Présidentielle 2023 : Félix Tshisekedi toujours en tête des résultats partiels dans le Haut-Uélé, Équateur et l’Ituri

Sans surprise, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, candidat à sa propre succession, enchaine des victoires avec des écarts considérables par rapport aux autres candidats à la présidentielle. Après l’écrasante victoire enregistrée dans la diaspora, le candidat numéro 20 continue de rafler des victoires dans plusieurs circonscriptions dont les résultats sont déjà compilés par la Commission électorale nationale indépendante (CENI).

 

Après que la centrale électorale a publié le dimanche 24 décembre 2023, les tendances des résultats partiels de la présidentielle dans certaines circonscriptions des trois provinces, Félix-Antoine Tshisekedi continue de se placer en tête.

Les résultats des circonscriptions rendus public le dimanche 24 décembre 2024 sont ceux de Wamba et Isiro pour le Haut-Uélé, Bikoro et Makanza à l’Equateur ainsi que Bunia-ville et Mambasa dans la province de l’Ituri. Les résultats rendus publics ne sont pas ceux de toutes les circonscriptions énumérées ci-dessus.

A Bunia-ville par exemple, la CENI a publié les résultats de 271 bureaux compilés sur les 309 que compte la circonscription. A Makanza (Équateur), 102 ont été compilés sur 147 bureaux, soit un taux de compilation de 69%.

 

Il faut noter que pour les premières tendances au niveau national, le taux de compilation est de 87% pour Bunia ville, 29% pour Mambasa, 96% pour Isiro, 69% pour Wamba, 69% à Makanza et 6% à Bikoro.

Pour tous les bureaux compilés, le suffrage exprimé est 216.193 voix. Félix-Antoine Tshisekedi obtient 160.657 voix soit 74,3% dans ces six circonscriptions à savoir Wamba, Isiro (Haut-Uelé); Bikoro, Makanza, (Équateur) et Bunia Ville, Mambasa (Ituri). En deuxième position vient Moïse Katumbi avec 35.842 voix (16,6 %). Les deux challengers sont talonnés par le candidat Radjabho avec 8.141 voix, soit 3,8 % de suffrages exprimés dans ces bureaux compilés. Martin Fayulu vient en quatrième position avec 3.209 voix, soit 1,5%.

 

Alors qu’il a désisté en faveur du candidat Katumbi, Delly Sesanga est en cinquième position avec 752 voix, soit 0,3% de suffrages exprimés. Denis Mukwege se positionne à la 7ème place avec 668 voix, soit 0,3 %. Le candidat Ngila ferme la marche avec 151 voix, soit 0,1%. La publication des résultats partiels devrait encore se poursuivre ce lundi 25 décembre, à en croire la CENI.

Signalons, par ailleurs, que la publication des résultats partiels se fait au Centre de compilation « Bosolo », mis en place pour la circonstance par la CENI

à Kinshasa.




Message de Noël et bénédiction Urbi et Orbi : « Sur les ténèbres du monde prévaut la lumière de Dieu »

Aujourd’hui à midi, en la solennité de la naissance du Seigneur, depuis la loggia centrale de la basilique vaticane, le Saint-Père, avant de donner la bénédiction « Urbi et Orbi », adresse le traditionnel message de Noël aux fidèles présents sur la place Saint-Pierre et à ceux qui l’écoutent à la radio, à la télévision et par d’autres moyens de communication.

Voici le texte intégral du message du Saint-Père pour Noël 2023 :

Chers frères et sœurs, joyeux Noël !

Le regard et le cœur des chrétiens du monde entier sont tournés vers Bethléem ; là où règnent aujourd’hui la douleur et le silence, a retenti l’annonce attendue depuis des siècles : « vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur » (Lc 2, 11). Ce sont les paroles de l’ange dans le ciel de Bethléem et elles nous sont également adressées. Elles nous remplissent de confiance et d’espérance de savoir que le Seigneur est né pour nous ; que la Parole éternelle du Père, le Dieu infini, a fixé sa demeure parmi nous. Il s’est fait chair, il est venu « habiter parmi nous » (Jn 1, 14) : voilà la nouvelle qui change le cours de l’histoire !

L’annonce de Bethléem est celle d’une « grande joie » (Lc 2, 10). Quelle joie ? Pas le bonheur passager du monde, pas la joie du plaisir, mais une joie “grande” parce qu’elle nous rend “grands”. Aujourd’hui, en effet, nous les êtres humains, avec nos limites, nous embrassons la certitude d’une espérance inouïe, celle d’être nés pour le Ciel. Oui, Jésus notre frère est venu faire de son Père notre Père : Enfant fragile, il nous révèle la tendresse de Dieu ; et bien plus encore : Lui, le Fils unique du Père, nous donne le « pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jn 1, 12). Voilà la joie qui console le cœur, qui renouvelle l’espérance et qui donne la paix : c’est la joie de l’Esprit Saint, la joie d’être des enfants aimés.

Frères et sœurs, aujourd’hui à Bethléem, dans les ténèbres de la terre, s’est allumée cette flamme inextinguible, aujourd’hui sur les ténèbres du monde prévaut la lumière de Dieu, « qui éclaire tout homme » (Jn 1, 9). Frères et sœurs, réjouissons-nous de cette grâce ! Réjouis-toi, toi qui as perdu confiance et certitudes, car tu n’es pas seul : le Christ est né pour toi ! Réjouis-toi, toi qui as perdu l’espérance, parce que Dieu te tend la main : il ne te pointe pas du doigt, mais il t’offre sa petite main d’Enfant pour te libérer de tes peurs, te relever de tes peines et te montrer qu’à ses yeux tu as plus de valeur que tout. Réjouis-toi, toi qui ne trouves pas la paix dans ton cœur, car pour toi s’est accomplie l’antique prophétie d’Isaïe : « Un enfant nous est né, un fils nous a été donné […] son nom est proclamé : […] Prince-de-la-Paix » (9,5). L’Écriture révèle que sa paix, son règne « sera sans fin » (9, 6).

Dans l’Écriture, le Prince de la paix s’oppose au « prince de ce monde » (Jn 12, 31) qui, en semant la mort, agit contre le Seigneur, « qui aime les vivants » (Sg 11, 26). Nous le voyons à l’œuvre à Bethléem lorsque le massacre des innocents a lieu après la naissance du Sauveur. Combien de massacres d’innocents dans le monde : dans le sein maternel, sur les routes des désespérés en quête d’espérance, dans les vies de tant d’enfants dont l’enfance est dévastée par la guerre. Ce sont les petits Jésus d’aujourd’hui, ces enfants dont l’enfance est dévastée par la guerre, par les guerres.

Alors dire “oui” au Prince de la paix signifie dire “non” à la guerre, et cela avec courage : dire “non” à la guerre, à toute guerre, à la logique même de la guerre, voyage sans but, défaite sans vainqueurs, folie sans excuses. C’est la guerre : voyage sans but, défaite sans vainqueurs, folie sans excuses. Mais pour dire “non” à la guerre, il faut dire “non” aux armes. Car si l’homme, dont le cœur est instable et blessé, a en sa possession des instruments de mort, tôt ou tard, il les utilisera. Et comment peut-on parler de paix si la production, la vente et le commerce des armes augmentent ? Aujourd’hui, comme au temps d’Hérode, les complots du mal, qui s’opposent à la lumière divine, se meuvent dans l’ombre de l’hypocrisie et de la dissimulation : combien de massacres armés ont lieu dans un silence assourdissant, à l’insu de tant de personnes ! Les personnes, qui ne veulent pas d’armes mais de pain, qui peinent à aller de l’avant et qui demandent la paix, ignorent combien d’argent public est destiné aux armements. Et pourtant ils devraient le savoir ! Que l’on en parle, que l’on en écrive, pour que l’on sache les intérêts et les gains qui tirent les ficelles des guerres.

Isaïe, qui prophétisait le Prince de la paix, a écrit à propos d’un jour où « jamais nation contre nation ne lèvera l’épée » ; d’un jour où les hommes « n’apprendront plus la guerre », mais « de leurs épées, ils forgeront des socs, et de leurs lances, des faucilles » (2, 4). Avec l’aide de Dieu, faisons en sorte que ce jour approche !

Qu’il s’approche en Israël et en Palestine, où la guerre secoue la vie de ces populations. Je les embrasse toutes, en particulier les communautés chrétiennes de Gaza et de toute la Terre Sainte. Je porte dans mon cœur la douleur pour les victimes de l’odieuse attaque du 7 octobre dernier et je renouvelle un appel pressant pour la libération de ceux qui sont encore retenus en otage. Je demande que cessent les opérations militaires, avec leur effroyable suite de victimes civiles innocentes, et que l’on remédie à la situation humanitaire désespérée en ouvrant à l’arrivée de l’aide humanitaire. Que l’on ne continue pas à alimenter la violence et la haine, mais que l’on commence à résoudre la question palestinienne, à travers un dialogue sincère et persévérant entre les Parties, soutenu par une forte volonté politique et par l’appui de la communauté internationale.

 

Ma pensée va ensuite à la population de la Syrie meurtrie, ainsi qu’à celle du Yémen encore en souffrance. Je pense au cher peuple libanais et je prie pour qu’il retrouve rapidement la stabilité politique et sociale.

Les yeux fixés sur l’Enfant Jésus, j’implore la paix pour l’Ukraine. Renouvelons notre proximité spirituelle et humaine à son peuple meurtri, afin qu’à travers le soutien de chacun de nous, il sente la réalité de l’amour de Dieu.

Que s’approche le jour d’une paix définitive entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Que la poursuite des initiatives humanitaires, le retour des personnes déplacées chez elles en toute légalité et sécurité, et le respect mutuel des traditions religieuses et des lieux de culte de chaque communauté la favorisent.

N’oublions pas les tensions et les conflits qui secouent la région du Sahel, la Corne de l’Afrique, le Soudan, ainsi que le Cameroun, la République Démocratique du Congo et le Soudan du Sud.

Que s’approche le jour où se renforceront les liens fraternels dans la péninsule coréenne, ouvrant des parcours de dialogue et de réconciliation qui puissent créer les conditions d’une paix durable.

Que le Fils de Dieu, qui s’est fait humble Enfant, inspire les autorités politiques et toutes les personnes de bonne volonté du continent américain, afin que soient trouvées des solutions aptes à surmonter les dissensions sociales et politiques, pour lutter contre les formes de pauvreté qui offensent la dignité des personnes, pour aplanir les inégalités et pour affronter le douloureux phénomène des migrations.

De la crèche, l’Enfant nous demande d’être la voix de ceux qui n’ont pas de voix : voix des innocents, morts par manque d’eau et de pain ; voix de ceux qui ne parviennent pas à trouver un travail ou l’ont perdu ; voix de ceux qui sont obligés de fuir leur patrie à la recherche d’un avenir meilleur, risquant leur vie dans des voyages exténuants et à la merci de trafiquants sans scrupules.

Frères et sœurs, le temps de grâce et d’espérance du Jubilé, qui commencera dans un an, approche. Que cette période de préparation soit une occasion pour convertir le cœur ; pour dire “non” à la guerre et “oui” à la paix ; pour répondre avec joie à l’invitation du Seigneur qui nous appelle, comme prophétisa encore Isaïe, « annoncer la bonne nouvelle aux humbles, / guérir ceux qui ont le cœur brisé, / proclamer aux captifs leur délivrance, / aux prisonniers leur libération » (Is 61, 1).

Ces paroles se sont accomplies en Jésus (cf. Lc 4, 18), né aujourd’hui à Bethléem. Accueillons-le, ouvrons-Lui notre cœur, lui le Sauveur ! Ouvrons-Lui notre cœur, lui le Sauveur, qui est le Prince de la paix !




A travers la manifestation du mercredi 27 décembre : Les défaits veulent obtenir ce que le peuple a refusé de leur accorder par les urnes (Jean-Pierre Kambila)

Chers compatriotes.

Non, amis démocrates, ne capitulons pas.

Les défaits du 20 décembre 2023 veulent contraindre l’Etat à renoncer au verdict des urnes. Tel est le but de la manifestation projetée le mercredi 27 décembre. Ils viennent par cette tentative contester un processus auquel ils avaient, jusqu’ici, participé. Ces compatriotes méprisent l’engouement montré par le peuple congolais le mercredi passé, tantôt pluvieux tantôt fortement ensoleillé. Les conclusions des experts et observateurs internationaux ne les convainc nullement. Le fait que le pays soit en guerre ne les intéresse pas plus. Seule la soif du pouvoir dicte leur comportement malsain.

Le but de la manifestation programmée pour ce mercredi est simple : pousser le gouvernement à la faute, par le biais d’une quelconque bavure policière réelle ou imaginaire, et ainsi forcer le Président gagnant au dialogue pour aboutir à un gouvernement de coalition. Personne ne pense réellement à reconvoquer les élections.

Les défaits veulent obtenir – par la rue, le désordre et le bruit – ce que le peuple a refusé de leur accorder par les urnes. Il y a là une tentative de prendre le pouvoir par la force. A analyser les dires et les attitudes de certains au cours de tout le processus électoral, on peut légitimement penser que la ruse était préparée et même planifiée depuis longtemps.

Il ne faut céder d’aucun pouce à ce stratagème.

D’ailleurs combien de manifestants pensez-vous que les défaits pourront rassembler à Kinshasa sur les 12 millions d’habitants. Je pari qu’ils seront moins de 50 000, badauds y compris. La meilleure réponse serait de mettre un million de marcheurs pacifiques le samedi d’après.

Un leader défait entouré de quatre citoyens relativement connus ne peuvent dicter le comportement d’un peuple.

Mercredi, les rues de Kinshasa seront calmes.




RDC-RPDC; Un œuvre d’art «Le Maréchal KIM JONG UN, Père de la Nation»

La République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire en voie de la poursuite du statut de la Puissance économique et où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont KIM JONG UN, Président des Affaires d’État de la RPDC, NDLR) va célébrer, sous peu, le 12ème anniversaire de la nomination de KIM JONG UN au poste du Commandant Suprême des forces armées de la RPDC. Et, voici

• l’intégralité d’une lettre du Me. Bontemps NYEMBO SHINDANO, Président-Directeur Général de la Maison DECORUS Arts-Déco de la République Démocratique du Congo (RDC), transmise (11/06/2023) aux Autorités de la RPDC à Kinshasa dont KIM Myong Sik (Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire) accompagné de son collaborateur KIM Yong Ho (Consul) pour être adressée à KIM JONG UN
• une dizaine de photos y relatives;

Excellence Monsieur le Maréchal,
J’ai le grand honneur de Vous faire dédicace de mon propre œuvre d’art intitulé «Le Maréchal KIM JONG UN, Père de la Nation» en signe de respect et de révérence envers Vous-même, en tant qu’un simple membre de l’Humanité progressiste du monde fascinée ou charmée par Vous-même, Leader éminent de la RPDC.

L’un des artistes de la RDC et le portraitiste sur le cuivre (7mm originaire de Lubumbashi sis à plus de 2.000km de Kinshasa) battu (ou repoussé) avec effet de 5 couleurs (patines) non changeables, j’ai déjà réalisé des milliers d’ouvrages depuis 1989 pour en offrir quelques aux hommes d’État, dont les Chefs d’État et de Gouvernement de différents Pays. Et cette fois-ci, jai essayé de reproduire Votre Auguste Image d’il y a un an inoubliable et historique, sur mon tableau sui generis introuvable dans les autres coins de notre Planète.

Ce jour-là en tenant compte de l’avènement d’une infection aiguë dans une région de Votre Pays, Vous vouliez bien envoyer les médicaments préparés par Votre propre famille à l’adresse des foyers atteints de la maladie contagieuse à dessein que Votre propre don contribue, tant soit peu, au traitement desdits sujets. Quant aux circonstances de l’époque,

nor

• le nouveau Régime sud-coréen, pris de peur sans nécessité après avoir osé définir, de nouveau, Votre Superpuissance politico-militaire – berceau de l’Esprit du Mt. Paektu-san – comme Ennemie principale, faisaient beaucoup de tapage autour d’un éventuel affrontement fratricide et se livraient à toutes sortes d’actes malveillants et inconvenants
• Votre Capitale Pyongyang était en pleine guerre de 91j pour la prévention d’urgence suprême contre le sous-variant Omicron furtif BA.2 infiltré dans le Pays.

Votre souvenir sur l’époque me rappelle encore aujourd’hui comme si c’était d’hier; Le Peuple qui me soutient, m’encourage et me pousse pour me redresser toujours, tant aux jours de bonheur qu’à ceux de malheur et même de difficultés, m’était aussi cher que mon sang et ma chair, et je ne pouvais jamais ou nullement admettre la perte même d’un seul membre de mon Peuple.

Vos paroles-ci fort touchantes m’ont, finalement, poussé à l’option de Votre photo du 15/06/2022 parmi les milliers et dizaines de milliers de photos de Vous-même et de Votre beau et grand Etat

• publiées par Votre Ambassade en RDC au nom des médias de masse tels que les journaux et sites web en ligne d’ici, publics ou privés
• insérées ou jointes aux actualités d’impact dont l’un de Vos diplomates impeccables, M. KIM Y-H, m’envoie les liens accompagnés du contenu, tous les jours (ouvrables, chômés et fériés) dès la fin 2016, bientôt 7 ans.

J’aimerais bien Vous avouer que moins d’un quart de toute la compilation (une dizaine de NDLR ou «note de la rédaction» comme référence irréprochable dans chaque article pour la compréhension explicite à l’intention des lecteurs) de ce M. le Consul lingalophone, trouvable seulement en d’autres langues sur les dizaines de sites web de Votre Pays selon mes collègues, doit être, sans doute, sa propre traduction personnelle d’amabilité en faveur de mon Pays, Sous-continent africain et francophone comme une vingtaine de Pays, enfin urbi et orbi, qui commence, quand même, à faire la sourde oreille aux diffamations des USA et de l’Occident ciblant Votre grand Etat même si les infox ou fake-news prennent encore une ampleur importante à l’échelle mondiale.

Pour terminer, j’ose Vous aborder un dossier non moins important et peut-être utile pour nos 2 Pays respectifs dans ma 2ème lettre accompagnée de mes 2 autres réalisations visant à la commémoration du 70ème anniversaire de la grande Victoire dans la Guerre de Corée 1950-1953 contre les USA, occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945 après leur fiasco aux tentatives de l’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845 et, toujours insolents ou orgueilleux comme Gendarmes ou Juges internationaux même aujourdhui; et, j’espère que Vous allez sûrement les apprécier et adorer tout comme ma 1ère (bien encadrée 700×500mm en bois brun Lifaki ou Entandrophragma palustre Staner de la famille des méliacées destiné à lébénisterie en RDC): les titres desdits tableaux que je voudrais bien baptiser se lisent comme suivant;

1. L’Eternel Généralissime KIM IL SUNG
2. L’Eternel Généralissime KIM JONG IL

Excellence Monsieur le Maréchal,
En Vous adressant mes meilleurs Vœux de santé, de bonheur et de prospérité à Vous-même, à Votre chère Famille et à Votre Peuple, je Vous prie d’agréer l’expression de ma Très Haute Considération.




Pas sûr d’être élu : L’honorable Jean-Pierre Tshimanga retire des appuis faits à la population lors de la campagne électorale

Le député national Jean-Pierre Tshimanga Buana se lance dans le retrait des appuis et dons faits à la population lors de la campagne électorale. Fâché et très mal élu par une population fatiguée des promesses non tenues et manque de considération, l’honorable Jean-Pierre Tshimanga Buana a jugé bon de retirer plusieurs des dons faite à ses électeurs tels que les motos, le projecteur ( lampadaires) les moulins, etc…

Cette acte diminue sa crédibilité de plus et surprend de plus les acteurs politiques, car c’est pour la deuxième fois que l’élu de Tshikapa Kamonia pose un acte du genre. Il y a quelques années, l’ancien homme de Lunyeka avait sous l’effet de la colère retiré plusieurs projecteurs dans le centre-ville du secteur de l’entre Kasaï-Lunyeka.

Selon plusieurs personnes que nous avons interrogées, le Député national Jean-Pierre Tshimanga n’a pas eu de voix comme il espérait. Ceci est le résultat de son comportement, note certains et d’autres parlent d’un manque d’un bon leadership.

Le député national Jean-Pierre Tshimanga est resté injoignable.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




En dépit des échauffourées, Renaissance battue par Vita Club…

Le derby de la capitale entre V.Club et Renaissance a tourné à la victoire finale des Dauphins noirs 2-0 score du match joué dimanche 23 novembre 2023 au championnat national de la Ligue 1 dans le groupe B.

V. Club a ouvert le score peu avant la pause, à travers une frappe bien enroulée de Platini Mpiana Mozinzi (1-045+3) sur une action confusionnelle auprès des supporters du club Orange estimant une position litigieuse de l’attaquant des Bana Mbongo, action validée par l’arbitre central. 1-0 à la mi-temps.

Les deux équipes vont rester longtemps que prévu aux vestiaires suite aux troubles, jet de projectiles et bagarre créée par les supporters de ces clubs adversaires du jour. Les 15 minutes de la pause vont dépasser pour plus de 40 minutes.

Affaire zone tampon

Les désordres ont été occasionnés par le non-respect de la zone tampon, ladite zone déjà à la base du coup d’envoi retardé du match. Un foutoir maîtrisé ensuite par la police, faisant usage des gaz lacrymogènes tout en cédant parfois aux provocations des supporters de part et d’autre, et le jeu va reprendre.

7 minutes auront suffi aux Moscovites pour creuser l’écart, encore Mpiana Mozinzi par deux fois pour battre le portier Lukliese, auteur d’une belle parade sur la première frappe de l’ancien de Lupopo (2-0 52e).

But de Renaissance refusé

Avec une intensité grandissime, sous le regard inquiet des supporters du club vert et noir de la capitale, la Renaissance avait ainsi réussi à trouver le chemin de filet.

Sur un appel bien téléphoné, Benkiki a été parfaitement trouvé par la passe éclaire de Bayila, le numéro 11 de Fibo a réussi à contrôler et battre le gardien Dande de V. Club. Malheureusement, le but sera refusé pour une position litigieuse. Tout le stade a vu cet appel et cette finition, il faut souffrir de la myopie pour constater un “hors-jeu”.

Sans se lasser malgré le fait d’être menée 2-0, la Renaissance du Congo a poussé durant la grande partie du match, malheureusement sans succès jusqu’à l’épuisement des 7 minutes ajoutées par le 4e arbitre (2-0).




Tout en décrétant l’annulation pure et simple des scrutins : Le camp Katumbi exige l’arrestation immédiate de Denis Kadima et son bureau

«Les machines à voter et les bulletins de vote ont été retrouvés entre les mains des tiers, tous candidats du camp de Félix Tshisekedi, qui ont tous voté un même et seul candidat, Félix Tshisekedi. C’est la preuve irréfutable que la fraude a été organisée et planifiée en sa faveur, avec la complicité de la CENI. Une seule machine retrouvée entre les mains d’un tiers remet en cause la neutralité de la CENI, confirme la fraude et annule les scrutins. Qui leur a donné ces machines? Combien de machines ont-ils reçues? Comment a-t-on mis en place, au sein de la CENI, une organisation facilitant la détention des machines par le camp Tshisekedi?», fait savoir dimanche en conférence de presse Me Hervé Diakiese, porte-parole d’Ensemble pour la République, s’exprimant pour le compte du candidat Moïse Katumbi et de ses alliés.

Selon cette information livrée par le trihebdomadaire Africa News, le camp Katumbi s’étonne que depuis que les dénonciations fusent à travers les réseaux sociaux, aucune autorité judiciaire, ni le Procureur général de la République, personne ne convoque la chaîne logistique de la CENI pour enquêter.

Tout en décrétant l’annulation pure et simple des scrutins pour fraude électorale, il exige l’arrestation immédiate de Denis Kadima et son bureau.

Aux missions d’observations, Diakiese dit que la République Démocratique du Congo ne devrait pas avoir des standards au rabais. «Aucun pays sérieux, aucun pays occidental n’accepterait pareilles élections chaotiques. Le sort du peuple congolais n’est pas de mériter des dirigeants tricheurs, fraudeurs. Cette nouvelle fraude ne passera pas. Ça prendra le temps que ça prendra», fait-il savoir appelant le peuple à se mobiliser pour protéger son vote.




« Regard Citoyen n’est l’auteur d’aucune publication provisoire des résultats, ni de sondage d’opinion » 

La Mission d’observation électorale Regard Citoyen condamne fermement la campagne de désinformation qui circule sur les réseaux sociaux concernant la publication éventuelle de résultats provisoires de l’élection présidentielle et de sondages d’opinion.

Dans un communiqué publié à cet effet, Regard Citoyen précise qu’elle n’est l’auteur d’aucune publication provisoire des résultats, ni de sondage d’opinion. Pour rappel, l’objectif principal de la mission Regard Citoyen est l’observation et la surveillance impartiale du processus électoral. En aucun cas, les observateurs n’interfèrent dans les opérations électorales qui sont de la responsabilité de la CENI.

Son objectif spécifique consiste à s’assurer de la participation des citoyennes et des citoyens dans la gestion des affaires publiques. Le travail d’observation électorale de Regard citoyen entend contribuer à l’intégrité et à la transparence du processus électoral ainsi qu’à la responsabilisation de l’ensemble des parties prenantes au processus. Regard Citoyen informe l’opinion que les seules communications officielles sont publiées sur ses comptes officiels des réseaux sociaux et relayées par la presse nationale et internationale.

Pour toute information utile, Regard Citoyen encourage les uns et les autres à se référer à ses pages et comptes officiels de ces réseaux ( facebook.com/DRCRegardCitoyen et https://twitter.com/home ).

 




Selon la Banque mondiale: Sur 56 % de la population mondiale, soit 4,4 milliards d’habitants vivent en ville

Plus de la moitié de la population mondiale vit actuellement dans des zones urbaines. D’ici 2045, le nombre de citadins devrait être multiplié par 1,5 pour atteindre 6 milliards. Les dirigeants municipaux doivent agir rapidement pour mieux planifier la croissance des villes et apporter, à des habitants toujours plus nombreux, l’offre de services essentiels, d’infrastructures et de logements abordables dont ils ont besoin.

Aujourd’hui, 56 % de la population mondiale, soit 4,4 milliards d’habitants, vivent en ville. Cette tendance va se poursuivre : d’ici 2050, avec le doublement du nombre actuel de citadins, pratiquement sept personnes sur dix dans le monde vivront en milieu urbain.

Les villes générant plus de 80 % du PIB mondial, l’urbanisation peut, si elle est maîtrisée, favoriser une croissance durable en intensifiant la productivité et l’innovation.

Cependant, une urbanisation galopante s’accompagne de nombreux défis. Il faut notamment répondre à l’accroissement de la demande de logements abordables, de réseaux de transport et autres infrastructures vitales, de services de base et d’emplois, en particulier pour le milliard de citadins pauvres qui vivent souvent dans des quartiers informels. En outre, la montée des conflits accentue les pressions sur les villes, plus de 50 % des personnes déplacées trouvant refuge dans des zones urbaines.

La morphologie d’une ville et les modes d’occupation du territoire engagent l’avenir sur plusieurs générations et risquent d’entraîner une expansion urbaine intenable. La progression de l’utilisation des terres urbaines est supérieure de 50 % à la croissance démographique, ce qui devrait augmenter la superficie bâtie mondiale de 1,2 million de kilomètres carrés d’ici à 2030. Ce processus d’étalement urbain aggrave les pressions qui s’exercent déjà sur les ressources foncières et naturelles, avec, à la clé, des effets indésirables, sachant que les villes représentent actuellement près des deux tiers de la consommation mondiale d’énergie et qu’elles produisent plus de 70 % des émissions planétaires de gaz à effet de serre.

Parce qu’elles sont plus exposées aux risques de catastrophe et aux risques climatiques à mesure qu’elles se développent, les villes jouent un rôle de plus en plus important dans la lutte contre les dérèglements du climat. Depuis 1985, la superficie des zones urbaines exposées à une submersion supérieure à 0,5 mètre en cas de forte inondation s’est accrue de 76 400 kilomètres carrés, soit environ 50 fois la superficie du Grand Londres. À l’échelle mondiale, 1,81 milliard de personnes (soit un habitant sur quatre) vivent dans des zones à haut risque d’inondation. Ces risques sont particulièrement élevés dans les zones côtières et les plaines fluviales densément peuplées et à urbanisation rapide des pays en développement, qui concentrent 89 % de la population mondiale exposée à des risques d’inondation.

Les villes sont aussi en première ligne dans la lutte contre les épidémies. Avec la pandémie de COVID-19, les villes et leurs habitants ont été confrontés à un immense défi. Le virus et les mesures prises pour contenir sa propagation ont eu un impact disproportionné sur les populations pauvres, marginalisées et vulnérables, mettant au jour les failles dans la structure économique des villes et leur degré de préparation face à une crise de cette ampleur, en particulier au niveau de leurs systèmes de santé publique et de fourniture des services.

Bâtir des villes « fonctionnelles », c’est-à-dire vertes, résilientes et inclusives, nécessite d’intenses efforts de coordination des politiques et des choix d’investissement intelligents. Les autorités nationales et locales doivent impérativement agir dès à présent pour préparer le développement à venir des villes et créer des opportunités pour tous.




Le TPM et Panda font match nul

C’est la beauté du championnat national de réserver parfois des surprises à l’image du football. Les Corbeaux, malgré leur domination, n’ont pas réussi à déjouer le piège des “Bombardiers”. Maîtrise du ballon et plusieurs occasions manquées par les hommes de Lamine Ndiaye, c’est sur un nul vierge que les deux équipes ont quitté le Stade Kikula ce samedi 23 décembre.

Les Corbeaux sont rentrés à Lubumbashi aussitôt après le match pour plonger dans la préparation du prochain match, mercredi devant Don Bosco.