Willy Carlos adhère à AREP de Guy Loando  

Le parti politique AREP, cher à Me Guy Loando Mboyo, est ravi d’annoncer l’adhésion de Carlos Mpete Willy dans ses rangs. Cette nouvelle adhésion est une preuve supplémentaire de la dynamique grandissante qui anime AREP et de sa capacité à intégrer des hommes et des femmes de qualité.

Willy Carlos Mpete est une ressource de poids à la grande famille “colibris” d’AREP. Sa décision de rejoindre notre parti témoigne de sa confiance en notre vision et de son désir de contribuer activement à la construction d’une République plus forte et plus prospère.

Son adhésion a eu lieu en présence de Me Guy Loando Mboyo, initiateur du parti, Jean-Claude Kabongo, président d’honneur du parti, Pascal Nkanga, Secrétaire général et Jean-René Boongi, Directeur de cabinet du Président national.

AREP se prépare activement pour les élections de décembre 2023, et l’arrivée de Willy Carlos Mpete renforce notre détermination à aller à la conquête des électeurs avec des idées novatrices et une équipe solide. « Nous sommes convaincus que son expertise et son engagement seront des atouts précieux dans cette démarche. Nous invitons la population à suivre de près les développements au sein d’AREP alors que nous continuons à travailler ardemment pour un avenir meilleur pour la République démocratique du Congo », indique une dépêche de la Cellule de communication de l’AREP.

Pour rappel, Agissons pour la République (AREP) est un parti politique congolais dirigé par Me Guy Loando Mboyo. AREP s’engage à promouvoir la démocratie, la justice sociale et le développement économique en République démocratique du Congo.




Poursuivant ses visites d’inspection Christelle Muabilu à la découverte de l’Agence de l’OCC/Maluku

Depuis un certain temps, le Directeur général adjoint de l’Office Congolais de Contrôle (OCC), Mme Christelle Muabilu a décidé d’abandonner son bureau climatisé de la Tour Administrative de cet office à la Gombe pour un travail sur terrain.


Après les visites d’Inspection qu’elle venait d’effectuer dans certains Départements centraux et certains agences telles que l’agence du Beach et de l’Aéro-Kin ainsi qu’à la Direction Provinciale de Kinshasa « DIRKIN », la Première femme de l’OCC a effectué une descente ce mardi 03 octobre à l’Agence de Maluku.
A son arrivée, Mme le Directeur général adjoint a été accueilli par le staff de l’agence composée du chef d’agence Omer Kapita, de son adjoint Danny Kabamba, du Chef de service administratif et financier Mbama et de la responsable du service exploitation, Mme Marie Ingeli.
Après le mot de bienvenue, le Chef d’agence a fait une brève présentation de l’agence de Maluku, qui est rattachée à la Direction Provinciale de Kinshasa (DIRKIN). M. Kapita a expliqué que le champ d’action de son agence s’étend sur deux communes : à savoir la Commune de la N’Sele et celle de Maluku à partir de la limite de l’Aéroport de Ndjili. L’agence est spécialisée dans l’inspection de bois à l’exportation. Il y a lieu de signaler que cette agence est accréditée depuis six ans en inspection de bois rondins et sciages avivés.
Pour Mme le Directeur général adjoint qui visitait cette agence pour la première fois depuis sa nomination à l’Office Congolais de Contrôle, c’était une occasion pour elle de s’imprégner des réalités dans lesquelles les agents et cadres de cette entité sont entrain de travailler et surtout des spécificités de cette agence.


La N° 2 de l’office a profité de l’occasion pour visiter le nouveau bâtiment Administratif de l’agence en construction et qui sera inauguré incessamment. La DGA de l’OCC a également visité le poste de Kinkole où s’effectue le contrôle qualité de différentes types des bois à l’exportation.
Une visite de l’Industrie Forestière du Congo située à Kinkole a clôturé la visite de Mme le Directeur général adjoint à Maluku. Dans son chemin de retour, Christelle Muabilu et sa suite ont fait un crochet technique à l’Agence de l’Aéro-Kinshasa pour se rendre compte de certaines directives qu’elle avait assignées à la direction de l’agence lors de son dernier passage.




Selon CREFDL : « La reddition des comptes démontre que le budget 2022 n’a pas permis de résorber le chômage et de réduire la pauvreté »

« Reddition des comptes 2022 : Constations citoyennes sur la gouvernance budgétaire », c’est le thème d’un rapport qui a été publié par le Centre de recherche en finances publiques et développement local (CREFDL). Celui-ci a effectué, du 26 septembre au 3 octobre 2023, l’analyse du projet de Loi portant reddition des comptes du budget du pouvoir central exercice 2022. Ce travail citoyen a démontré des nombreuses faiblesses de gouvernance des finances publiques en République démocratique du Congo, malgré des réformes amorcées depuis 2009.

A l’instar de la Cour des Comptes, CREFDL a relevé que la chaîne de la dépense publique ne fonctionne plus. Le ministre des Finances a actionné le compte général du Trésor, durant l’exercice budgétaire 2022, par des simples lettres, sans l’émission des Ordres de paiement informatisé (OPI). Ce qui constitue une violation du Manuel révisé des procédures et du circuit de la dépense publique adopté en 2010.

Cette situation a entrainé l’utilisation de 2,9 milliards $ sans autorisation préalable du Parlement ; Le décaissement à la Banque centrale du Congo de 1,3 milliard $ en procédure d’urgence ; Le déficit budgétaire enregistré de l’ordre de 1,1 milliard de dollar, alors que la Cour des Comptes l’évalue à 1,6 milliard $.

D’autres mauvaises pratiques sont aussi à signaler. Il s’agit du paiement sans certification préalable de la Direction Générale de la Dette Publique (DGDP) de 21 créances évaluées à 5 millions $ et 162 dossiers de la dette intérieure d’un montant de 94 millions $ l’ont été en procédure d’urgence; Le salaire du Président de la République a connu un paiement de 14,2 millions $ sur les prévisions annuelles de 152 112,67 USD, soit un taux d’exécution de 9.366,03% ; Décaissement irrégulier de 8,3 millions $ au profit de Rawbank au titre d’investissements ; Absence de traçabilité d’un décaissement de la BAD évalué à 34 millions $ en faveur du projet d’opérationnalisation de la Zone économique spéciale de Maluku ; Pas de renseignement sur les emplois rémunérés à la base du dépassement de 900 millions $.

Même si les crédits d’investissement ont connu un paiement de 3,9 milliards $, le rapport du ministère des Finances ne renseigne pas le nombre d’infrastructures construites/réhabilités, dont les écoles, les kilomètres de routes, les centres santé, (…) ; Pas de rapport explicatif des dépassements budgétaires enregistrés pendant l’exercice 2022 ; Déficit de contrôle dans le circuit budgétaire ; Fonds transférés en provinces et ETD ; 80% de fonds transférés par le Trésor public ont été utilisés par les gouverneurs et les Assemblées provinciales. Un montant de 41,4 millions $ décaissés reste non retracer ; Sur 26 provinces, seule la ville de Kinshasa n’a pas payé aux communes la rétrocession reçue du Trésor public. L’enveloppe est évaluée à 20,8 millions $ ; Les provinces et ETD à vocations minières sont les seules à avoir bénéficiées de plus de moyens financiers ; Non activation d’un crédit de la caisse nationale de péréquation et les crédits d’investissements payés aux ETD pauvres sont restés insignifiants.

Ainsi, la reddition des comptes démontre que le budget 2022 n’a pas permis de résorber le chômage et de réduire la pauvreté. L’injustice sociale et les mauvaises pratiques de gouvernance se sont d’avantages renforcées. CREFDL recommande au Gouvernement le respect de la Loi des finances de l’année, du circuit de la dépense publique et du pacte de stabilité monétaire pour répondre aux priorités de la population. La réactivation de la fonction du contrôle à priorité avec les contrôleurs budgétaires devrait être une priorité du Gouvernement.

La persistance de l’injustice sociale

Après analyse du projet de Loi portant reddition des comptes exercice 2022 en cours d’examen à l’Assemblée nationale, le Centre de Recherche en Finances Publiques et Développement Locale déplore la persistance de l’injustice sociale. « La violation intempestive de la Loi relative aux finances publiques a porté un coup dur au développement du Pays. Plusieurs dépenses publiques échappent au circuit budgétaire informatisé pour respecter les quatre phases, dont l’engagement, la liquidation, l’ordonnancement et le paiement. D’après la Cour des Comptes, le ministre des Finances a actionné le compte général du Trésor par des simples correspondances adressées au Gouverneur de la Banque Centrale du Congo », indique le rapport.

Cela étant, le budget de la RDC n’a pas permis de répondre aux besoins primaires de la population. Il est resté à 80% un budget de consommation. L’absence d’un rapport explicatif sur les dépassements budgétaires au niveau des dépenses d’investissements, paiement de la dette publique et les rémunérations a jeté un discrédit sur la sincérité des chiffres présentés par le ministère des Finances dans la reddition des comptes.

Ainsi, la rationalisation de la dépense publique à travers la réduction de la taille éléphantesque du gouvernement, le basculement au budget-programme doivent être une priorité du nouveau gouvernement pour rendre les finances publiques au service de la lutte contre la pauvreté.

Cela implique le respect de la Loi des finances de l’année, du circuit de la dépense publique et du pacte de stabilité monétaire pour répondre aux priorités de la population.




Haut Katanga : Tshisekedi inaugure l’usine de la société du Terril de Lubumbashi 

C’est l’arrivée du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo qui a marqué le début de la cérémonie d’inauguration de l’usine hydro métallurgique de la société congolaise de traitement de Terril de Lubumbashi.

Cette Inauguration signe, selon le président du Conseil d’administration de la Gécamines et de la STL, le retour des activités métallurgiques dans le Haut-Katanga.

Guy Robert Lukama a affirmé que cette usine moderne et 100% congolaise va permettre à la STL d’assurer la pérennité de son outil de production pour les 32 prochaines années et à la Gécamines et à la RDC de se repositionner comme acteurs majeurs de la production mondiale des minerais stratégiques.

Bien avant, c’est le Directeur général de cette entreprise étatique placide Nkala Basadilua qui, a dans son mot de circonstance, assuré que la nouvelle usine hydro métallurgique balise le chemin de la reconquête de la souveraineté économique et minière de la RDC. La Gécamines va désormais jouer un rôle en faveur du développement économique, industriel et social de la RDC à travers la STL.

Après cette série des mots, le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi a procédé à la coupure du ruban symbolique marquant ainsi l’inauguration de cette usine hydro métallurgique. Le chef de l’état avait à ses côtés la ministre nationale des Mines Antoinette Samba Kalambayi, le Gouverneur du Haut-Katanga Jacques Kyabula Katwe et plusieurs autorités politico-administratives.

Soulignons que cette usine hydro métallurgique de la STL fonctionne tous les jours 24 heures sur 24. Elle emploie 420 personnes dont 1 seul expatrié, avec un chiffre d’affaires de plus ou moins 100 millions de dollars américains. Elle produit annuellement 3500 tonnes de cobalt, 15000 tonnes de zinc, 3600 tonnes de Cuivre, 24 tonnes de Germanium avec une projection de produire annuellement des tonnes d’argent.

La construction de cette usine renforce le développement des conditions sociales avec l’octroi des nouveaux emplois, ce qui matérialise la vision de chef de l’état Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo cette d’améliorer le social de la population. Vision matérialisée en province par le Gouverneur Jacques Kyabula Katwe.

Roger Ngandu wa Mitaba




Présentés par la vice-ministre des Finances : Deux projets de loi déclarés recevables au Sénat

La session de septembre au Sénat amorce sa vitesse de croisière. Pour preuve, ce mercredi 4 octobre, sous la conduite du président Modeste Bahati, la vice-ministre des Finances, Oneige Nsele, a présenté deux projets de loi.

L’un portant ratification de l’Ordonnance-loi du 11 septembre 2023 relative à l’endettement public, et l’autre portant ratification de l’Ordonnance-loi du 7 septembre 2023 modifiant et complétant la loi du 12 février 2015 relative au crédit-bail.

Après la présentation, la plénière a, par un vote, déclaré recevables les deux projets de lois.

Le premier vice-président de la Chambre haute, Eddy Mundela Kanku, a ensuite pris le relais de la police de débats, le président Modeste Bahati étant allé répondre à d’autres urgences. D’autres points inscrits à l’ordre du jour ont été abordés au cours de la plénière. Il s’agit notamment de la présentation de trois questions orales avec débat dont celle du sénateur Célestin Vunabandi faisant respectivement appel au ministre des Affaires sociales et actions humanitaires et à celle des Mines à venir s’expliquer devant la Chambre haute du Parlement. Le premier doit s’expliquer sur la problématique de l’aide aux déplacés ayant fui les affrontements entre RDF et le M23, tandis que la ministre des Mines aura à s’expliquer sur le gel des gisements et la prise en compte des intérêts des populations riveraines dans les projets miniers.

La sénatrice Mwando Katempa Christine a, quant à elle, initié une question orale ciblant le DG de l’Office Congolais de Contrôle. L’élue de Tanganyka soutient dans sa question orale que la RDC est devenue une poubelle accueillant tous les aliments, médicaments et autres produits importés ou fabriqués localement, y compris ceux dont la qualité est douteuse. Pour la sénatrice, beaucoup de ces produits seraient non seulement avariés ou de mauvaise qualité, mais aussi et surtout nuisibles à la santé de la population.

Après la présentation de ces 3 questions orales proposées par leurs collègues, la plénière les a jugées recevables. Le bureau du Sénat aura donc le devoir d’inviter les deux ministres concernés ainsi que le mandataire de l’OCC, pour qu’ils viennent répondre aux préoccupations des élus des élus.




La face cachée de la pédopornographie en chiffres

Lori Cohen de PACT (Protect All Children from Trafficking) a déclaré à la mi-septembre à une commission du Congrès que les États-Unis représentaient 30 % de toutes les adresses Web consacrées à la pédopornographie. Les Pays-Bas ont hébergé le plus grand nombre d’adresses Web pédopornographiques entre 2016 et 2022, mais ont fermé ces sites, laissant les États-Unis à la première place.

Lori Cohen a témoigné devant la sous-commission sur la criminalité et la surveillance du gouvernement fédéral. Le motif : « Les enfants ne sont pas à vendre : examiner la menace de l’exploitation des enfants aux États-Unis et à l’étranger » fait état de l’augmentation de la pédopornographie aux États-Unis, du trafic sexuel d’enfants et de la façon dont les entreprises de réseaux sociaux jouent un rôle important dans le problème.

Un rapport de 2022 estime que quelque 3 millions d’enfants sont victimes de criminalité dans le monde. Avec l’augmentation de la migration par le Covid-19, a déclaré Lori Cohen, et en 2022, la police frontalière américaine a traité plus de 120 000 mineurs non accompagnés, mais n’a pratiquement pas signalé de trafic d’enfants. Le problème est que les États-Unis ne savent pas où la plupart de ces enfants ont fini. Selon Mme Cohen, plus de la moitié des 3 millions d’enfants victimes de criminalité étaient destinés à l’exploitation sexuelle. Soixante-quinze pour cent des victimes du trafic sexuel sont présentées en ligne comme des adultes, puis abusées par des adultes « qui ne paient que 25 dollars pour regarder » un enfant se faire abuser sexuellement.

John Pizzuro, directeur général du groupe de défense des enfants exploités Raven, a déclaré que les criminels utilisent l’intelligence artificielle pour s’infiltrer dans la vie des enfants, les « préparer » en imitant leur comportement et en les « sextant » à des fins financières, ce qui conduit de nombreux enfants à se suicider plutôt que d’être exposés.

 

Pendant le COVID, « le temps passé devant un écran a considérablement augmenté. Les criminels savent que c’est là que se trouvent nos enfants et reconnaissent qu’il n’y a pas assez de mesures de protection pour les surveiller ».

M. Pizzuro a conclu : « Sur la base de ce que j’ai vécu, je peux vous dire trois choses avec certitude : à l’heure actuelle, les prédateurs gagnent, nos enfants ne sont pas en sécurité et ceux qui se sont pleinement engagés à les protéger sont en train de se noyer et continueront à se noyer. Nous le ferons à moins que nous puissions leur fournir la législation et les ressources dont ils ont besoin pour protéger nos enfants. »




Qu’est-ce qu’un synode des évêques ?

Le mot « synode » vient du grec sunodos, « chemin parcouru ensemble ». Ce rassemblement réunit des évêques « pour discuter d’une question précise » et « se termine par l’adoption d’un rapport dont le pape peut reprendre les conclusions pour les publier dans une ‘exhortation apostolique post-synodale’ ».

À la messe de l’ouverture de la XVIe Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques (4-29 octobre), ce mercredi 4 octobre 2023, le pape François a déclaré : « Nous sommes ici pour marcher ensemble sous le regard de Jésus, qui bénit le Père et accueille tous ceux qui sont fatigués et opprimés. Partons donc du regard de Jésus, un regard qui bénit et qui accueille. »

La synodalité

La synodalité « désigne le style particulier qui qualifie la vie et la mission de l’Église, en exprimant sa nature de Peuple de Dieu qui chemine et se rassemble, convoqué par le Seigneur Jésus dans la puissance de l’Esprit Saint pour proclamer l’Évangile », lit-on dans le Manuel officiel pour l’écoute et le discernement dans les Églises locales Vademecum pour le Synode sur la Synodalité. La synodalité « doit s’exprimer dans la manière ordinaire de vivre et de travailler de l’Église ».

La Commission théologique internationale (CTI) décrit le « Synode » comme « une parole antique et vénérable de la Tradition de l’Église, dont le sens fait appel aux contenus les plus profonds de la Révélation. …Elle indique le chemin que parcourent ensemble les membres du Peuple de Dieu. Elle renvoie également au Seigneur Jésus qui se présente lui-même comme « le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14,6) ».

Comment se passe un synode ?

Un synode est « une assemblée consultative convoquée par le pape » et « a pour but d’informer et de conseiller le pape ». « Le Saint-Père peut aussi lui donner un rôle délibératif, sous réserve que les décisions soient ratifiées par ses soins », indique le site Synod.va

Un secrétariat permanent du synode existe au sein de la Curie romaine. Il est dirigé par un secrétaire général qui assure la préparation et le suivi des sessions.

Le secrétaire général collabore avec le rapporteur général, chargé de rédiger le « rapport introductif au débat », un document destiné à lancer les discussions. C’est aussi lui qui rédige les conclusions des travaux.

À la fin du synode, les évêques adoptent un rapport remis au pape, et rédigent souvent un message au monde.

Le pape peut reprendre « dans un document paraissant sous sa responsabilité propre les éléments du rapport qui lui a été remis ». Ce document est, généralement, une exhortation apostolique post-synodale.

Synode sur la synodalité : 2021-2024

Annoncé le 7 mars 2021, le Synode sur la synodalité a été lancé par le pape François le 9 octobre de la même année. « Un des objectifs est de parvenir à une meilleure participation des laïcs dans la vie de l’Église », lit-on sur le site de TV KTO.

Après deux ans de réflexion au niveau des Églises locales, les discussions « seront portées durant un mois par plusieurs centaines de participants du monde entier ».

Une première synthèse doit être votée le 28 octobre prochain, à l’issue de la première session générale. Une seconde session générale aura lieu dans un an, en octobre 2024.

464 participants – dont 365 membres avec droit de vote – parmi lesquelles 82 femmes, réfléchiront sur « une Église synodale », sur la « communion, participation et mission ».




Journaliste et analyste sportif aux analyses pointues: Paul Herman Malutama en détresse

‘’Aimons-nous vivant’’ ce concept propre à notre estimé confrère Paulin Mukendi, ne cesse de tourmenter notre conscience suite à la disparition de la circulation d’un confrère journaliste sportif aux analyses pointues, nous avons cité Paul Herman Malutama.

Le sachant malade depuis très longtemps et ne voyant aucun écrit apparaître dans les médias portant son nom, notre inquiétude à son sujet devenait grandissante. Dieu merci, notre rencontre du mardi 3 octobre 2023 avec Me Rodrigue Masuama, le sympathique président de la Fédération Congolaise des Combats Libres et arts Martiaux Modernes ‘’FCCL’’en sigle, a permis d’avoir des nouvelles de Paul. Me Rodrigue nous a transmis le numéro de téléphone d’un des fils du confrère. Toute affaire cessante, nous sommes entrés en contact avec lui et sommes descendus voir Paul Herman malgré notre propre état de malade.

L’état de Paul Herman nécessite une prise en charge rapide

 

Paul Herman Malutama, pour ceux qui ne le savent pas, est un journaliste chevronné de la presse écrite. Ses écrits ont fait longtemps le bonheur des lecteurs du Journal Demain Le Congo. Par la suite et ce, depuis plusieurs années, il preste dans le Journal ‘’Le Maximum’’ où il animait avec brio (NDLR avant que la maladie le surprenne) la rubrique sportive avec des informations bien fouillées et surtout des analyses pointues et des dossiers à vous couper le souffle. C’est un Paul Herman visiblement affaibli et sérieusement malade que nous avons vu avant la tombée de la nuit de mardi 3 octobre 2023 sur l’avenue Ngufu N°3 à Yolo-Nord entouré de sa femme et de son fils. Renseignements pris auprès de deux cités, Paul Malutama n’arrive plus à marcher. Il est cloué.

Paul Herman Malutama n’est pas que journaliste, c’est aussi un excellent arbitre de basket-ball. Il fait partie de l’Association congolaise des arbitres et Commissaires techniques de Basket du Congo ‘’ACOBAC’’.

Pour tout dire, Paul Herman Malutama est très malade. Son cas nécessite une prise en charge urgente. Dans une semaine, il devra retrouver son médecin à l’hôpital pour un contrôle. Son fils cherche du reste des moyens pour trouver un endroit calme pour bien s’occuper de son père. Pour plus d’informations contacter ses fils Coco au numéro (+243)817914319 et Malutama fils au numéro 0903969729 ou passer voir le malade sur l’avenue Ngufu N°3 quartier Yolo-Nord, commune de Kalamu.

Antoine Bolia

 

 

 

 




Volley-ball : Si le palmarès de la Coupe de la Févoco m’était conté

L’actualité sportive reste dominée par la 19è Coupe de la Févoco qu’a organisé avec brio cette fédération conduite des mains de maître par Christian Matata.

Organisée du 24 septembre au 1er octobre 2023 pour la première fois dans une salle couverte le complexe sportif de judo ou gymnase de la police) en RDC, cette compétition a répondu aux attentes des férus de la balle au filet.

Tableau des médailles version Dames

Or : La Loi (Kin)

Arg : DCMP (Kin)

Br : Canon (Kin)

Tableau des médailles version Messieurs

Or : Espoir (Kin)

Arg : Green Team (Kin)

Br : Mazembe (Haut-Katanga)

Equipe fair-play Dames : Ubuntu (Lualaba)

Equipe fair-play messieurs : Kasaï Espoir (Kasaï Central)

Remise des prix version Féminine

1. La Loi (Kin) trophée +enveloppe 1500 $ + des polos

2. DCMP (Ki) trophée + enveloppe 1000 $ + des polos

3. Canon de Ndjili (Kin) trophée + enveloppe 500 $

Remise des prix version masculine

1. La Loi (Kin) trophée +enveloppe 1500 $ + des polos

2. DCMP (Ki) trophée + enveloppe 1000 $ + des polos

3. Canon de Ndjili (Kin) trophée + enveloppe 500 $

 

Palmarès de la Coupe de la Févoco version féminine

2004 (A Lubumbashi) : DCMP/Kin

2005 (A Kananga) : DCMP/Kin

2006 pas attribué suite litige Canon vs DCMP

2007 (A Lubumbashi) : Canon/Kin

2008 (A Kinshasa) : V. Club/Kin

2009 (A Kananga) : Canon/Kin

2010 (A Lubumbashi) : V.Club/Kin

2011 (A Kinshasa) : DCMP/Kin

2012 (A Kananga) : V.Club/Kin

2013 (A Kinshasa) : Canon/Kin

2014 (Au Bandundu) : Canon/Kin

2015 (Kikwit) : Canon/Kin

2016 (A Kinshasa) : V. Club/Kin

2017 (A Matadi) : V. Club/Kin

2018 (A Kananga) : Canon/Kin

2019 (A Kinshasa) : Canon/Kin

2020 Pas de compétition suite au Covid

2021 (A Kinshasa) : La Loi/Kin

2022 (A Kolwezi) : Canon/Kin

2023 (A Kinshasa) : La Loi (Kin)

Palmarès de la Coupe de la Févoco version masculine

2004 (A Lubumbashi) : Mbongo Sport de la Miba

2005 (A Kananga) : Onatra/Matadi

2006 (A Kinshasa)

2007 (A Lubumbashi) : Force Terrestre/Kin

2008 (A Kinshasa) : F.T/Kin

2009 (A Kananga) : F.T/Kin

2010 (A Lubumbashi) : F.T/Kin

2011 (A Kinshasa) : F.T/Kin

2012 (A Kananga) : F.T/Kin

2013 (A Kinshasa) : F.T/Kin

2014 (Au Bandundu) : Espoir/Kin

2015 (Kikwit) : Espoir/Kin

2016 (A Kinshasa) : Mwangaza/Kin

2017 (A Lubumbashi) : Espoir/Kin

2018 (A Kindu) : Espoir/Kin

2019 (A Kinshasa) : Espoir/Kin

2020 Pas de compétition suite au Covid

2021 (A Kinshasa) : Espoir/Kin

2022 (A Kolwezi) : Espoir/Kin

2023 (A Kinshasa) : Espoir/Kin)

Antoine Bolia




Judo: Daso Kisoka Arnold le deuxième qualifié de la RDC aux J.O Paris 2024

Ce jeune homme, c’est le grand espoir du judo congolais à l’heure actuelle. Lui, c’est le judoka Daso Kisoka.

C’est le deuxième athlète de la RDC qualifié pour les Jeux Olympiques Paris 2024. La première c’est la boxeuse Marcelat Sakobi.

A l’actif de Daso Kisoka, l’on doit surtout retenir que c’est le tout premier congolais de pure souche à remporter une médaille d’or. C’était à l’Open de Yaoundé, au Cameroun en 2022. Aux 9è jeux de la francophonie, il était parmi les médaillés de judo. Il avait glané le bronze. Au tournoi test Event de judo organisé du 28 juillet au 6 août 2023 à Kinshasa sous la supervision de M. Michel Huet, représentant de la Fédération Internationale de Judo ‘’F.I.J’’ et ce, en prévision aux 9èmes Jeux de la francophonie, Daso Kisoka avait également fait parler son talent.

En effet, dans la catégorie -60 kg messieurs, en finale de bronze -60 kg, Daso Kisoka (RDC) avait battu par Ippon un congolais de Brazza. Et dans les différentes auxquelles il prend part, il se comporte bien. C‘est une valeur sûre.

Antoine Bolia