*Le Parti du Travail de Corée, inspirateur des victoires* 

«Vive le Parti du Travail de Corée (PTC), organisateur et inspirateur de toute victoire du Peuple coréen!», tel est le mot d’ordre qui inspire le Peuple de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

• Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une Guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier

• Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR)

en célébration du 78ème anniversaire de la fondation du PTC.

 

Pendant ces plus de 70 dernières années, le PTC a conduit, à la victoire, la Révolution et le développement du Pays sous la bannière du Juché (idéologie directrice éternelle créée par KIM IL SUNG en 1930, NDLR);

 

• Après la Libération, le PTC a dirigé, avec clairvoyance, son Peuple, édifié une Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme ou frais avec le soleil brillant», désignée sous le nom des «fleuves et montagnes brodés dans la soie» ou de la «Nation orientale du décorum», et fière de sa Civilisation de 5.000 ans dont plusieurs étaient voués à l’invasion des Pays étrangers comme les USA, le Japon etc., tous convoiteux de la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, de la spécificité géopolitique et du paysage éblouissant de la Péninsule coréenne, NDLR) nouvelle et démocratique en liquidant le retard et la misère séculaires, legs de la domination coloniale de l’impérialisme du Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR), et remporté une brillante victoire au cours des 3 ans de l’âpre Guerre 1950-1953 contre les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution № 3390B 18/11/1975 de l’Assemblée Générale de l’ONU mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon à travers la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR).

• Sous la direction du grand PTC, le Peuple a achevé, dans un court laps de temps, la reconstruction de l’après-Guerre, réussi l’industrialisation socialiste et imprimé un grand essor révolutionnaire dans l’édification du socialisme, transformant, ainsi, le Pays en un Etat socialiste politico-économiquement indépendant et capable de se défendre par soi-même.

• La direction du PTC a permis de remporter les victoires successives dans la dure lutte pour sauvegarder le socialisme dans les années 1990 (où le socialisme a échoué dans certains Pays et, les impérialistes et les réactionnaires en arguaient pour prétendre que le socialisme a cessé d’être) en déjouant les manœuvres des forces impérialistes coalisées contre la RPDC et le socialisme, et de s’assurer un tremplin solide pour la prospérité de la Patrie et le bonheur du Peuple.

 

Ces dernières années, si la RPDC a obtenu, malgré les difficultés et épreuves les plus terribles, une grande victoire qui brillerait à jamais dans les annales de la Patrie et ouvert une époque nouvelle, celle de la prospérité, jamais vue dans l’histoire nationale 5 fois millénaire, c’est entièrement redevable à la direction clairvoyante du PTC. L’aspect de la Corée socialiste pleine de dynamisme et marquée de changements raffermit le Peuple dans sa conviction que;

 

• c’est dans le dessein et la décision du PTC où résident la science et la victoire

• l’avenir radieux de la Patrie et de la Nation ne sera assuré que sous la direction du PTC.

 

Dans son Discours prononcé lors de la parade et du défilé civil de Pyongyang marquant le 70ème anniversaire (1945-2015) de la fondation du PTC, KIM JONG UN a déclaré:

 

• La véritable physionomie du PTC se retrouve dans celle de la Patrie qu’il a embellie et dans celle du Peuple toujours débordant de bonheur.

• Il n’y a pas d’être plus précieux que le Peuple, fondement du Pays, ni d’intérêts plus sacrés que ceux du Peuple.

• Notre PTC considérera le sentiment du Peuple qui le suit sincèrement comme la 1ère ressource de la Révolution et, au nom de notre Peuple courageux, intelligent et beau, anticipera un avenir radieux, en se frayant un chemin à travers les broussailles, en portant tous les fardeaux sur son dos.

 

Aujourd’hui, le PTC mène, à une bonne issue, les efforts déployés pour le développement et la prospérité globaux du socialisme, en canalisant, au maximum, la force morale des masses populaires grâce à sa direction avisée. Tout le Peuple de la RPDC;

 

• présente ses plus grands respects et une gloire suprême aux éminents Généralissimes KIM IL SUNG (1912-1994) et KIM JONG IL (1942-2011), fondateur et bâtisseurs du PTC

• enregistre les succès éclatants dans l’édification d’une Puissance socialiste, étroitement uni autour de KIM JONG UN.

 

Ce 10 octobre marque le 78ème anniversaire de la création du PTC de la plus longue histoire du monde comme parti au pouvoir.

 

【source】Sylvère BOSWA ISEKOMBE (1966- ; appelé, communément, Lion au Cœur Rouge depuis 2018, NDLR);

 

• Secrétaire Général (№ 1) du Parti Communiste Congolais (PCCo) de la République Démocratique du Congo

• Coordinateur sous-régional pour l’Afrique Centrale du Conseil Mondial de la Paix (CMP créé en 1950 avec son siège à Athènes, Grèce)




Présidentielle 2023 : fini le dépôt des candidatures: Figures emblématiques et potentialités des candidats 

Conformément au calendrier électoral de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), l’opération de dépôt des candidatures pour la présidentielle de Décembre 2023 s’est clôturée dimanche 8 octobre 2023. En tout, la CENI a réceptionné 24 dossiers et, les candidats qui le souhaitent ont une semaine pour retirer leurs dossiers de candidature ou désigner un remplaçant. Bien que tous aient une même chance de victoire, il y a des éléments que l’on doit mettre en avance pour sonder les chances de succès des uns et des autres. Surtout qu’en Afrique, les élections se font le plus souvent sur des bases sociologiques, des critères ethno-tribalo-linguistiques.

De ces 24 candidats, il y a ceux dont les candidatures étaient plus ou moins attendues et qui sont considérés comme des grandes figures du monde politique congolais, à l’instar de deux challengers de la dernière présidentielle, Félix-Antoine Tshisekedi et Martin Fayulu Madidi ainsi que l’ancien gouverneur du Katanga Moïse Katumbi Chapwe. Dans ce ‘chapeau’, il faudra aussi inclure deux anciens Premiers ministres sous Joseph Kabila à savoir Augustin Matata Ponyo Mapon et Adolphe Muzito ainsi que le célébrissime médecin, prix Nobel de la paix Denis Mukwege. Si beaucoup d’observateurs estiment que le Président sortant, Félix Tshisekedi part avec les faveurs de pronostics étant donné qu’en Afrique « on n’organise pas les élections pour les perdre », avait dit en son temps un ancien chef de l’Etat africain. Toutefois, certains estiment aussi que défendre le bilan pour un président sortant, n’a pas toujours été un avantage même si il a l’expérience du ‘métier’. Les autres concurrents ont plus à tirer sur son bilan et proposer comme programme ce qui peut sembler être la correction de son action à la tête du pays. Les élections peuvent transformer en vote sanction.

Martin Fayulu, qui, durant toute la mandature passée, se disait ‘président élu’, doit faire face aux critiques sur ce qui est considéré comme sa versatilité notamment sur le dépôt de sa candidature et celles des Lamuka ainsi que de son parti aux législatives et autres élections provinciales et municipales. La sympathie seule ne suffit pas mais avoir aussi la majorité au Parlement est nécessaire pour la victoire.

Denis Mukwege semble être le plus sérieux challenger du président sortant. Ses nombreuses distinctions, dont le Prix Nobel en 2018 et le Prix Sakharov en 2014 lui auréole de gloire particulièrement dans la communauté internationale. Comme souvent, les élections africaines sont aussi influées par l’attitude des grands du monde, ce médecin a toutes ses chances. Cet atout a aussi son revers, être présenté comme le candidat de l’étranger mais une expérience professionnelle de plus de 40ans dans le Congo profond.

Quant aux deux Premiers ministres de Kabila, Matata Ponyon et Adolphe Muzitu, leurs bilans élogieux à la Primature, particulièrement la stabilisation du dollar et l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (IPPTE) qui a conduit à l’effacement de la dette de la RDC jouent à leurs faveurs. Mais l’ombre du ‘kabilisme’ et des menaces judiciaires ne jouent pas nécessairement en leurs faveurs. Il en est de même du patron de TP Mazembe, Moïse Katumbi qui a particulièrement excellé dans le domaine sportif mais dont les origines constituent son talon d’Achilles.

 

Autres figures emblématiques

 

Il n’y a pas que ces grands comme figures emblématiques. Il importe de citer également Noël Tshiani, Seth Kikuni, Théodore Ngoy et Marie- Josée Ifoku qui reviennent encore à la course après leurs tentatives infructueuses de 2018. Ils ont une expérience des campagnes électorales et peuvent surprendre.

C’est ici l’occasion de revenir particulièrement sur la candidature de Marie Josée Ifoku. En 2023, Marie Josée Ifoku se présente comme unique femme à avoir postulé deux fois de suites pour la présidence de la République démocratique du Congo. Lors du dépôt de sa candidature, l’ex-gouverneure de la province de la Tshuapa a affirmé ne pas venir chasser un homme mais « éradiquer un système » : Le système de prédation instauré dans le bassin du Congo depuis 1885. Cela par une idéologie politique : ‘la Kombolisation’ qui mène à la « Renaissance du nouveau Congo ». Elle vient nettoyer le Congo du système de prédation instauré depuis Berlin en 1885 et qui est perpétué par ses dirigeants jusqu’à ces jours réduisant le Congo et ses fils en simples proies.

Seul candidat avec un programme clair, une vision qui se décline en 7 points, Ifoku à toutes ses chances. Toutefois, elle doit faire face aux pesanteurs culturelles, particulièrement celle d’imaginer la RDC être diriger par une femme alors n’a pas encore eu un premier ministre femme.

Sur la liste des figures emblématiques, il importe de parler également des ex-opposants au régime Kabila à savoir Delly Sesanga et Franck Diongo. Deux anciens gouverneurs de province de l’Equateurs à savoir Tony Bolamba et Jean-Claude Baende. Très connus dans cette partie de la République et les élections africaines étant généralement ethno-tribalo-linguistique, ils auront à se partager des voix dans cette partie du pays.

Candidats-surprises ainsi que d’anciens des régimes Mobutu et Laurent-Désiré Kabila

Il y a d’autres compétiteurs qui tentent leur chance de se retrouver à la magistrature suprême de la Rdc. Il s’agot des Pasteurs Radjabho Tebabho Soborabo et Abraham Ngalasi ainsi que Constant Mutamba et Justin Mudekereza. L’activiste Floribert Anzuluni, l’ex-footballeur Patrice Mwamba et l’entrepreneur André Masalu font également partie des ‘invités surprises’ de cette élection. Il faut noter également la présence de Georges Buse Falay, ancien Directeur de cabinet du président Laurent-Désiré Kabila et l’homme d’affaires et acteur politique Nkema Liloo Bokonzi Loli, ancien Conseiller en matière de sécurité du Maréchal Mobutu. Nkema Liloo inscrit sa démarche pour un retour à l’ordre, à la justice et à l’instauration de l’autorité de l’Etat. En attendant les élections le 20 décembre 2023, les regards sont désormais fixés sur la Cour suprême pour les listes définitives.

 

Willy Makumi Motosia




Rdc: Des étudiants de l’UNIKIN, ISTA et UPN participent à la 8eme édition du programme de formation Seeds For The Future de Huawei

La société des technologies de l’information et de la communication Huawei RDC a honoré de nouveau son engagement ce dimanche 8 Octobre 2023 dans la salle majesté du Congo de l’hôtel Hilton à Kinshasa pour la 8ème édition de son programme de formation pour jeunes étudiants « Seeds for the Future ».

Cette cérémonie de lancement a été marquée par quelques discours, de la direction de Huawei RDC, du ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de L’information et de La Communication (PTNTIC) et du ministre conseiller de l’ambassade de Chine en RDC.

La 8eme édition du programme Seeds for the future, du 09 au 16 Octobre, 2023 sera marquée avec la participation de 27 étudiants venus de l’UNIKIN, l’ISTA et l’UPN. À la fin de l’année 2022, plus de 12 mille étudiants de 137 pays ont pris part au programme Seeds For The Future visant à former les talents techniques à travers le monde en vue de servir le développement de TIC de chaque pays.

Le Directeur Général Adjoint de Huawei RDC, Monsieur Bowen Zhang a martelé l’objectif poursuivi par la société au travers de ce programme, qui est également l’un des programmes phares de sa responsabilité sociétale.

« En RDC, pour la RDC, Huawei continuera à se concentrer sur l’industrie des TIC, en collaboration avec le gouvernement et les clients du métier pour l’objectif de bâtir un écosystème sain et durable. Avec nos efforts, je crois fermement qu’en RDC, le TIC serait un moteur pour booster le développement durable de l’économie, de la société et de l’environnement. »

Il sied de noter que dans son engagement et de la nature de l’investissement en RDC, la cybersécurité et la protection de la vie privée sont les priorités absolues de Huawei, et l’engagement de Huawei en matière de cybersécurité ne sera jamais dépassé par ses intérêts commerciaux. La société reste engagée dans l’innovation technologique et la collaboration avec les parties prenantes de l’industrie, afin d’améliorer conjointement les capacités des infrastructures du TIC avec une cybersécurité rassurante.

Les encouragements du ministères des PTNTIC

Le ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de L’information et de La Communication (PTNTIC) de la République Démocratique du Congo, représenté par le Conseiller en charge des infrastructures, M. Paterne Kadiat, a réitéré la vision du chef de l’Etat accompagné par Huawei.

Durant son allocution, M. Kadiat a encouragé les participants de prendre cette formation au sérieux « nous sommes en déficit de techniciens et de compétences en ce qui concerne les TIC. Nous espérons que grâce à ce partenariat avec Huawei, que le nombre de participants dans les prochaines éditions de passer de 27 à 50 afin de combler le manque de compétence dans le domaine. »

Après avoir salué les relations bilatérales et d’amitié de la RDC avec la Chine, le ministre conseiller de l’ambassade de Chine en RDC, M. Wang Hailong a souligné que cette sélection illustre le talent de chaque participant ainsi que la qualité de travail démontré.

« Nous espérons que cette formation permettra de développer encore d’avantage les compétences et renforcer votre maitrise dans le domaine du TIC. » « L’ambassade de Chine en RDC sera toujours à coté et prêt à accompagner votre développement personnel »

La 8eme édition sera axée sur un certain nombre de thèmes qui permettront aux étudiants sélectionnés à accéder aux connaissances de pointe de TIC tel que 5G, Intelligence Artificielle, Big Data, cybersécurité etc.

JMNK




Couverture santé universelle et maternité gratuite: Patrick Muyaya et Roger Kamba rassurent sur la disponibilité du budget

Partant du fait que la santé doit être un droit pour tout le monde, il est une réalité selon laquelle l’accès à ce droit exige des moyens conséquents. Si un droit doit dépendre des moyens, ce qu’il est devenu un privilège. Et dans sa vision, le chef de l’Etat ne veut pas que la santé soit un privilège. C’est dans cette optique qu’il veut donner la possibilité pour chaque congolais d’accéder aux soins de santé de qualité et qui ne ruinent pas ses finances. Au même moment, il est constaté que sur 1000 femmes qui accouchent, 880 décèdent. Tous les 35 nouveaux nés, il y a 1 qui décédé. Comme cela impacte notre espérance de vie et notre développement, le chef de l’Etat a décidé de s’occuper du problème de la mère et des enfants.

Le ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe et le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, Docteur Samuel Roger Kamba Mulamba ont co-animé ce lundi 09 octobre 2023 un briefing presse autour de la « Mise en œuvre de la Couverture Santé Universelle par le Gouvernement ».

Prenant la parole, le Docteur Samuel Roger Kamba a expliqué le choix de la Couverture Santé Universelle et son incidence sur le développement de la population.

Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a fait savoir qu’à travers la Couverture Santé Universelle, les soins sont accessibles et de qualité et couvrent tout le monde. D’où, il ne faut pas en profiter pour se ruiner volontairement afin d’y accéder.

“Je rappelle que le Président de la République l’a fait d’emblée dès qu’il a commencé son mandat. Je me rappelle dans son premier discours, il a parlé de la Couverture Maladie Universelle et la Couverture Santé Universelle. Le Président de la République n’est pas venu se rendre compte qu’il y a un problème, il a préparé dès le départ la réponse à cette question très importante de la santé. Deuxième chose, quand on dit comment ça va, on parle de la santé. Donc la santé doit être un droit pour tout le monde. Si un droit dépend des moyens financiers qu’on dispose, c’est devenu un privilège. Ce que le Chef de l’État veut, c’est que la santé ne soit plus un privilège, ça doit être un droit”, a-t-il souligné.

Le Docteur Samuel Roger Kamba a dans la foulée, précisé que la Couverture Santé Universelle n’est pas un choix que le gouvernement a fait, mais plutôt une obligation. “On ne peut pas se développer sans la Couverture Santé Universelle”, a-t-il souligné.

Le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a en outre révélé le choix de commencer avec la phase de la gratuité de la maternité.

“La RDC a une expérience de vie inférieure à la moyenne des pays africains. Quand un congolais né, on sait qu’il vivra moins longtemps que les autres africains. Ce sont les nouveau-nés qui meurent particulièrement tôt et les mamans qui accouchent. Sur 100.000 mamans qui accouchent, 480 décèdent en RDC. Et tous les 35 nouveau-nés qui arrivent, il y a 1 qui décède. C’est un gros problème de santé publique. Comme ça impacte l’espérance de vie, le Président de la République a décidé qu’on commence par là et qui impacte notre développement, c’est la catégorie mère-enfant”, a-t-il expliqué.

Prenant la parole à son tour, le ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe a abordé dans le même sens que son collègue de la santé saluant la vision du Président Félix Tshisekedi qui a mis l’homme au centre de l’action à travers notamment la santé.

“Couverture Santé Universelle pour nous gouvernement, c’est de permettre à chaque congolais d’avoir accès aux soins de santé de qualité et à bas prix”, a-t-il dit.

JMNK




Assemblée nationale: Les députés examinent le projet de loi relatif aux Bureaux d’information sur le crédit  

Les députés nationaux se sont retrouvés, cet après-midi du lundi 9 octobre 2023, dirigée par le professeur André Mbata Betukumesu Mangu, 1er vice-président de l’Assemblée nationale.

Elle était essentiellement consacrée au projet de loi relatif aux Bureaux d’information sur le crédit (BIC). Présenté par la Vice-ministre des Finances, Oneige N’sele Mimpa, le projet vient ainsi parachever les réformes entamées dans le secteur des finances publiques.

“Nous savons que l’accès aux crédits est une composante essentielle du développement économique et de la création d’emplois, en raison de la corrélation qui existe entre le développement des systèmes financiers et la croissance économique, il est aussi important de souligner que l’octroi de crédit était basé essentiellement sur la connaissance que le prêteur a de l’emprunteur. Au premier niveau, cette connaissance couvre les exigences d’identification du demandeur du crédit. Cette identification est devenue une étape importante dans l’établissement de la relation tant dans l’intérêt du prêteur que dans l’intérêt du système bancaire dans son ensemble, au regard des normes en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Au deuxième niveau, la connaissance de l’emprunteur, de sa capacité à rembourser les crédits empruntés.

La capacité de remboursement est fonction de plusieurs éléments dont l’historique d’anciens crédits, les crédits en force ou de l’existence de tout élément, actuel ou futur, susceptible d’influencer positivement ou négativement la capacité financière de l’emprunteur telle qu’une garantie. Il est question pour le prêteur de se prémunir contre le risque de défaut de remboursement et, en la liquidation des biens, contre le risque d’insolvabilité du débiteur. C’est dans ce cadre le ministère des Finances et la Banque Centrale du Congo ont travaillé sur le projet de loi relatif aux Bureaux d’information sur le crédit, qui participe à la réduction de l’asymétrie d’informations entre le prêteur et l’emprunteur en vue de pallier le rationnement de crédit , le long délai de traitement de demande de crédit, les intérêts exorbitants, le surendettement asphyxiant et le ratio de portefeuille à risque élevé”, a déclaré la vice-ministre des Finances

Les Bureaux d’information sur le crédit (BIC) sont donc une société commerciale agréée par la Banque Centrale du Congo, laquelle effectue à titre professionnel habituel la collecte, la compilation, le stockage, le traitement des données et d’informations aussi des sources publiques et des fournisseurs, la diffusion des données et la mise à disposition à des utilisateurs des rapports de solvabilité ainsi que d’autres services à ajouter, conformément à un accord signé entre les parties.

Ce projet de loi a pour objet , a ajouté Mme Oneige N’Sele, de fixer les modalités de constitution, d’agrément, d’administration, d’exercice d’activités, de contrôle et de supervision des Bureaux d’information sur le crédit en République démocratique du Congo, et ce conformément à l’article 202 point 36 (a) de la Constitution du 18 février 2006 telle modifiée à ce jour.

Dans le debat général sur ce projet de loi, les députés nationaux ont fait observer que cette matière relève de la réglementation. C’est pour ainsi dire que le gouvernement peut agir de manière réglementaire sur cette matière.

Au finish, la vice-ministre des Finances a sollicité et obtenu 72 heures pour rencontrer les préoccupations de la représentation nationale.




Béni: 9 bandits présentés à la presse par la Police 

Neuf présumés bandits ont été présentés à la presse ce lundi 9 octobre dans la ville de Beni. La police les accuse d’être parmi ceux qui troublent la ville. Le Maire intérimaire promet de poursuivre ces présumés criminels jusque devant les instances judiciaires afin de décourager les autres camouflés dans la population.

Parmi ces neuf, la police indique avoir identifié des voleurs des motos, des receleurs et des voleurs mains armées qui opèrent nuitamment à Beni.

Ces présumés criminels ont été présentés à l’autorité urbaine et à la presse. Commissaire supérieur principal Nyofondo Te Kodale Jacob, Maire de la ville de Beni, promet de poursuivre en justice ceux qui sont accusés de mener de troubles sécuritaires dans sa juridiction.

” Je vais poursuivre de près. Cette fois-ci je serai derrière eux. Je ne laisserai pas tous ces gens-là parce qu’ils sont en train de déranger la population inutilement “, a déclaré l’autorité urbaine.

Rappelons que la criminalité urbaine caractérisée par le banditisme nocturne a refait surface en ville de Beni depuis un bout de temps. Les communes de Mulekera et Bungulu semblent être les plus visées ces derniers jours.

Derick Katola




Sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi, le Maroc a entrepris des réformes “ambitieuses et volontaristes” (M. Akhannouch)

Au cours des vingt dernières années, le Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a entrepris des réformes “ambitieuses et volontaristes”, a affirmé, lundi à Marrakech, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch.

Ces réformes “ont jeté les bases d’une transformation profonde et durable de notre économie et ont permis au Royaume de consolider sa résilience et de préserver ses équilibres macroéconomiques”, a-t-il précisé à l’occasion du lancement du livre “Le Maroc en quête d’une croissance plus forte et plus inclusive”, dans le cadre des Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale (BM) et du Fonds Monétaire International (FMI).

M. Akhannouch a relevé que cet ouvrage, publié par le FMI, illustre bien la volonté du Royaume d’atteindre des objectifs ambitieux en matière de développement économique et social, soulignant que “le Maroc se tient à un carrefour déterminant de son histoire”.

“Ce moment charnière évoque une période d’introspection dont nous tenons à tirer pleinement profit. A cet égard, nous nous employons à mettre en œuvre la vision stratégique clairvoyante initiée par Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, qui spécifie les ambitions, les objectifs de développement et les leviers de changement de nature à libérer les énergies et à accélérer la marche de notre pays vers le progrès et la prospérité”, a-t-il dit.

“Nous sommes résolus à construire une société solidaire et juste. Ainsi, en application des Hautes Orientations Royales, nous avons lancé, à partir de 2021, une série de réformes pour renforcer la cohésion institutionnelle et les systèmes de protection sociale”, a insisté M. Akhannouch.

Il a mis en exergue, à cet égard, l’importance accordée au renforcement du système de santé, à l’amélioration de la qualité du système éducatif et à la valorisation de la recherche scientifique et de l’innovation, estimant nécessaire que la croissance soit inclusive, mais également durable et respectueuse de l’environnement.

M. Akhannouch a rappelé, dans ce sens, que le Royaume, qui est précurseur en matière de développement des énergies renouvelables, aspire à tripler sa capacité installée en énergie éolienne et solaire, tout en cherchant à se positionner comme acteur clé du secteur de l’hydrogène vert.

Le Chef du gouvernement a fait observer, par ailleurs, que la tenue de ces Assemblées à Marrakech témoigne de “la forte résilience” du Royaume face aux crises multiples, expliquant que des mesures d’urgence, d’ordre logistique et humanitaire, ont été mises en place, en application des Hautes Directives de Sa Majesté le Roi, immédiatement après la survenue, le 8 septembre dernier, du séisme d’Al Haouz.

De manière urgente, a-t-il poursuivi, la reconstruction et le développement économique et social des zones sinistrées sont structurés au sein d’un programme ambitieux, volontariste et intégré qui vise à reconstruire les habitations endommagées, à réhabiliter les infrastructures, à désenclaver les territoires, à résorber les déficits sociaux et à promouvoir l’activité économique locale.




La gestion rapide et efficace des effets du séisme et “la solidarité inégalée” des Marocains sont “la meilleure preuve de l’avenir brillant du Maroc” (DG du FMI)

La gestion rapide et efficace des effets du séisme d’Al Haouz et la “solidarité inégalée” des Marocains, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, sont “la meilleure preuve de l’avenir brillant du Maroc”, a affirmé la Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva, lundi à Marrakech, à l’occasion du début des travaux des Assemblées générales du FMI et de la Banque mondiale.

“Nous avons été de tout cœur avec vous le 8 septembre lorsque, tard dans la soirée, un séisme s’est produit. Nous sommes de tout cœur avec les familles, et nous sommes convaincus que la solidarité du peuple marocain est inégalée”, a souligné Mme Georgieva, lors de l’événement de lancement du livre “Le Maroc en quête d’une croissance plus forte et plus inclusive”, élaboré par le FMI.

“Beaucoup a été fait pour se relever rapidement du séisme”, a reconnu la DG du FMI, lors de cet événement, en présence notamment du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, du président du Groupe de la Banque mondiale, Ajay Banga, et de plusieurs autres personnalités marocaines et étrangères, ajoutant qu’”à travers cet élan de solidarité, le Maroc donne une véritable leçon au monde entier”.

Dans un témoignage éloquent de l’ampleur des résultats concluants des efforts des autorités marocaines pour faire face aux effets du tremblement de terre, Mme Georgieva a indiqué qu’elle a visité plus tôt dans la matinée, en compagnie de la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah, des écoles dans les zones sinistrées.

“A peine un mois après le séisme, tous les enfants ont repris le chemin de l’école”, s’est-elle félicitée.

“Certains ont été transférés dans des écoles qui n’ont pas été touchées, d’autres dans des bâtiments provisoires, ou dans des tentes, mais tous ont repris les cours”, a-t-elle témoigné, soulignant que “leur sourire et enthousiasme sont pour moi la meilleure preuve de l’avenir brillant du Maroc”.

Il y a aussi beaucoup de preuves dans le livre “Le Maroc en quête d’une croissance plus forte et plus inclusive”, car le Royaume a entrepris de vastes réformes et le résultat est évident, a-t-elle ajouté, citant une économie dynamique, une forte capacité d’exportation, un secteur touristique vital, une jeunesse instruite et une volonté de diversification qui font partie des ambitions pour porter la croissance à un niveau encore plus élevé.

Et de poursuivre que le revenu par habitant a doublé au cours de cette courte période, depuis le début de ces réformes.

Évoquant les perspectives d’avenir pour l’économie marocaine, Mme Georgieva s’est dite convaincue que la reconstruction post-séisme va insuffler une nouvelle dynamique à l’économie du pays.

“Le Maroc est le porte-voix du continent africain. Un 21è siècle prospère ne pourra être possible sans une Afrique prospère”, a-t-elle dit.

Et de recommander que “le meilleur hommage à ceux qui ont perdu leur vie (dans le séisme) est de bien reconstruire et de construire pour les enfants en priorité”.

La Directrice générale du FMI a conclu en soulignant que le livre “Le Maroc en quête d’une croissance plus forte et plus inclusive” n’est pas seulement pertinent pour le Royaume, mais pour tout pays qui a l’ambition de parvenir à une croissance durable.




Assemblées annuelles BM/FMI : Entretiens entre M. Akhannouch et le président du Groupe de la BM

Le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a eu, lundi à Marrakech, des entretiens avec le président du Groupe de la Banque Mondiale (BM), Ajay Banga.

Cette entrevue, qui intervient en marge des Assemblées annuelles du Groupe de la BM et du Fonds monétaire international (FMI), s’est déroulée en présence notamment de la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah.

M. Banga prend part, aux côtés d’une importante délégation de la BM et du FMI, à ces Assemblées annuelles dont les travaux ont débuté, lundi à la cité ocre, avec la participation du gotha mondial de l’économie et de la finance, afin d’examiner les principaux enjeux liés aux politiques de financement, à la croissance économique et aux changements climatiq

ues.




Début à Marrakech des travaux des Assemblées annuelles BM-FMI

Les travaux des Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale (BM) et du Fonds Monétaire International (FMI) ont débuté, lundi à Marrakech, avec la participation de l’élite économique et financière mondiale pour débattre des grands enjeux liés notamment aux politiques de financement, à la croissance économique et au changement climatique.

Cet événement planétaire, qui revient en terre africaine 50 ans après, offre l’occasion aux décideurs économiques et financiers de prendre connaissance de près des avancées réalisées et des progrès accomplis par le Maroc sous le leadership éclairé de SM le Roi Mohammed VI dans divers domaines.

Signe fort de la confiance des institutions de Bretton Woods en la résilience du Royaume, sous la conduite clairvoyante de Sa Majesté le Roi, la tenue de cette grand-messe dans la cité ocre permettra aussi de jeter la lumière sur les chantiers majeurs lancés par le Maroc tels que la généralisation de la protection sociale et la reconstruction des régions affectées par le séisme d’Al Haouz.

Ce rendez-vous incontournable, qui réunit les ministres des Finances et les gouverneurs des Banques centrales de 190 pays, constitue également l’occasion de faire entendre la voix de l’Afrique et des pays du Sud, mais aussi de mettre en avant l’engagement immuable du Maroc vis-à-vis des pays africains, grâce à la Vision Royale de la coopération Sud-Sud.

Le gotha financier et bancaire mondial aura ainsi l’opportunité de mieux aborder, approcher et soulever les problèmes et challenges que les pays du Sud se doivent de relever, particulièrement ceux de l’Afrique.

Marrakech vibrera donc, une semaine durant, au rythme de réunions auxquelles prendront part plus de 12.000 participants venus des quatre coins du monde, dont environ 4.500 représentants des 190 délégations officielles conduites par les ministres des Finances et les gouverneurs des Banques centrales.

Au menu de ces Assemblées annuelles BM/FMI, figurent notamment la présentation des rapports portant sur les perspectives de l’économie mondiale ainsi que des side-events pour discuter de plusieurs questions relatives notamment à la crise énergétique, aux défis climatiques, à la migration, à la coopération internationale, à la relance post-Covid et à la fragmentation politique et économique au niveau mondial.

Pour abriter cet événement international, le Maroc a déployé un important dispositif avec une mobilisation tous azimuts, afin de garantir la réussite de ces Assemblées, confirmant ainsi sa vocation de terre d’accueil des manifestations de renommée mondiale.