Selon Yves Kotha, Directeur Informatique de la CENI : « Le vote blanc sera pris en compte lors du dépouillement final »

À l’approche de la date des élections générales en RDC prévues le 20 décembre 2023, plusieurs fausses informations circulent dans le but de dérouter les électeurs.

Une information sur l’annulation d’un bulletin de vote au cas où l’électeur ne souhaiterait pas participer à l’un de quatre scrutins (présidentielle, députation nationale, députation provinciale et du conseil communal) circule sur la toile depuis quelques jours.

Cette information est erronée, affirme le Directeur informatique, Yves Kotha. A l’en croire, le vote blanc est un vote et il est pris en compte lors du dépouillement final.




Arrivée prochaine de Félix Tshisekedi à Goma : Le Maire de la ville sensibilise les cadres de base pour que la paix règne

Préoccupé par la situation sécuritaire et de l’arrivée prochaine de Félix Tshisekedi dans la ville touristique de Goma, le Commissaire supérieur Kapend Kamand Faustin, Maire de la ville, a échangé ce mercredi 6 décembre avec les différents chefs des quartiers et cadres de base de la ville de Goma sur cette préoccupation.

Au cours de cette réunion extraordinaire, le Commissaire supérieur Kapend Kamand Faustin, a sensibilisé ses hôtes sur les mesures à prendre pendant le séjour du chef de l’Etat dans leur ville.

« Les élections doivent plus nous unir que nous diviser. Celui qui vient, c’est le premier citoyen de ce pays. Il est notre papa. C’est notre président de la République. Accueillons-le dignement! Pas d’injures, pas de chansons ou de chants de provocation ».

Le Maire de la ville a profité de cette occasion pour demander à la population à travers leurs représentants, de réserver un accueil mérité au Président Felix Tshisekedi. Il a ensuite reconnu les efforts de celles et ceux grâce à qui, la ville de Goma n’a enregistré aucun incident dans le cadre de la campagne électorale jusqu’ici.

« Nous devons continuer comme ça jusqu’avant, pendant et après les élections », a-t-il souligné.

Au nom des chefs des quartiers, leur point focal, Mutete Mwenyemali Hassan, abonde également dans le sens de l’autorité.

« Les élections ne prennent qu’un jour. Et après, la vie continue. Nous devons nous unir, parler un même langage, cultiver la tolérance et ne pas laisser à ces élections, l’occasion de nous diviser », a dit le Commissaire supérieur Kapend Kamand Faustin, le Maire de la ville de Goma.




Empreinte verte : les routes municipales d’Atakpamé au Togo

La saison des pluies au Togo dure six mois et chaque fois qu’elle arrive, de fortes averses déferlent sur le sol rouge, exposant les racines de certains arbres à l’air humide. Le projet de la route municipale d’Atakpamé au Togo conduit par le 14e Bureau de China Railway est en voie d’achèvement, et les constructeurs trient et retirent un par un des terres incultes les déchets du projet.

“Ce n’est que la première étape pour nous de trier ces déchets. Par la suite, nous entretiendrons les terres usées, nous restaurerons leur fertilité, et nous veillerons à ce que le sol lors du remblayage du champ soit adapté à la culture de diverses plantes”, a déclaré Wang Dongpan, le chef de l’équipe de construction du projet. Dans l’entrepôt du projet au Togo, plusieurs sacs de graines et quelques plants d’arbre sont soigneusement empilés, attendant d’être plantés lorsque les terres usées seront remblayées.

“La saison des pluies au Togo est féroce, avec des précipitations abondantes et rapides. C’est pourquoi nous semons des graines et nous plantons des plants d’arbre pendant le remblayage. “Planter des arbres demande juste un peu de volonté d’aider”, a déclaré Wang Dongpan. Depuis que le 14e Bureau de China Railway est entré sur le marché togolais en 2012, ce genre de “volonté d’aider” n’a pas cessé pendant 10 ans. Les zones concernées en ont bénéficié lors de la construction de plus de 20 projets.

À ce jour, un total de 100 000 mètres cubes de déchets de construction ont été recyclés, ce qui a permis de revitaliser 6 000 hectares de terrain. Des concepts tels que la protection écologique de l’environnement et la valorisation de la nature, se sont également répandus dans le monde grâce à l’exemple donné par les constructeurs de China Railway Construction Co.,ltd opérant à l’étranger. Tout en réalisant d’excellents projets, ils protègent également l’environnement des pays hôtes.

CGTN




Empreinte verte : le pipeline Nibe « fait place » aux réserves forestières

La phase II du projet d’intégration au Niger est un projet clé de coopération pétrolière et gazière pour China National Petroleum Corporation (CNPC), qui a pour objectif de mettre en œuvre l’Initiative « la Ceinture et la Route » et de bâtir une communauté d’avenir partagé Chine-Afrique encore plus solide dans la nouvelle ère. Le projet consistera à construire un nouveau champ pétrolier d’une capacité de production de 4,5 millions de tonnes par an, et un nouveau pipeline d’exportation de pétrole brut de 1 950 km, traversant le Niger et le Bénin. Une fois le pipeline achevé et opérationnel, la vente à l’étranger du pétrole brut de l’arrière-pays désertique du Niger deviendra possible, ce qui profitera au Niger et au Bénin. Le pipeline jouera un rôle positif dans le développement économique et social et l’amélioration des moyens de subsistance des populations.

 

Depuis le début de la construction, la société Niger de CNPC a clarifié les objectifs de travail en matière de protection de l’environnement et de développement durable, et a pris des mesures actives et réalisables pour effectuer une surveillance régulière du personnel, du bétail, de la qualité de l’air, de l’état du sol, de l’état des eaux souterraines, etc. La société a gardé sous contrôle l’impact que les opérations du pétrole pourraient avoir sur le changement de l’environnement local. Elle contribue activement à la protection de l’environnement écologique tout en favorisant le développement économique local.

(1) Faire place aux réserves forestières et construire des pipelines verts en harmonie avec la nature

La réserve naturelle de la forêt de Saket au Bénin est située dans la province du Plateau, avec une superficie totale de 600 000 mètres carrés. De nombreux animaux et plantes rares de la zone climatique subéquatoriale de la région vivent et se multiplient ici. C’est une partie importante de la réserve naturelle du Bénin, et aussi une des réserves naturelles les plus représentatives et les plus précieuses du pays.

Alors que la construction du projet continue d’avancer, on a découvert que le tracé initialement prévu croise la lisière de la réserve naturelle de Saket, couvrant une superficie d’environ 9 600 mètres carrés. Adhérant au concept vert et visant à protéger la biodiversité, CNPC Niger a résolument décidé d’ajuster le tracé du pipeline et a surmonté les pressions liées au calendrier serré, aux difficultés et à l’augmentation des coûts pour achever l’ajustement du tracé en mai 2023. Bien que la longueur du pipeline ait augmenté d’environ 310 mètres après l’ajustement, il a complètement contourné la réserve forestière, laissant un plus grand espace de vie aux animaux et aux plantes sauvages dans la forêt, atteignant ainsi l’objectif de protéger l’environnement écologique et de maintenir la biodiversité du pays.

La décision du pipeline Nibe de « céder de la place » à la réserve forestière a été très appréciée par le gouvernement local et par des personnalités de tous horizons. Le Dr Corneille Kédowi, directeur de l’Agence pour l’environnement du ministère de la Vie et de l’Environnement du Bénin, a exprimé sa gratitude au CNPC pour avoir pris des mesures concrètes pour construire un pipeline vert.

(2) Des camps pétroliers transformés en oasis

La filiale au Niger du CNPC est profondément impliquée dans ce secteur depuis plus de dix ans. Grâce à son expérience réussie dans la plantation d’arbres dans le désert, elle a formé un environnement de développement vert autour des bases et des sites de champs pétrolifères, apportant de la vitalité au désert monotone.

Grâce à la coopération avec des sociétés de services de forage, l’entreprise a introduit un équipement innovant de traitement des boues de forage développé pour traiter les boues de forage liquides et solides. L’eau séparée peut être directement déversée dans d’autres eaux pour l’abreuvement du bétail, l’alimentation et l’irrigation des terres agricoles.

CGTN




Empreinte verte : Centrale hydroélectrique de Boboli en Côte d’Ivoire

La centrale hydroélectrique de Boboli en Côte d’Ivoire est le deuxième plus grand projet hydroélectrique entrepris par Power China en Côte d’Ivoire. Le projet est situé dans le cours inférieur de la rivière Sassandra, avec une capacité installée totale de 112,9 MW, une capacité de stockage totale de 82 millions de m3 et une production d’électricité moyenne sur plusieurs années de 535 GWh.

Une fois le projet terminé, il ajoutera chaque année 554 millions de kWh d’électricité propre à la Côte d’Ivoire, élargira efficacement l’approvisionnement électrique et garantira la sécurité électrique nationale du pays. Le département du projet a mis en place un bassin de décantation à trois niveaux pour les eaux usées en béton. Une fois que les eaux usées du projet répondent aux exigences requises de rejet après traitement par sédimentation, elles peuvent être rejetées dans la rivière ou réutilisées.

Selon SGS, une agence professionnelle locale d’analyse environnementale, les substances nocives contenues dans les eaux usées en béton après un traitement de sédimentation à trois niveaux sont bien inférieures aux celles contenues dans les normes environnementales de la Côte d’Ivoire pour le rejet des eaux usées.

La centrale hydroélectrique de Boboli en Côte d’Ivoire fournira une alimentation électrique verte, stable et bon marché pour le développement économique local, atteindra l’objectif de réduction des émissions de « double carbone », consolidera et mettra en valeur davantage son rôle de moteur économique en Afrique de l’Ouest. Ce projet joue un rôle déterminant dans l’approfondissement de la coopération amicale entre la Chine et la Côte d’Ivoire dans la nouvelle ère.




Empreinte verte : le Pont Chagoua à N’Djamena, Tchad

Le projet du pont de Chagoua à N’Djamena, la capitale du Tchad, est un important projet d’infrastructure entrepris par CGCOC. Le projet se compose de deux parties : un pont et une route. Le pont mesure 320 mètres de long avec une portée maximale de 103 mètres et la route mesure 2,5 kilomètres de long. Le pont enjambe le fleuve Chari, qui traverse la capitale, et utilise les pieux forés les plus couramment utilisés comme fondations du pont.

Cependant, la boue produite par la construction de pieux forés peut avoir un certain impact sur le milieu environnant et sur la qualité de l’eau du fleuve Chari. Afin de protéger l’environnement et d’assurer le développement durable du projet, l’équipe du projet a creusé des fosses et enterré des conteneurs sur place, collecté la boue de manière centralisée et équipé des équipements spéciaux d’extraction de boue et des véhicules de transport de boue. Ces dispositifs sont utilisés pour transporter la boue vers un site d’évaporation de boue dédié qui a été préalablement contacté par le ministère pour une évaporation et une précipitation centralisée. Une fois l’eau contenue dans la boue complètement évaporée, les particules solides de boue sont collectées et correctement enterrées.

Pendant la période de construction, l’équipe du projet a organisé une équipe dédiée à la protection de l’environnement pour effectuer une surveillance en temps réel du chantier de construction afin de garantir que les eaux usées de la construction ne seraient pas déversées directement dans le fleuve. En outre, l’équipe du projet organise également régulièrement des formations sur la protection de l’environnement pour le personnel de construction et le personnel associé afin d’améliorer la sensibilisation à l’environnement et les compétences opérationnelles de tous les employés.

La mise en œuvre de ces mesures réduit non seulement des risques environnementaux du projet sur l’environnement et les rivières, protège l’environnement écologique local, mais améliore également la vie des résidents locaux et favorise le développement durable.

CGTN




Empreinte verte : « petit et beau » projet d’approvisionnement en eau par forage de puits au Rwanda

Le projet de 200 puits en faveur du Rwanda est l’un des projets majeurs réalisés par la branche Afrique centrale et orientale de la China Geo-Engineering Corporation. Ce projet permettra de construire 200 puits, y compris 180 puits d’approvisionnement en eau (dont 170 puits à pompe manuelle, 10 puits à pompe submersible à énergie solaire) et 20 puits de surveillance dans 181 villages de 11 régions du Rwanda, dont Rwamagana, Kirehe et Kayonza.

Ce projet d’approvisionnement en eau par forage de puits a permis d’apporter de l’eau potable claire et douce à plus de 110 000 personnes dans 181 villages du Rwanda, ce qui revêt une grande importance pour l’amélioration de l’environnement rural, de la santé, de l’assainissement et de l’eau potable. En ajoutant des puits de surveillance et des puits de pompe solaire, le projet effectue une surveillance dynamique à long terme de la qualité et des niveaux d’eau locaux. Il explore et démontre également l’application de l’énergie photovoltaïque propre dans le domaine de l’approvisionnement en eau en Afrique.

L’utilisation exemplaire de puits d’eau alimentés par l’énergie solaire photovoltaïque permet non seulement d’exploiter pleinement les ressources photovoltaïques propres locales et de surmonter les difficultés liées à l’absence d’approvisionnement en électricité, mais a également un effet de démonstration tourné vers l’avenir pour les régions sous-développées d’Afrique afin d’explorer l’application de l’énergie propre, d’améliorer les moyens de subsistance des populations, de réduire la pauvreté et de bénéficier aux agriculteurs. L’eau potable est devenue facilement disponible, ce qui a également permis d’améliorer les conflits entre les habitants des zones frontalières du Rwanda et de l’Ouganda concernant l’eau potable pendant la saison sèche et de résoudre les conflits sociaux causés par la pénurie d’eau.

CGTN




La CENI et la Cour Constitutionnelle, seuls organes habilités respectivement pour la publication et la confirmation des résultats des scrutins !

Il s’observe depuis un temps un climat politique délétère favorisé par les déclarations et les interventions médiatiques de différents acteurs tant religieux que politiques. Ces hommes d’État et religieux s’évertuent à jeter le discrédit sur le processus électoral actuel, en l’accusant, à tort, de complot, qui n’existe que dans leur imagination.

Tout a commencé le 28 août avec la déclaration de Mgr Donatien Nshole au cours d’une interview  qu’il a accordé à une radio locale, parmi les plus suivies en République Démocratique du Congo. Au cours de cet entretien, ce prélat avait averti que la méfiance envers la CENI pourrait entrainer une crise. Certains médias, relayant cette déclaration, sont allés jusqu’à dire que celui-ci encouragerait un leader courageux à faire un coup d’État. En effet, ce prélat avait déclaré que « si la CENI ne comprend pas la pertinence de notre insistance pour renforcer la confiance de la population, si la CENI minimise la perception de son travail dans l’opinion, on peut aller aux élections, à moins qu’il y ait des correctifs significatifs au niveau de l’observation. On peut aller aux élections mais je crains qu’en adoptant cette position, la CENI crée un environnement favorable à une révolution qui n’attendra qu’un leader courageux (…). Si les statistiques publiées par Ebuteli se confirment, à savoir que 25% des inscrits iront voter- ce que nous ne souhaitons pas, et nous mènerons une campagne à les inciter à faire- si nous allons aux élections dans ces conditions de méfiance, je ne serai pas surpris qu’après la publication des résultats, nous puissions vivre une crise que tout le pays regrettera ».

Ces propos d’un haut religieux, qui plus est Secrétaire général de la Conférence épiscopale des évêques du Congo (CENCO), avait suscité des questionnements chez plus d’un observateur de la scène politique congolaise quant à l’impartialité et la neutralité de cette église prétendument au milieu du village !

Comment un évêque, père de l’église peut prédire le malheur de son propre pays en oubliant que dans pareil contexte, qu’il a explicitement prononcé, les morts se compteront au milieu du peuple dans lequel figurent ses nombreux fidèles ?

Peut-on encore croire à la bonne foi désintéressée de ceux qui propagent de telles idées ou scénarios apocalyptiques, si, malgré les efforts louables de la CENI de répondre aux exigences de transparence,  ces derniers versent déjà dans le discours annonçant le chaos ? Comment ne pas croire à une conspiration aux tentacules insoupçonnés, lorsqu’en échos à ces déclarations, des acteurs politiques affirment que seuls résultats publiés par la CENCO feront foi !

En effet, encouragés par cette posture irresponsable notamment du prélat, des acteurs politiques de l’opposition en mal de positionnement se lancent dans la surenchère politique. Dernièrement le candidat Fayulu à l’élection présidentielle de décembre 2023, se fondant justement sur le « sois disant résultats  véridiques » de la CENCO de 2018, avait déclaré lors de son interview, qu’il ne fera confiance qu’aux résultats publiés par la CENCO.

Revenant sur le tollé qu’avait créé sa déclaration lors de son interview, Mgr Nshole a insisté que ses propos n’étaient pas une prédiction d’une crise imminente. Son intention serait de sensibiliser sur l’importance de la confiance dans le processus électoral. Seulement, celui-ci n’a pas précisé que la CENI était le seul organe qui a pour mission d’organiser et de publier les résultats. Et que tout autre résultat ne devait pas être considéré par le peuple.

Quelques temps avant, le même prélat était incapable d’expliquer ses propos dans une autre interview sur la prétendue prise en otage du processus électoral par une « seule tribu ». L’actuel président de la CENI, M. Kadima, qui était loué comme l’expert patenté des élections en 2018, passe aujourd’hui aux yeux du même évêque pour un incompétent au nom de sa tribu supposée proche du chef de l’État.

Halte à la manipulation, indiquent des bonnes consciences. La loi est dure … mais c’est la loi, dit-on.

Les législateurs congolais avaient déjà anticipé dans leur sagesse les remous et atermoiements actuels en mettant en place un dispositif clair dans la proclamation des résultats. « La constitution dans articles 211 et 58 dispose que la CENI est le seul organe de publication des résultats et la Cour constitutionnelle la seule instance de validation. En dehors de ces organes, « point de salut » comme le dit le vieux dicton ecclésiastique ».

Halte donc aux gesticulations chers  acteurs politiques en mal de solution alternative à l’actuelle coalition au pouvoir ; halte à la surenchère politique ; Halte au discrédit sur le processus électoral ! Vos stratagèmes sont compris. Ils ne feront pas le lit de la contestation des résultats, mais plutôt le lit de votre mort politique !

Cave canem 

ABA AMENITO MA TAGOTO




L’ambassadeur émirati à Rabat: le Maroc «était et restera le pays frère et l’allié des Émirats arabes unis»

Le Royaume du Maroc «était et restera le pays frère et l’allié des Émirats arabes unis», a déclaré l’ambassadeur émirati Al-Asri Saeed Ahmed Al Dhaheri, qualifiant de «fraternelles et familiales» les relations entre les deux pays et leurs deux Chefs d’État.

Dans une déclaration à la MAP, Al-Asri Saeed Ahmed Al Dhaheri, ambassadeur des Émirats arabes unis au Maroc, a souligné que la visite du roi Mohammed VI vient consacrer la profondeur et la solidité des relations stratégiques unissant les deux pays frères et démontrer la convergence de vues de leurs deux dirigeants au sujet des questions d’intérêt commun.

Le diplomate émirati a rappelé que les relations bilatérales, dont les bases ont été jetées par feu le roi Hassan II et feu Cheikh Zayed Ben Soltane Al Nahyane, se sont consolidées sous l’ère du roi Mohammed VI et de son frère Cheikh Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, et ont connu un développement remarquable, notamment sur les plans politique et économique.

La Déclaration «Vers un partenariat novateur, renouvelé et enraciné», signée par les Chefs d’État des deux pays lors de cette visite, vient consacrer la solidité de ces relations et constitue un prolongement des projets réalisés par l’État des Émirats arabes unis dans le Royaume du Maroc, s’est-il félicité, notant que ces projets confortent l’infrastructure du Maroc et ouvrent de nouvelles perspectives devant les investisseurs du secteur privé.

Cette Déclaration constitue aussi un développement qualitatif dans les relations bilatérales, a indiqué Al-Asri Saeed Ahmed Al Dhaheri, précisant que les Émirats arabes unis ont toujours veillé à accompagner les grands projets lancés par le roi Mohammed VI au cours des deux dernières décennies et la mise en œuvre optimale des conventions conclues par les deux pays.

Il a, par ailleurs, rappelé le soutien constant des Émirats arabes unis au Maroc au sujet de son intégrité territoriale, ainsi que le soutien de Rabat à Abu Dhabi notamment concernant la récupération de ses trois îles, Tunb Al-Kubra, Tunb Al-Sughra et Abu Musa.

Par Le360 (avec MAP)




Les relations maroco-émiraties enregistrent un bond qualitatif vers des horizons meilleurs (Universitaire)

Les relations maroco-émiraties enregistrent un bond qualitatif vers des horizons meilleurs de partenariat économique prospère et agissant, à la faveur des mémorandums et de la Déclaration “Vers un partenariat novateur, renouvelé et enraciné », signés à l’occasion de la visite de travail et de fraternité de Sa Majesté le Roi Mohammed VI aux Emirats Arabes Unis, a affirmé le professeur Tajeddine Houssaini.

«Ces relations connaissent aujourd’hui un tournant décisif vers un partenariat enraciné, basé sur l’innovation et sur la profondeur des liens bilatéraux, allant au-delà du concept des alliances stratégiques que le Maroc a établies avec d’autres pays», a expliqué M. Houssaini dans une déclaration à la MAP.

Ce partenariat global concerne plusieurs volets de la coopération bilatérale, a-t-il rappelé, notant que les douze mémorandums signés, à l’occasion de la visite royale, donnent une priorité exceptionnelle à des investissements hautement porteurs, couvrant essentiellement les domaines des infrastructures, de l’eau, de l’énergie, de la sécurité alimentaire etc…

Les mémorandums signés sont également de nature à renforcer la coopération maroco-émiratie au niveau de l’espace afro-atlantique, a-t-il ajouté.

Selon lui, les partenariats scellés marquent ainsi un bond en avant dans les relations historiques unissant les deux pays depuis le règne de feu SM le Roi Hassan II et de feu SA Cheikh Zayed Ben Soltane Al Nahyane. Ces relations, a-t-il ajouté, ont toujours été basées sur la solidarité, la fraternité et la convergence de vues sur les questions régionales et internationales.