Timide déploiement sur terrain des candidats présidents à quelques jours des élections: Affairisme électoral ou Mercato politique ?

26 au départ, à deux semaines des élections de décembre 2023, les statistiques montrent que quatre des prétendants au Palais de la Nation de Kinshasa se sont ralliés à Moïse Katumbi dont le dernier en date, est Delly Sesanga. Le 3 décembre 2023, le leader du parti ENVOL (Ensemble des volontaires pour le développement de la RDC), a rejoint le camp Katumbi. Le camp de l’ancien gouverneur du Président du Tout puissant Mazembe, ancien gouverneur du Katanga et richissime homme d’affaires, se renforce. De son côté, le président Tshisekedi qui, en son temps, avait bénéficié des nombreux ‘transferts’ depuis le FCC, s’appuie sur l’armée électorale « Union sacrée de la Nation ». Et chacun dans « l’équipe  Union sacrée » mouille le maillot pour la réélection du Président sortant, même si certains candidats députés semblent n’avoir pas pris sérieusement des dispositions pour la campagne comptant probablement sur une manne venant d’en haut ! Une sorte d’affairisme électoral. En outre, en plus de ce retour en force de Katumbi, bien de candidats dont Martin Fayulu, avec sa coalition Lamuka, ou encore le Docteur et prix Nobel de la paix 2018, Denis Mukwege, sont en embuscade pour tenter de barrer la route au Président sortant. Et le FCC, bien que hors-jeu, incrédule quant au succès du processus électoral, bien que ‘réserviste’, affirme qu’au cas où les élections avaient lieu, il brandira le ‘carton’ Katumbi. Finalement, il y a une sorte d’affairisme électoral ou mércato politique qui, même avec la vingtaine de candidats en lice, la présidentielle du 20 décembre prochain va se jouer probablement entre quatre grandes figures que sont le président sortant Félix Tshisekedi, Moïse Katumbi, Martin Fayulu et Denis Mukwege.

 

La campagne électorale démarrée le 19 Novembre 2023, se trouve en un tournant décisif. Deux semaines après le lancement de la propagande, le compte à rebours pour la tenue des élections est déclenché et chaque jour qui passe apporte son lot de surprise.

Jusque-là, à la présidentielle, deux candidats se sont démarqués des autres. Le président sortant, Félix Tshisekedi et son principal adversaire, l’ancien gouverneur du Katanga Moïse Katumbi. Quant à ceux qui restent, il s’observe de plus à plus de ralliement et des désistements en faveur du candidat n°3, Moise Katumbi. Entre temps, le candidat n°20, Félix Tshisekedi, qui dispose du soutien de l’Union sacrée ‘une famille politique rassemblant de nombreux leaders regroupés au sein d’une plate-forme bigarrée digne d’une armée des généraux’, selon des observateurs, ne cesse de conquérir des nouveaux ‘supporteurs’.

Aux côtés de ces deux poids lourds, on peut aussi noter l’émergence du groupe de l’ancien challengeur de Tshisekedi Fayulu et la présence de la Gouverneure honoraire de la Tshuapa, la numéro 9, Marie Josée Ifoku Mputa Mpunga qui affirme ne pas s’opposer à un quelconque régime, mais plutôt au « système de prédation instauré depuis 1885 à la Conférence de Berlin et perpétuer par les dirigeants congolais jusqu’à nos jours ».

 

Les affiches géantes du candidat Félix Tshisekedi pavoisent toutes les avenues de capitale, les carrefours et les lieux publics ainsi que dans toutes les provinces du Congo. C’est à croire qu’il est candidat unique tellement l’opposition semble inexistante. Les leaders de l’Union sacrée et autres partisans de ‘Fatshi Béton’ investissent rues, quartiers, réseaux sociaux et médias traditionnels pour inviter les électeurs à voter pour leur champion, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Face à la machine ‘Union sacrée’, une nouvelle coalition s’est créée autour de Moïse Katumbi, le regroupent dénommée “Congo ya Makasi” (un Congo fort), de l’ancien Premier ministre Augustin Matata Ponyo, du jeune leader du Maniema Seth Kikuni, du candidat lumumbiste Franck Diongo et de l’ancien président de l’Assemblée Provinciale du Kongo Central, Jean-Claude Vuemba, avec un ancrage puissant dans tout l’Est du pays. Mais, selon certaines sources, des discussions seraient en cours entre Moïse Katumbi et certains autres leaders de l’opposition afin d’élargir la base de ce regroupement pour parvenir à ébranler les certitudes du président Félix Tshisekedi et de ses alliés.

Bien que le clivage Katumbi-Tshisekedi soit net, ces deux camps n’ont pas le monopole du champ électoral. Un troisième pôle représenté par Martin Fayulu, le prix Nobel de la Paix 2018 le Docteur Mukwege, le pasteur Théodore Ngoy, Marie Josée Ifoku et le jeune Floribert Anzuluni. Toutefois, l’équipe de campagne Marie Josée Ifoku estime que leur championne, bien que soutenant l’unité dans la diversité, estime ne pas être dans cette dynamique qui demeure sous l’emprise du système de prédation instauré par la communauté internationale.

Financièrement pas aussi fort que les cas Katumbi et Tshisekedi, ce groupe lance ses appels plus dans les médias et réseaux sociaux, pour un « choix de programme plutôt que des noms qui n’ont rien fait pour ce pays », comme le martèle Marie Josée Ifoku. Cette dernière affirme quant à elle que l’objectif n’est pas de chasser un homme mais pour « éradiquer un système » par le ‘KOMBOLISATION’ (un concept lingaliste partant de Kombo-le ballai- pour nettoyer le système de prédation instauré dans le bassin du Congo depuis 1885).

 

FCC septique mais pourrait soutenir Katumbi

 

Pour la famille politique de l’ancien Chef de l’Etat et actuel Sénateur à vie, Joseph Kabila Kabange, le Front commun pour le Congo (FCC), les « élections prévues pour le 20 décembre 2023, sans convaincre techniquement qu’elles auront honnêtement lieu le 20 décembre 2023, en étant sincèrement crédibles, transparentes et apaisées », elle affirme comprendre que « le président Félix Tshisekedi n’a point organisé des élections pour qu’elles puissent avoir lieu le 20 décembre 2023, mais plutôt dictatorialement, même après 2 ans, c’est-à-dire en 2025 ».

Cette lecture du FCC, résulterait entre autre de la sortie de l’ancien président de la CENI, Corneille Naanga, qui a affirmé que « techniquement parlant, il est impossible que ces élections présidentielles, législatives et municipales trop mal organisées par le président Denis Kadima de la CENI, elles puissent avoir lieu le 20 décembre 2023 ». L’on peut ainsi comprendre aisément la non-participation ‘officielle’ du FCC aux élections de 20213.

Mais, à en croire le Révérend Barthélémy Luhuyunga, président international de l’ONG CAEPICO, si « jamais par un miracle incroyable ces élections organisées par le président Denis Kadima de la CENI (…) réussissent à avoir lieu le 20 décembre 2023, l’ancien président Joseph Kabila et sa famille politique, soutiendraient honnêtement le no 3, Moïse Katumbi Chapwe ».

Willy Makumi Motosia




Les pays du CCG réitèrent à Doha leur soutien constant à l’intégrité territoriale du Maroc

Les dirigeants des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont réitéré, mardi à Doha, leur position constante en faveur de la marocanité du Sahara et de la préservation de la sécurité et stabilité du Royaume du Maroc et de son intégrité territoriale.

Dans leur communiqué final à l’issue du 44ème sommet du Conseil suprême du CCG, réuni sous la présidence du Qatar, les dirigeants des pays membres de cet ensemble régional se sont félicités de la résolution 2703 du Conseil de sécurité du 30 octobre 2023 sur la question du Sahara marocain.

Ils ont en outre insisté sur l’importance du partenariat stratégique privilégié entre le CCG et le Royaume du Maroc et de la mise en œuvre du plan d’action conjoint.

Le Conseil suprême du CCG a d’autre part félicité le Royaume suite à la décision de la FIFA de retenir le dossier conjoint du Maroc, de l’Espagne et du Portugal, pour l’organisation des phases finales de la Coupe du monde 2030.




Du concret et du solide: comment le Maroc et les Émirats arabes unis façonnent un très proche et bel avenir communv

Plus qu’une somme impressionnante de partenariats à même de concrétiser l’essentiel des projets structurants en cours au Maroc, la Déclaration «Vers un partenariat novateur, renouvelé et enraciné entre le Royaume du Maroc et l’État des Émirats arabes unis», signée entre le roi Mohammed VI et Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, grave dans le marbre une véritable stratégie commune de développement. Même à l’échelle de la déjà riche et fructueuse coopération entre les deux pays, le fait est inédit. Voici comment.

Solides, durables et marquées par une fraternité sincère et à toute épreuve, les relations entre le Maroc et les Émirats arabes unis marquent un cap inédit. Deux pays, quand bien même proches, auront rarement lié leurs destins de la sorte. Prendre un peu de recul par rapport à la visite officielle effectuée ces 4 et 5 décembre par le roi Mohammed VI à Abou Dhabi, sur invitation du président émirati Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, c’est prendre la mesure d’une alliance qui changera le visage tant du Maroc que des Émirats arabes unis. Séparés par une longue distance, les deux pays s’apprêtent à apporter la preuve que les intérêts géostratégiques priment sur la proximité géographique. Et c’est loin d’être un simple vœu pieux ou encore un de ces slogans dont certains dirigeants arabes aiment à se gargariser.

On passera sur l’accueil grandiose offert au Souverain. Jamais les Émirats n’avaient accueilli un chef d’État de cette manière. Les images parlent d’elles-mêmes.

Comme on repassera sur les mots, empreints de cette poésie et cette authenticité bien arabes, réservés par Mohammed Ben Zayed Al Nahyane à Mohammed VI, «un roi frère» qui est le bienvenu «dans son pays et parmi les siens».

Pour ne garder que le contenu, dense, précis et aux délais d’exécution bien déterminés dans le temps, de la Déclaration «Vers un partenariat novateur, renouvelé et enraciné entre le Royaume du Maroc et l’État des Émirats arabes unis», signée des mains des deux chefs d’État. Une première à la valeur à la fois symbolique et pragmatique. «Cet acte unique et singulier est en soi un signal fort. Il témoigne de l’engagement personnel des deux chefs d’État pour la pleine réussite de cette nouvelle et majeure étape», souligne l’économiste Mehdi El Fakir. Une manière de dire que ce sont les hommes qui écrivent l’Histoire et, en l’espèce, les deux chefs d’État savent ce qu’ils inscrivent: un avenir radieux. Pour leurs deux pays, et pour toute la région, porté par deux leaders dotés d’une ambitieuse vision, d’une sereine énergie pour la traduire en faits et d’un caractère affirmé qui, aux belles paroles, préfère les grandes actions. Chez Mohammed Ben Zayed Al Nahyane comme chez Mohammed VI, on dit ce qu’on fait et on fait ce qu’on dit.

«Les deux pays disposent également de deux stratégies d’avenir complémentaires. Le Maroc, à travers son nouveau Modèle de développement à l’horizon 2035, entend notamment doubler son PIB. Les Émirats, eux, ont une Vision 2031 et ambitionnent d’être dans le top 10 mondial dans nombre de secteurs, notamment en matière d’investissements à l’étranger», explique l’économiste Mohammed Jadri. En la matière, à lui seul, le véhicule d’investissement Abu Dhabi Investment Authority (ADIA) gère en 2023 près de 853 milliards de dollars d’actifs, se positionnant comme le 4ème plus grand fonds souverain au monde.

«Money is not an issue»

Les Émirats arabes unis figurent déjà parmi les principaux investisseurs étrangers au Maroc, et le Royaume fait partie du top 10 des destinations de ce pays du Golfe en la matière. Mais, jusqu’à présent, ce sont des pays comme la Grande-Bretagne, les États-Unis, la France, l’Inde et la Turquie qui se taillaient la part du lion dans les investissements des Émirats.

Cette donne va sans doute être bousculée. «Pays stable, fiable et avec une vision d’avenir, le Maroc présente bien des atouts pour en faire une destination de capitaux émiratis qui peuvent s’avérer décisifs dans une logique gagnant-gagnant», commente Mohammed Jadri. Dans cette déclaration, toutes les opportunités de développement au Maroc et tous les secteurs, ou presque, y passent. Les Émirats ne font en cela que se greffer sur l’ensemble des grands projets et stratégies de développement en cours dans le Royaume, y apportant les financements et le coup d’accélérateur nécessaires. Le temps est au concret. On notera à cet égard, entre autres, l’extension des chemins de fer, en donnant la priorité plus particulièrement à la ligne à grande vitesse Kénitra-Marrakech, le développement des aéroports, dont ceux de Casablanca, Marrakech, Dakhla (Dakhla Hub) et Nador, l’aménagement des ports en investissant dans leur gestion, particulièrement le port Nador West Med.

S’y ajoutent le transfert et la gestion de l’eau, les énergies renouvelables et la production d’hydrogène vert et ses dérivés, le transport de l’énergie, en particulier la réalisation et l’exploitation des lignes de transport de l’électricité, la sécurité alimentaire, à travers l’exploration des opportunités de partenariat avec le groupe OCP dans le domaine des fertilisants, sans oublier la création et la gestion d’une flotte maritime commerciale, un des piliers de la nouvelle stratégie atlantique du Maroc.

L’économie numérique, l’industrie, l’agriculture et l’agroalimentaire, le domaine financier et des marchés des capitaux, ainsi que le partenariat entre les fonds souverains et d’investissement des deux pays sont également sur la table. Ceci, en plus de projets à caractère social, comme la reconstruction des régions touchées par le séisme d’Al Haouz, ainsi que la qualification d’établissements scolaires, universitaires et de santé.

Le Sahara atlantique, le nouvel Eldorado

L’Afrique n’est jamais loin. Au cœur de cette nouvelle feuille de route, se trouve l’examen des possibilités de coopération dans le développement des infrastructures énergétiques avec les pays africains. À commencer par le projet du gazoduc Afrique-Atlantique, entendez Maroc-Nigeria, qui nécessitera un apport de quelque 25 milliards de dollars.

S’il est une région qui se taille une attention particulière dans ce qui ressemble à un véritable plan Marshall, c’est bien le Sahara. Le tout dans le cadre d’une coopération pragmatique et concrète par le biais de projets structurants. Une coopération économique et d’investissement global et équilibré, ouvert sur le secteur privé. Les Émirats comptent ainsi investir dans le titanesque projet du port Dakhla Atlantique, une composante essentielle du plan de développement des provinces du Sud et un important portail du Maroc sur l’Afrique et le monde, dont la livraison est prévue en 2028, pour une enveloppe budgétaire globale de 12,5 milliards de dirhams.

Est également en vue le développement de projets communs dans les domaines du tourisme et de l’immobilier sur la côte méditerranéenne, mais aussi et surtout dans les régions de Dakhla et de Tarfaya. Ceci, au même titre que l’aménagement et le développement du projet intégré «Dakhla Gateway to Africa», dont le port précité est d’ailleurs le premier jalon. «Après l’appui politique et l’ouverture, notamment, d’un consulat dans les provinces du Sud, il était naturel que l’investissement suive. Cela s’inscrit d’ailleurs dans la logique d’appui au Maroc, à sa souveraineté et à ses ambitions», relève Mehdi El Fakir.

Signés séance tenante, pas moins de 12 mémorandums d’entente sont venus acter ces intentions. D’autres seront examinés et conclus dans un délai qui ne dépassera pas trois mois, à compter de la date de la déclaration. Un mécanisme de mise en œuvre et de suivi des projets programmés sera également mis en place et se réunira de manière régulière, en alternance entre le Maroc et les Émirats arabes unis. Il soumettra ses rapports aux parties compétentes. Autant dire qu’une nouvelle page s’ouvre pour le Maroc et les Émirats arabes unis. Et même bien au-delà.

Les mauvaises langues diront que les Émirats arabes unis marquent là une OPA sur bien des secteurs productifs au Maroc. Rien n’est plus faux. «C’est mal connaître l’histoire des deux pays et leurs relations. Depuis la création des Émirats, le Maroc s’est toujours tenu aux côtés de ce pays. Et l’inverse est vrai. On se souvient que ce sont les Émirats qui ont apporté leur plein appui au Royaume au fort de la crise économique qu’il traversait dans les années 1980. Si la situation a changé depuis, le soutien émirati ne s’est jamais démenti. Là, il prend une nouvelle forme: celle d’un partenariat gagnant-gagnant à tous les niveaux. Dans le monde d’aujourd’hui, nul ne peut prétendre pouvoir marcher seul. Pour les deux pays, c’est un choix géostratégique majeur. Et nous ne pouvons que tous nous en réjouir», conclut Mehdi El Fakir.

Par Tarik Qattab




Lualaba Copper Smelter offre un lot de materiel agricole aux communautés locales

2023 marque le dixième anniversaire de l’initiative « Une ceinture, une route». Dans le cadre du processus de construction conjointe de la « Ceinture et de la Route », Lualaba Copper Smelter S.A.S (LCS), filiale du groupe China Nonferrous Metal Mining (CNMC), mène activement des projets de dons « petits mais beaux » pour bénéficier aux moyens de subsistance de la population locale et sont très populaires.

Le 25 novembre 2023, LCS a fait don d’un lot de matériel agricole tel que 100 sacs de maïs, 400 sacs d’engrais NPK et 400 sacs d’urée aux 4 villages, dont Makungu, Mpango, Mupanja et Mpwibwe,pour aider leur production locale à se dérouler harmonieusement et conjointement. Soit des « zones agricoles » clairsemées. Il nous revient que des graines d’espoir sont en cours de route.

Les représentants du village ont reçu avec joie les semences de maïs et les engrais de cette année, et ils ont tous exprimé qu’ils termineraient les semis dès que possible et s’efforceraient d’obtenir une bonne récolte l’année prochaine. Les représentants de la communauté ont hautement félicité LCS pour avoir rempli activement ses responsabilités sociales et, sous les applaudissements chaleureux des villageois, ils ont signé le formulaire d’acceptation avec LCS au nom de la communauté. LCS a déclaré qu’à l’avenir, elle continuera à respecter son aspiration initiale, à assumer ses responsabilités et sa mission, à se concentrer sur les besoins des résidents locaux, à accélérer le rythme de la fourniture de services pratiques à la population et à apporter davantage de sentiment d’appartenance, gain et bonheur aux résidents locaux.




COMMUNIQUE N°01/DGRK/DGE/MMM/025/LSN/2023




Olympisme : L’association des comités nationaux Pierre de Coubertin d’Afrique a procédé à des nominations

Par la Décision N°002/2023 du 27 novembre 2023, le président de l’Association des Comités Nationaux Pierre de Coubertin d’Afrique Dr Evele Malik Atour, vu la charte d’adhésion et les statuts et considérant les nécessités de service, a décidé que les personnes dont les noms suivent, membres du Board de l’Association des Comités Nationaux Pierre de Coubertin d’Afrique, sont pour compter de la date de signature de la présente décision, en charge des responsabilités suivantes en son sein :

-Mme Amita Boolaury qui était coordonnateur des activités de jeunesse vient d’être nommée commissaire en charge de la préparation des événements avec comme domaines de responsabilités : préparation du Congrès continental et préparation des olympiades sportives et culturelles.

-M. Bolindo Boimbo Faustin qui était coordinateur des programmes culturels vient d’être nommé commissaire en charge des opérations médias avec comme domaines de responsabilités Gestion des relations et des opérations avec les médias

-Mme Chantal Oloko qui était coordinateur des activités sportives vient d’être nommée commissaire en charge des programmes et projets avec comme domaines de responsabilités programmes  de jeunesse, culturelle, solidarité, éducation et développement

-Prof Christo De Coning qui était coordinateur du développement vient d’être nommé commissaire en charge de l’administration et des affaires générales avec comme domaines de responsabilités planifications, suivi et évaluation mais également préparation des réunions.

Antoine Bolia   

 




Karaté : L’ASSOSASCO projette organiser une marche sportive le jeudi 4 janvier 2024

L’Association Sportive des Arts martiaux  et des Sports de Combat ‘’ASSOSASCO’’ en sigle que préside Me Raymond Kande, CN 5è Dan en karaté shotokan et CN 1er Dan en judo invite tous les pratiquants des arts martiaux en général, à venir participer à la marche sportive en kimono ainsi qu’à la remise des kimonos, le jeudi 4 janvier 2024 à 06h00 précise.

La Participation aux frais est fixée à 5000 FC/Personne. Par ailleurs, la présence de tous est vivement souhaitée.

Antoine Bolia   




Cyclisme : La Fécocy représentée par le SG et le 1er V/P au séminaire sur l’organisation du cyclisme au Caire, en Egypte

Il se tient présentement du mardi 5 au vendredi 8 décembre 2023, un séminaire sur l’organisation du cyclisme au Caire, en Egypte. La Fédération Congolaise de Cyclisme ‘’Fécocy’’ est représentée par M. Jean Claude Kongolo Muamba et M. Rachidi Kongholo, respectivement Secrétaire Général et 1er Vice-Président.

Rose Etouni et Jean Pierre Vancil de l’Union Cycliste Internationale ‘’U.C.I’’ en sont les principaux animateurs de ce séminaire. Plusieurs pays, soit 24 sont présents au Caire, en Egypte et participent à ce séminaire. C’est avec les moyens de bord propres à la Fécocy que ses deux représentants se retrouvent au Caire. Et ce, depuis plusieurs années déjà que la Fécocy se démerde seule pour répondre présente aux échéances internationales (Congrès, séminaire et autres compétitions) sans l’apport du trésor public. Cette situation se répète voici bientôt 5 ans. Voilà pourquoi les Léopards/cyclistes dames demeurent sans prime à ce jour malgré leur participation à trois éditions successives du Tour cycliste international féminin du Burundi en 2021, 2022 et 2023. Cette situation est injuste et le cyclisme congolais n’a pas besoin d’un tel traitement dégradant. Et pourtant, le cyclisme est parmi les rares disciplines qui vont vers le public. Et c’est une grande vitrine pour l’image du pays.

Antoine Bolia




Football : Le championnat de l’EPFKIN saison 2023-2024 démarre le lundi 11 décembre au stade Tata Raphaël et à l’Unikin

Longtemps annoncé, mais jamais démarré, le championnat de l’Entente Provinciale de Football de Kinshasa ‘’EPFKIN’’ saison sportive 2023-2024 va démarrer le lundi 11 décembre 2023 sur deux sites choisis à savoir le stade Tata Raphaël et le complexe sportif de l’Université de Kinshasa ‘’Unikin’’.

Calendrier de la 1ère journée 11/12/2023 se présente comme suit :

Au Stade Tata Raphaël

9h00 : AJ Vainqueur vs FC Lumière :

11h00 : Kito Sport FC vs FC Fonak :

13h00 : Nouvelle Vie FC vs AC Monzo :

15h00 : AS Bol’s vs OC Jupiter :

Au terrain du Complexe sportif de l’Unikin

9h00 : AC Kayolo vs AF Saint Christian :

11h00 : RC Bumbu vs FC Aigle Royal :

13h00 : SCF Limete vs AS Mbudi :

15h00 : AF Liwanda vs RC Matete :

Un seul club est exempté pour cette 1ère journée. Il s’agit d’Ajax Sport du Congo.

Lancement du processus d’accréditation Médias

Par ailleurs, la Commission Presse de l’EPFKIN informe les organes de presse désireux de couvrir le championnat que la procédure d’accréditation pour la saison sportive 2023-2024 est ouverte.

Les concernés sont priés de fournir à l’adresse mail (epfkinpresse@gmail.com ) les éléments suivants :

  1. Noms
  2. Média
  3. Photo Passeport
  4. Numéro Téléphone

Date limite : le 21 décembre 2023 à Minuit.

La commission Presse de l’EPFKIN fait remarquer néanmoins que toutes les demandes sont sujets à validation.

Antoine Bolia




CAN féminine 2024 : La Rdc sera au Maroc (Officiel)

Les Léopards dames de la Rdc  ont validé leur ticket pour la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations prévue en juin 2024 au Maroc. Les Congolaise ont créé la sensation en éjectant l’une des meilleures sélections continentale. Après avoir accroché la Guinée équatoriale (1-1), il y a 3 jours à Malabo, les Léopards ont achevé le boulot ce mardi à Kinshasa au stade des Martyrs.

Les visiteuses ont lancé les hostilités en ouvrant le score par l’entremise de  Reina Pilar Obono Mansogo Ada  45e. Mais  Merveille Kanjinga répondait d’une tête à bout portant au retour des vestiaires 1-1 55e, avant que  Ruth Monique Kipoyi n’offre la qualification historique aux siennes 2-1  79ème.

Les Léopards composte leur ticket pour la phase finale après plus d’une décennie d’absence… leur dernière participation date de 2012.