poids des poursuites judiciaires. D’après le Chef de l’armée congolaise, ce dernier est en train de rêver avec ses menaces.

Le Chef d’Etat-major général des FARDC Christian Tshiwewe a invité les FARDC à demeurer unies pour faire la force devant leur permettre de remplir pleinement et en toute responsabilité leur mission.

Pour chuter dans son message, le Général a félicité le comportement respectueux de ses éléments en ce qui concerne le chapitre des violences sexuelles où zéro cas n’a été répertorié ces derniers temps. Mais aussi, il a clarifié les missions qui sont celles de FARDC et de la garde républicaine.

Willy Makumi Motosia

M.Désiré M’Zinga Birihanze, ministre national de l’Entrepreneuriat, des petites et moyennes entreprises, estime que PADMPME a abattu un grand travail. Il a fait cette déclaration à l’issue de la première journée de sa mission consacrée à l’évaluation des résultats du PADMPME auprès de ses bénéficiaires de la ville de Goma.

Le ministre de l’EPME s’attache ainsi à palper du doigt les réalisations des PME encadrées par PADMPME. La première journée, ce lundi 16 octobre, Désiré M’Zinga a tour à tour foulé les installations de SIMPLE, entreprise de recyclage des pneus en meubles, Ets Furaha opérant dans la minoterie et fabrication d’aliments pour bétails et poissons, les ateliers de confection de vêtement sur mesure LesMags et la Charcuterie moderne du Kivu (Chamoki), la boulangerie Cicy Bakery et le restaurant MBM.

A Simple for a second life, le ministre a reçu les explications de Wivine Kanyere, la jeune entrepreneure promotrice de cette PME. Grâce au PADMPME, elle a pu formaliser son entreprise, la structurer, renforcer son investissement en acquérant des équipements dont un engin motorisé et un four à haute température et des machines complexes, générant au passage 5 emplois couverts par des contrats à durée indéterminée.

Les établissements Furaha, alignée dans la catégorie PME établies du COPA (Concours des plans d’affaires), ont investi dans les équipements de minoterie pour la production des aliments pour bétails et poissons. Ce projet subventionné par PADMPME a également acquis des pompes pour les bassins piscicoles et l’instauration d’une chaîne de valeurs dans l’agro-transformation, avec à la clé seize emplois créés.

A LesMags SARLU, boutique et ateliers de confection des vêtements sur le boulevard Kanyamuhanga, le patron de l’entrepreneuriat s’est fait expliquer le processus d’accompagnement reçu du gouvernement via le PADMPME et ses impacts notamment sur la création d’emplois, l’amélioration du chiffre d’affaires et la professionnalisation des métiers au sein de cette entreprise mitoyenne de la célèbre Charcuterie moderne du Kivu. Difficile pour le ministre de ne pas faire escale chez CHAMOKI, quoique non prévue. Son attention a été retenue par les chambres froides modernes, les équipements de boucherie et charcuterie, jusqu’aux couteaux et emballages à viande achetés avec les fonds reçus du COPA. Le patron de Chamoki, du haut de ses 47 ans de métier dans la ville, a encore remercié le gouvernement et la Banque mondiale pour l’initiative COPA PADMPME, « sans pareille », à ses yeux. Il a émis le vœu de voir le pays recouvrer la sécurité dans les territoires insécurisés par les groupes armés pour lui permettre de mieux réaliser son projet d’approvisionner tout le territoire national en produits de charcuterie à partir du Nord-Kivu.

Le cortège de Désiré M’Zinga s’est ébranlé vers Cicy Bakery boulangerie tenue par Madame Cynthia Lusenge. Cette jeune entrepreneure a initié son entreprise de production de pain grâce au COPA Jeunes avec des investissements conséquents en équipements et un renforcement des capacités entrepreneuriales.

L’agenda du jour a été bouclé par une visite au restaurant MBM, promu par Léa Kabinda, une autre jeune entrepreneure qui, avec l’aide du gouvernement, a pu créer 6 emplois stabilisés en matérialisant ce qui n’était qu’une simple idée d’affaires lorsque le COPA a été annoncé.

A chaque étape, Désiré M’Zinga s’est montré sensible aux doléances des entrepreneurs. Si tous se montrent reconnaissants au gouvernement pour les appuis dans le cadre du PADMPME, laplupart ont dénoncé des tracasseries administratives et fiscales orchestrées par certains services de l’Etat. Le ministre a promis d’initier des démarches pour impliquer tous les ministères à la résolution de ces défis et ainsi accompagner au mieux les entrepreneurs mis sur orbite par l’action du gouvernement. Il a de ce fait instruit, séance tenante, le Chef de division de l’EPMEA du Nord-Kivu pour accorder la meilleure attention aux entreprises et les soustraire aux services tracassiers.

A travers cette visite, le ministre a pu capter par lui-même les réalisations du gouvernement dans la tâche confiée à l’Unité de coordination du PADMPME, bien au-delà rapports documentaires de bureau. Il a ainsi exprimé sa satisfaction en décernant la plus grande côte au projet placé sous son autorité, frôlant le maximum.

Arrivé de Kinshasa samedi 14 octobre, le ministre de l’entrepreneuriat, des petites et moyennes entreprises, s’est dit satisfait des réalisations du PADMPME à Goma. Il avait inauguré sa mission dans la région le soir même par une rencontre décontractée avec les PME appuyées par PADMPME.

Le Président élu de l’ANAPECO, David Steve Diatezwa a regretté les démarches parlementaires entreprises par le député national Willy Bolio, connu pour sa lutte contre la gratuité de l’enseignement, à l’encontre du ministre Tony Mwaba Kazadi

L’ANAPECO fait remarquer entre-autres ce qui suit :

1. Il n’y a jamais eu deuxième session ou recours de l’Examen d’Etat
2. L’ ANAPECO rappelle que la loi reconnaît au seul l’Etat l’organisation du système éducatif dont les épreuves certificatives telles que l’ Exétat
3. L’ ANAPECO regrette les propos déplacés du député national et déplore la stigmatisation des balubas en citant nommément le président de la République, Félix Tshisekedi et le Ministre de l’EPST, Tony Mwaba Kazadi
4. L’ANAPECO interdit à l’honorable Bolio d’user abusivement de son statut de 1er vice-président de l’ANAPECO pour mener ses projets politiques
5. L’ANAPECO rappelle qu’elle est et reste apolitique, laïque et surtout une FORCE parentale de PROPOSITION et pas d’OPPOSITION
6. L’ANAPECO demande, de tout ce qui précède, aux parents d’élèves de n’accorder aucun crédit aux propos du député Willy Bolio.
7. Seuls les organes attitrés de l’ANAPECO peuvent l’engager auprès de l’opinion et des tiers

Des nouvelles hostilités ont éclaté, depuis 2h de ce dimanche 15 octobre 2023, entre les terroristes du M23 et la coalition des groupes d’autodéfense, dans la chefferie de Bwito en territoire de Rutshuru au Nord-Kivu.

À en croire les sources jointes par les médias locaux, les jeunes résistants patriotes ont réussi à reprendre le contrôle des villages de Kavenu et Tabi situés près de Bwiza dans le groupement de Tongo. Ces attaques armées mettent en péril la sécurité des populations locales.

Suite aux détonations d’armes lourdes et légères, les populations civiles sont vraiment obligées d’abandonner leurs villages et se dirigent vers les milieux jugés sécurisés. Cependant, la situation humanitaire de ces déplacés se détériore de plus en plus. Selon Ocha, au regard du regain des violences au Nord-Kivu entre les groupes d’autodéfense et le M23, plus de 84.700 personnes ont été contraintes de prendre les larges.

Toutefois, «un plan opérationnel a été élaboré pour guider une stratégie de réponse inter-agences qui prévoit, pendant une période de trois mois renouvelables, une aide d’urgence multisectorielle aux communautés touchées par la crise, avec une attention particulière aux groupes les plus vulnérables», renseigne la coordination des affaires humanitaires de l’ONU en RDC.

Jean-Luc Lukanda

Le gouverneur de la province du Kasaï, Dieudonné Pieme a procédé le samedi 14 octobre par la rémission du bâton de commandement au général Sylvano Kasongo.

Dieudonné Pieme a remis officiellement le bâton de commandement au nouveau commissaire divisionnaire de la Police Nationale Congolaise (PNC) Kasaï, le Général Sylvano Kasongo Kitenge, le samedi 14 octobre 2023 à Tshikapa.

La cérémonie s’est déroulée au bâtiment administratif du gouvernorat du Kasaï en présence de toutes les autorités poltico-administratives.

Dans son adresse, le premier citoyen de la province du Kasaï a invité le général Sylvano Kasongo de travailler selon la volonté du chef de l’État et du peuple congolais.

Nommé depuis le mois de juillet dernier par ordonnance présidentielle, le général Sylvano Kasongo a passé plus de 7 ans à la tête de la Police nationale congolaise dans la ville de Kinshasa où il est remplacé par le général Blaise Kilimbalimba.

Après avoir passé plusieurs mois à l’extérieur du pays, Sylvano Kasongo, prends son bâton de commandement et remplace à ce poste le général Dieudonné Ondimba qui est affecté à Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga.

Jean-Luc Lukanda