Lentement, mais surement, l’on s’approche vers les élections générales du 20 décembre 2023. Des acteurs politiques, à l’instar de Joas Kasimba se démarquent et obtiennent l’adhésion de la population congolaise en générale, et de la population de Kyavinyonge en particulier. Une population marquée tant par des actes aussi bien politiques que philanthropiques sur le terrain.

Les faits deviennent de plus en plus probables dans la province du Nord-Kivu. L’acteur politique Jonas Kasimba ne cesse de récolter l’adhésion de plusieurs couches de la population de cette partie du territoire depuis qu’il a commencé à poser des actes aussi bien politiques que philanthropiques sur le terrain.

L’Autorité morale de l’Alliance des Congolais pour la Défense des Intérêts du Peuple (ACDIP) est de plus en plus considéré comme une nouveauté à déguster à tout surtout au regard des échos positifs qui gagnent toute la région.

Les simples emblèmes de son parti politique récoltent de la consistance, indicateur prouvant la dimension régionale, si pas nationale, que prend cette formation politique et de surcroît son dirigeant Jonas Kasimba. Le dernier exemple en date est celui de Kyavinyonge, dans le territoire de Beni où le lundi 9 octobre 2023, sans tambours ni trompettes, la méthode de bouche à oreille a conquis toute la localité.

Il était question de présenter brièvement la vision de celui qu’ils appellent affectueusement  l’étoile de Dieu. Une foule non négligeable a imploré l’entrepreneur afin que celui-ci puisse penser créer une activité génératrice des revenus, laquelle profitera certainement à plusieurs familles qui broient du noir au regard de la situation socio-économique difficile de l’heure.

Longtemps resté regardant mais sans être actif dans la vie politique, il s’est finalement lancé activement dans ce monde qu’il a longtemps côtoyé.

Ce politologue compte travailler activement pour la défense et la sauvegarde des intérêts du peuple congolais. Une volonté intériorisée par plusieurs congolais non seulement du territoire de Beni mais de toute la province du Nord-Kivu et ses environs.

Bravo Zulu

A une semaine  du démarrage à  Londres du Forum Grande Bretagne- République Démocratique du Congo sur la transition énergétique et les investissements, le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya a échangé ce lundi à Kinshasa avec la diplomate britannique accréditée en Rdc, Alyson King O.B.E.

Au menu de cet entretien, la mise en place des stratégies communes pour  attirer davantage les investisseurs britanniques à  l’issue de ce forum d’affaires qui partira du 16 au 20 octobre prochain de venir s’installer dans les Zones Economiques Spéciales en République Démocratique du Congo et bénéficier ainsi des avantages fiscaux, parafiscaux et douaniers qu’offrent celles-ci.

En marge de ce forum économique avec comme thème : ” Partenariat du commerce  et d’investissement pour les échanges bénéfiques et des minéraux stratégiques”, auquel prendront part les opérateurs économiques congolais et britanniques ainsi que les officiels de ces deux pays, une table-ronde sera au rendez-vous.

Le ministre de l’Industrie a demandé à cette  occasion à son hôte d’aller plaider pour l’accroissement des investissements britanniques dans l’espace de l’Afrique francophone qui offre d’énormes opportunités

« C’était une discussion, avant la participation du ministre et de moi-même au forum pour promouvoir les investissements en Afrique francophone, de l’Ouest et au Centre de l’Afrique qui aura lieu à Londres la semaine prochaine. C’était pour moi une opportunité de discuter des possibilités qui existent ici pour les investisseurs britanniques », a précisé la diplomate britannique accréditée en Rdc, Alyson King O.B.E.

Et de poursuivre que le ministre a parlé de trois révolutions : agricole, industrielle et des infrastructures. Il y a beaucoup de possibilités pour les sociétés britanniques. La chose la plus importante, c’est de communiquer avec les sociétés britanniques pour savoir quels sont leurs défis, leurs priorités, quelles sont les barrières qui restent pour un partenariat ? Je crois que les efforts déjà entrepris pour attirer les investisseurs, cela doit continuer.

Placée sous le thème : “Unis pour la confiance, collaborer pour un avenir sûr et connecté”, la journée mondiale de la Poste, célébrée le 09 octobre de chaque année, n’est pas passée inaperçue en RDC.

A cette occasion, une cérémonie commémorative a été organisée au siège de la Société Congolaise des Postes et Télécommunications (SCPT) à Kinshasa, lundi 09 octobre 2023. Cérémonie à laquelle ont pris part le Ministre des PTNTIC, la Directrice Générale de la SCPT, le Secrétaire général aux PTNTIC, le Président de l’Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications etc…

Dans son mot, le patron des PTNTIC Augustin Kibassa Maliba a d’abord «salué la mémoire des hommes et des femmes qui ont cru au métier de postier, qui nous ont quittés en nous léguant ces infrastructures après des loyaux services rendus à la nation dans la distribution des courriers et des colis à travers le pays».

Il a par ailleurs invité la jeunesse congolaise à reprendre le goût de la lecture et de l’écrit, se projeter dans la culture épistolaire et de la philatélie qui sont la richesse de la diversité des services postaux.

La Confédération Africaine de Football (” CAF “) et l’équipementier sportif PUMA, ont conclu un accord qui fait de PUMA le partenaire technique de la CAF pour plusieurs événements organisés par la Confédération Africaine de Football, dont la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies, Côte d’Ivoire 2023.

L’accord débutera le 1er novembre 2023 et PUMA fournira le ballon officiel des tournois CAF, ainsi que l’équipement des arbitres et procédera à des campagnes de marketing, à l’intérieur comme l’extérieur du stade.

La CAF et PUMA dévoileront le ballon officiel de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies, Côte d’Ivoire 2023 lors du tirage au sort de la CAN qui aura lieu le jeudi 12 octobre à 19H00 GMT, à Abidjan.

Dr Patrice Motsepe, le président de la CAF, a déclaré : “Nous sommes ravis que PUMA, l’un des plus grands équipementiers sportifs au monde, s’associe à la CAF pour développer et accroître le football en Afrique.

Johan Kuhlo, directeur général de la distribution EEMEA chez PUMA, a déclaré :”La passion pour le football est profonde en Afrique et PUMA a adopté une approche unique et créative dans ses partenariats avec les équipes africaines au fil des années. Notre accord avec la CAF célèbre cette passion pour le sport à travers le continent et nous développerons ensemble des produits spécifiquement dédiés pour le football africain.”

L’attrait du football africain s’étend bien au-delà du continent, avec une forte audience sur des marchés majeurs tels que le Royaume-Uni, la France et les États-Unis.

PUMA

PUMA est l’une des plus grandes marques de sport au monde. Elle conçoit, développe, vend et commercialise des chaussures, des vêtements et des accessoires. Depuis 75 ans, PUMA manifeste son intérêt pour le sport et la culture en créant des produits adaptés aux plus grands athlètes de la planète.

PUMA propose des produits qui lient performance et style de vie inspirés par l’univers sportif, tels que le football, la course à pied et l’entraînement, le basket-ball, le golf ou encore les sports mécaniques. PUMA collabore avec des designers et des marques de renom pour intégrer les influences sportives dans la culture de la rue et la mode. Le groupe PUMA possède les marques PUMA, Cobra Golf et stichd. L’entreprise distribue ses produits dans plus de 120 pays, emploie environ 20 000 personnes dans le monde et son siège social se situe à Herzogenaurach, en Allemagne.

Incapable d’afficher les listes électorales fabriquées dans les officines de l’Union Sacrée, la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) vient d’avouer son inaptitude. Elle viole la loi électorale en improvisant un dispositif tout à fait inattendu pour la consultation des listes des électeurs congolais (Communiqué de presse n°050/CENI/2023).

La CASE rappelle que la CENI ne dispose pas d’une liste électorale fiable et qu’elle se contente de quelques fragments d’électeurs collectés manuellement dans la plus grande opacité. Plusieurs congolais ne se retrouvent pas sur ces listes torsadées. Les observateurs nationaux et internationaux ont toujours demandé d’évaluer cet outil de gestion des élections sans jamais l’obtenir. Les audits sollicités ou planifiés n’ont jamais été acceptés par crainte de voir la vérité de l’incompétence technique éclater au grand jour.

La CASE s’étonne de constater que les acteurs politiques respectés se soient dédits en souscrivant à un processus électoral bancal, irraisonné et susceptible de nuire à la démocratie.

L’attitude irresponsable du gouvernement congolais qui pousse à la tenue bouleversante des élections, le comportement cascadeur de la CENI qui joue un rôle tortueux dans ce processus et le forcing politique assumé à travers les déclarations du Président Félix Tshisekedi offrent un décor sulfureux au processus électoral. Ce processus sera drôlement maléfique.

Pour la première fois, ce lundi 9 octobre, Veron Mosengo-Omba, le secrétaire général de la CAF s’est réuni avec les membres de la zone Afrique de l’Association internationale de la presse sportive présidée par le journaliste sénégalais Abdoulaye Thiam.

Cette rencontre a été marquée par la prise de parole, Véron Mosengo-Omba, le secrétaire général appelant à plus d’union entre les deux organes. “Le football n’appartient pas qu’à la CAF mais à nous tous. Nous sommes condamnés à travailler ensemble” a lancé d’entrée Monsieur Veron Mosengo-Omba.

Au menu des discussions : l’organisation médiatique de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies, Côte d’Ivoire 2023, dont les demandes d’accréditation pour le tirage au sort de la phase finale de ladite compétition ont atteint plus de 2 500 requêtes.

Le secrétaire général a profité de cette occasion pour mettre en place le programme Jeunes Reporters, lancé en parallèle du championnat scolaire de la CAF. “Le football véhicule de nombreuses valeurs, tout le monde ne devient pas footballeur professionnel. C’est le rôle de la CAF d’accompagner nos jeunes vers d’autres opportunités et en ayant comme leitmotiv : la reconnaissance du panafricanisme auprès de cette jeunesse.”

Élu président de l’AIPS Afrique en février dernier, le Sénégalais Abdoulaye Thiam, s’est également exprimé lors de cette réunion où il a mis les projets de formations proposées par l’agence mais aussi appeler à une visibilité des atouts africains lors des Congrès internationaux de l’AIPS : “Nous nous devons défendre au mieux notre continent dans les plus grandes instances internationales.”

L’homme de média a également appelé à une plus grande collaboration d’ordre logistique avec la CAF. Même de son de cloche pour le Secrétaire général de la CAF : “Le sérieux, en matière de communication de l’AIPS n’est plus à prouver. Lors de notre prochaine rencontre, nous serons plus à même de concrétiser nos projets et idées”.

La République démocratique du Congo est représentée, à la septante-quatrième (74ème) Session du Comité exécutif du Programme du Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (HCR), par le Vice-Premier ministre ayant en charge l’Intérieur, la Sécurité et Affaires coutumières, Me Peter Kazadi Kankonde. Cette grande réunion s’est ouverte ce lundi 09 octobre 2023 à Genève, en Suisse.

Dans son intervention, le patron de la territoriale en Rdc a fait savoir combien le monde est de plus en plus frappé par la crise de l’afflux de millions des réfugiés dans le monde. Afin de faire face à cette situation, Me Peter Kazadi Kankonde a souligné l’urgence de trouver des « grands remèdes », en investissant dans la recherche des solutions durables et l’inclusion au profit des réfugiés.

Le Vice-premier ministre congolais a martelé sur ce point, car, a-t-il dit, cette question des réfugiés a « un impact négatif », notamment sur les économies des pays.

« Aux grands maux, les grands remèdes, dit-on, il est donc impérieux de sortir de cette situation, en investissant dans la recherche des solutions durables et l’inclusion en faveur de ces personnes déracinées », a-t-il lancé.

Il a même déclaré que la République démocratique du Congo est « déterminée à redynamiser les accords tripartites conclus avec le Haut-Commissariat des Nations-Unies aux Réfugiés et les pays qui ont accueilli ses ressortissants afin de faciliter leur retour volontaire dans la sécurité et la dignité ».

C’est dans ce cadre que, a-t-il dit, « le processus a été déclenché particulièrement avec le Rwanda, par la tenue d’une réunion ministérielle à Genève, le 15 mai 2023 et une tripartite technique des experts, à Nairobi, les 26 et 27 juin dernier au cours de laquelle une feuille de route a été adoptée par les deux parties concernées (…) ».

La 74ème Session du Comité exécutif du Programme du HCR se tient jusqu’au 13 prochain.

Le Rapporteur de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Patricia Nseya s’est exprimée ce lundi 09 octobre 2023, un jour après la fermeture du Bureau de Réception et Traitement des Candidatures (BRTC) pour la présidentielle.

“Le BRTC pour la présidentielle avait ouvert ses portes le 9 septembre et les a hermétiquement fermées hier dimanche le 08 octobre. 49 formulaires ont été retirés par les mandataires des candidats dont 39 pour indépendants et 10 pour les Regroupements et Partis politiques. La CENI  a ainsi réceptionné les dossiers de 24 candidats dont une femme,  18 indépendants et 6 pour les Regroupements et Partis politiques”, a-t-elle signifié.

Et le Porte-parole de poursuivre : “Après la clôture, commence la période de retrait et de substitution, qui ira du 09 jusqu’au 13 octobre, soit 5 jours”.

Voilà comment se présentent les statistiques des candidats à la présidentielle prévue mercredi 20 décembre 2023.

Selon Patricia Nseya, la Plénière de la CENI se réunira dans les prochains jours pour la délibération avant de publier la liste provisoire. C’est la Cour constitutionnelle qui étudiera à son tour chaque dossier avant de publier la liste définitive.

Après plusieurs mois d’attente, la Confédération africaine de football (CAF) a enfin désigné le pays hôte du prochain Championnat d’Afrique des nations (CHAN) 2024.

Sous réserve d’une confirmation officielle de sa part, l’instance africaine a visiblement décidé d’attribuer l’organisation de la huitième édition du CHAN au Kenya, déjà choisi le 27 septembre passé pour abriter la CAN 2027 conjointement avec l’Ouganda et la Tanzanie. C’est du moins l’information indiquée dans un communiqué sanctionnant le Conseil des ministres kényans qui s’est réuni lundi 9 octobre 2023.

« En plus de la CAN 2027, le Kenya a également été sélectionné pour accueillir le Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) en septembre 2024 », peut-on lire dans la note officielle qui révèle en outre que le pays s’est vu confier « le Championnat des moins de 18 ans de la CECAFA en novembre 2023 et le Championnat de la région CECAFA de la CAN des moins de 15 ans (football scolaire panafricain) en décembre 2023 ». Les éliminatoires du CHAN devraient donc bientôt pouvoir débuter…

La CAF n’a pas encore confirmé. Mais cette razzia prend la forme d’un pied de nez au son passé hanté du Kenya, alors que le pays est-africain s’est vu ôter l’organisation du CHAN 2018, et plus anciennement celle de la CAN 1996 qu’il avait toutes deux remportées grâce à la majorité des votes, et ce au motif que plusieurs sites n’étaient pas prêts.

Revanchard, l’Exécutif a cette fois décidé de battre le fer pendant qu’il est chaud en donnant son feu vert pour la construction et la rénovation des sites d’accueil de la CAN 2027. « Dans le but d’élever le Kenya au rang de puissance sportive, le Conseil des ministres a approuvé plusieurs projets de construction et de rénovation d’installations destinées à accueillir la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2027. Le plan ambitieux comprend la construction du complexe sportif Talanta de Nairobi et d’importantes rénovations du stade national Nyayo, du centre sportif international Moi – Kasarani, et du stade Kipchoge Keino », a développé le gouvernement.