Lettre ouverte au peuple congolais (Par Dr Prof Antoine-Roger Lokongo)

Chers compatriotes, déjà nous souffrons parce que Félix Tshisekedi est le produit de notre propre naïveté, de nos propres turpitudes ! Une naïveté que, comme nous renseigne notre histoire, l’homme blanc est venu cultiver en nous pour nous pousser à abandonner de développer tout ce que nos ancêtres nous ont légué comme science et technologie, culture, valeurs morales et spirituelles, religions, modes de gouvernance, etc., et d’adopter son mode de vie à partir du piédestal où il nous a mis. Il a tout fait pour que nous oublions notre histoire et nous a imposé une trajectoire à son profit pour les siècles à venir. Nous risquons une fois de plus de payer le prix de notre naïveté bien cultivée, ignorant que tous ces candidats qui défilent devant vous sont fabriqués par les puissances occidentales, par la bourgeoisie occidentale, pour vous maintenir dans la servitude ! Je n’ai rien contre le Dr Mukwege, mais je vous dit qu’il est le produit de la Fondation Bill Clinton qui soutient en même temps Museveni et Kagame au Congo pendant plus de 30 ans: génocide, pillages, viols, occupation des terres. Je n’ai rien contre Matata, mais je vous dit qu’il est le produit du FMI et de la Banque mondiale qui n’ont développé aucun pays du monde. Je n’ai rien contre Sessanga, mais c’est un ancien rebelle du RCD-Kigali. Je n’ai rien contre Fayulu, mais je vous dit que c’est un pion des Américains. Une compagnie américaine de lobbying travaille déjà pour lui aux Etats-Unis en contrepartie des millions de dollars. Je n’ai rien contre Moïse Katumbi, mais lorsqu’il était gouverneur, il s’employait à vous distraire avec le football, alors qu’il s’enrichissait avec les minerais du Katanga, sa compagnie a établi une filière à Nairobi pour vendre les minerais exploités au Katanga. Le problème avec Moïse Katumbi, ce n’est pas son ascendance juive ni sa femme Tutsi. Non! Le débat ne doit pas être antisemitisé ici. Seule l’histoire doit nous éclairer et enseigner l’histoire ce n’est pas verser dans l’antisémitisme. Non! En effet, Moïse Katumbi c’est aussi le candidat des bourses occidentales et ces bourses occidentales qui contrôlent toute l’économie occidentale sont ténues par les richissimes juifs. Ça c’est un fait. Deuxième fait : les propriétaires des bateaux d’esclaves venus de l’Amérique en Afrique et au Congo en particulier assuraient ces bateaux auprès des banques juives. Troisième fait : pour mettre en valeur son État Indépendant du Congo, sa propriété privée, Léopold II est allé s’endetter auprès des banques juives aux États-Unis. C’est Maurice Tempels le richissime diamantifère juif qui a mis l’arme entre les mains de Mobutu pour tuer Lumumba. Mais Dan Gentler, un juif a pris le risque de venir investir au Congo du côté du gouvernement congolais, alors que le Congo était agressé par les régimes Tutsi du Rwanda et de l’Ouganda soutenus par certains richissimes juifs en Occident. Moïse Katumbi est Congolais mais il maintiendra ses liens avec son ascendance juive et cela veut dire livrer tout le patrimoine minier Congolais aux bourses occidentales ténues par les Juifs. Or le Congo n’est pas à vendre à qui que ce soit. Autant mieux le dire maintenant avant qu’il ne soit trop tard. La bourgeoisie occidentale sait bien calculer, voit bien loin et donc planifie bien son exploitation à long terme. Moi je ne vais voter personne car je ne crois pas en ce processus électoral en premier lieu. Tout ce que je vous demande, c’est d’ouvrir l’œil et le bon, de vous libérer de votre naïveté légendaire sinon vous n’aurez que vous-mêmes à vous plaindre. Opposez les valeurs nous léguées par Patrice Lumumba et Mzée Laurent Désiré Kabila aux différents discours démagogiques de ces soit-disant candidats déjà élus en Occident et demandez le retour de Joseph Kabila. Tel l’or, il est passé par le feu et s’est purifié ! Il fera un bon président. Les enjeux sont graves (surtout la balkanisation du pays). Ce n’est plus le moment de confier la direction du pays à un autre néophyte ou à une autre marionnette des puissances occidentales. A bon entendeur salut !

 

Dr Prof Antoine Roger Lokongo




Sahara: La position des Etats-Unis inchangée, soutien constant au plan marocain d’autonomie (Département d’État)

Les Etats-Unis ont réitéré, lundi, leur position constante vis-à-vis de la question du Sahara marocain, réaffirmant leur soutien au plan marocain d’autonomie comme étant “sérieux, crédible et réaliste”.

Les Etats-Unis “continuent de considérer le plan d’autonomie au Sahara comme sérieux, crédible et réaliste” pour mettre un terme au conflit artificiel sur le Sahara, a indiqué le porte-parole du département d’Etat américain, Matthew Miller.

“Nous soutenons pleinement l’envoyé personnel du Secrétaire général de l’ONU alors qu’il intensifie le processus politique mené par l’ONU sur le Sahara afin de promouvoir sans plus tarder une solution durable” à ce différend régional, a ajouté le porte-parole lors d’un point de presse à Washington.

La déclaration du porte-parole du département d’Etat américain consacre la position constante des Etats-Unis, laquelle a favorisé la reconnaissance historique en 2020 par cette puissance internationale et membre influent du Conseil de sécurité de l’ONU, de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur l’ensemble de son territoire, y compris ses provinces du Sud.

Interrogé, par ailleurs, sur la visite effectuée récemment par l’ambassadeur des Etats-Unis en Algérie, Elizabeth Moore Aubin, à Tindouf, le porte-parole du département d’Etat a précisé qu’elle s’inscrit dans le cadre d’une visite organisée par l’ONU qui a réuni un large éventail de donateurs internationaux, rappelant que les Etats-Unis sont le plus grand contributeur aux efforts humanitaires dans le monde.

“Il n’y a eu aucun engagement bilatéral avec le polisario” lors de ce déplacement, a assuré le responsable américain.

Cette déclaration claire et limpide vient contredire les allégations colportées par certains médias qui ont fait état de prétendues rencontres entre l’ambassadeur américaine et des dirigeants de l’entité séparatiste.




CAN 2023 : De 23 à 27, la Caf élargit la liste des joueurs par sélection…

A 54 jours du coup d’envoi de la compétition, la Confédération africaine de football (CAF) a finalement donné son feu vert pour les listes comprenant jusqu’à 27 joueurs en perspective de la CAN 2023.

L’information a été divulguée par Idriss Diallo, le président de la Fédération ivoirienne de football (FIF). Le dirigeant a en l’occurrence vendu la mèche à la presse sportive à Dar Es Salam, en Tanzanie, la veille du match Gambie-Côte d’Ivoire, comptant pour la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 dans le groupe F. « La CAF nous a donné une information selon laquelle les sélectionneurs peuvent prendre jusqu’à 27 joueurs pour la liste de la CAN », a déclaré le sexagénaire dans des propos rapportés par le média Prom’Ivoire sur X (anciennement Twitter). « Donc, le coach Gasset (sélectionneur de la Côte d’Ivoire, ndlr) peut prendre jusqu’à 27 joueurs ou moins, s’il le souhaite », a-t-il ajouté.

La CAF a écouté Aliou Cissé ?

Si aucune officialisation n’a encore été faite par la CAF à l’heure où sont écrites ces lignes, cette annonce devrait faire le bonheur d’Aliou Cissé. Le sélectionneur de l’équipe du Sénégal avait notamment cartonné l’instance la semaine dernière en raison du retour des listes à 23, contre 28 autorisés depuis la CAN 2021 (pour cause de Covid-19) jusqu’à fin octobre passé.

« Depuis le début des éliminatoires, toutes les équipes ont convoqué entre 28 et 30 joueurs pour ensuite diminuer. Aujourd’hui, tout le monde est conscient de la dureté de cette CAN, des difficultés qui existent dans cette CAN. Entre contre-performances, suspensions et maladies, je pensais que la CAF aurait pu ne serait-ce que laisser le fait qu’on puisse être à 26 ou à 27. En réalité ça ne gâchera rien car pour nous les entraîneurs ça nous permet d’avoir plus de possibilités. Ce sont des situations où la CAF devrait nous consulter en tant que technicien », avait pesté le patron des Lions le 10 novembre dernier, en marge de l’annonce de sa liste… des 23 pour les deux premières journées des éliminatoires de la Coupe du monde.




Les cœurs et les votes des femmes de la DINACOPE conquis par Tony Mwaba 

Toutes vêtues en bleu, symbole de la rigueur, les femmes de la Direction Nationale de Contrôle de la Préparation, de la Paie et de la Maîtrise des effectifs des Enseignants et Personnelles administrative des établissements scolaires (DINACOPE), réunies au sein de l’Union Nationale des Femmes du Secope ont reçu ce lundi 20 novembre le Ministre de l’Enseignement Primaire Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi dans le chapiteau de l’Espace 19.

C’est à l’occasion du 5eme anniversaire de cette Union professionnelle de la DINACOPE, que les femmes de ce service phare du Ministère de l’EPST ont invité le Ministre de tutelle comme invité d’honneur avec lui le candidat député national Lukunga qu’il est pendant cette période de campagne.

D’un jeu de quiz à des scénettes ainsi que des pas de danse, cette journée de fête a été l’occasion pour ces femmes de remercier le Ministre Tony Mwaba pour le travail abattu pendant son mandat à la tête de l’EPST.

Une reconnaissance exprimée par des cadeaux offerts au Ministre dont le plus précieux est la promesse de voter pour le professeur Tony Mwaba avec son numéro 982 qu’elles ont tendu bien visible dans la salle.

Après la présentation de son CV par son Conseiller en Communication, le patron de l’EPST à l’heure, candidat député national n°982 à la circonscription de la Lukunga, a remercié les femmes mais aussi les hommes de la DINACOPE pour l’accompagnement dans la lourde mission de réussir la gratuité de l’enseignement primaire public, lui confiée par le chef de l’État.

Tony Mwaba en a profité également pour présenter son bilan a la tête de l’EPST mais aussi en tant que député national, un bilan plus qu’élogieux avec des réalisations majeures et a impact visible.

Dans sa peau de candidat, le numéro 982 a appelé ces femmes à voter massivement pour sa candidature à la réputation nationale mais surtout pour le Chef de l’État Félix Tshisekedi candidat président de la République n°20

Ayant répondu favorablement à l’invitation des femmes de la DINACOPE, Tony Mwaba en a profité pour inviter ces dernières au lancement officiel de sa campagne électorale prévu ce samedi 25 novembre 2023 au stade vélodrome de Kintambo.




Campagne électorale en Ituri : Le commissaire supérieur invite les candidats au respect de l’ordre public 

C’est depuis le dimanche 19 novembre que la campagne électorale pour les élections présidentielles, législatives et municipales a été lancée sur toute l’étendue du pays, en prévision des élections prévues le 20 décembre prochain, selon le calendrier de la CENI.

Cependant dans la ville de Bunia en Ituri, aucune agitation n’a été observée en ce début de campagne caractérisée par une timidité en ce qui concerne d’affichage de photos des candidats, y compris des bruits de caravanes en musique sur les artères de la ville, voire dans certains quartiers.

Préoccupé par la sécurisation de son entité en cette période de campagne, le Maire policier de la ville invite la population à ne pas céder à la manipulation politicienne tendant à déstabiliser la ville. Cependant, le Commissaire supérieur Bosco Mbuyi-Kola a aussi lancé une mise en garde à tous les candidats.

« Je dis à la population que le moment tant attendu est là, elle sera en face de plusieurs candidats qui viendront solliciter leurs voix. Certains avec l’argent et d’autres apporteront les biens matériels. Que la population sache qu’on n’a pas besoin de tous ces biens, mais plutôt des bons leaders. Pour les candidats qui viendront à Bunia, ils seront les bienvenus et ça fait longtemps que nous observons une accalmie dans la ville. Je leur demande de respecter l’ordre public et de ne pas agir comme s’ils sont au-dessus de la loi », dit le Commissaire supérieur Bosco Mbuyi Kola.

A noter que selon le calendrier de la CENI, cette période de la campagne électorale ira jusqu’au 18 décembre prochain, soit 48h avant les élections prévues le 20 décembre 2023.




A l’Open de Montréal, au Canada 2023 qualificatif aux J.O Paris 2024 : Musumadi Clément glane la médaille de bronze

En dépit de l’abandon et le peu d’attention dont ils sont l’objet de la part du ministère des Sports et loisirs et partant du gouvernement congolais, les judokas congolais font parler la poudre partout où le devoir de défendre la patrie les appelle. On l’a vécu avec les 6 judokas alignés à l’Open de Yaoundé, au Cameroun 2023 et on vient de le vivre à l’Open de Montréal, au Canada 2023 où le seul congolais aligné, en l’occurrence Musumadi Clément, a glané la médaille de bronze dans la catégorie +100 kg.

Il faudra noter que les deux compétitions sus-évoquées ont eu lieu à la même période du samedi 18 au dimanche 19 novembre 2023. Et les deux compétitions sont qualificatives aux prochains Jeux Olympiques Paris 2023. Le ministère des Sports n’a rien fait pour ces judokas qui, il faut le souligner avaient loupé le championnat d’Afrique à Abidjan et n’avaient pas participé au camp d’entrainement qui s’y était déroulé pour préparer les 9è jeux de la francophonie. Et ce, contrairement aux déclarations du ministre des sports au Sénat devant les sénateurs qui ont religieusement suivi son discours. Les judokas ne sont malheureusement pas les seules victimes de ce manque d’intérêt et d’abandon. C’est presque tous les arts martiaux qui subissent le même sort.

 

 

 

 

 

 

 

 

Déplacement rendu possible grâce à la Conaju et l’honorable Raphaël Kibuka

Et dire que du déplacement des judokas à l’Open de Dakar et à l’Open de Yaoundé ? C’est à la débrouillardise que les judokas congolais s’étaient retrouvés et ont pris part à ces compétitions. La Conaju et l’honorable Raphaël Kibuka ont mis la main à la poche. Ce qui est étonnant, le ministère des Sports et le gouvernement congolais n’ont des yeux que pour le football, trop budgétivore à souhait. Ils considèrent ces disciplines comme de quantités négligeables. Et que dire de prime des athlètes ? Là, n’en parlons même pas. Mais quand ils arrivent à sortir avec les moyens de bord de leur fédération respective, au finish, ils ne perçoivent rien. Mais voyez les footballeurs, ils ont des primes faramineuses et des résultats peu flatteurs comparés aux sportifs des sports de combat. La situation est telle que le sport congolais ne marchera pas aussi longtemps qu’il y a cette disparité de traitement. Les footballeurs malgré eux seront vomis par les autres et même envoûtés. Nous sommes africains et il faudra tenir compte de cet aspect des choses.

Antoine Bolia

 




Judo : La Rdc termine 8è au classement général avec ses 4 médailles glanées à l’Open de Yaoundé qualificatif aux J.O Paris 2024

Avec quatre médailles dont deux en argent et deux en bronze, tel est le bilan de la République Démocratique du Congo qui termine 8è au classement général de l’Open de Yaoundé, Cameroun 2023 sur 22 pays participants.

Cette compétition qualificatif pour les Jeux Olympiques Paris 2024, s’est clôturée en beauté, le dimanche 19/11/2023 dans une très bonne ambiance au Palais polyvalent des sports de Yaoundé (PAPOSY) pour la catégorie senior. Auparavant, le 16 et 17 novembre 2023, la RDC qui a aligné 6 athlètes s’en tire avec un bilan total de 4 médailles (2 argent et 2 bronze).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Classement général

  1. Sénégal 6 médailles (4 or, 1 bronze)
  2. Cameroun 22 médailles (3 or, 8 argent, 11 bronze) 12 athlètes classés 5è et 7 classés 7è
  3. Maroc 4 médailles (2 or, 2 argent)
  4. RSA 2 médailles d’or
  5. Côte D’Ivoire 5 médailles (1 or, 1 argent, 3 bronze)
  6. Gabon 1 médaille d’or
  7. Thaïlande 1 médaille d’or
  8. RDC 4 médailles (2 argent, 2 bronze) et 1 athlète classé 7è
  9. Burundi 2 médailles (1 argent, 1 bronze) 1 athlète classé 5è
  10. République Centre Africaine 1 médaille de bronze et 1 athlète classé 5è
  11. Bénin 1 médaille de bronze
  12. Islande 1 médaille de bronze
  13. Mozambique 1 médaille de bronze.

Les 6 judokas de la RDC alignés à l’Open de Yaoundé dont 4 en provenance de Kinshasa sont :

  1. Kisoka Kiamfumu Arnold ‘’ Daso’’-60 kg
  2. Bamba Zacharie -66 kg
  3. Evoloko Ilumbe -90 kg
  4. Kashama Enock +100 kg

Les 2 en provenance de la diaspora sont :

  1. Kalonda Cédric -81 kg
  2. Bola Lula Josiphia -66 kg

C’est grâce à l’encadrement de la Direction Technique Nationale et les sacrifices consentis par la Coordination Nationale des Activités du Judo en RDC ‘’Conaju’’, que l’on doit ces performances des judokas congolais à l’open de Yaoundé. Sur place à Yaoundé, ils ont bénéficié du coaching de deux membres du staff technique en occurrence Me Pija Bondele, Directeur Technique National et le coach androïde Dady Bakoyene, entraineur national en charge des judokas de la diaspora.

Antoine Bolia

 




L’Ouganda se dote d’une nouvelle Chancellerie en Rdc, une occasion de faire passer les relations bilatérales à un niveau supérieur

M.John Mulimba, ministre en charge de la Coopération régionale de la République d’Ouganda accompagné de l’ambassadeur ougandais en Rdc,  a inauguré le nouveau bâtiment de la Chancellerie de l’ambassade d’Ouganda en Rdc. C’était samedi 18 novembre 2023 au quartier GLM, dans la commune de la Gombe.

A l’occasion, Il a procédé à la coupure du ruban symbolique, avant de dévoiler la plaque marquant la mise en service de cet ouvrage inauguré. Disons que ce bâtiment est un symbole de l’amitié solide et durable entre l’Ouganda et la Rdc. Il témoigne de notre histoire, de nos valeurs communes et de notre engagement à travailler ensemble pour bâtir un avenir meilleur pour nos deux pays et nos deux peuples.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après que les deux pays aient décidé de normaliser leurs relations diplomatiques en 2007, le bâtiment de la Chancellerie ougandaise à Kinshasa était presque délabré. Aussi le Gouvernement ougandais avait-il décidé de démolir la structure précédente et de construire un nouveau bâtiment moderne, que nous mettons aujourd’hui en service. Au président ougandais d’avoir disposé les moyens financiers pour que cette Chancellerie puisse être construite dans la durée proposée par les architectes.

« J’estime que le temps est à présent venu pour l’Ouganda et la RDC de faire passer leurs relations bilatérales à un niveau supérieur. Nous devons travailler ensemble pour développer le commerce et les investissements, promouvoir les échanges culturels et éducatifs et coopérer dans le domaine de la sécurité et d’autres questions régionales », a indiqué l’ambassadeur Farid Kaliisa, avant d’ajouter que ce nouveau bâtiment de la Chancellerie sera le centre d’une telle coopération. Ce sera le lieu où les Ougandais et les Congolais pourront se réunir pour construire un avenir meilleur pour nos deux pays et nos peuples.

Pour le ministre d’Etat des Affaires étrangères chargé des Affaires régionales, la nouvelle Chancellerie marque le début d’un nouveau chapitre dans la présence diplomatique de l’Ouganda en République démocratique du Congo, et avec cette chancellerie, nous disposons d’une plate-forme à partir de laquelle nous pouvons renforcer notre collaboration, approfondir nos partenariats et obtenir des résultats significatifs qui profitent à la fois à nos Nations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« L’Ouganda et la République démocratique du Congo partagent une longue histoire et un destin commun. Nous sommes deux pays voisins dotés de riches ressources naturelles et d’une population nombreuse. Les deux pays reconnaissent l’importance de la stabilité régionale et de la coopération économique pour notre bénéfice mutuel », dit-il, avant d’ajouter que les  deux pays coopèrent pour promouvoir la paix et la sécurité, le commerce transfrontalier, le développement des infrastructures (routes et énergie) et l’intégration régionale en tant que pierre angulaire du développement de nos deux pays.

Du 61ème anniversaire de l’indépendance de l’Ouganda

Le dimanche 19 novembre 2023, l’Ouganda a commémoré le 61e anniversaire de son Indépendance placé sous le thème : « Soutenir une nation unie et progressiste : prendre en charge notre avenir en tant que nation libre ».

Un thème qui fait écho aux politiques et aux programmes que le gouvernement ougandais entreprend et met en œuvre sans avoir à se laisser dicter des leçons par un pays étranger sur ce qu’il faut faire et comment le faire, comme si nous étions encore la colonie d’un autre. Il est révolu le temps où nous devions recevoir nous faire sermonner.

« Nous souhaitons à S.E Félix Antoine Tshisekedi, Président de la République Démocratique du Congo, et au peuple de la RDC, du succès lors des prochaines élections pour l’unité, la paix et le développement de notre chère République », affirme le ministre d’Etat des Affaires étrangères en charge des Affaires régionales.

Au cours des 61 dernières années, indique l’Ambassadeur Farid Kaliisa, l’Ouganda a réalisé des progrès significatifs dans de nombreux domaines. « Nous avons bâti une démocratie forte, une économie dynamique et une société pacifique et stable, après que notre pays ait traversé plusieurs difficultés liées à l’édification de la nation. Nous avons également joué un rôle de premier plan dans la promotion de l’intégration régionale ainsi que de la paix et de la sécurité en Afrique », pense-t-il.

Cependant, prévient-il, nous sommes également conscients des défis auxquels nous sommes encore confrontés pour surmonter les divisions, lutter contre la pauvreté et créer des richesses et des opportunités d’emploi pour tous nos peuples. Nous sommes déterminés à relever ces défis et à construire un avenir meilleur pour tous les Ougandais.

Etaient aussi présents à cette cérémonie, le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire de la Rdc  Mohindo Nzangi, le directeur du cabinet du ministre du Commerce extérieur et plusieurs personnalités ougandaises et congolaises.

JMNK




Présidentielle 2023 : Anicet Yomboranyama donne 20 raisons majeures pour lesquelles il faut voter Fatshi, le numéro 20

Au lendemain du lancement de la campagne électorale, le Communicateur Anicet Yomboranyama a organisé une conférence de presse en vue d’éclairer la lanterne de l’opinion nationale et internationale sur les motivations profondes et authentiques qui l’ont stimulé à choisir un candidat président de la République qu’il considère comme le candidat le plus sérieux, le plus honnête (…) et donc le meilleur de tous les candidats concernant l’élection présidentielle qui aura lieu le 20 décembre de cette année dans notre pays : il s’agit de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, candidat numéro 20. Et ce, avant de donner les 20 raisons majeures pour lesquelles nous devons tous voter le numéro 20.

Dans sa communication dans un hôtel de la place devant les journalistes, le Communicateur Anicet Yomboranyama a affirmé  que le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo jouit aujourd’hui d’un amour indéfectible de nous tous ses compatriotes et il se dit convaincu que sa réélection du reste attendue avec impatience est une récompense logique consécutive à ses performances indiscutables dans la gestion de la Res publica et cette réélection lui permettra de parachever avec brio les chantiers structurels qu’il a déjà lancés et dont les réalisations pour certains sont déjà palpables.

Mais pourquoi devrions-nous réélire Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ? Le Communicateur répond en donnant 20 raisons majeures :

Les 20 raisons majeures

Première raison : le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a réussi à rendre l’économie congolaise florissante et résiliente malgré les chocs exogènes et endogènes. En dépit de tous ces chocs, le Président de la République s’est montré proactif en peaufinant des stratégies efficientes ayant permis à la Rdc de réaliser des progrès historiques, car le pays a triplé ses recettes qui sont passées de 4 milliards d’USD il y a trois ans, à 16 milliards d’USD aujourd’hui et tout cela a été rendu possible grâce à une mobilisation décuplée des recettes du trésor public par les régies financières (la DGI, la DGDA, et la DGRAD). Au sujet de la mobilisation des recettes, il a salué un homme qui a joué un rôle exceptionnel : il s’agit du ministre des Finances Nicolas Kazadi qui est un grand réformateur.

Deuxième raison pour laquelle nous devons réélire Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, candidat numéro 20 : l’amélioration de l’image de marque de la Rdc sur le plan international.  A titre d’exemple, nous avons réussi à renouer le partenariat win win avec les institutions de Bretton Woods, notamment le Fonds Monétaire International (FMI) avec lequel un accord appuyé par la facilité élargie de crédit a été conclu et d’ici là, la cinquième revue sera approuvée par le Conseil d’Administration de cette institution financière.

Troisième raison : le fait pour le Président de la République d’avoir sérieusement investi dans la sécurité de son pays. Quatrième raison : le Président de la République a rendu possible la gratuité de l’enseignement et tout dernièrement, la gratuité de la maternité dont nul ne pouvait rêver la faisabilité il y a quelques années. Ces deux grandes réformes sont une expression d’amour, un amour réel et profond.

Cinquième raison : la détermination sans répit du président de la République à booster le secteur agricole. La revanche du sol sur le sous-sol qui est devenu le leitmotiv de notre Président est en voie de prendre corps car, rappelez-vous la tenue au mois d’octobre dernier d’un grand forum conjointement organisé par le ministère des Finances et celui de l’agriculture ici à Kinshasa, forum axé sur l’agribusiness.

Sixième raison : son ambition de mettre en branle des projets structurels, une façon de placer la RDC en phase avec les objectifs de développement durable (ODD) afin de cristalliser sa vision baptisée, « le peuple d’abord ». Parlant des projets structurels, l’exécution des travaux en rapport avec les 145 territoires est d’une éloquence manifeste.

Septième raison : le Président de la République a rendu la justice distributive, car cette justice tend à devenir équitable, équilibrée et surtout impartiale. Huitième raison pour laquelle nous devons réélire Fatshi, c’est l’importance qu’il a déjà et veut accorder avec succès au secteur de la santé.  « J’ai parlé ici de la gratuité de la maternité, j’ajoute la construction des hôpitaux à travers les 145 territoires, la manière surprenante dont la RDC est soudainement devenue la star du financement des vaccins et surtout toute son énergie et son attention liée à la santé universelle », a affirmé Anicet Wemboranyama.

Neuvième raison : sa détermination à jouer un rôle clef dans la transition énergétique sachant que la RDC est un pays solution en cette matière. Dixième raison : l’investissement dans le capital humain. Onzième raison : la lutte contre la corruption est devenue un véritable cheval de bataille à travers le nouveau paradigme mis en place par l’Inspection Générale des Finances (IGF) à savoir : le contrôle à priori, le contrôle à posteriori et le contrôle concomitant.

12) l’eau et l’électricité, 13) le secteur des assurances, 14) les investissements dans le secteur minier et le projet visant la diversification de l’économie, 15) la matérialisation de la démocratie, 16) la matérialisation de la liberté de presse et autres libertés relatives aux droits de l’homme, 17) la lutte contre le tribalisme et le régionalisme, 18) la promotion du cosmopolitisme, 19) la promotion de l’entrepreneuriat, 20) l’amélioration du climat des affaires en Rdc.

Pour finir, le Communicateur Anicet Wemboranyama est d’avis que depuis 1960, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est le président congolais le plus politiquement correct, le plus performant, le plus réformateur, le plus pragmatique, et le plus proche de son peuple.

JMNK




Compact With Africa 2023 ” à Berlin: Sama Lukonde représente Félix Tshisekedi au 4ème sommet de l’investissement du G20

C’est tôt le matin de ce lundi 20 novembre 2023 que le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde est arrivé à Berlin pour prendre part, au nom du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo au sommet de l’investissement du G20, dénommé “Conférence sur le pact avec Africa 2023”. Un sommet organisé sous la présidence du G20 tenue par le Chancelier Allemand Olaf Scholez. Il a été marqué par l’adhésion de la RDC, qui devient le 13ème pays membre de cette communauté du G20 avec l’Afrique.

Dans son mot, le Premier Ministre congolais affirme que l’acceptation de son pays à cette organisation est une occasion qui lui est accordée afin d’une perspective radieuse et promotrice d’un élan de croissance en faveur de sa population.

“La candidature de la République démocratique du Congo au Compact With Africa a été motivée par des objectifs stratégiques devant lui permettre de renforcer les efforts fournis à travers l’attraction des investissements et l’amélioration des cadres macro-économique, commercial et financier”, a-t-il souligné. Car, poursuit-il, cette entrée permettra à la RDC d’être, non seulement partenaire, mais également bénéficiaire des appuis financiers attendus dans le cadre des réformes entreprises par le Gouvernement.

Le Premier Ministre a aussi souligné que la RDC ne vient pas dans cette organisation comme simple bénéficiaire. Elle a aussi un apport considérable au sein de cette organisation en tant que l’un des pourvoyeurs stratégiques des ressources nécessaires au développement des entreprises de l’espace Compact With Africa.

” De par sa position géostratégique, au cœur de l’Afrique, la République démocratique du Congo dispose d’une économie résiliente et dynamique dont la croissance a été estimée à 8,9% en 2022. Cette économie repose sur une population majoritairement dominée par la jeunesse et dispose des ressources minérales, halieutiques, forestières, hydrauliques dont la plupart sont rares, critiques et essentielles dans la transformation des énergies renouvelables et fossiles, à la préservation de la couche d’ozone. Ainsi pourvue d’énormes potentialités, la République démocratique du Congo se présente sur l’échiquier international en pays pourvoyeur des solutions aux défis mondiaux.

Des efforts porteurs de succès

Qui plus est, la RDC a initié d’ambitieuses réformes structurelles dans divers secteurs, prouvant qu’elle est résolument engagée dans le processus du renforcement de la gouvernance et de l’amélioration du climat des affaires et ce, à travers des mesures drastiques de normalisation du cadre macro-économique, l’élaboration des politiques sectorielles et transversales. Ce qui a permis à notre pays d’ouvrir une fenêtre étroite de collaboration avec les institutions financières internationales pour catalyser des nouveaux financements afin d’appuyer des réformes macroéconomiques, financières et fiscales. Ces efforts ont été poursuivis, sans relâche, dans le cadre d’un dialogue constructif avec les principaux partenaires clés du secteur privé”, a ajouté le chef du gouvernement congolais.

Cela, avant d’expliquer que la République démocratique du Congo bénéficie d’une multiplicité des secteurs à fort potentiel à même d’influer sur les économies du monde. C’est le cas notamment de l’agriculture avec 75% des terres arables, des forêts dont 47% du bassin du Congo et ses tourbières constituant le plus grand puit de carbone, du long fleuve dont le débit est le plus fort après celui de l’Amazonie avec son potentiel hydroélectrique important, capable de soutenir le développement d’une chaîne de valeur industrielle. Il en veut pour exemple la chaîne de valeur de l’hydrogène, des ressources en hydrocarbures et des minerais critiques, utiles à la transition énergétique, écologique, notamment. Dans cet élan, dit-il, la République démocratique du Congo a signé avec la République de la Zambie un protocole d’accord sur la production des batteries électriques, nonobstant l’ouverture d’un espace dédié à une zone économique spéciale capable d’héberger des usines de transformation des matières premières en biens intermédiaires et finaux. Dans le cadre du désenclavement du pays, le Gouvernement a initié un programme de développement local de ses 145 territoires. Evalué à 1,7 milliards de dollars américains, ce programme comprend notamment la construction des routes, des ponts, des ferries et autres infrastructures de base. La finalité étant de développer le pays en fournissant de l’emploi sûr à la jeunesse, qui constitue une main-d’œuvre abondante. Ce tableau dénote de la volonté politique des gouvernants congolais d’inscrire la République démocratique du Congo dans la sphère des pays investisseurs et relève de l’intérêt majeur qu’elle attache à la coopération multiforme et multipolaire en vue de son développement intégral.

Il sied d’indiquer qu’après le sommet, Olaf Scholez a accordé un tête-à-tête au Chef du gouvernement congolais, Jean-Michel Sama Lukonde.