Homme politique très actif en République tchèque et dans l’Union européenne, Cyril Svoboda s’est prêté à une interview avec Le360, en marge de l’ouverture de la 15ème édition des MEDays à Tanger (15-18 novembre). Il a notamment souligné la position de soutien de son pays à l’intégrité territoriale du Maroc.

«Nous soutenons le Maroc au sujet de son intégrité territoriale», a déclaré Cyril Svoboda, ancien vice-Premier ministre et ancien ministre des Affaires étrangères de la République tchèque.

Celui-ci répondait à une question sur les efforts menés par le Maroc pour résoudre le conflit artificiel autour du Sahara conformément à la résolution 2703 du Conseil de sécurité de l’ONU, qui considère le plan d’autonomie comme une base sérieuse et crédible pour une solution politique axée sur le pragmatisme et le compromis.

Pour rappel, la République tchèque a récemment considéré le plan d’autonomie, présenté en 2007 par le Maroc, comme un effort sérieux et une «bonne base» pour la résolution de cette question.

Cette position avait été exprimée dans la Déclaration conjointe signée à Prague par le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le ministre des Affaires étrangères de la République tchèque, Jan Lipavský.

Au cours de l’entretien, Cyril Svoboda, qui dirige actuellement l’Académie diplomatique de la République tchèque, a mis l’accent sur la politique africaine du Maroc. Il a notamment salué les appels de Rabat en faveur de la coopération Sud-Sud. «Le Maroc est un grand pays», a souligné ce membre du parti de l’Union chrétienne démocrate-Parti populaire tchécoslovaque.

Le 29 octobre 2004, Cyril Svoboda avait fait partie des signataires de la Constitution pour l’Europe. Il animera dans le cadre de la 15ème édition des MEDays, qui s’ouvre ce mercredi 15 novembre à Tanger, un débat sur les problèmes liés à la cybercriminalité.

Par Mohamed Chakir Alaoui et Abderrahim Ettahiry

Le ministre des Affaires étrangères et du commerce de la Hongrie, Peter Szijjártó, a réitéré, mercredi à Rabat, la position de son pays soutenant le plan d’autonomie présenté par le Maroc, qu’il «appuie dans les instances internationales».

La Hongrie a réitéré, mercredi à Rabat, sa position soutenant le plan d’autonomie présenté par le Maroc. Cette position a été exprimée par le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjártó, lors d’une conférence de presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita.

«Nous sommes intimement convaincus que le Plan d’autonomie présenté par le Maroc donne de l’espoir pour trouver une issue à ce conflit en respectant les résolutions de l’ONU», a souligné le chef de la diplomatie de la Hongrie, pays «très sensible» aux questions de l’intégrité territoriale et du respect de la souveraineté des États.

Dans ce contexte, M. Szijjártó a tenu à préciser que son pays appuie le plan d’autonomie dans les instances internationales, en citant notamment la récente intervention de la Hongrie auprès de la Cour d’appel de l’Union européenne sur cette question. Et d’affirmer, en conclusion, que son pays va maintenir cette position de soutien à l’initiative d’autonomie.

Par Le360 (avec MAP)

Les manœuvres désespérées de la junte algérienne et ses médias contre le Maroc ont connu un regain exacerbé ces derniers jours. La dernière supercherie de la diplomatie algérienne, c’est cette tentative du mardi 14 novembre, avortée à la dernière minute, et visant à organiser une visite de l’ambassadrice américaine à Alger à Tindouf et de la faire coïncider avec des «festivités» du Polisario où Elizabeth Moore Aubin se serait affichée aux côtés de Brahim Ghali.

L’ambassadrice américaine à Alger, Elizabeth Moore Aubin, a failli être embarquée dans une aventure rocambolesque dont elle semble ne pas avoir mesuré les conséquences et la gravité. Hier, mardi 14 novembre, elle était à l’aéroport Houari Boumédiène d’Alger, en vue de prendre un vol spécial d’Air Algérie à destination de Tindouf et des camps sahraouis, sur instigation du régime algérien.

Finalement, cette visite a été annulée in extremis par le département d’État américain, et s’est terminée en queue de poisson en se limitant à une photo collective où l’on voit Elizabeth Moore Aubin au milieu d’une délégation d’illustres inconnus, composée d’Algériens et de Sahraouis se rendant à Tindouf.

L’avortement de cette visite n’a pas empêché les médias algériens de laisser entendre que l’ambassadrice américaine s’est bien rendue à Tindouf. Ainsi, dans un article daté de ce mercredi 15 novembre, L’Algérie aujourd’hui a choisi un titre mensonger sans équivoque, indiquant clairement que c’est le Maroc qui est visé par cette manœuvre: «L’ambassadrice des USA dans les camps de réfugiés sahraouis à Tindouf : une visite qui fait jaser au Maroc».

Continuant sur sa lancée mensongère, le média algérien écrit qu’«Elizabeth Moore Aubin, ambassadrice des États-Unis à Alger, effectue depuis hier une visite dans les camps de réfugiés sahraouis à Tindouf, en compagnie d’une délégation qui comprend plusieurs ambassadeurs accrédités dans notre pays, dans le cadre d’une mission des donateurs de l’aide humanitaire aux Sahraouis». Or, à part le prétendu ambassadeur du Polisario à Alger, aucun diplomate n’était du voyage à Tindouf, d’ailleurs annulé à la dernière minute, sinon son identité aurait été révélée.

Même les douze partis politiques algériens, inconnus au bataillon et dont aucun n’a été identifié ni par son nom, ni par son acronyme ou sigle, ne sont que des fantômes, à l’image de l’entité qu’ils partent visiter. Mais cette prétendue «mission des donateurs de l’aide humanitaire aux Sahraouis» est certainement l’alibi avec lequel le régime algérien a tenté de berner la diplomate américaine.

Un autre média algérien, arabophone cette fois-ci, Awras pour ne pas le nommer, a donné quant à lui l’exacte raison de la visite déprogrammée d’Elizabeth Moore à Tindouf. Dans un article intitulé «Avec la participation de l’ambassadrice des Etats-Unis en Algérie, une délégation de partis politiques algériens visite le Sahara occidental», Awras, qui considère donc que Tindouf et ses camps sahraouis font partie du «Sahara occidental» (sic!), alors qu’il s’agit du Sahara oriental encore administré par l’Algérie, précise que l’objet de cette visite est de dénoncer les accords de Madrid de 1975.

Selon lui, «cette visite de douze partis algériens vise à protester contre l’accord de Madrid avec la présence de l’ambassadrice des États-Unis, Elizabeth Moore Aubin, et à s’enquérir du fonctionnement de certains services dans la wilaya de Laâyoune». Ainsi, sans le vouloir, l’ambassadrice américaine allait être impliquée, à son insu, dans une condamnation stérile et hors temps des accords de Madrid du 14 novembre 1975, en vertu desquels l’Espagne avait mis fin à sa colonisation du Sahara et cédé au Maroc ses provinces du Sud.

Cette manœuvre intervient au lendemain de l’entrevue entre Nadir Larbaoui, deux jours seulement après sa nomination en tant que nouveau Premier ministre algérien, avec le chef du prétendu parlement du Polisario, Hamma Salama. Ce dernier a été également reçu, durant la même journée du lundi 13 novembre, par Ahmed Attaf, ministre des Affaires étrangères, Mohamed Laagab, ministre de la Communication, Salah Goudjil, président du Sénat algérien, ainsi que Brahim Boughali, président de la Chambre des représentants.

Samedi dernier, suite à l’annonce par plusieurs médias espagnols et marocains de la présence du chef des milices armées du Polisario, Mohamed El Ouali Akeik, en Espagne pour des soins médicaux, il s’est avéré que l’Algérie, qui l’a convoyé par avion spécial au Pays basque espagnol, cherchait à rééditer une nouvelle crise maroco-espagnole comme celle de l’affaire Benbatouche. Raté, puisque l’Espagne a bien pris soin, cette fois-ci, de consulter son voisin marocain, qui n’a eu aucune objection à ce que Akeik se soigne en Espagne dont il porte au demeurant la nationalité.

Par Mohammed Ould Boah

Le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a révélé, mercredi, ce que compte entreprendre le Maroc et comment va-t-il riposter aux attaques ayant visé plusieurs quartiers de la ville d’Es-smara, assurant que le royaume va agir « avec sagesse ».

Répondant aux questions des députés concernant la réponse du Maroc aux récents tirs du Polisario qui, rappelons-le, ont coûté la vie à un jeune Marocain et causé de graves blessures à trois d’autres, Bourita a souligné que « l‘objectif du Maroc n’est pas l’escalade mais d’agir avec sagesse« .

Le ministre, qui intervenait lors de la présentation à huis clos du budget sectoriel de son département à la Commission des Affaires étrangères, de la défense nationale, des affaires islamiques et des MRE de la Chambre des représentants.

Bourita a, dans la même lignée, martelé que c’est le Maroc qui « détermine quand et comment il va réagir ».

Le royaume, par la voie de son représentant permanent aux Nations unies, Omar Hilale, avait qualifié l’attaque survenue dans la ville d’Es-Semara d’acte « ignoble et terroriste ».

« Les membres du MINURSO vont faire leur rapport. Le conseil de sécurité sera saisi par ce rapport. Les autorités marocaines, de leur côté, ont demandé l’ouverture d’une enquête confiée à la police judiciaire afin de vérifier ou identifier les détails scientifiques et balistiques des explosions », avait affirmé le diplomate marocain.

Le 5 novembre dernier, des milliers de personnes ont manifesté à Laâyoune pour dénoncer ces attaques terroristes perpétrées par le Polisario.

Lors de cette marche, les participants, menés par les Chioukhs, les notables et les élus locaux, ont condamné vigoureusement cette attaque, la qualifiant « d’acte terroriste commis par les ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume ».

La salle de banquets de l’hôtel Ledya, commune de Matadi, Province du Kongo Central, a servi de cadre ce mercredi 15 novembre 2023, à l’ouverture de la « 3ème édition de la semaine congolaise du tourisme ». C’était au nom du Premier ministre Sama Lukonde que Me Didier Mazenga Mukanzu, ministre du Tourisme a lancé cette activité qui tend à promouvoir le tourisme congolais, par une série d’expositions aux stands adressés aux alentours de cet hôtel.

C’était en présence du Vice-Gouverneur du Kongo Central, M. Grâce Nkuanga Maswangi, représentant du Gouverneur du Kongo Central, M. Guy Ndugidi, en mission de service à Kinshasa. L’on a également noté la présence de plusieurs autorités administratives et traditionnelles provinciales, des FARDC, de la PNC, de Mme le PCA de l’ONT, du DG du STN, du Secrétaire Général au Tourisme et tant d’autres opérateurs économiques et culturels du KC.

Désormais, après la 1ère édition tenue à Lualaba, la 2ème en nov.2022 à Kinshasa et voici cette fois-ci, celle qui met en ébullition le Kongo Central, désormais une meilleure destination touristique.

Pour rappel, cette Province détient un arsenal touristique de 139 sites touristiques répertoriés, dont 89 sont naturels. Cette activité pourra booster les efforts du Chef de l’État Félix Tshisekedi dans le cadre de la création des emplois au bénéfice de la jeunesse congolaise en général et celle du Kongo Central en particulier.

Le patron de l’Économie Nationale participe aux travaux de la semaine européenne des matières premières qui se tiennent du 13 au 17 novembre à Bruxelles. Il s’agit d’un événement annuel organisé par la Commission européenne.

Selon une dépêche de la Cellule de communication du ministère de l’Economie, ces assises sont focalisées sur des politiques et des initiatives dans le domaine des matières premières et fournissent un aperçu des activités en cours de l’UE dans ce secteur.

Elles traitent aussi de la loi sur les matières premières critiques et des sujets liés aux matières premières critiques et stratégiques, aux partenariats internationaux, aux projets stratégiques, aux investissements, aux permis, à l’exploration, à l’innovation, à la circularité etc.

Dans son discours, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale Vital Kamerhe a commencé par vanter le riche potentiel de la RDC.

« Considérant le nombre de matières premières dont est dotée la République Démocratique du Congo, elle a vocation de remplir un rôle séculier dans l’approvisionnement mondial des minerais critiques et stratégiques. Il s’agit pour nous de démontrer que l’abondance des matières premières ne constitue pas une malédiction. Mais plutôt un avantage certain capable de générer les moyens conséquents utiles pour l’épanouissement et le développement de notre pays. Ce défi ne saurait être résolu sans résoudre préalablement la question d’accès à l’énergie et celle des infrastructures », a déclaré le patron de l’Économie Nationale.

Vital Kamerhe a salué l’engagement du président de la République Félix Tshisekedi pour l’assainissement de l’environnement des affaires et la protection des investissements.

« La République Démocratique du Congo est prête à recevoir des investissements massifs dans les domaines des chaînes de valeur et des minerais critiques et stratégiques et à déployer des moyens institutionnels nécessaires pour la protection juridique, » a-t-il rassuré la communauté internationale et les investisseurs.

Mutualiser les efforts avec l’Union européenne

Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale a aussi exprimé la volonté du gouvernement de parvenir à mutualiser les efforts et les ressources avec l’Union Européenne, pour développer une véritable industrie de transformation locale des minerais de la RDC.

« Dans cette perspective, la production des batteries dans la province du Haut Katanga en République Démocratique du Congo, est une première ambition que nous pouvons légitimement nous fixer. Ici le partenariat avec l’Union Européenne trouve toute sa pertinence, dans la mesure où, elle facilitera le transfert des connaissances technologiques nécessaires au développement d’une industrie forte autour des minerais critiques et stratégiques, » a-t-il fait savoir.

Il faut noter que l’Union Européenne veut construire des chaînes d’approvisionnement en minéraux essentiels résilientes, robustes, responsables et transparentes. Le développement des partenariats stratégiques fait donc partie de la réponse. Ces Partenariats couvrent l’ensemble de la chaîne de valeur des matières premières (exploration, extraction, transformation, raffinage et recyclage) et reposent sur des bénéfices mutuels. Ils facilitent la transformation structurelle en Afrique et offrent à l’UE la possibilité de diversifier ses chaînes d’approvisionnement.

Ces travaux visent aussi à explorer les opportunités d’investissement le long des chaînes de valeur des matières premières en Afrique et en particulier dans les pays avec lesquels l’UE a conclu un partenariat stratégique : la République démocratique du Congo, la Zambie et la Namibie.

L’événement rassemble des représentants de l’Union européenne, de certains de ses partenaires stratégiques, d’institutions financières et du secteur privé. Il vise à créer un espace de dialogue pour identifier les moyens pratiques de soutenir les ambitions visant à promouvoir les investissements en Afrique, à développer les capacités de transformation et à valoriser localement les ressources naturelles de l’Afrique.

Le vendredi 10 novembre 2023, Khalil Al Americani, Directeur Général de Vodacom Congo, a reçu le certificat, faisant de son entreprise, Vodacom Congo, membre du « United Nations Global Compact », UNGC .

Selon un communiqué de presse publié à cet effet, c’est autour d’un cocktail organisé par le UNGC et réunissant les différents membres de cette organisation que Vodacom Congo, par la personne de Khalil AL AMERICANI, son Directeur Général, a encore une fois démontrée son engagement dans sa mission de connecter les communautés à travers son Contrat Social.

« Le UNGC est une initiative lancée en 2000 dans le but de soutenir et d’encourager les entreprises mondiales à adopter des pratiques sociales responsables. Son objectif étant d’inciter les dirigeants du monde des affaires et de la société civile à élaborer et à promouvoir des politiques qui soutiennent le développement durable », précise la même source.

Pour marquer l’adhésion de Vodacom Congo, M. Khalil Al Americani a reçu du Directeur Général d’Equity BCDC un certificat d’adhésion soulignant l’engagement de Vodacom Congo envers le Pacte mondial.

A cette occasion, M. Khalil Al Americani a souligné que ” Vodacom Congo était fier d’adhérer au Pacte Mondial des Nations Unies, qui lui permettra de promouvoir le développement durable, la protection de l’environnement et les droits de l’homme. Nous nous engageons à créer des solutions qui feront la différence et garantiront un avenir meilleur pour tous. Rajoutera-t-il”.

À propos de Vodacom Congo

Depuis plus de 21 ans, Vodacom Congo profite de sa technologie pour soutenir le développement socio-économique de la RDC, en fournissant une large gamme de services de communication, y compris la voix, la messagerie, l’Internet, la monnaie électronique et les services convergents à plus de 21 millions d’abonnés et d’entreprises depuis 2002.

Grâce à sa politique de responsabilité sociale d’entreprise, Vodacom Congo permet aux populations d’accéder aux solutions les plus appropriées et d’élargir l’inclusion sociale et financière. Ses principaux objectifs sont de contribuer au développement de la RDC, de réduire les disparités entre les régions et de désenclaver les territoires par une couverture réseau la plus large possible.

En 21 ans, Vodacom Congo s’est positionnée comme un partenaire privilégié et constant du développement économique et social de la RDC.

Pionnier de la transition énergétique dans le secteur des télécoms, Vodacom Congo a entrepris plusieurs initiatives pour décarboner ses opérations et fournir des solutions propres à l’ensemble de la population qu’elle dessert : Le déploiement de près de 900 sites de connectivité rurale 100% solaire depuis 2013 ; L’élimination de plus de 95% du papier dans ses procédures administratives grâce à la numérisation. La mise en place d’une politique interne de transition énergétique et de réduction de son empreinte carbone ; L’adoption de véhicules 100% électriques dans sa flotte ; La promotion du service financier M-Pesa comme outil de dématérialisation des paiements et de réduction de la pollution.

JMNK

Le ministre des Affaires étrangères et du Commerce de la Hongrie, M. Peter Szijjártó, a réitéré, mercredi à Rabat, la position de son pays soutenant le Plan d’Autonomie présenté par le Royaume du Maroc, qu’il “appuie dans les instances internationales”.

Cette position a été exprimée par le ministre hongrois lors d’une conférence de presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita.

“Nous sommes intimement convaincus que le Plan d’autonomie présenté par le Maroc donne de l’espoir pour trouver une issue à ce conflit en respectant les résolutions de l’ONU”, a souligné le chef de la diplomatie de la Hongrie, pays “très sensible” aux questions de l’intégrité territoriale et du respect de la souveraineté des Etats.

Dans ce contexte, M. Szijjártó a tenu à préciser que son pays appuie le Plan d’autonomie dans les instances internationales, en citant notamment la récente intervention de la Hongrie auprès de la Cour d’appel de l’UE sur cette question, affirmant, en conclusion, que son pays va maintenir cette position de soutien à l’Initiative d’Autonomie.

Conformément à la constitution de la Rdc, le chef de l’Etat Félix Tshisekedi Tshilombo a, dans un discours sur l’état de la nation ce mardi devant les députés nationaux et sénateurs réunis en congrès, présenté un tableau rassurant du décollage du pays dans plusieurs domaines. Le chef de l’Etat touchant plusieurs domaines fait voir la volonté de mieux faire au-delà de certaines difficultés telles que la guerre à l’Est.

Pour le député national Théo Kazadi Muayila, le mieux élu du territoire de Tshikapa Kamonia au Kasaï, ce discours montre que la Rdc a un chef de l’État compétent et capable vu le tableau de réalisations et perspectives d’avenir. L’élu de Tshikapa Kamonia a aussi salué la bravoure d’un homme d’État capable à défendre son pays malgré les agressions extérieures et l’opposition interne.
Dans son discours, le chef de l’Etat a clairement confirmé que l’enveloppe de paie des enseignements est passée de 70,1 milliards de francs congolais à 236 milliards de francs congolais, soit une augmentation de 238%. Alors que la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement a permis de récupérer plus de 5 millions d’élèves en âge de scolarité », affirmant que le salaire moyen d’un enseignant est passé de 159 662 de francs congolais à 408 689 de francs congolais, plusieurs écoles déjà construites et d’autres dans quelques jours sur l’ensemble du pays.
Soutenant que cette gratuité depuis un temps réelle avec l’appui aux écoles de la ville et territoire de Tshikapa, l’honorable Théo Kazadi Muayila encourage les gestionnaires des écoles et autorités scolaires à soutenir cette volonté du chef de l’État, mais aussi dénonce les antivaleurs.
Depuis son accession à la tête de la République démocratique du Congo en 2019, Félix Tshisekedi s’est engagé à rendre effective la gratuité de l’enseignement primaire sur toute l’étendue du territoire national et un congolais de n’importe quel coin du pays doit apporter son soutien indéfectible à cette initiative, car ça permet d’assurer un avenir meilleur à nos enfants.
Cette réforme trouve son fondement dans l’article 43 de la Constitution de 2006, qui impose à l’État de prendre en charge les frais de scolarité de l’éducation de base dans les établissements publics. Il fallait voir l’application avec le président Fatshi, donc il mérite le soutien de nos compatriotes quel que soit nos couleurs politiques, note Théo Kazadi Muayila.
Et d’ajouter que cette prise en charge par l’État a donné lieu à la suppression de la prime de motivation payée par les parents pour permettre aux écoles de bien fonctionner. Les milieux d’enfants ont repris le chemin de l’école malgré quelques difficultés qui méritent d’être corrigées.
Face à la volonté de faire bénéficier les congolais les avantages tirés de nos richesses avec le slogan” rien ne sera décidé pour le Congo sans les congolais”, l’honorable Théo Kazadi note l’esprit d’un chef de l’État nationaliste qui ne cache pas sa volonté à la face du monde de barrer la route aux forces qui viennent exploiter nos richesses gratuitement.
Nous sommes déterminés d’aller de l’avant et avec le président Fatshi, les Congolais devraient tirer attention à des discours des politiques qui cherchent à nous faire reculer, note Wabayanda.

Allons-y aux élections, allons y voter pour l’avenir de notre pays, pour l’amélioration des conditions de vie avec nos familles, allons y barrer la route aux ennemies de notre pays, allons-y soutenir l’idéale et la justice, a déclaré Théo Kazadi Muayila, président du regroupement politique AA/C, actions des alliés pour la convention.
Le député national Théo Kazadi Muayila s’est dit très content de la bonne volonté du chef de l’Etat de doter la Rdc d’une justice indépendante et juste où chaque citoyen est libre et peut bénéficier une bonne justice quel que soit les moyens et devant n’importe qui, a déclaré Théo Kazadi Muayila.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville

La première journée des éliminatoires pour la Coupe du monde 2026 démarre ce mercredi avec quatre affiches au menu. Voici le programme du jour.

Pour la moitié des équipes effectuant leur entrée en lice ce mercredi, à savoir la Guinée Equatoriale, la Namibie, la RD Congo et la Mauritanie, cette première journée vaut plus qu’un match de qualification pour le Mondial 2026. En effet, il s’agit pour elles d’un test grandeur nature en vue de se jauger à moins de deux mois du coup d’envoi de la CAN 2023, prévue du 13 janvier au 11 février 2024 – l’autre moitié ne s’étant pas qualifiée. De quoi rajouter du piquant, d’autant plus qu’elles se retrouveront en face-à-face.

Guinée Équatoriale-Namibie (Groupe H)

La Guinée équatoriale et la Namibie ouvriront le bal au Nuevo Estadio de Malabo à 14h. Comme les Namibiens, les hôtes équato-guinéens ont terminé 2es de leur groupe de qualifications pour la CAN, derrière la Tunisie, grâce à une série de cinq matches sans défaite, dont quatre victoires de rang, y compris celle face aux Aigles de Carthage (1-0) en juin. Au regard de la forme actuelle des deux formations, le Nzalang Nacional part avec un avantage. Car la bande à Emilio Nsue n’a plus perdu depuis 7 rencontres, soit depuis juin 2022 et la gifle 4-0 en Tunisie, alors que les Brave Warriors restent sur cinq matches sans victoire.

Rwanda-Zimbabwe (Groupe C)

Ayant fini bons derniers de leurs groupes lors des éliminatoires pour la CAN, les Rwandais entendent partir du bon pied cette fois (14h) face à des Zimbabwéens qui avaient quant à eux été disqualifiés à cause de la suspension de leur fédération. Et ce, bien que les chances de qualification des deux équipes pour le Mondial, dans un groupe qui compte le Nigeria et l’Afrique du Sud, soient infimes. Si aucun favori ne se détache clairement, la balance penche néanmoins en faveur des Warriors, sachant que les Amavubi n’ont plus remporté aucun match depuis novembre 2022.

RD Congo-Mauritanie (Groupe B)

Comme on se retrouve ! C’est la première fois depuis l’affaire Khadim Diaw – ayant tant fait couler d’encre – que les Léopards affrontent les Mourabitounes. C’est dire si ce choc dans le groupe de la mort – comprenant le favori le Sénégal – se place sous le signe du règlement d’un compte (17h). La victoire sur tapis vert de la bande à Sébastien Desabre en juillet, en pleine course à la qualification pour la CAN, est notamment restée en travers de la gorge de la sélection mauritanienne. La Fédération mauritanienne de football et le mis en cause Khadim Diaw avaient par la suite dézingué la Confédération africaine de football (CAF) pour avoir accepté le recours de la RDC.

Lors de leur dernière opposition au stade des Martyrs de Kinshasa, les Léopards s’étaient imposés 3-1, à 11 contre 10, en mars. Tous les ingrédients sont donc réunis pour un match âprement disputé, sachant que la RDC a enregistré les retours de Gaël Kakuta et de Yoane Wissa, et que la Mauritanie compte un nouveau buteur, Aboubakary Koita. Compte rendu à suivre sur Afrik-Foot.

Ethiopie-Sierra Leone (Groupe A)

Au même titre que les Rwandais et Zimbabwéens, Éthiopiens et Sierra-Léonais auront à cœur de faire une bonne entame, après avoir respectivement terminé lanternes rouges et troisièmes de leur groupe lors des éliminatoires de la CAN 2023. Vainqueur de leur dernière confrontation (1-0) en septembre 2018, l’Éthiopie n’aura cette fois pas l’avantage de jouer à domicile puisque le match est délocalisé au Maroc. En face, les Leone Stars n’ont plus goûté à la victoire depuis trois sorties.

Le programme du mercredi 15 novembre

Tous les horaires sont indiqués à l’heure française, soit GMT+1.

14:00 : Guinée Équatoriale-Namibie (Groupe H), Nuevo Estadio de Malabo

14:00 : Rwanda-Zimbabwe (Groupe C), Stade Huye

17:00 : RD Congo-Mauritanie (Groupe B), Stade des Martyrs, Kinshasa

20:00 : Ethiopie-Sierra Leone (Groupe A), Stade El Abdi, El Jadida (Maroc).