Le CNC condamne le sabotage de ses sièges à travers le pays (Communiqué)

Dans un communiqué parvenu au média en ligne lequotidienrdc.cd, le Congrès National Congolais (CNC) , parti cher au « Leader Majeur », le ministre Pius Muabilu informe l’opinion nationale et internationale qu’une série d’actes de sabotage de ses sièges à travers le pays est en cours depuis quelques jours.
« Cette conspiration est orchestrée par certains politiciens en mal de positionnement qui voient d’un mauvais œil la montée fulgurante du CNC sur toute l’étendue du territoire national », indique ce document signé par Célé Kanangila, le porte-parole du CNC, avant d’ajouter que ces malfrats s’illustrent dans des attaques visant directement les sièges du parti dans différentes inter fédérations par le pillage des matériels de bureaux et accessoires importants.
Le dernier cas en date est celui survenu, samedi 04 Février, dans la ville de Kananga, province du Kasaï Central où le siège du parti a été victime des actes de vandalisme et de pillage dont les auteurs ont été heureusement identifiés.
Le Congrès National congolais condamne avec la dernière énergie ces actes rétrogrades et se réserve le droit de saisir les juridictions compétentes pour obtenir réparation. Le CNC Regrette de voir certains politiques véreux faire recours aux méthodes archaïques alors que dans un État de droit, le combat politique repose sur les idées.
Le CNC Fustige cette campagne odieuse dont la motivation est de décourager l’élan patriotique pris par le parti et la détermination de son Leader à accompagner le Président de la République dans son combat pour le bienêtre du peuple congolais.
Le CNC Décourage cette attitude anti démocratique et demande à ses militantes et militants à travers la République de demeurer vigilants et mobilisés davantage afin de garantir le deuxième mandat au Président de la République Félix Tshisekedi.




Election : La Rdc va solliciter le soutien de l’Union européenne (C. Lutundula)

Une importante délégation belge est arrivée à Kinshasa. Elle est conduite par Mme Hadja Lahbib, ministre belge des Affaires Étrangères. Après avoir été reçue par le Président de la République, elle est venue chez son homologue congolais Christophe Lutundula Apala pen’Apala.

Une bonne heure en tête-à-tête entre les deux chefs de diplomatie pour passer en revue sûrement des questions d’actualités et celles liées aux relations entre les deux pays. Juste après, les échanges se sont élargis en séances de travail avec les collaborateurs de deux parties.
Prenant la parole en premier, le chef de la diplomatie congolaise Christophe Lutundula a remercié Mme la ministre et toute sa délégation pour leur visite à Kinshasa, une visite pense-t-il qui tombe à pic au moment où la Rdc traverse une période de tension avec son voisin le Rwanda.
Le Vpm, ministre des Affaires Étrangères a exprimé la disponibilité de la Rdc à des discussions constructives pour protéger son intégrité territoriale, sa population et reconstruire le pays. Il a en outre salué la volonté de sa Majesté le Roi Philippe et le chef de l’état Félix Tshisekedi de réchauffer les relations entre la Rdc et la Belgique qui se sont refroidis depuis 1995.
Christophe Lutundula a également évoqué la programmation quinquennale signé avec la Belgique en Décembre dernier.
Sur la question des élections de 2023, puisqu’elles auront bel et bien lieu, Christophe Lutundula a annoncé que la Rdc va solliciter le soutien de l’Union Européenne.
La ministre belge des Affaires Étrangères a à son tour remercié son homologue pour l’accueil réservé à elle et sa délégation. Elle se félicite des entretiens eus avec le Président Félix Antoine Tshisekedi en qui elle a senti le souci de mettre fin à la guerre qui paralyse la partie orientale de la Rdc et a circonscrit le but de son voyage.
A noter que la délégation belge à Kinshasa va rencontrer plusieurs membres du gouvernement pour échanger sur des sujets liés au bon fonctionnement de la coopération belgo congolaise.




Bientôt la réunion des chefs militaires de la communauté afin d’établir un nouveau calendrier

A l’issue de plus de trois heures des discussions à huis clos, les six chefs d’Etat de l’EAC ont pris acte, avec regret, du refus délibéré des troupes terroristes du M23 de se retirer des localités congolaises tel que exigé par le dernier sommet de Luanda ; demandé la poursuite du déploiement des contingents d’autres pays de l’EAC et convenu d’une réunion des chefs militaires de la communauté afin d’établir un nouveau calendrier.
Selon le VPM des Affaires Étrangères Christophe Lutundula, les Chefs d’Etat ont jugé la situation sécuritaire préoccupante et exigé la fin des hostilités par les M22 et leurs alliés.
Au cours de la deuxième quinzaine de ce mois, les Chefs d’Etat vont se retrouver à Addis-Abeba pour une double évaluation des processus de Luanda et de Nairobi.
Les présidents Evariste Ndayishimiye, Felix Antoine Tshisekedi, Paul Kagam, William Ruto , Youweri et Suluhu Hassan ont signé le communiqué final du sommet tout en se passant de la photo de famille.




Coopération belgo-congolaise : Rose Mutombo s’entretient avec la ministre belge des Affaires Etrangères

En séjour dans la capitale congolaise, la ministre belge des Affaires étrangères, Hadja Lahbib, accompagnée par l’ambassadeur du Royaume de Belgique en poste en RDC a rencontré le 4 février 2023, la ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Rose Mutombo Kiese.

Leurs entretiens ont commencé en aparté puis autour de leurs membres de cabinet.
Au sortir de cette audience, Hadja Lahbib a remercié la ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Rose Mutombo Kiese, d’avoir dégagé de son temps pour cette visite impromptue puisqu’elle n’était pas prévue dans son agenda.
« Je sais que vous avez fort à faire avec la visite papale en RDC du 31 janvier au 3 février 2023. Et puis nous avons évidemment discuté de la coopération judiciaire qui se passe très bien. Nous avons deux conventions qui sont sur le point d’être signées. Nous en avons profité pour parler de la participation des femmes candidates aux prochaines élections », a dit la patronne de la diplomatie belge.
A l’en croire, les deux Conventions qui permettent aux justices congolaise et belge de fonctionner de façon fluide dans l’échange d’informations, dans la justice pénale, dans leur transfert des condamnés etc. Donc, la Belgique a des Conventions qu’elle a signées avec 74 pays de ces genres.


  • « Il est tout à fait normal que nous en signons avec la République Démocratique du Congo », a-t-elle souligné.
    Et d’ajouter : « Je sais que Mme la ministre d’Etat, ministre de la Justice est très engagée dans la lutte pour une certaine parité dans la représentation des femmes dans les instances de prise de décision. Moi aussi, je lui ai appris que la prochaine ambassadrice belge à Kinshasa, pour la première fois depuis 1830, depuis l’indépendance de la République Démocratique du Congo, si nous prenons les deux dates de formation de nos deux Etats sera une femme, Roxane de Bilderling. La prochaine ambassadrice en poste en République Démocratique du Congo depuis 2000 assume les mêmes fonctions pour le compte de son pays au Japon. Roxane de Bilderling était habituée du continent africain. Elle a été auparavant ambassadrice au Kenya, mais également en poste en Afrique du Sud. Elle prendra ses fonctions d’ambassadeur en République Démocratique Congo au mois d’août 2023″.

BM




Beni : Qui a tiré sur les casques bleus de la Monusco ?

Un hélicoptère de la MONUSCO qui a décollé de Beni ce dimanche en début d’après-midi à destination de Goma a essuyé des tirs ayant entrainé la mort d’un des membres d’équipage et gravement blessé un autre Casque bleu. L’appareil est néanmoins parvenu à atterrir à l’aéroport de Goma.
La MONUSCO exprime ses plus sincères condoléances à la famille et au pays d’origine du Casque bleu décédé et souhaite un prompt rétablissement au blessé.
La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en RDC et Cheffe de la MONUSCO, Mme Bintou Keita, condamne fermement cette attaque lâche contre un aéronef porteur de l’emblème des Nations Unies.
Elle rappelle que les attaques contre les casques bleus peuvent constituer un crime de guerre et que la MONUSCO ne ménagera aucun effort, en accord avec les autorités congolaises, pour que les auteurs de cet acte odieux soient traduits en justice.




Sommet du Burundi: La Rdc flouée

A l’invitation du président burundais Evariste Ndayishimiye, les chefs d’Etat de la Communauté de l’Afrique de l’Est se sont réunis ce 04 février à Bujumbura, capitale du Burundi, à l’occasion du 20ème sommet extraordinaire de cette région. Il s’agit de Yoweri Museveni pour l’Ouganda, Paul Kagame pour le Rwanda, Samia Suhulu Hassan pour la Tanzanie, Félix Tshisekedi représentant la Rdc, William Ruto pour le Kenya, Deng Alor Kuol représentant du président Salva Kir, président du Soudan du Sud.

Pendant que les Congolais pensaient que ce sommet va constater la violation manifeste de la feuille de route de Luanda, et exiger les comptes au Rwanda accusé de soutenir les terroristes du M23, le sommet s’est contenté d’&écouter le rapport de la situation sécuritaire à l’Est du pays pour constater que la situation sécuritaire ne peut être régulée que durablement que par un processus politique, soit un dialogue amélioré entre toutes les parties.
A lire seulement ce paragraphe, nombreux sont ceux-là qui affirment que la Rdc a été flouée. Si la feuille de route de Luanda était une avancée significative, ce communiqué final consacre un recul inimaginable traduisant la trahison et l’humiliation de la Rdc. Sinon, faudra-t-il toujours compte en cette communauté et à ses troupes qui ont prouvé leur complicité avec l’agresseur ?
Pourquoi les dirigeants de la Communauté de l’Afrique de l’Est ont du mal à lire les signes du temps et constater leur feuille de choux appelée communauté est en contradiction avec la feuille de route de Luanda ? Pourquoi ils reviennent sur les mêmes choses sans pour autant évaluer les précédentes ? Si le sommet a ordonné aux pays membres de déployer leurs troupes en Rdc, qu’est-ce que les troupes kényanes déjà déployées ont déjà fait ?
C’est là qu’apparait la trahison, parce que la feuille de route prévoyait qu’en cas d’exécution de la feuille de route, que les chefs d’Etat-major se réunissent pour constater le refus du M23 de se retirer, et les chasser du territoire congolais. A ce jour, les troupes de la Communauté constatent comme tout le monde comment le M23 est en train de conquérir des territoires.
Que doit faire la Rdc ?
En République démocratique du Congo, l’opinion qui avait déjà été mobilisée par le président de la République, n’entend plus cautionner cette énième humiliation qui ne dit pas son nom. Trop c’est trop. Pour combien de temps allons-nous continuer à mettre les FARDC et le M23 sur le même pied d’égalité ? Car, s’il y a une partie qui a violé le cessez-le feu, c’est la partie rwandaise du fait que le M23 a continué à conquérir des territoires.
Ainsi, si la Rdc ne quitte pas cette communauté pour ses retombées encourageantes pour l’économie congolaise, elle doit se prononcer officiellement pour rejeter ce communiqué final qui est contradiction avec la feuille de route de Luanda. C’est aussi une preuve que la Rdc n’est pas tellement considérée au sein de cette communauté ? Est-ce une complicité ou le fait des partenaires de mauvaise foi ?
Le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo est arrivé, ce samedi, à Bujumbura (Burundi) pour participer au Sommet extraordinaire de la C.A.E/E.A.C relatif à l’évaluation de la feuille de route de Luanda.
Pour rappel, la feuille de route du mini-sommet de Luanda exigeait le retrait effectif et définitif, avant le 15 janvier, des troupes du M23/RDF des zones occupées illégalement.

Jean-Marie Nkambua




Enrôlement des électeurs: “Nous tendons vers la fin de l’exercice dans l’aire opérationnelle 1 et sommes optimistes” (Denis Kadima)

Le Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), en séjour dans les provinces du Kwilu et Kwango, a pris la température de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs en visitant quelques centres du territoire de Masimanimba avant ceux de Kenge.
Comme à l’étape précédente à Kikwit, le numéro un de la Centrale électorale, accompagné notamment du membre de la plénière Fabien BOKO ainsi que du Secrétaire Exécutif Provincial, Jean Robert MUYENSE, est allé présenter ses civilités à l’administrateur du territoire de Masimanimba, Emery KANGUMA HIOKA.
L’opération dans l’aire opérationnelle 1 dont fait partie le Kwilu, tire vers sa fin, dans une dizaine de jours. Au regard de l’évolution, le Président de la CENI s’est déclaré optimiste quant à son issue.
“J’ai été rassuré par l’Administrateur du territoire qui nous a confirmé que la sécurité est de mise sur l’ensemble de sa juridiction de Masimanimba. Sur le plan de l’enrôlement des électeurs, au regard de quelques centres que nous avons visités, d’une manière générale, tout se passe pour le mieux. A notre passage, ici et là, nous avons constaté que dans les files d’attente il n’y a plus grand monde. Le nombre de personnes non encore inscrites diminue sensiblement. Là où il y a de petites difficultés, nous donnons des orientations afin que le service s’améliore. L’exercice tend vers son terme et nous sommes optimistes”, a confié Denis KADIMA KAZADI.
Au cours de la séance de travail qu’il a eue avec le personnel de l’antenne locale de la Centrale électorale ainsi que les agents temporaires, il a donné une somme d’orientations, en vue d’améliorer l’efficacité du travail qui est attendu d’eux.
Relevant que “nous sommes dans la phase de consolidation et de conclusion. A l’heure qu’il est, nous effectuons une course contre la montre et si nous nous complaisons à prolonger à nouveau la date de clôture de cette opération, nous courons le risque de ne pas tenir notre pari”.
Il a encouragé l’usage du Prerap (Pré-inscription), une application conçue par la Centrale électorale pour faciliter l’inscription au fichier électoral, facile à télécharger via un smartphone ou une tablette.
“Il vous est recommandé de vulgariser au maximum cette pratique de pré-inscription qui présente des avantages entre autres de gain de temps et prenant en compte plusieurs requérants depuis leurs domiciles”, a-t-il martelé.
Non sans avoir insisté sur la transmission au quotidien des données collectées à la Centrale via un serveur au niveau de l’antenne territoriale à travers le réseau VSAT, propre à la CENI.
Les différentes préoccupations soulevées avaient essentiellement trait au matériel dont certains nécessitaient une intervention rapide, un technicien, faisant partie de la délégation venue du siège, a apporté l’éclairage nécessaire pour l’amélioration des tâches




Sahara : la Commission de la politique étrangère au Parlement andin réfute les déclarations de sa présidente en Algérie

La Commission de la politique étrangère, des relations internationales et de la diplomatie parlementaire au Parlement andin a réaffirmé sa position constante en faveur de l’intégrité territoriale du Royaume et du Plan marocain d’autonomie, pour ainsi réfuter les déclarations de sa présidente lors de la 17e Conférence de l’Union parlementaire des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (UPCI), tenue récemment en Algérie.
Suite aux contacts intenses du président de la Chambre des conseillers, Ennam Mayara, avec la présidence et les membres de ladite Commission, la présidence de la Chambre a reçu un communiqué de cette Commission dans lequel elle précise avoir réaffirmé, le 3 février courant, sa position immuable soutenant la souveraineté politique, l’unité nationale et l’intégrité territoriale du Royaume, ainsi que le plan marocain d’autonomie au Sahara, indique samedi un communiqué de la Chambre des conseillers.
La Commission a également affirmé qu’elle considère le dialogue civilisé comme étant le meilleur moyen de parvenir aux consensus nécessaires à un climat de paix réelle et durable, selon la même source.
Elle rappelle, à cet égard, avoir tenu une réunion le 03 juillet 2022 à Marrakech, au cours de laquelle elle avait évoqué le soutien à la souveraineté nationale et à l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc, en tenant compte de la préservation de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale des États souverains, comme l’une des constantes de la politique étrangère de la communauté andine, ainsi que des États membres du Parlement andin, et au vu du statut de membre observateur dont jouit le Maroc au sein de cette institution parlementaire.
La commission revient en outre sur la session ordinaire du Parlement andin tenue le 04 juillet 2022 à Laâyoune, avec la participation du Parlement marocain, représenté par les présidents des Chambres des représentants et des conseillers, au cours de laquelle a été adoptée une position favorable au dialogue politique et à la coopération parlementaire, ajoutant qu’au cours de cette session, les parlementaires andins avaient constaté in situ le climat de paix, de stabilité et de développement qui règne dans la région, à travers des visites de projets de développement socio-économique et dans des établissements d’enseignement et de santé.
Rappelant la dernière résolution officielle adoptée par le Parlement andin à cet égard, la Commission indique dans son communiqué qu’elle s’était réunie le 27 octobre 2022 à Bucaramanga, en Colombie, où une majorité de ses membres avaient voté en faveur d’une résolution appuyant la souveraineté politique, l’unité nationale et l’intégrité territoriale des États souverains reconnus par les Nations Unies, exprimant son soutien au plan marocain d’autonomie comme solution réaliste, sérieuse et crédible à ce différend régional dans le cadre des résolutions des Nations Unies.
La Commission rappelle aussi que des membres du Parlement andin s’étaient rendus au Maroc pour participer au Festival du cinéma de Nador, dont la cérémonie d’ouverture a été marquée par la présence du président de la Chambre des conseillers, du représentant de la Chambre auprès du Parlement andin, Abdelkader Salama, de la représentante de la Chambre des représentants, Fatine El Ghali, outre plusieurs responsables gouvernementaux et parlementaires.
Lors de sa participation à la 17e Conférence de l’Union parlementaire des Etats membres de l’Organisation de la Coopération Islamique (UPCI), tenue du 26 au 30 janvier en Algérie, la délégation parlementaire marocaine avait dénoncé l’incident ayant entaché la session d’ouverture de cette réunion, après l’atteinte à l’intégrité territoriale du Maroc et l’ingérence dans les affaires intérieures d’un pays musulman membre de cette Union parlementaire, de la part de la représentante d’une organisation parlementaire non membre, en l’occurrence la députée colombienne Gloria Florez, qui a prétendu s’exprimer au nom du Parlement andin, avant que la Commission ne réfute catégoriquement ces allégations via son communiqué qui vient réaffirmer la vraie position du Parlement andin soutenant l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.




Judo : La commission nationale des arbitres convoque des arbitres le mardi 7 février à 14h00 au siège de la Fénacoju

Une invitation émanant de la Commission nationale des arbitres de judo adressée à quelques arbitres est parvenue à notre rédaction.

Elle est ainsi libellée :

Invitation

Les arbitres dont les noms sont repris ci-dessous sont priés de se présenter le mardi 7 février 2023 à la commission nationale des arbitres au siège de la Coordination nationale des activités de judo situé au numéro 172 Bis, de l’avenue Nyangwe à son croisement avec Huilerie. Cfr Immeuble Fecodi au 1er Niveau Local C à 14h00 précises.

Motif

Audition des faits retenus à leur charge.

Il s’agit de :

  1. Kabuya Kabemba Stanislas
  2. Mavembo Bitumbu Junior
  3. Diongo Tshumba Voldy

NB : La présence de chacun est vivement obligatoire et le respect de l’heure est de rigueur.

Cette invitation tient lieu de faire- part pour les arbitres cités.

Dans le même ordre d’idées, les membres de la commission nationale des arbitres suivants :

-Tina Nzoyengenza Constant

-Lukusa Kasenda Victor

-Mbuyulu Ikunangieme José et

-Baburu Kasowe Ernest (consultant)

Sont aussi conviés d’y être là.

Cette invitation est signée par le rapporteur, Me Lukusa Kasenda Victor, arbitre continental, CN Go Dan.

Antoine Bolia    




Requin Do Kick Punch: Mbambi Makaya Christian porté à la présidence du comité provisoire de la Ligue de Kinshasa

La date de samedi 04 février 2023 restera gravée dans les annales de la Fédération Congolaise de Requin Do Kick Punch ‘’FECOREK’’. En cette date, le comité provisoire de la ligue de Requin Do Kick Punch ville de Kinshasa a été installé. L’événement a eu lieu au Centre Culturel de Lemba ex-Alliance Franco-congolaise. Pour la circonstance, la Division Urbaine des Sports et Loisirs ‘’DUSL’’ était représentée par M. Charles Mananga.

Sur le lieu, on a noté la présence de Gd Me Tshibambe alias Gd Me chinois, fondateur du style Requin Do Kick Punch, un style d’origine congolais et président de la‘’FECOREK’’.  Sans oublier celle de Gd Me Conan Didier Mukwayanseke, DTN de la Fecorek.

Avant l’installation du comité provisoire de la ligue de Requin Do de Kinshasa, Me Bienvenu Ikuku a révélé au délégué de la DUSL que la grande majorité des athlètes ont porté leur dévolu à M. Mbambi Makaya Christian, architecte de son état, pour présider aux destinées de la ligue de Kinshasa. Ce comité ne compte que 5 personnes et devra être étoffé dans l’avenir.

Composition du comité provisoire ligue de Kinshasa Requin Do

Président : Mbambi Makaya Christian

1er V/P : M. Moledo Mike José

2è V/P : Me Freddy Mukeba Mukendi

Secrétaire : Rodriguez Diayeno

Trésorière : Matshika Cathy

Avant d’installer ce comité provisoire, M. Charles Mananga a révélé aux membres de ce comité provisoire qu’ils ont un mandat de 2 ans et trois missions essentielles leur sont confiées. Il s’agit de :

-De développer, implanter et de vulgariser la discipline Requin Do dans la ville province de Kinshasa

-D’établir les relations permanentes avec la fédération congolaise de Requin Do

-D’organiser l’assemblée Générale extraordinaire élective au terme du mandat de 2 ans qui court du 04/02/2023 au 04/02/2025.

Dans son mot de circonstance, M. Mbambi Makaya Christian a remercié la DUSL pour son soutien et son implication. Aux membres qui composent le comité, il demande la cohésion pour qu’ensemble, ils réussissent le pari de 3 missions confiées à leur comité et obtenir des bons résultats.

Une réunion de prise de contact entre membres du comité provisoire de la ligue de Requin Do de Kinshasa est projetée dans une semaine.

Antoine Bolia