La CAF conclut de vastes accords de diffusion TV avant le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations Côte d’Ivoire 2023

La Confédération Africaine de Football (“CAF”) a annoncé la conclusion d’accords de diffusion globale avec des détenteurs de droits de télédiffusion d’Afrique, d’Europe, d’Asie, d’Amérique du Sud, d’Amérique du Nord et des Caraïbes avant le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023.

Le coup d’envoi du tournoi sera donné à Abidjan le samedi 13 janvier 2024.

Les partenaires télévisuels mondiaux sont Sky (Royaume-Uni), BBC (Royaume-Uni), LaLiga+ (Espagne), SportItalia (Italie), Sport Digital (Allemagne et Suisse), SportTV (Portugal), Viaplay (pays nordiques) et Band TV (Brésil).

beIN Sport, CANAL+, New World TV et environ 45 diffuseurs Free To Air ont également conclu des accords de partenariat avec la CAF, ce qui permettra à la CAN TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023 d’être diffusée dans environ 180 pays.

La CAF a reçu environ 6000 demandes d’accréditation pour la CAN TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023, ce qui représente une augmentation de plus de 100% par rapport à la précédente CAN qui s’est déroulée au Cameroun en 2022.

L’augmentation significative de l’investissement financier par les détenteurs de droits de télédiffusion d’Afrique, d’Europe, d’Asie, d’Amérique du Sud, d’Amérique du Nord et des Caraïbes se traduira par une augmentation substantielle de l’audience mondiale de la CAN TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023.

Les revenus de diffusion de la CAF augmenteront également de manière significative, ce qui contribuera au développement et à la croissance du football en Afrique.

La CAN CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023 devrait être la plus compétitive, car toutes les nations africaines de football les plus importantes et les plus performantes s’affronteront en Côte d’Ivoire pour la prestigieuse CAN.

Le football du continent africain est entré dans l’histoire lors de la Coupe du Monde de la FIFA, Qatar 2022, lorsque le Maroc s’est qualifié pour les demi-finales et les équipes nationales africaines devraient continuer à atteindre de nouveaux sommets lors des futures compétitions de la Coupe du Monde.

Le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, a déclaré : “Le football africain et la CAN CAF TotalEnergies sont reconnus comme étant parmi les plus compétitifs et les plus passionnants du football mondial. Nous sommes ravis des accords de diffusion globale conclus par la CAF avec les détenteurs de droits de diffusion télévisuelle. D’énormes investissements sont réalisés dans le football des jeunes, y compris le football scolaire, les ligues professionnelles, la formation des entraîneurs et des arbitres, ainsi que la construction et la modernisation des infrastructures de football en Afrique. Cela contribue énormément à la qualité du football africain, qui devient compétitif au niveau mondial et n’a rien à envier aux meilleures équipes du monde. La CAF s’engage à travailler ensemble et à aider les médias pendant la CAN TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023 et lors de toutes les compétitions et événements futurs de la CAF.’’

Les accords globaux de télédiffusion que la CAF a conclus comprennent :

1. SKY (ROYAUME-UNI)

2. BBC (UK)

3. BBC Radio (Afrique)

4. Band TV (Brésil)

5. La Liga+ (Espagne)

6. Ziggo (Pays-Bas)

7. Viaplay (pays nordiques)

8. Sport Digital (Allemagne et Suisse)

9. Sport Klub (Bosnie-Herzégovine, Croatie, Monténégro, Macédoine du Nord, Serbie, Slovénie)

10. SportItalia (Italie)

11. SportTV (Portugal)

12. Fancode (Inde)

13. Saran (Turquie)

14. Sport 5 (Israël)

15. A1 (Bulgarie)

16. Art Motion (Kosovo)

17. JOYN PLUS 24 (Autriche)

18. Megogo (Ukraine, Pologne et Kazakhstan)

19. RFi (France)

20. RMC radio (France)

21. Silknet (Géorgie)




La CAF et le COCAN inaugurent le “Centre Principal des Médias” à Abidjan pour améliorer le service des médias à la CAN Côte d’Ivoire 2023

La Confédération Africaine de Football (CAF) et le Comité d’Organisation de la Coupe d’Afrique des nations de football Côte d’Ivoire 2023 (COCAN) inaugurent le concept de Centre Principal des Médias (MMC) à Abidjan en tant que centre principal des services médiatiques pendant la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies, Côte d’Ivoire 2023.

Le Centre Principal des Médias sera situé au Palais de la Culture de Treichville à Abidjan. Il ouvrira officiellement ses portes le mercredi 10 janvier 2024, trois jours avant le match d’ouverture de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies, Côte d’Ivoire 2023.

La MMC, qui est introduite à la CAN CAF TotalEnergies pour la première fois en 67 ans d’histoire, est stratégiquement située au cœur d’Abidjan et conçue pour fournir aux médias, y compris les photographes et les radiodiffuseurs, un environnement de travail unique.

Toutes les conférences de presse d’avant-match (Jours de match -1) pour les deux matches au stade Alassane Ouattara (Ebimpe) et au stade Félix Houphouët-Boigny se tiendront au Centre Principal des Médias.

Cela comprendra tous les événements médiatiques et les conférences de presse qui n’ont pas lieu le jour du match. Les médias à Abidjan pourront également suivre quotidiennement les conférences de presse des autres sites au Centre Principal des Médias.

C’est une autre façon pour la CAF et le COCAN de faciliter le travail de plus de 3 000 médias qui ont été accrédités pour la compétition. Le Centre Principal des Médias peut accueillir plus de 500 médias et dispose d’une salle de conférence de presse.

Le secrétaire général de la CAF, Veron Mosengo-Omba, a déclaré : “Les médias jouent un rôle important dans la réussite de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies. Il est important pour la CAF de mettre en place les meilleures conditions possibles pour que les médias puissent faire leur travail. Le Centre Principal des Médias centralisera les événements et les services des médias. Cela signifie que les médias n’auront pas besoin de se déplacer entre les deux sites pour les conférences de presse d’avant-match”.

Heures d’ouverture : 10h00 – 23h30 tous les jours

Principales caractéristiques de la MMC :

Approche centralisée : La MMC représente une approche centralisée de la couverture médiatique, réunissant journalistes, diffuseurs et photographes dans un espace dédié.

Section réservée aux photographes : Un espace dédié avec deux rangées exclusivement pour les photographes, reconnaissant le rôle crucial de la narration visuelle dans le journalisme sportif.

Espace agences : Un espace exclusif réservé aux médias d’agences.

Médias Café : un espace de restauration réservé aux professionnels des médias pour leur assurer un environnement de travail confortable.

Conférences de presse : Toutes les conférences de presse des équipes des premiers matchs, ainsi que les autres conférences de presse de la CAF et les briefings des médias, auront lieu à la MMC.

Centre de diffusion : La MMC sert de plaque tournante pour la diffusion, avec des flux en direct de tous les matches livrés à l’installation. Même les médias non approuvés pour les retransmissions de matches peuvent regarder les matches à la MMC.




Un sondage ‘Les Points’ qui démolit davantage l’Udps !

La presse parue le lundi 8 janvier 2023 a reproduit un sondage de l’Institut ” Les Points ” présentant dans le ” Top 3 des personnalités ayant bataillé pour la réélection de Tshisekedi ” respectivement Jean-Pierre Bemba pour 68 %, Vital Kamerhe pour 65 % et Miguel Kashal pour 64 %. La singularité du classement est que Bemba et Kamerhe ont des partis politiques ayant pignon sur rue, et encore sur toute l’étendue du territoire national (d’ailleurs ils y sont présentés comme tels), tandis que Miguel, lui, n’a pas de formation politique. Normalement, il était non partant.

Et pour cause !

Voici, en effet, son profil tel que fait dans ce sondage :

“3) Le DG de l’ARSP Miguel Kashal occupe la troisième place de notre sondage avec 64% d’opinions favorables. Le numéro 1 de la sous-traitance a travaillé tout au long du dernier trimestre de l’année 2023 sur la mobilisation des jeunes en général et des entrepreneurs en particulier autour de la politique gouvernementale dans le domaine de la sous-traitance en partant de Kinshasa la capitale où il a sensibilisé les entrepreneurs des secteurs des nouvelles technologies, du domaine brassicole, de l’aviation civile et du secteur de la construction.

“Ce travail immense s’est poursuivi jusque dans les provinces avec comme objectif principal l’émergence de la vraie classe moyenne congolaise. Ceci lui a valu une adhésion de la population congolaise à son action, une population qui voit en lui une personnalité clé dans l’entourage du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi et dont le rôle a été déterminant dans sa réélection le 20 décembre dernier.

“La vulgarisation des textes réglementaires sur la sous-traitance effectuée dans les entreprises de la capitale s’est poursuivie également jusqu’à l’Université de Kinshasa où une grande matinée scientifique a été organisée pour promouvoir la culture de l’entrepreneuriat. Une vulgarisation de la Loi sur la sous-traitance suivie d’un appui aux entrepreneurs.

“A Goma au Nord-Kivu, dans le cadre de la vulgarisation de la Loi sur la sous-traitance, le DG de l’ARSP Miguel Kashal a tenu tout un meeting populaire en marge de l’inauguration du bureau de cet établissement public avec comme message la vision du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi dans le domaine de l’entrepreneuriat, message qui a recueilli une large adhésion populaire.

“Outre ce meeting, le DG de l’ARSP a également animé une matinée scientifique à l’Université de Goma où il a exhorté les étudiants à acquérir des connaissances pour devenir des créateurs d’emplois. Tout comme à Kikwit dans la province du Kwilu, la vulgarisation de la Loi portant règles applicables à la sous-traitance et ses mesures d’application, a également eu lieu dans la province du Kasaï-Oriental, précisément à Mbuji-Mayi. Si, à Kikwit, la sensibilisation des entrepreneurs a été suivie de la visite des entrepreneurs dont ceux du secteur de la panification auxquels l’ARSP a promis un accompagnement afin d’augmenter la production et acquérir des marchés de livraison, à Mbuji-Mayi, le DG de l’ARSP est allé encourager les entrepreneurs congolais qui travaillent dans le domaine des infrastructures dont certains grâce au partenariat public-privé ont effectué la construction de l’hôpital de la Muya, une infrastructure démontrant l’expertise congolaise de pointe.

“Ces actions de proximité ont permis à la population de croire en la volonté du président de changer le quotidien des entrepreneurs congolais et de leurs travailleurs. Une vulgarisation de la Loi sur la sous-traitance qui ouvre la porte à la mise en œuvre de plusieurs réformes.

“Convaincre la jeunesse à apporter un soutien au chef de l’Etat pour sa réélection a été l’action qui a mis le DG de l’ARSP au-devant de la scène politique durant la campagne électorale notamment à Kasumbalesa (au Stade SODIMICO) et au terrain Mutoshi à Kolwezi.

“L’objectif de ces journées de vulgarisation à grande échelle de la Loi sur la sous-traitance a été essentiellement de baliser le chemin pour le Chef de l’Etat afin d’assurer la mise en œuvre des réformes en matière de sous-traitance au cours du second mandat. Si au cours du premier mandat du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi, des bases solides ont été jetées pour notamment restaurer l’ARSP dans son rôle de garant des marchés dans le secteur privé et d’arbitrage des conflits nés de l’exécution des contrats de la sous-traitance, de contrôle dans les différents secteurs de l’économie nationale et surtout dans le secteur minier du grand Katanga, le second mandat sera consacré à la consolidation des réformes déjà entamées dont l’affirmation du rôle des entrepreneurs congolais dans l’exécution des marchés conclus avec les entreprises principales

“C’est le message principal donné par le DG de l’ARSP Miguel Kashal à travers toutes les villes où il est passé et qui a séduit la population congolaise venue dans les meetings et qui a décidé de donner le deuxième mandat au Chef de l’Etat Félix Tshisekedi, lui renouvelant ainsi la confiance”.

Retenons ce timing : tout au long du dernier trimestre de l’année 2023. C’est-à-dire octobre, novembre, décembre.

A voir l’espace presque au quadruple consacré à Miguel Kashal par rapport aux 5 premières personnalités citées dont, en ajout, Augustin Kabuya, quatrième avec 58 % et Pius Muabilu, cinquième avec 54 %, tout indique qu’il s’agit d’un publi-message par lequel l’intéressé entend se convaincre Félix Tshisekedi de le garder une fois confirmé par la Cour constitutionnelle vainqueur de la présidentielle du 20 au 26 décembre 2023. Chose d’ailleurs faite depuis ce mardi 9 janvier 2024.

Seulement voilà : “à malin, malin et demi”, dit-on.

En effet, le sondage prouve qu’en novembre et décembre 2023, Miguel Kashal a fait la campagne électorale avec les moyens de l’Etat. Car l’ARSP (Agence de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé) est un “*établissement public à caractère administratif doté de la personnalité juridique et placé sous la tutelle du Ministère ayant les Petites et Moyennes Entreprises dans ses attributions”. C’est à l’article 1 du décret n°18/019 du 24 mai 2018 du Premier ministre.

Au même titre que les autres mandataires publics non candidats à un quelconque scrutin, Miguel Kashal savait qu’il est interdit d’interférer dans une question électorale.

D’ailleurs, l’article 36 de la loi électorale – dont la Ceni a pleinement connaissance – interdit l’utilisation des moyens de l’Etat dans une campagne électorale.

Normalement, avec la preuve apportée par ce sondage, la Ceni doit saisir les Cours et Tribunaux pour le cas du Dg de l’ARSP.

En définitive, s’il est une leçon à tirer du sondage effectué par l’Institut Les Points, c’est bien celui de la minimisation de l’apport de l’Udps, pourtant parti présidentiel (4ème place), et de la banalisation de l’apport des autres forces politiques et sociales de l’Union sacrée ayant concouru toutes en faveur du candidat n°20 ! Ce qui a pour effet de fragiliser la plate-forme. Car, les positions occupées par exemple par Modeste Bahati, Mbusa Nyamwisi, Dany Banza, Jean-Michel Sama Lukonde, Laurent Batumona, Christophe Mboso, Samy Badibanga et autres Patrick Muyaya ne sont pas de nature à les amener, demain, à exercer de hautes fonctions dans les Institutions de la République toutes catégories confondues. Si bien qu’on est en droit de se demander quelles ont été les intentions réelles des initiateurs et, certainement, des ” financiers ” de ce sondage, si ce n’est que de faire valoir la citation attribuée à John Fitzgerald Kennedy selon lequel “La victoire a cent pères, mais la défaite est orpheline”

Le moins qu’on puisse dire est que, pour ce sondage, l’Udps voit son leadership récupéré par le Mlc et l’Unc, et son aura gravement entamée.

Comme un malheur ne vient jamais seul, le parti présidentiel est déjà “traqué” en quelque sorte par la Céni qui le classe parmi les formations politiques dont certains membres sont impliqués dans la détention illégale des DEV, c’est-à-dire le bourrage des urnes !

Reste maintenant à savoir comment va-t-il sortir la tête de l’eau.

Et comme par le fait du hasard, c’est le moment que choisissent paradoxalement les Udepesiens pour encenser Denis Kadima, pourtant organisateur d’un processus électoral dont leur parti est la victime principale en termes des dommages latéraux et collatéraux subis.

Se peut-il qu’à leurs yeux, la victoire de Félix Tshisekedi suffit ; la défaite, pardon le sort des autres cadres importe peu !

Se peut-il aussi que l’objectif du sondage soit l’amorce de la reconfiguration de l’Udps…

 

Omer Nsongo die Lema




Plus de 200 étudiants reçus en 2023 pour le stage professionnel à TFM

En appui à l’éducation de la jeunesse locale, TFM a mis en œuvre un programme solide d’initiation professionnelle en faveur des élèves et étudiants des institutions scolaires et universitaires de la RDC. Pour l’année écoulée, l’entreprise a accueilli un total de 221 stagiaires réparties dans ses différents départements et sections.

Avant leur affectation dans les départements hôtes selon les filières d’études suivies, les étudiants sont soumis à une mise en situation préalable. À leur arrivée, ils passent par l’orientation professionnelle conduite par le département de formation. Cette orientation consiste en l’information et la formation de tout nouvel arrivant sur le site sur les règles et procédures de l’entreprise telles que les règles de tolérance zéro, la sécurité au travail, les équipements de protection individuelle, le règlement du camp de résidence, etc.

C’est après cette étape d’orientation que les étudiants sont affectés dans leurs départements d’accueil. Pendant toute la période d’immersion, ils sont soumis à un rythme réel de travail, comme de vrais travailleurs, avec des tâches qui comptent pour leurs départements respectifs.

Au bout de chaque session de stage, un dîner d’aurevoir est offert en leur honneur. À la mi-décembre a eu lieu la cérémonie marquant la fin de la dernière session annuelle de stage, celle d’octobre-décembre. Pour cette session, 81 étudiants, dont 78 issus des institutions nationales et 3 de l’étranger, ont passé deux mois sur le site de l’entreprise, totalement versés dans le milieu professionnel.

La cérémonie a connu la participation des autorités de l’entreprise en lien avec le programme de stage, notamment le DRH, les managers, les encadreurs et les responsables de départements.

Les témoignages récoltés alors auprès des stagiaires montrent combien leur passage à TFM est une valeur ajoutée dans leur vie, et beaucoup ont exprimé leur souhait de revenir à TFM, cette fois comme travailleur.

Le représentant des étudiants stagiaires de cette session a affirmé que « cette formation pratique les rendra plus compétitifs sur le marché de l’emploi, surtout avec les nouvelles compétences acquises et le nouveau réseau de connaissances tissé ». Et à travers le responsable des Ressources humaines, les responsables de départements, les formateurs et les encadreurs de stage, il a remercié TFM pour la formation pratique reçue.

En unisson avec la coordonnatrice de stage, madame Henriette Elele, qui a souligné l’importance du stage en entreprise pour les étudiants, le chargé de la formation, monsieur Didi Kalombo, a déclaré qu’il croyait en la jeunesse estudiantine congolaise et en sa capacité d’influencer positivement son environnement.

Pour sa part, le DRH, monsieur Ivan Kalonda, a dit qu’il était « impressionné par l’évolution du programme de stage et a été dans la joie d’entendre que beaucoup de stagiaires aimeraient retourner à TFM comme travailleurs ». Il a également remercié les départements hôtes qui ont permis aux étudiants d’accéder à la technologie de pointe que possède TFM.

« L’éducation est l’arme la plus efficace pour changer le monde, a-t-il insisté, et nous sommes fiers de donner à notre jeunesse cette opportunité de stage professionnel ».

TFM investit massivement dans l’éducation de la jeunesse. Outre le stage des étudiants des universités, TFM organise également le stage pour les élèves bénéficiaires de la bourse de Mutoshi qu’il finance depuis 2010 et aussi en faveur des élèves des écoles techniques de la concession. L’entreprise a construit et réhabilité plusieurs dizaines d’écoles dans la concession. Il prévoit aussi dans son cahier des charges 2021-2025 de construire dans la concession plusieurs autres écoles, dont un complexe scolaire technique et une université pour donner les formations techniques indispensables pour l’industrie minière et d’autres secteurs économiques du pays.




Circulation routière dans la ville portuaire pareille à Kinshasa: Confrontée à la fréquence des embouteillages, Matadi suffoque

Depuis un temps, la ville de Matadi connait un sérieux problème dans le secteur de la circulation routière. A propos, des témoignages rapportent que les embouteillages sont devenus monnaie courante. Il s’avère que voyager pour le Kongo Central relève, dès lors, d’un véritable parcours de combattant, de Kinshasa à Matadi et vice-versa. Au lieu de mettre six heures de route, les voyageurs atteignent 15 heures, voire plus que cela. Un décalage qui doit sa cause aux embouteillages monstres. La plupart des artères principales de la ville fait face à des bouchons pendant des heures.

A l’exemple du pont Mpozo, en allant vers le pont Maréchal en passant par la grande route Kinkanda, cette route reste souvent bloqué, il faut faire des heures pour passer des camions remorques stationnent dans tous les coins. Et cette situation perturbé la bonne circulation de la population.

Les piétons préfèrent faire le pied pour arriver à leurs destinations, a la place de faire des heures dans les taxis.

Maints voyageurs habitués de la ville préfèrent, quelquefois descendre du bus, afin d’emprunter une moto pouvant les acheminer à la maison.

Ceux, par contre des voyageurs qui atterrissent pour la première fois, attendre jusqu’à ce que la situation soit décantée est l’unique façon de procéder.

 

Selon les usagers de cette route, les embouteillages sont causés par la circulation en nombre, des véhicules poids lourds. Ceux-ci multiplient de mouvements dans la ville de Matadi, à un rythme quotidien pour ravitailler Kinshasa. Alors que le gouvernement avait interdit l’entrée de ces véhicules avant 22 heure, cette mesure à ce jour non suivie, contribue maintenir la circulation compacte. Cela étant, circuler d’un coin à l’autre de Matadi devient épreuve à surmonter, mieux, un sacrifice.

” C’est ma première fois d’être à Matadi, nous avons quitté Kinshasa à 7 heures du matin et sommes arrivés à 23 heures. Nous avons passé plus de 3 heures sur le pont Mpozo, les véhicules ne bougeaient pas, un véritable bouchons’’, a expliqué un voyageur qui a pris cette route récemment.

” Je fais souvent cette route, je vous dis tu peux faire toute une journée du pont Mpozo au pont Maréchal, c’est fatigant “, a confié le surnommé Zico rencontré sur le rond-point Coca-Cola.

” Traverser la ville de Matadi est devenu un calvaire, je suis surprise des embouteillages vécue sur la route. En 2009, j’ai effectué le voyage de Kinshasa – Matadi. Nous avons fait 7 heures de route mais aujourd’hui c’est plus de 15 heures étonnant “, a témoigné la prénommée Béatrice.

” Nous allons à Muanda. Vu la durée du voyage pour arriver jusqu’ici, nous avons préféré descendre à Matadi, pour nous reposer avant de continuer la route”, a confié le prénommé Marcel.

La population espère qu’une solution durable sera trouvée, pour résorber cette situation qui dérange la ville portuaire de Matadi.

Éthique Tebasombe




Après la campagne d’Education civique et électorale dans les communes péri-urbaines de Kinshasa: L’ACVDP finalise le rapport détaillé des forums communautaires

Le rapport détaillé des forums communautaires est disponible depuis la semaine dernière, c’est ce qu’a indiqué à la presse le président de l’ONGDH Action contre les violations des droits des personnes vulnérables, ’’ACVDP’’, Crispin Kobolongo Kongunde. C’était avec le concours de l’équipe de reportage constituée d’Alexis Emba et de Samuel, sous l’intitulé : ‘’RAPPORT DETAILLE DES FORUMS COMMUNAUTAIRES D’EDUCATION CIVIQUE ET ELECTORALE DANS LES COMMUNES PERI-URBAINES DE LA VILLE PROVINCE DE KINSHASA : DU 18 DECEMBRE 2023 AU 02 JANVIER 2024’’.

Pour rappel, quarante (40) animateurs communautaires ont été formés dans la perspective de l’éducation civique et électorale, pendant trois jours, soit du 12 au 14 décembre 2023. La formation a eu lieu à Kinshasa, avec l’appui de l’ONG américaine Institut international des républicains (IRI). En animateurs communautaires outillés (hommes et femmes), ils ont été à l’œuvre, en vue de ‘’déblayer le terrain‘’. ‘’Il s’agit surtout de sensibiliser la population à voter utile ses dirigeants pour les cinq années à venir’’, a dit le formateur aux participants.

Il leur a été rappelé que la formation visait la mise en œuvre du projet d’éducation civique et électorale des personnes vulnérables des communes périurbaines de la ville province de Kinshasa.

L’objectif poursuivi : renforcer leurs capacités. ‘’Sensibiliser la population à voter utile ses dirigeants pour les cinq années à venir. ‘’Les participants devaient être outillés sur les questions électorales. Le projet visant huit communes de la ville province de Kinshasa, à savoir: Bumbu, Kimbanseke, Kisenso, Limite, Makala, Maluku, N’Sele, Selembao’’.

 

La formation a été assurée par Me Rodrigue Chubaka, directeur général du Bureau d’expertise électorale, genre et gouvernance locale (BEGL-RDC). Il a abordé les droits et devoirs des citoyens, insistant sur l’importance des élections et le cadre légal régissant le processus électoral. “Nous avons montré que l’épicentre de la matière est l’article 5 de la Constitution qui reconnaît au peuple congolais sa souveraineté dans le choix des dirigeants”, a-t-il indiqué.

Le forum communautaire d’éducation civique et électorale devrait également être lancé à travers les communes précitées. Le 1er forum a débuté vendredi 15 décembre dans la commune de Kimbanseke, ciblant les femmes maraîchères locales. (Lire L’Avenir du jeudi 21 décembre 23).

Après la formation, le déploiement sur le terrain

Les animateurs communautaires déployés à l’issue de la formation, ont fait œuvre utile en sensibilisant la population à participer au vote. C’est à cela qu’ils ont été appelés. Issus des organisations de la société civile de Kinshasa, ils ont pris le ferme engagement de sensibiliser la population conformément à la visée de la formation.

Ils ont réaffirmé leur détermination à mener campagne sur l’éducation civique et électorale, dès la clôture l’atelier de formation.

Le président national de “ACVDP” se félicitant des résultats obtenus à la fin des assises, n’a pas tari d’éloges à l’endroit de toutes les structures ayant mis la main à la pâte.

Quid du rapport détaillé

Au cours de la période de référence, l’ACVDP, en partenariat avec IRI et le soutien financier de l’USAID et CEPPS a mis en œuvre les forums communautaires d’éducation civique et électorale dans le cadre du projet intitulé : « Projet d’Education Civique et Electorale des Personnes Vulnérables dans les communes péri-urbaines de la ville Province de Kinshasa » qui se veut une contribution pour améliorer la capacité de la population à participer conformément à ses droits et devoirs civiques aux prochaines élections présidentielles, nationales, provinciales, locales et municipale dans les communes de Bumbu, Kimbanseke, Kisenso, Limete, Maluku, Makala, N‘Sele et Selembao.

Au total, huit forums communautaires ont été mis en œuvre conformément à la planification de la période de référence.

a. Objectifs des forums communautaires

Contribuer à l’amélioration de la capacité de la population à participer au processus électoral conformément à son droit et devoir civique et aux lois régissant les élections en RDC.

Donner les informations essentielles et pertinentes à la population sur les élections. Ces informations concernent notamment le cadre légal, les devoirs et droits des citoyens, pourquoi voter, comment voter, quand voter et qui voter ainsi que le comportement de l’électeur pares les élections.

b. Méthodologie de l’animation des forums communautaires

Le forum communautaire se déroulement dans un espace ou l’animateur réunira les communautés pour leur donner les informations sur.

• Quels sont les cadres légaux du processus électoral en RDC ?; quels sont les droits et devoirs du citoyen ?; c’est quoi l’éducation civique et électorale ?; pourquoi voter ?; pour qui voter ?; comment voter ? ; quel climat préserver avant, pendant et après le vote ?

Les messages clés à faire passer aux communautés après la publication des résultats

En possession des ordres de mission, des dépliants et le manuel d’éducation civique et électorale, les animateurs communautaires formés ont effectué des descentes dans les communes ciblées par le projet pour donner l’information.

Un à deux jour avant le forum communautaire, le responsable de la communauté ont été informé pour inviter les membres de la communauté et préparer le cadre qui va recevoir la séance.

Formés à répondre aux questions relatives aux élections, les animateurs se sont entrenuis avec les habitants des lieux ciblés et répondu à toutes leurs préoccupations.

Ils ont remis également des dépliants contenant les messages ainsi que les contacts des points focaux de l’ACVDP pour rester en contact dans le cadre de partage d’information.

Les outils suivants seront utilisés :

• T-shirts, banderoles, dépliants et affiches ; mégaphones ; organisation des forums communautaires

i. Gestion

La gestion de forum (pédagogique, logistique, supervision) était assurée par l’animateur formé de la conformité de la méthodologie.

d. Les participants aux forums communautaires

Les femmes, les jeunes, les personnes vivant handicap, les personnes de troisième âge et autres couches de la population

Au total 1129 personnes dont 585 femmes et 544 hommes ont pris part aux 53 forums communautaires organisés pour la période allant du 18 décembre 2023 au 04 janvier 2024 reparties de manière ci-après :

Sur les 21 forums communautaires restants et prévus pour la première phase du projet, nous avons réalisé 23 avant la date du 20 décembre 2023 période prévue dans le calendrier électoral de la CENI pour les quatre scrutins.

IV. DEROULEMENT DES FORUMS COMMUNAUTAIRES

52 forums communautaires ont été réalisés du 18 décembre 2023 au 02 janvier 2024 dans les communes ciblées par le projet.

Quatre moments forts ont marqué le déroulement de forums communautaires à savoir :

1. La présentation du projet et les partenaires d’appui par l’animateur

2. Sensibilisation proprement dite avec les points ci-après :

• Quels sont les cadres légaux du processus électoral en RDC ? ; quels sont les droits et devoirs du citoyen ? ; c’est quoi l’éducation civique et électorale ? ; pourquoi voter ? ; pour qui voter ? ; Comment voter ? ; quel climat à préserver avant, pendant et après le vote ?

• Les messages clés à faire passer aux communautés après la publication des résultats

 

3. Echange

4. Désignation du point focal communautaire pour la pérennisation du projet

 

Il y a eu quelques préoccupations soulevées par les participants en général parmi les thèmes développés par les animateurs dans toutes les communes entre autres :

 

– Où est ce qu’on peut porter plainte contre un agent de la CENI qui demande de l’argent à un électeur qui veut avoir le duplicata de sa carte d’électeur ou celui qui a sa carte devenu invisible ?

– Comment connaitre si le candidat à n’importe quel scrutin est animé de bonne foi pour travailler en faveur de la population et au développement du pays ?

– Que dit la loi par rapport aux candidats qui corrompt les électeurs pendant la campagne électorale ?

– Quel comportement adopté vis-à-vis de la corruption pendant la campagne électorale ?

– Quelle est la différence entre un témoin et un observateur ?

– Quelle est l’institution habilité à proclamer les résultats des élections ?

– Où allons-nous vérifié les noms avant le jour de vote ?

– Que dit la loi par rapport aux candidats qui violeraient le silence électoral ?

– Le jour de vote cad le 29 décembre 2023, il y aura toujours campagne ?

– Que le prévoit le calendrier électoral pour les élections des bourgmestres ?

– Que faire face au discours de la haine ?

– Cette fois ci, nous allons voter les conseillers communaux, est ce que la machine à voter prévoit également cette élection ? ; est-ce qu’on peut voter un candidat deux fois ? ; quels sont les droits et devoirs d’un électeur avant, pendant et après les élections ? ; quid du comportement recommandé après les élections.

Payne




A travers le slogan ‘’Kimbanseke Telema O ngenge’’: Onassis Mutombo pour le développement de la commune par les énergies locales

Les élections du 20 décembre dernier ont été une belle expérience pour plusieurs candidats au niveau du conseil communal. Pour bien d’entre eux, c’était une première aventure en tant que candidat.

A Kimbanseke, Onassis Mutombo a salué la réélection du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour qui il avait aussi battu campagne. Le candidat numéro 242 au Conseil communal a séduit les électeurs, de la manière dont il a ficelé son discours programme.
En effet, un vocable est entré dans le langage courant des habitants de Kimbanseke pendant le mois de la campagne électorale, du 19 novembre au 19 décembre 2023. Il s’agit du slogan ‘’Kimbanseke, TELEMA O ngenge’’ (Kimbanseke, lèves-toi et rayonne).
Onassis Mutombo s’était résolu de se concentrer sur trois quartiers phares de sa circonscription électorale : 17 mai, Mikondo et Mfumu Nketo. La finalité étant, a-t-il confié, de maximiser ses chances d’être élu Conseiller communal. Un ‘’jeune turc’’ en politique qui ne manque pas d’ambitions de gravir ultérieurement d’autres échelons, afin de postuler cette fois-là comme bourgmestre de cette commune du district de la Tshangu.
Avec son slogan ‘’Kimbanseke TELEMA O ngenge’’ qui a suscité l’engouement de la population, ce jeune journaliste a conquis les cœurs des habitants de la commune qui a connu sa tendre enfance. Pour mémoire, en effet, celui qui a conquis l’électorat de cette commune populeuse du district de la Tshangu a vu le jour à l’hôpital des religieuses du quartier 17 mai, à Kimbanseke. Onassis Mutombo a été porté par ses trois quartiers qui l’ont vu évoluer tour à tour comme élève, footballeur et journaliste. Il s’agit des Quartiers 17 mai, Mikondo et Mfumu Nketo.
C’est ici que ‘’Mulopwe’’ (pour les intimes) vient remercier ses électeurs pour leur vote massif, afin de lui permettre de briguer un mandat au conseil communal.
Dans le cadre de la refondation et la reconstruction du Congo, son ambition est de gérer Kimbanseke pour donner une nouvelle image à cette commune, s’appuyant sur des projets communautaires bénéfiques à l’ensemble des catégories sociales qui peuplent la «Chine populaire» (surnom légendaire attribuée à cette entité, du fait de la forte densité de population).
Quid de ‘’Kimbanseke, Telema O ngenge’’
En effet, soucieux de l’émergence de son ‘’Kimbanseke natal’’ et promoteur de plusieurs projets de développement en faveur de cette vaste entité de l’est de la capitale, Mulopwe a battu campagne en faveur du candidat numéro 20 aux élections présidentielles.
‘’Avec la nouvelle vision du Chef de l’Etat de repenser l’économie de la RDC, il importe que des jeunes dynamiques soient responsabilisés, en vue d’accompagner cette impulsion’’, a-t-il estimé. En meneur d’hommes, il est persuadé que la conscience et le travail sont des atouts nécessaires pour un bond en avant de Kimbanseke. D’où, le slogan ‘’Kimbanseke, Telema O ngenge’’, retentissant comme un appel à une action collective.
Profitant de sa sortie médiatique, le candidat numéro 242 au Conseil communal rassure : ‘’Si les gens comprennent, c’est le moment, comme je le dis, puisqu’à l’époque, les autorités ne comprenaient pas. Quand moi-même je serai à la tête de la commune, si pas nécessairement comme bourgmestre, néanmoins en qualité de conseiller, là, je ferai avancer maints projets, en mettant en avant les énergies locales’’, a-t-il dit.
Lepa




Anticipant le triomphe: Bidjens Mbuyi chante la victoire de Fatshi

Dans quelques jours, les instances compétentes vont livrer solennellement les résultats des élections présidentielles du 20 courant. Dans tous les camps, l’espoir et la liesse coexistent. Anticipant le triomphe de son candidat préféré, Bidjens Mbuyi chante la victoire de Fatshi. Auparavant, l’artiste a mobilisé pour un vote utile, appelant les Congolais à voter utile, en faveur du candidat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. (In L’Avenir du mercredi 13 courant). Le single rehaussé d’un clip, défile sur YouTube, portant les marques artistiques de Bidjens Mbuyi et son groupe d’accompagnement.

Texte de la chanson

Paroles : Congo mobimba tobina rumba ya victoire

Chœur : Bolobaki mingi e ee , bolobaki mingi e e , bosuki e e, bolobaki mingi e e, bosambwe e e, bolobaki mingi po na Fatshi, alongi e e, bolobaki mingi po na Béton, a gagner e e e (2x)

Bolobi biloba loba po na Fatshi, bozalaki nde komela

Bolobi n’importe quoi po bo sambwisa ye, bozalaki nde ya kolangwa

Bosali likopa po bo écarter ye, bozalaki nde ko rêver, bolobi ce monsieur est facile à manipuler, bozalaki nde koseka, lelo ekomi tango ya Fatshi ya koseka e e, lelo ekomi tango ya Béton ya Kosepela e

Maman Denise simba papa na loboko e e, oseka mwa moke, opesa ye ata mwa likwekwe

Soki boko bina bobina e e po mabe basalaki, ekomi tango ya koseka e e, kasi boseka bino moko te, boseka elongo na ba Congolais, po mitema ya bato wana ezalaki moyindo tuu

Ba Congolais, botika bango balimwa limwa e e, ba disparaitre e e

Tango Fatshi azwi pouvoir na premier mandat, alobi pas question de chasse à l’homme, alakisi bango bolingo e e, alobi boya tosangana a, totombola Congo na biso, nzoka ba mishumbele bazalaki na agenda caché, balobi tala zoba oyo e e, tokoyoka ye te, azali etiquette ya pamba e

Fatshi atali bango aseki, azongi mwa sima e e, afuli bango mopepe, mopepe lokola ya kayina e e, babwakami libanda, libanda ya scène politique, mokili egangi e e, ba mindele bakamwe, sans arme, seulement avec son stylo, balobi mais qui est cet homme ?

Botika ngai na yebisa bino : il est le fils du premier docteur en Droit, etienne Tshisekedi wa Mulumba, l’homme qui a fait peur aux Blancs. Il s’est incarné en son fils. Oyo bomoni kutu ezali moke e, bokomona ya minene e e

Nzambe pe atelemi, il veut transformer la politique mondiale, Fatshi c’est un instrument divin. Oboyi yango, sala mokili na yo o, soki olingi kende ata na ebale

Oyo akoluka Fatshi partout, akomona ye e te e Chœurs : Bolobaki mingi e ee , bolobaki mingi e e , bosuki e e, bolobaki mingi e e, bosambwe e e, bolobaki mingi po na Fatshi, alongi e e, bolobaki mingi po na Béton, a gagner e e e

Tango bo niokolaki ya Tshitshi, bozalaki nde ko fêter.

Bokomi MPR–Parti Etat na mokongo na ye e, bozalaki nde kobina a. Bolobi cet homme est dejà fatigué, bozalaki nde koseka a. Lelo ekomi tango ya ba Tshisekedi ya koseka e e.

Maman Marthe, maman ya ba Congolais, maman seka na yo o o (…)

Bobwakeli ba Congolais mayi ya moto, bobwakeli ba Congolais ba gaz, bobomi, bo carboniser ba combattants, lelo ekomi tango ya sanction, bokosambwa e e

Oyo ya biso sanction e e, toyebi makila te e, toyebi pe koboma te e, Toyebi kaka la paix : Etat de droit. Paroles : Notre victoire était prévisible

Fatshi Béton, président oyo aleki nsoso na elingi

Maman Denise, simba papa malamu, binisa papa rumba.

 

Traduction (la Rédaction)

Paroles : Tout le Congo, dansons la rumba de la victoire avec notre Président (réélu)

Chœur : Vous avez dit des choses, vous avez redit, vous voilà au bout du mur, vous avez dit des choses, vous avez redit, vous êtes (à ce jour) confondus. Vous avez raconté des choses pour dénigrer Fatshi ; il est (à ce jour) victorieux. Vous avez raconté des balivernes sur Béton, il a gagné e e e (2x)

Vous avez raconté des choses pour dénigrer Fatshi, vous étiez ivres

Vous avez raconté des balivernes pour salir son honneur, vous étiez hors de vous

Vous avez ourdi un complot en vue de l’écarter, c’était un rêve. Vous avez présumé que ce monsieur est facile à manipuler, vous étiez alors tout souriants. Maintenant, le tour de Fatshi de rire, l’heure est venue pour Béton d’être dans la joie.

Maman Denise, tiens papa par la main, souries un peu et le gratifiant d’un baiser

Vous êtes libres de danser, si vous le voulez, car les acteurs du mal n’ont plus prise sur nous. L’heure est venue de s’égayer. Toutefois, prenez soin d’associer les Congolais à votre réjouissance, puisque les méchants avaient un cœur enténébré. Congolais, laissez se volatiliser les acteurs du mal, laissez-les disparaitre.

Quand Fatshi a accédé dans son premier mandat, il a dit : pas question de chasse à l’homme, prêchant ainsi l’amour. Il a mobilisé en disant : venez, ensemble reconstruisons notre Congo. Or les antipathiques avaient un calendrier caché. Ils ont chuchoté entre aux disant : celui-là n’est pas plus malin que nous ; il va prêcher dans le désert à l’instar d’une simple étiquette.

Fatshi connaissant leurs pensées, s’en est ricané. Puis reculant comme pour mieux sauter, il a soufflé sur eux, comme un vent violent s’abattant sure eux, ils se sont renversés hors de la scène politique, le monde a crié, les Blancs estomaqués : ‘’Sans arme, seulement avec son stylo, mais qui est cet homme ?’’, ont-ils demandé

En effet, laissez-moi vous dire : il est le fils du premier docteur en Droit, Etienne Tshisekedi wa Mulumba, l’homme qui a fait peur aux Blancs ! Il s’est incarné en son fils. Ce que vous avez contemplé relève de peu de chose. Mais l’heure vient, où vous verrez davantage grand.

C’est le lieu de révéler que Dieu est dorénavant aux aguets, il veut transformer la politique mondiale. Fatshi c’est un instrument divin. A défaut de croire à ceci, bâtis ton monde à part. Tu peux même aller sous l’eau !

Si tu cherches Fatshi partout, tu ne l’atteindras pas.

Chœurs : Vous avez dit des choses, vous avez redit, vous voilà au bout du mur, vous avez dit des choses, vous avez redit, vous êtes (à ce jour) confondus. Vous avez raconté des choses pour dénigrer Fatshi ; il est (à ce jour) victorieux. Vous avez raconté des balivernes sur Béton, il a gagné e e e (2x)

 

Quand il fallait martyriser ya Tshitshi, vous agissiez en festoyant.

Ses bourreaux inscrivant la mention ‘’MPR–Parti Etat’’ sur son dos. Vous étiez alors dans la joie et la danse, ironisant : cet homme est déjà fatigué ! Vous aviez écarquillé de rire vos dents. Voici donc le rire a changé de camps, prêtant le flancs ( à la descendance)Tshisekedi.

Maman Marthe, mère (du peuple) Congolais, maman, réjouis-toi (…)

Vous aviez réprimé les Congolais avec de l’eau chaude, avec du gaz. Des combattants ont péri carbonisés. Voici venu le moment de la sanction. Vous serez désillusionnés.

En termes de sanction, pour notre part, nous ne ne faisons guère couler du sang, nous ne tuons pas non plus le prochain pour nous faire plaisir ! Nous prônons la paix : Etat de droit.

Paroles : Notre victoire était prévisible

Fatshi Béton, président qui inspire davantage d’attirance qu’un menu de poulet !

Maman Denise, tiens papa, fais-lui exhiber la rumba de la victoire.

Payne

 




‘’Les lampions s’éteignent’’ sur la campagne électorale 2023 : L’espace politique enfle, la société civile ‘’se déplume’’

19 novembre -19 décembre 2023, les lampions vont s’éteindre sur la campagne déclenchée par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), en prévision des élections prévues pour le 20 courant. En effet, le temps parcouru soit un mois jour pour jour, a permis aux postulants de ‘’jouer le jeu’’ selon les modalités, en vue de leur visibilité et préparer chacun leur base. Des sources ont estimé à quelque vingt et un mille, le nombre de celles et ceux qui se sont lancés à la course, autant à la députation nationale et provinciale qu’au conseil municipal. Face à l’affluence remarquable de postulants, en effet, des observateurs ont fait le constat d’un espace politique qui ‘’s’enfle’’ tandis que la société civile ‘’se déplume’’. Une chose est certaine néanmoins, c’est que la campagne électorale a beau être délicate pour la démocratie, les fils et filles du pays ont, pendant cette période, relevé le pari du vivre-ensemble dans la paix. Une campagne électorale sereine, responsable et marquée par la modération. A l’approche du lancement de la campagne, des milieux avaient mobilisé en faveur de la cohésion sociale face aux discours électoraux. En effet, les discours électoraux sont multiples. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC) évoquant, quant à lui : l’intox, l’infox, la haine, la manipulation, fake-news, mensonges…

En effet, postulants et leurs bases respectives se sont refusé à toute démesure, privant ainsi les pêcheurs en-eau-troubles d’éventuelles scènes désagréables de bousculades, de fissures sociales…

Quand la société civile ‘’se déplume’’

La société civile perd-elle du terrain tandis que l’espace politique ‘’enfle’’ ? En effet, plus d’un observateur estiment que cette interrogation mérite d’être soulevée dans le contexte actuel. Car l’exercice de la carrière politique suscite un intérêt sans précédent. Tout leader communautaire (leader d’opinion) veut mettre à l’avant sa notoriété pour, dit-on, ‘’tenter sa chance en politique’’. Toute personne dont le parcours a été immortalisé par des musiciens locaux, veut s’appuyer sur ce ‘’baromètre social’’ pour, dit-on, ‘’tenter sa chance en politique’’. Tout agent de marketing ayant un ‘’carré relationnel’’, veut capitaliser son répertoire d’adresses pour, dit-on, ‘’tenter sa chance en politique’’. Toute personne ayant presté dans un secteur médiatisé, veut prendre appui sur ‘’son aura’’ pour, dit-on, ‘’tenter sa chance en politique’’.

En famille et même dans le voisinage, des proches demandent : ‘’Toi, tu n’as pas postulé pour tenter ta chance comme les autres’’ ? Jadis dans l’arrière-pays, des membres du clan, de la communauté adressaient une question similaire aux jeunes actifs : ‘’Toi, tu ne descendras pas en ville (entendez : la capitale) pour tenter ta chance comme les autres ? Il n’était pas rare qu’une personne réputée intelligente dans sa communauté soit quelque peu embarrassée par telle question. A l’échelle africaine, cette préoccupation a occasionné à grande échelle l’urbanisation des populations. Dans la mesure où, tout le monde voulant descendre en ville, se greffer à un ‘’ndeko’’ (proche familial) qui puisse servir, bon gré mal gré, de tremplin à (nos) ambitions.

Dans un entretien à la presse, l’auteur de ‘’La Démocratie naturelle’’, Nestor Lukimi Nghemi explique :

‘’Il n’est pas étonnant que les statistiques prennent l’ascenseur, s’agissant de l’affluence de jeunes en politique. Depuis plus d’une décennie, l’emploi des jeunes n‘a pas fait l’objet de programme gouvernemental en RDC. Après de longues carrières politiques, des compatriotes qui ont fait fortune, n’ont pas pensé investir pour atténuer voire reverser la tendance. D’aucun thésaurisent, quitte à attendre les prochaines élections pour, à nouveau, s’illustrer en princes de paix et bienfaiteurs des masses, distribuant de petites coupures pendant la campagne électorale. (…)’’, a déploré l’expert en développement communautaire.

Pour sa part, le pasteur Germain Mudimbiyi de l’Eglise ‘’Jésus Muraille de feu’’, a fait le constat suivant :

‘’Tous, on se met au travail pour la réussite, l’épanouissement et le développement. Cependant, le premier point qui trahit l’Africain, c’est sa mauvaise croyance. Une croyance qui s’oppose même au développement, au profit de ses coutumes, de ses préférences’’. (L’Eglise est située au quartier Matonge, dans la commune de Kalamu).

Quid de l’emploi des jeunes : ‘’le chômage des jeunes, bombe à retardement pour l’Afrique subsaharienne’’, redoute Raymond Jarret

Les villes africaines respirent de façon effrénée l’urbanisation des populations. Il n’est pas de structures fonctionnelles d’atténuation de l’exode rural. Les campagnes se vident de leurs mains actives. Le secteur agricole n’étant pas mécanisé, le gros de la population qui s’urbanise, est voué à l’extraversion économique. Entre 2009 et 2011, le Français Raymond Jarret sillonnant, en touriste, son ancien continent d’attache, a tiré la sonnette d’alarme : ‘’le chômage des jeunes, bombe à retardement pour l’Afrique subsaharienne’’, a-t-il prévenu.

L’Afrique doit suivre le modèle chinois pour son développement, a-t-il suggéré. C’est-à-dire renforcer l’autorité de l’Etat, responsabiliser les communautés (la proximité), promouvoir la production locale et la protéger face aux pesanteurs d’une économie extravertie, occuper les jeunes, accroitre les zones économiques et impliquer le génie militaire. Les jeunes à l’âge d’embauchent représentent, en RDC, un taux non négligeable s’agissant de l’exode rural. Raymond Jarret avait presté dans la firme Bata (spécialisés dans les chaussures). Après permutation dans plus d’un pays d’Afrique subsaharienne, il avait le continent en 1971 pour un poste d’attache en Asie, avant de retourner chez lui en France, l’employeur ayant mis la clé sous le paillasson. A Kinshasa et devant la presse, il a notamment déploré que le quartier N’Dolo qui bordent le fleuve, jadis zone industrielle, soit devenu un marché du port où ‘’de petits voyageurs débarquent avec des produits de leur long périple’’. Il était également hors de lui-même, ayant constaté que le café, coton et huile de palme (pour ne citer que cela) pour la production desquels le Congo était dans la cour des grands, à ce jour hors de question.

‘’Dans la symphonie humaine, chacun joue sa partition’’, renseigne une sagesse

 

En son temps, feu le Professeur Emérite Léon de Saint Moulin, en sociologue, disait : ‘’L’avenir, il nous a été donné de le construire’’.

 

Comme on le comprend, quand vient l’histoire, le temps jette des fleurs aux acteurs qui auront mérité. En six (6) décennies d’indépendance, la nation est en droit d’attendre de ses fils et filles aux postes de responsabilité, un travail honnête sans corruption, qu’ils se démarquent dans leurs fonctions pour qu’ils prouvent qu’ils méritent les postes de responsabilité. ‘’La richesse d’un groupe réside dans l’hétérogénéité des membres’’, renseigne une théorie en Dynamique de groupe. L’affluence en politique devrait avoir pour motivation le service rendu à la communauté. Ce secteur ne devrait guère faire baver simplement parce que l’enrichissement personnel y est garanti ! ‘’Diversité dans l’unité’’, c’est dans l’interdépendance de leurs différences que les filles et fils du Congo pourront relever le pari de ‘’bâtir un pays plus beau qu’avant‘’. Un adage espagnol dit : ‘’le feu brûle plus grand si chacun apporte son fagot de bois’’ (fin de citation).

‘’Un regard sur le parcours accompli donne encore des raisons d’espérer, et un motif de joie… Et cela nous enchante’’, mobilise un encadreur de jeunes. Et d’enchaîner : ‘’Dans la mesure où, le soleil et la lune n’ont pas quitté leur orbite pour pousser la jeunesse à conquérir ainsi massivement l’espace politique. Lumumba (entendez le premier Premier ministre congolais) n’avait-il pas ‘’prophétisé’’ que l’heure vient, où l’histoire du Congo s’écrira au Congo par ses propres fils et filles ? Celles et ceux qui ont postulé ont mis en avant leurs qualités morales et intellectuelles de même que leur capacité à participer activement dans la création et l’avènement d’un nouvel environnement sociopolitique, dans l’œuvre collective de bâtir un Congo plus beau qu’avant, et que nous lèguerons à notre postérité. L’illustre Léopold Sedar Senghor avait expérimenté et témoigné en son temps : ‘’En m’ouvrant aux autres, Paris m’a ouvert à ma propre connaissance’’ (fin de citation) ’’, a-t-il dit.

Comme le réitérait en son temps Mzee Laurent Désiré Kabila, ‘’un Congo conscient de son rôle dans le concert des nations’’. De fil en aiguille, un regard intéressé sur les Saintes écritures, renseigne sur l’exhortation qu’adresse l’apôtre Paul à Timothée, l’appelant à demeurer fidèle à la connaissance et constant dans sa personnalité. Cela est à lire dans 1 Timothée 4 ; 12-16

(Citation)

12 Que personne ne méprise ta jeunesse; mais sois un modèle pour les fidèles, en parole, en conduite, en charité, en foi, en pureté.

13 Jusqu’à ce que je vienne, applique-toi à la lecture, à l’exhortation, à l’enseignement.

14 Ne néglige pas le don qui est en toi, et qui t’a été donné par prophétie avec l’imposition des mains de l’assemblée des anciens.

15 Occupe-toi de ces choses, donne-toi tout entier à elles, afin que tes progrès soient évidents pour tous.

16 Veille sur toi-même et sur ton enseignement; persévère dans ces choses, car, en agissant ainsi, tu te sauveras toi-même, et tu sauveras ceux qui t’écoutent.

 

Payne




Une volonté qui ne dit pas son nom ! Légitimer l’homosexualité en Afrique par le biais de l’église 

L’Eglise catholique est dans un tournant historique. Le Vatican prenant position en faveur des homosexuels, a pris des dispositions pour que les églises locales reconnaissent les couples concernés et leur accordent place dans les sacrements. La position du Vatican a suscité un tollé, dans la mesure où l’homosexualité n’est pas inclusive dans les cultures des peuples ; mais tous ont en commun le sang de l’agneau, le Christ (3V) : Voie, Vérité et Vie (Jean 10 ;10).

Dans une diatribe parue dans L’Avenir d’hier jeudi en page 8, le Patriarche Jonas Mukamba Kadiata Nzemba a ‘’ôté ses gangs’’. il aborde la question dans sa casquette de fervent catholique. L’article a été titré comme suit : ‘’ Fervent chrétien catholique : Jonas Mukamba dit non au Pape François et au Cardinal Ambongo !’’.

Au premier, lit-on dans l’abord du texte, il reproche la volonté d’imposer aux Africains le baptême des couples homosexuels ; au second la stigmatisation de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) à cette étape décisive du processus électoral.

Patriarche par son âge (92 ans), par sa carrière politique (plus de 60 ans) et dans ses oeuvres sociales et culturelles, Jonas Mukamba a une histoire de cœur avec l’Eglise catholique romaine. Son cursus scolaire et académique retient qu’il a fait ses études primaires à la mission catholique Mayi-Munene de Tshikapa, ses études secondaires au petit séminaire de Kabwe (près de Kananga) et ses études universitaires à Louvain (extension de Kisantu) où il va finir ses études en tant que licencié en Sciences politiques et administratives.

Quand l’Eglise relaye des volontés qui font polémique

L’Avenir a eu le privilège de relayer la voix du patriarche à ce sujet. En effet, cette voix la est celle qui reste à la grande famille (la nation congolaise). C’est dire, en effet, que les filles et fils de ce pays doivent être fiers de bénéficier, à ce jour, de cette sagesse inspirée. Quand les puissances politico-affairistes occidentales veulent sournoisement légitimer l’homo en Afrique par le biais de l’église, elles (ces puissances) croient que tous les chrétiens sont naïfs et moutonniers. il y a encore des voix qui portent ! Celle du Patriarche Kadiata Nzemba est l’arbre qui cache la forêt ! En son temps, Papa Wemba (d’heureuse mémoire) avait dénoncé de telles manoeuvres dans sa chanson intitulée “Elongi ya Jésus). L’artiste avait dans son langage particulier, dénonçait des manoeuvres politico-affairistes qui dénaturent l’Eglise. Nous devons, comme le préconise le panafricaniste éclairé Freddy Mulumba, résister à ces manoeuvres et aux manoeuvriers qui sont aux abois du fait notamment, comme il (le panafricaniste éclairé) a mobilisé dans ses conférences-débats, de la percée vertigineuse de la Chine et de la convergence de cette géante de l’économie mondiale avec la Russie. Même dans la Bible, il est écrit “Résistez au diable et il fuira loin de vous”. Dans les familles biologiques et dans les groupes d’appartenance : la rue, le marché, les mouvements associatifs et même dans les milieux de transmission du savoir : l’école, l’université et dans les lieux du travail, ceux qui comprennent doivent répandre la vérité a ceux qui n’ont pas la même capacité de déceler de faux enseignements dans l’église. A propos, l’apôtre Paul recommandé : ” vous qui êtes forts, vous devez soutenir ceux qui ne le sont pas”. Au cas contraire, Le Très-Haut va interpeller comme il avait indexé, dans le jardin d’Eden, Adam après la transgression commise par la conjointe de celui-ci. Donc il est temps que l’élite s’assume. Temps du discernement, dixit l’apôtre Paul. L’Eternel est Longanimité, plus d’un le savent, mais tant pis pour nous si ns faisons de sa Longanimité une absence psychologique ou une attitude laisser faire. Car l’heure vient et elle déjà proche, ou Le Créateur va questionner comme a Caien jadis: “qu’as-tu fait du sang de ton frère ?

De fil en aiguille, un regard intéressé sur les Saintes écritures, renseigne sur l’exhortation qu’adresse l’apôtre Paul à Timothée, l’appelant à demeurer fidèle à la connaissance et constant dans sa personnalité. Cela est à lire dans 1 Timothée 4 ; 12-16

(Citation)

12 Que personne ne méprise ta jeunesse; mais sois un modèle pour les fidèles, en parole, en conduite, en charité, en foi, en pureté.

13 Jusqu’à ce que je vienne, applique-toi à la lecture, à l’exhortation, à l’enseignement.

14 Ne néglige pas le don qui est en toi, et qui t’a été donné par prophétie avec l’imposition des mains de l’assemblée des anciens.

15 Occupe-toi de ces choses, donne-toi tout entier à elles, afin que tes progrès soient évidents pour tous.

16 Veille sur toi-même et sur ton enseignement; persévère dans ces choses, car, en agissant ainsi, tu te sauveras toi-même, et tu sauveras ceux qui t’écoutent.

 

Payne