Dicastère pour la doctrine de la foi : il n’y aura pas d’ordination sacerdotale de femmes

Suite à la publication de la Déclaration Fiducia supplicans, le préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi, le cardinal Fernandez, a annoncé dans une interview qu’il rencontrerait les évêques allemands pour poursuivre le dialogue sur le processus du « Chemin synodal allemand », dans lequel trois questions sont en jeu : l’ordination sacerdotale des femmes, la bénédiction des couples de même sexe et une structure supra-épiscopale obligatoire pour l’ensemble de l’Église catholique dans le pays. En ce qui concerne ces sujets, le troisième a en fait été interdit car canoniquement incorrect ; les deux premiers ont déjà fait l’objet d’une réponse de la part du secrétaire d’État du pape, qui a informé les évêques allemands qu’il n’y aurait pas de changement.

Cependant, c’est maintenant le préfet du Dicastère pour la foi qui confirme ce que le secrétaire d’État avait prévu, dans une interview accordée au journal allemand Die Tagespost. Il a également exclu une évaluation morale différente des actes homosexuels et la possibilité pour les femmes d’être ordonnées prêtres. Le préfet du dicastère pour la foi note que, bien que le pape ait autorisé la poursuite des travaux sur la relation entre les femmes et le sacrement de l’ordre, le souverain pontife lui-même a interdit toute discussion publique sur le sujet.

Dans une partie de l’interview, le cardinal Fernandez déclare : « Lorsque vous écoutez certaines des considérations exprimées dans le contexte du Chemin synodal allemand, il semble parfois qu’une partie du monde soit particulièrement « éclairée » pour comprendre ce que les autres pauvres ‘arriérés’ ne peuvent pas saisir parce qu’ils sont fermés ou moyenâgeux. Ensuite cette partie « éclairée » croit naïvement que, grâce à cela, toute l’Église universelle sera réformée et contrôlée. » Le préfet du Dicastère pour la doctrine de la foi ajoute « que dans une partie du monde, la crise causée par les abus sexuels ne peut être résolue à l’aide de décisions qui contredisent l’enseignement de l’Église universelle ». Il ajoute : « À mon avis, ce n’est ni possible ni même raisonnablement justifié ».

Abordant la question de la déclaration Fiducia supplicans permettant la bénédiction de couples de même sexe ou de divorcés remariés, le préfet rappelle que le pape « préserve l’enseignement que l’Église a développé et enrichi au cours des siècles à l’écoute de l’Évangile, mais sait aussi le mettre en dialogue avec l’Église pour en dégager des réalités concrètes ». Il précise aussi que souvent la vie très blessée des croyants est vécue non pas comme la vie d’un humain abstrait, mais comme la vie réelle de beaucoup d’hommes et de femmes dans des situations les plus diverses.

Traduit de l’espagnol par Zenit




Couples de même sexe : Fiducia supplicans « est devenue un sujet de controverse parce qu’elle est mal comprise »

Le cardinal Owald Gracias a déclaré que « la bénédiction pour tous fait partie de notre spiritualité. Le document du Vatican confirme une position qui devrait être évidente, il ne change pas la doctrine sur le mariage comme le prétendent ceux qui l’interprètent mal ». Le cardinal William Goh de Singapour a expliqué : « Nous faisons preuve de miséricorde, nous n’approuvons pas les unions entre personnes de même sexe car, sans vérité, l’amour est compromis. »

Le débat qui a lieu dans de nombreuses communautés catholiques à travers le monde à la suite de la déclaration Fiducia supplicans, publiée par le Dicastère pour la doctrine de la foi avec l’autorisation du pape François le 18 décembre, concerne également l’Asie. Le texte aborde la question de la bénédiction des couples en situation « irrégulière », y compris les couples homosexuels.

Le cardinal Oswald Gracias, archevêque de Mumbai, qui représente le continent au sein du Conseil des cardinaux, s’est exprimé sur cette question, appelant à distinguer l’accueil de tous – comme le rappelle le document du Vatican – et la doctrine sur le mariage. « Je pense que, pour un pays comme l’Inde, avec son pluralisme et sa richesse religieuse, ce qu’exprime la Fiducia supplicans est un constat naturel », a déclaré le cardinal Gracias à AsiaNews. « Les bénédictions font partie de notre spiritualité. En Inde, tout le monde demande des bénédictions. Il y a quelques jours, j’ai rencontré le Premier ministre Modi et il m’a demandé de prier. Je l’ai assuré de nos prières et de nos bénédictions. Notre mentalité indienne est inclusive, elle inclut les personnes d’autres religions ; tout le monde cherche Dieu, tout le monde cherche la vérité, tout le monde cherche la spiritualité. »

« Fiducia supplicans est devenue un sujet de controverse parce qu’elle est mal comprise », poursuit l’archevêque de Mumbai. « La doctrine de l’Église sur le mariage entre un homme et une femme n’a pas changé. La tradition de l’Église, le Magistère, est très claire et il n’y a pas de contradiction. C’est comme lorsqu’une personne s’apprête à partir en voyage, commence un voyage et veut une bénédiction pour demander à Dieu de l’accompagner. Tout le monde a droit à l’amour et à la compassion de Dieu. Il n’y a donc pas de discrimination. Et cela ne dépend pas de ce que dit le pape ou le dicastère pour la doctrine de la foi. »

En octobre 2018, le designer Wendell Rodricks, né à Mumbai, s’était adressé à l’archidiocèse de Mumbai pour demander une audience avec le cardinal Oswald Gracias. Il présentait une requête inhabituelle : qu’il bénisse son projet de mise en place d’une ligne d’assistance pour la communauté LGBTQ, leurs familles et leurs amis, et qu’il les rapproche de l’Église. « J’ai été ému aux larmes, a écrit plus tard M. Rodricks sur les médias sociaux, lorsque le cardinal Gracias m’a non seulement donné son entière approbation et son soutien, mais il a également accepté de conseiller à son clergé d’être plus compatissant envers la communauté LGBTQ. Je me suis senti béni, reconnaissant et immensément heureux. Dans la ville de Mumbai envahie par le smog, mon cœur était comme un arc-en-ciel dans le ciel. »

« Je l’ai déjà dit et je tiens à le répéter, a expliqué l’archevêque de Mumbai en réponse à une question sur ce fait, « ils font partie de notre famille, ils ont besoin de nos soins pastoraux. Je les reçois lorsqu’ils viennent me voir, parfois en privé, dans mon bureau. Jésus n’a refusé aucune bénédiction. C’est l’idée et ce n’est pas du tout un pas vers le mariage sacramentel. Je vous l’assure catégoriquement : c’est ainsi que je pensais avant et c’est ainsi que je pense après ce document. De plus, je me demande si un tel document était vraiment nécessaire : c’est une évidence. Une polémique est inutilement soulevée, je regrette que ce document ait été mal interprété. »

 

« La prochaine fois que je dialoguerai avec les fidèles sur la chaîne YouTube de l’archidiocèse de Mumbai – ajoute le cardinal Gracias à AsiaNews – ce sera certainement l’un des sujets que j’aborderai. Je répondrai aux questions et expliquerai en détail que Fiducia supplicans a été instrumentalisée, mal comprise et mal interprétée, en lui attribuant un sens plus large qu’elle ne devrait avoir ».

La distinction faite par le cardinal Gracias est importante à l’heure où de nombreux pays asiatiques débattent du statut juridique des unions entre personnes de même sexe. Ces derniers jours, par exemple, le parlement de Bangkok a donné son feu vert, à une large majorité, à un projet de loi qui ouvre la possibilité d’une loi sur le mariage homosexuel. Si le processus législatif est mené à son terme, la Thaïlande rejoindrait Taïwan et le Népal, qui disposent déjà de telles lois.

Des positions similaires à celles de l’archevêque de Mumbai avaient déjà été exprimées dans un communiqué officiel de la Conférence épiscopale des Philippines dans les heures qui ont suivi la publication du texte du Dicastère pour la doctrine de la foi : « Le document parle de lui-même et ne nécessite donc pas beaucoup d’explications », a écrit le président, Monseigneur Paul Virgilio David, qui a repris les passages les plus significatifs. En effet, au paragraphe 41, il est dit : « Ce qui est dit dans cette Déclaration à propos de la bénédiction des couples de même sexe est suffisant pour guider le discernement prudent et paternel des ministres ordonnés à cet égard. Par conséquent, au-delà des indications fournies ci-dessus, on ne doit pas attendre d’autres réponses sur d’éventuelles dispositions pour réglementer les détails ou les aspects pratiques quant à des bénédictions de cette sorte. »

Parallèlement, dans un document similaire adressé à son archidiocèse, avec un accent différent, le cardinal de Singapour William Goh déclare expressément que « nous ne bénissons pas les unions entre personnes de même sexe. Nous bénissons les couples en situation irrégulière, tels que les divorcés et les remariés, les personnes qui luttent pour être fidèles aux commandements de Dieu et celles qui ont avorté, tout comme nous bénissons les malades, les personnes âgées et ceux qui demandent des bénédictions spirituelles et temporelles. Nous ne bénissons pas les péchés de la personne, mais la personne, qui est toujours aimée de Dieu, même lorsqu’elle est pécheresse ».

« Cette déclaration, ajoute-t-il, plutôt que d’approuver la bénédiction des mariages irréguliers et des unions homosexuelles, établit des règles et des limites pour les prêtres sur la façon de bénir ces couples sans que d’autres ne confondent ces bénédictions avec l’approbation de ces unions par l’Église. Au contraire, cette déclaration est la manière dont l’Église manifeste sa miséricorde, son amour et sa compassion envers ceux qui se trouvent dans des situations difficiles et qui sont confrontés aux exigences de l’Évangile. C’est une façon de prier pour ces personnes, afin qu’elles apprennent que la vérité est amour, et que sans elle l’amour est compromis, et qu’il n’y aura de paix dans leur vie que lorsque l’amour et la vérité se rencontreront ».

« Nous remercions le Saint-Père d’avoir autorisé cette déclaration, conclut le cardinal Goh, afin que les ministres de l’Église n’agissent pas de manière à donner à d’autres l’impression erronée que l’Église approuve les unions entre personnes de même sexe. En même temps, cela montre la miséricorde et l’amour de l’Église pour tous les pécheurs, et que nous sommes tous des pécheurs cherchant à grandir dans l’authenticité et la perfection. »

Article initialement publié par AsiaNews




France : Enquête auprès des séminaristes français 

Les futurs prêtres sont préoccupés par la fidélité à l’Église et à sa doctrine, et redoutent les caricatures sur la foi et les querelles entre catholiques. Elle met aussi en évidence l’expérience que la grande majorité de ces séminaristes ont été enfants de chœur : 59 % pendant de nombreuses années et 15 % occasionnellement.

Une enquête réalisée par le quotidien La Croix auprès de 434 séminaristes français révèle ce que sera la prochaine génération de prêtres en France : ils se montrent confiants avec un grand désir d’évangéliser dans une société sécularisée.

Les réponses des séminaristes diocésains de 25 séminaires en France offrent une vision réaliste de ceux qui accompagneront les catholiques français dans les prochaines décennies.

Les commentateurs du quotidien La Croix évaluent les positions des jeunes séminaristes avec une certaine surprise, étant donné que la vision conservatrice prédomine, notamment lorsqu’ils affirment que les séminaristes viennent de familles qui assistent à la messe tous les dimanches, avec une majorité de 72 %, bien qu’ils négligent les 28 % qui n’y assistent pas, ce qui représente un peu plus d’un quart des jeunes qui ont ressenti la vocation dans des foyers non pratiquants.

Il en va de même pour la référence aux deux tiers des séminaristes, 62 %, pour qui les parents ont été déterminants dans leur itinéraire spirituel, tandis que 38 % ne soulignent pas ce trait.

L’enquête met également l’accent sur l’habillement : 73 % expriment l’intention de porter la soutane (48 % ont même l’intention de la porter régulièrement). Les prêtres d’aujourd’hui s’habillent en civil et seuls quelques-uns portent la chemise cléricale. Les nouvelles générations de prêtres montrent une attitude fière de l’identité sacerdotale et de sa manifestation visible en public.

Près de la moitié des séminaristes français qui ont répondu à l’enquête, soit 49 %, ont fréquenté une paroisse ou une communauté traditionaliste, bien que ces groupes ne soient pas majoritaires dans le pays. C’est le signe que les vocations sacerdotales augmentent dans les groupes les moins libéraux. Cependant, seuls 21 % de ce sous-groupe ont exprimé le désir de célébrer la messe dans le rite pré-Vatican II.

Une majorité significative des séminaristes interrogés ont été engagés dans le mouvement scout et les trois quarts d’entre eux ont participé à une Journée mondiale de la jeunesse. Les futurs prêtres sont préoccupés par la fidélité à l’Église et à sa doctrine, et redoutent les caricatures de la foi et les querelles entre catholiques.

L’étude met également en évidence le fait que la grande majorité de ces séminaristes ont été enfants de chœur : 59 % pendant de nombreuses années et 15 % occasionnellement. Il ressort clairement de ces données que la vocation sacerdotale se cultive dans un environnement religieux et liturgique.

Se pourrait-il que, alors que les paroisses se sont sécularisées et vidées de leur substance, le rôle des familles ou des églises domestiques soit le lieu idéal pour éduquer à la foi ? 61 % des séminaristes estiment que la meilleure façon de transmettre la foi est la famille.

83 % des séminaristes se sentent proches du pape François, souligne le journal La Croix. Par rapport à ce pourcentage, 39 % estiment que Benoît XVI est le pape qui les a le plus marqués. Le fait que 29 % des séminaristes soient favorables à la fin du célibat obligatoire doit être rapproché des 71 % qui le défendent.




Sécurité : Nouvel exploit de l’armée congolaise sur les miliciens Mai-Mai à Lwemba  

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc) ont neutralisé quatre miliciens Mai-Mai dans la localité de Lwemba, territoire de Mambasa, dans la province de l’Ituri.

Le fait a eu lieu ce mercredi 3 janvier 2024, lors d’un affrontement entre les Fardc et les miliciens Mai-Mai signalés dans cette partie.

Le capitaine Antony Mwalushayi, porte-parole de l’opération Sokola 1 Grand Nord qui confirme la nouvelle, renseigne qu’outre les miliciens neutralisé, trois également parmi eux ont été capturés au côté de plusieurs munitions de guerre récupérées.

Cet officier de l’armée loyaliste précise que grâce aux opérations, l’armée régulière a réussi à libérer trois civils qui étaient pris en otage dans les environs par ces supplétifs des terroristes ADF/MTM.

Pour le moment, la situation sécuritaire est relativement calme et les Fardc poursuivent avec les opérations de ratissage dans la zone qui était menacée par les terroristes ADF et d’autres groupes armés négatifs.

Alain Wayire/Beni




Réagissant à L’Avenir et lequotidienrdc.com, la Cellcom précise :  « Des politiciens candidats véreux en mal de positionnement veulent la tête de l’honorable Robert Seninga, l’un des meilleurs élus à Goma à la députation provinciale »

« Les masques de l’adversaire viennent de tomber, comment deux chalangeurs peuvent-ils se convenir pour bourrer les urnes ? »

Dans un article publié dans les médias en ligne : le Quotidien et l’Avenir tous deux paraissant à Kinshasa en date du 29 Décembre 2023 avec comme titre : « Bourrage d’urnes à Goma, deux opérateurs politiques pointés du doigt ».

De l’analyse de cet article, les lecteurs comprendront que l’auteur n’est qu’un candidat compétiteur, qui est en déperdition d’espoir, en mal de positionnement vu les scores écrasants réalisés dans chaque bureau de vote par le candidat précité ayant battu campagne pour le N°20 Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Après l’affichage des résultats par la CENI, devant les bureaux de vote, Habinshuti Seninga Robert a caracolé sur les listes avec plus des voix que ses chalangeurs, résultats de la forte mobilisation de milliers d’électeurs concentrés dans la partie Ouest de la Ville de Goma, originaires du Territoire de Masisi, son fief naturel ; la partie ouest de la ville de Goma où de nouveaux quartiers sont construits par la plupart des membres de coopératives minières artisanales, que l’honorable Habinshuti Seninga Robert encadre depuis plus de 20 ans dans le territoire de Masisi.

En effet, ce laboratoire de désespérés ayant la peur au ventre qui avait pour option la kalachnikov, bref la guerre, lancent leur dernier soupire pour ternir l’image du notable du Nord-Kivu qui vient de lire à suffisance, l’attachement, la reconnaissance de la population entière en vers lui, non seulement à Goma, mais aussi avec la fin de la guerre, en territoire de Masisi.

Bref, ce qui prouve sa popularité dans la circonscription de Goma aussi bien dans le territoire de Masisi et même ailleurs en Rdc.

Dans cet article raté, ils évoquent la poursuite des opérations au-delà du temps de vote, ce qui aurait pu être ce qu’il qualifie de bourrage systématique des urnes dans les sites Alleluya, Mikeno, Complexe scolaire la Joie, Nyabyunyu, Nyabushongo, Lac Vert, Nengapeta, Sayuni, et Byahi.

Tenez, le vaillant candidat, Habinshuti Seninga Robert a aligné les témoins à côté des autres témoins et observateurs des autres partis politiques et regroupements. La CENI « commission Electorale nationale indépendante » structure compétente qui a organisé ce vote et qui suivait la situation bureau par bureau, n’a jamais signalé, dans ses rapports, ces bourrages d’urnes dont ils font allusion, jusqu’au moment où les bureaux ont fermé leurs portes à la grande satisfaction des électeurs qui ont fait librement leurs choix pour les quatre Scrutins.

L’Honorable Habinshuti Seninga Robert a été voté massivement dans les 32 sites qui comprennent 113 centres de vote et cela est vérifiable dans les 610 bureaux de vote où il était parmi les quatre premiers pour la plupart des bureaux de vote comme l’ont démontré les affichages de résultats conformément à la décision de la CENI.

Au cours de la ronde effectuée par la société civile de Goma et la presse accréditée, les votes se sont déroulés dans un climat de paix sous la sécurisation de la Police Nationale Congolaise.

Le Vice-Gouverneur du Nord-Kivu dans sa communication à la presse à l’issue d’une tournée effectuée au sein des différents sites de vote pour inspecter le déroulement du processus à Goma a salué l’engouement des électeurs ; il a informé qu’aucun incident majeur n’a été enregistré, excepté quelques soucis logistiques.

Si dans le site de l’Institut Mikeno, deux hommes se sont affrontés selon l’auteur pour divergences d’opinion, en quoi est-ce, ce là constitue un argument de bourrage des urnes ? Plus loin, l’auteur de l’article se transforme en agent de sécurité pour renseigner qu’un agent de la CENI ait passé la nuit chez Habinshuti Seninga, pourquoi n’en-a-t-il pas informé les services de sécurité ?

Le rédacteur de l’article dit s’être inspiré d’un document parvenu à leur rédaction dont on ignore l’auteur et aucun deuxième son de cloche n’a été contacté pour respecter la règle, ce qui va à l’encontre des lois qui régissent la presse.

Chose à déplorer, cette source d’information qui a pris du temps à compter les résultats de Habinshutin Seninga Robert a oublié malheureusement de compter les résultats affichés pour les candidats lésés.

Le nombre de voix obtenus en ville de Goma par le candidat Habinshuti Seninga Robert démontrent la hauteur, le poids politique que cet élu affiche dans la ville de Goma en particulier et dans la Province du Nord-Kivu en général. Il n’est pas un parvenu, il a sa résidence officielle dans la Ville de Goma pendant plus d’une vingtaine d’années. Il s’investit dans le secteur socio-économique comme opérateur de renommé à travers la Coopérative des Exploitants Artisanaux Miniers de Masisi (COOPERAMMA), qui encadre des milliers de Creuseurs, des centaines de Négociants, les chauffeurs sans compter les familles dépendantes des activités minières résident à Goma.

Opérateur pétrolier, Eleveur et Agriculteur, Opérateur politique (Conseiller du Gouverneur de Province pendant 6 ans, deux fois élu Député provincial, Président de l’Assemblée provinciale élu par une majorité écrasante de 32 sur 48 élus du peuple, pacificateur…) ; il est une figure emblématique au Nord-Kivu.

Les commanditaires de cet article craignent qu’aussitôt la guerre de MASISI et Rusthuru terminée, comme le veut le Chef de l’Etat Felix Antoine Tshisekedi, le notable Habinshuti Seninga Président de l’Assemblée Provinciale du Nord Kivu a encore la possibilité, de se faire réélire massivement dans le Masisi verdoyant, la loi l’autorise.

Chose étonnante, les donneurs de leçon à la CENI tombent trop bas en exprimant leur jalousie et haine contre la fortune de Habinshuti Seninga et son parcours politique qu’ils maitrisent très mal ; Habinshuti Seninga membre de la communauté HUTU, reste très déterminé en toute loyauté à accompagner le Chef de l’Etat pour en découdre avec les M23 et ses alliés ; il a battu campagne, soleil levant, camera à l’appui pour le candidat n°20, Félix Antoine Tshisekedi.

L’honorable Habinshuti Seninga Robert n’a jamais entretenu des relations avec le Rwanda, il est le premier Muzalendu du Nord-Kivu depuis l’AFDL à nos jours. Il a toujours travaillé au côté du Gouvernement congolais prenant en témoins les officiers supérieurs et généraux des FARDC qui ont bénéficié de sa collaboration patriotique lors de leur prestation au Nord-Kivu en vue de barrer la route aux ennemis de la RDC.

Dans sa conclusion, le candidat certes malheureux, recommande l’annulation des voix, se substituant à la CENI et aux cours et tribunaux, les quelles instances habilitées pour cet effet.

En conclusion, la cellule de communication de l’Honorable Habinshuti Seninga Robert met en garde et se réserve le droit de traduire en justice l’auteur de cet article qui est déstabilisé par la victoire écrasante de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à la magistrature suprême, pour qui l’Honorable Habinshuti Seninga Robert a mouillé la chemise blanche porteuse du N°20.

Nous exhortons à ce candidat qui a perdu la cible de préparer son médecin psychiatre car la publication de trois autres scrutins par la CENI est pour bientôt.

L’Honorable Habinshuti Seninga Robert n’est pas loin de la victoire, le peuple a tranché à travers les urnes.

 

             Fait à Goma, le 03 Janvier 2024

Cellule de Communication de l’Honorable HABINSHUTI SENINGA Robert




Déclaration des candidats députés nationaux et provinciaux de la DYPRO/Kasaï-Central

Nous candidats députés nationaux et provinciaux de la Dynamique Progressiste et Révolutionnaire, DYPRO, au Kasaï-Central exprimons notre grande satisfaction à la suite du résultat réalisé par notre candidat ,Constant Mutamba Tungunga,à la présidentielle du 20 décembre 2023. 6 ie sur 26 candidats, Constant Mutamba est en fait le premier candidat à s’inscrire dans la logique de la rupture avec les anti valeurs qui ont longtemps minées notre pays.

La détermination de notre candidat à battre campagne sur l’ensemble du pays malgré les diverses difficultés, son engagement à promouvoir les valeurs républicaines ainsi que son fair-play politique à toute épreuve ont inspiré beaucoup de jeunes congolais pour lesquels il incarne désormais les rêves.

Constant Mutamba a été également un modèle pour nous candidats DYPRO Kasaï-Central, voilà pourquoi nous avons affronté sans complexe aucun, les candidats alignés par les regroupements cincurrents et avons bon espoir de siéger aux seins des prochaines chambres législatives afin que triomphe une nouvelle façon de faire la politique.

 

Nous candidats DYPRO à la députation nationale et provinciale au Kasaï-Central félicitons la Commission Nationale Électorale Indépendante, CENI, pour avoir organisé les élections dans le délai constitutionnel malgré les multiples défis auxquels elle a fait face.

Ces élections consolident la démocratie dans notre pays en ce sens que plus personne ne peut espérer accéder au pouvoir au Congo Démocratique sans passer par la voie des urnes.

Aussi , au nom de la DYPRO Kasaï-Central et sur les pas de notre leader Constant Mutamba, nous présentons nos vives félicitations à Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour sa réélection comme président de la République et lui souhaitons un fructueux deuxième mandat.

 

Que vive la Dypro

Que vive la Démocratie

Que vive la RDC

Joyeux Noël et Bonne Année 2024




Football: Clôture ce mercredi 3 janvier de la 4è journée du championnat de l’EPFKIN saison 2023-2024

La 4ème journée du championnat de l’Entente Provinciale de Football de Kinshasa ‘’EPFKIN’’ Groupe A et B pour la saison sportive 2023-2024 s’est clôturée ce mercredi 3 janvier 20234avec le bilan ci-après :

4è journée Lundi 1/01/2024

Stade Tata Raphaël

Jupiter vs Limete : 0-4

Lumière vs Nouvelle Vie : 2-1

AS Mbudi vs Liwanda : 2-1

Aigle Royal vs Standard : 3-2

Terrain Unikin

Bol’s vs Kito : 1-4

Fonak vs RC Bumbu : 0-1

RC Matete vs Ajax : 3-0

St Christian vs Forum : 2-0

Terrain Kurara

Monzo vs Kayolo : 0-1

Mardi 2/01/2023

Stade Tata Raphaël

AC Normands vs AC Ujana : 1-0

RC Impact vs AC Kratos : 0-0

FC Pharmagros vs TP Les Anges : 1-1

TP Les Croyants vs OC Les Elites : 1-1

Terrain Unikin

OCD vs FC Robi : 0-0

Céleste AFS vs AC Ndanu City : 1-1

ICK vs RC Promesse De Dieu : 0-1

AS PJSK vs FC Mweka : 1-2. La veille, ce match était arrêté pendant la mi-temps suite à l’impraticabilité du terrain. PJSK menait 1-0. Les deux équipes devaient se retrouver ce mercredi pour la 2è mi-temps. Et c’est Mweka qui gagne 2-1.

Terrain Kurara

Don Bosco vs St Etienne : 2-0

La 5è journée se jouera le jeudi 4 janvier 2024, le vendredi 5 janvier et le samedi 6 janvier 2024.

Antoine Bolia




Nzango Moderne: Olga Waka (capitaine d’Umoja) et son équipe souhaitent meilleurs vœux 2024 à toutes les mamans de Nzango

Jolie dame au teint d’ébène, Olga Waka Mbemba est la capitaine de l’équipe de Nzango Moderne Umoja du quartier Salongo, commune de Limete. Ce club créé depuis 2009. Elle regorge plus ou moins 48 athlètes joueuses dont la plus vieille maman Mvunduawe âgée de 73 ans, Mikala Françoise âgée de 72 ans, Maman Monique Kajibi âgée de 70 ans et maman Matondo Sisca. Le reste de joueuse sont moins âgées. La plus petite de l’équipe n’est autre que la capitaine Olga Waka Mbemba.

A ce jour, l’équipe de Nzango Moderne Umoja compte 8 trophées gagnés depuis la création du club présidé par maman Fatuma Djuma. Le dernier titre d’Umoja remonte au mois de décembre dernier lorsque ce club avait battu l’équipe de Kuya lors du tournoi de l’amitié organisé par mama Agnès Ghandi Gonda GG.

Antoine Bolia




Judo: Me Nico Lianza souhaite meilleurs vœux à tous les judokas

Au seuil de la nouvelle année 2024, Me Nicolas Lianza Likwale, Coordonnateur National des Activités de Judo en RDC ‘’CONAJU’’ pense à la grande famille du judo congolais.

En effet, Me Nicolas Lianza souhaite une très belle année 2024 à tous les judokas. Pour ceux qui l’ignorent, le cordon Nicolas Lianza et ses collègues de la Conaju ont abattu un grand travail tout au long de leur mandat qui touche bientôt à sa fin avec l’organisation des élections au niveau de la Fédération Nationale Congolaise de Judo ‘’Fénacoju’’.

Le moins que l’on puisse dire est que la Conaju a réussi avec brio les missions lui confiées par le ministère des sports et Loisirs à la satisfaction de l’Union Africaine de Judo ‘’U.A.J’’ et la Fédération Internationale de Judo ‘’F.I.J’’. Le judo congolais a été remis sur le rail, s’est de nouveau ouvert au reste du monde, il y a eu formation des cadres à tous les niveaux et au finish, les judokas congolais ont brillé de mille feux dans les compétitions internationales auxquelles ils ont pris part.

Que des médailles glanées par les judokas congolais à travers le monde. Mais dommage que cela s’est fait dans la majeure partie de cas sans l’accompagnement du gouvernement congolais. Au finish, deux judokas congolais vont défendre les couleurs du pays aux Jeux Olympiques Paris 2024. Il s’agit de Daso Kisoka et Chancelle Sona.

Antoin

e Bolia




Élections : Théodore Ngoy dribble l’opposition et dépose une requête en annulation de l’élection présidentielle du 20 décembre 2023 à la Cour constitutionnelle

Le candidat malheureux à l’élection présidentielle du 20 décembre, Théodore Ngoy, a, contre toute attente, déposé le mercredi 03 Janvier 2024 une requête en annulation des résultats provisoires de cette élection à la Cour constitutionnelle.

Cependant, les principaux opposants au scrutin avaient, à travers une déclaration commune le 1er Janvier 2024, refusé de se joindre à cette démarche.

 

Signalons que Théodore Ngoy a postulé pour la 4ème fois successive à la présidentielle sans pour autant dépasser la barre de 1% de suffrages obtenus. Pour le scrutin présidentiel de 2023, le candidat Théodore Ngoy occupe la 17ème position avec 0,02% à en croire les résultats provisoires publiés par la CENI.

 

Derick Katola