La seule église catholique de Gaza touchée par des frappes de l’armée israélienne 

Le patriarcat latin de Jérusalem a confirmé à l’organisation caritative catholique Aide à l’Église en détresse (AED) que des éclats d’obus provenant de frappes de l’armée israélienne sur des bâtiments voisins ont détruit des réservoirs d’eau et des panneaux solaires sur les toits de l’église de la Sainte-Famille et des bâtiments paroissiaux associés dans la ville de Gaza.

D’autres parties du complexe paroissial ainsi que des voitures ont également été endommagées. La paroisse est également à court de carburant, ce qui prive la communauté d’électricité et de tout moyen de communication stable.

Un partenaire local de l’AED a déclaré : « Seul un miracle a empêché une grande catastrophe de nous arriver ».

Le mois dernier, l’AED a rapporté que la congrégation des Sœurs du Rosaire et un prêtre s’occupaient de 750 chrétiens déplacés – dont 100 enfants et 70 personnes ayant des besoins spéciaux – dans la paroisse.

La situation à Gaza devenant de plus en plus désespérée, des milliers de chrétiens en Terre Sainte ont déjà bénéficié du soutien de l’AED, notamment sous la forme de repas, des coupons alimentaires, des paiements de loyers et de factures de services publics et des fournitures médicales.




La transformation démographique en Afrique pourrait très bien modifier l’ordre mondial

En novembre dernier, la population mondiale a franchi le cap des 8 milliards d’habitants. Plus récemment, en avril, l’Inde a devancé la Chine en tant que pays le plus peuplé du monde. Mais c’est l’Afrique et sa population en plein essor qui mérite le plus d’attention : sa transformation démographique pourrait remodeler le continent, voire le monde entier.

Estimée à 140 millions d’habitants en 1900, la population de l’Afrique représentait alors 9 % de la population mondiale, une proportion qui a doublé depuis. Sous l’effet conjugué d’une baisse de la mortalité et d’un taux de natalité parmi les plus élevés au monde, sa population totale a en effet été multipliée par 10 : elle s’élève aujourd’hui à plus de 1,4 milliard d’habitants.

D’après les prévisions de l’Organisation des Nations Unies (ONU), l’Afrique comptera près de 2,5 milliards d’habitants d’ici 2050. Autrement dit, plus de 25 % de la population mondiale sera africaine. La croissance de sa population ralentira par la suite, mais l’Afrique restera de loin le principal moteur de croissance démographique mondiale : elle devrait représenter près de 40 % de la population mondiale d’ici la fin du siècle.

L’ONU prévoit que huit pays seulement seront à l’origine de plus de la moitié de l’augmentation de la population mondiale au cours des 30 prochaines années ; cinq d’entre eux se situent en Afrique. La population en âge de travailler dans ces pays africains, et dans de nombreux autres pays du continent, augmentera plus rapidement que tout autre groupe d’âge.

L’ONU prévoit que huit pays seulement seront à l’origine de plus de la moitié de l’augmentation de la population mondiale

Cette évolution prévue de la population

Cette évolution prévue de la population et le dividende démographique potentiel pour ces pays pourraient avoir de profondes conséquences économiques et même modifier l’ordre mondial. Certains d’entre eux pourraient émerger en tant que grandes puissances sur l’échiquier mondial.




En partenariat avec la CNPR : Vodacom Congo lance la campagne « Pas de téléphone au Volant » pour sensibiliser les Congolais sur le civisme routier

« PAS DE TELPHONE AU VOLANT ! PAS DE TELEPHONE AU GUIDON ! Rentrer en vie est le meilleur cadeau que vous puissiez offrir à vos proches pour cette période festive », c’est le seul message qui a été lancé ce mardi 12 décembre 2023 à Kinshasa par Vodacom Congo, à l’occasion du lancement de sa Campagne de Sécurité Routière en collaboration avec la Commission Nationale de Prévention Routière (CNPR).

Etant une entreprise axée sur un objectif précis, Vodacom Congo reconnaît sa responsabilité envers les communautés qu’elle dessert. Cependant, cet engagement envers ces communautés va au-delà de la fourniture de connectivité ; en effet, il implique sa contribution active en faveur du bien-être et de la sécurité de tous les Congolais.

Aussi, pour la deuxième année consécutive, Vodacom Congo lance la campagne « Pas de téléphone au Volant » dans le but de sensibiliser tous les usagers sur le danger lié à l’utilisation du téléphone portable sur les voies routières.

En 2021, la CNPR quant à elle avait lancé la campagne « Tosa mibeko na nzela » à travers la Coordination pour le Changement des Mentalités (CCM). Cette campagne avait pour but de sensibiliser au civisme routier afin de réduire le nombre d’accidents routiers.

Ainsi, cette année, les deux institutions ont agréé de mutualiser leurs efforts à travers la campagne que lance Vodacom Congo en ce jour.

« La Campagne de Sécurité Routière est une manifestation de l’engagement de Vodacom Congo envers le service communautaire. En partenariat avec la CNPR, cette campagne vise à sensibiliser sur les règles fondamentales qui doivent être observées pour protéger des vies et promouvoir la sécurité routière, en particulier pendant la période des fêtes, lorsque le trafic routier atteint son pic », indique le communiqué de presse publié à cet effet.

Pour Mme Agnès Muadi, Directrice des Ressources Humaines au sein de Vodacom Congo, la campagne Pas de Téléphone au Volant est un éveil de conscience à travers la formation et la sensibilisation de nos communautés vers un changement de comportement à risque.

« Les accidents routiers demeurent parmi les causes principales des décès en RDC et la période festive est une période qui malheureusement en enregistre un taux élevé. Voilà pourquoi nous avons choisi de nous joindre à la CNPR -Commission Nationale de Prévention routière qui œuvre déjà dans ce domaine, et avec qui nous avons déjà eu à collaborer dans le même sens », a-t-elle déclarée.

Soulignons que la campagne de sensibilisation à la sécurité routière s’exécutera sur deux volets : la sensibilisation à la prudence routière en période festive qui débute ce jour et la sensibilisation des écoliers prévue dès janvier 2024.

« Chez Vodacom Congo, notre responsabilité sociale va au-delà de notre mission. Nous engageons nos ressources pour avoir un impact positif sur les communautés dans lesquelles nous œuvrons. La Campagne de Sécurité Routière n’est pas seulement destinée à promouvoir l’utilisation responsable de la technologie, mais aussi à encourager une culture de sécurité et de manière plus transversale, promouvoir le respect des règles de la circulation », a déclaré Khalil Al Americani, Directeur général de Vodacom Congo.

Cette conférence de presse réunira des parties prenantes clés, des représentants de la CNPR et d’autres personnalités engagées pour la sécurité routière. Le programme comprendra des exposés à caractère informatif et des échanges sur les raisons d’être ainsi que les meilleures pratiques en matière de sécurité routière.

Vodacom Congo encourage la population congolaise à participer activement à la Campagne de Sécurité Routière et à jouer un rôle dans la création de routes plus sûres pour tous. En sensibilisant et en promouvant un comportement responsable sur les routes, ensemble, nous pouvons contribuer à réduire les accidents et à rendre nos routes plus sûres.

Quid de Vodacom Congo

Disons que c’est depuis plus de 21 ans, que Vodacom Congo utilise la technologie pour soutenir le développement socio-économique de la RDC, fournissant une large gamme de services de communication, y compris la voix, la messagerie, Internet, la monnaie électronique et des services convergents à plus de 21 millions d’abonnés et d’entreprises depuis 2002.

Grâce à sa politique de responsabilité sociale des entreprises, Vodacom Congo permet aux personnes d’accéder aux solutions les plus appropriées et élargit l’inclusion sociale et financière. Ses principaux objectifs sont de contribuer au développement de la RDC, de réduire les disparités entre les régions et de connecter les territoires grâce à une couverture réseau aussi large que possible. Pendant 21 ans, Vodacom Congo a été un partenaire privilégié et constant dans le développement économique et social de la RDC.

Pionnier dans la transition énergétique du secteur des télécommunications, Vodacom Congo a entrepris plusieurs initiatives pour décarboniser ses opérations et fournir des solutions propres à l’ensemble de la population qu’il dessert déploiement de près de 900 sites de connectivité rurale 100% solaire depuis 2013 ; Élimination de plus de 95% du papier dans les procédures administratives par la numérisation ; Mise en place d’une politique interne de transition énergétique et de réduction de son empreinte carbone ; Adoption de véhicules 100% électriques dans sa flotte ; Promotion du service financier M-Pesa comme outil de dématérialisation des paiements et de réduction de la pollution.