RDC : Chris Mukendi quitte l’AFDC-A de Bahati Lukwebo qui l’accuse de privilégier les membres de sa famille

Depuis un temps, il s’installe un malaise au sein de la famille politique de Bahati Lukwebo, président du Sénat, qui enregistre plusieurs départs.

Le dernier en date est celui du secrétaire national adjoint chargé de la propagande au sein de l’Alliance des Forces Démocratiques du Congo (AFDC), Chris Mukendi Kabemba.

Dans une correspondance adressée à son autorité morale ce mardi 23 janvier, ce candidat malheureux à la députation nationale, circonscription de Lukunga, a dénoncé des manœuvres orchestrées au sein du regroupement politique AFDC-A, l’empêchant de saisir la Cour constitutionnelle afin d’être rétabli dans ses droits.

« J’ai contesté le suffrage m’attribué par la CENI parce que disposant des fiches des résultats me donnant un score largement au-dessus du candidat proclamé sur la liste AFDC-A. Malheureusement, toutes les démarches légales engagées dans le but d’obtenir la procuration du Regroupement politique ont été contrées, au motif qu’il a été institué en son sein une commission, laquelle s’est substituée à la Cour Constitutionnelle, dans le seul but d’étouffer dans l’oeuf, toute initiative des candidats en contestation à la Cour Constitutionnelle », peut-on lire dans cette correspondance.

Déjà, un autre autre candidat du même regroupement Médard Kankolongo accusait Bahati Lukwebo de privilégier ses intérêts en nommant ses membres de la famille au détriment des autres candidats qui ont été élus massivement.

Médard Kankolongo menace de quitter le regroupement si rien n’est fait.

Il ya lieu de signaler que des nombreuses frustrations sont constatées au sein du regroupement politique AFDC-A, à l’issue de la publication des résultats provisoires des élections législatives nationales par la CENI, au risque d’entamer la réputation du regroupement.

Jonsard Mikanda




ONPA : Bokele Djema sabote l’initiative du chef de l’Etat pour n’avoir pas réussi à y imposer les siens

C’est à travers son ordonnance n°022 /22 du 6 juin 2022, qu’il a plu au Président de la République, de créer l’Office National de Pêche et d’Aquaculture. De ce point de vue, l’ONPA est entré dans le peloton des porteurs de la responsabilité de l’amélioration de la sécurité alimentaire. Une vision savamment mûrie par la plus haute autorité du pays. Cet établissement public de l’Etat a donc reçu Mission de l’Etat congolais d’organiser l’approvisionnement en intrants, matériels de pêche et d’aquaculture.

Dans la foulée, l’ONPA est appelé d’assurer l’acquisition des moyens de production. Pour matérialiser cette vision salvatrice du chef de l’Etat, l’équipe dirigeante de l’ONPA a été nommée au terme de l’ordonnance n° 23/083 du 26 juin 2023 portant nomination des membres du conseil d’administration et de la Direction générale de l’ONPA.

Malheureusement, six mois après, le ministre de tutelle qui était chargé de faire respecter l’application sans faille de l’ordonnance présidentielle, a érigé toutes sortes d’artifices pour étouffer dans l’œuf le décollage de cet établissement public pour des raisons qui lui sont propres.

Tenez ! Six mois après, les membres de la Direction générale de l’ONPA travaillent sous les arbres. Sans bureaux, sans frais de fonctionnement, sans salaires. Bref, ils sont dans la rue ne sachant à quel Saint se vouer. Toutes les démarches menées auprès de Bokele Djema, ministre de Tutelle n’ont pas eu d’échos favorables.

Les attributions dévolues à l ONPA sont exercées par lui seul, comme un véritable monarque des siècles précédents. La colère de Bokele Djema, d’après les enquêtes menées par nos reporters, réside dans le fait que le ministre de la pêche et élevage n’a pas réussi à imposer les membres de son clan dans l’architecture de l’ONPA. Les membres du conseil d’administration et de la direction générale de l’ONPA ont refusé tous à l’unanimité à l’injonction de Bokele Djema d’imposer les membres de son clan. Le népotisme et favoritisme sont des pratiques révolues sous l’air Félix Tshisekedi.

Pendant ce temps, l’annonce de l’arrivée de trois bateaux de pêche au mois de Mars, est une opération de charme pour obtenir un poste au prochain gouvernement. Et la goutte d’eau qui a fait déborder la vase, c’est la non-prise en compte de l’ONPA dans la loi de finances exercice 2024. À la place, c’est une mystérieuse Agence nationale de pêche qui est reprise dans la loi de Finances, en lieu et place de l’ONPA.

Tout porte à croire que le personnel de cette fameuse agence pourrait provenir du clan Bokele Djema. Je reconnais les erreurs a martelé le chef de l’Etat, lors de son discours d’investiture le samedi dernier au stade des Martyrs, en voici l’une qui doit être rapidement corrigée. Le temps de la jouissance est fini. Ceux qui occupent une parcelle des responsabilités, sont appelés de travailler pour l intérêt de la République.




CAN 2023 : “L’Algérie et les Fennecs en perdition footballistique”

Eh bien, il semblerait que l’équipe nationale de football d’Algérie ait réussi l’exploit de perdre la recette de la victoire qui l’avait couronnée championne d’Afrique en 2019 à la CAN en Egypte. Une magie désormais égarée, une énigme footballistique à résoudre.

Et comme si un mauvais sort s’acharnait sur les Fennecs, voilà qu’ils ont pris l’habitude de quitter précipitamment la scène de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), tel un invité gênant qu’on prie poliment de quitter la fête. Une édition 2021 à oublier, et voilà qu’ils récidivent en cette année 2024 pour la CAN 2023, avec la persévérance d’un mauvais génie.

Deux éliminations successives au premier tour de la CAN, un exploit que même les plus pessimistes n’auraient osé prévoir dans l’histoire du football algérien. Une série noire qui laisse les supporters inconditionnels méditer sur leur choix de passion sportive, se demandant si le football ne serait pas finalement une cruelle farce. Et que dire de cette disette de victoires en Coupe d’Afrique des Nations depuis leur triomphe en Égypte en 2019 ? C’est comme si le trophée s’était transformé en Graal insaisissable, et que les Fennecs étaient condamnés à errer éternellement dans le désert de l’échec.

Les chiffres, ces intransigeants témoins, ne laissent place à aucune équivoque. En 2021, la campagne s’était terminée prématurément, sans la moindre victoire en trois matches, une performance digne d’un maître en l’art de l’auto-sabotage. Ce coup-ci à Bouaké à Abidjan en Côte d’Ivoire, un point supplémentaire a été grappillé, mais cela n’a guère suffi à éviter une nouvelle déconvenue, cette fois aux mains d’une équipe mauritanienne qui n’avait jusqu’ici que des rêves de gloire inaccomplis en Coupe d’Afrique des Nations.

Les Fennecs, jadis fiers prédateurs du football africain, semblent être devenus les proies faciles, laissées à la merci des équipes du milieu du tableau du Continent. Une fois au Cameroun pour la CAN 2021, l’autre en Côte d’Ivoire pour la CAN 2023, l’Algérie a été évincée de la fête africaine dès le stade de poules. Et encore ! entre les deux, on occulte volontiers l’épisode “Cameroun“ et Coupe du monde pour ne pas remuer le couteau dans la plaie “Papa Gassama“. Une réalité douloureuse à encaisser pour les supporters inconditionnels des Fennecs, d’autant plus, qu’aucune victoire en CAN depuis leur sacre en Egypte n’a été enregistrée.

Une catastrophe à répétition qui laisse entrevoir une valse des têtes, à commencer par celle du sélectionneur Djamel Belmadi. Même l’avenir de certains cadres, tels que Mahrez, Slimani…, est désormais entouré d’incertitudes. La Mauritanie, elle, peut savourer sa qualification, une victoire qui porte la marque d’Amir Abdou, un sélectionneur dont le génie semble dépasser les frontières nationales.

Il est peut-être temps de tirer un trait sur l’ère Belmadi & Co, de tout recommencer à zéro, de reconstruire une équipe solide, avec un état d’esprit moins empreint d’arrogance et davantage de « grinta » pour se battre sur les terrains africains. Car il est indéniable que l’équipe d’Algérie version 2024 montre des signes évidents de faiblesse dans tous les compartiments du jeu.

Les joueurs, habitués aux pelouses impeccables d’Europe, semblent perdus dans le chaos des terrains africains. Leur jeu est devenu une improvisation désordonnée, tactiquement, c’est le fiasco total, et le milieu de terrain, autrefois un point fort, est devenu un trou noir. Hier, face à la Mauritanie, les Algériens ont été dépassés par la vivacité et la fluidité du jeu mauritanien, une leçon de simplicité, d’envie et de détermination. Une réalité qui laisse l’Algérie à la porte des huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations, avec peu d’espoir de qualification pour la prochaine édition, celle organisée dans le Royaume, avec même une perspective lointaine pour l’horizon 2030.

La question qui se pose désormais est de savoir si l’Algérie pourra surmonter cette série noire et retrouver son lustre d’antan. Les supporters, qui avaient goûté à la douceur de la victoire en 2019, observent avec inquiétude cette nouvelle débâcle et espèrent que leur équipe saura se ressaisir dans les compétitions à venir. En attendant, les Fennecs sont confrontés à une réalité amère, celle de devoir rebâtir leur réputation sur la scène africaine du football.

Une tâche monumentale qui demandera un engagement soutenu, une planification méticuleuse et la coopération de toutes les parties prenantes. Peut-être est-il temps de prendre exemple sur la FRMF, qui a déjà parcouru bien des étapes pour construire son succès. Une réforme en profondeur s’impose tant au niveau de la FAF que du jeu sur le terrain, car, comme on dit, il est toujours plus facile de rêver que de jouer au football.




Quelques victimes de Malembankulu présentées à la ministre Mireille Masangu   

Mme Mireille Masangu Bibi Muloko, ministre du Genre, Famille et Enfant, a reçu, ce lundi 22 janvier, dans son cabinet, une délégation du couple pastoral, venue lui présenter quelques victimes de Malembankulu. Après échange, la délégation se dit satisfaite de l’accueil et de l’engagement de la ministre d’assurer la prise en charge de ces victimes.

« Nous sommes un couple pastoral, nous avons été reçus par Mme la ministre du Genre, Famille et Enfant, concernant les victimes de Malembankulu, à la suite de l’intolérance de certaines personnes. Nous avons amené ces victimes ici, pour que Mme la ministre puisse les voir. C’était à la demande de la ministre, dans le cadre de ses fonctions, entant que ministre de la République. Je pense qu’elle a des éléments concernant ces victimes », a indiqué le pasteur.

Et d’ajouter qu’il était aussi question que la ministre puisse aussi voir le travail qui a été fait, parce que nous sommes une association. La ministre a apprécié le travail et nous avons été bien reçus et bien traités. Pour sa part, la ministre a affirmé qu’il y a une prise en charge totale de ces victimes par ses services et d’autres services qui collaborent avec son ministère.

Sachez qu’il y avait une vidéo, qui était devenue virale, dans laquelle on pouvait voir des altercations entre les kasaiens et les Balubakat, à la suite de ces altercations une femme a été sérieusement violentée, sans parler d’autres victimes.




Union sacrée : Kabuya, Bemba, Bahati et Mboso s’activent pour contrer Kamerhe

Les lignes bougent après l’union sacrée après la naissance du pacte pour un Congo retrouvé, nouveau bloc avec en tête Vital Kamerhe.

 

Le secrétaire général de l’UDPS-Tshisekedi s’est entretenu avec Jean-Pierre Bemba, Modeste Bahati et Christophe Mboso afin de réfléchir sur les stratégies à mettre en place pour la réussite du deuxième mandat de Félix Tshisekedi et la bonne marche de l’union sacrée.

 

« Il n’est pas interdit aux gens de se réunir et de réfléchir. Nous aussi nous venons de nous réunir et nous avons réfléchi», indique Augustin Kabuya, SG de l’UDPS.

 

Rappelons le Pacte pour un Congo retrouvé, PCR, a été créé le mardi 23 janvier par Vital Kamerhe (UNC), Tony Kanku Shiku (AAAP), Julien Paluku (Bloc 50) et Jean-Lucien Busa (CODE).

 

Derick Katola




La coordination diaspora du caucus des médecins du PALU/Belgique et France apporte son soutien à Willy Makiashi

Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la coordination diaspora du caucus des médecins du PALU/ Belgique et France tient à exprimer son soutien indéfectible au parti lumumbiste unifié. « En tant que citoyens engagés et conscients de l’importance de la démocratie, nous croyons fermement en la nécessité de soutenir notre SGCP en la personne du professeur Willy Makiashi représentant l’égal du parti qui porte haut les valeurs qui nous sont chères », indique notre source.

Ils ont ainsi relié ainsi à la vision et aux idéaux portés par le parti lumumbiste unifié. « Nous saluons l’engagement de ce parti en faveur de l’égalité des chances, de la justice sociale et de la paix. Nous partageons la conviction profonde que ces enjeux sont cruciaux pour le développement harmonieux de notre pays », expliquent-t-ils.

Dans le même message, ils se disent être convaincus que le professeur Willy Makiashi est le choix le plus judicieux pour l’avenir de notre cher parti. Son engagement en faveur de la transparence, de la bonne gouvernance et de l’intégrité politique en fait une personne digne de confiance. Ils croient qu’en sa capacité à mettre en place des politiques innovantes et équilibrées, capables de répondre aux problématiques complexes de notre époque.

« En tant que citoyens, il est de notre devoir de nous engager activement dans la vie politique de notre parti. En exprimant notre soutien à Secrétaire générale chef du Parti, nous contribuons à renforcer la démocratie et à promouvoir un débat politique et constructif au sein du parti », disent-ils, avant d’appeler tous les citoyens épris de justice sociale et d’égalité à se joindre à nous dans ce soutien. Ensemble, nous pouvons faire la différence et œuvrer pour un avenir meilleur.




Mme Catherine Kathungu a présidé une réunion importante dans son cabinet de travail 

Au ministère de la Culture, Arts et Patrimoine, la ministre Catherine Kathungu a tenu une réunion importante avec le Directeur de son cabinet, le Secrétaire général et quelques chefs de services ou directeurs de son ministère.

Il était question de discuter sur les points suivants : Évaluation du dernier trimestre de l’année 23 et planification 24 ; Appel à la mobilisation des recettes relevant de l’administration de la culture et des arts selon les assignations de la commission ECOFIN du Parlement ; Rappel à l’ordre de tous les directeurs de l’administration de la CAP pour une assiduité, pro activité au travail afin de rendre fructueuse l’année 2024 dans le secteur culturel ; Appropriation et suivi des travaux de finition du Centre culturel panafricain en collaboration avec le ministère des ITP dont l’inauguration est imminente.

Selon notre source, la réunion a eu lieu le lundi 22 Janvier 2024 au Cabinet du ministre.




M. Arnold Bapumbudia, un faux prêtre recherché par la Police

Ce Monsieur dont la photo est ci-haut placée s’appelle Arnold Bapumbudia Masasu et se fait passer pour un prêtre de l’Église Catholique Romaine. Célébrant les messes dans plusieurs paroisses de l’archidiocèse de Kinshasa, il se présente comme prêtre de la communauté « les amis de l’Eucharistie », prévient l’Abbé Clay Mavemba, Secrétaire Chancelier de l’Archidiocèse de Kinshasa.


Et d’ajouter qu’il s’est observé que pendant son passage dans plusieurs paroisses, il a escroqué des jeunes, leur faisant croire qu’il aurait une entreprise de voyage pouvant leur faire voyager pour le Canada et les États-Unis d’Amérique. Les jeunes de certaines paroisses lui auraient remis des passeports, avec une somme de 250$ chacun. Sans compter qu’il a eu à poser des actes peu orthodoxes (appliquer l’huile dans les parties intimes de certaines femmes, des messes noires donnant lieu à des pratiques magiques, etc.).
Il s’est avéré, après enquête, qu’il serait prêtre de l’Église Catholique dite « libérale », de la congrégation des missionnaires du Christ-Roi dont le Supérieur Général est un certain Monseigneur Jean-Paul Ebengo. Celui-ci l’aurait révoqué de la congrégation et ainsi de l’état clérical (Décret Episcopall n° 06/CMCR/ASBL/ÇA/2022 portant révocation définitive de certains membres du clergé, Missionnaire du Christ-Roi) pourmanque d’une bonne moralité, manque d’une bonne politesse, manque d’une conduite irréprochable, manque de respect strict de la hiérarchie.


L’Abbé Clay Mavemba, Secrétaire Chancelier de l’Archidiocèse de Kinshasa souligne qu’après avoir escroqué des jeunes, posé des actes peu orthodoxes, allant jusqu’à l’usage de faux de certains documents, Monsieur Arnold Bapumbudia Masasu est recherché par la Police dont plusieurs plaintes portées contre lui sont aux bureaux de la Police des communes de Matete (Banunu) et N’sele (Kinkole).
Monsieur Arnold Bapumbudia est donc injoignable à travers ses numéros de contact et n’est pas domicilié jusqu’à ce jour. Les uns pensent qu’il résiderait à Kinkole, d’autres, par contre, pensent qu’il serait à Matete, avec femme et enfants, dont l’adresse complète serait mentionnée dans son passeport (OP1085361) qui est en cours.




DGRK : Michée Musaka interpelle les contribuables de l’Impôt Foncier et l’Impôt sur les Revenus Locatifs

La Direction Générale des Recettes de Kinshasa (DGRK), rappelle les contribuables personnes physiques et morales, assujettis notamment au Loyer Echu, à l’Impôt Foncier exercice 2024 et/ ou à l’Impôt sur les Revenus Locatifs exercice 2024/revenus 2023 à déclarer et payer: le Loyer Echu de contrat de location en matière foncière au plus tard le mercredi 31 janvier 2024; l’Impôt Foncier et l’Impôt sur les Revenus Locatifs au plus tard le jeudi 01 février 2024.

A cet effet, indique le communiqué publié à cet effet et signé par Michée Musaka Mayelenkay, Directeur Général de la DGRK, ils sont tenus de retirer leurs déclarations auprès des Directions et Centres des recettes de la DGRK, repartis dans les 24 communes ou déclarer en ligne dans l’application e-dgrk au www.e-dgrk.com. Le paiement doit s’effectuer dans les comptes receveurs auprès des banques partenaires de la ville de Kinshasa.

Dépasse ce délai, les retardataires s’exposeront au paiement des pénalités conformément aux dispositions légales et réglementaires en la matière.

Soulignons que la Note de perception pour le Loyer Echu doit être retirée auprès de l’ordonnateur de la DGRK affecté aux Affaires Fonci

ères.




ANAPEX : Les délégués syndicaux à l’école du basic syndical

Les délégués syndicaux de l’ANAPEX sont en formation depuis le 12 janvier 2024. Cette session de renforcement des capacités vise à doter les délégués syndicaux des notions basiques de l’exercice syndical, notamment les rôles et missions des syndicalistes, le droit du travail, la négociation collective et les procédures.

Organisée par l’intersyndicale (CDT et CSC), la formation a pour objectif d’outiller les participants pour leur permettre de bien jouer leurs rôles en toute objectivité en tant que délégué syndical. La même formation entend également conscientiser les délégués syndicaux sur les différentes responsabilités et procédures liées au droit du travail.

Soulignons que la cérémonie de clôture de cette session qui se tient dans la salle des réunions de l’ANAPEX aura lieu le mercredi 24 janvier 2023.