La Rdc a désormais son cadre d’actions multisectorielles et inter-clusters relatif au VIH en situation humanitaire

A l’initiative du PNMLS, en collaboration avec l’ONUSIDA, le HCR et les agences co-sponsors PAM, UNICEF, UNFPA, OMS, OCHA, un atelier de mise en place du cadre d’actions multisectorielles et inter clusters relatif au VIH en situation humanitaire a été organisé, ce jeudi 23 novembre à l’hôtel Sulutani à Kinshasa/Gombe. Son objectif : mobiliser tous les acteurs autour d’un cadre d’actions concertées, visant à garantir non seulement une intégration effective du VIH dans la réponse humanitaire, une mobilisation de ressource mais aussi une coordination entre les acteurs humanitaires, le gouvernement, les ONG et les partenaires internationaux pour une riposte cohérente et complète.

L’ouverture de l’atelier a été présidée par le délégué du Conseiller Principale du Chef de l’Etat au Collège Santé et bien-être qui a loué cette opportunité précieuse pour renforcer notre compréhension commune des enjeux du VIH et pour promouvoir des actions concrètes, innovantes et adaptées aux besoins spécifiques des populations touchées. Il a par ailleurs émis le vœu de voir cette rencontre aboutir au renforcement de la synergie par la mise en place des partenariats solides, des mécanismes de communication efficaces en vue d’assurer une réponse holistique et coordonnée face au VIH en situation humanitaire.

Au total 59 participants provenant notamment de la présidence, ministères sectoriels, les institutions d’appui à l’aide humanitaire, le PNMLS, les programmes spécialisés du ministère de la santé,  les ONG nationaux et internationaux, les agences du système des nations unis, partenaires bi et multi latéraux ont pris part à cette rencontre. Les provinces touchées par la crise humanitaire étaient représentées par 6 Secrétaires Exécutifs Provinciaux (Nord Kivu, Sud Kivu, Ituri, Tanganyika, Kasaï et Kasaï Central).

Les participants ont, au cours de cet atelier, échangé sur la vision stratégique de la RDC concernant la réponse au VIH en situation de crise humanitaire et de Nexus coulée dans le PSN 2023-2027; partagé les connaissances, les expériences. Par ailleurs les défis, les opportunités de collaboration ont été identifié afin de mieux répondre aux besoins en interventions VIH des populations touchées par les situations de crise, notamment les enfants, femmes enceintes déplacés, Refugiés et autres populations vulnérables.

Les présentations sur la situation du VIH/Sida dans les provinces touchées par la crise humanitaires et de Nexus notamment le Nord-Kivu, Ituri et Tanganyika ainsi que les présentations d’initiatives réussies en matière d’intégration du VIH dans la réponse humanitaire cas de l’ONUSIDA Nigeria, l’ONG GRAM (expérience du Nord-Kivu) et PNMLS dans la région du Kasaï-Central (UNHCR, ONUSIDA) ont constitués la base des échanges et discussions.

Au cours d’un panel présidé par le SEN/PNMLS, les représentants des Agences Humanitaires du SNU notamment UNICEF, UNHCR, PAM, OMS, UNFPA ainsi que la Directrice pays de l’ONUSIDA représentant le Coordonnateur Résident, ont à tour de rôle chacun en ce qui concerne son organisation répondu à la question suivante : Qu’est-ce qu’il faut du point de vue des acteurs humanitaires pour assurer l’inclusion systématique et efficace des populations touchées par le VIH dans la réponse aux situations de crises ? Enfants, Femmes enceintes, déplacés, Refugiés et autres populations vulnérables.

A la suite des travaux en 5 groupes, les participants ont identifié 10 actions soit 2 actions prioritaires regroupées dans les 5 catégories à mettre en œuvre pour accélérer l’atteinte des résultats mesurables.

Ci-dessous les Actions/recommandations prioritaires identifiées:

  1. Actions pour renforcer l’engagement au niveau politique et du leadership :
  • Action 1 : Renforcer la coordination de la riposte au VIH en situation de crise humanitaire par un diagnostic plus large au niveau national,
  • Action 2 : Promouvoir l’intégration du VIH dans le Plan National de coordination humanitaire (HRP 2024) afin de garantir la mise en œuvre effective des directives IASC.
  1. Actions pour renforcer les capacités des acteurs de la communauté pour mieux identifier, suivre et soutenir les PVVIH et les populations vulnérables :
  • Action 1 : Renforcer les capacités des acteurs communautaires sur la dynamique communautaire afin de leur permettre d’identifier sans faille les PVVIH en situation humanitaire
  • Action 2 : Plaidoyer pour la prise en charge des acteurs communautaire dans le budget de l’état
  1. Actions pour renforcer les capacités des acteurs multisectoriels et des systèmes publiques pour l’approvisionnement pour assurer la continuité de de la prise en charge, l’efficacité du suivi et du soutien pour les PVVIH et les populations vulnérables :
  • Action 1 : Identifier les PVVIH et les personnes vulnérables en situation de crise humanitaire pour garantir une meilleure planification des besoins et réduire les ruptures intempestives des intrants,
  •  Action 2 : Mettre sur pieds un cadre de concertation sur la GAS pour mieux cerner la question relative à l’approvisionnement des stocks et le suivi des PVVIH sous traitement.
  1. Actions pour assurer la disponibilité des données de qualité pour informer la prise des décisions, la mobilisation des ressources et l’évaluation des actions :
  • Actions 1 : Produire les outils de collecte des données pour capter les informations relatives au VIH en situation humanitaire,
  • Actions 2 : Sélectionner les indicateurs clés par cluster en référence aux Directives IASC (2 indicateurs par cluster).
  1. Actions pour renforcer la communication, le plaidoyer, la visibilité et le rapportage sur la problématique et la réponse.
  • Actions 1 : Mise en place/redynamisation d’un cadre intégré et permanent d’échange d’information entre le gouvernement et le système des Nations Unies,
  • Action 2 : Mobilisation des ressources (humaine, matériel et financière) pour la mise en œuvre des activités VIH en situation humanitaire.

Tchèques Bukasa/CONGOPROFOND.NET/Prince Yassa 

 




Recherche de placement par l’intermédiaire des centres d’information des Nations unies (Tribune libre de Simon Stiell, secrétaire exécutif d’ONU Climat)

Le charbon, le pétrole et le gaz alimentent la crise du coût de la vie. La COP 28, conférence sur le climat, peut être l’occasion d’un sursaut de l’action climatique.

Au cours des deux dernières années, l’inflation a provoqué une crise du coût de la vie dans plusieurs régions du monde. Certains alarmistes ont utilisé les difficultés que cette situation a causées à des milliards de personnes pour propager une rhétorique selon laquelle l’action contre les changements climatiques est inabordable et va à l’encontre des intérêts des populations. Rien n’est plus faux.

L’opposition entre verts et classes pauvres est source de division. Elle sert souvent à masquer des intérêts personnels à court terme et ceux axés sur le profit. Le seul avenir stable et économiquement durable est celui de la sécurité énergétique, de la résistance aux catastrophes, d’une reprise coordonnée et bien financée et, enfin, d’une limitation de l’augmentation de la température à 1,5 degré Celsius.

Les combustibles fossiles, notamment le charbon, le pétrole et le gaz, sont l’un des principaux facteurs de la crise du coût de la vie, qui met à rude épreuve le budget de milliards de ménages. Comme c’est souvent le cas, les prix ont connu de fortes fluctuations, poussés à la hausse par l’incertitude et les conflits. Cela a pour effet d’augmenter le coût des transports, de la nourriture, de l’électricité et des produits de première nécessité. Dans certains pays fortement dépendants des combustibles fossiles, les factures des ménages ont augmenté de 1 000 dollars américains en 2022 en raison des coûts de l’énergie fossile.

Selon les autorités économiques, telles que le Trésor américain, la Reserve Bank of India et la Banque centrale européenne, les coûts de consommation augmenteront encore et la croissance économique ralentira à mesure que les effets du climat s’intensifieront. Les prix élevés de l’énergie réduisent également les marges bénéficiaires des entreprises et nuisent à la croissance économique. Les prix élevés de l’énergie réduisent également les marges bénéficiaires des entreprises, nuisent à la croissance économique et entravent le droit à l’accès à l’énergie dans le monde entier. Ce sont les ménages les plus pauvres qui souffrent le plus de l’inflation.

Cette situation survient alors que les catastrophes climatiques s’aggravent dans tous les pays. Cette année sera probablement la plus chaude depuis 125 000 ans. Des tempêtes plus destructrices, des pluies et des inondations imprévisibles, des vagues de chaleur et des sécheresses causent déjà des dégâts économiques considérables et affectent des centaines de millions de personnes à travers le monde, leur coûtant la vie et leurs moyens de subsistance.

Les robinets des combustibles fossiles ne peuvent pas être fermés du jour au lendemain, mais il existe de nombreuses possibilités d’action qui n’ont pas encore été mises en œuvre. Par exemple, en 2022, les gouvernements ont dépensé plus de 7 000 milliards de dollars américains d’argent des contribuables ou d’emprunts pour subventionner les combustibles fossiles. Ces subventions ne protègent pas les revenus réels des ménages les plus pauvres et détournent des fonds qui alourdissent le fardeau de la dette des pays en développement ou qui auraient pu être utilisés pour améliorer les soins de santé, construire des infrastructures, y compris des énergies renouvelables et des réseaux, et étendre les programmes sociaux afin de réduire la pauvreté. Réalisée de manière responsable, la suppression progressive de ces subventions aiderait en fait les plus pauvres et améliorerait les économies des pays qui en dépendent aujourd’hui.

Cette année, à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques, nous avons dressé un bilan mondial de l’action menée jusqu’à présent en faveur du climat. Ce bilan indique clairement que les progrès sont trop lents. Mais il a également révélé que nous disposons de nombreux outils pour accélérer l’action climatique dès maintenant, ce qui permettra simultanément de construire des économies plus fortes. Nous disposons des connaissances et des outils nécessaires pour accélérer cette transition tout en veillant à ce qu’elle soit juste et équitable et qu’elle n’oublie personne.

Des milliards de personnes ont besoin que leurs gouvernements s’emparent de cette boîte à outils et la mettent en œuvre. Il s’agit notamment de transférer des milliards de dollars d’investissements dans la production de nouveaux combustibles fossiles vers les énergies renouvelables, qui fourniront une énergie stable, fiable et moins chère, propice à la croissance économique. Il s’agit à la fois de la demande et de l’offre. Ceux d’entre nous qui ont besoin d’énergie pour s’éclairer doivent pouvoir disposer d’options propres pour le faire, et d’une marge de manœuvre budgétaire pour investir dans leurs communautés et leur capacité à s’adapter à l’évolution du monde.

L’optimisme est de mise si les gouvernements se présentent à la conférence sur les changements climatiques de cette année, la COP 28, à Dubaï avec un esprit de coopération et une attention toute particulière pour les solutions. Lors de la COP 28, nous pouvons nous mettre d’accord pour tripler la capacité mondiale en matière d’énergies renouvelables. Nous pouvons doubler l’efficacité énergétique. Nous pouvons montrer que nous doublons les financements destinés à aider les pays à s’adapter aux effets du climat et à les intégrer dans la planification nationale. Nous pouvons faire du fonds pour les pertes et dommages climatiques une réalité qui contribue à la justice climatique. Enfin, nous pouvons tenir nos anciennes promesses en matière de financement de la transition et indiquer comment nous allons financer les prochaines étapes.

Un seul moment, une seule réunion ne changeront pas tout. Mais nous pouvons saisir l’avenir dans les orientations que nous avons définies cette année et fournir le plan qui permettra aux engagements nationaux d’aboutir en 2025.

Je refuse de laisser l’alarmisme me cacher les yeux, et vous ne devriez pas non plus.




A la suite d’une plainte de la CENI : La Police démantèle un réseau de fabricants de fausses cartes d’électeur à Kinshasa

À la suite d’une plainte introduite par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), la Police nationale congolaise a mis la main sur quatre individus, dont trois policiers appartenant à un réseau de producteurs de fausses cartes d’électeur.

Au nombre des personnes arrêtées au sujet du dossier de production de fausses cartes d’électeur à l’antenne de la CENI/Gombe, figure le nommé Papy Niati Mpolo, qui exerçait en tant qu’agent temporaire de la Centrale électorale. Il avait pour complices trois policiers, le brigadier-chef Nzuzi Kinzunga Djoly, Séraphin Muanda Muangala et Gloire Mbala Luyeye.

Papy Niati Mpolo, informaticien de son état, a réussi à mettre en place un réseau de faussaires qui passaient par ses soins pour parvenir à leurs fins. Il en produisait autant que possible à sa résidence sise 30, Avenue Kimpemba, quartier 3 dans la commune de Ndjili.

Le mode opératoire de ces individus se présente comme suit :

  1. Les trois policiers ci-haut nommés, interpellés au même moment que sieur Papy Niati Mpolo agissaient en qualité d’intermédiaires chargés de trouver des demandeurs de nouvelles cartes d’électeurs ou de duplicata.
  2. Une fois arrivé sur place pour soit solliciter un duplicata de carte d’électeur soit des personnes non enrôlées lors de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs souhaitant en obtenir une, les policiers précités prenaient en charge la requête du demandeur.
  3. Sur les sommes d’argent exigées à leurs victimes, Papy Niati Mpolo, le cerveau de la bande, percevait 10 000 FC.
  4. Aussitôt la demande enregistrée via certains individus composant ce réseau y compris quelques agents de la police dans le coup, Papy Niati Mpolo livrait, le lendemain, la fausse carte au sein même des installations de l’Antenne donnant l’illusion d’une vraie pièce authentifiée par la CENI.
  5. Ces inciviques photographient les requérants à l’aide de leurs téléphones portables avec leur identité qu’ils faisaient parvenir immédiatement à M. Papy Niati Mpolo qui disposait de tous les intrants pour produire ces fausses cartes. Le matériel utilisé par ces faussaires est composé de trois imprimantes utilisé par la CENI en 2017, un ordinateur, avec une maquette de la carte d’électeur conçue et préinstallée. Le chef de bande ne changeait que les données en produisant en un tour de main ces fausses cartes d’électeur.

Il est important de souligner que les électeurs porteurs de ces fausses cartes, fabriquées avec les moyens de bord, seront incapables de voter le 20 décembre prochain.




Tanganyika : Paul Muhindo lance la formation des agents directs du processus à Nyunzu

Le Rapporteur adjoint de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Paul Muhindo séjourne dans la province de Tanganyika où il a lancé officiellement lundi 27 novembre 2023, dans le territoire de Nyunzu, province de Tanganyika, la formation des agents directs du processus à savoir les chefs des centres de vote, (CCV), des Techniciens informatiques des centres de vote (TICV) et des présidents formateurs (PF).

A son arrivée à l’aéroport de Kalemie pour une mission de supervision, il a été accueilli chaleureusement par l’équipe provinciale de la CENI  de Tanganyika conduite par le Secrétaire exécutif provincial (SEP), Francis Ilunga Ngoie Shabanza.

Paul Muhindo s’est directement rendu aux installations du SEP pour une mise au point avec les équipes sur place. Au cours de cette réunion technique, il s’est imprégné du déroulement du processus dans cette partie de la RDC.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En présence du SEP et Chef d’Antenne, Paul Muhindo a rappelé toutes les étapes de formation en commençant par le niveau 0 sur l’harmonisation des modules dispensés, la formation  niveau 1 qui a permis d’avoir les missionnaires, le niveau 2 et 3 qui ont été combinés où près de 1364 participants formateurs électoraux nationaux, SEP, chefs d’antennes, etc. ont été formés.

Le niveau 4 lancé ce jour concerne les agents directs du processus, au total 79,852 qui sont formés sur toute l’étendue du territoire national.

Durant les 7 jours de formation, les 596 facilitateurs vont être formés sur les opérations de vote, compilations des résultats, la manipulation des fiches, l’utilisation de dispositif électronique de vote (DEV), et apprendront également la procédure liée à l’andragogie.

Paul Muhindo a, à cette occasion, conscientisé les participants d’être responsables face aux enjeux de ces scrutins combinés, d’être attentionnés,  de respecter les procédures qui leur seront dispensées et les consignes de la hiérarchie.

Le Rapporteur adjoint les a interpellés en outre à ne pas être politisés et d’éviter le favoritisme

Avant son adresse, Paul Muhindo a fait observer à la salle une minute de silence en mémoire du SEP Nord-Kivu Justin Kyatsinge, décédé en pleine opération pour le combat qu’il a mené et son honneur.

Bien avant de se rendre à Nyunzu, ce membre du bureau  a visité  Mme Feza Malumba Biduaya, une missionnaire malade et hospitalisée. Cette dernière se porte déjà bien, selon les témoignages des médecins.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il s’est vu être bloqué par l’état de délabrement de la route, vers le village Mushaba à 18 km de la Ville de Kalemie, du fait de l’écroulement du pont principal reliant Kalemie à Nyunzu suite aux pluies diluviennes. Ce qui a contraint l’équipe de la Centrale électorale à emprunter une voie secondaire pour atteindre ce territoire en proie à l’insécurité. Ceci démontre la détermination de la CENI à gagner le pari de la réussite de la tenue des scrutins combinés du 20 décembre prochain.




Kindu : Le cortège de Katumbi attaqué, une personne tuée par balle réelle

La ville de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema est en ébullition en ce moment avec l’arrivée ce mardi de  Moïse Katumbi Tchapwe. Des centaines des milliers des personnes se sont déplacée  pour l’accueillir à l’aéroport national de Kindu.

Le candidat à la  présidence de la République a parcouru 6 km  pour se diriger vers la place Mapon  dans la commune de Mikelenge, sous une ovation incommensurable du public.

Des coups des balles tirés par les éléments de maintien de l’ordre public pour  disperser la foule ont atteint deux personnes, dont l’un a trouvé la mort sur le champ. Il s’agit de Me Dido Kankisimbi, Avocat près la Cour d’Appel et chargé de la Jeunesse du parti Ensemble pour la République.

Soulignons que d’autres blessés sont admis à l’Hôpital Mapon de Lumbulumbu.  Pour le moment, on observe un calme apparent dans la ville. Plus de détails dans notre prochaine livraison.




Campagne électorale : Carole Agito ouvre la porte du Bas-Uélé à Fatshi 20

Au 8ème jour de la campagne électorale, la sénatrice Carole Agito, candidate n°15 de la ville de Buta aux législatives nationales, s’en va à la conquête de l’unique siège à la députation nationale de la ville chef-lieu.

“Je suis venu ce lundi 27 novembre pour mieux échanger avec vous mes frères dans le cadre de cette campagne électorale et vous annoncer l’arrivée de mon candidat, votre candidat aussi Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo numéro 20 qui sera ici à Buta ce mardi 28 novembre”, a déclaré Mme Carole Agito lors d’un face-à-face avec la population venue nombreuse l’accueillir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

“Je vous prie de venir m’accompagner demain à l’aéroport comme vous en avez l’habitude pour accueillir notre champion, le numéro 20 et lui témoigner tout notre soutien pour le scrutin de ce 20 décembre “, à renchéri l’honorable Carole Agito.

Venue nombreuse l’écouter, la population lui a donné des garanties de son engagement à faire d’elle son représentant à l’Assemblée après avoir, dit-elle été déçue par celui où ceux (selon les cas) qui les ont représenté à la chambre basse.

Fort de cet engagement solennelle, la victoire du numéro 15 de la ville de Buta est scellé .