Corée du Nord : célébration de l’année 2023 sur fond de la prospérité de la patrie

La célébration  de l’année sur fond de la prospérité de la Patrie, a fait l’objet d’une visite du Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC), au Palais du Soleil Kumsu-san, indique une note de l’ambassade  de la  Corée du nord en République démocratique du Congo parvenue vendredi à l’ACP.

« Les membres de l’organisme de direction central du PTC ont réaffirmé leur engagement à rester fidèles à l’idée et à la direction de KIM JONG UN, à s’acquitter de leurs responsabilité et mission assignées par le PTC et le Peuple pour atteindre l’objectif ambitieux présenté par la 6ème session (26-31/12/2022) plénière élargie du 8ème CC du PTC », note la source.

Le Maréchal KIM JONG UN a  rendu, à cette occasion, hommage devant les statues avec les membres de sa suite,  présentant ses vœux de nouvel an dans les salles de l’Immortalité où reposent en paix KIM IL SUNG et KIM JONG IL, respectueusement à ces 2 grands Hommes qui avaient consacré toutes leurs vies à l’œuvre sacrée de Juché (idéologie directrice éternelle créée par KIM IL SUNG en 1930) pour rendre le PTC, l’Etat et le Peuple puissants et dignes de souveraineté, d’indépendance économique et d’autodéfense. « Imprimer des changements en faveur d’un développement réel dans tous les secteurs de l’édification du socialisme, constitue un cheval de bataille du leader du PTC », précise-t-on.




RPDC-Japon : Les actes indiscrets allant à contre-courant

Il n’y a pas si longtemps (19/12/2022), le 1er Ministre (Mark RUTTE 1967- ) des Pays-Bas a attiré l’attention de la Communauté internationale en présentant les excuses officielles (lors de son discours à La Haye, NDLR) de son Gouvernement pour les actions de l’Etat néerlandais dans l’esclavage pendant 250 ans dans les colonies d’outre-mer telles que le Suriname et l’Indonésie. Le 1er Ministre néerlandais ;

– s’est repenti au fait que son Pays a infligé les malheurs et souffrances à d’innombrables personnes en imposant, en promouvant et en maintenant l’esclavage pendant des siècles

– a exprimé sa position selon laquelle les discussions et les débats sur la reconnaissance et les excuses des crimes passés ne font que commencer et qu’ils devraient être poursuivis.

Ces dernières années, de nombreux Pays se penchent, sérieusement, sur leur histoire non seulement du 20ème siècle mais aussi des siècles passés et, se repentissent et s’excusent pour leurs crimes; d’où le règlement du passé est la tendance internationale. Pourtant, il y a un Pays qui;

– s’évertue à ignorer la tendance générale

– fait semblant d’être sourd et aveugle

– est insolent sévèrement,

ce n’est autre que le Japon (Etat ennemi stigmatisé par la Charte de l’ONU, NDLR). C’est le Japon qui a commis les crimes supergrands contre l’Humanité au siècle dernier (1905-1945), même pas aux siècles lointains, pour stupéfaire le monde entier; mais même maintenant, il a une arrière-pensée constante lorsqu’il s’agit du règlement de son passé que la Communauté internationale réclame avec tant d’énergie. Aujourd’hui où la plupart des victimes se sont décédées vu leur âge, le Japon;

– est, peut-être, en train de calculer qu’il est temps que ses péchés passés soient pénétrés dans la mousse du temps

– fait du tapage autour de l’«insuffisance de preuves»

– s’efforce, même, d’embellir l’histoire de son agression (en Corée) tout en déniant, totalement, ses péchés sanglants (ayant massacré sauvagement plus d’un million des Coréens, et forcé les 200,000 Coréennes à servir d’esclaves sexuelles aux militaires japonais et plus de 8.4 millions pour les travaux forcés ou comme pare-balles etc., NDLR)

– fournit, aux élèves, des manuels dans lesquels les expressions symbolisant ses crimes passés tels que l’«enlèvement forcé» des Coréens et les «femmes (coréennes) de réconfort pour l’Armée japonaise» sont supprimées

– fait tout un plat de l’enregistrement des sites des travaux forcés tachés du sang des Coréens en tant que le patrimoine culturel mondial.

La mesure dans laquelle la vileté morale du Japon a atteint son extrême se traduit, également, par le fait que ce Pays veut démolir les statues des jeunes esclaves sexuelles érigées, un peu partout dans le monde, pour condamner les crimes d’esclavage sexuel commis par l’Armée japonaise, crimes supergrands contre l’Humanité, et harceler les Pays abritant lesdites statues. Le comportement sans scrupules du Japon est un défi odieux lancé à la Communauté internationale éprise de la justice et de la paix, et c’est, absolument, inacceptable.

Le règlement du passé par le Japon n’est pas une question de quelques centimes ou sous, mais plutôt celle politique sérieuse pour assurer la justice et l’équité internationales qui sont, brutalement, piétinées par le Japon. Par conséquent, régler le passé par le Japon est une tâche politique qui doit être accomplie, que le Japon le veuille ou non; c’est carrément la raison pour laquelle la Communauté internationale exige, dynamiquement, au Japon de se repentir et de s’excuser de l’histoire de son agression.

Si le Japon ne comprend pas la gravité du problème et continue de nier l’histoire de ses péchés comme il le fait actuellement, il sera confronté à l’isolement politico-diplomatique et à la ruine morale. Le comportement du Japon qui va à l’encontre de cela pour ses intérêts imminents ne fait que susciter le dégoût de ceux qui l’observent.

«Allons-nous continuer à courir dans l’abîme de la ruine avec une réputation honteuse ou devrions-nous rompre avec le passé malpropre et prendre un nouveau départ, une fois pour toute?»; c’est, pour le Japon, une tâche de destin optionnelle à accomplir d’une façon prioritaire et responsable. Comment résoudre ce problème et quel choix faire détermine le destin futur du Japon. Le Japon doit faire le bon choix même pour son avenir.

N’oublie pas que régler le passé est le seul et unique moyen de sauver le Japon de la ruine physique et morale!




Sud -Ubangi : Jean-Jacques Mbungani en démonstration de force à Likaw et exhorte la population à la paix, à l’unité et à l’amour

Dr Jean-Jacques Mbungani, ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, poursuit sa mission officielle d’itinérance et d’inspection dans les aires de santé de la province du Sud-Ubangi. Cette mission a deux objectifs principaux, rappelle-t-on. Renforcer les structures de santé en médicaments et équipements médicaux dans les différentes zones de santé des groupements et secteurs du territoire de cette province et sensibiliser la population à participer au processus électoral qui se poursuit avec l’enrôlement et identification des électeurs sur toute l’étendue du territoire national.

Il faut noter qu’au niveau du territoire de Budjala, le ministre national de la Santé publique, Hygiène et Prévention, a provoqué de l’effervescence lors de son arrivé au village Likaw, dans le secteur de Ngombe-Bola. Jamais un acteur politique ou un membre du gouvernement central n’a été accueilli à Likaw comme Dr Jean-Jacques Mbungani.

Au rythme de fanfares, animations et pas de danses, ce haut cadre du Mouvement de Libération du Congo (MLC), parti cher à JP Bemba, a marché sur une distance de 5 Kilomètres à pied avec la population qui lui a réservé un accueil chaleureux, de son arrivée jusqu’au centre de Santé Bonga-Bola.

La présence de Mbungani dans ce coin du pays est une démonstration de force qui prouve que le fils du feu Jeannot Bemba est le seul et l’unique leader politique charismatique, incontestable et inégalable dans cette partie du Sud Ubangi.  Il a drainé une foule immense. Cette réalité a confirmé que Likaw demeure et restera sous contrôle du MLC.

Cela contrairement à certains politiciens opportunistes qui prétendent l’être, en semant la discorde dans la communauté, à travers leur discours machiavélique et démagogique.   A contrario, le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention a, dans son mot de circonstance, apporté un message de paix et d’espoir à la population de Likaw.  Il a exhorté la communauté à cultiver la paix, l’unité et l’amour. Car, la haine et la xénophobie n’ont pas leur place lorsqu’on aspire au développement intégral de Budjala.

Patriotisme oblige, Dr Jean-Jacques Mbungani a profité de l’occasion, pour échanger sur les enjeux politiques de l’heure en RDC, qui sont dominés par le début du processus électoral au pays. Il a, en effet, invité les jeunes majeurs et les vieux à s’enrôler massivement afin d’obtenir leurs cartes d’électeur et s’acquitter de leur devoir civique pour participer aux prochaines élections générales. Signalons en passant que Dr Jean-Jacques Mbungani a prêché par l’exemple, en s’enrôlant dans son fief politique, Budjala centre.

 Comme dans ses habitudes, le numéro Un de la Santé en RDC n’est pas venu mains bredouilles à Likaw. Au nom du gouvernement de la République, le ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, a procédé également à la remise d’un lot de médicaments et équipements médicaux (lits, appareils du laboratoire, gangs, blouses…) à la Zone de Santé de Banga-Bola. Ce geste s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Couverture Santé Universelle (CSU) qui vise à améliorer et à permettre l’accès aux soins de santé de qualité à tout congolais.

 « On a entendu parler du Ministre Jacques Mbungani dans les informations au niveau de notre parti. On l’avait aussi vu dans les images à travers les réseaux sociaux. On nous a dit que c’est un médecin de haut niveau qui maitrise bien le secteur de la santé.  Aujourd’hui, je suis très content de rencontrer notre ministre national de la Santé, qui est du MLC. Je suis fier de lui. Il a bien parlé au nom du gouvernement et du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi. C’est vraiment l’homme qu’il faut pour défendre et faire honneur à notre président national, JP Bemba ici à Lukaw. Vous avez vu, vous-même, comment sa présence a créé la panique dans le camp adverse mais chez nous au MLC, nous prônons la paix, l’amour et l’unité, comme l’a dit le Ministre Mbungani. Que Dieu l’accompagne toujours pour accomplir tous les bons projets qu’il a pour nous à Budjala. Merci à lui et à toute sa délégation », commente un jeune militant d’une trentaine d’années, à Likaw.




Résolution du Parlement européen contre le Maroc: Une ingérence flagrance dans la justice d’un Etat souverain, selon Jean-Marie Heydt

A travers sa résolution sur le Maroc, le Parlement européen s’érige en justice parallèle, a souligné le politologue et écrivain franco-suisse, Jean-Marie Heydt. Le politologue relève un acharnement contre le Maroc alors que des situations similaires dans les pays de l’Union européenne sont passées sous silence.

Cette résolution a de quoi surprendre, car elle vient contredire toutes les normes et les règles internationales, notamment les principes et déclarations des Nations Unies relatives à l’indépendance de la justice », a relevé M. Heydt dans une déclaration à l’agence de presse MAP.

« Sans s’immiscer dans une procédure judiciaire (…) conduite avec rigueur par les tribunaux compétents d’un État souverain, conformément à la législation en cours et aux conventions internationales des droits de l’homme, ratifiées par le Royaume, nous pouvons nous interroger sur le fait que le Parlement européen se soit saisi d’une affaire intérieure », a ajouté le politologue.

Selon lui, le Parlement européen ne dispose ni des moyens d’investigations ni des garanties nécessaires pour un procès juste et équitable et encore moins de ces champs de compétences, lesquels relèvent pleinement d’une Cour de justice nationale.

« Le politique peut certes s’agiter, mais il n’a pas de pouvoir judiciaire en la matière, et de fait, il porte la lourde responsabilité d’influencer des populations et, plus grave encore, d’exercer des pressions sur le pouvoir judiciaire, en entravant l’impartialité de la justice”, a-t-il fait remarquer, déplorant le fait que de plus en plus fréquemment, certains dossiers (en cours ou jugés par les tribunaux) fassent l’objet d’un grave glissement depuis les prétoires vers une justice qui se voudrait être rendue par les réseaux sociaux.

“Nous sommes profondément attachés aux principes fondamentaux des droits de l’Homme et nous restons convaincus que la part des choses doit être faite, entre ce qui relève des libertés d’opinion et d’expression de la presse et tout ce qui se rapporte aux victimes des différentes violations des droits humains. On ne peut mettre en opposition ces deux grands principes, l’un ne peut cacher l’autre, car cela relèverait d’une forme de distinction laissant penser que l’un des droits serait plus fort que l’autre”, note M. Heydt.

Pour quelle raison le Parlement européen (certains parlementaires, semble-t-il) s’acharne-t-il, en plaçant sous le feu du projecteur ce qui serait devenu ‘’une affaire’’ (sic), alors qu’il semble exister des situations pouvant être similaires dans des pays européens et du pourtour méditerranéen ? s’interroge-t-il.

Et de poursuivre : Serait-ce finalement un faux combat qui n’a pour visée uniquement le Maroc, connu et reconnu pour sa remarquable évolution interne et mondiale ?

Il s’agit, aux yeux de M. Heyd, d’une “ingérence” dans les affaires intérieures du Maroc, doublée de pressions à l’encontre d’un État devenu l’axe essentiel dans les relations entre l’Europe et l’Afrique.

Le Parlement du Royaume du Maroc a annoncé lundi sa décision de reconsidérer ses relations avec le Parlement européen en les soumettant à une réévaluation globale, visant à prendre des décisions fermes et appropriées, suite aux dernières positions du Parlement européen à l’égard du Maroc.

Le Parlement marocain rejette l’instrumentalisation et la politisation d’affaires relevant de la compétence de la justice pénale et du droit commun; affaires ayant fait l’objet de poursuites voire de condamnations pour des faits n’ayant aucun lien que ce soit avec une activité journalistique ou la pratique de la liberté d’opinion et d’expression.

Il appelle également les forces politiques européennes à faire preuve de sagesse et de discernement et à rejeter tout amalgame délibéré entre les droits de l’Homme, protégés au Maroc par la Constitution, les lois et les institutions, d’une part, et les allégations véhiculées par certaines parties et organisations connues pour leurs positions hostiles et dogmatiques à l’encontre du Maroc, d’autre part.




Algérie : la principale ligue des droits humains dissoute par les autorités

La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH) a annoncé dimanche avoir été dissoute à son insu par les autorités algériennes lors d’un procès tenu en son absence, des faits “révoltants” et un “acharnement continu”.

Dans un communiqué publié en français sur son site, la LADDH estime qu’à l’instar d’autres organisations, elle “paye” son “engagement pour la démocratie, les libertés et les droits humains”. “Comme (pour) d’autres organisations, la question de la conformité avec la loi sur les associations a toujours fait objet de blocage et d’instrumentalisation de la part des pouvoirs publics”, a-t-elle dit.

Un “acharnement continu […] qui prend, avec cette dernière décision, une proportion d’une extrême gravité”, a regretté l’ONG, disant avoir été déclarée “coupable de s’occuper des droits humains” Vendredi, la LADDH avait dit avoir appris via un document anonyme publié sur les réseaux sociaux qu’elle avait été dissoute par une décision de justice le 29 septembre et qu’elle allait vérifier cette information. Information qu’elle a confirmée ce dimanche.

Cette dissolution faisait suite à une requête du ministère de l’Intérieur auprès du tribunal administratif d’Alger le 4 mai. Le tribunal a statué le 29 juin en faveur de cette requête. Selon la LADDH, l’ONG n’a été à aucun moment informée de cette procédure en cours. La justice algérienne lui reproche de “travailler sur la question des droits de l’Homme avec d’autres instances et organisations internationalement reconnues […] de militer pour les droits des migrants, pour les droits des travailleurs”, ce qui est “révoltant”, assure la LADDH.

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Abdellatif Hammouchi reçoit le vice-président de la Sûreté de l’Etat saoudien

Le directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi a reçu, mardi à Rabat, Abdullah Fahad Salih Al-Owais, vice-président de la sûreté de l’Etat saoudien, qui effectue une visite de travail au Maroc à la tête d’une importante délégation sécuritaire.

La délégation saoudienne comprend le directeur de la direction générale de lutte contre l’extrémisme et le directeur de la direction générale pour les conventions et la coopération internationale, ainsi que des experts et des responsables sécuritaires à la Sûreté de l’Etat saoudien, indique un communiqué de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST).

Cette visite, qui reflète la solidité et la profondeur des relations de coopération en matière de renseignement et de coordination sécuritaire entre la DGST et la présidence de la Sûreté de l’Etat saoudien, illustre la volonté commune des deux parties de consolider cette coopération bilatérale au service de la sécurité et de la sûreté de leurs citoyens, précise la même source.

A la fin des travaux de cette visite, M. Hammouchi et M. Salih Al-Owais ont signé une convention de coopération entre la DGST et la présidence de la sûreté de l’Etat saoudien dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et son financement. Cette convention porte sur l’organisation et le développement de la coopération et de la coordination sécuritaire dans différents domaines liés à la lutte antiterroriste et les opérations de financement du terrorisme, ajoute-t-on.

La DGST et la présidence de la Sûreté de l’Etat saoudien aspirent à développer leurs relations sécuritaires et de renseignement, à coordonner les efforts de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme, en vue de priver les organisations terroristes de toute base arrière, terreaux de recrutement et ressources financières, conclut le communiqué.

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Lubumbashi : Les drapeaux du CNC de Pius Muabilu flottent à l’accueil du Premier ministre Sama Lukonde

La ville de Lubumbashi dans la province du Haut Katanga est dans l’effervescence de l’arrivée ce mardi 24 janvier 2023, du Premier ministre de la République Démocratique du Congo, Jean-Michel Sama Lukonde.

La mobilisation est totale, au sein de toutes les forces vives de la place et des partis politiques membres de l’Union sacrée de la nation, afin de réserver un accueil digne au chef du gouvernement.

De l’aéroport de la Luano jusqu’à la place de la poste en plein cœur du centre-ville de Lubumbashi, l’ambiance est électrique.

Le parti cher à l’Autorité morale Pius Muabilu Mbayu Mukala n’est pas en reste quant à ce.

Le drapeau du Congrès National Congolais dans le Haut Katanga que dirige l’interfédéral Jean-Claude Kamfwa Kimimba, flotte à l’aéroport de la Luano et sur la grand-place de la poste. L’ambiance est au top déjà.

En rappel, le chef du gouvernement congolais vient à Lubumbashi pour donner le ton de l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs, du 25 janvier au 23 février 2023 dans l’aire opérationnelle 2, dans laquelle se trouve la province du haut Katanga.

Roger Ngandu wa Mitaba




Daniel Aselo lance les travaux préparatoires de la 1ère Conférence maritime de la CEEAC

Il s’est ouvert le lundi 23 janvier à Kinshasa, les travaux de la session ministérielle du Comité technique spécialisé sur la défense, la sécurité et la sûreté de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), élargi aux secteurs maritimes et connexes.

Des assises qui constituent l’une des phases importantes et déterminantes des travaux de la 1ère Conférence maritime de l’Afrique centrale, prévue en février prochain à Kinshasa. Elles se fixent pour objectifs, entre autres, d’impliquer toutes les entités sous régionale dans le traitement des questions maritimes afin d’assurer la surveillance maritime coordonnée disposant des capacités appropriées, de nature à durer en mer, afin de faire face efficacement à des fléaux liés à la criminalité transfrontalière notamment le trafic des êtres humains, la piraterie, les vols à main armée en mer, la pêche illicite et autres; et de permettre aux États membres d’assumer leurs obligations internationales en matière de sûreté et de sécurité maritime.

Et pour répondre efficacement aux attentes du président en exercice de la CEEAC, le chef d’État congolais Félix-Antoine Tshisekedi et de ses paires, le Vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur qui a ouvert ces travaux, a lancé un appel pressant aux participants.

« Notre espace maritime et fluvio-lacustre fait aujourd’hui face à un haut niveau d’insécurité marqué par la permanence des menaces dans les eaux territoriales et dans la zone économique exclusive des États de la région (…)

Cet espace maritime est témoin de trafics multiples et divers liés à de criminalités transnationales organisées : drogue, arme, traite d’êtres humains, contrebande, contrefaçon et produits du braconnage », a détaillé Daniel Aselo.

Le Vice-Premier ministre a réaffirmé le leadership et la souveraineté des États membres qui exigent également la maîtrise et la mise en valeur de l’espace maritime et fluvio- lacustre de la CEEAC, en harmonie avec la politique maritime continentale.




Le groupe kényan KCB, nouveau partenaire de la TMB présenté au Premier ministre Sama Lukonde

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a reçu, ce lundi 23 janvier à la Primature, le chef de direction du groupe kenyan KCB, Paul Russo, venu lui présenter ses civilités et le nouveau partenariat de son groupe avec la banque TMB. Il était conduit par Olivier Meisenberg, l’Administrateur Directeur général de la TMB.

Pour Olivier Meisenberg, le partenariat entre les deux parties est une synergie qui sera bénéfique aux deux parties. Il l’a souligné devant la presse, à la fin de cette visite.

“Nous sommes venus présenter nos civilités au Premier Ministre. Comme vous le savez, il y a un partenariat qui a été noué entre la TMB et le groupe KCB du kenyan qui est entré dans l’actionnariat de la TMB. Nous sommes venus présenter nos civilités au Premier Ministre étant donné que le CEO du groupe, Paul Russo, est à Kinshasa. Bien que faisant partie du groupe KCB, la TMB ne change pas. Elle garde son logo et ne change pas son identité. Les équipes TMB restent en place. La TMB est intégrée dans un groupe pour le mieux et non pas pour changer l’identité. Le partenariat va lui permettre d’avoir accès aux ressources du groupe pour soutenir ses clients.

Et cela va faciliter les transactions des clients dans la sous-région. En même temps, la TMB va bénéficier des compétences du groupe KCB. Tout comme le groupe aussi va bénéficier des compétences de la TMB. En fait, la TMB a beaucoup de compétences et de valeurs. Ils vont s’inspirer mutuellement en créant une synergie qui sera bénéfique aux deux parties”, a souligné l’Administrateur Directeur général de la TMB.

Créée en 2004, à Lubumbashi, au Katanga, sous l’impulsion de Robert Levy, Trust Marchand Bank intègre ce grand groupe bancaire pour donner plus de satisfaction à ses clients.




LA PRIERE DU G.I.B.B AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH/ LUNDI 23/ JAN 2023