2024 : Une année consacrée à la prière en préparation au Jubilé de 2025

Après l’année consacrée à la réflexion sur les documents et à l’étude des fruits du Concile Vatican II, 2024 sera l’année de la prière. En préparation au Jubilé 2025, les diocèses sont invités à promouvoir la centralité de la prière individuelle et communautaire.

Pour cette raison, des « pèlerinages de prière » vers l’Année Sainte pourraient être proposés, ainsi que des itinéraires d’écoles de prière avec fréquence mensuelle ou hebdomadaire, présidés par les évêques, en impliquant tout le peuple de Dieu.

Le Dicastère pour l‘Évangélisation publiera en outre une série de « Notes sur la prière » pour former et aider les fidèles à remettre au centre la relation profonde avec le Seigneur, à travers les multiples formes de prière que contient la riche tradition catholique.

Remettre la prière au cœur des préoccupations est d’une grande importance pour le monde et pour l’Église, bousculés par une actualité parfois lourde : les conflits dans plusieurs pays, notamment en Terre Sainte et en Ukraine, la crise climatique, l’exclusion trop grande des plus vulnérables, l’unité fragile au sein de l’Église catholique, sans oublier l’inquiétude face aux projets de loi de la fin de vie…

« La prière est la force douce et sainte qui s’oppose à la force diabolique de la haine, du terrorisme et de la guerre » disait le Saint-Père dans un tweet datant du 15 octobre dernier.

C’est Jésus qui a enseigné à ses disciples le principe même de la prière : « Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira » (Lc 11, 9). Jésus dit aussi : « Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est aux cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent ! » (Mt 7, 11).

« En ce temps de préparation, je me réjouis dès à présent de penser que l’année précédant l’événement jubilaire, 2024, pourra être consacrée à une grande “symphonie” de prière. (…) Une année intense de prière au cours de laquelle les cœurs s’ouvriront pour recevoir l’abondance de la grâce, faisant du “Notre Père” la prière que Jésus nous a enseignée, le programme de vie pour chacun de ses disciples » avait écrit le 11 février 2022 le pape François au préfet de Dicastère pour l’Évangélisation.

2024 nous invite donc à prier encore plus le Seigneur Jésus et la Vierge Marie, « Reine de la Paix », et demander l’aide de Dieu pour nous-mêmes ou pour le monde. Prier en offrant nos souffrances ou incertitudes. Prier en rendant grâce pour les bienfaits et la beauté de l’action de Dieu dans nos vies.

 




La dotation financière de la Coupe d’Afrique des Nations revalorisée à hauteur de 40%

La Confédération Africaine de Football (“CAF”) a annoncé une augmentation de 40% du prix du vainqueur de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023.

Le vainqueur de la 34e édition du plus grand évènement sportif organisé sur le sol africain, recevra 7 000 000 USD.

Le finaliste de cette CAN CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023 percevra 4 000 000 USD. Chaque demi-finaliste repartira avec 2 500 000 USD et chacun des quatre quarts de finalistes, 1 300 000 USD.

Le Président de la CAF, Dr Patrice Motsepe, a déclaré : “La CAF a fait des progrès significatifs au cours des deux dernières années en augmentant la dotation de la CAN et de toutes ses autres compétitions majeures. Nous avons augmenté le prix du vainqueur de la CAN à 7 000 000 USD, ce qui représente une augmentation de 40% par rapport à la CAN précédente. Je suis convaincu qu’une partie de ce montant contribuera au développement du football et profitera à toutes les parties prenantes du football, tout en aidant nos associations membres dans leur administration.’’




Maria Sharapova en vacances au Maroc

C’est au Maroc que la star russe du tennis a décidé de passer ses vacances de fin d’année.

Sur son compte Instagram, Maria Sharapova a partagé plusieurs stories de ses vacances au Maroc. L’ancienne n°1 mondiale et lauréate de cinq titres du Grand Chelem, y apparaît vêtue, sur l’un des clichés, d’une cape traditionnelle marocaine.

Elle y partage aussi plusieurs photos de portes en bois travaillé de façon artisanale ainsi que d’autres prises de vue illustrant la beauté de l’architecture traditionnelle marocaine.

Maria Sharapova, en vacances au Maroc, le 03 janvier 2024, a partagé des photos de portes traditionnelles.

La star n’a pas manqué non plus de succomber aux délices de la gastronomie marocaine et a immortalisé cet instant avec une photo de tagines.

Après l’architecture traditionnelle, Maria Sharapova a aussi succombé aux délices de la gastronomie marocaine.

Ce n’est pas la première fois que Maria Sharapova choisit le Maroc pour y passer ses vacances. En effet, en février 2019, elle s’était rendue à Marrakech et s’était prêtée, pour l’occasion, au jeu de la séance photo avec l’artiste Hassan Hajjaj.

Par Leïla Driss




L’ONU déclare que l’escalade des tensions en mer Rouge aura des conséquences politiques et humanitaires néfastes… Les liens incestueux entre les Houthis et la gérontocratie militaire algérienne⁉

Réuni le 3 janvier à New York pour évoquer les attaques menées par les Houthis en mer Rouge contre des navires marchands, le conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies appelle à la désescalade dans la zone, pour « la protection des populations, des gens de mer et des chaînes d’approvisionnement mondiales ».

Depuis la saisie du car-carrier Galaxy Leader et de son équipage par les Houthis, le 19 novembre, en représailles aux bombardements d’Israël sur la bande de Gaza, plus de 20 attaques [envers des navires marchands] ont été perpétrées par les Houthis, via missiles et drones, dans le détroit Bab al-Mandeb qui sépare la péninsule arabique de l’Afrique, selon Christopher P. Lu, le représentant des États-Unis auprès des Nations unies. De nombreux intervenants, dont Nicolas de Rivière pour la France, ont aussi appelé à la libération immédiate du Galaxy Leader et de son équipage.

Khaled Khiari, Secrétaire général adjoint de l’ONU pour le Moyen-Orient, a informé le Conseil de sécurité, déclarant : “Les Nations Unies continuent de mettre en garde contre les répercussions politiques, sécuritaires, économiques et humanitaires néfastes de l’escalade militaire en mer Rouge et du risque d’exacerber les tensions régionales.”

Il a réitéré : “les menaces continues des Houthis à la navigation maritime, associées au risque d’une escalade militaire supplémentaire, restent une préoccupation sérieuse et pourraient potentiellement toucher des millions de personnes au Yémen, dans la région et dans le monde.”

Les liens incestueux entre les Houthis et la gérontocratie militaire algérienne

Immédiatement après s’être emparé, d’un navire commercial israélien en mer Rouge et l’avoir détourné vers la côte yéménite. Un Houthi (soutenus par l’Iran) envoie un cadeau à leur pays frère l’Algérie…

Khiari a noté que depuis la dernière mention de ce sujet à l’ordre du jour du Conseil le 18 décembre, les Houthis ont revendiqué la responsabilité de deux attaques à l’aide de missiles navals contre le MSC United le 26 décembre et le Maersk Hangzhou le 31 décembre. Des rapports font également état d’autres attaques houthies interceptées.

Le Secrétaire général adjoint a partagé les préoccupations du Secrétaire général de l’Organisation maritime internationale (OMI) concernant la nécessité de protéger la liberté de navigation maritime, ainsi que l’impact potentiel des attaques actuelles et des perturbations du trafic maritime en mer Rouge et dans les environs sur le commerce international.

Il a déclaré : “Nous réaffirmons l’importance d’assurer la sécurité de la navigation maritime dans la région.” À cet égard, Khiari a également appelé à la “libération immédiate du ‘Galaxy Leader’ et de son équipage, saisis par les Houthis le 19 novembre.”

Le Secrétaire général adjoint a réitéré que “de tels incidents en provenance des zones contrôlées par les Houthis au Yémen doivent cesser. Aucune cause ou grief ne peut justifier la poursuite de ces attaques contre la liberté de navigation.”

Concernant la situation générale dans la région, Khiari a encouragé toutes les parties concernées à “éviter toute escalade supplémentaire et à désamorcer les tensions et les menaces.”

Il a conclu : “Il est crucial que la circulation en mer Rouge puisse revenir à son état normal et que le risque d’entraîner le Yémen dans une conflagration régionale soit évité.”

Arsenio Dominguez, Secrétaire général de l’Organisation maritime internationale, s’est adressé au Conseil via une liaison vidéo.

Il a déclaré : “Les attaques contre la navigation internationale en mer Rouge ne sont pas acceptables. Les navires doivent être autorisés à commercer dans le monde entier sans entrave et conformément au droit international.”

«Le ferme engagement de l’OMI à protéger les gens de mer»

Ce dernier a notamment rappelé “le ferme engagement de l’OMI à protéger les gens de mer, les navires et les cargaisons, qui ont la responsabilité ultime d’assurer la sûreté et la sécurité des chaînes d’approvisionnement mondiales. Les attaques contre eux ne sont pas acceptables. Les navires doivent être autorisés à voyager dans le monde entier sans entrave, conformément au droit international. Israël était une cible initiale, mais ce n’est plus le cas aujourd’hui.” Depuis le 18 décembre, les Houthis ont revendiqué la responsabilité de deux attaques utilisant des missiles navals: contre le MSC United le 26 décembre et contre le Maersk Hangzhou le 31. “Aucune cause ni aucun grief ne peut justifier la poursuite de ces attaques contre la liberté de navigation,” a souligné le sous-secrétaire de l’Onu Khaled Khiari, appelant toutes les parties à désamorcer les tensions pour ramener à la normale le trafic à travers la mer Rouge et éviter d’entraîner le Yémen dans une conflagration régionale.

Dominguez a également réitéré l’appel à la “désescalade pour assurer la sécurité de nos marins, la liberté de navigation et la stabilité des chaînes d’approvisionnement.”

“Il continue de surveiller la situation en collaboration avec nos États membres, les partenaires de l’industrie et les marines”, a-t-il ajouté.




Sahara marocain : Tebboune “douché” at-home par le président sierra-léonais

En déplacement officiel en Algérie, le président de la Sierra Leone, Julius Maada Bio, a tenu une réunion mercredi soir à Alger avec son homologue Abdelmadjid Tebboune. Fidèle à lui-même, le président algérien a exprimé, au terme de cette rencontre, sa satisfaction, affirmant aux médias que les deux nations partageaient une perspective commune concernant la question du Sahara.

« Concernant le dossier du Sahara occidental, l’Algérie et la Sierra Leone continueront à œuvrer pour trouver une solution juste et durable à cette question, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité et à la légitimité internationale », a déclaré le président algérien. Il a également salué l’engagement des deux parties à favoriser des solutions africaines pour les défis du continent.

Cela dit, le président Julius Bio, qui a « senti le piège », a tenu à redresser le tir, a souligné des divergences de positions avec l’Algérie. Il a en ce sens soutenu que son pays appuyait les efforts de l’envoyé de l’ONU, Staffan de Mistura, ainsi que le processus politique conforme aux résolutions du Conseil de sécurité adoptées depuis 2007, année où le Royaume avait proposé le plan marocain d’autonomie au Sahara.

En effet, le chef d’État sierra-léonais a insisté sur le fait que ces résolutions visaient à parvenir à une solution politique réaliste, pratique et mutuellement acceptable. Devant Abdelmadjid Tebboune, il a renouvelé son appel à la reprise des Tables rondes des négociations avec la participation de toutes les parties concernées.

Pour rappel, la Sierra Leone reconnaît la marocanité du Sahara et a ouvert un consulat général à Dakhla en août 2021.

En septembre dernier, le ministre des Affaires étrangères de la Sierra Leone, Timothy Musa Kabba, avait réitéré le soutien indéfectible de son pays à l’intégrité territoriale du Maroc et au plan d’autonomie comme la seule base pour le règlement du conflit régional autour du Sahara marocain.

Lors d’un point de presse tenu à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, il avait également réaffirmé « l’appui sans relâche » de son pays à l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc et à la marocanité du Sahara.

Il avait, en outre, souligné la primauté de l’initiative d’autonomie comme étant la seule base pour mettre un terme à ce différend artificiel, réitérant le plein soutien de la République de Sierra Leone au rôle joué par les Nations Unies en tant que « cadre exclusif » pour parvenir à une solution durable à la question du Sahara marocain.

Le diplomate avait, en outre, salué le soutien international grandissant à l’intégrité territoriale du Royaume, rappelant l’adhésion de la Sierra Leone à cette dynamique par l’ouverture d’un consulat général à Dakhla, en août 2021.




Vœux de nouvel an : Denis Sassou N’Guesso félicite la réélection du président Félix Tshisekedi

«  Le corps diplomatique émet le vœu que la nouvelle année soit un vecteur de fraternité et de communion entre les congolais …», Dixit Réné Makongo.

Sceller les relations diplomatiques entre le Congo et le monde, tel est le sens du rituel qui a réuni, ce 4 janvier 2024, dans la salle des banquets du palais du peuple les membres du corps diplomatique accrédité en République du Congo, à l’occasion de la présentation des vœux de nouvel an au couple présidentiel.

L’année 2023 a tiré sa révérence voici quatre jours. Les évènements qui l’ont accompagné restent gravés dans la mémoire collective. A l’occasion des vœux de nouvel an du corps diplomatique au couple présidentiel, l’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République gabonais, doyen du corps diplomatique, Réné Makongo, a peint le tableau des évènements marquant du Congo en 2023.

A l’entame de ses propos, Réné Makongo, a présenté les vœux de santé, de bonheur à l’endroit du président Denis Sassou N’Guesso, à son épouse, Madame Antoinette Sassou N’Guesso, ainsi qu’à l’ensemble de sa famille, au gouvernement puis au peuple congolais.

Son vœu le plus ardent est que la nouvelle année soit un vecteur de fraternité et de communion entre les congolais pour garantir le vivre ensemble dans la paix, la fraternité et la solidarité.

Avant d’analyser les évènements marquant de l’année 2023 en République du Congo au plan national, René Makongo, au nom du corps diplomatique, s’est incliné devant la mémoire des disparus du drame survenu au stade Michel d’Ornano, à Brazzaville, dans la nuit du lundi 20 au mardi 21 novembre 2023, suite à la bousculade ayant entrainé des pertes en vie humaine et fait de nombreux blessés.

Le doyen du corps diplomatique, a salué à l’échelle nationale, l’organisation réussie des élections sénatoriales du 20 aout 2023 qui se sont soldées par la victoire éclatante du parti congolais du travail (PCT) et ses alliés, avec 61 sièges sur 72 pourvus. Aussi, s’est-il réjoui des conclusions satisfaisantes des négociations entre le Congo et le fonds monétaire international (FMI) concernant la deuxième et la troisième revue des mois de février et juillet 2023 du programme de la facilité élargie de crédit (FEC) pour la période triennale 2022-2024.

Tout en saluant le leadership de Denis Sassou N’Guesso dans la lutte contre le réchauffement climatique, le corps diplomatique s’est réjoui de l’annonce faite à l’occasion du message sur l’état de la nation devant le parlement réuni en congrès, le 28 novembre 2023, à propos de l’organisation prochaine d’une conférence internationale sous l’égide de l’union Africaine et du forum des nations unies pour les forêts, dans le cadre du lancement effectif de l’initiative de la «  Décennie mondiale de l’afforestation »

Le corps diplomatique a également salué l’engagement affirmé de Denis Sassou N’ Guesso pour la paix sur le plan international. René Makongo a surtout insisté sur les appels répétitifs du président congolais dans les conférences internationales, en faveur de la paix et la sécurité au profit des populations de la planète.

La réponse au corps diplomatique

Dans sa réponse au corps diplomatique, Denis Sassou N’Guesso est revenu sur les réformes structurelles engagées dans le domaine économique au Congo, avec le concours des partenaires financiers internationaux. Il a cité notamment l’approbation obtenu auprès du conseil d’administration du FMI, au terme de sa quatrième revue périodique, le décaissement prévu, au titre du dernier trimestre de l’année 2023.

Pour lui, l’effort persévérant consenti par le peuple congolais porte déjà ses fruits.

« L’action diplomatique du Congo, selon Denis Sassou N’Guesso, s’est inscrite de manière résolue et constante dans le respect des engagements. » A relevé Denis Sassou N’Guesso qui a réitéré ses sincères félicitations au président Felix Antoine Tshisekédi Tshilombo pour sa réélection à la magistrature suprême de la RDC, un pays frère du Congo.

En sa qualité de président de haut niveau de l’union Africaine sur la Libye, Denis Sassou N’Guesso a adressé ses félicitations aux différentes parties libyennes pour leur détermination à prendre part à au forum de réconciliation qu’elles ont décidé de tenir, le 28 avril prochain, dans la ville de Syrte.

Au cours de sa réponse, Denis Sassou N’Guesso a également appelé tous les protagonistes en conflit au sahel et au Soudan à privilégier le dialogue et la solution collective. Pour le conflit Russo-ukrainien, Denis Sassou N’Guesso reste convaincu que les propositions au conflit de l’Afrique, pour mettre un terme à ce conflit, restent d’actualité. Au Moyen Orient, par contre, il s’est dit préoccuper par la guerre entre l’Etat d’Israël et le Hamas qui occasionnent de nombreuses pertes en vies humaines.

Par Roch Bouka/Correspondant de la Rtga World au Congo




Dans son message de félicitations : Le Collectif des cadres et membres de l’Udps/Tshisekedi demande au président Tshisekedi de travailler pour le peuple

Au cours de sa réunion hebdomadaire du 13 Janvier 2023 dernier, le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI a adressé un message de félicitations au Président réélu Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Dans ce message, cette structure d’appui interne de l’UDPS/TSHISEKEDI insiste sur le fait son Président du parti qui vient d’être reconduit à la magistrature suprême de la République Démocratique du Congo, puisse concilier le slogan « Le Peuple d’abord » avec celui des premières années de lutte de l’UDPS souvent entonné par son feu Président Etienne Tshisekedi wa Mulumba, à savoir « Le Changement radical ». Ci-dessous ledit message :

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI, Structure d’appui autonome du Parti, présente ses sincères et franches félicitations au Camarade Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO pour sa brillante victoire incontestée et incontestable, digne d’un plébiscite, à l’élection présidentielle du 20 Décembre 2023.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI tient à remercier le Vaillant Peuple Congolais qui, par ce renouvellement tranchant de sa totale confiance au Président de l’UDPS/TSHISEKEDI, a tenu à réaffirmer son engagement en faveur de la consolidation de notre souveraineté nationale eu égard aux pressions internes et externes de tous bords.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI émet le vœux de voir ce deuxième mandat présidentiel axer sur la prise en compte des nombreuses attentes des populations congolaises, jadis chosifiées et clochardisées par la mauvaise gouvernance qui date de 1960. Cela va certainement concilier «LE PEUPLE D’ABORD» avec «LE CHANGEMENT RADICAL» cher au Lider Maximo Docteur Etienne TSHISEKEDI WA MULUMBA d’heureuse mémoire.

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI rassure enfin le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, non seulement de son indéfectible soutien, mais aussi de son engagement sans faille à L’accompagner tout le long de ce second mandat qui doit effectivement amorcer le vrai développement de la République Démocratique du Congo.

Ce message est signé par le Coordonnateur National du Collectif, Monsieur Felly Fwamba Mubalamate.

 

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




Loi sur la sous-traitance : Forte pression de la GCM sur TFM

Contrairement à d’autres entreprises, nos fins limiers ont malheureusement constaté que seule la Gécamines à travers son leadership est en train de violer la loi sur la sous-traitance. Un comportement qui entre en contradiction avec la vision du chef de l’Etat qui veut s’appuyer sur l’ARSP afin de créer les millionnaires congolais. Cet état de chose est déploré par les spécialistes du secteur qui veulent savoir, qu’est-ce qui a poussé le DG de la Gécamines, Placide Nkala Basadilua, à marcher audacieusement à l’encontre de l’excellente vision du Président de la République « Fatshi Béton » en usant de trafic d’influence pour imposer des sous-traitants de son choix ou de son obédience auprès des entreprises principales, partenaires à la Gécamines ? Aussi, pourquoi le DG de la Gécamines usurpe les prérogatives de l’ARSP ? De quel droit peut-il recommander unilatéralement ses propres sous-traitants auprès des entreprises partenaires à la Gécamines sans passer par l’ARSP? Sur base de quels critères de sélection se choisit-il tel sous-traitant au détriment de l’autre ?

 

Trafic d’influence, corruption et usurpation, on n’est plus loin d’une confrontation entre la Gécamines, le géant minier du Grand Katanga, et l’ARSP. Dans cette bataille – qui va sûrement ternir l’image du Portefeuille de l’Etat – la faute revient au Directeur général (DG) de la Gécamines, Placide Nkala Basadilua, qui use de divers stratagèmes pour détrôner l’ARSP auprès des entreprises principales, partenaires de la Gécamines, dans le domaine de la sous-traitance.

L’on se rappelle que, dans sa vision de créer des millionnaires congolais, le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, mise, depuis toujours, sur la bonne application et la mise en œuvre de la loi sur la sous-traitance en RDC. Et partout où il est passé lors de la dernière campagne électorale, le Chef de l’Etat a vanté ce concept, se félicitant du grand travail que continue à abattre le Directeur général de l’ARSP, Miguel Katemb Kashal pour donner la chance aux entrepreneurs congolais de bénéficier de divers avantages du marché local de la sous-traitance

« Nous ne voulons plus de partenariats où les Congolais restent toujours pauvres. Nous voulons maintenant des partenariats win-win… L’ARSP a reçu ma bénédiction pour passer partout où il y a la sous-traitance en vue de favoriser les entreprises des sous-traitants congolais en règle. Il faut que nous ayons des millionnaires dans notre pays. Et vous devez dénoncer toutes les entreprises qui ne favorisent pas les Congolais », a déclaré Felix-Antoine Tshisekedi lors de son meeting de campagne à Lubumbashi, promettant de sévir contre toutes les entreprises qui se détourneraient de cette vision

En quoi la Gécamines fait-elle exception au point de se détourner de l’ARSP ? Qu’est-ce qui se passe donc dans la tête de son DG ?

Rappel des prérogatives de l’ARSP

Faut-il rappeler que le secteur de la sous-traitance est bien organisé. Selon la loi, seule l’ARSP jouit de toutes les prérogatives, après analyse et vérification minutieuse des statuts, documents légaux et autres critères légaux, d’établir la conformité au regard de la loi de toute entreprise sous-traitante et recommander des sous-traitants auprès des entreprises principales ayant des activités en Rdc dans tous les secteurs de la vie nationale.

Ironie du sort ! A la Gécamines, ces dispositions légales sont pratiquement foulées au pied. Pour quelle raison ?

On est donc en droit de se poser des questions : Qu’est-ce qui a donc poussé son DG, Placide Nkala Basadilua, à marcher audacieusement à l’encontre de l’excellente vision du Président de la République « Fatshi Béton » en usant de trafic d’influence pour imposer des sous-traitants de son choix ou de son obédience auprès des entreprises principales, partenaires à la Gécamines ? Pourquoi le DG de la Gécamines usurpe les prérogatives de l’ARSP ? De quel droit peut-il recommander unilatéralement ses propres sous-traitants auprès des entreprises partenaires à la Gécamines sans passer par l’ARSP? Sur base de quels critères de sélection se choisit-il tel sous-traitant au détriment de l’autre ?

Des preuves irréfutables

Il y autant de preuves qui clouent le DG de la Gécamines. Ainsi, on apprend qu’en date du 19 octobre 2023, par sa lettre n°7295/DG/23, ayant comme objet : « Nouveau sous-traitant DALONG SARL à TFM SA », le DG Placide Nkala Basadilua écrit ce qui suit au Directeur Général de TFM SA : « Nous avons l’honneur de vous recommander DALONG SARL comme nouveau sous-traitant dans le domaine de d’exploration minière à votre société. Nous vous rappelons que TFM SA doit absolument se mettre en règle avec les dispositions de la loi 17/001 du 08 février 2017 fixant les applicables à la sous-traitance dans le secteur privé ».

Par cette lettre, le DG de la Gécamines est allé jusqu’à intimer l’ordre à TFM en usurpant les prérogatives de l’ARSP, sans au préalable requérir son avis.

Sans s’arrêter là, l’autocrate et puissant DG de la Gécamines a récidivé par une nouvelle lettre datée du 14 décembre 2023 et adressée à la même entreprise TFM.

Ainsi, par sa lettre n°5815/DG/23, il propose à la société TFM SA un nouveau sous-traitant, en l’occurrence Kalu SARL, dans le domaine de l’exploration minière, sans donner les motifs qui annulent et remplacent celle référée par sa lettre n°7295/DG/23 du 19 octobre 2023.

Pourquoi ce revirement brusque ? Que s’est-il passé entre ces deux correspondances. A ce propos, des sources concordantes témoignent que TFM a réservé un avis de non-recevoir à cette double requête du DG de la Gécamines.

Question directe : Pourquoi le DG de la Gécamines tient-il à imposer la société KALU au détriment de DALONG SARL ? Qu’est-ce qui explique sa volte-face dans l’espace de deux mois seulement ?

Il y a donc lieu de recadrer le DG de la Gécamines qui doit rester dans les limites que lui fixe la loi en sa qualité de mandataire public, sans interférer dans les prérogatives de l’ARSP.

Il y va non seulement de la sérénité dans le Portefeuille de l’Etat mais surtout de la réussite du deuxième mandat du Président Tshisekedi.

Que tout celui qui veut voir le deuxième mandat de « Fatshi Béton» produire des fruits milite avec la dernière énergie pour mettre hors d’état de nuire tout responsable aussi maffieux qu’usurpateur des prérogatives d’autres services de l’Etat. Il est temps que le DG de la Gécamines revienne sur le droit chemin.

L’Avenir




Après le plébiscite : Tshisekedi II, enjeux et perspectives

Le 31 décembre 2023 depuis son Quartier général à Kinshasa, appelé Centre Bosolo ou la vérité, la Commission électorale nationale indépendante (CENI), a proclamé le Président de la République sortant et candidat à sa propresuccession, Félix- Antoine  Tshisekedi Tshilombo, vainqueur de l’élection présidentielle, ayant recueilli plus de 73 % des voix des suffrages exprimés. L’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi se positionnait en 2è place, avec 18 %. Contrairement à l’élection passée, et principal challenger de Tshisekedi en 2018,  Martin Fayulu, comme d’ailleurs le  Prix Nobel de la paix 2018, Denis Mukwege, a informé que son équipe ne déposerait aucune contestation des résultats devant la Cour constitutionnelle. Ce qui ne doit être traduit par une reconnaissance de la victoire du président sortant, bien que plusieurs présidents africains aient salué la réélection de Félix Tshisekedi à la tête de la RDC. Ainsi, la victoire du leader de l’UDPS devient  incontestable. Après ce plébiscite, le souverain primaire est en droit d’exiger des résultats et la concrétisation des promesses électorales. Quels sont les enjeux et perspectives de Tshisekedi II ?

 

Jamais dans l’histoire des élections en RDC, exception faite de l’époque du parti-Etat,  un président de la République en fonction ne puisse être élu massivement dans la capitale de Kinshasa. Avec plus de 73% des voix sur les suffrages exprimés, c’est tout simplement une victoire à la Staline, véritable plébiscite ! Mais, derrière ce raz-de-marée électoral, il y a des ententes des électeurs, la problématique de la concrétisation des espoirs du peuple qui constitue les enjeux et perspectives de Tshisekedi II.

« Peuple Congolais, ezalaki nde likambo ya mabele », (entendez,  peuple congolais, c’est une question de souveraineté, de notre terre), a déclaré Félix Tshisekedi, après sa réélection sans surprise.

« Comment pour répondre d’une manière concrète au souhait du peuple congolais qui reste attaché à sa terre ? ». Un observateur averti, praticien de Droit, Me Bamuangayi Kalukuimbi Ghislain épingle cette problématique comme l’enjeu du 2è mandat du président Félix Tshisekedi. De fil en aiguille, le Directeur de cabinet de la candidate numéro 9 à la présidentielle de 2023, Marie-Josée Ifoku Puta Mpunga s’attaque directement à l’actuelle constitution. Cela, considère-t-il, est l’un des éléments majeurs permettant aux compatriotes réquisitionnés par des intérêts étrangers, d’utiliser l’article 64 et se donner une légitimité afin de déstabiliser la RDC.

Pour mémoire, en effet, la candidate sue-évoquée (fut la seule femme prétendante à la présidentielle de 2018. En en 2023, elles ont été deux).

« C’est une raison majeure de changer cette constitution, afin de barrer la route aux ambitieux de la balkanisation du pays », déclare Me Bamuangayi. Il est d’avis que le vote d’une nouvelle constitution devrait être la priorité pour ce nouveau mandat du président Tshisekedi. « Ça sera un élément fondamental pour garantir la souveraineté de la RDC. Les élections ont démontré que le peuple congolais reste attaché à sa terre et la protège chaque fois qu’elle en a l’occasion malgré multiples tentatives », préconise –t-il, estimant que c’est là la meilleure façon de répondre  concrètement au souhait du peuple qui tient à  jouir de ses terres.

 

Pius Muabilu se félicite de la stratégie électorale de l’USN

 

Dans son message de félicitations au Président réélu,  Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Pius Muabilu Mbayu Mukala a estimé qu’« en  votant massivement pour Tshisekedi, les Congolais ont dit non à l’occupation, au diktat extérieur et aux antivaleurs ». Celui que l’on présente comme  ‘précurseur de l’Union sacrée de la Nation’ (USN), le Ministre d’Etat en charge de l’Urbanisme et de l’Habitat Pius Muabilu, reste convaincu que le Président de la République mettra « tout en œuvre  pour y arriver».

Ce haut cadre de l’USN, qui a été au four et au moulin de la stratégie électorale du Chef de l’Etat axée sur l’ancrage politique de ses alliés ayant bien compris que l’élection s’appuie sur des bases sociologiques, et sur des regroupements politiques et partis politiques forts comme AAAP. Une stratégie qu’il a soutenu personnellement en allant battre campagne dans son Kabinda natal, chef-lieu de la province de Lomami pour la réélection du candidat numéro 20, appelé affectueusement ‘FATSHI BETON’.

Tout en passant en revue les réalisations du Président durant la mandature passée, particulièrement le bilan inhérent à la gratuité de l’enseignement de base et de la maternité ainsi que   quelques réalisations du projet de 145 territoires entre autres la construction des routes, des écoles, des hôpitaux, des immeubles publics, aéroports, etc… Pius Muabilu, comme plusieurs observateurs,  estime que les projets en cours d’exécution,  aura d’impact visible et réel sur le décollage de l’économie car les routes de desserte agricole seront opérationnelles et surtout la mise en place de la politique agricole.

 

Marie Josée Ifoku et Joëlle Bile, les femmes candidates à la présidentielle de 2023 parlent des défis de Tshisekedi II

 

Lors des élections générales de 2023, la CENI a enregistré plus de 50% d’électrices, mais seulement 17% des candidats sollicitant les suffrages du peuple dont seulement 2 à la présidentielle à savoir Marie Josée Ifoku et Joëlle Bile. La femme étant majoritaire en RDC, la réaction de ces deux représentantes de la junte féminine mérite attention.

Si l’ex-journaliste Joëlle Bile, qui était à sa première expérience à ce niveau, avait  désisté  en faveur du Président sortant, Marie Josée Ifoku elle s’est battue jusqu’au bout pour solliciter l’adhésion des Congolais dans sa vision de la ‘Kombolisation’ (nettoyage, éradication) du système de prédation instauré depuis la Conférence de Berlin en 1885. Mais toutes reconnaissent que plusieurs défis attendent le président réélu, entre autres l’amélioration des conditions de vie des Congolais, la restauration de la paix dans le pays, l’instauration d’un vrai État de droit, la réduction du train de vie des institutions, la lutte contre l’insécurité et le tribalisme, la relance de la Miba…

« Après des années de tergiversations à la tête du pays, nous avons désormais besoin d’un véritable plan directeur du développement du pays, ce qui permettra la continuité de l’action de l’Etat. (…)Il doit servir le Peuple. Il doit travailler sans relâche pour assurer la paix, le développement économique et le bien-être de tous. Ce mandat, il le doit au peuple, à personne d’autre ! », a martelé Joëlle Bile qui prévient qu’ « Il n’y aura pas d’excuse cette fois-ci. Il n’y a pas de FCC ni de COVID. On veut du concret et non les promesses sans accomplissement ».

De son côté, l’unique femme candidate à la présidentielle 2018, l’ex-gouverneure de la Tshuapa Marie Josée Ifoku, estime que les élections actuelles se sont tenues dans la même géostratégie du ‘système de prédation’ instauré à la conception de l’Etat indépendant du Congo en 1885 à Berlin. En martelant sur le danger de voter pour les ‘candidats de l’étranger’, « le Président Tshisekedi abordait  en d’autres mots un aspect de la Kombolisation que prône Ifoku », affirme le Directeur de la Commission Communication et Médias du Réseau Ekoki-Inatosha que préside Marie Josée Ifoku. Pour cette dernière, l’éradication de ce système de prédation qui se perpétue à travers les élections qui se conforme au système est la voie idéale pour l’émergence du pays. Elle propose donc que le président élu fasse de son mandat un mandat transition afin d’appeler à « une révolution républicaine », convoquer les forces vives, la classe intellectuelle, la classe politique et des scientifiques afin d’écrire une nouvelle Constitution qui n’ait rien avoir avec la Constitution actuelle (réputée taillée sur mesure pour les intérêts des ex-belligérants), et aller ainsi à la 4ème République, la Renaissance d’un Congo nouveau.

Ainsi donc, contrairement aux autres candidats à la présidentielle à l’instar de Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Denis Mukwege, ainsi que six autres candidats, qui contestent les résultats et appellent à la réorganisation des élections, excluant même la possibilité de saisir la Cour constitutionnelle,  Marie Josée Ifoku tout en respectant la légalité en appelle plutôt à la consolidation de l’unité dans la diversité pour éradiquer le système de prédation et conduire le pays à sa renaissance pour un Congo nouveau. En digne mère de la nation, pragmatique, Ifoku formalise donc son message de félicitation au Président élu, les enjeux et perspectives du nouveau mandat de Félix Antoine Tshisekedi.

 

Willy Makumi Motosia




Kwamouth: Les Fardc neutralisent les assaillants Mobondo dans la cité de Masiambio

La milice Mobondo dans le territoire de Kwamouth a tenté d’ attaquer tôt ce matin du jeudi 4 janvier 2024 les positions des FARDC à partir de la cité de Masiambio à 125 Km de la ville de Bandundu.

 

Ce combat a été dominé par les forces loyalistes qui pour l’instant ont neutralisé un bon nombre de ces assaillants Mobondo et d’autres seraient en débandade sous la poursuite des FARDC.

 

Selon un habitant de Masiambio qui requiert l’anonimat, un calme précaire s’observe et la situation de cet après-midi serait sous contrôle des FARDC. Tandis qu’au camp Banku, village situé à 25 Km de la ville de Bandundu, la population dévoile l’embuscade tendue par les assaillants qui ont creusé un trou d’environ 5 m coupant la route sur la nationale numéro 17.

 

Toutefois, cette population dit être déterminée à réagir en cas d’attaque de Mobondo à travers une correspondance leur envoyée par cette dernière.

 

Les jeunes de ce village s’élèvent à travers la société civile pour hausser le ton et faire entendre leur voix au plus haut niveau en demandant un renfort du gouvernement central.