Taekwon-do I.T.F: Le SG de la FETAECO/ITF dévoile le programme pour le 1er trimestre 2024  

La Fédération de Taekwon-do du Congo I.T.F ‘’FETAEC/I.T.F’’ que préside Me Willy Makengo Ngunga se prépare à honorer la République Démocratique du Congo partout où le devoir va l’appeler en cette année 2024.

A cet effet, Me Augustin Dinganga, Secrétaire Général de la FETAECO/I.T.F le programme de sa fédération pour le 1er semestre 2024.

Sous l’égide de l’administration de Londres que dirige le Secrétaire Général, le Grand Me Trevor Nicols, la RDC participera du 25 mai au 1er Juin 2024 en Hollande, aux éliminatoires du championnat du monde de Taekwon-do I.T.F.

Les pays participants à cet Open d’avant-garde pour le championnat du monde Uruguay 2025 sont :

-La Hollande

-La Belgique

-L’Irlande

-L’Angleterre

-La Pologne

–L’Allemagne

-La RDC

Et tant d’autres.

En prévision de cette compétition, les Léopards Taekwon-do I.T.F entameront leur préparation sur place au pays dès début du mois de février 2024.

Par ailleurs, c’est depuis le mois de Décembre 2023 que la Fédération de Taekwon-do du Congo I.T.F avait introduit sa demande d’ordre de mission au Ministère des sports et Loisirs. Elle n’attend que l’obtention des visas Schengen aux valeureux Léopards. Ces derniers rêvent de rééditer l’exploit de Séoul et surtout d’arracher cette qualification.

Selon les prévisions de la FETAECO/I.T.F, c’est en date du 22 mai 2024 que la délégation de la RDC devra quitter Kinshasa pour la Belgique. Et du 26 au 31 mai 2024, le team RDC sera en préparation à la haute compétition avec l’équipe nationale Belge ‘’Les Diables Rouges’’. A titre de rappel, les Léopards Taekwon-do I.T.F avaient fait sensation par sa bonne prestation au championnat du monde à Séoul, Corée du Sud en 2023, est attendue cette fois-ci en Hollande.

-Et le 1er et 2 juin 2024, participation les Léopards Taekwon-do I.T.F à l’Open de Brabant. Et le 3 juin 2024 ils effectueront leur retour à Kinshasa, capitale de la

RDC.

Antoine Bolia

 

 

 




Dossier brûlant: Pourquoi la journée nationale des sports (23 janvier 2024) est passée dans l’anonymat ?

Le 23 janvier de chaque année, la République Démocratique du Congo célèbre la journée nationale du sport. Nombreux sont les sportifs congolais qui ignorent comment on est arrivé là (NDLR célébrer cette journée historique).

Origine de la journée nationale du sport ce 23 janvier 2023 

En 1968, Les Léopards de la RDC ont participé à la 8è Coupe d’Afrique des Nations de football à Addis-Abeba, en Ethiopie. Ces derniers battaient en finale les blacks stars du Ghana 1-0. L’unique but était marqué par feu Kalala Mukendi alias bombardier. Grâce à cette éclatante victoire, les Léopards remportaient là leur premier titre continental.

A leur retour au pays le 28 janvier 1968, ils étaient accueillis en héros par la population kinoise qui leur avait réservé un accueil délirant. Feu président Mobutu Sese Seko leur décerna des médailles de mérite sportif. Pour couronner le tout, le président Mobutu prit la décision de consacrer la date du 23 janvier de chaque année ‘’Journée nationale du sport en RDC’’. Ces Léopards avaient pour noms : Kalala Mukendi (+), Ebengo ‘’Souplesse’’ (+), Kibonge Mafu, Mungamuni alias l’homme d’Asmara (+), Kabamba Nicodème (+) et autres. Nos pensées pieuses à tous les disparus.

A ce jour, on ne compte plus le nombre de fois où cette journée passe inaperçue

Aussi curieux que ça puisse paraître, la journée du 23 janvier de chaque année n’est toujours pas célébrée à sa juste valeur en RDC. On ne compte plus le nombre de fois où elle passe inaperçue comme ce fut le cas en 2024. Et pire, les héros continuent à être l’objet d’un dénigrement sans pareil. Les vivants continuent à vivre des pas mûrs. La rente mensuelle qui leur était due n’est qu’un lointain souvenir. Ils ont même fait dernièrement un sit-in devant le ministère des finances. Sans suite à ce jour.

Des choses inimaginables à bannir à jamais 

Par un communiqué de Presse daté du 14 janvier 2023 et signé par M. Bertin Mawaka Lukembo, Directeur de cabinet du ministère des finances, il était précisé le montant des primes de Léopards/football pour le match amical contre la Libye et les matchs de la phase des groupes à la 7è édition du CHAN 2023. Montant respectif alloué 235.000 USD et 910.500 USD logés à la Rawbank.

Par ailleurs, dans le communiqué de presse sus évoqué, le ministère des finances informait en même temps l’opinion nationale que son objectif n’était nullement de tuer le sport congolais comme le prétendent certains calomniateurs (sic). Il s’agissait tout simplement de se conformer aux principes modernes de gestion des finances publiques et mettre de l’ordre dans ce secteur, dans l’intérêt de tous.

Et en son temps, nous nous sommes interrogés sur ce qu’attendait le ministère des finances lorsqu’il soulignait il s’agit tout simplement de se conformer aux principes modernes de gestion des finances publiques et mettre de l’ordre dans ce secteur, dans l’intérêt de tous (resic).

Comment peut-on parler des principes modernes de gestion des finances publiques et mettre de l’ordre dans ce secteur du sport lorsque les Léopards/football n’avaient pas encore fini leur mission mais ils avaient 910.500 USD logés à la Rawbank ? Cette manière de faire et d’agir nous a réconfortés sur les privilèges exagérés que ne cesse de bénéficier le football par rapport aux autres disciplines sportives.

La gente féminine quantité négligeable en RDC ? 

La question mérite d’être posée car la gente féminine est négligée, marginalisée et l’on lui accorde que peu d’attention. Nombreux compatriotes ignorent qu’à ce jour, la RDC compte déjà deux qualifiées dames pour les Jeux Olympiques Paris 2024. Il s’agit de la boxeuse Marcelat Sakobi et la judokate Sona Chanceline -78 kg dames. Aucune prise en charge n’est assurée à ces deux braves filles pour leur permettre une participation efficiente à ce grand rendez-vous planétaire.

Ce n’est pas tout. Les Léopards/dames football U20 pour les Eliminatoires Coupe du monde Colombie 2024 étaient restées à l’hôtel comme des clochards. Elles s’entassaient dans quelques deux chambres dans des conditions déplorables. Elles ne mangeaient pas. La débrouillardise battait son plein. Et au finish pour toute la campagne des éliminatoires, elles n’ont pu percevoir qu’une modique somme de 500 $/chacune pour les calmer.

Et que dire des braves Léopards/filles cyclisme qui avaient brillé de mille feux à la 1ère et 2è édition du Tour cycliste international féminin du Burundi en 2021 et 2022 et qui ont été moins brillantes à la 3è édition 2023 faute d’une préparation sérieuse ? L’état congolais ne donne plus rien à la FECOCY alors que le cyclisme est la discipline par excellence pour mieux vendre l’image du pays.

A titre de rappel, par équipe, les cyclistes filles avaient terminé respectivement 4è et 2è aux deux 1ères éditions du Tour cycliste International féminin du Burundi. En individuel, Okito Hélène termina 3è et 2è. Ce qui est vraiment dommage et incompréhensible, ces braves filles n’ont rien perçu à ce jour du trésor public. Pourtant, elles ont représenté le pays en bonne et due forme pendant ces trois éditions du Tour cycliste international féminin du Burundi. Les ordres de mission signés par le ministère des sports et loisirs existent.

Les cyclistes filles et les autres sportifs qui réalisent des performances ont droit à leur prime voici les raisons

Comment alors imaginer que ces filles aient participé à deux éditions et après avoir réalisé les exploits précités, elles n’aient reçu aucun franc congolais ? Nous devons souligner que c’est une nouvelle compétition et les nôtres ont été parmi les meilleures. C’est un honneur et grand prestige pour la RDC. Ces braves cyclistes dames, la boxeuse Marcelat Sakobi et surtout la judokate Sona Chanceline (NDLR cette dernière n’a bénéficié d’aucun rond du trésor public parce que tous les déplacements étaient assurés par la Conaju ‘’Coordination Nationale des Activités du Judo en RDC’’ et les judokas n’ont bénéficié d’aucune prime de l’état congolais) y notre compatriote Mputu avait glané la ceinture de champion du monde en ju-Jitsu mais n’a rien reçu, tous ont vraiment droit à leur prime à la hauteur des exploits réalisés.

Para badminton, la RDC avait fait sensation au championnat d’Afrique à Kampala

Les athlètes congolais avaient réalisé des exploits au championnat d’Afrique des Nations de Para badminton du 18 au 24 septembre 2022 à Kampala, en Ouganda.

A cette compétition, la RDC devait aligner 7 athlètes. Fautes des moyens, elle n’a pu amener que 4 athlètes (2 garçons et 2 filles). Il s’agit de :

1. Prince Mamvumvu

2. Bob Kanga

3. Wivine Moyo

4. Frida Ditu

La RDC était alignée en simple messieurs, simple dame, Double messieurs, double dames et double mixte. 14 pays avaient pris part à la compétition. La RDC avait glané 6 médailles (3 or et 3 argent).

Prince avait glané 2 or + 1 argent, Bob Kanga 1 argent, Wivine Moyo 1 argent et Frida une or. Eu égard à la meilleure prestation de Prince, la confédération Africaine lui a octroyé une bourse du 15 décembre au 12 janvier 2023 à KualaLoumpur, en Malaisie au centre New Vision. C’est dans ce centre que Prince devait préparer les prochaines échéances et paralympiques Paris 2024. A ce jour, l’on ne sait si ce brillant jeune a effectué le déplacement.

D’autre part, les badistes de la RDC qui étaient attendus au Tournoi international de Badminton du 17 au 20 novembre 2022 avaient brillé par leur absence. Ils avaient également brillé par leur absence au championnat d’Afrique U19 du 11 au 18 décembre 2022 à Port Louis (Ile Maurice).

Qualifié au championnat du monde prévu au mois de février 2024 en Thaïlande, le congolais Prince Mamvumvu mérite une attention particulière. Malheureusement, jusque-là, rien n’est sûr que ce brillant jeune va effectuer le déplacement.

Que dire de plus ?

Au regard de tout ce que nous venons de relever pour ne prendre que les quelques cas, d’aucuns peuvent se poser la question où est vraiment la justice ? N’est-ce pas là une bonne manière de tuer le sport ?

La question fondamentale que nous ne cesserons jamais de la poser au Ministère des finances demeure celle-ci : D’habitude les footballeurs, avant même d’effectuer leur mission, ils ont déjà leur prime faramineuse. Mais pourquoi ceux qui ont déjà réalisé des exploits et hissé haut le drapeau congolais demeurent sans prime ?

En termes clairs, nous continuerons à le souligner haut et fort que résoudre les problèmes des sportifs de manière sélective, ne sera jamais une bonne chose pour le ministère des finances censé être le parent de toutes les disciplines sportives.

Et d’ailleurs, au terme de la loi sportive depuis sa promulgation, toutes les disciplines sont mises sur le même pied d’égalité. Il ne peut plus avoir d’un côté les privilégiés et de l’autre côté, des laisser pour compte. Le Ministère des finances à dire vrai, devra bannir à jamais la discrimination, le favoritisme et l’injustice. Si aujourd’hui, 25 disciplines sportives ont la délégation de pouvoir, il faudra que toutes signent des contrats d’objectif. Le financement pourra dépendre des performances. C’est une option que l’on peut prendre dans un premier temps. La République Démocratique du Congo n’est pas qu’un scandale géologique mais elle est également un scandale en talents sportifs. Mis dans des meilleures conditions, les athlètes congolais sont capables de réaliser des exploits inouïs. En d’autres termes, au jour d’aujourd’hui, le sport congolais n’a pas besoin de la discrimination.

Dans l’avenir, la journée nationale du sport faute d’être une journée festive, devra être une journée de méditation pour repenser à tous ces problèmes qui se pose dans le sport congolais. Et nous sommes surs et certai

ns que le sport congolais ira mieux.

Antoine Bolia




Opérations militaires : Plus de 50 ex-rebelles ADF rapatriés dans leurs pays d’origine  

La Cité de Kasindi, une bourgade située à la limite entre la République démocratique du Congo et l’Ouganda en territoire de Beni au Nord-Kivu a accueilli ce vendredi 26 janvier 2024, une cérémonie de rapatriement de plus de cinquante ex-rebelles du groupe Allied Démocratic Forces (ADF) gardés en Ouganda et Rdc qui ont été sensibilisés sur un processus intensif de déradicalisation du djihadisme.

D’après le Colonel Okoko Bokeon, Commandant adjoint du secteur opérationnel en charge des Opérations et renseignements qui a représenté la délégation congolaise, alors du côté ougandais c’est le Général Duck Olumu, Commandant de la division de montagne de l’Updf sur le sol congolais.

Ces deux officiers ont indiqué que parmi les ex-rebelles rapatriés figuraient des anciens combattants ADF, de mineurs et des personnes sauvées pendant les opérations Ushuja qui sont conjointement menées au Nord-Kivu et Ituri.

Ils précisent également que ce rapatriement entre les troupes de l’armée congolaise et ougandaise engagées dans les opérations au Nord-Kivu et Ituri vise à lutter contre l’activisme des rebelles Adf dans la région.

Ces 50 ex- rebelles remis en Rdc seront réinsérés dans la communauté et autres 4 terroristes d’origine ougandaise capturés lors des opérations militaires.

Notons que ces ex-rebelles ADF ont bénéficié une séance de trois mois sur une prise en charge psychologique, de détraumatisation avant d’être réintégré dans leurs communautés respectives.

Alain Wayire/Beni




Colloque international pour le Jubilé du Cœur de Jésus

Un colloque international se déroulera à Rome du 1er au 5 mai 2024, à l’occasion du 350e anniversaire des apparitions du Cœur de Jésus à sainte Marguerite-Marie, en France. Cet événement exceptionnel a débuté le 27 décembre 2023 avec l’ouverture de la Porte Sainte à Paray-le-Monial, et se déroulera pendant 18 mois.

Le thème du colloque est « réparer l’irréparable ». Ces quelques jours permettront de réfléchir sur l’appel de Jésus à réparer les indignités faites à son Cœur et comment cette réparation peut s’inscrire dans le contexte actuel au sein de l’Église et dans notre monde contemporain.

L’appel de Jésus à réparer les outrages faits à son Cœur est une dimension souvent moins connue des révélations à sainte Marguerite-Marie, mais essentielle pour comprendre la mission qui lui a été confiée et son impact sur la foi catholique. Réparer, c’est recevoir l’amour de Jésus et l’aimer en retour, pour pallier l’indifférence et les offenses dont il a été victime.

La réparation est une réponse à une actualité brûlante. Les victimes d’abus attendent justice et réparation, tandis que l’Église elle-même doit faire face à sa propre nécessité de réparation pour les actes qui ont entaché son intégrité.

Le colloque proposera des rencontres et des conférences avec de nombreux intervenants tels que Mgr Eric Moulins de Beaufort, archevêque de Reims et président de la Conférence des évêques de France, le P. Amedeo Cencini, professeur et docteur en psychologie, le P. Serge-Thomas Bonino, religieux théologien, le P. Benoît Guédas, ancien recteur du Sanctuaire de Paray-le-Monial en mission actuellement au Québec et Isabelle Chartier-Siben, psychothérapeute et victimologue.

Le colloque sera traduit sur place en direct en anglais, espagnol, italien et français.




Nouvelle évangélisation : qui est sœur Glenda ?

En Espagne, 45,5 % des jeunes âgés de 18 à 28 ans ont cessé de professer leur foi parce qu’ils considèrent l’Église démodée ou ennuyeuse. Pour lutter contre cet éloignement, l’Église cherche à les attirer par le biais de groupes et d’initiatives, s’appuyant sur la musique, les films et les activités culturelles : la nouvelle évangélisation est l’un des projets les plus passionnants de l’Église catholique.
Glenda Hernandez, plus connue sous le nom de « Sister Glenda », est l’un des principaux visages de ce mouvement, une de celles qui a suscité le plus d’intérêt et d’écho auprès du public en raison de son engagement en faveur de la musique et de la nouvelle évangélisation. Elle est en fait une référence internationale. Depuis 1998, elle consacre sa vie à l’enseignement, à la composition de chansons et à la vie apostolique dans un seul but : évangéliser.
Sœur Glenda a été religieuse de la Congrégation des religieuses de la Consolation, passant par le Chili, l’Argentine et l’Espagne, jusqu’à son départ en 2008 pour rejoindre l’Ordo Virginum, dépendant de l’évêché de Terrassa (Barcelone). Consacrée comme vierge, elle allie désormais musique et prière partout où elle est invitée et où l’évêché lui dit d’aller.
ZENIT a contacté Glenda Hernández pour en savoir plus sur la vie de cette femme consacrée, spécialiste en psychologie et en théologie.
En quoi consiste votre travail aujourd’hui et qu’est devenue sœur Glenda ?
Je suis consacrée depuis plus de 34 ans ! Comme vous l’avez très bien dit, j’ai passé 19 ans comme religieuse dans la communauté des Sœurs de la Consolation, en me consacrant à l’enseignement. C’est précisément en Catalogne qu’est née cette congrégation que j’ai tant aimée et que j’aime tant, et c’est pour cela que je suis ici : pour être proche d’elle. J’étais à Salamanque, où j’étudiais la psychologie, et en 2008, j’ai décidé de quitter cette congrégation pour devenir vierge consacrée dans le diocèse de Terrassa (où je vis encore aujourd’hui). Aujourd’hui, je me concentre sur le soutien psychologique, la spiritualité et la foi, ainsi que sur la musique, bien sûr. Nous devons transmettre la Bonne Nouvelle avec des mots actuels !
Les temps nouveaux s’adaptent-ils à l’évangélisation, ou est-ce l’évangélisation qui s’adapte aux temps nouveaux ?
La réponse est claire. Comme la diffusion des nouvelles a changé, la manière de transmettre le message du Christ au monde doit également changer. Pour moi, c’est au chrétien de s’adapter en étant capable d’annoncer cette Bonne Nouvelle aujourd’hui dans la culture et la langue de chaque personne et de chaque nation.
Nous sommes immergés dans une société qui ne veut pas de Dieu, et pourquoi ce manque ?
C’est une société qui ne veut pas parler de Dieu. En psychologie, nous utilisons une notion qui se traduit par « l’alignement de la personne ». Par exemple, une personne pourra vous dire qu’elle se sent bien et, après avoir décrit ce qu’elle ressent dans son corps, elle passe à la tête. Par exemple : en Catalogne, d’après ce que je vois, les gens cherchent la paix, les gens veulent Dieu, mais ils l’appellent par un autre nom.
Saint Jean de la Croix disait que ce Dieu qui s’est fait chair s’adapte. C’est pourquoi Dieu continue de venir dans nos vies parce qu’il est le Chemin, la Vérité et la Vie. Le monde veut Dieu, même s’il ne le sait pas encore.
Nous assistons à une période de turbulences pour l’Église, à de nouveaux changements qui semblent remettre en question l’avenir de l’Église traditionnelle telle que nous la connaissons aujourd’hui. Est-ce le cas ?
Je suis très reconnaissante d’avoir pu étudier l’histoire de l’Église, car j’ai la réponse à cette question : après deux mille ans, vous vous souviendrez que le seul péché qui existait était l’apostasie. Vous deviez faire une confession publique ou étiez envoyé en pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle ou à Jérusalem. Imaginez le choc quand ils ont dit que la confession se faisait mieux « face à face », et c’est ainsi qu’est né le mouvement monastique, qui associait ces confessions à la direction spirituelle. Imaginez aussi que lorsque j’ai étudié la théologie à Rome, à l’université grégorienne, les religieuses étaient fascinées que nous, les femmes, puissions étudier et participer à l’administration de la communion.
Je considère que nous sommes vivants, j’aime le fait qu’il y ait des changements, ils sont bons et nécessaires. Ainsi, avant, nous défendions la Vérité par-dessus tout, ce qui a donné naissance à l’Inquisition. Maintenant nous avons progressé en défendant la Charité, en étant fidèles à la vraie tradition qui n’est autre que « aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés et ainsi vous serez reconnus ».
Vous avez une trajectoire intense de concerts, d’ateliers et de conférences : où va l’argent que vous récoltez ?
C’est une très bonne question, surtout parce que je crois que la transparence est nécessaire dans ce domaine : nous avons la logistique pour donner des ressources aux paroisses, en particulier à celles qui promeuvent les événements auxquels je participe, surtout aux États-Unis, où l’Église n’est pas soutenue comme en Espagne par les contribuables qui marquent le X dans la case de l’impôt sur le revenu. L’Église en Amérique doit se débrouiller, les prêtres organisent de nombreux événements. La moitié des fonds que nous obtenons sont distribués dans la paroisse et l’autre moitié va à la fondation « Consuelen », à partir de laquelle j’organise mon travail, couvrant les dépenses liées à mon voyage et à celui de mon équipe, les repas et les avions, ainsi que les hôtels. Bien sûr, ce qui reste est consacré à l’évangélisation. Par exemple, il y a des années, nous avons accordé des bourses à des étudiants et soutenu des soupes populaires (jusqu’à la pandémie, mais cela va reprendre).
Glenda continuera-t-elle à travailler beaucoup et la reverrons-nous sur scène ou lors d’une tournée internationale ?
La vérité est que, jusqu’à la pandémie, je passais beaucoup de temps en tournée hors d’Espagne. Pendant et après la pandémie, j’ai dû reprendre mon travail de psychologue de manière plus active. Mon cabinet de consultation était plein en permanence et j’ai dû accompagner et soutenir bien des personnes souffrant de problèmes liés à la pandémie. D’ailleurs, j’ai récemment obtenu un master en coaching à l’université de Barcelone !
Maintenant que j’ai 53 ans, j’envisage de revenir sur scène, mais peut-être pas avec la même intensité. Aujourd’hui je fais un mélange de psychologie et de musique sans cesser d’accompagner les personnes en tant que psychologue.
Comment un jeune laïc peut-il entreprendre un chemin de sanctification dans les temps actuels, et quel message pour ceux qui envisagent une vocation religieuse ou matrimoniale ?
Je suis une fervente admiratrice de saint Augustin et je crois que, comme il le disait, il faut écouter davantage le cœur.
Je me souviens parfaitement qu’en pleine dictature de Pinochet, je cherchais des réponses au sens de la vie. Lors d’une conférence à laquelle j’étais invitée, le prêtre a dit une phrase qui a marqué ma vie pour toujours : « Les désirs du cœur sont des présages de Dieu pour l’âme, Dieu te fera désirer ce qu’il veut te donner », il est important d’écouter le désir du cœur, il est important de discerner, comme l’a dit saint Paul.
En voici un exemple. J’appartiens à l’un des ordres les plus anciens, l’ »Ordo Virginum », qui n’impose pas l’habit religieux. Il y a quelques mois, j’ai participé à une réunion de nombreuses femmes consacrées de cet ordre ; certaines d’entre nous portaient l’habit, d’autres non. Cet ordre est unique, pourtant chaque consacrée décide de la manière dont elle veut vivre son ministère.
L’essentiel pour comprendre une vocation est peut-être d’écouter votre cœur et de suivre vos désirs, ce qui rendra votre vie merveilleuse et épanouissante.
Les catholiques sont de plus en plus persécutés et des tentatives sont faites pour restreindre la liberté religieuse sur la voie publique : cependant, plusieurs groupes de jeunes et de moins jeunes prient le Rosaire devant des cliniques d’avortement en Espagne et dans d’autres lieux publics ; soutenez-vous ces actions ? Quel message transmettez-vous à ces personnes ?
Malheureusement, la tolérance se perd. La société est devenue intolérante à l’égard de tout ce qui a trait au christianisme. Il est plus facile de parler de yoga ou de thérapies chinoises par le tambour. J’ai eu la merveilleuse opportunité de participer à Salamanque à la prière du Rosaire devant une clinique d’avortement où j’ai pu partager ma musique. Je respecte ces actions, mais je crois aussi que ceux qui n’aiment pas cela devraient être respectés. Nous devons souvent tolérer des choses que nous détestons.
Nous devons revenir à l’âge adulte du christianisme, c’est-à-dire discerner quand nous devons mieux aimer et comment le faire, en traitant les gens comme des adultes et surtout en examinant nos actions.
Merci beaucoup Glenda pour votre amour, votre travail et votre dévouement. Je vous remercie tout particulièrement de vous être occupée de nous et d’avoir clarifié tant de doutes qui sont maintenant résolus.

Colloque international pour le Jubilé du Cœur de Jésus




Bénin : Visite du cardinal Michael Czerny, préfet du Dicastère pour le service du développement humain intégral

 

Du 17 au 20 janvier 2024‚ le cardinal Czerny a rencontré les évêques du Bénin et le nonce apostolique, Mgr Mark Miles. Il a travaillé pour la mise en œuvre d’un grand projet écologique et a touché du doigt certaines œuvres sociales réalisées par l’Église locale.
À son arrivée‚ le préfet a rappelé la nécessité de répondre à l’appel que le pape François a lancé dans l’encyclique Laudato Si’ et a noté : « J’espère que l’Église, de même que le peuple, seront encouragés dans cette vocation que nous partageons, pour nous-mêmes, surtout pour les plus pauvres, et aussi pour les générations futures, et vis-à-vis desquelles nous avons une grande responsabilité. »
« Il est intéressant pour moi de savoir quels sont les défis spécifiques ici, en matière d’environnement, mais aussi de justice sociale, car les pauvres sont les premières victimes du désastre écologique que nous vivons et que nous avons causé », a-t-il déclaré.
Son agenda étant très chargé‚ le 18 janvier, il s’est rendu au Centre de santé à but non lucratif Saint-Jean de Cotonou où il s’est entretenu avec les médecins.
Le cardinal Czerny a également rencontré distinctement les évêques de la Conférence épiscopale du Bénin et ceux du Togo voisin et ils ont abordé les défis auxquels l’Église est confrontée dans ces deux pays.
Le 19 janvier, le prélat a participé à une réunion avec les commissions sociales épiscopales et les congrégations religieuses qui interviennent dans le domaine social au Bénin.
Le cardinal Czerny a présidé une messe en l’église Saint-Michel de Cotonou.
Dans son homélie, en s’appuyant sur l’appel de Jésus aux apôtres dans l’Évangile, le cardinal a rappelé qu’à travers Jésus « Dieu a voulu avoir des collaborateurs, Il a fait des êtres humains que nous sommes, ses collaborateurs » avant de souligner que « si Dieu nous a fait confiance en nous établissant ses collaborateurs, les collaborateurs de sa mission, nous recevons aussi la mission de vivre dans la confiance les uns avec les autres ».
« Le Synode sur la synodalité nous invite à marcher ensemble, à faire route ensemble, à vivre dans la communion, dans la participation commune à la mission du Christ, dans le discernement commun qui nous permet de trouver et d’accueillir la volonté de Dieu », a-t-il ajouté.
À cet effet, le préfet a déclaré : « Comme les premières communautés, nous sommes rassemblés par le Christ pour annoncer la Bonne Nouvelle non seulement par la parole mais encore par notre témoignage. » Puis il a conclu : « Que notre foi fasse grandir notre Église au Bénin, qu’elle nous permette d’être de vrais témoins de la Bonne Nouvelle de la venue du règne de Dieu qui prend en compte les pauvres et les exclus de notre société. Que notre foi soit un levain de paix, d’amour et de justice. »
Le samedi 20 janvier, dernier jour de sa visite‚ le cardinal Czerny a participé à une table ronde sur le projet dénommé « Église verte » de l’archidiocèse de Cotonou, avec la participation de partenaires techniques et financiers, de diplomates, d’évêques, de prêtres, de religieux et de religieuses.
Le projet promeut différentes initiatives en faveur de la conversion écologique et, en général, d’une attitude responsable vis-à-vis de l’environnement, sur la base des appels du pape François à prendre soin de la maison commune, contenus dans l’encyclique Laudato Si’, et de l’exhortation apostolique Laudate Deum, qui invitent à prendre des mesures concrètes en vue d’une conversion écologique.
Armel NONFODJI, correspondant de ZENIT francophone au Bénin




Il y a 65 ans, Jean XXIII a préparé et convoqué le Concile qui a tant marqué l’Église

Le 25 janvier 1959, trois mois après son élection, le pape Jean XXIII surprenait la Curie romaine et le monde entier en annonçant son projet de lancer un Concile œcuménique. C’était il y a 65 ans.

« Vénérables frères et nos enfants bien-aimés ! Nous prononçons devant vous, certes en tremblant un peu d’émotion, mais en même temps avec une humble détermination, le nom et la proposition de la double célébration : d’un Synode diocésain pour la Ville de Rome et d’un Concile œcuménique pour l’Église universelle » avait-il exprimé à ses frères cardinaux, consternés, en ce jour de la fête de la Conversion de saint Paul.

Le nouveau pape voyait alors trois objectifs dans l’organisation d’un Concile œcuménique : renouveler l’Église elle-même et faire son « aggiornamento », rétablir l’unité de tous les chrétiens, et engager le « dialogue de l’Église avec les hommes d’aujourd’hui ».

« Aggiornamento » est un terme italien signifiant littéralement « mise à jour », et utilisé à la fois par l’Église catholique et les médias pendant le Concile Vatican II.

Le pape Jean XXIII a ainsi préparé et convoqué lui-même le Concile en 1962, mais il n’en a pas vu la fin, puisqu’il est mort en 1963. Ce Concile a été le 21e Concile de l’histoire de l’Église. Il a duré trois ans et s’est terminé en décembre 1965, sous le pontificat de Paul VI.

Pendant quatre automnes consécutifs, quelque 2 400 évêques venus du monde entier y ont participé, et l’Église catholique en a été profondément renouvelée et rajeunie. Un événement majeur pour tout l’Église catholique dont l’impact se mesure encore aujourd’hui. Il a marqué le début de la rénovation de l’Église, la réforme de ses structures et la révision de sa liturgie.

Le « bon pape Jean », souriant et simple, a été également le pape « de la docilité à l’Esprit-Saint », selon les termes du pape François qui l’a canonisé en 2014. Saint Jean XXIII est fêté le 11 octobre, jour de l’ouverture du Concile Vatican II.




Haïti : Les six religieuses enlevées à Port-au-Prince ont été libérées ce 24 janvier

Gratitude et action de grâce pour l’Église d’Haïti. Les religieuses prises en otage à Port-au-Prince par des hommes armés alors qu’elles voyageaient à bord d’un bus, ont retrouvé leur liberté dans la soirée du mercredi 24 janvier 2024.

Dans un communiqué publié ce 25 janvier, la Conférence haïtienne des religieux (CHR) rend grâce pour cette libération : « La conférence haïtienne des religieux s’unit aux exclamations de joie des sœurs de Sainte Anne, de Mgr Max Leroy Mésidor, archevêque métropolitain de Port-au-Prince, des fidèles et de toutes les personnes qui ont été attristées par cet enlèvement spectaculaire (…). » L’Église d’Haïti confie également sa gratitude envers la solidarité et la prière de tant de chrétiens du monde pour la libération des religieuses.

Cet enlèvement a constitué le plus grand enlèvement du nombre de religieuses de ces dernières années. « En ce douloureux moment, le bureau de la CHR invite tous les chrétiens et toutes les chrétiennes d’Haïti à faire une chaîne de prière de supplication : « Vers Dieu, je crie mon appel ! Je crie vers Dieu : qu’il m’entende » (Ps 76,2) » avait alors écrit le P. Morachel Bonhomme, président de la CHR.

L’insécurité est toujours très grande dans ce petit pays, dont les chrétiens constituent 91 % de la population. Il s’agit du pays le plus pauvre du continent américain. Haïti connaît depuis plusieurs années une profonde crise économique, sécuritaire et politique. À cela s’ajoutent les souffrances liées aux aléas naturels : ouragans, inondations, tremblements de terre…

Les enlèvements se multiplient, avec la présence dans le pays de nombreux gangs armés et spécialement dans la capitale. L’Église catholique est souvent prise comme monnaie d’échange. En 2022, une missionnaire italienne a été assassinée et cinq prêtres enlevés. L’an dernier, deux prêtres ont également été enlevés. Les sept prêtres ont finalement été relâchés.

Le pape François avait lancé dimanche dernier 21 janvier, à l’issue de la prière de l’Angélus, un appel à la prière, en demandant de toute urgence la libération des religieuses : « J’ai appris avec douleur la nouvelle de l’enlèvement en Haïti d’un groupe de personnes, parmi lesquelles six religieuses : en demandant instamment leur libération, je prie pour la concorde sociale dans le pays et j’invite tout le monde à mettre fin aux violences, qui causent tant de souffrance à cette chère population. »




Sur la performance des Léopards, Blanchard Tungu de AGL est serein : « C’est vrai qu’on avance à pas de tortue, mais la victoire est nôtre » 

Blanchard Tungu, Clients operations Manager/Airfreight Operations/Africa Global Logistics RDC

 

AGL est le partenaire logistique officiel de la CAN. En suivant la CAN et la publicité d’AGL, on croirait que cette entreprise n’est pas implantée chez nous… Au contraire, elle est bien en RDC. A Kinshasa, leurs bureaux sont situés au 4200 avenue Général Bobozo Adruma, commune de la Gombe sur Poids lourd. AGL est aussi présent à Matadi, Lubumbashi et Goma. Blanchard Tungu, Clients operations Manager a accepté de répondre à nos questions. Il nous partage son sentiment sur cette compétition de la Coupe d’Afrique des nations qui se déroule en Côte d’Ivoire et dont AGL est partenaire.

Parlez-nous de votre métier ?

 

Je suis en charge de l’import/export à l’aérien de tout type de marchandises. Avec mes équipes, nous nous occupons des formalités douanières de bout en bout. Du point de départ à la livraison de la marchandise aux clients. C’est le transit aérien.

 

Que pensez-vous des performances des Léopards à la CAN Cote d’Ivoire 2023 ?

 

C’est vrai qu’on avance à pas de tortue, mais la victoire est nôtre. Avec Bakambu et Chancel, le capitaine, nous avons des joueurs décidés à changer l’histoire. Nous avons raté un penalty, ce n’est qu’une erreur qui se justifie avec la pression qui pèse sur les épaules des joueurs. Bakambu est le renard de surface. Il peut faire des miracles. Il sait se remettre en cause, s’appuyer sur ses co-équipiers pour terrasser l’adversaire, mettre à mal toutes les stratégies des coachs adverses afin de faire briller le soleil sur l’équipe nationale. Je le crois dur comme fer, on en reparle le 11 février à l’issue de la

finale.




La Fondation Vodacom présente les 100 gagnants de la 5ème édition de la Bourse d’Exetat

Enfin, la Fondation Vodacom publie la liste de 100 gagnants de la bourse Exetat, qui en est à sa 5ème édition. Les 100 bourses d’études d’une valeur de 5000 dollars américains chacune visent à apporter un soutien financier aux étudiants ayant terminé leurs études secondaires, leur permettant de poursuivre des études supérieures et de contribuer au progrès du pays. En mettant l’accent sur les domaines STEM, la Fondation Vodacom vise à encourager la prochaine génération de scientifiques, d’ingénieurs et d’innovateurs qui piloteront les avancées technologiques et résoudront les défis auxquels la nation est confrontée.

Comme dans ses habitudes, la Fondation Vodacom a présenté les 100 gagnants de la 5ème édition de la Bourse d’Exetat. Ces candidats exceptionnels ont été soigneusement sélectionnés après une série d’épreuves organisées simultanément à Kinshasa et dans les différentes régions de la République Démocratique du Congo.

Cette année particulièrement, indique un communiqué de presse en notre possession, la Fondation Vodacom a décidé d’accorder sa bourse aux candidats ayant choisi les secteurs des STEM (Science, Technologie, Ingénierie et Mathématiques).

« C’est une belle opportunité pour ces jeunes talents de se lancer dans des domaines d’études essentiels au développement et à l’innovation de notre pays », a expliqué Mme Pamela Ilunga, Présidente de la Fondation Vodacom. La bourse Exetat, qui en est à sa 5ème édition, vise à apporter un soutien financier aux étudiants ayant terminé leurs études secondaires, leur permettant de poursuivre des études supérieures et de contribuer au progrès du pays. En mettant l’accent sur les domaines STEM, la Fondation Vodacom vise à encourager la prochaine génération de scientifiques, d’ingénieurs et d’innovateurs qui piloteront les avancées technologiques et résoudront les défis auxquels la nation est confrontée.

Il sied de préciser que le processus de sélection pour le programme de bourses a été rigoureux, les candidats devant démontrer non seulement leur excellence académique, mais également leur passion pour le domaine de leur choix. Un panel d’éducateurs et de professionnels des secteurs STEM a évalué les candidatures des candidats en tenant compte de leurs résultats académiques, de leurs activités parascolaires et de leurs déclarations personnelles.

100 bourses d’études d’une valeur de 5000 Us chacune

Les 100 lauréats de la bourse Exetat auront désormais l’opportunité de poursuivre leurs études dans des universités et institutions de renom au niveau national. Les 100 bourses d’études d’une valeur de 5000 dollars américains chacune, couvriront les frais académiques et connexes tout au long de leurs cinq années d’études universitaires, en fonction de leurs performances continue, pour garantir ainsi que ces étudiants se concentrent uniquement sur leur éducation et maximiser leur potentiel

C’est ainsi que la Fondation Vodacom se dit fière de contribuer au développement de l’éducation et de promouvoir l’excellence dans les domaines des STEM. En soutenant ces jeunes talentueux, la fondation estime qu’ils deviendront de futurs leaders et contribueront de manière significative à l’avancement de la République démocratique du Congo. En plus du soutien financier fourni par le programme de bourses, la Fondation Vodacom propose également des opportunités de mentorat, des stages et même des opportunités d’emplois à travers le programme Vodacom ELITE qui leur ouvrira les portes d’une intégration professionnelle auprès du Meilleur Employeur en RDC pour la 8eme fois consécutive.

Selon le même document, ce système de soutien intégral vise à nourrir leurs talents et à les doter des compétences nécessaires pour réussir dans les domaines de leur choix. Rappelons qu’afin d’offrir la meilleure préparation possible aux candidats à la bourse EXETAT, la Fondation Vodacom avait mis à disposition la plateforme vodaeduc.vodacom.cd, la première école en ligne gratuite et accessible partout en RDC. Cette plateforme regorge de milliers de contenus éducatifs nationaux et internationaux, offrant ainsi un soutien précieux pour améliorer le niveau de l’éducation en RDC grâce à la technologie.

Alors que la 5ème édition de la Bourse Exetat touche à sa fin, la Fondation Vodacom félicite les 100 lauréats et leur souhaite plein succès dans leur parcours académique. Leur travail acharné, leur dévouement et leur passion pour les domaines STEM servent d’inspiration à d’autres jeunes de la République démocratique du Congo. En investissant dans l’éducation et en autonomisant la jeunesse, la Fondation Vodacom vise à créer un avenir meilleur pour l’ensemble de la nation.