Revisitation du contrat chinois : Jules Alingete, donneur d’insomnie (Tribune de Didier Mbongomingi)

Depuis le 27 janvier 2024, l’annonce a été faite de manière officielle. Le contrat sino-congolais a été revisité. Et la SICOMINES a acquiescé tout comme la partie congolaise a publiquement fait la rédevabilité sur les ondes de la RTNC via un briefing presse co-animé lundi 29 par le Directeur de Cabinet adjoint du Président de la République chargé des questions Économiques et Financières, André Wameso, l’Inspecteur Général, Chef de Service de l’Inspection Générale des Finances, Jules Alingete Key, le ministre d’Etat, ministre des Infrastructures, Travaux Publics et Reconstruction, Alexis Gisaro Muvunyi et le ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya.

Les retombées de rééquilibrage du contrat sino-congolais  sont de la sorte que la RDC gagne 7 milliards Usd pour le financement des infrastructures. La SICOMINES a accepté d’augmenter les royalties qu’il verse à la République démocratique du Congo de 1,2% par an, en fonction du chiffre d’affaires annuel de la partie chinoise.

Pari gagné pour l’Inspection Générale des Finances et son meneur, le tombeur des fossoyeurs des biens qui devaient revenir aux Congolais depuis belle lurette. Oui, il s’agit bien de Jules Alingete Key.

Et depuis, une certaine opinion en mal de positionnement a des pincements au cœur pour ce coup qui devait pourtant réjouir tout congolais qui se doit.

Cette dernière  n’a plus sommeil et utilise des va t’en-guerre de tout bord pour s’attaquer à Jules Alingete et l’Inspection Générale des Finances usant du sophisme pour se donner bonne conscience. Mais quelle bonne conscience peut avoir un intellectuel congolais et quel regret de surcroit si la République héritée des aïeux gagne des revenus qui vont permettre la construction cette fois réelle des infrastructures en contrepartie de l’exploitation de ses minerais à hauteur des milliards et pour des années ?

Une fois encore, la célèbre phrase lancée par Jules Alingete sur ce dossier devrait résonner dans tous les bords politiques : tout n’est pas politique, l’intérêt de la nation doit primer sur les considérations purement politiciennes. Par ailleurs, personne n’est visée à titre personnel mais il s’agit que le Congo gagne.

 




Haut-Katanga : Le gouvernement provincial en deuil de suite du décès d’un ministre provincial

Il s’agit de M. Jean-Levy Cema Mwansa, ministre provincial du Plan et Budget dans le gouvernement Kyabula, qui  est décédé ce mercredi 31 janvier 2024, à Lubumbashi de suite d’une maladie selon les membres de sa famille biologique.

Cette triste nouvelle intervient 10 mois après sa nomination à ce poste, soit le 12 avril 2023.

Il avait remplacé à ce poste, Christian Momat Kabulo, qui avait démissionné de ce ministère, à la suite du départ de son Parti Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, de l’Union sacrée de la nation.

Un homme important au sein du gouvernement provincial du Haut-Katanga que dirige Jacques Kyabula Katwe, s’en va justement à quelques mois seulement de la fin du quinquennat Kyabula.




Province de Lomami : 908.000 enfants attendus pour une campagne de vaccination de 3 jours

Le coup d’envoi de cette campagne a été donné par le ministre provincial de la Santé et gouverneur ad intérim de la province de Lomami, Jean Baptiste Mbayu. Bien avant son coup d’envoi, le médecin chef de division provinciale de la Santé, Fred Bulobo Mbayo, a fait savoir dans son discours que, plus de 908.000 enfants sont attendus à travers l’ensemble de la province de Lomami à cette vaccination.

Et ce, après avoir rendu des vibrants hommages au président de la République démocratique du Congo. A même occasion, le CD Bulobo a fait savoir que, cette campagne concerne toutes les 16 zones de santé de la province de Lomami et elle aura comme stratégie porte à porte. Elle durera 3 jours, c’est-à-dire du premier au trois février de l’année en cours.

Signalons que plusieurs personnalités ont marqué leur présence à la dite cérémonie qui avait comme cadre, le PANIKA du marché de Kabinda. Parmi eux, nous pouvons citer le ministre de l’Intérieur, le Secrétaire exécutif de l’Assemblée provinciale de Lomami, le Maire adjoint de la ville de Kabinda et d’autres.

 




En 2023 : la Rdc figure parmi les 15 derniers pays les plus corrompus au monde avec un score de 20%

En dépit de l’engagement politique du Président Félix Tshisekedi de lutter contre la corruption et d’atteindre des niveaux plus élevés d’intégrité, de transparence et de redevabilité, notamment par la création de la Coordination pour le Changement de Mentalité (CCM), l’Agence de Prévention et de Lutte Contre la Corruption (APLC), le renforcement de l’Inspection Générale des Finances (IGF) et la réhabilitation de la Cour des Comptes, aucune amélioration significative ne se fait sentir dans la lutte contre la corruption. Plusieurs cas de corruption ont été dénoncés ces 5 dernières années, mais les personnes impliquées ont tous été relâchées après un bref séjour en prison.

 

Transparency International publie le rapport de l’indice de perception de la corruption pour l’année 2023, un rapport selon lequel la corruption reste à la base des multiples crises dans le monde et affecte la sécurité de plusieurs nations.

Dans un communiqué, la Ligue Congolaise de Lutte Contre la Corruption constate que la corruption continue à ronger tous les secteurs de la vie nationale en RDC. Elle est devenue non seulement systémique, mais aussi institutionnelle, structurelle et organisationnelle du fait que sa fréquence constitue toute une culture acquise par la majorité des citoyens au sein de la communauté congolaise. Elle met en danger la démocratie, la sécurité et le développement de la RDC.

La République démocratique du Congo, comme en 2022, figure parmi les 15 derniers pays les plus corrompus au monde en 2023 avec un score de 20%. La RDC ne parvient toujours pas à faire face aux problèmes de la corruption dans le milieu de santé, de l’éducation et surtout dans la politique. Selon l’Indice de Perception de la Corruption pour l’année 2023, la RDC est placée à la 162ème sur 184 pays évalués.

Il y a plus d’une décennie que la République Démocratique du Congo ne parvient pas à faire face aux problèmes sécuritaires dans la partie Est du pays à cause de la corruption profondément ancrée dans le secteur de la défense avec toutes les conséquences que nous connaissons actuellement.

Et le même document de constater qu’en dépit de l’engagement politique du Président Tshisekedi de lutter contre la corruption et d’atteindre des niveaux plus élevés d’intégrité, de transparence et de redevabilité, notamment par la création de la Coordination pour le Changement de Mentalité (CCM), l’Agence de Prévention et de Lutte Contre la Corruption (APLC), le renforcement de l’Inspection Générale des Finances (IGF) et la réhabilitation de la Cour des Comptes, aucune amélioration significative ne se fait sentir dans la lutte contre la corruption. Plusieurs cas de corruption ont été dénoncés ces 5 dernières années mais les personnes impliquées ont tous été relâchées après un bref séjour en prison.

De même, les élections présidentielles, législatives, provinciales et municipales du 20 Décembre 2023 en démontre plus ; les candidats députés se sont livrés et continuent à se livrer à la corruption, à la fraude et à la tricherie pour qu’ils soient élus à tel point que la Commission Electorale Nationale Indépendante a pris la mesure d’invalider plus de 80 candidats. Normalement la RDC ne doit pas se limiter à l’invalidation de ces candidats, la justice doit s’en saisir pour poursuivre les présumés auteurs de ces actes afin que l’état de Droit prôné par le Chef de l’Etat soit réel.

Des éléments qui favorisent la fraude et la corruption

Parmi les éléments qui ont favorisé la fraude et la corruption, nous citons la prolongation illégale des jours de vote allant du 20 décembre au 21 décembre soit de 2 à 3 jours ; plusieurs bureaux de vote ont fonctionné jusqu’à des heures tardives ; vote à domicile ; la détention des machines à voter ainsi que autres matériels électoraux entre les  mains de particulier etc.

Comme on peut facilement en a percevoir tous ces désordres ont été occasionné par la CENI elle-même de sorte que la fraude apparaisse comme le mode opératoire pour ces scrutins.

La LICOCO constate qu’il y a un groupe de personnes qui n’ont pas accès à la justice faute des moyens ; ces personnes sont même privées d’information et subissent beaucoup d’injustices étant même dans leurs droits. Alors que la loi congolaise prône l’égalité de Tous devant la Justice.

« La Ligue Congolaise de Lutte contre la Corruption félicite le peuple congolais pour son engouement  pendant les jours de vote et malgré les irrégularités et l’ouverture de certains bureaux de vote au-delà des heures conventuelles, le peuple a bravé toute sorte de danger et d’insécurité », indique le même texte qui insiste que la République Démocratique du Congo ne peut se développer qu’avec l’implication de tous les acteurs politiques, toutes tendances confondues dans la lutte contre l’impunité et la corruption.

La Ligue Congolaise de Lutte Contre la Corruption lance un appel national pour que les autorités politiques, administratives et judiciaires puissent donner priorité à la lutte contre la corruption et les autres antivaleurs car l’avenir du pays  en dépend.




Kinshasa : 3000 Corps seront exhumés du cimetière de Siforco en vue de faciliter la construction de la voie ferrée.

Plusieurs constructions anarchiques sur la voie ferrée à partir de l’aéroport de N’djili seront bientôt démolies en prévision de la réalisation du projet du train urbain dénommé Metrokin.

C’est ce qu’a annoncé le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila, à l’issue d’un échange avec le comité directeur de Metrokin le mardi 30 janvier à l’hôtel de Ville de Kinshasa.

5 arrêtés ont déjà été pris quant à ce. Il s’agit notamment, des constructions érigées au croisement des avenues 12ème rue et Poids lourds, jusqu’à la rivière N’Djili. Ainsi que celles érigées sur les emprises de la voie ferrée le long de la rivière N’Djili, jusqu’à l’aéroport international de N’Djili. L’exhumation de 3000 corps enterrés au cimetière de Siforco par où passent les tracées du rail, a été envisagée par l’autorité urbaine en vue de faciliter les travaux de construction de la voie ferrée dans la commune de Masina.

“Tous ces Arrêtés sont en cours de publication au journal officiel. Et les emprises concernées seront notifiées cette semaine”, a rassuré le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka.

Métrokin est un projet de construction du train urbain, initié par la ville de Kinshasa, puis adopté et soutenu financièrement par le gouvernement national. Une fois réalisé, ce projet permettra le désengorgement du trafic routier dans la ville de Kinshasa qui, avec moins de 500 mille habitants en 1960, avait un fleuron de chemin de fer.

Derick Katola




Santé : la province du Haut Katanga frappée par l’épidémie de choléra

Après avoir enregistré 160 cas et 16 décès, le ministre de la Santé du Haut-Katanga, le Professeur Docteur  Joseph Nsambi Bulanda  a déclaré officiellement le lundi 29 janvier 2024 l’épidémie de choléra dans le Haut-Katanga. La province affirme avoir disponibilisé tous le moyens pour l’éradication de cette épidémie déclarée dans plusieurs communes et districts de cette province.

« Je me trouve dans l’obligation de déclarer officiellement l’épidémie de choléra sur toute l’étendue de la province du haut Katanga. J’instruis toutes les autorités politico-administratives des différentes entités à maintenir leurs engagements dans la lutte contre l’épidémie de choléra ».

Joseph Nsambi Bulanda qui invite par la même occasion les leaders communautaires, professionnels des médias, les mobilisateurs, toutes les autorités politico-administratives et pasteurs  de sensibiliser la population à l’observance des règles d’hygiènes.

« Consommez uniquement l’eau potable, se laver les mains régulièrement avec le savon avant de manger et après avoir été aux toilettes. Après avoir changé les couches du bébé, nettoyer chaque jour vos toilettes avec les infectants. Éviter de manger  les aliments frais. En cas de diarrhée, mal au ventre ou maux de tête, voyez un médecin », a-t-il précisé dans son message.




Entrepreneuriat : La Rdc balise la voie pour la mise en place d’un registre des sûretés mobilières conventionnelles

Un atelier portant sur la validation du projet de texte régissant les sûretés mobilières conventionnelles en République Démocratique du Congo, les besoins informatiques et en ressources humaines, a été lancé ce mardi 30 janvier à Kinshasa par le projet TRANSFORME qui soutient les micros, petites et moyennes entreprises. Cet atelier est appuyé par le projet TRANSFORME dans le cadre de l’inclusion financière, l’une de ses missions lui confiées par le législateur.

Ces assises de deux jours, soit du mardi 30 au mercredi 31 janvier 2024 visent à apporter quelques réformes devant faciliter les entrepreneurs surtout à faible revenu, d’avoir accès aux marchés financiers.

C’est-à-dire que l’entrepreneur qui sollicite un crédit, peut présenter n’importe quel bien “meuble” de valeur, équivalent au montant sollicité auprès de la banque. Mais pour en arriver là, les experts réfléchissent pour mettre en place un registre des sûretés mobilières.

Ce répertoire permettra l’enregistrement de ce bien de valeur dans une plateforme centralisée afin de mettre en confiance les institutions financières des crédits.

Prenant la parole, le professeur Ernest Duga Titanji, expert en système des crédits collatéraux, a expliqué le bien-fondé de la sûreté mobilière. Il a surtout rassuré sur le caractère confidentiel des informations des biens qui seront mis en ligne.

« Le système des crédits collatéraux est un système qui permet aux établissements de crédits, en l’occurrence les banques et les établissements des micros finances, de donner des crédits aux petites et moyennes entreprises et aux ménages en prenant une certaine forme de garantie, notamment les sûretés mobilières.

L’avantage est que les banques sont plus rassurées. Entre-temps, avec cette catégorie des clients, au lieu de traiter uniquement avec les grandes entreprises et les industries pour le financement de l’économie quand les banques donnent des crédits, ce crédit va vers des petites et moyennes entreprises et crée un effet multiplicateur de la consommation », a-t-il affirmé.

Il a aussi ajouté que : « le registre est accessible à tout créancier, ça c’est la première de choses qu’il faut savoir. Maintenant l’information contenue dans le répertoire est une information ciblée et limitée. L’information qui est accessible par le public n’est pas la vulgarisation d’une information susceptible à porter atteinte à l’intégrité de la personne concernée. Il y a une certaine limite aux informations consultables en ligne. Une fois que vous décidez d’octroyer un bien en garantie de remboursement d’un crédit, ça veut dire que vous acceptez la publicité c’est dans le contrat ».

De son côté, Alphonsus Achomuma, Spécialiste principal du secteur financier à la Banque mondiale et co-chef du projet TRANSFORME est revenu sur le contexte des travaux dudit atelier. Il a par ailleurs souligné l’importance pour la Banque centrale, en tant que régulateur, des protéger les banques à l’égard des Congolais.

« Les banques n’aiment pas donner le crédit sans avoir des garanties. Leurs garanties préférées, c’est un titre foncier. Les Petites et Moyennes Entreprises (PME) constituent 95% des structures qui créent de l’emploi, mais ces PME en général sont gérées par des personnes, les jeunes, même les vieux qui n’ont pas assez de moyens et qui n’ont pas des titres fonciers, ce qui fait qu’ils ont beaucoup de difficultés  pour avoir accès au crédit. Voilà pourquoi on a commencé à réfléchir depuis plusieurs années, dans les pays anglophones c’était déjà mis en place. Il était temps de voir dans quelle mesure on peut permettre aux PME d’utiliser ce qu’ils ont comme actif pour donner en garantie.

Osée Kalombo




Roger Nkoso, un arbitre aux côtés des logisticiens pour faire appliquer les règles

Vous connaissez peut-être le ballon, mais pas le métier de Roger : un arbitre aux côtés des logisticiens à longueur de journée pour faire appliquer les règles. Il nous l’explique aussi simplement.

Peut-on faire une étude comparative entre votre métier et la CAN qui se joue en Côte d’Ivoire ?

Dans tout domaine du monde, il y a des lois établies pour règlementer chaque domaine. Dans le domaine du football, le droit du sport est essentiel pour garantir un jeu équitable et protéger le droit des différents acteurs impliqués. Pour garantir ce jeu équitable sur un terrain de football, il faut nécessairement la présence d’un arbitre sans laquelle on vivrait la cacophonie… C’est cela mon travail chez AGL : s’assurer du respect des lois et règlements en vigueur dans tous les domaines de nos activités.

Pensez-vous que la RDC pourrait aller plus loin dans cette CAN ?

Dans chaque jeu, on participe pour gagner. C’est le cas des Léopards qui sont partis en Côte d’Ivoire pour ramener la coupe en RDC. A ce stade, nous leur souhaitons bonne chance pour nous ramener la coupe.

A nos voisins qui font très bien leur travail de surveiller le fleuve, je sais que nous avons votre bénédiction et votre appui. Continuez à surveiller le fleuve, nous ramènerons la coupe pour que vous aussi vous puissiez faire des photos avec. Cette coupe, c’est la nôtre c’est aussi la vôtre.

A propos d’AGL RD Congo

AGL est un acteur de référence de la logistique en République Démocratique du Congo. L’entreprise assure le transport, le stockage, l’entreposage et la livraison des marchandises au travers de ses 25 agences déployées dans tout le pays. Elle est certifiée ISO 9001/2013, ISO 14001/2015 et ISO45001/2015. Spécialiste de la consignation maritime, commissionnaire agréé en douane, elle offre des solutions logistiques sur-mesure et apporte son expertise aux opérateurs miniers. Fort de ses 800 collaborateurs, AGL RDC participe au développement socio-économique du pays dans plusieurs domaines notamment le secteur de la santé, l’éducation et l’environnement.

www.aglgroup.com




3 ème Congrès du Palu : le bloc du Pacte pour un Congo Retrouvé répond à l’invitation de Didier Manzenga

Les assises du congrès du Parti Lumumbiste Unifié PALU en sigle se déroulent dans la salle paroissiale de Notre Dame de Fatima située dans la commune de la Gombe à Kinshasa.

Parmi les invités de marque à cette cérémonie, l’on note le bloc de la plateforme Pacte pour un Congo Retrouvé. Ici sur place, l’on retrouve la présence remarquable de l’autorité morale du Code, Jean Lucien Busa, l’autorité morale de Burec, Julien Paluku et le représentant de l’UNC le député national Jonas Tsundu Tsundu.

Ce bloc est venu soutenir l’un de leur à l’union sacrée, le Palu aile Didier Manzenga Mukanzu.

Rappelons que le Parti Lumumbiste Unifié tient son 3 ème Congrès depuis 1961.

Jomik WANGA




Sud Ubangi: hausse du carburant à la pompe

La situation socio-économique dans la province du Sud Ubangi dérange la vie de la population de ce coin de la République Démocratique du Congo.

Il s’observe une augmentation des prix du carburant dans toutes les différentes stations dans la province du Sud Ubangi, notamment dans la ville de Gemena, à Zongo et dans d’autres territoires.

 

Dans la ville de Gemena, 1 litre d’essence qui se vendait à 3.800 francs Congolais se négocie aujourd’hui à 4.800 FC.

A Zongo, le litre de carburant coûte 6.000 FC, équivalent de 1.600 FCFA.

A Gemena-Territoire le litre se vend à 5.000 FC. A Libenge, le litre de carburant se négocie à 6.000 FC.

 

Cette même situation est observée également à Budjala Centre et à Kolongo.

 

De leur côté, les Conducteurs des Taxis Motos montent au créneau pour dénoncer cette hausse exagérée des prix du carburant à la pompe qui a pour conséquence, la hausse également des prix des transports en commun dans un coin où la situation économique est alarmante.

 

 

 

Jomik