À la journée porte-ouverte de Nsunga ya Kongo : l’ANAPEX exalte son accompagnement aux producteurs   

L’ANAPEX a pris part le 05 décembre 2023 à la journée porte- ouverte organisée par l’Asbl Nsunga ya Kongo au Centre Wallonie Bruxelles à Kinshasa.

Cette activité qui rentrait dans le cadre de la journée internationale de l’arbre, visait à édifier les participants, à savoir les entrepreneurs, sur l’importance de développer ses affaires tant au niveau de la production que de l’exportation.

Représentant le Directeur Général à la conférence-débat, le Directeur de Développement de produit et Assistance technique, Thythy Nsumbu, a édifié l’assistance sur l’accompagnement gratuit qu’offre l’ANAPEX aux exportateurs, les efforts de l’Agence pour fluidifier les exportations, les avantages d’exporter ses produits agricoles et aussi les conditions à remplir pour devenir exportateur.

La responsable de l’Asbl Nsunga ya Kongo a, pour sa part, invité l’assistance à mettre en œuvre une intelligence collective afin d’être les premiers consommateurs des produits made in Congo. Elle a également plaidé pour un travail d’ensemble pour parvenir à une labellisation des produits congolais.

Plusieurs autres intervenants ont édifié l’assistance sur différents sujets, notamment l’importance du marketing dans l’entrepreneuriat, les différents types d’entreprises, leur organisation structurelle et leur financement, la normalisation et l’apport du numérique dans une entreprise.

La journée a été marquée par des expo-vente des produits agricoles transformés localeme




Des images du polisario montrent la présence de miliciens du Sahel

De récentes photos publiées par les séparatistes du polisario mettent en évidence l’implication de ce groupe séparatiste dans la formation et le recrutement de soldats appartenant à des milices paramilitaires originaires de pays d’Afrique subsaharienne.

Plus que jamais le groupe polisario constitue une menace sécuritaire pour l’Afrique et en particulier pour le Sahel, depuis que des preuves de l’implication de ses membres dans la formation militaire et de combat de milices non gouvernementales pesant sur la sécurité des pays d’Afrique subsahariennes.

 

Les pays du Sahel qui affrontent et font face à la menace terroriste ainsi que celle des groupes rebelles, voyant des régions entières échapper à leur contrôle, sont aujourd’hui directement menacés par le polisario et l’Algérie qui forment ces miliciens sur le sol algérien dans un objectif clair de déstabiliser les Etats.

Les images publiées par le polisario lui-même à l’occasion de ce qu’il a nommé comme une « cérémonie de remise des diplômes de l’école militaire Al-Wali », montrent plusieurs recrues d’Afrique subsaharienne parmi les « diplômés », ce qui pose des problèmes de sécurité et aussi diplomatiques entre ces pays dont les ressortissants sont non identifiés et l’Algérie qui parraine les entraînements militaires, en fournissant la logistique et les accords.

Des sources de Hespress ont indiqué que ces mercenaires formés par la milice séparatiste du polisario sont issus de plusieurs ethnies et probablement originaires des pays du Sahel et de l’Afrique subsaharienne.

Les mêmes sources ajoutent : « Le front polisario a toujours nié son implication dans le recrutement d’enfants mineurs et l’embauche de milices militaires, mais les photos publiées récemment dans lesquelles apparaissaient des soldats africains, et avant cela, des enfants mineurs portant des armes à feu, viennent de les démasquer ».

Des organisations espagnoles ont récemment publié des rapports sur la nature de la composition démographique du polisario et des habitants dans les camps de Tindouf. Ces rapports font ressortir que la majorité d’entre eux sont des non-Sahraouis et viennent principalement des pays du Sahel et de l’Afrique subsaharienne.

Cela expliquerait sans aucun doute les raisons du refus systématique de laisser le Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR) procéder au recensement des populations des camps de Tindouf par l’Algérie.

Toutes les dernières résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU ainsi que le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, ont exhorté les autorités algériennes à permettre le recensement des populations des camps de Tindouf, en vain.

En juin dernier, à l’occasion de la conférence internationale d’Oslo sur « la protection des enfants en temps de conflits armés », l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès des Nations Unies, Omar Hilale, a appelé la communauté internationale à prendre des mesures « fermes et urgentes » contre l’enrôlement militaire par le polisario des enfants dans les camps de Tindouf et à empêcher qu’ils deviennent « les extrémistes et les terroristes de demain ».

« Il est consternant de voir que des groupes armés poursuivent, en toute impunité, l’enrôlement forcé et l’endoctrinement des enfants, à des fins terroristes et militaires », a déclaré l’ambassadeur qui a toujours milité pour les droits des enfants, rappelant qu’il s’agit d’un crime de guerre.

Et de poursuivre: « C’est le cas des groupes armés terroristes de Daesh, Al Chabab, Boko Haram, ainsi que le Polisario, qui continuent de violer tous les instruments internationaux du droit international des droits de l’Homme et du droit international humanitaire, et imposent leurs idéologies obscurantistes et leur endoctrinement militaire aux enfants dans plusieurs régions du monde ».




La banque centrale algérienne « s’inspire » de la pièce marocaine de 20 centimes

Le fond de la nouvelle pièce de monnaie marocaine de 20 centimes, mise en circulation en novembre dernier par Bank Al-Maghrib (BAM), a été récemment reproduit à l’identique par la banque centrale algérienne sur sa pièce de 10 dinars fraîchement frappée.

La toute dernière pièce de 20 centimes, frappée par BAM, affiche trois éoliennes et deux panneaux solaires en référence au développement durable et l’environnement, ainsi qu’aux efforts du royaume, navire-amiral de l’Afrique du Nord en matière des énergies renouvelables et numéro 2 africain dans l’éolien et le solaire.

La nouvelle piécette algérienne de 10 dinars comporte, curieusement, une copie quasi-conforme à l’originale. Son avers comprend, lui aussi, trois éoliennes et une myriade de panneaux photovoltaïques.

Selon le compte officiel de « Bank of Algeria », qui a annoncé la sortie de la nouvelle pièce sur X (ex-Twitter) hier 13 décembre 2023, ce dessin « symbolise le potentiel de l’Algérie dans le domaine des énergies renouvelables ».

Plusieurs internautes marocains ont crié haro sur cette énième appropriation « de tout ce qui est marocain » de la part des autorités algériennes, pointant du doigt le « manque de créativité » des responsables de ce pl

agiat.




José Manuel Albares: «La position de l’Espagne concernant la question du Sahara n’a pas changé»

Le ministre des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la Coopération du Royaume d’Espagne, José Manuel Albares, a réitéré, jeudi à Rabat, la position de son pays au sujet de la question du Sahara marocain.

«La position de l’Espagne concernant la question du Sahara n’a pas changé. Elle est celle déjà exprimée dans la Déclaration conjointe, adoptée le 7 avril 2022, et la Déclaration sanctionnant la 12ème session de la Réunion de Haut Niveau (RHN) Maroc-Espagne en février 2023», a indiqué le chef de la diplomatie espagnole lors du point de presse conjoint tenu à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita.

Il est à rappeler que la Déclaration conjointe, adoptée le 7 avril 2022 lors de la rencontre entre le roi Mohammed VI et le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, dispose que «l’Espagne considère l’initiative marocaine d’autonomie, présentée en 2007, comme la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution de ce différend».

Madrid reconnaît l’importance de la question du Sahara pour le Maroc, ainsi que les efforts sérieux et crédibles du Maroc dans le cadre des Nations unies pour trouver une solution mutuellement acceptable, précise-t-on.

Par Le360 (avec MAP)




Au cours de la conférence débat : Antipas Mbusa Nyamwisi vante les relations bilatérales Rdc-Ouganda   

A Butembo, dans l’Est de la Rdc, le ministre d’Etat de la République Démocratique du Congo en charge de l’Intégration régionale, Mbusa Nyamwisi a rassuré aux jeunes venus des différentes composantes de la jeunesse la volonté pour la Rdc et l’Ouganda à éradiquer l’insécurité qui se vit depuis plusieurs années dans l’Est de la Rdc, mais aussi à booster le secteur économiques en faveur de la population.

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Alors qu’il est revenu, il y a peu sur la scène politique, ce mercredi 13 décembre, Antipas Mbusa Nyamwisi s’est montré confiant de la capacité du président actuel. Il a appelé la population à ne voter que Félix Tshisekedi à la présidentielle du 20 décembre, que lui, qualifie comme d’un vrai patriote.

Interrogé sur la présence des armées étrangères sur le sol congolais, Mbusa a expliqué qu’il s’agit de l’une des solutions proposées à la recherche de la restauration de la paix.

“ Nous avions accepté que les étrangers nous arrivent pour nous aider à mettre fin à la guerre. Nous avons nous mêmes estimé qu’il ne fallait pas prolonger leur séjour sur notre territoire. C’est pourquoi les troupes ont validé le plan de retrait progressif. Nous resterons qu’avec les UPDF qui sont dans l’opération Suja dans la ville et territoire de Beni. D’ailleurs, les militaires des Forces armées de la Rdc et ceux de l’UPDF vont élargir leur plan d’intervention jusqu’à Mambasa, dans la province de l’Ituri”.

Il a, malgré tout, reconnu que les solutions efficaces et durables aux problèmes sécuritaires restent les Congolais eux-mêmes. L’armée doit avoir des nouvelles énergies à chaque seconde pour qu’elle combatte les agresseurs de la Rdc.

Au sujet des accusations du soutien des militaires Ougandais au M23 en termes de vivres et logistique, le ministre a révélé que les commissions instituées pour vérification des faits n’ont pas prouvé les accusations. “ Nous avions formé des commissions mixtes qu’elles travaillent sur à ce sujet. Mais jusqu’à nos jours, on a jamais eu cette affirmation. Par contre je sais que avec les téléphones on peut me prendre une photo et on écrit que je suis à tel ou tel autre part ”, a paraphrasé le ministre d’Etat.

La question du déplacement de la borne frontière à Ishasha par les Ougandais, Mbusa Nyamwisi a une nouvelle fois garantie la population que des commuions mixtes sont mises sur terrain pour analyser pied à pied les limites reconnues depuis la nuit de temps.

Le marathon des questions et réponses est en effet une occasion pour Mbusa Nyamwisi de battre campagne pour le chef de l’Etat Félix Tshisekedi candidat numéro 20 à sa propre succession, mais aussi pour le ministre lui-même qui a postulé à la députation nationale pour le compte de la circonscription de Butembo.

Lyriciste Fabrice




Candidat député national à Beni : Jonas Kasimba, le nouveau vent qui souffle fort dans le Grand Nord

C’est depuis qu’il avait annoncé son entrée en politique que Jonas Kasimba, Opérateur économique et intervenant social de Beni au Nord-Kivu a commencé à susciter un attachement particulier dans le chef des habitants de cette partie du territoire national. Lui, créateur d’emplois et notable désireux de l’amélioration des conditions sécuritaires, sociales et de prise en charge des jeunes, a décidé de s’engager activement en politique.

Comme à ses habitudes, il passera de la parole à l’acte et devient Président national du parti politique « Alliance des Congolais pour la Défense des Intérêts du Peuple » (ACDIP). Jonas Kasimba est candidat à la députation de la ville de Beni. Il débarque à Beni ville avec un engouement impressionnant. Il s’entretient avec la population venue nombreuse au rond-point mythique de Béni pour lui exprimer son amour, sa compassion et ses projets pour elle.

Après, ce sera avec la population d’Oïcha, chef-lieu du territoire de Beni, au Nord-Kivu. Lors de cet échange, Jonas Kasimba, candidat député provincial numéro 150, a abordé plusieurs sujets politiques, mettant en avant son engagement à lutter contre le chômage comme moyen de restaurer la paix dans la région.

S’exprimant sur la question de la sécurité, Jonas Kasimba a souligné l’importance de lutter contre le chômage, qu’il considère comme la principale source d’insécurité dans la région. Il a affirmé que la création d’emplois pour les jeunes serait un pas significatif vers la paix dans la région de Beni.

“Nous avons besoin que la paix retourne dans le territoire de Beni et nous pensons qu’en luttant contre le chômage ensemble avec les autorités du pays, nous pouvons contribuer à la paix. Le chômage est la source de l’insécurité, si nous donnons de l’emploi aux jeunes, nous allons fumer le calumet de la paix ici. Et c’est ça notre bataille, nous allons donner de l’emploi aux jeunes parce que nous le faisons déjà”, a-t-il dit.

 

Jonas Kasimba a également appelé la population à ne pas prêter attention aux rumeurs malveillantes concernant ses actions caritatives.

Un iconoclaste par rapport à l’échafaudage des mensonges

“Nous sommes tous les enfants d’ici. Méfiez-vous de ceux qui vous disent que nous avons l’argent de Kabila. Nous n’avons jamais occupé des postes au sein du gouvernement, ceux qui ont travaillé avec Kabila sont connus […] Notre bataille est de mettre fin au chômage, source de l’insécurité”, a-t-il poursuivi.

Il a en outre exhorté la population à voter massivement pour lui lors des élections à venir, afin de lui donner l’occasion de mettre en œuvre des projets de développement.

Un atout pour le candidat numéro 20 dont il est mobilisateur dans la région

L’homme n’a pas un seul instant de repos depuis qu’il est sur le terrain, il ne se passe aucun jour sans qu’il n’effectue une descente sur le terrain, bouclant agglomération rurales, communes, quartiers et autres entités qui lui témoignent un attachement sans faille.

Plusieurs jeunes interrogés affirment qu’il est et reste celui qui désormais traduit leurs aspirations, car il pose déjà des actes considérables. Accompagné de son épouse, il ratisse large et promet emploi et implication pour la paix et le développement de sa contrée.

Homme généreux, candidat député, il ne s’empêche pas de poser des actes à l’endroit des Eglises, femmes des militaires, les femmes dans l’agriculture, desserte en eau, la construction des écoles, marchés et achat même d’une maison pour les orphelins comme à Kasindi.




La Cour constitutionnelle met en déroute les pronostics des “anti-élections”

Au cours d’une audience publique, la Cour constitutionnelle vient de débouter des candidats Président de la République opposés aux élections. Il s’agit de Martin Fayulu, Théodore Ngoy et Marie José Ifoku qui sont obligés de s’assumer. Soucieux de permettre à la CENI d’amener à bout le processus électoral, et garantir la périodicité électorale quinquennale,  la Cour constitutionnelle sous l’impulsion de son Président Dieudonné Kamuleta a conclu, et cela avec effet utile,  que les faits dénoncés n’étaient pas suffisants pour conclure à l’irrégularité du processus électoral.

Ce 14 décembre 2023,  saisie par quelques candidats Président de la République pour faire constater l’irrégularité du processus électoral pour les élections du 20 décembre 2023, la Cour a rendu son arrêt lors d’une audience publique.

C’est depuis quelques jours qu’un certain nombre des médias et politiciens pronostiquaient le report des élections du 20 décembre 2023, en prêtant  des intentions malveillantes à la Cour constitutionnelle.

En effet, pour une certaine presse et une catégorie des chroniqueurs mercenaires qui ne sont que sur Youtube et qui prétendent avoir des caméras de hautes performances, la Cour constitutionnelle est instrumentalisée par le pouvoir en place et avec la complicité de la CENI afin d’obtenir le report des élections.

Il est étonnant que les politiciens puissent manipuler l’opinion à ce point jusqu’à mettre à contribution la presse qui est censée véhiculer la bonne information et non les spéculations.

Voilà qu’aujourd’hui cette mauvaise presse vient d’être confondue. En effet, dans son arrêt sous R.Const. 2120, la Cour constitutionnelle vient de déclarer la requête des candidats Président de la République recevable, mais non fondée.

Il sied de rappeler que ces candidats Président de la République dont Martin Fayulu, Théodore Ngoy, Marie José Ifoku voulaient conduire la Cour à constater ce qui suit : la non-publication et le non-affichage des listes électorales, l’effacement des cartes d’électeurs, le monnayage par les agents de la CENI de la délivrance de duplicatas, la délivrance des duplicatas aux Numéros différents des cartes d’électeurs originales, à quelques électeurs, la non-délivrance des duplicatas à un grand nombre d’électeurs, la non-publication de la cartographie des bureaux de vote, la non-publication au journal officiel de la liste définitive des candidats Président de la République, la non notification de celle-ci à chaque candidat Président de la République et la non-notification au Gouvernement pour les missions diplomatiques et consulaires congolaises à l’étranger et pour la protection égale de tous les Candidats Président de la République, dès cette publication et pendant la  campagne électorale, et la mise à I ’écart des électeurs vivant dans les parties occupées du pays, en violation délibérée de la Constitution et de la loi.

Pour ces candidats, les éléments dénoncés rendaient le processus électoral irrégulier, et la Cour se devrait de le constater.

Soucieux cependant de permettre à la CENI d’amener à bout le processus électoral, et garantir la périodicité électorale quinquennale,  la Cour constitutionnelle sous l’impulsion de son Président Dieudonné Kamuleta a conclu, et cela avec effet utile,  que les faits dénoncés n’étaient pas suffisants pour conclure à l’irrégularité du processus électoral.

Une fois de plus la Cour constitutionnelle vient de démontrer sa neutralité dans la réalisation de sa mission constitutionnelle de garant de la régularité dudit processus.

Il est donc manifeste aujourd’hui que Dieudonné Kamuleta conduit de main de mettre cette haute juridiction du pays, sans céder à la manipulation de l’opinion et aux intentions malveillantes contre la démocratie et la justice congolaises.

L’Avenir




La CENI tranche : Les électeurs régulièrement inscrits et ceux dont les cartes sont devenues illisibles ainsi que ceux ayant perdu la carte d’électeur vont voter le 20 décembre 2023

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) invite les électrices et électeurs régulièrement identifiés et enrôlés lors de l’opération de la Révision du Fichier Electoral à participer massivement aux scrutins combinés du 20 décembre 2023, notamment l’élection du Président de la République, des Membres de l’Assemblée Nationale et des Assemblées Provinciales ainsi que des Conseillers Communaux.

Selon un communiqué signé par Patricia Nseya, Rapporteur de la CENI, chaque électeur devra se rendre à son Bureau de Vote situé généralement au site ayant abrité son Centre d’Inscription pendant l’enrôlement. Les Bureaux de Vote seront ouverts et opérationnels de 06h00 à 17h00, heures locales.

Dans le souci de promouvoir l’inclusivité du processus électoral et de permettre aux Congolaises et aux Congolais d’exercer leur droit de vote, les électeurs régulièrement inscrits et ceux dont les cartes sont devenues illisibles ainsi que ceux ayant perdu la carte d’électeur, faute d’avoir obtenu un duplicata, doivent se rendre au site de vote situé à l’emplacement de leur Centre d’Inscription le jour du scrutin le mercredi 20 décembre 2023 car ils seront pris en charge, selon le cas, par le personnel de la CENI.

Allons tous voter dans la paix pour l’intérêt supérieur de la République Démocratique du Congo, notre cher et beau pays.

JMNK




Dans l’objectif de protéger le patrimoine immobilier de l’Etat : Muabilu, le récupérateur des maisons de l’Etat

A son avènement à la tête du ministère de l’Urbanisme et Habitat, le ministre Pius Muabilu Mbayu Mukala a fixé le cap sur trois axes à savoir, réduire la désolation qu’offre la surface urbaine congolaise, car cette dernière accuse un rejet totalement inconscient des normes d’occupation ; la formulation d’une politique nationale d’aménagement du territoire innovante et sa mise en œuvre, ainsi que la revisitation de la gouvernance urbaine et l’amélioration du cadre de vie de l’existant … La revisitation de la gouvernance urbaine, véritable ‘randonnée dans la jungle’, qui a nécessité la prise de décisions pas toujours populaires qui nécessitent de la hauteur et un sens élevé de patriotisme   pour faire respecter la loi à tous et protéger le patrimoine foncier (Immobilier du domaine privé ) de la République. Comme le  dit un adage populaire : « Dura lex  sed lex » (la loi est dure mais c’est la loi), il  faut  recenser et  récupérer toutes les maisons de l’Etat spoliées sur toute l’étendue de la République. A l’instar de l’IGF, Muabilu aura donc amené la peur du gendarme dans la gestion du patrimoine du domaine privé de l’Etat. Désormais, les spoliateurs sont prévenus et savent que leurs actes seront stoppés, quel que soit le niveau d’intimidation ou de menaces.

Le ministère de l’Urbanisme et Habitat, dont la gestion dans le gouvernement est confiée au ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala,  est chargé de la planification, de la gestion et de la réglementation de l’utilisation des terres et de l’urbanisme en République démocratique du Congo. Il a dans ses attributions, entre autres : la gestion immobilière qu’il assume par sa Direction de la Gestion Immobilière. En cette matière, après avoir scruté l’état des lieux de la gestion du patrimoine national, il s’est avéré que  les « puissants » (entendez les caciques de différents régimes politiques)   ayant administré le pays, se sont octroyé de manières illicites, des villas et autres propriétés de l’Etat sans jamais se sentir redevables à ce dernier. Le très riche patrimoine immobilier de la Rdc est constitué de l’ensemble des biens immobiliers, principalement des maisons.

Juridiquement, par opposition aux biens meubles qui peuvent être déplacés (bijoux, tableaux, véhicules, etc.) ou encore aux biens immatériels (parts de sociétés, etc.), le patrimoine immobilier est constitué de biens immeubles, fixes comme des maisons partout dans le territoire national.

Ce patrimoine est essentiellement formé d’immeubles “par nature”, catégorie incluant : le sol, le sous-sol et tout ce qui est fixe dans le sol (constructions, arbres, champs, etc.). S’y ajoutent des immeubles par destination ornementale, c’est-à-dire les objets scellés, accrochés que l’on ne peut pas déplacer. À ce patrimoine immobilier tangible peuvent s’ajouter des droits comme l’usufruit et l’hypothèque.

 Pius Muabilu remet à l’Etat congolais ses maisons spoliées

A Kinshasa, même les soi-disant ‘Hommes Forts’ qui se sont octroyé les maisons de l’Etat, ont fait face à la rigueur de la loi. Et le Ministère de l’Urbanisme et Habit a remis l’Etat congolais dans ses droits. L’opération récupération des maisons de l’État de quelques sites de la commune de la Gombe, à Bandalungwa, Kintambo s’était  poursuivi dans la partie Est de la capitale, avant de s’étendre dans d’autres coins de la ville et du pays. Ainsi, pas seulement dans la commune de la Gombe et autres quartiers du centre-ville, plus de 1400 maisons et parcelles de l’Etat spoliées dans les communes de Maluku et N’Sele avaient été récupérées.

Cela après le constat fait par le ministre d’Etat à l’Urbanisme et Habitat Pius Muabilu, après sa visite quelques temps à peine après sa prise de fonction. A l’issue d’une descente sur terrain, le ministre avait  promis de remettre l’Etat congolais dans ses droits, c’est ce qui a été fait. Dans une interview exclusive accordée à Radio Okapi, le ministre d’Etat avait demandé au préalable,   à tous les occupants de régulariser leur situation non seulement à Maluku et N’Sele, mais sur toute l’étendue de la RDC.

Bravant les tentatives de démoralisation et même les intimidations, le multi élu du district du Mont-Amba, Pius Muabilu, se battra bec et ongles pour restituer à l’Etat son patrimoine immobilier. De grandes figures de la politique nationale seront contraintes à s’aligner dans la légalité, même si certaines organisations de défense des droits de l’Homme, pas nécessairement cleans,  produiront des communiqués  pour accuser faussement le ministre de l’Urbanisme et Habitat de violer, dans certains cas, le droit de propriété reconnu à certains citoyens. ‘’L’Asadho’’ en particulier ira jusqu’à affirmer que  « le Ministère de l’Urbanisme n’est pas un tribunal et encore moins un juge d’actes irréguliers », alors que le ministère recourait plutôt à l’arbitrage « du tribunal et du juge pour des actes irréguliers de spoliation du patrimoine immobilier de l’Etat dont la gestion lui incombe ».

Dans un communiqué publié jeudi 13 octobre 2019, le Ministère de l’Urbanisme et Habitat rappellera  que ces maisons sont, depuis 1989, tombées sous sa gestion. Il invite en conséquence tous les occupants, inconnus à ce jour de l’Administration, à se présenter de toute urgence au cabinet du ministre d’Etat, ministre de l’Urbanisme et Habitat pour régulariser leur situation.

« Quiconque se soustrairait à cet appel obligatoire, s’exposerait non seulement au délogement mais également à des poursuites judiciaires », conclut le communiqué signé par Pius Muabilu Mbayu.

Récupération du parc immobilier de l’Etat : cas de l’Ogefrem

Dès son entrée au gouvernement, le ministre d’Etat  en charge de l’Urbanisme et Habitat, Pius Muabilu avait indiqué son engagement dans une vaste opération de délogement des locataires indélicats et de résiliation des conventions de partenariat privé.

Il avait mis sur pied une commission d’identification immobilière, pour permettre de  déterminer les maisons de l’Etat spoliées. Au terme du travail de ladite commission, le ministre d’État Pius Muabilu n’avait pas hésité à mettre particulièrement en garde les spoliateurs des biens publics dans la commune de la Gombe à Kinshasa: «A la Gombe, par exemple, près de 90% de maisons qui, jadis, relevaient de la colonie belge, appartiennent bel et bien à l’Etat. Ce n’est donc pas des biens sans maître. Je profite de l’occasion pour lancer un avertissement clair à tous les spoliateurs: l’Etat va tout récupérer, tôt ou tard», avait-il lancé.

Pour le ministre Pius Muabilu, ce travail constitue un pas important dans les efforts de remise de l’État congolais dans ses droits longtemps bafoués. « C’est une étape importante franchie pour la récupération des maisons de l’État spoliées depuis 1989 », dit-il.

Le Ministère de l’Urbanisme et habitat est potentiellement mobilisateur de recettes. A ce titre, il doit rétablir l’Etat dans ses droits, et se pencher sur la question pour trouver des solutions idoines. Parmi les récalcitrants, curieusement , l’Office de gestion du fret multimodal –OGEFREM-, un établissement public de l’Etat congolais, tombe dans la maille du filet et crie au scandale. Médusés, les contrevenants n’ont eu pour argument, et non sans légèreté, que de diffamer disant : « le ministre d’État en charge de l’Urbanisme et Habitat travaille dans le sens contraire à la vision du chef de l’État », ont-ils allégué.

Un établissement de l’Etat qui s’oppose à une mesure prise par le gouvernement dans le sens de protéger le patrimoine immobilier du pays ! Selon les recoupements faits à ce sujet, il s’est avéré  que l’agitation de l’Ogefrem s’expliquerait  par le fait qu’une maison de l’État dont il réclame la paternité alors était achetée auprès des escrocs qui n’ont ni titre, ni qualité. Ce, pour la simple raison que « l’Etat congolais n’a jamais vendu ses maisons. Les certificats d’enregistrement n’étant pas translatifs de propriété du bien de l’État vers un particulier. En d’autres termes, il importe qu’il y ait d’autres actes avant de l’obtenir », à en croire des sources proches du Ministère.

A ce propos, les observateurs ont vivement félicité le président de la République pour avoir fait appel, à la tête du ministère de l’Urbanisme et habitat, d’un véritable homme d’État, un patriote nationaliste, Pius Muabilu Mbayu,  et estime qu’il mérite encore la confiance du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi et, de fil en aiguille, du peuple congolais.

Willy Makumi Motosia

 

 




A Bumba : Atundu mobilse pour le candidat Fatshi 20

Si le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, candidat n°20 à sa propre succession, est sûr de l’emporter haut-la-main devant une opposition émiettée et sans discours, les Congolais doivent en même temps élire ceux-là qui doivent accompagner le chef de l’Etat à mettre en œuvre sa vision et sa politique.

C’est dans ce sens que tous les proches collaborateurs du chef de l’Etat sont dans leurs fiefs électoraux pour tenter d’arracher le vote du peuple. Un vote qu’il ne faudra pas donner à n’importe qui, mais à ceux qui méritent et ne coupent pas de pont entre eux et leurs bases respectives.

Dans ce lot se trouve l’Ambassadeur André-Alain Atundu, qui se trouve dans son territoire d’origine, Bumba, province de la Mongala où il bataille dur, pour se faire élire par la population de ce coin de la République.

« Je vous demande de vous débarrasser de la peur pour le 20 décembre », a-t-il calmé des milliers de gens venus à sa rencontre, et qui attendaient de lui les assurances sur la tenue des élections le 20 décembre 2023, conformément au calendrier électoral publié par la CENI.

A l’en croire, tout a un début et une fin.  « Il n’y a qu’une seule chose que je suis venu vous demander, c’est l’élection du président de la République le 20 décembre 2023. Il faut élire le président Tshisekedi, parce qu’il a de bons projets pour nous. C’est le cas de la route et du port », dit-il.

Comme la plupart des routes à l’intérieur du pays, celles de Bumba n’échappent pas à la détérioration très avancées et elles constituent une priorité pour le chef de l’Etat. De même, Bumba mérite d’avoir des ports modernes et mieux équipées pour la conservation des poissons, en vue de les vendre à Kinshasa et ailleurs.

Après avoir élu le président de la République, il faut aussi élire ceux qui doivent l’accompagner. C’est ici qu’il leur a rappelé une des chansons de feu Papa Wemba, qui a chanté que ce pays mérite d’être géré par des gens intelligents, sages, forts et patriotes, c’est-à-dire, qui aiment leur pays.

« Je vous demande de me voter à la députation nationale, au n°128 et au n°131 à la députation provinciale, parce que j’ai réuni ce que Papa Wemba avait dit. Après mon élection, je viendrai auprès du chef et par la suite, nous verrons ce qu’il faut faire », promet-il.

L’expérience de l’Ambassadeur André-Alain Atundu sur la scène politique n’est plus à démontrer. Et cette expérience acquise de nombreuses années, il veut la mettre au service de la République, pour permettre au Gouvernement de rencontrer les désidératas de la population et ainsi conduire le pays vers son plein développement.

JMNK