Le Maroc, le Portugal et l’Espagne signent officiellement l’accord de candidature pour l’organisation de la Coupe du monde de la FIFA 2030

Les Fédérations de football du Maroc, du Portugal et de l’Espagne ont signé officiellement, mercredi, l’accord de candidature pour l’organisation de la Coupe du monde de la FIFA 2030.

La signature de l’accord de candidature est un engagement des trois Fédérations de football à respecter les règles et le cadre régissant le processus de candidature, indique la Fédération royale marocaine de football (FRMF) dans un communiqué publié sur son site internet, notant que le document offre également des orientations sur les aspects techniques clés de la candidature, tels que sa promotion et ses critères d’évaluation.

“Les Fédérations marocaine, portugaise et espagnole de football vont désormais collaborer plus étroitement que jamais à l’élaboration d’une candidature qui permettra à la Coupe du Monde de la FIFA de dépasser toutes les attentes”, précise la FRMF, ajoutant qu’”en partageant leur vision et leurs perspectives pour le tournoi le mois dernier, les Fédérations ont exprimé leur intention de livrer un tournoi qui renforce l’héritage de la Coupe du monde de la FIFA, développe le football et qui aura un impact significatif dans le monde entier”.

Avec la Coupe du monde de la FIFA 2030 marquant le centenaire de la première édition du tournoi, poursuit la même source, “des efforts particuliers seront déployés pour faire en sorte que le tournoi serve de modèle pour les 100 prochaines années”.

“Il s’agit notamment pour les pays hôtes de mettre en valeur leurs cultures uniques afin de favoriser la collaboration entre l’Europe, l’Afrique et le reste du monde, tout en veillant à ce que l’événement soit durable, convivial et inclusif pour les supporters de tous âges et de tous horizons”, précise le communiqué.

Lors de la signature de l’accord de candidature, le président de la Fédération portugaise de football, M. Fernando Gomes a indiqué que la signature de l’accord de candidature représente “un moment historique pour nos Fédérations et pour le football dans nos trois pays”.

“Aujourd’hui, nous célébrons tous ceux qui ont rendu ce moment possible, et à partir de demain, nous travaillons à l’élaboration d’une candidature et d’un plan de tournoi qui impressionneront les fans de football du monde entier et à l’organisation d’un tournoi qui sera une nouvelle expérience unique pour tous les fans de football dans le monde entier”, a-t-il relevé.

De son côté, le président de la Fédération royale marocaine de football, M. Fouzi Lekjaa a souligné que “grâce à la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu l’Assiste, le football au Maroc se développe comme jamais auparavant, depuis la base jusqu’à nos équipes nationales”. “Unir nos forces à celles du Portugal et de l’Espagne pour créer une Coupe du Monde de la FIFA qui sera révolutionnaire et qui marquera à jamais l’histoire du football mondial. Ensemble, nous allons écrire l’histoire. La première Coupe du Monde de la FIFA masculine transcontinentale. La première à être organisée dans deux continents et trois pays. Et seulement la deuxième sur l’ensemble du continent africain. Notre impact peut être phénoménal car notre Coupe du monde 2030 sera un évènement footballistique qui marquera un nouveau tournant”, a affirmé M. Lekjaa.

Le président de la Fédération royale espagnole de football, M. Pedro Rocha a, pour sa part, déclaré que “nous sommes très reconnaissants de la confiance que la FIFA a témoigné quant à notre vision jusqu’à présent (…) et nous avons hâte de travailler ensemble dès les prochains mois”.

“Nous sommes conscients de la responsabilité considérable qui accompagne l’organisation d’une Coupe du monde de football et nous en mesurons d’ores et déjà toute la portée. Trois pays accueilleront cette Coupe du monde de la FIFA 2030, mais son héritage sera ressenti partout”, a-t-il ajouté.




Campagne électorale: Martin Fayulu face aux Gomatraciens ce jeudi 30 novembre

Séjournant dans la province du Nord-Kivu après l’étape de la ville commerciale de Butembo, Martin Fayulu Madidi est attendu ce jeudi 30 novembre dans la ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu où il va communier avec cette population meurtrie par la guerre.

Une province qui est encore sous la menace du M23 et d’autres groupes armés qui opèrent dans cette partie de la Rdc. Connaissant la réalité de cette province, le candidat numéro 21 va tenter de proposer à cette population son plan de sortie de cette situation interminable.

Le mercredi, l’opposant Martin Fayulu a tenu son meeting à Butembo à la place commerciale devant une foule nombreuse qui était venue l’écouter. Le candidat numéro 21 a dévoilé son programme axé sur la réforme de l’éducation, la relance des activités agricoles et économiques ainsi qu’écologique.

Abordant l’épineuse question de l’insécurité dans le Nord-Kivu, Martin Fayulu promet de finir la guerre. « La première chose à faire, c’est l’intégrité territoriale, assuré la pacification de notre pays parce que la question de la sécurité reste la clé pour moi. Mettre en place l’état de droit et la justice équitable pour les congolaises et congolais », a-t-il martelé.

Il a en même temps promis d’approcher les multiples investisseurs qui seront déployés dans cette zone pour son décollage économique. A noter que bien avant cela, Martin Fayulu a été à Beni ville ainsi qu’à Oicha, chef-lieu de Beni territoire où il a promis de rétablir la paix dans l’Est de la RDC.




Une branche de la société civile appelle à la suspension du processus électoral en cours et propose une période extraconstitutionnelle de 4 ans

Après avoir analysé minutieusement la situation politique de l’heure et le processus électoral en cours, Alternance Laïque Engagée pour la Refondation Totale de l’État alerte Rdc prévient la classe politique congolaise d’un chaos qui pourra s’abattre sur la Rdc.

Préoccupée par cette réalité, Alerte Rdc et soucieuse de voir la Rdc demeure dans la paix et tranquillité, cette organisation citoyenne au cours d’un point de presse organisé ce mercredi 29 novembre 2023 vient de dévoiler un programme dénommé « plan de contingence d’alerte Rdc pour éviter le chaos au pays ».

Dans ce document, Alerte Rdc propose la suspension du processus électoral en cours et appelle de ce fait les acteurs politiques de la majorité comme de l’opposition, la société civile et les confessions religieuses à envisager une période extraconstitutionnelle pour éviter ce qu’elle qualifie d’un éventuel chaos du fait des élections organisées dans la précipitation.

Dans son plan de gestion des institutions, cette organisation citoyenne estime que cette période devra impérativement marquer la rupture entre le système de gouvernance actuel et l’avènement d’un nouveau mode de gestion du pays basé sur le respect strict des règles, lois et principes établis.

Pour alerte Rdc, le président de la République encore en exercice reste en place, mais ne gouverne pas seul. Il sera accompagné par trois composantes venues de société civile, l’opposition et la majorité au pouvoir.

Cependant, le poste du Premier ministre sera supprimé, l’Assemblée nationale et le Sénat dissouts et remplacés par une Assemblée unique appelée le parlement de transition composé de 579 membres qui viendront de 3 composantes entre temps les assemblées provinciales n’existeront plus, les gouverneurs provinces seront nommé par le président de la République.

Toujours dans le même plan de contingence, Alerte Rdc s’est aussi penché sur le train de vie des institutions de la République qui reste encore au cœur de débat de la classe politique congolaise. Pour Jeff Pambi, Administrateur principal de l’Alternance Laïque Engagée Pour la Refondation Totale de l’État alerte- RDC, cette organisation reste ouverte pour toute autre contribution en termes d’enrichissement de ce plan qui se veut une solution au chaos qui pointe à l’horizon.

Osée Kalombo




Lutte contre le VIH/SIDA, Ange Mavula : « L’Etat congolais est absent dans le fonctionnement des Ong alors que les appuis des partenaires diminuent…»

Le secrétaire exécutif national de l’Ong UCOP +,  Ange Mavula, activiste et expert en renforcement des systèmes communautaires, déplore l’absence de l’Etat congolais  dans le fonctionnement des Ong.

En marge de la célébration de la Journée mondiale de la lutte contre cette pandémie, le 1er décembre,  dont le thème met en exergue le rôle des communautés dans la lutte contre cette pandémie, qui est du type généralisé  avec un taux de prévalence de 1,2%, le secrétaire exécutif de l’UCOP + exhorte l’Etat congolais à s’assumer, à s’approprier cette lutte.

«  Ce sont les partenaires extérieurs qui viennent en appui aux Ong dans le cadre de la lutte contre cette pandémie (…)  Les Ong en Rdc ne fonctionnent que sous le financement des partenaires extérieurs.  Aucun financement, ni dotation de l’État congolais », a-t-il fait remarquer d’un ton monté appelant  de tous ses vœux au changement.

 

Les appuis des partenaires diminuent chaque année…

 

En attendant justement que le gouvernement s’approprie cette lutte, UCOP +, cette Ong sous-récipiendaire du Fonds Mondial sur les aspects communautaires, alerte sur la diminution des fonds de la part des bailleurs. Une situation qui se justifie, parce que la plupart de ces pays donateurs se retrouvent eux-mêmes aussi en difficulté, souvent causé par les guerres.

«  Les appuis des partenaires diminuent chaque année, et viennent avec beaucoup d’exigences. Ils sont sensés venir en complément de l’appui de l’État, et comme cet appui de l’État est minoritaire, leurs priorités priment ; le principe de la main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit », a fait remarquer Ange Mavula, avant d’ajouter ceci : « Il faut avouer que l’appui de l’État congolais n’est pas significatif. Normalement c’est lui qui devrait donner le gros, mais c’est le contraire ; logique inversée ! Aujourd’hui sur le terrain, les Ong sont beaucoup plus présentes que l’Etat lui-même. Ce qui devrait l’interpeller et l’obliger à être conséquent à l’égard des Ong, qui sont ses partenaires ».  C’était avant de souligner ceci : « Nous sommes le pont entre les communautés et les programmes de l’État ; là où l’État n’arrive pas, nous sommes bien présent ».

 

La  communauté devra prendre la relève…

                                                     

« C’est bien réfléchi maintenant que les partenaires se retirent petit à petit, c’est la communauté qui prendra le relais. C’est ça qui va consolider l’appropriation », a réagi le secrétaire exécutif national de UCOP +, qui a estimé que la thématique, retenue dans le cadre de la commémoration de la Journée mondiale contre le VIH/SIDA, renforce le rôle des communautés. Et l’Etat congolais, souligne-t-il, devra s’en rendre compte afin de soutenir le travail des Ong dans la lutte contre la pandémie du VIH/SIDA.

«  Confier le leadership aux communautés », tel le thème retenu pour cette grande fête de la Jms, qui coïncide avec les 40 ans d’existence du virus du VIH. Pas encore des médicaments. Cependant, des progrès sont énormes. Des grands pas ont été faits notamment dans la prise en charge médicale même s’il y a encore plusieurs autres défis à relever.

La stratégie 95%,95%,95% du Programme commun des Nations unies sur le VIH/SIDA (ONUSIDA)  s’avère actuellement comme le socle de cette vision mondiale d’éliminer cette maladie. Il en est de même de l’Alliance globale pour l’élimination du VIH/SIDA pédiatrique d’ici à 2030.

A ces deux stratégies mondiales, il faut une bonne volonté politique pour réellement arriver à renverser la tendance.

 

Prince Yassa      




3eme phase de la compagne contre la polio : Beaucoup de refus de la part des parents n’ont pas facilité la tâche aux vaccinateurs

La campagne s’est bien déroulée sauf qu’il y a eu beaucoup de  difficultés rencontrées avec  les parents. Beaucoup n’ont pas n’ont pas voulu nous céder les enfants.  Ils avancent plusieurs raisons. Soit il faut attendre le retour de papa ou de la maman. Ou encore l’église, alors que la campagne n’est organisée que pendant trois jours, soit encore le vaccin n’est pas bon. Il y a beaucoup de préjugées de la part des parents et des gens que nous rencontrons dans les parcelles »,  a indiqué Monsieur Chrispin  Nzuzi, relai communautaire Kaula II de l’air de santé Kauka II Kalamu I.

A l’en croire, beaucoup d’enfants n’ont pas été vaccinés à cause du refus de leurs parents. « Je regrette que ce refus vienne des parents aussi intellectuels, qui comprennent le bien-fondé de la vaccination.  Nous perdons beaucoup de temps face à cela, parce qu’il faut prendre du temps pour expliquer, convaincre (…). Dans la plupart des cas,  c’est un refus catégorique. Tantôt,  il faut expliquer, faire comprendre  que le vaccin reçu avant est différent de celui de la routine. Celui-ci a une dose un peu plus élevée. Ce sont les mêmes parents qui après la campagne, viendront nous chercher au niveau du centre», a ajouté ce relai communautaire.

Pour cette troisième phase de la campagne contre la poliomyélite, couplée  de la supplémentation de la vitamine A et  au déparasitage du benzoyle,  2millions 123 milles 518 enfants âgé de 0 à 59 mois étaient attendus.

«  L’objectif pour cette campagne est d’atteindre 95% e la cible en attendant le rapport du monitorage  dépendant, qui sera organisé par le bureau de l’Organisation mondiale de la Santé.  Le vaccin, la vitamine et le benzoyle seront administrés par voie orale par stratégie porte à porte. C’est-à- dire que les vaccinateurs, les supplémentaires passeront d’une maison à une autre et partout où les enfants se trouvent pour les vacciner et les supplémenter afin de protéger cette tranche d’âges très vulnérables. Ainsi, j’exhorte la population kinoise à faire vacciner et supplémenter les enfants et en faire en sorte qu’aucun enfant ne soit oublié »,  avait indiqué Maitre Benoit Mpinga Kampaka, représentant la ministre provincial de la Santé, lors du lancement de la campagne au niveau du terrain de football, situé sur la chaussée Kimwenza à Yolo Ezo.

En soutien à cette action salvatrice, le coordonnateur provincial de l’Initiative mondiale de l’éradication de la Polio (IMEP), le Docteur Dr Mody Conombo, avait sollicité l’engagement de toutes les communautés afin que tous les enfants soient vaccinés. C’était en ces termes : « Nous sollicitions donc, l’engagement de tous pour informer et profiter (…) de toutes les communautés autour de nous  pour le succès de cette campagne afin que tous les enfants soient vaccinés. Aux acteurs de terrain, ici nous citons les superviseurs, les vaccinateurs, les mobilisateurs… Je voudrais vous encourager à donner les meilleurs de vous-même pendant cette phase pour qu’aucun enfant quel qu’il soit son lieu de résidence, sa culture sa religion, sa provenance ou sa classe sociale ne soit oublié.  Que tous les enfants cibles aient la chance d’être vaccinés contre cette maladie, supplémentés  et parasités par le benzoyle pour être protégés contre les verres intestinaux ainsi que les carences en vitamine A ».

Ainsi, malgré l’abnégation des vaccinateurs et des relais communautaires, il faut avouer que la tâche n’a pas été facile pour eux.  Dans une parcelle, qui a par exemple trois familles, l’équipe de vaccinateur pouvait mettre 1 heure du temps avant de convaincre  et arriver à vacciner les enfants.

Une situation qui oblige le Programme élargi pour la Vaccination (PEV) et ses partenaires à travailler encore dur sur le mental des populations en martelant sur les avantages de la vaccination.

Prince Yassa

 




Comme l’a prédit Vital Kamerhe : Félix Tshisekedi a triomphé à Kisangani

C’est du jamais vu ce que la population de la Tshopo vient de démontrer ce mercredi 29 octobre à son Leader naturel Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et son épouse Mme Denise Nyakeru Tshisekedi à leur arrivée dans la capitale boyomaise dans le cadre de la tournée électorale qu’ils effectuent à l’intérieur du pays en prélude des élections du 20 décembre prochain.

Précédé dans cette ville par le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale Vital Kamerhe venu renforcer la cohésion entre les militants des partis membres de l’Union sacrée de la Nation et sensibiliser la population boyomaise pour mettre ensemble les efforts afin de porter en première position le candidat numéro 20 aux élections présidentielles prochaines, le couple Tshisekedi s’est dit ému par l’accueil triomphale que venait de lui réserver la population boyomaise à Kisangani.

Des centaines des milliers de fils et filles de la Tshopo dont certains sont venus des territoires lointains se sont amassés le long du 16 km de route qui sépare l’aéroport de Bangoka à la place de la poste où il n’y avait plus où mettre les pieds.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est une véritable communion entre un peuple et son Leader qui a été observée au cours du meeting exceptionnel dans lequel, pour la première fois depuis le début de la campagne, le micro à changer de main.  La population Boyomaise qui a rassuré Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo de le porter à la première place de résultats de l’élection présidentielle prochaine a  préféré lui parler en face pour lui définir la mission qu’elle lui confie au cours de ce second mandat pour ramener la paix et le développement dans la province de la Tshopo.

Sans protocole ni exclusion, indique une dépêche de la Cellule de communication de l’UNC, les hommes et les femmes de plusieurs couches sociales ont défilé sur le podium tirés par les propres mains du Président Félix Antoine Tshisekedi pour faire entendre les cris d’alarme des boyomais.

Un échange franc avec la population

Sous l’oreille attentive du candidat numéro 20, la première interpellation a concerné le conflit terrien qui oppose les Bambole du territoire d’Opala et les Balengola du territoire d’Ubundu ayant engendré plus de 30 milles déplacés internes. À cette question le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a annoncé que depuis le mardi 28 il a instruit au Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale Vital Kamerhe de mettre sur la même table les Chefs coutumiers de ces deux territoires pour trouver ensemble une solution qui va mettre d’accord les populations de ces deux entités. Les réunions commencées avant son arrivée vont se poursuivre le jeudi 30 novembre sous la conduite du Pacificateur Vital Kamerhe qui lui réservera la primeur des conclusions.

Quant au problème d’insécurité dans la province d’Ituri qui a une incidence majeure sur le bien-être de la population boyomaise, Félix Antoine Tshisekedi a promis de ne jamais baisser les bras dans la recherche de la paix non seulement dans cette zone mais aussi dans le Nord-Kivu où sans relâche il coordonne les interventions de l’Armée Nationale Congolaise pour barrer la route aux ennemis de la république.

Sur la question du manque de l’électricité et de l’eau, conscient de l’immensité de l’étendue de la province qui en souffre, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo s’est engagé personnellement à poursuivre avec les efforts déjà entamés sous son premier mandat pour résoudre ce problème qui le tient à cœur.

À la réclamation des étudiants sur les conditions d’études dans les différents campus, Félix Antoine Tshisekedi a tenu à faire savoir aux étudiants boyomais que l’éducation à tous les niveaux fait partie des priorités de son projet de société. Plusieurs actions ont déjà été lancées pendant son premier mandat et le chronogramme prévoit de poursuivre avec d’autres étapes d’amélioration des conditions notamment dans les milieux universitaires, dans les instituts et bien sûr à l’école primaire et secondaire.

D’autres personnes ont abordé la question de la couverture santé universelle principalement les épouses des militaires et des policiers qui sont les premières à en souffrir. Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a rappelé son ambition, celle d’atteindre au cours de son règne la couverture totale du territoire congolais par cette mesure. Il a par ailleurs rappelé qu’aujourd’hui la maternité gratuite est effective sur presque toute l’étendue du pays et les efforts continuent à être faits pour que ça soit effectif dans tout le pays.

La forte liesse n’a pas permis au candidat numéro 20 d’avoir à écouter tout le monde qui voulait s’exprimer car il lui était difficile de contenir la joie exprimée par cette population qui demandait, par des chants improvisés, à Vital Kamerhe de dire au Président de ne pas s’inquiéter car ils lui donneront tous leurs voix.

Pour la toute première fois, la sécurité présidentielle a été débordée mais sans aucun danger car la population elle-même s’est substituée en agent de sécurité exprimant sa joie en toute discipline et sans incident ni casse.

Interrogés dans la tribune plusieurs personnalités de la Tshopo ont remercié Félix Tshisekedi pour les efforts déjà entrepris dans leur province et lui ont promis un soutien indéfectible au cours des élections prochaines. Beaucoup ont salué l’initiative du Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale Vital Kamerhe pour avoir posé ses valises à Kisangani deux jours durant afin de préparer avec les Tshopolais l’accueil du candidat numéro 20, un sacrifice pour ce grand homme qui se prive de battre sa propre campagne dans le Sud-Kivu où il est candidat numéro 16 aux législatives nationales à Bukavu.

Avec l’accueil extraordinaire de Kisangani le duo Fatshivit s’est reconstitué comme en 2018 pour mettre ensemble leurs efforts afin de conserver ce pouvoir obtenu au prix du sacrifice.

 




Maï-Ndombe : Christophe Mboso lance la campagne de Tshisekedi à Inongo

Christophe Mboso N’kodia, membre du présidium de l’Union Sacrée de la Nation est arrivé ce mercredi 29 novembre 2023 à 14h15′ à Inongo, pour lancer la campagne électorale du candidat nº20, Félix-Antoine Tshisekedi dans la province du Maï-Ndombe.

Aussitôt arrivé, Christophe Mboso N’kodia a été accueilli par la Gouverneure de cette province Rita Bola.

Il faut dire Christophe Mboso N’kodia a été accueilli par une foule immense comme patriarche du Grand Bandundu.




Goma : Julien Paluku encourage les candidats députés provinciaux du regroupement Alliance Bloc 50

Après une ronde dans les Quartiers généraux des candidats députés nationaux du regroupement Alliance Bloc 50 AB 50 la veille à Goma, c’était au tour des candidats députés provinciaux de ce regroupement de recevoir la visite de leur Autorité morale, le ministre Julien Paluku, Autorité morale de ce regroupement, ce mercredi dans leurs quartiers généraux respectifs.

Dans cette descente d’appui  sur le terrain aux 12 candidats du regroupement  A-B50 à la députation provinciale dans le territoire de Nyiragongo et la ville de Goma, l’ancien Gouverneur du Nord-Kivu a sollicité le suffrage du peuple pour ses valeureux disciples étant donné qu’il n’est pas lui-même candidat dans la ville volcanique.

Vêtu d’une chemise blanche arborant la photo du candidat numéro 20 Félix Tshisekedi, Julien Paluku a appelé à la consolidation des acquis pour un avenir meilleur de la RDC, en votant pour lui à la magistrature suprême, car c’est le choix le plus utile pour la survie de la Nation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Comme c’était la journée du 28 novembre, au cours de laquelle j’ai sillonné les QG des candidats députés nationaux, à partir de ce matin, j’ai fait le tour des QG des candidats députés provinciaux dans la ville de Goma. Le message était unique, ce que nous avons besoin de faire élire notre candidat unique, le président Fatshi, et que tous ces candidats disséminés dans la ville de Goma ont la mission de pouvoir rependre cette bonne nouvelle auprès de la population de Goma, au regard de ce que le président Tshisekedi est en train de faire pour la République, lui permettre d’avoir un 2è mandat pour consolider les acquis », a indiqué Julien Paluku.

Et d’ajouter que chaque acteur politique a toujours eu des ambitions, c’est d’avoir un espace au cours duquel il va essayer de gérer les institutions. « Nous avons l’ambition de gérer le Nord-Kivu. Voilà pourquoi nous mobilisons tous nos candidats députés provinciaux et toute la population autour d’eux pour que nous ayons le plus grand nombre des députés provinciaux et ainsi nous rassurer que nous aurons demain le Gouverneur élu sur la liste du Bloc 50.

Signalons que Julien Paluku Kahongya était accompagné de Jean-Marie Katokolyo, Président a.i du BUREC.




Tshisekedi triomphe à Kisangani

Kisangani, la ville martyre de la province de la Tshopo, a vécu une ambiance sans pareil ce mercredi. Les Boyomais ont assiégé les abords de l’aéroport international de Bangoka et ont réservé un accueil exaltant au candidat Président numéro 20.

Noyé dans la foule, il était difficile pour Félix Tshisekedi de se frayer un chemin pour atteindre la Place de la Poste, lieu du meeting, au regard de la marée humaine qui avait envahi les installations aéroportuaires et les principales artères de la ville.

Chants, danses et slogans en l’honneur du candidat Président numéro 20 ont marqué ce moment historique, avant les échanges proprement dits dans cet espace où l’attendait une foule immense depuis les premières heures de la journée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur place, Félix Tshisekedi, visiblement très ému par cet accueil, est resté à l’écoute de ses hôtes. Jeunes et vieux ont ainsi fait part à leur Président, de leurs différentes préoccupations. Le candidat numéro 20 s’est montré rassurant et convaincant.

« Ceux qui ont spolié une partie de terre de la commune urbano-rurale de Lubunga seront interpellés », a notamment indiqué Félix Tshisekedi. Aux femmes des militaires, il a annoncé l’amélioration de la solde de leurs époux avec la loi de programmation militaire déjà promulguée.

Dans cette forte communion, les Boyomais ont clairement fait leur choix : consolider les acquis, le 20 décembre prochain, en votant le candidat Président de la République numéro 20.