KIM JONG UN; Pour renforcer les forces armées

Ce 30 décembre marque le 12ème anniversaire de la nomination du Maréchal KIM JONG UN au poste de Commandant Suprême des forces armées de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945;

• Puissance nucléaire consacrée à garantir son droit à l’existence et au développement du Pays et à juguler une Guerre pour sauvegarder la paix et la stabilité de la Région et du monde entier
• Superpuissance politico-idéologique où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR).

A cette date historique, sont liés;

• la puissance invincible de la RPDC qui avance, victorieusement, sur de solides bases politico-militaires
• les événements qui se produisent successivement sur ce sol-là, marquant l’histoire de la Nation.

Conscient que;
• le potentiel militaire est, justement, le potentiel national
• l’accroissement maximal de ce potentiel militaire conduit à la richesse, à la puissance et à la prospérité du Pays ainsi qu’au bonheur du Peuple,

KIM JONG UN s’est donné tant de peine pour renforcer les forces armées révolutionnaires;

• Ses idées et théories militaires, notamment l’idée d’implanter, strictement, le système de commandement unique du Parti du Travail de Corée (PTC de la plus longue histoire du monde depuis 1945 comme parti au pouvoir, NDLR) au sein de toute l’Armée Populaire de Corée (APC créée en 1948, NDLR) et celle de faire de cette APC une avant-garde digne de confiance et un point d’appui inébranlable de la Révolution coréenne, ont servi de guide pour ouvrir un âge d’or dans le renforcement du potentiel militaire.
• Chaque fois qu’il inspectait les unités de l’APC, il insistait pour mener, de façon logique et en profondeur, l’éducation politico-idéologique chez les militaires. Il a organisé le pèlerinage des commandants des unités interarmes de l’APC aux anciens théâtres de combats révolutionnaires anti-japonais (1930-1945) du Mont Paektu-san (mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution d’où l’objet du pèlerinage de toute la Nation, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de la Péninsule pour son paysage magnifique; le nom provient de ce qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 939-1925, NDLR), allumant, ainsi au sein de l’APC entière, les flammes de la formation aux traditions révolutionnaires, et veillé à ce que tous les officiers et soldats s’imprègnent des idées militaires de Juché (idéologie directrice éternelle créée en 1930 par KIM IL SUNG 1912-1994, NDLR).

Sa direction éminente a constitué une immense force motrice permettant à tous les officiers et soldats de l’APC d’être fermes dans leurs idées, leur volonté et leur sens du devoir mutuel et d’accomplir des actions d’éclat. Il a;

• consacré, aussi, les efforts inlassables pour augmenter, au maximum, la puissance militaro-technique de l’APC
• pris l’initiative du Mouvement des Unités Kunwi (avant-garde, NDLR) et du Mouvement des Fins Tireurs et des Artilleurs d’Elite
• dirigé, sur place, les exercices de manœuvres et les compétitions-entraînements des unités de l’APC, soulignant qu’il fallait rejeter les formules établies et le dandysme dans les entraînements
• dirigé de grandes rencontres organisées dans le cadre de toute l’APC et les compétitions de plusieurs armées et armes, autant d’occasions qui marquaient un tournant remarquable dans le renforcement des capacités de combat et le perfectionnement des préparatifs de combat des forces armées révolutionnaires.

L’Expo de Matériel de Guerre – 2023 consacrée au 70ème anniversaire (27 juillet) de l’issue victorieuse dans la Guerre (1950-1953, RPDC-USA, NDLR) de Libération de la Patrie a montré, sans réserve, le mérite impérissable de KIM JONG UN d’avoir créé la puissante force de dissuasion, l’arme la plus efficace pour la sauvegarde de la paix.

KIM JONG UN veille, également, à ce que l’APC soit la force principale et la troupe de choc dans tous les secteurs de la lutte créatrice pour la prospérité du Pays et le bonheur du Peuple;

• Il envoyait l’APC dans les secteurs les plus difficiles de l’édification du socialisme et faisait en sorte que se dépenser sans compter pour le Peule soit le principe et le style d’action immuables des militaires.
• Les créations monumentales dignes de l’Epoque et les villages féeriques surgis partout dans le Pays, ainsi que l’histoire de la Montagne d’Or, de la Plaine d’Or et de la Mer d’Or portent les empreintes du style d’action de l’APC qui sait créer à partir du néant et peut faire tourner au bon ce qui est mauvais en venant à bout de toute difficulté avec une force morale irréductible pour le bien de la Patrie et du Peuple.

Pendant ces plus de 10 dernières années, le Peuple de la RPDC a éprouvé, profondément, la chance et l’honneur de la Nation d’avoir KIM JONG UN à la tête des forces armées. C’est grâce à lui que;

• les forces armées révolutionnaires de Juché ne cessent de se renforcer et de se développer
• la cause du socialisme progresse victorieusement.

Telle est la conviction inébranlable du Peuple de la RPDC.

【source】Sylvère BOSWA ISEKOMBE (1966- ; appelé, communément, Lion au Cœur Rouge depuis 2018, NDLR);

• Candidat à la Députation Nationale 2024-2028
• Secrétaire Général (№ 1) du Parti Communiste Congolais (PCCo) de la République Démocratique du Congo
• Coordinateur sous-régional pour l’Afrique Centrale du Conseil Mondial de la Paix (CMP créé en 1950 avec son siège à Athènes, Grèce)




Kongo Central: Le chef de division provinciale du tourisme échappe à un lynchage par ses propres agents

A la base, la distribution des vivres pour les festivités de Noël et de Nouvel an. En effet, une journée pas comme à l’ordinaire ce samedi 30 décembre au building le Dragage qui abrite les services de la fonction publique provinciale.

Nous sommes dans la ville basse dans la commune de Matadi. Suite à un partage qui n’a pas répondu à ses attentes, le Chef de division Bienvenue Kiobo Bamina a convoqué ce samedi dans son bureau de travail ses chefs de bureaux dont l’ordre du jour est ” le partage des vivres pour les festivités”.

Occasion pour le chef de division de menacer ses collaborateurs jusqu’à obtenir la grande part de vivres au détriment de ses proches collaborateurs et agents, obligés à se partager 1 sacs de riz de 25 kgs et 1carton de poulets à plus de 5 personnes.

Menaces que le chef de bureau en charge de l’administration et des finances ( hypertendu) n’a pas pu supporter jusqu’à piquer une crise de tension en pleine réunion. Face au danger de mort de leur collègue, les agents ont menacé leur Chef de division qui a résolu de fuir par une porte de secours, abandonnant même les sacs de riz et cartons de poulets qu’il a acquis par force.

S’en est suivi le saccage de son bureau par les agents qui ont même emporté les vivres du chef de division Bienvenue Kiobo Bamina en suite.




Publication des résultats provisoires : La MOE Regard Citoyen recommande à la population de s’abstenir de tout triomphalisme ou d’excès de colère

Les équipes d’observateurs de long terme de la Mission d’Observation Electorale (MOE) Regard Citoyen continuent leur évaluation du processus électoral et observent la compilation des résultats dans toutes les provinces. Le rapport y relatif sera publié en temps opportun, précise un communiqué publié ce 30 décembre à Kinshasa.
Dans l’entretemps, alors que la CENI s’apprête à procéder à la publication des résultats provisoires de l’élection présidentielle le 31 décembre à 14h00, la MOE Regard Citoyen recommande :
A la CENI d’afficher, dans le même temps, les résultats de vote, bureau de vote par bureau de vote, sur son site internet, comme la loi l’y oblige (article 71 de la loi 06/006 du 9 mars 2006 modifiée) ; Quantifier précisément le nombre de bureaux de vote ouverts le 20 décembre en se basant sur l’analyse des données des Dispositifs Electroniques de Vote et de dénombrer ceux qui ont connu une période de fonctionnement inférieure à la durée légale de 11h ; Informer sur le nombre de bureaux de vote ayant ouverts après le 20 décembre ; Informer sur les suites ou l’évolution des enquêtes menées sur les cas d’irrégularités impliquant des agents de la CENI ainsi que sur les sanctions qui, éventuellement, sont ou seront prises à leur encontre.
A la population, insiste le même document, contribuer à lutter contre l’impunité des présumés auteurs de violence et de fraudes électorales en répondant à l’invitation faite par le Procureur Général près la Cour de Cassation de dénoncer les dits actes par le truchement des organisations de la société civile ; S’abstenir de tout triomphalisme ou d’excès de colère à la suite de la publication des résultats provisoires, sachant que, gagnants et perdants, la cohésion nation est d’une plus grande valeur.
Aux candidats et aux partis politiques ayant pris part au processus électoral et à leurs partisans, de respecter les règles du jeu électoral et démocratique jusqu’au bout du processus, en appelant en même temps au calme, à la cohésion nationale et à la paix ; Préparer avec diligence leur recours contentieux pour éviter, autant que faire se peut, de trop nombreuses décisions d’irrecevabilité ; S’abstenir de tout discours triomphaliste, incendiaire ou séparatiste et de toute action susceptible d’entrainer des violences.
Au Gouvernement et à la Police Nationale Congolaise, prendre toutes les mesures efficaces et doter les forces de l’ordre de moyens conséquents pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens ; D’assurer l’encadrement des Congolais et Congolaises avec professionnalisme.




Guéguerre Udps-Afdc : Le Prof Mbata rejette l’audio qu’on lui attribue et menace de saisir la justice 

A partir de Kananga au Kasaï Central où il séjourne après la campagne qu’il a menée pour la réélection du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et pour sa propre réélection comme tête de liste de l’UDPS, son parti, Prof André Mbata Mangu est surpris par le tapage médiatique sans précédent provoqué par un audio devenu viral sur les réseaux sociaux qui serait circulé par les membres de l’AFDC-A et même par son Président, l’Honorable Modeste Bahati Lukwebo.

 

Dans une mise au point parvenue à notre rédaction, le Professeur Extraordinaire souligne qu’il n’a aucun problème avec son collègue Professeur Modeste Bahati Lukwebo, Président du Sénat et Membre du Présidium de l’Union Sacrée de la Nation (USN) avec qui il entretient de très bonnes relations depuis plusieurs décennies.

Comme Secrétaire Permanent de l’USN, le Professeur et Premier Vice-Président de l’Assemblée nationale entretient également de très bons rapports avec l’AFDC-A même si, dans le cadre de la démocratie prônée par le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo (FATSHI BETON), le parti de Président Bahati Lukwebo a aligné la quasi-totalité de ses candidats à la députation nationale dans le seul secteur de Lukibu qui est le secteur d’origine du Secrétaire Permanent de l’USN, alors que le Territoire de Dimbelenge compte cinq secteurs au total.

Le constitutionnaliste regrette que dans le cadre de ses bons rapports avec le Président de l’AFDC-A et son parti, ces derniers se soient investis lourdement dans les médias pour véhiculer eux-mêmes et appeler de nombreuses personnalités aussi bien dans le pays qu’à l’étranger pour le discréditer alors que le haut niveau intellectuel de la plupart des cadres et militants de l’AFDC-A (Professeurs d’universités, avocats, juristes, journalistes, médecins, diplômés universitaires…) leur aurait permis de comprendre que dans l’état actuel des progrès technologiques avec l’intelligence artificielle, la ressemblance des voix ne suffit pas. Des propos et même des images peuvent être fabriqués comme le Président Modeste Bahati en avait été lui-même victime il y a quelques mois lorsqu’il avait dénoncé un audio avec des propos qui lui étaient attribués contre l’Union Nationale Congolaise (UNC) et son Président l’Honorable Vital Kamerhe.

Selon la même source, Prof André Mbata regrette aussi les différents communiqués des membres de l’AFDC-A (Jeunesse de l’AFDC-A, Dynamique Bahati Lukwebo) dont certains ont été publiés à partir de Bukavu mais refuse d’en attribuer la responsabilité à ce grand parti national qui ne saurait être réduit à une particulière ou une ethnie particulière de la République.

Le Professeur des Universités informe l’opinion publique révoltée par le raccordement frauduleux des réseaux sociaux qu’il vient d’instruire ses avocats d’utiliser toutes les voies de droit et de saisir les organes judiciaires compétents de la République pour poursuivre toutes les personnes mal intentionnées qui sont à la base de la circulation ou celles qui vont continuer à faire circuler cet audio fabriqué dans certains laboratoires politiques de l’AFDC-A en violation de la loi pénale et de bonnes mœurs.

Mbata parle d’un complot

 

 

Si complot il y a, il s’agirait d’un complot ourdi non pas contre l’AFDC-A ni contre son Président, mais plutôt contre le Professeur André Mbata, contre le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, contre l’Union Sacrée de la Nation et aussi contre son parti , l’UDPS.

« La victimisation ou l’auto-victimisation ne saurait être la meilleure stratégie pour faire la politique ou pour survivre politiquement dans notre pays. Le changement des mentalités prônées par le Président Félix-Antoine Tshisekesi Tshilombo , la Haute Autorité Politique de l’Union Sacrée de la Nation et notre candidat unique, s’impose à tous les niveaux dans notre pays », indique la même source.

Par ailleurs, Prof André Mbata salue l’excellent travail de la CENI qui, pour la première fois dans notre pays et dans les conditions particulièrement difficiles, vient de nous organiser des élections libres, crédibles, paisibles et transparentes dans le respect des délais constitutionnelles et reste confiant que la CENI elle-même comme la Cour constitutionnelle vont faire leur travail loin de toutes manœuvres ou de manipulations politiciennes.

Fatshi 20, vainqueur incontestable

Enfin, Professeur André Mbata adresse ses vives félicitations à M. Félix-Antoine TshisekediI Tshilombo, dont l’onction divine présidentielle vient d’être confirmée par sa réélection avec une écrasante et incontestable majorité selon les premières tendances rendues publiques par la CENI, le pouvoir organisateur des élections suivant les termes de la Constitution de la République. « Il félicite en même temps la population congolaise en général et en particulier celle de Dimbelenge qui avec le score de 99, 6 %, est la seconde circonscription électorale dans le pays avoir réélu le Chef de l’Etat », indique ce texte rédigé par la Cellule de communication du prof Mbata.

Et d’ajouter que le temps n’est pas à la distraction et à l’agitation. Prof André Mbata s’interdit de céder à toute forme de distraction quelle que soit sa provenance ou ses auteurs. En cette période où certains acteurs politiques chercheraient déjà à se positionner dans la bataille pour la Primature et d’autres batailles post-électorales, Prof André Mbata attends impatiemment la publication des résultats de la CENI qui proclamera Félix-Antoine Tshisekesi Tshilombo comme le vainqueur incontestable de l’élection présidentielle de décembre 2023 et en appelle à la conscience patriotique des perdants qui sont réellement des filles et des fils de ce grand pays qui est le nôtre afin qu’ils acceptent sportivement le résultat des élections qui sera annoncé sous peu afin de nous permettre de bâtir un pays plus beau et plus prospère sous le second mandat de Félix-Antoine Tshisekesi Tshilombo.

L’Union Sacrée de la Nation s’apprête à donner au Président FATSHI une majorité parlementaire confortable et cohérente qui lui permette d’appliquer sa vision d’un Congo grand, puissant et prospère au cœur du continent africain.

Le temps pour nous tous est au calme et Prof André Mbata appelle à l’apaisement et à l’union sacrée de tous dans l’ensemble du pays et au sein de l’USN alors que nous nous préparons à célébrer dans la joie et la concorde nationale la victoire de « FATSHI BETON », notre candidat unique à l’élection

présidentielle.

 




L’Initiative Atlantique de SM le Roi pour le Sahel cadre parfaitement avec la vision Royale de la coopération en Afrique (Ambassadeur)

L’Initiative internationale de SM le Roi Mohammed VI visant à favoriser l’accès des pays du Sahel à l’Océan Atlantique, cadre parfaitement avec la vision Royale de la coopération en Afrique depuis le début du Règne en 1999, a affirmé l’ambassadeur de SM le Roi au Sénégal, Hassan Naciri.

Dans une interview accordée au magazine sénégalais “La Gazette”, publiée dans son dernier numéro, M. Naciri a souligné que cette Initiative Royale a été bien accueillie du fait qu’elle cadre parfaitement avec la Vision Royale de la coopération en Afrique depuis le début du Règne en 1999, mais aussi au vu du potentiel exceptionnel des retombées de la mise en place de ce projet d’envergure pour l’ensemble de la région, des pays de l’Atlantique et par conséquent du continent Africain.

“L’Afrique fait confiance au Souverain et fait appel à Son Leadership chaque fois qu’il s’agit des questions de développement, de coopération et de paix, entre autres”, a-t-il souligné, rappelant que Sa Majesté le Roi a toujours été au rendez-vous pour répondre de manière désintéressée, y compris en apportant le soutien approprié notamment pendant les crises.

Le diplomate marocain a affirmé que grâce à cet engagement Royal sans faille, le Maroc œuvre avec les pays frères sur toutes les scènes qu’il s’agit de l’économie, de l’environnement, de la migration, de la santé ou encore de la culture, notant que SM le Roi a toujours conçu et partagé les bonnes idées et initiatives pour faire bouger les choses dans une optique long-termiste.

“Il est clair que cette manière de voir et de faire, se référant aux valeurs de solidarité et de complémentarité, serait de nature à fédérer nos efforts et à offrir d’autres opportunités, sans perdre de vue le fait qu’aussi bien l’Union Africaine, les Nations Unies et la CEDEAO appellent sans cesse à la mise en place d’une chaîne de valeur africaine intégrée et adéquate à l’ère de la ZLECAF”, a indiqué M. Naciri.

Il a ajouté que l’offre Royale cadre naturellement avec les ambitions définies par l’Afrique, notamment dans l’Agenda 2063, estimant que “l’Atlantique constitue un atout inestimable et offre des opportunités considérables. Il pourrait être transformé en un levier de développement économique incontestable et une grande porte d’ouverture sur l’Afrique et sur le monde, c’est pourquoi il serait judicieux et généreux d’en faire bénéficier les pays de l’hinterland”.

Mettant en avant l’importance de faciliter l’interconnexion, non seulement des réseaux de routes, de chemins de fer et d’électricité, mais aussi la mise en place de lignes maritimes reliant les pays africains, M. Naciri a fait savoir que les lignes maritimes permettront de réaliser des économies consubstantielles et de générer des activités et des revenus à tous les niveaux.

Dans ce cadre, M. Naciri a évoqué le projet stratégique de gazoduc Nigeria-Maroc, lancé par SM le Roi et l’ancien président nigérian Muhammadu Buhari et qui reliera les pays de la côte Atlantique entre eux, d’une part, et avec l’Europe, d’autre part, relevant que ce projet ambitieux présente de nombreux avantages, notamment à travers la livraison d’énergie et la réduction de son coût, un facteur déterminant pour l’industrialisation, sans omettre les réponses aux attentes de la population en termes d’électrification.

D’autre part, le diplomate marocain a souligné que cette initiative est une composante importante de la vision globale du Souverain pour l’Afrique et surtout avec l’Afrique. “Cette vision se définit par l’ensemble des idées, des initiatives et des engagements pris et qui s’étirent sur plus de deux décennies”.

Il a précisé que SM le Roi exprime cet attachement et amour pour le continent africain à travers des actes concrets dont plusieurs dizaines de visites officielles effectuées dans les pays frères, poursuivant que “ces périples ont toujours été l’occasion d’approfondir la fraternité africaine à travers une série d’actes posés à l’endroit des différentes composantes de la population”.

Et de souligner que la Vision Royale se manifeste sur le terrain de différentes manières, notamment la signature d’un nombre conséquent d’accords (1000 accords cumulés) avec les pays frères en Afrique, les échanges réguliers d’expériences et d’expertises, le renforcement des capacités à tous les niveaux, la réalisation de projets socio-économiques dans les quatre directions du continent, ainsi que des partenariats en matière de lutte contre le terrorisme à la faveur de la formation des Imams et le partage des valeurs de l’Islam, religion de juste milieu.




Sahel: le Maroc privilégie un partenariat économique consolidé et avantageux aux côtés de la lutte sécuritaire, selon le politologue Tajeddine Houssaini

Les initiatives royales pour la création d’une alliance des pays donnant sur la façade atlantique, et au lancement du chantier d’accès des pays enclavés du Sahel à l’Océan Atlantique, constituent «d’excellentes idées», non seulement pour former des alliances, mais pour enraciner la doctrine du développement économique régional, a estimé le politologue Mohamed Tajeddine Houssaini.
Les initiatives royales liées à la création d’une alliance des pays donnant sur la façade atlantique et au lancement du chantier d’accès des pays enclavés du Sahel à l’Océan Atlantique constituent «d’excellentes idées», non seulement pour former des alliances, mais pour enraciner la doctrine du développement économique régional, a estimé le politologue Mohamed Tajeddine Houssaini.
Répondant au régime d’Alger pour avoir accusé le Maroc d’avoir contribué à la dégradation de ses relations avec le Mali en organisant la conférence de Marrakech, le politologue a rafraichi la mémoire des caporaux algériens en leur rappelant que «la tension de l’Algérie avec le Mali avait commencé bien avant la réunion des quatre pays du Sahel dans la ville ocre».
«Si l’OTAN a été créée dans un objectif défensif et militaire, les deux initiatives royales visent la consolidation du partenariat social et économique», a rajouté ce professeur de droit international dans un entretien avec Le360.
«L’appel de Rabat a ainsi engagé les 23 pays signataires, donnant sur l’Atlantique, à faire fructifier leurs ressources naturelles, notamment maritimes au service du développement, du progrès et de la paix. Il s’agit pour ces pays de s’immuniser et de promouvoir les capacités individuelles en matière de ports, de transport et d’infrastructures en général», a-t-il estimé.
Selon lui, «la concurrence et la compétitivité par rapport aux puissances ne peuvent être bien gérées qu’à travers les alliances», ajoutant que «l’initiative royale offrant aux pays enclavés du Sahel d’accéder via les ports marocains à l’Atlantique est une idée géniale qui a surpris par sa teneur».
«Cette idée vise, d’après lui, à améliorer le sort de ces pays qui souffrent de la pauvreté, de la désertification et du terrorisme». La région est gravement impactée, a-t-il regretté, par «le terrorisme surtout après le déclin de la Libye et du Moyen-Orient». Et d’ajouter que «la zone du Sahel n’est pas un problème, mais une opportunité pour une meilleure exploitation des richesses au profit du Mali, du Niger, du Tchad et du Burkina Faso».
Le Maroc a lancé ce projet, a indiqué Tajeddine Houssaini «non pas pour imposer des vues ou un raisonnement, mais pour offrir l’idée essentielle que les pays du littoral doivent aider les pays enclavés du Sahel», et de rappeler que «le Maroc n’est pas à sa première contribution».
Cet universitaire a rappelé qu’en 2000 le souverain avait annulé la dette des pays du Sahel et exonéré ces pays des droits de douane. En outre, le Maroc est connu depuis longtemps pour avoir opté, dans le domaine diplomatique, pour la non-ingérence dans les affaires intérieures des États, et la question de la Libye en témoigne.
«Le Royaume a abrité les négociations interlibyennes sans s’immiscer dans les affaires de ce pays, contrairement à l’Algérie dont le régime militaire vient d’être remis à sa place par les autorités maliennes», a souligné Tajeddine Houssaini en rappelant qu’Alger est le seul responsable de la dégradation de ses relations avec le Mali, un grand pays du Sahel.
Le Maroc, «un partenaire fiable et crédible»
À Marrakech, a-t-il précisé, le Maroc a proposé sans imposer quoi que ce soit aux participants de mener «une réflexion sur le projet en optant pour son enrichissement par des suggestions et des actes». Le même style de travail a été adopté par les amis du Maroc lors de la conférence des pays africains donnant sur l’Atlantique. Le Maroc, a affirmé le politologue, est considéré par ces derniers comme «un partenaire fiable et crédible».
Répondant à une question, il a indiqué que le droit maritime international accorde dans une disposition exceptionnelle «le droit aux pays enclavés de pouvoir bénéficier d’un accès maritime en exploitant le littoral des pays voisins». Revenant sur les perturbations créées par Alger avec les pays africains, le politologue a estimé que la junte algérienne trouve «un réel plaisir de dicter toujours ses ordres aux autres et d’étaler sa fausse et supposée suprématie, un rêve qu’elle n’a jamais réussi à réaliser», a conclu Mohamed Tajeddine Houssaini.
Par Mohamed Chakir Alaoui et Yassine Mannan




Ministère du Genre : La ministre Mireille Masangu préside la réunion de planification et d’évaluation des activités de 2023  

Mme Mireille Masangu Bibi Muloko, ministre du Genre, Famille et Enfant a réuni, ce jeudi 27 décembre, dans son cabinet quelques cadres de son ministère, dont Mme le Secrétaire Général au Genre, Mme le Directeur du cabinet, le Directeur du cabinet adjoint, les conseillers, la coordonnatrice nationale de la cellule de la masculinité positive et quelques experts dans le domaine du genre.

Cette réunion de planification et d’évaluation des activités de 2023, pour mieux préparer l’année 2024, a tourné autour de trois points essentiels, il s’agit notamment de la feuille route préparant les activités de célébration de la journée internationale des droits de la femme, célébrée le 08 mars de chaque année, la participation de la République Démocratique du Congo à la 68ème session des Nations-Unies, qui se tient chaque année, au mois de mars à New-York et l’évaluation de douze domaines prioritaires, tels que votés à Beijing à 1995, 30 ans après ces résolutions, il est question d’évaluer les avancées enregistrées dans ces domaines.

” Nous avons eu réunion de planification, par ce que nous sommes à la fin de l’année et nous devons penser à l’année prochaine. Nous avons une feuille de route que nous avons travaillée avec son Excellence, Mme la Ministre. Sur cette feuille de route, nous avons travaillé sur trois activités. La première activité concerne la journée internationale de droit de la femme, qui est célébrée le 08 mars de chaque année, et là nous avons eu à nous accorder sur les thèmes international et national, ainsi que les différentes activités que nous allons mener pendant les 30 jours d’activisme, en République Démocratique du Congo. La deuxième activité sur laquelle nous avons travaillé, c’est la participation de la République Démocratique du Congo à la 68ème




Message de vœux de nouvel an

Lentement mais sûrement, les derniers jours s’écroulent, que dis-je ?, s’écoulent. Et avec eux, les moments de joie ou de tristesse, les moments de paix ou de trouble, bref les fortunes comme les infortunes connues depuis le 1er janvier 2023.

Vous savoir en vie est, pour nous, une grâce que nous rendons à Celui qui, par la Puissance qui agit en nous, peut au-delà de tout ce que nous pouvons penser, de tout ce que nous pouvons croire.
A l’aube de la Nouvelle Année, la 2024, nous nous empressons de vous exprimer nos vœux les meilleurs pour votre prospérité à tous égards.
Ainsi, que tout ce qui vous a réussi en 2023 croisse davantage en 2024, que tout ce qui ne vous a pas réussi en 2023 disparaisse à jamais…
Répandons alors autour de nous le bonheur, la paix, la joie ; restons focus, car c’est à cela que nous sommes appelés.
Omer Nsongo die Lema




«Je veux, je ne veux pas»: les sidérants faux-fuyants de l’Algérie sur une solution avec le Maroc

Après avoir clairement fait part à la chaîne «Al Jazeera» de la volonté de son pays de trouver une «solution rapide» aux différends minant les relations avec le Maroc, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, pressé par la junte, a vite marqué une calamiteuse marche-arrière où il nie en bloc une telle «volonté». Un rétropédalage indigne d’une diplomatie qui se respecte, reflet d’un pays qui, plus que jamais, marche à hue et à dia.

C’était, à la limite, trop beau pour être vrai. Mais le rétropédalage aura été aussi précipité que la déclaration semblait mûrement réfléchie. Dans un long entretien accordé à Al Jazeera, diffusé cette semaine sur sa plateforme de podcasts Atheer et naturellement animé par Khadidja Benguenna, tristement célèbre journaliste algérienne et «amie» du régime, Ahmed Attaf nous a gratifiés d’une position a priori épatante sur l’avenir des relations entre le Maroc et l’Algérie.

Confortablement installé dans un fauteuil en velours, devant un décor inspirant calme et sérénité, et dans un arabe classique certes approximatif, mais se voulant châtié, le chef de la diplomatie algérienne s’en est donné à cœur joie, refaisant le monde à sa guise et donnant cette impression de sagesse et de grandeur de son pays qui cadre mal avec les faits. Mais passons.

Là où Ahmed Attaf s’est montré agréablement surprenant, c’est lorsqu’il a évoqué les relations de son pays avec le Maroc. Que nous apprend-il, littéralement? «En ce qui concerne nos relations avec le Maroc, l’Algérie est à considérer comme la partie qui tend le plus à trouver une solution. Nous sommes conscients, au même titre que les autres pays de la région, que la construction de l’Union du Maghreb arabe et que la fraternité entre ses peuples sont encore possible». À la question si ce rêve existait encore, Attaf répond sans sourciller: «Évidemment!». «Ce rêve ne peut être anéanti», enchaîne-t-il. «Et j’attends avec impatience le jour où nous retenterons cet essai». En attendant, «notre rôle est de préparer le terrain. Et nous sommes prêts», insiste-t-il.

La phrase, et bien d’autres, ont fait le tour des rédactions et des réseaux sociaux, tant les propos paraissaient nouveaux et annonciateurs de pas concrets et prometteurs. Al Jazeera, qui en a le talent et la méthode, en a fait ses choux gras à coups de teasers et de percutants extraits. Mais, il fallait s’y attendre, l’enthousiasme de certains commentateurs, essentiellement algériens, est vite retombé.

Un cycle infernal

Dans une «clarification» distribuée par la junte aux médias algériens à sa botte, on apprend que, malgré ses dires, Ahmed Attaf n’a à aucun moment parlé d’une quelconque volonté d’Alger de «rechercher une solution rapide» à la crise algéro-marocaine. Et à ceux qui en douteraient encore, nous apprenons également que l’Algérie «ne fera jamais le premier pas». On y reviendra. Quelle mouche a donc piqué Ahmed Attaf pour qu’il sorte de la doxa du régime qui le biberonne et qu’il se prenne pour un «vrai» diplomate? «Le chef de la diplomatie voulait clairement insinuer (admirez l’oxymore) que si crise il y a entre l’Algérie et le Maroc et si retard il y a dans l’édification de l’espace régional maghrébin, la faute n’incombe forcément pas à la partie algérienne», lit-on notamment dans Algérie patriotique, un Pravda-bis et porte-voix du (vrai) régime militaire propriété du général Khaled Nezzar, au demeurant poursuivi par la justice suisse pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. À bien lire, il nous est sommé de croire sur parole que le chef de la diplomatie algérienne n’a pas dit ce qu’il a vraiment dit. Ça plane très haut.

À quoi donc peut s’apparenter la sortie tout en mélodies d’Ahmed Attaf sur Al Jazeera, vite ravalée par la junte au pouvoir? Un ballon d’essai pour faire les yeux doux à un Maroc qui marque de précieux points sur le registre de son Sahara, érigé désormais comme point focal pour le développement à venir de toute l’Afrique de l’Ouest et du Sahel? Où serait-ce simplement le nouveau pas de travers d’un ministre qui ne sait plus sur quel pied danser, sans doute adouci par l’ambiance cosy du cadre où il s’est permis un peu de sympathie?

«Premier pas, dites-vous?»

Une chose est sûre: l’action de communication menée sur la chaîne qatarie est un ratage total, puisque le propre d’une telle sortie est d’être un tant soit peu cohérente. En rabrouant «son» ministre de la sorte, la junte apporte simplement une nouvelle illustration de sa totale maladresse et du peu de cas qu’elle fait des règles diplomatiques les plus élémentaires. Un régime qui opère à hue et à dia, selon l’humeur versatile de ses dirigeants et du temps qu’il fait, n’hésitant pas à sortir les mêmes vieilles litanies des mêmes vieux tiroirs: le Maroc, cet ogre occupant, allié du grand Satan israélien, ami et frère du démon émirati. Tous agissent de concert pour déstabiliser la gentille, fragile, mais ô combien vaillante Algérie.

Parlant de «premier pas» qu’elle ne consentira point, la junte semble ignorer que des pas, le Maroc n’a cessé d’en faire. Tant pour apaiser ses relations avec le voisin que pour ressusciter une nécessaire UMA dont il abrite le siège. C’est au Maroc, sous le règne de feu Hassan II, que la première et unique tentative sérieuse de sa construction a eu lieu. C’était le 17 février 1989, à Marrakech, quand les cinq chefs d’État du Maghreb ont signé le traité constitutif de l’Union du Maghreb arabe. L’Algérie, elle, n’a cessé de fermer les portes les unes après les autres, barricadant ses frontières terrestres depuis maintenant 30 ans et, dernière trouvaille, rompant ses relations diplomatiques avec le Royaume depuis août 2021. La main tendue au voisin par le roi Mohammed VI à de nombreuses occasions et dans des discours officiels, comme ses appels à faire cesser la bêtise du non-Maghreb, eux, le régime voisin refuse de les entendre, leur préférant les sornettes d’un autre âge, proprement celui de ses dirigeants.

Quand Ahmed Attaf parle de main tendue, il se limite à la proposition d’aide exprimée par Alger à l’égard du Maroc après le séisme du 8 septembre. Devant la journaliste d’Al Jazeera, il s’offusque que le Maroc l’ait refusé, préférant concentrer la réception d’aides à quatre pays exclusivement (Émirats arabes unis, Qatar, Espagne et Royaume-Uni). «J’ai été chargé de prendre attache avec mon homologue marocain, Nasser Bourita, pour présenter mes condoléances au nom de l’Algérie et exprimer notre disposition à aider. Il n’a pas pris mon appel et jusqu’à aujourd’hui, il n’y a pas encore répondu. J’en conclus qu’il n’existe pas de volonté politique ni de bonne foi de la part des autorités marocaines», dit-il.

Tout est de savoir comment un État souverain pourrait accéder à une telle «offre», venant d’un pays qui ne cesse de clamer ouvertement son hostilité et tourner allégrement le dos à des propositions autrement plus engageantes et plus importantes. Au Maroc, cela s’appelle «cacher le soleil avec un tamis» et, en la matière, le régime algérien a indubitablement des leçons d’expertise à donner au monde.

 

 

Par Tarik Qattab




Etat social: comment le roi Mohammed VI consolide le nouveau projet de règne

La protection sociale a constitué le chantier phare de la dynamique de grands projets lancés par le roi Mohammed VI, à travers la généralisation à tous les Marocains de l’Assurance maladie obligatoire, de l’aide financière directe aux familles les plus pauvres ou de l’aide à l’acquisition d’un logement. La concrétisation en cours de ces chantiers contribue largement à la consolidation de l’Etat social lancé par le souverain en 2020. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath.

L’Etat social se concrétise. Particulièrement avec la généralisation de l’Assurance maladie obligatoire à tous les Marocains, quel que soit leur statut social. Cette mesure est, à elle seule, un très grand pas vers l’instauration de la justice sociale. Dans son édition du vendredi 29 décembre, le quotidien arabophone Al Ahdath Al Maghribiya considère que la généralisation de la couverture sanitaire à tous les Marocains est le chantier social le plus important réalisé par le Maroc durant les deux dernières années.

En effet, la généralisation de l’AMO peut être considérée comme un acquis national historique et un grand pas en avant vers la consolidation des bases de l’Etat social, voulu par le roi Mohammed VI, initiateur d’une révolution sociale basée sur la solidarité institutionnelle en vue de l’amélioration des conditions de vie de tous les Marocains.

Une mobilisation générale des administrations et de tous les acteurs concernés accompagne la mise en œuvre de ce chantier en vue d’assurer non seulement sa réussite mais aussi sa pérennité. D’importantes enveloppes financières ont été ainsi mobilisées à cet effet, sans parler de la mise sur pied du cadre juridique adéquat pour accompagner ce chantier ainsi que la réforme structurelle du système sanitaire, sur hautes instructions royales, en vue de l’adapter à la nouvelle donne de la généralisation de l’AMO.

Le deuxième chantier de l’Etat social réside dans le programme d’aide directe au logement, présenté devant le roi Mohammed VI, et qui sera opérationnel dès le mois de janvier 2024. Ce chantier permettra à tous les Marocains primo-acquéreurs, d’ici et d’ailleurs, de bénéficier d’un apport financier de l’Etat, en vue de l’acquisition d’un logement. Cette aide de l’Etat varie de 70.000 à 100.000 DH en fonction du prix du local à acquérir.

Il s’agit d’un programme quinquennal, allant jusqu’en 2028, et à travers lequel l’Etat social sera consolidé grâce à la stratégie visionnaire du roi Mohammed VI, visant l’accès de tous les Marocains à un logement.

L’autre chantier social initié par le roi, et qui constitue l’une des pierres angulaires de l’Etat social, n’est autre que l’aide directe de l’Etat accordée aux familles marocaines les plus démunies. Un million de familles, soit quelque 3,5 millions de Marocains, sont la cible de ce projet dont le montant, versé directement, commence avec un minimum de 500 DH, quelles que soient les conditions du bénéficiaire. Basée sur les données recueillies dans le Registre social unifié, cette autre protection verra ses premiers versements débloqués à la toute fin du mois de décembre 2023.

Par Mohamed Deychillaoui