Insolite à Beni : un chef coutumier se suicide à Oicha

Le nommé Safari Kazi Jean, chef du village Binza en localité Bakila Tenambo, entité située au nord de la commune d’Oicha, territoire de Beni, au Nord-Kivu s’est donné la mort par pendaison dans la journée du samedi 27 janvier 2024.

Les sources concordantes qui livrent la nouvelle renseignent que cet homme âgé d’une quarantaine d’années s’est donné la mort moyennant un étoffe d’habit dans sa chambre.

À elles de soutenir que les causes de sa pendaison ne sont pas connues. Toutefois, d’autres sources parleraient d’un conflit familial qui serait à la base de sa mort.

Aussitôt informé, les services de sécurité se sont rendus sur le lieu du drame pour les enquêtes et autorisation du retrait du corps pour la morgue de l’hôpital de référence d’Oicha en attendant son inhumation.

Notons que les cas de morts par suicide sont devenus récurant dans la région chose qui prouve la précarité de la vie de la population suite aux conflits imposés par l’insécurité grandissante orchestré par les rebelles Adf très actifs.

Alain Wayire/Beni




Très affectés : La CAC/VH et Papa Alidor Kamunga pleurent Maman Justine Mbelu

Ce jeudi 25 janvier 2024, personne ne s’imaginait qu’on terminerait la journée avec une si horrible nouvelle, celle de la mort de Maman Justine Mbelu, femme de M. Alidor Kamunga, Serviteur au sein de la Communauté des Assemblées chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH). C’était un coup de tonnerre pour tous ceux qui avaient aperçu cette femme de prière à l’église le dimanche 21 janvier 2024. Pour son mari qu’il a accompagné d’une façon exceptionnelle chercher les enfants à l’école, c’était inadmissible et insupportable. Des telles morts brusques laissent les familles dans les questionnements. A-t-elle été hospitalisée et avons manqué les moyens de la faire soigner ? Avait-elle une maladie incurable ? Ou c’est Dieu qui a voulu qu’il en soit ainsi ?

Mais là, Dieu en avait décidé ainsi, en dépit de tout ce que les hommes pouvaient faire. Sinon, qui aurait imaginé un tel événement dans la maison d’un Serviteur de Dieu ? Qui aurait pensé que la mort entrerait et emporterait de manière aussi facile que surprenante cette fidèle de la CAC/VH ? Ceci, pendant la dédicace où une attention particulière a été accordée à la prière contre l’esprit de mort.

Et c’est ici que nombreux ont pensé que le Représentant légal de la CAC/VH, l’ange de cette église, le pasteur François Mutombo, était réellement un prophète et avait vu juste. Non seulement que son Eglise a la révélation de prier contre l’esprit de mort, Voici l’homme venait d’initier un service contre l’esprit de mort au regard des différentes prophéties reçues. A l’instar de Kalembelembe, plusieurs Eglises prient aujourd’hui contre l’esprit de mort, parce que la menace ou le danger est réel.

Il est vrai, que si le pasteur François Mutombo peut mobiliser l’Eglise pour prier contre l’esprit de mort, Dieu demeure souverain et peut prendre qui il veut et au temps arrêté par lui-même. Preuve que les prières et autres sacrifices que les hommes font, c’est pour se disponibiliser à l’accueil de l’époux qui arrivera au moment voulu. C’est ici le lieu où la parabole des jeunes filles sages et folles trouve sa place. Comme pour dire qu’il n’y a que les femmes sages, qui se seront constituées la réserve en carburant, qui rencontreront l’époux et dineront avec lui.

De ce qui nous revient de la défunte femme du Serviteur de Dieu Char de feu, elle a succombé suite à une courte maladie. Très jeune et avec l’avenir devant elle, Maman Justice Mbelu avait des projets pour son ménage, son mari et ses enfants, qu’elle ne réalisera plus. Malheureusement, elle ne pourra plus apporter sa contribution, parce que le Créateur a décidé autrement.

Comme nous l’avons indiqué, au regard de l’engagement du Serviteur de Dieu Alidor Kamanga, personne n’aurait pensé à cette mauvaise nouvelle. Certains fidèles ont même témoigné que grâce à la prière de Papa Alidor, les malades sont guéris et ils trouvent satisfaction à leurs problèmes. Mais pour son cas, Dieu a semblé être absent, comme ce jour-là en Marc 4:38,39 où les disciples, s’adressant à Jésus lui dirent : « Maître, ne t’inquiètes-tu pas de ce que nous périssons?

Et pourtant, pour vivre la gloire dans la maison de son père, le Seigneur Jésus-Christ a dû passer par la mort. Preuve que personne ne maitrise la mort et rien ne peut l’empêcher quand Dieu décide de prendre l’une de ses servantes. A papa Alidor Kamunga, comme on aime si bien l’appeler à Kalembelembe, d’être fort et courageux pour affronter ce moment très éprouvants. Loin de se décourager, ceci devra lui permettre de s’attacher de plus en plus au Seigneur, lui seul qui est capable de rétribuer à chacun selon ses œuvres. Ce père de famille très accueillant et d’une bonté inégalée, devra s’appuyer sur son Eglise et sur son pasteur François Mutombo, pour se ressourcer et poursuivre le chemin.

Selon le programme rendu public à cet effet, la veillée mortuaire interviendra le mercredi 31 janvier 2024, pendant que l’enterrement au cimetière de Nécropole 2 aura lieu le jeudi 01 février 2024. Entre-temps, le deuil se tient à l’espace Bon Marché, au croisement des Avenues Kabambare/Flambeau (Arrêt Casino), Réf. diagonale de Kin Marché, dans la Commune de Barumbu. A Dieu seul soit la gloire. Adieu Maman Justine Mbelu.




CAN 2023 : le Nigeria en quarts de finale!

Comme lors de l’édition 2019 au même stade de la compétition, le Nigeria a éliminé le Cameroun (2-0) samedi à Abidjan en 8es de finale de la CAN 2023. Coupable de grosses erreurs défensives, à l’image d’Oumar Gonzalez sur le premier but adverse, et inoffensive en attaque en dépit de l’entrée en jeu de Vincent Aboubakar, la bande à Rigobert Song voir son rêve d’être sacrée en Côte d’Ivoire comme en 1984 s’envoler, tandis que les Super Eagles s’affirment parmi les favoris et affronteront l’Angola en quart de finale.

 

Après quelques intentions manifestes de part et d’autre à l’entame, c’est le Nigeria qui provoquait le premier gros coup de chaud de la partie avec un but de Semi Ajayi invalidé pour hors-jeu par l’arbitre marocain Rédouane Jiyed, après visionnage de la VAR (12e). Le défenseur avait en l’occurrence trouvé la faille à la suite d’une repousse de Fabrice Ondoa, préféré dans les cages à André Onana, et auteur de deux mauvaises sorties sur l’action.

 

Discret en attaque jusque-là, le Cameroun répliquait timidement par une reprise de volée dévissée de Frank Magri à la retombée d’un centre venant de droite (18e), puis par un centre-tir du Toulousain s’étant excentré à droite, capté sereinement par Stanley Nwabili (23e). Alors qu’ils sortaient enfin de leur coquille, les Lions Indomptables se sabordaient et étaient punis sur-le-champ par l’ouverture du score signée Ademola Lookman. À la suite d’une touche en retrait camerounaise, Victor Osimhen pressait Oumar Gonzalez qui perdait la possession du cuir. L’attaquant de Naples distillait dans la foulée un caviar à Lookman esseulé à droite, lequel plaçait le ballon sous le bras d’Ondoa, pas exempt de tout reproche (1-0, 36e).

 

 

Comme souvent, la réaction camerounaise intervenait par Magri, dont la reprise côté gauche était cette fois contrée par William Troost-Ekong (37e). Une parfaite illustration de la possession stérile des Lions Indomptables (près de 60 % à la mi-temps) contrastant avec l’efficacité des Super Eagles, lesquels ont cadré l’ensemble de leurs trois tirs, contre zéro sur deux tentatives côté camerounais.

 

Le Nigeria, une classe d’écart

La physionomie du match se détériorait quelque peu dans le second acte. Car si la possession n’avait pas changé de camp, les occasions se faisaient plus rares, avec notamment un seul tir de part et d’autre durant plus d’une demi-heure. Il fallait attendre le dernier quart d’heure, et la sortie du banc de Vincent Aboubakar (78e) suivie de la sortie sur blessure du gardien des Super Eagles (80e) pour voir enfin la fin de match s’emballer. Pas forcément du côté des Lions indomptables, mais dans le camp opposé. En effet, après une première alerte symbolisée par un sauvetage de Nouhou Tolo face à une reprise d’Ola Aina (85e), Lookman tuait le suspense en s’offrant le doublé à la conclusion d’une action sur la gauche et dont il était à l’origine. L’attaquant de l’Atalanta reprenait en effet au premier poteau un centre en retrait de Calvin Bassey. Le ballon freiné par Ondoa terminait sa course au fond des filets (2-0, 90e). Dans les arrêts de jeu, Jean-Charles Castelletto sauvait sur la ligne la balle du 3-0 et évitait l’humiliation au Cameroun (90e+8).

 

 

Le Nigeria s’impose donc pour la deuxième fois d’affilée face au Cameroun en huitièmes après la CAN 2019, avec une classe d’écart, et affrontera donc l’Angola en quarts vendredi prochain. Au Cameroun en revanche, cette élimination prématurée place le sélectionneur Rigobert Song sur un siège éjectable et fragilise le président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), Samuel Eto’o.




CULTE DU DIMANCHE 28 JANVIER 2024 / DEDICACE 2024/, AVEC LE PAST. FRANÇOIS MUTOMBO VH




Ce dimanche à Goma : Les évêques de la Rdc, du Rwanda et du Burundi vont prier pour la paix 

Alors que les relations ne sont pas au bon fixe entre ces 3 pays voisins, les 65 évêques venus du Rwanda, du Burundi et de la Rdc qui se réunissent depuis ce samedi matin à Goma au Nord-Kivu vont dire une messe pour la paix ce dimanche 28 janvier 2024 dans la ville de Goma.

Cette eucharistie sera célébrée à l’esplanade de la paroisse Notre-Dame du Mont Carmel à partir de 9 heures. Cette dernière, sera la seule célébration eucharistique dans toute la ville, selon une source proche de l’évêque du diocèse de Goma.

Les 65 évêques qui sont déjà dans la ville de Goma, ont profité de leur séjour pour aller assister les déplacés de guerre cantonnés au site de Lushagala dans le quartier Mugunga à l’Ouest de la ville de Goma.

Dans la messe commémorative de la journée des martyrs de l’indépendance à la paroisse Saint Esprit, le 17 janvier dernier, l’évêque du diocèse de Goma Willy Ngubi Ngengele a appelé les chrétiens de Goma et ses environs à participer massivement à cette messe qui sera dite dans l’objectif d’implorer la paix à l’Est de la Rdc secouée par la guerre depuis plus de deux décennies.




Julien Paluku s’est fait identifié auprès des services de l’Assemblée nationale

Le meilleur élu à la députation nationale dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu, Julien Paluku Kahongya, Ministre de l’Industrie s’est fait identifié ce samedi à Kinshasa au près des services de l’ Assemblée Nationale à quelques heures du démarrage de la session extraordinaire.
Devant la presse, l’élu du Nord-Kivu a fait entendre que la consolidation de la matérialisation de la vision du Président de République, Félix Tshisekedi avec la mise en place des politiques publiques pour faire face aux différents defis dont la pacification de l’Est du pays et la lutte contre la pauvreté doit plus préoccupée les députés nationaux et le futur Gouvernement de la République .
Outre le ministre Julien Paluku Kahongya, les élus Kiyaya, Bwanapua et Magnant se sont fait également identifiés.




Coopération Congo-Italie : Dénis Sassou N’Guesso à Rome

Le Chef de l’État congolais entame, à partir de ce samedi 27 janvier 2024, un séjour de travail de 5 jours en Italie Dénis Sassou N’Guesso débutera une visite officielle au terme de ce séjour de travail dans la capitale italienne, avec un programme ponctué par le forum Italie-Congo.

L’Italie prendra la présidence du Groupe des sept (G7), en 2024. La présidente du conseil des ministres italien, Giorgia Meloni s’est engagée à faire de l’Afrique un thème central au cours de son mandat. Le sommet Italie-Afrique qui se tiendra, les 28 et 29 janvier courant, s’inscrit dans ce cadre. Il constitue une occasion de renforcer les fondements de cette relation basée sur plusieurs piliers, parmi lesquels la sécurité alimentaire, la culture et la formation, la sécurité énergétique, le développement économique et infrastructurel, la lutte contre la traite d’êtres humains et contre le terrorisme, ainsi que la gouvernance de l’immigration légale.

Les lignes directrices du plan Mattei et la vision italienne sur le partenariat paritaire avec les pays africains devraient être illustrées au cours de ce sommet dont les travaux se termineront par une séance finale, synthétisant les propositions issues de la conférence. Selon le programme, cette séance finale indiquera les prochaines étapes du processus de Rome.

Un agenda de travail chargé pour Sassou N’Guesso

Le séjour italien du chef de l’Etat congolais ne s’arrêtera pas avec la fin du sommet. Il sera également marqué par une activité diplomatique intense. Son programme de travail prévoit, en effet, des entretiens en tête à tête avec la présidente du conseil des ministres italiens, Giorgia Meloni et avec le président de la République italienne, Sergio Mattarella.

Ces entretiens en tête à tête ces deux dirigeants italiens mettront, sans doute, en lumière la mise en œuvre des accords signés en février 2015 entre les deux pays, à l’issue de la visite officielle à Rome du président, Denis Sassou N’Guesso. Il s’agit notamment, de six accords de coopération portant sur les secteurs des infrastructures, de l’eau et l’électricité, de l’agriculture et l’élevage, de la construction des nouveaux logements, et du réaménagement du chemin de fer Congo-océan (CFCO) avaient été signés à l’issue de la rencontre entre Denis Sassou N’Guesso et Mattéo Renzi, alors premier ministre italien

Le forum Italie-Congo, l’un des rendez-vous au programme du président congolais, Denis Sassou N’Guesso, prévu pour le 31 janvier, pourrait permettre d’identifier les secteurs clés à travers lesquels les deux pays pourraient intensifier leurs échanges économiques et commerciaux, au-delà du secteur stratégique des hydrocarbures.

Avant de quitter la capitale italienne, Denis Sassou N’Guesso échangera avec sa Sainteté, le pape François. La dernière rencontre entre ces deux hommes remonte à décembre 2013 au Vatican. A cette occasion, ils avaient exprimé leur volonté de renforcer leur collaboration.

A noter que la coopération diplomatique entre le Congo et l’Italie remonte à 1968. Lors de sa dernière visite à Brazzaville, en octobre 2023, la première ministre italienne, Giorgia Meloni et Denis Sassou N’Guesso avaient conclu à la nécessité de repenser le modèle de coopération entre leurs deux pays.

Par Roch Bouka/Correspondants de la RTGA World au Congo.




RDC : plusieurs candidats députés nationaux et provinciaux de l’opposition s’engagent à soutenir la vision de Félix Tshisekedi

Les candidats députés nationaux et provinciaux de l’opposition ont accepté la main tendue du président de la République. Ils ont quitté Moïse Katumbi, Delly Sesanga et autres leaders de l’opposition pour accepter de travailler avec le Chef de l’État.

Dans une déclaration rendue publique ce samedi 27 Janvier 2024, ces candidats dénoncent la désorganisation au sein de l’opposition qui n’arrive pas à se choisir un candidat commun et se faire élire.

Aaron Mukula, ancien coordonnateur général du Rassemblement des Katumbistes et candidat député national dans la circonscription de Mont Amba avec ses paires ont mis en place une structure dénommée Mouvement des Patriotes Congolais Engagés (MPCE). Ils se disent prêts à accompagner le président de la République dans son second mandat.

“Nous, candidats députés nationaux et provinciaux de l’opposition, prenons notre engagement des patriotes devant Dieu et la nation congolaise à adhérer à la vision politique du chef de l’État en lui apportant notre soutien indéfectible dans toutes ses actions, ainsi que dans son combat de défendre la souveraineté nationale face à Paul Kagame le président Rwandais reconnu comme agent causal de l’agression de la République Démocratique du Congo ainsi que ses marionnettes congolais “, a fait savoir Aaron Mukula le porte parole de ce mouvement.

Ils ont dans leur mot, félicité Félix Tshisekedi pour sa brillante réélection à la présidence de la République, tout en saluant son discours d’investiture le 20 janvier dernier.

Les membres du MPCE invitent tous “les jeunes dont les ambitions politiques sont encore étouffées par certains leaders de l’opposition de se joindre à eux, afin de travailler avec le Chef de l’État pour un Congo nouveau”.

 

 

 

Jomik WANGA




Apport considérable de la femme congolaise dans la gestion de la chose publique : les femmes mandataires sous Tshisekedi fils font bloc et mettent haut la barre ! 

Les femmes mandataires des entreprises publiques récemment nommées par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo viennent de réaffirmer leur soutien au chef de l’Etat, au lendemain de sa brillante réélection à la suite de l’élection présidentielle du 20 décembre 2023.

Ces femmes de fer se disent, à cet effet, déterminées à l’accompagner utilement durant son deuxième quinquennat en cours depuis le samedi 20 janvier 2024, jour de sa prestation de serment au stade des Martyrs, devant la communauté nationale et les partenaires internationaux venus nombreux en marge de cette importante cérémonie.

Elles l’ont dit au cours d’une rencontre tenue hier vendredi 25 janvier 2024 à Kinshasa, capitale de la RD Congo. C’était, à tout dire, l’occasion pour ce groupe de femmes mandataires de soulever certaines préoccupations qu’elles rencontrent dans leurs entreprises et établissements publics respectifs mais aussi l’ultime occasion de proposer des pistes de solution en vue de l’amélioration de leur travail au service de l’intérêt supérieur.

Ce cadre d’échange et de réflexion relève de l’initiative de Mme le Directeur général de la RTNC Sylvie Elenge qui, dans son mot introductif, a insisté sur le fait qu’il s’agit d’un cadre informel et, par ricochet, chacune d’elles devra apporter des inputs pour l’amélioration du secteur public de façon générale.

À en croire Mme le Directeur Général Adjoint de l’Office Congolais de contrôle Christelle Muabilu, porte-parole de circonstance, cette rencontre a revêtu plusieurs significations à la fois. “Il s’agit juste d’un groupe de femmes mandataires qui avaient été nommées par le président de la République. L’objectif de notre rencontre était premièrement un contact physique. Deuxièmement nous féliciter, parce que depuis que nous avons été nommées, nous ne nous sommes jamais vues; bien-sûr que la plupart d’entre nous se connaissent. Et troisièmement l’échange des vœux. Quatrièmement c’était pour échanger sur des questions stratégiques en ce qui concerne l’accomplissement de nos tâches, dans les différentes entreprises respectives. C’était une première rencontre, il y en aura encore. Nous avons élaboré un calendrier pour les différentes rencontres qui viendront, parce que nous devons nous rencontrer pour échanger – réfléchir, pour au-moins améliorer notre secteur en tant que femmes, réfléchir sur comment apporter notre plus au président de la République dans le secteur d’activités qui sont les entreprises publiques. Je suis très heureuse d’avoir rencontré des femmes fortes. En tout cas, ç’a été une journée bien enrichie. Parce que chacune de nous a une expérience particulière “, a relevé la première femme de l’OCC.

 

Il faut signaler que ces femmes mandataires ont saisi cette occasion pour remercier le Couple présidentiel pour les efforts dans la participation de la femme congolaise en général et les jeunes en particulier aux instances de prise des décisions.

Force est de citer nommément les femmes mandataires qui ont pris part active à cette première réunion. Il s’agit de Mme Gisèle Mbwansiem Mbiung, Dga aux Lignes maritimes congolaises, Mme Djena Bassalia Nlandu Dga au Fonds pour la promotion de l’industrie, Mme Pontshi Lobo Mamitsho, Dga à la Société Congo Airways, Mme Rwakabuba Maguy, PCA ANADEC, Mme Zamunda Mukanda, Dga au FONHAB, Mme Muabilu Christelle, Dga à l’OCC, Mme Elenge Sylvie, DG à la RTNC, Mme Tshibonge Sandra, DG à la SCPT, Mme Mutund Barbara Kanam, DG au FPC, Mme Garuka Gukara Hélène, Dga au FOGEC, Mme Kilolo Bunda Deogracias, Administrateur au FOGEC.




Agitation à l’union sacrée : le front commun pour la jeunesse invite le chef de l’État de ne pas céder aux pressions 

La création de plusieurs plateformes au sein de l’Union sacrée de la nation continue à alimenter les débats dans l’opinion. Plusieurs langues soutiennent que c’est pour des fins du positionnement que toutes ces initiatives sont prises. On parle de l’occupation de la

Primature, de la présidence de l’Assemblée nationale et du Sénat.

 

Dans une déclaration politique faite par le front commun pour la jeunesse, ils révèlent qu’il y a des tractations au sein de l’Union sacrée, où plusieurs cadres de cette plateforme politique du Chef de l’État s’organisent et tentent de peser sur la balance lors du partage du pouvoir.

 

Se positionnant comme conseiller du chef de l’État, le Front commun pour la jeunesse demande au président de la République de ne céder à aucune pression venant de tous ces mouvements.

 

Le président de cette structure Don Israël Mbuyi exhorte le Chef de l’État, Félix Tshisekedi à a renouveler plutôt la classe politique.

 

 

 

Jomik WANGA