Dans le cadre de l’exercice 2024 : La DGRK donne 30 jours aux assujettis pour s’acquitter de l’impôt foncier et l’impôt sur les revenus locatifs

Les contribuables sont appelés à s’acquitter de leurs obligations en payant l’impôt foncier exercice 2024 et l’impôt sur les revenus locatifs IRL exercice 2024/revenus 2023 au plus tard le 1er février, la datte limite de la grande échéance qui va débuter d’ici le 2 janvier 2024. Durant cette échéance, les assujettis à ces différents impôts sont invités à déclarer leurs impôts.

L’annonce de cette grande campagne qui va s’étaler sur une période d’un mois a été faite ce vendredi 30 décembre par les différents chefs des directions des services de la régie financière provinciale de Kinshasa Dgrk à travers une émission spéciale réalisée au siège de la DGRK au cours de la quelle plusieurs points et sujets liés à cette campagne et au fonctionnement et ainsi que la mission assignée à cette régie par la ville ont été abordés pour éclairer la lanterne des Kinois sur la mission de la Dgrk et sa politique sur les différents impôts et taxes.

A travers cette émission spéciale, l’appel a été lancé aux contribuables, personnes physiques et morales, assujettis à l’impôt foncier (IF) et à l’impôt sur le revenu locatif (IRL), exercice 2024/revenus 2023 à se mettre en ordre avec la ville pour éviter les sanctions qui peuvent en découler conformément à la loi. Car dépasser cette échéance, les retardataires s’exposeront au payement des pénalités conformément aux dispositions légales et réglementaires.

Intervenant aussi à cette sensibilisation, Marcel Bibanzila Kenzo, Directeur de la direction de impôts de la Dgrk a invité les Kinois à venir déclarer leurs impôts dans la configuration administrative de la ville. Pour lui, cette déclaration peut se faire tant en ligne qu’en support papier.

« Nous appelons les Knois à la culture de la fiscalité et ils doivent comprendre que la ville de Kinshasa sera construite que a travers nos propres moyens », a-t-il lâché.

Et pour sa part John Manjeko, Directeur en charge de la Tshangu a précisé que le Dgrk a déjà prise toutes les dispositions utiles pour mener convenablement cette campagne, notamment le système digital, avant d’exhorter les personnalités de la ville (Ministres, députés, généraux, et autres) à s’adonner au paiement de leurs impôts pour donner à la ville les moyens de sa politique.

Prenant la parole, Jean-René Matiti Luzayiso a souligné que chacun va payer l’impôt selon sa catégorie et rang afin que personne ne fasse une confusion pour la déclaration de son impôt. Il a aussi profité de l’occasion pour avertir les Kinois sur l’échéance accordée à chacun pour déclarer son impôt, car le faire au-delà de l’échéance soumet les retardataires à des amandes lourdes.

« Payer l’impôt, c’est un devoir civique ; celui qui aime son pays paye l’impôt », a-t-il martelé.

 

 




Holdup électoral à l’Union sacrée : André Mbata avoue sa haine contre Modeste Bahati

Tout finit par se savoir. André Mbata avoue publiquement que c’est lui qui avait empêché l’honorable Modeste Bahati Lukwebo, Président du Sénat d’avoir un juge à la Cour Constitutionnelle. En plus, il est décidé de combattre toute liste de l’AFDC-A à la députation nationale. André Mbata, le prix nobel de la transhumance politique en République Démocratique du Congo ne réflète que la haine et le mépris avec un esprit condescendant, alors qu’il souffre d’un complexe devant les éminents professeurs d’université. A l’image de son visage, André Mbata de l’Union sacrée transpire la haine et vient de l’avouer à travers un audio devenu viral sur les réseaux sociaux.

On n’en doute plus, les élections désorganisées par Dénis Kadma sous la bénédiction de Félix Antoine Tshilombo atteignent ses limites d’insupportables dans l’opinion nationale qu’internationale.
Tous, à l’unanimité exigent leur annulation pour éviter le chaos qui se dessine à l’horizon. En clair, il y a pas eu élection présidentielle, ni élections législatives nationales ni provonciales. A la place, il y a un chaos, un holdup électoral en faveur de Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi, le candidat hué dans toutes les provinces qui se fabrique les résultats à la rwandaise.
Qui peut encore douter de l’authenticité de l’audio de M. André Mbata qui, abusivement est qualifié de Professeur et/ou honorable?
Cet un audio de 7 minutes 55 secondes où cet homme qui trône au bureau de l’Assemblée nationale par la volonté d’un coup d’Etat constitutionnel orchestré par son frère Félix Antoine Tshilombo déculotte son collègue du bureau du Sénat et Président à cet effet, Modeste Bahati. Ce dernier, un poids lourd de la sphère politique congolaise et personne ne peut en douter de sa force politique au sein de son Alliance des Forces Démocratiques du Congo, AFDC.
André Mbata, puisque c’est de lui qu’il s’agit, rien qu’en voyant son visage, cet homme reflète la haine en lui, la jalousie et la condescendance.
L’opinion s’interroge : Comment deux personnalités d’une même famille politique hypocrite s’il faut le dire ainsi, arrivent au point de se mettre les crocs en jambes rien que pour des intérêts égoïstes?
Quelle force politique sur terrain, André Mbata peut-il se mesurer avec l’AFDC de Bahati Lukwebo en dehors de Bena Bele qu’il s’en vante?
Quid de l’audio
Ci-dessous, l’intégralité de son audio qui fait la honte de celui qui se targue la poitrine d’être le plus grand constitutionnaliste de la RD Congo : ” Je suis né à Bena Bele, donc personne ne peut me dépasser les voix à Bena Bele. Si tu as 6000 voix, tu en prendras au moins 3000 et tu laisseras aux autres. Tu viens à Bena Tshalela mon siège, tu as 13.000 voix, tu n’en prendrais pas tous (Ndlr Toutes). Donc, tu as ce tableau là, comment tu peux oser? Et si je dis tu ne peux pas être député national, tu ne peux pas l’être même par miracle même ce que l’autre raconte… oh Tshongo…même par miracle. Alors lorsque tu voies les jeunes s’engager prochainement dans la politique, ils ne comprennent… Dans la liste vous vous êtes répartis. J’ai vu la fille de Tshongo, aui était d’abord venue me contacter. Cette liste là ne peut pas produire deux députés. Dans le cas on ne le combat pas, il ne peut pas sortir deux députés. On calcule le nombre de voix de chaque députés, vous êtes trois, on calcul et si vous avez le seuil. Quand ont dit elle a le seuil et cherchez qui a plus de voix, c’est lui là qui passe. Cette liste as été émise après la fille de Tshongo et après Mashimba tu as été ministre pour essayer de combattre…pour diviser les voix et si vous allez sur cette liste là objectivement vous ne pouvez pas avoir même un seul siège sur cette liste là. Je crois que tu t’attribuer le siège de Mashimba parce que toi tu comptes seulement sur toi.
1. bena Kala tu n’auras de siège, je vais diminuer aussi les voix, tu ne peux pas avoir les 4000 voix de Bena Kala. Supposons mwanetu, mwanetu qu’on te donne 2500 voix, j’en prendrais vos 2500 voix. Ku Bena Bele, je suis né à Bena ele depuis 2026. Nasha mwana a…lubonda Moïse, lubonda Moïse ngani, il est parti une fois là bas! Oh Prof Mbata lwaku nanku bena bele, quant tu arrives à bena bele c’est mon fief. Dans tous les cas personne ne peut me dépasser les voix à Bena B ele. Quand tu as les voix à Bena Nkasi, tu as quelques voix à….Bena Milani il ne faut pas compter c’est mon fief, où est-ce que tu auras les 10.000 voix nationales? Quand je vous posais la question oh on ne sait jamais. Je ne fais pas la compétition on a utilisé ton nom, tu as voulu être député provinciale, on a voulu utiliser ton nom de mon côté pour diminuer mes voix. Tout autre argument est faux. Lui n’est pas avancé dans le parti, dans le parti il y avait mwana Tshongo et Mashimba. Mashimba n’est pas de l’AFDC, Mashimba vient d’un autre parti allié de l’AFDC. C’est l’AFDC est allié c’est tout. ADFC et Allié, c’est un seul regroupement, vous êtes sur la même liste.
Je peux répondre? Je ne te demande pas de répondre, vous avez la liste de témoins. Quand on donne conseil Papa, je te dis : au niveau national, je vais combattre la liste nationale à tous lrs niveaux, tu es mon jeune frère, est ce que tu vas te plaindre ku mukulumpa? Je vais la combattre à tous les nivaux. Nationale, non landa ce que j’avais dit :provinciale je n’ai pas de problème, nationale je vais la combattre à chaque niveau. C’est mon jeune frère, est-ce que je dois vous cacher de ce que je dois le faire? Je n’ai pas de réponse. mweza campagne. Je vous avais dit…comme vous me voyez là, je vais la combattre à tous les nivaux puisque Bahati ne doit pas avoir, en réalité c’est pas vous. Le Président Bahati je l’ai empêché à ne pas avoir un juge à la Cour Constitutionnelle…et il m’en veut. Et vous avez Mashimba qui n’a jamais eu de respect…ils sont entrés là bas. Donc, tu sert d’instrument involontaire mu national.
Est ce que je peux parler? Moi, je veux juste compléter le Prof. Excellent, moi je trouve qu’étant un bon père de famille; notre grand frère de famille et notre Papa, la question a été posée : ce que lui recherche, il veut être candidat à la députation nationale que vous vous allez combattre, il y avait une petite question qu’il avait posée ce jour là : qu’est ce que vous me proposez vous entant que grand frère, en tant que Papa pour que je laisse ce que… J’avais dit que si c’est les provinciales, je ne combattrais pas…Je n’avais pas dit que tu n’auras pas mon soutien. J’ai dit pour les Provinciales oui! Mais les nationales sur la liste je les combattrais. Je crois que ces occasions ne nous ai pas données chaque jour de vous voir, même les mal entendues qui entourent tout ce qui arrivent ici où les gens peuvent aller plus loin que toi et Oscar, vous êtes des ennemis…Non, nous ne sommes pas des ennemis, il a été utilisé. Oscar ne peut pas être mon ennemi, il a été utilisé.
Alors Excellence permettez…vous m’attendez…ce qui spécule excellence… ça c’est pas moi qui spécule, Oscar a été utilisé sur la liste de Mashimba, ne va pas là bas, je combattrais nationale, mettez mes mots. Que tu montes ou que tu descends, je ne soutiendrais pas un candidat…en politique il y n’a pas d’ennemis, mais je ne soutiendrais pas la liste là aux nationales….
L’implantation de l’Afdc-A suscite des jaloux
André Mbata se dévoile et avoue publiquement dans un élément sonore d’être l’épine au pied de Modeste Bahati. Ce dernier, avec son AFDC implantée à travers les 145 territoires nationaux, André Mbata qui se contente de son fief de Bena Bele où il se dispute les voix avec les moins âgés que lui, doit sa position politique à la fibre tribale de son frère Félix Antoine Tshilombo. Politiquement, il ne pèse pas face à Modeste Bahati qui, dans une élection transparente, démocratique, impartiale est en même de rafler les sièges dans chaque province. Pour preuve, Modeste Bahati dispose des gouverneurs, de vice-gouverneurs, des ministres, de vice-ministres, des sénateurs, des députés nationaux, de députés provinciaux…tandis qu’André Mbata ne dispose que lui seul, sa grande gueule et son rapprochement tribal comme position politique.
D’ailleurs, à la législature en cours de décembre 2018, l’AFDC-A s’est positionnée en troisième force politique à l’Assemblée nationale, tandis qu’André Mbata n’a que lui seul comme député de son parti mallette.
Tel un loup qui veut dévorer un autre loup dans la tanière, dans un audio avec une voix audible, André Mbata décide, sur qui peut être proclamé élu et qui ne peut pas l’être et personne ne peut le dépasser aux voix dans cette circonscription, faute de quoi, il va saucissonner lesdites voix pour s’en attribuer le siège.
Si l’on veut en toute modestie s’en tenir aux forces politiques pour avoir les responsabilités politiques, dans la gestion de la chose publique, Modeste Bahati dispose de ces atouts contrairement à André Mbata qui ne peut compter que sur la fibre tribale, tel il trône au bureau de l’Assemblée nationale sans même 10 députés de son parti politique.
Voilà l’image des hommes politiques qui aspirent aux charges de la Rex publica, dont la haine envers son collègue ne se justifie en aucun cas. Tout le monde peut avoir à l’esprit de changer de couleurs politiques pour besoin de la cause. Lorsqu’on se dit famille politique, c’est à dire, l’on concourent au triomphe de la cause commune. L’opinion ne doute pas que l’Union sacrée n’est qu’une couverture pleine d’asticots; où les coups se donnent au bas de la ceinture.
A la Cour des cours d’annuler ces élections de la honte…
Pius Romain Rolland