Volley-ball : L’Euvokin publie les conditions d’éligibilité

Dans un communiqué de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa ‘’Euvokin’’parvenu à notre rédaction, elle informe le public et les personnes intéressées que conformément à l’article 11 du R.O.I de la FEVOCO, les dossiers à déposer au Secrétariat sont les suivants :

  1. Lettre manuscrite de dépôt de candidature
  2. Curriculum vitae
  3. Un certificat de résidence
  4. Pièces scolaires
  5. Carte électeur ou de service
  6. Attestation de prestation 10 $
  7. Formulaire de la candidature 5 $ à la DUSL
  8. Bonne vie et Mœurs
  9. N’avoir pas été frappé par une quelconque sanction grave
  10. Une farde chemise.

N.B : Pour le comité sortant, il faut :

  1. Lettre manuscrite de dépôt de candidature
  2. Formulaire de la candidature
  3. Caution non remboursable
  4. Attestation de prestation.

Antoine Bolia




En prévision du 1er championnat militaire de judo d’Afrique centrale baptisé championnat de la Paix : Le Président du comité Technique national de Judo FARDC prie les clubs de Kinshasa de lui transmettre la liste de leurs meilleurs judokas

En prévision de la 1ère édition du championnat militaire d’Afrique Centrale dénommé ‘’Championnat de la paix’’, le comité technique national de judo des FARDC à travers son président Maître Aseli Axel Abumba Aka Chingili Changala, CN Yo Dan, demande à tous les clubs de Judo de Kinshasa de lui transmettre la liste de leurs meilleurs judokas pour la pré-sélection.

Ces listes sont attendues jusqu’au 15 du mois de février 2024. Passé cette date, toutes les listes qui parviendront en retard seront rejetées.

Il faudra noter que chaque club a un quota de 7 judokas hommes et 7 judokas dames seniors pour chaque catégorie de poids. Lieu de dépôt des listes : Dojo Jeshi Fardc dans l’enceinte du Camp Kokolo. Tél : 0899114531 ou 0890200087.

Antoine Bolia 




Reportée au samedi 27/01/2024 : L’Euvokin tiendra simultanément l’AGO et l’AGEE le 24/02/2024

Initialement prévue le samedi 13/01/2024 puis reportée au Samedi 27/01/2024, l’Assemblée Générale Ordinaire de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa ‘’Euvokin’’ n’a pas eu lieu en cette date. Le comité exécutif de l’Euvokin a jugé bon de jumeler deux assises en occurrence l’A.G.O et l’Assemblée Générale Extraordinaire et Elective en date du samedi 24/02/2024 à Kinshasa.

En ce qui concerne l’AGO

L’ordre du jour prévoit :

-Vérification du quorum

-Mot du Président

-Présentation du rapport de la saison 2022-2023 suivi du débat

-Divers avant l’AGEE le même jour.

En ce qui concerne l’AGEE

L’ordre du jour prévoit qu’1 seul point : Election du nouveau bureau de l’Euvokin

Ci-après le calendrier électoral :

-Le 28/01 au 10/02/2024 : Dépôt des candidatures au Secrétariat de l’Euvokin de 09h00 à 15h00

-Le 12/02/2024 : Mise en place des membres de la commission électorale et publication de la liste des postulants

-Le 13/02/2024 : Examen des dossiers des candidats de 10h00 à 15h00

-Le 14/02/2024 : Publication de la liste des candidatures retenues et non retenues (provisoire)

-Le 15 et 16/02/2024 : Recours et Examen des recours

-Le 19/02/2024 : Publication de la liste définitive des candidats

-Du 20 au 22/02/2024 : Campagne Electorale

-Le 24/02/2024 : Elections

En ce qui concerne la caution

Président : 150 $

Les Vice-présidents : 100 $

Les membres : 50 $

Quant aux autres informations, prière d’entrer en contact avec le Secrétariat exécutif de l’Euvokin.

Antoine Bolia




Assemblée nationale : Ouverture de la session extraordinaire inaugurale de la 4ème législature

Les députés nationaux élus provisoirement lors du scrutin du 20 décembre 2023 ont pris part ce lundi 29 janvier 2024 à la cérémonie de l’ouverture de la session extraordinaire qui a inauguré la 4 ème législature.

Cette session a procédé à la validation des mandats de ces nouveaux élus et la mise en place du bureau d’âge qui est dirigé par par le doyen Christophe Mboso (82 ans) assisté de deux benjamins, notamment Serge Bahati (27 ans) et Aje Matembo Toto Moïse (25 ans).

Le bureau provisoire aura pour mission entre autre, de recevoir les candidats et organiser l’élection du bureau définitif de la chambre basse du parlement.

Signalons qu’en décembre 2020, le patriarche Mboso avait été installé président du bureau d’âge, avant la tenue de la plénière à haute tension du 8 décembre 2020, avec pour principale mission d’examiner les pétitions mettant en cause tous les membres du bureau de Jeanine Mabunda.

Dans ses fonctions du président du bureau d’âge, le député Christophe Mboso était ainsi secondé par deux benjamins : Gaël Bussa (rapporteur), et Aminata Namasia questeur.

 

Jomik WANGA




Non à l’intox : Prosper Lombadisha a été régulièrement élu et pas nommé !

Dans une mise au point, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) confirme que M. Lombadisha Etotola Prosper, né à Djete le 28 décembre 1968, Numéro carte d’électeur : 34552755593, était bel et bien Candidat Titulaire à la Députation Provinciale sur la liste de l’Alliance pour l’alternance Démocratique et Alliés (AAD-A) dans la circonscription électorale de Lomela, Province de Sankuru.

Et la Centrale électorale de poursuivre que son dossier de candidature porte le numéro DP80334A000500006 sur la liste définitive des candidats publiée officiellement par la CENI en novembre 2023. La CENI confirme que ce candidat a été régulièrement élu à la députation provinciale avec 5.605 voix, et pas nommé comme le prétendent les propagateurs patentés de fake news, toujours en quête permanente du sensationnel.




42ème lettre sociale congolaise : 8ème Edition des élections sociales : les salariés ‘’ élus’’ aux ‘’élections syndicales’’ organisées à l’Agence Congolaise des Grands Travaux sont –ils des délégués syndicaux ?

« C’est une règle générale : l’homme qui réussit le mieux dans la vie est celui qui détient la meilleure information ». Benjamin Disraeli.

 

Chères lectrices, chers lecteurs;

  1. Une société démocratique se construit à la base, dans chaque structure ou chaque organisation où l’homme œuvre. Dans une pareille société l’homme apprend à distinguer le bien du mal puisque la démocratie est un discours rationnel qui permet de distinguer le bien du mal. Mortimer Adler (1965) montre dans une société démocratique la seule autorité est la raison et les seuls arbitres dans n’importe quelle discussion sont la raison et l’évidence. La discussion étant l’un des éléments fondamentaux d’un régime démocratique, Adler revient à dire et à préciser qu’ « une bonne discussion the problèmes importants à la lumière des grands livres est un exercice complet dans l’art de pensée et de communication ».
  2. Ainsi , c’est l’analyse bibliologique des écrits documentaires de la représentation des travailleurs regs par le Code du Travail qui fait de la présente lettre sociale congolaise un exercice complet d’un débat d’idées, débat démocratique. Car, la démocratie dépend des hommes qui peuvent se diriger eux-mêmes parce qu’ils ont l’art d’être dirigés.
  3. C’est pourquoi, faisant la différence entre la démocratie directe et démocratie indirecte, Nonna Mayer(2012) montre que la démocratie directe est la démocratie athénienne dans laquelle le peuple gouverne directement tandis la démocratie indirecte est la démocratie contemporaine issue de trois révolutions fondatrices, à savoir la révolution anglaise de 1688, la révolution américaine de 1776 et la révolution française de 1789. Dans cette démocratie indirecte, le peuple délègue ses pouvoirs à ses représentants élus.
  4. Dès lors, le principe de l’élection s’est imposé comme mode d’accès à un gouvernement démocratique. C’est pourquoi la démocratie est le « gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple » pour reprendre la formule chère d’Abraham Lincoln dans son discours de Gettysburg en 1863.
  5. Aujourd’hui le principe de l’élection est d’application dans les toutes structures et organisations tant politiques que sociales. C’est pourquoi les citoyens élisent leur président de la république, leurs représentants au parlement, les gouverneurs…, les membres associations sans but lucratif (église, syndicat…) élisent leurs représentants à des niveaux différents.
  6. C’est ainsi que l’année 2023 a été très riche en élections sociales et politiques en République démocratique du Congo.
  7. Les congolais qui sont des travailleurs salariés ont élu dans leurs entreprises respectives leurs représentants en utilisation de l’arrêté ministériel n°086/CAB/ETPS/MIN/2023 du 23 février 2023 modifiant et complétant l’arrêté ministériel n°011/CAB/MINETAT/MTPS/FBK/RO/20218 du 29 janvier 2018 portant convocation et fixation du calendrier du déroulement des élections syndicales dans les entreprises ou établissements de toute nature en République démocratique du Congo pour la 8ème Edition 2023 -2026.
  8. Les élections sociales sont donc consécutives à la démocratie sociale dans laquelle le travailleur salarié utilise le même droit de vote qu’il a à la cité au niveau de l’entreprise pour élire ses représentants.
  9. De ce fait, l’élection sociale bien que réduite actuellement à l’élection syndicale est une activité normée dont l’exécution est fondée sur les faits consignés par écrit.

10.C’est alors qu’est né, partant de mes pouvoirs d’enseigner et d’informer, l’intérêt de la 42ème lettre sociale congolaise pour voir si les prescrits documentaires en matière d’organisation des élections sociales ont été respectés pour l’élection des salariés qui sont appelés aujourd’hui ‘’délégués syndicaux’’ de l’Agence Congolaise des Grands Travaux.

  1. La compréhension de la présente lettre sociale congolaise est rendue facile par les arguments des rationalités systèmale et politique.
  2. Selon l’argument de rationalité systèmale, le système électoral social au niveau des entreprises tant publiques que privées ainsi qu’au niveau des établissements de toute nature est légaliste. Il est proclamé par la loi n°16/010 du 15 juillet 2916 modifiant et complétant la loi n°015 – 2002 portant Code du Travail qui dispose en son article 255 « La représentation des travailleurs dans les entreprises ou établissements de toute nature est assurée par une délégation élue.(…) Un arrêté du Ministre ayant le travail et la prévoyance sociale dans ses attributions, pris après avis du Conseil National du Travail, fixe : 1) le nombre de travailleurs à partir duquel et les catégories d’entreprises ou établissements dans lesquels l’institution d’une délégation est obligatoire ».

13.Faut-il préciser qu’à partir de dix travailleurs dans une entreprise ou établissement, la délégation syndicale, voire la représentation des travailleurs est obligatoire. Si l’Inspection Générale congolaise du Travail avait pris à bras – le – corps était la mission lui assignée par le législateur congolais, on ne trouverait des entreprises sans représentation des travailleurs. Certes, si l’Inspection Générale du Travail a sa part dans cette débâcle représentative, les travailleurs salariés ainsi que les syndicats ont la leur.

  1. De l’autre côté, l’argument de rationalité politique nous renvoie au discours présidentiel d’avènement de la 3ème République du 24 avril 1990. C’est donc ce discours qui est à l’origine de la constitution du 18 février 2006 qui consacre l’inviolabilité du pluralisme politique et syndical en République démocratique du Congo. Le pluralisme politique et syndical est consécutif au régime démocratique qui devrait aboutir à la construction et à la formation d’un Etat de droit dans lequel l’écrit documentaire a une mission de rationalisation des pratiques et actes tant politiques que sociaux.

15.C’est dans cet ordre d’idées qu’il convient de préciser qu’en République démocratique du Congo l’écrit documentaire fondamental de la représentation est la constitution congolaise du 18 février 2006 qui confère aux travailleurs salariés des secteurs public et privé, en son article 38, la liberté syndicale et le droit syndical.

  1. La liberté syndicale est la faculté qu’a un travailleur salarié de s’affilier à une organisation professionnelle des travailleurs ou de s’en désaffilier. Par contre, le droit syndical est l’habilité qu’ont les travailler de créer des organisations professionnelles qui ont pour but l’étude, la défense et la promotion de leurs intérêts tant matériels que moraux, l’habilité de se choisir leurs représentants, l’habilité de négocier avec les employeurs directs et indirects.
  2. Dès lors, pour qu’un syndicat soit en mesure de négocier les conditions de vie et de travail de ses membres avec l’employeur, il doit être représentatif dans l’entreprise où prestent ses membres. Et pour qu’un syndicat soit représentatif dans une entreprise ou établissement de toute nature, il doit avoir au moins un siège aux élections et ce, après avoir obtenu une personnalité civile par l’enregistrement suivant les prescrits des 238, 239 et 249 de la loi n°16/010 du 15 juillet 2016 ci-haut citée. 18.C’est ainsi qu’au terme de la note circulaire n°12/CAB.MIN/ETPS/02/2023 portant organisation des élections syndicales dans les entreprises tant publiques que privées ainsi qu’aux établissements de toute nature en République démocratique du Congo pour la 8ème Edition 2023 -2026, ne pouvaient participer aux élections du 17 avril au 29 mai 2023 que seuls les syndicats ayant rempli les critères administratifs, légaux et règlementaires prévus par le code du travail. Déjà la même note circulaire avait fixé les dates des 27 février et 10 mars 2023 pour les publications de la liste des syndicats enregistrés et la liste définitive des syndicats enregistrés après recours contre le non enregistrement.

19.Cette condition d’enregistrement pour participer aux élections syndicales dans les entreprises est déjà énoncée par l’arrêté ministériel n°048/CAB/VPM/M ETPS/2015 du 08 octobre 2015 modifiant et complétant l’arrêté ministériel n°12/CAB.MIN/TPS/ar/NK/054 du 12 octobre 2004 fixant les modalités de la représentation et de recours électoral des travailleurs dans les entreprises ou les établissements de toute nature qui stipule en son article 12 « (…). Seul le ou les syndicats également enregistrés et dont le champ d’activité s’étend à l’établissement peuvent présenter des candidats(…) ».

  1. Tout compte fait, il n’y a eu que les syndicats enregistrés qui figuraient sur les listes rendues publiques les 27 février et 10 mars 2023 qui ont participé aux élections de la 8ème Edition du 17 avril au 29 mai 2023 dont le délai a été prorogé d’un mois.
  2. Et pour que les syndicats qui ne s’étaient pas faits enregistrés s’arrogent le droit de participer aux élections, la Ministre du travail, emploi, prévoyance sociale a, par l’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/JB/096/09/2023 du 05 septembre 2023 portant publication des résultats des élections syndicales organisées dans les entreprises tant publiques que privées ainsi que les établissements de toute nature en République démocratique du Congo pour la 8ème Edition 2023 -2026, présenté non seulement les syndicats qui ont participé à ces élections mais aussi les suffrages ainsi que les sièges obtenus par chacun de ces syndicats.
  3. La lecture du tableau présentant les résultats de ces élections renseigne que sur 157 syndicats ayant concouru à ces élections syndicales, le premier syndicat est la Confédération Syndicale du Congo « CSC » avec 1.834 sièges. Par contre, les derniers syndicats sont : Syndicat Espoir des Travailleurs « SEDT », Travail égal, Salaire égal « TS », Syndicat des Travailleurs du Congo Interprofessionnel « SYTRAC », Responsabilité Commune des Travailleurs « RCT », Forteresse du Travail « FORST », Syndicat des agents publics du Congo « SAPC », Union démocratique des travailleurs du Congo « UDTC » et Dynamique Syndicale Congolaise « DSC » qui ont obtenu zéro siège.
  4. Un fait attractif est que cet arrêté ministériel ne mentionne nulle part ni le « Syndicat des travailleurs de l’Agence Congolaise des Grands Travaux « STACGT » » ni ses suffragesmoins encore ses sièges obtenus aux élections organisées à l’Agence Congolaise des Grands Travaux. Curieusement c’est ce syndicat qui est ‘’ le seul syndicat représentatif ‘’ à l’Agence Congolaise des Grands Travaux. Ceci laisse entendre qu’il a été le seul syndicat à avoir participé aux élections syndicales organisées à l’Agence Congolaise des Grands Travaux.

24.Cependant la Confédération démocratique du Travail « CDT » et le Syndicat National des Employés du Congo « SNEC » qui sont sur l’arrêté ministériel de publication des résultats et qui avaient déposé leurs lettres de demande de participation aux élections à l’Agence Congolaise des Grands Travaux attendent jusqu’à ce jour l’invitation pour participer à l’organisation de ces élections.

  1. Paradoxalement, l’on constate qu’un syndicat non enregistré est parvenu à participer aux élections syndicales à l’Agence Congolaise des Grands Travaux alors que les syndicats enregistrés auraient été exclus.
  2. Dorénavant, je postule que le fait que les salariés ‘’ élus’’ aux ‘’élections syndicales’’ organisées à l’Agence Congolaise des Grands Travaux ont été présentés par un syndicat non enregistré corrompt les élections et ne confère pas de qualité de délégué syndical à ces salariés ‘’élus’’. Aussi, non seulement cette corruption affecte les actes que ces derniers posent comme représentants des travailleurs, mais les met en position de faiblesse et de manque de dignité personnelle. Toute l’importance que revêt l’action syndicale repose sur la dignité humaine. Ce postulat est donc la réponse à la question constitutive du titre de la 42ème lettre congolaise.

27.Cette réponse montre qu’il y a une aberration administrative qui met en cause la responsabilité administrative du Secrétariat Général à l’Emploi et au Travail et de l’Inspection Générale du Travail qui sont chargés de l’exécution de l’arrêté ministériel n°048/CAB/VPM/M ETPS/2015 du 08 octobre 2015 modifiant et complétant l’arrêté ministériel n°12/CAB.MIN/TPS/ar/NK/054 du 12 octobre 2004 fixant les modalités de la représentation et de recours électoral des travailleurs dans les entreprises ou les établissements de toute nature en son article 45, de l’arrêté ministériel n°086/CAB/ETPS/MIN/2023 du 23 février 2023 modifiant et complétant l’arrêté ministériel n°011/CAB/MINETAT/MTPS/FBK/RO/20218 du 29 janvier 2018 portant convocation et fixation du calendrier du déroulement des élections syndicales dans les entreprises ou établissements de toute nature en République démocratique du Congo pour la 8ème Edition 2023 -2026 en son article 6 et de la note circulaire n°12/CAB.MIN/ETPS/02/2023 portant organisation des élections syndicales dans les entreprises tant publiques que privées ainsi qu’aux établissements de toute nature en République démocratique du Congo pour la 8ème Edition 2023 -2026 en son dernier paragraphe.

  1. J’ai fait ma part par ma coupe pleine.

Fait à Kinshasa, le 29 janvier 2024

Jean Joseph NGANDU NKONGOLO

Anthropobibliologue, Expert en

Anthropobibliologie du Travail, Formateur

Psycho-Socio-Professionnel et Chercheur à

l’Observatoire Congolais du Travail

E-mail jsphngandu@gmail.com

+243 994 994 872




Pédophilie où l’abîme sahraoui des enfants perdus des camps

 Ces temps derniers, les camps des séquestrés sahraouis de Tindouf ont été le théâtre d’un scandale moral et sexuel dévastateur sous l’œil bienveillant de l’autorité en place, le mouvement séparatiste du polisario et de son sponsor, le régime des capos d’Alger

Il a été révélé, effectivement, que des dizaines d’enfants mineurs vivant dans ces camps ont été victimes du pédophile espagnol « Miguel N », dont l’arrestation a été officiellement annoncée et avérée le 23 janvier en Espagne. Les autorités de la ville espagnole d’Argentona ont fait état de l’arrestation et du suspect et de trois de ses complices. Ils seront donc poursuivis pour divers chefs d’accusation graves, notamment le leurre et l’exploitation sexuelle de mineurs, ainsi que la détention et la diffusion de contenus numériques à caractère sexuel.

Les enquêtes ont révélé que parmi les victimes figuraient de nombreux enfants âgés de 7 à 12 ans, qui avaient participé à des camps d’été organisés par le mouvement sécessionniste du front polisario dans sa frange en Espagne, sous la houlette du représentant de cette organisation criminelle dans la région de Catalogne, « Abidin Bucharaya ».

Cette affaire a commencé à se dévoiler en avril de l’année dernière, lorsque les autorités de sécurité de la ville de Tenerife, dans les îles Canaries, ont découvert une tentative d’attirer des mineurs dans des conversations à caractère sexuel via une application de jeu. Les enquêtes ont finalement conduit à l’identification du suspect, qui utilisait sa position d’éducateur pour attirer et exploiter sexuellement des enfants.

Le principal suspect, déjà connu pour ses préférences sexuelles déviantes, se présentait comme un spécialiste de l’éducation, mais également comme un fervent défenseur de la cause séparatiste du polisario. Il a ainsi pu collaborer facilement avec un groupe d’écoles espagnoles de la région de Catalogne, et même participer à l’organisation de prétendus camps d’été pour les enfants originaires des camps de Tindouf.

La question de l’envoi d’enfants détenus à Tindouf vers des camps d’été organisés par des entités espagnoles hostiles au Maroc a soulevé de nombreuses inquiétudes en matière de droits de l’homme et d’aide humanitaire.

En effet, ces enfants sont extraits des camps de manière non consentie de leurs parents et envoyés vers des destinations inconnues à l’étranger, les exposant ainsi à des risques d’exploitation sexuelle, comme l’illustre tragiquement le cas du pédophile espagnol « Miguel N ». Cette affaire souligne l’urgence d’une action internationale pour protéger les droits des enfants dans les camps de Tindouf et garantir leur sécurité.

L’exploitation des enfants dans les camps de Tindouf, en Algérie et peuplés principalement de séquestrés sahraouis, dure depuis des décennies. Les enfants dans ces camps peuvent être soumis à diverses formes d’exploitation, notamment le travail forcé, l’enrôlement dans des activités militaires, et l’utilisation comme « enfants à tout faire » et notamment en tant qu’objets sexuels.

On l’imagine, les mercenaires y mettent un voile de politique et de propagande, afin de rendre difficile la distinction entre la réalité et la rhétorique. Ces derniers dépeignent, à qui veut les entendre, souvent les camps comme des modèles de résilience et d’autonomie, où les droits des enfants sont respectés et promus. Mais la vérité finit toujours par triompher ou éclater, les aides humanitaires détournées sont un exemple et illustrent le chaos qui sévit dans les camps de Tindouf.

Les organisations non gouvernementales (ONG) n’ont de cesse de relater des témoignages des séquestrés sahraouis qui décrivent des conditions de vie précaires et inhumaines dans les camps, avec des ressources limitées et un accès restreint à l’éducation et aux soins de santé. Dans de telles circonstances, il n’est pas impensable que les enfants soient contraints de contribuer à la survie de leur famille ou communauté de manières qui, dans un contexte différent, seraient considérées comme de l’exploitation sous toute forme soit-elle.

En vérité, la question de l’exploitation des enfants dans les camps de Tindouf indéniablement reste un triste reflet de complexité et de persistance d’une situation volontairement nourrie par les mercenaires d’Alger.

Mohamed Jaouad EL KANABI




Valse sahélienne de l’Algérie : Odyssée diplomate aux rythmes incertains

Ah, la géopolitique nord-africaine et ses subtilités ! Il est une question suggérant une perspective intrigante sur les relations algéro-maliennes, teintée d’une ironie géostratégique. Dans le vaste théâtre de sable et de soleil qu’est le Sahel, un acteur se distingue par son zèle quasi maternel : l’Algérie. 

Ah, l’Algérie ! Ce titan de la diplomatie, ce colosse de la médiation, toujours prêt à envelopper de son aile protectrice ses voisins, comme le Mali, la Tunisie…, des petits poussins frissonnants de froid et de peur. Aussi conter, à travers les lunettes de l’ironie la plus ciselée, la fascinante saga de l’Algérie, cette douce mère protectrice du Sahel, dans son rôle auto-attribué de gardienne du désert et des principes démocratiques, n’en devient que plus emportant.

Avant toute chose, il est crucial de comprendre la position historique et stratégique de l’Algérie dans la région. Avec ses vastes ressources naturelles, notamment les hydrocarbures et une armée parmi les plus puissantes d’Afrique, l’Algérie s’est souvent positionnée comme un leader naturel, voire un “frère“ protecteur, pour ses voisins moins fortunés. Cependant, la notion de « pays vassal », fréquemment associée à des époques révolues où les empires jadis imposaient leur volonté à des États plus faibles, n’est aucunement anachronique dans le contexte contemporain de la région.

Maintenant, parler de vassalisation du Mali par l’Algérie n’est nullement une hyperbole à réveiller les morts pour souligner l’influence algérienne dans la région. Néanmoins, la réalité est probablement plus complexe et mérite une analyse plus nuancée, tenant compte des subtilités dans lesquelles s’entremêlent diplomatie, désirs d’indépendance et jeux de pouvoir.

Il était une fois, au cœur du vaste continent africain, un pays nommé Mali, riche de son histoire et de sa culture, mais tourmenté par des conflits internes et des défis sécuritaires. À ses côtés, l’Algérie, puissante et influente, veillait avec intérêt et préoccupation sur les affaires de son voisin. Elle voyait dans la stabilité du Mali non seulement une nécessité pour la sécurité régionale, mais aussi une opportunité pour renforcer sa position de leader.

Dans ce contexte, l’Algérie, le géant bienveillant du Sahel, s’est imposée comme un médiateur clé dans les conflits maliens. Elle a orchestré des négociations, accueilli des pourparlers de paix et tenté de rapprocher les différents acteurs maliens. Cette implication n’était pas sans intérêt. En effet, en pacifiant le Mali, l’Algérie sécurisait sa propre frontière sud et étendait son influence dans la région.

N’est-ce pas admirable ? L’Algérie, dans son immense sagesse, ne cherche qu’à apporter la paix, la stabilité, et pourquoi pas, un peu de sa propre vision du monde à son voisin. Et si pour cela, elle doit étendre un peu, juste un peu, son ombre protectrice sur le Mali, qui pourrait le lui reprocher ? Après tout, quel est le mal d’une influence bien intentionnée, même si elle ressemble étrangement à de l’hégémonie ?

Quant à la Tunisie, ce petit joyau de la démocratie en Afrique du Nord, elle aussi bénéficie de l’attention bienveillante de l’Algérie. Bien sûr, la Tunisie, avec son indépendance farouche et sa démocratie naissante, pourrait sembler un peu réticente à l’idée de se blottir sous l’aile de l’aigle algérien. Mais n’est-ce pas le lot de tout mentor de rencontrer parfois la résistance de son protégé ?

Il est également cette idée qui taraude les esprits, celle d’inviter le MAK à Bamako. On peut l’interpréter comme un geste politique significatif du gouvernement malien, visant à reconnaître et à soutenir les aspirations du peuple kabyle à l’autodétermination, telles que promues par Mehenni et son mouvement. Cela pourrait par ailleurs être vu comme une tentative du Mali de se distancer de l’Algérie et de chercher de nouveaux alliés régionaux.

Bref, la déclaration du leader du MAK : “Le Mali a enfin compris le jeu malsain des généraux algériens qui veulent faire de leur pays “l’arrière-cour“ de l’Algérie, faire de lui un État vassal, à l’image de la Tunisie actuelle. Il nous apprend aussi ce que nous savions déjà depuis près de 20 ans : l’AQMI est un appendice des Services Secrets algériens. Enfin, le communiqué malien annonce qu’il n’y aurait rien de mieux pour donner le change à L’Algérie que d’inviter le MAK à Bamako. Nous remercions les autorités maliennes de consacrer l’audience du MAK au sein de l’Union Africaine. Nous restons ouverts au dialogue qui pourrait déboucher sur un soutien sincère du gouvernement malien au droit du peuple kabyle à l’autodétermination. Nous rappelons juste que le MAK est un mouvement de libération nationale pacifique“ est significative à plus d’un titre.

Si authentique, cette déclaration illustre les tensions géopolitiques et les dynamiques de pouvoir complexes en Afrique du Nord et dans le Sahel. Elle reflète également les stratégies de différents acteurs régionaux visant à renforcer leur influence et à promouvoir leurs intérêts politiques et idéologiques.

Dans cette danse complexe et nuancée, une chose demeure certaine : la lutte pour l’influence et l’autodétermination dans le Sahel compose une symphonie loin d’être achevée. Les mouvements de Mehenni et Maïga pourraient bien introduire de nouveaux rythmes dans le concert géopolitique de cette région si fascinante et si tumultueuse.

Mohamed Jaouad EL KANABI




Délégation diplomatique à Laâyoune : un signal fort pour l’unité du Maroc

Une délégation diplomatique de haut niveau, composée de représentants permanents de 14 pays auprès des Nations Unies et des organisations internationales à Genève, est arrivée dimanche dans la capitale des provinces du sud pour une visite de quatre jours à Laâyoune et deux jours à Dakhla.

Cette visite vise à examiner de près la situation socio-économique, politique et des droits de l’homme dans la région. Durant leur séjour, les délégués rencontreront divers responsables locaux et visiteront des projets de développement clés dans la région, y compris des établissements universitaires, médicaux et culturels, ainsi que des infrastructures sportives et touristiques.

Ces rencontres et visites offriront aux membres de la délégation un aperçu direct du développement socio-économique et des initiatives de droits de l’homme dans les provinces du sud du Maroc. Parmi les membres de la délégation figurent Jamal Jamaa Al Musharakh, représentant permanent des Émirats Arabes Unis auprès des Nations Unies et des organisations internationales à Genève, ainsi que les représentants permanents du Bahreïn, du Yémen, des Comores, du Sénégal, du Cap-Vert, du Royaume d’Eswatini, du Gabon, de la Gambie, de la Guinée équatoriale, du Malawi, du Togo, de la Sierra Leone et de la Zambie.

Les sources de Hespress ont ajouté que « la visite de la délégation onusienne confirme le soutien de ses États membres à l’unité territoriale du Maroc et à sa souveraineté sur ses provinces du sud« . Elles ont noté que « tous les pays représentés par la délégation ont déjà ouvert des consulats dans les provinces du sud, à l’exception du Yémen, qui a constamment exprimé des positions fermes sur le conflit artificiel et renouvelé son soutien clair à l’unité du Royaume dans divers forums régionaux et internationaux« .

La visite est une réponse à la vision royale et à l’initiative internationale du roi Mohammed VI concernant la facilitation de l’accès des pays du Sahel à l’océan Atlantique et fait suite aux efforts continus du Maroc pour rendre le continent africain prospère et uni. La délégation se rendra au siège de la wilaya de Laâyoune-Sakia El Hamra, où elle rencontrera Abdessalam Bekrate, le wali de la région et gouverneur de la province de Laâyoune.

Celui-ci fournira des explications détaillées sur la situation générale de la région, les projets économiques et les chantiers de développement en cours dans les provinces du sud, dans le cadre du modèle de développement lancé par le roi Mohammed VI en 2015.

La délégation diplomatique examinera également la réalité des droits de l’homme dans la région, loin des propagandes malveillantes des adversaires de l’unité territoriale du Maroc. Elle tiendra également des discussions bilatérales avec Sidi Hamdi Ould Errachid, président du Conseil régional de Laâyoune-Sakia El Hamra, qui présentera un aperçu de la réalité du développement dans les provinces du sud.

Elle visitera ensuite l’hôtel de ville, où elle tiendra des discussions avec Moulay Hamdi Ould Errachid, président de la commune de Laâyoune, suivies d’une réunion purement axée sur les droits de l’homme avec le président de la Commission régionale des droits de l’homme à Laâyoune-Sakia El Hamra.

La délégation diplomatique entamera une tournée sur le terrain comprenant plusieurs projets et chantiers de développement importants réalisés dans la ville de Laâyoune. Une occasion d’offrir aux membres de la délégation l’occasion de voir de près le développement qu’a connu la capitale des provinces du sud du Royaume.

Le parcours commencera par une visite du pôle universitaire à l’est de la ville, du projet de la Cité des Métiers et des Compétences, de la Faculté de Médecine et de Pharmacie, et de « Dar Al Hayat », dédiée aux patients atteints de cancer. Elle se dirigera par la suite vers le Centre Hospitalier Universitaire.

Là, elle entendra des explications détaillées sur le niveau des travaux du projet, qui offrira plus de 500 lits et des ailes dédiées aux urgences, à la pédiatrie et à la gynécologie, ainsi qu’une aile spéciale pour la chirurgie et une autre pour les maladies mentales.

La délégation s’intéressera également à l’aspect touristique et sportif, en visitant la zone polyvalente pour se renseigner sur le club féminin de football de la ville, qui participe au championnat professionnel marocain de première division. Cette visite s’étendra également sur deux jours à Dakhla, avec pour objectif d’examiner de près la situation socio-économique, politique et des droits de l’homme dans la région.

Mohamed Jaouad EL KANABI




Coup de sifflet à la liberté d’expression : le bras de fer de Belmadi

 Dans l’arène tumultueuse du football algérien, une saga digne des plus grandes épopées se déroule, mêlant politique, liberté d’expression et justice. Au centre de cette tourmente, Djamel Belmadi, l’entraîneur charismatique de l’équipe nationale algérienne, affronte un adversaire d’un nouveau genre : la Fédération Algérienne de Football (FAF) et, par extension, le régime politique algérien.

La décision de la FAF de ne pas honorer les dus à Belmadi et surtout de lui d’interdire de s’exprimer publiquement n’est pas un simple fait divers dans le monde du sport ; c’est un acte qui révèle une tentative de censure, une volonté de museler un homme dont la popularité et l’influence s’étendent bien au-delà des stades vibrants d’Alger ou d’Afrique. Cette stratégie de bâillonnement, vraisemblablement orchestrée ou du moins approuvée par les sphères politiques, expose une crainte palpable des autorités face à un individu capable de remettre en question leur autorité.

Dans cette lutte, on envisage aisément l’appel de Belmadi au Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Il s’érige comme une démarche de quête de justice, pas seulement pour le concerné, mais pour l’essence même du sport. Le TAS, dans cette affaire, se présente comme l’arbitre ultime, le gardien de l’équité, capable de rééquilibrer les forces en jeu et de remettre en cause l’ingérence d’un gouvernement dans les affaires sportives.

Le conflit qui oppose Belmadi à la FAF dépasse la simple querelle entre un entraîneur et sa fédération. Il soulève une interrogation fondamentale sur les limites de l’intervention politique dans le sport. La décision du TAS dans ce dossier ne se limiterait pas à trancher un litige ; elle prendrait position sur l’ampleur de l’influence politique dans le monde sportif, testant la solidité des principes d’autonomie et de liberté d’expression dans un domaine dans lequel l’équité et la justice sont des valeurs sacro-saintes.

L’importance de cette affaire transcende les frontières de l’Algérie et possède des ramifications internationales significatives. La communauté mondiale du football, ainsi que les observateurs du sport international, scrutent cette affaire avec une attention particulière, conscients que le verdict du TAS pourrait établir un précédent historique. Une décision en faveur de Belmadi serait perçue non seulement comme un triomphe pour les droits des acteurs du sport, mais aussi comme un coup de semonce contre l’ingérence politique, affirmant ainsi l’indépendance et la souveraineté du monde sportif.

Belmadi émerge dans cette épreuve non seulement comme un entraîneur confronté à une injustice, mais aussi comme le symbole d’une résistance plus large contre l’oppression et la censure. Son audace, sa ténacité et sa détermination transcendent le cadre du football et incarnent un combat plus vaste pour la liberté d’expression et l’intégrité dans le sport, posant un défi direct à la FAF et, au-delà, au régime politique algérien.

Une décision imminente du TAS serait alors attendue avec une grande anticipation. Elle représentera bien plus qu’un simple verdict sur le sort d’un entraîneur ; elle serait un jugement sur la nature et les limites de l’influence politique dans le sport. Cette décision pourrait marquer un tournant, définissant les frontières de ce qui est acceptable dans l’interaction complexe entre le sport, la politique et les droits fondamentaux de l’homme.

Dans ce contexte, l’affaire Belmadi n’est pas simplement une histoire de football. C’est une réflexion sur la place du sport dans la société, sur son rôle en tant que vecteur de valeurs, d’unité et d’expression libre. Le football, dans ce cadre, devient un miroir de la société, reflétant les tensions, les luttes de pouvoir et les aspirations à la liberté et à la justice.

Le courage de Belmadi dans cette épreuve est un rappel puissant que le sport n’est pas juste un jeu, mais un champ de bataille où se jouent des enjeux bien plus importants que la simple victoire sur un terrain. C’est un théâtre dans lequel se manifestent les valeurs de courage, d’intégrité et de résilience, où chaque acteur, qu’il soit joueur, entraîneur ou dirigeant, joue un rôle dans une histoire plus grande que lui-même.

Le monde attend donc avec impatience la décision du TAS. Ce verdict ne serait pas seulement le dénouement d’une affaire impliquant un entraîneur et une fédération, mais un moment décisif dans l’histoire du sport mondial. Il déterminerait si le sport peut véritablement rester un domaine indépendant, libre de l’influence politique, ou si les tentacules du pouvoir peuvent s’étendre jusque dans les arènes sportives.

Le cas de Belmadi et la réponse du TAS pourraient ainsi devenir un chapitre clé dans l’histoire du sport, un exemple étudié par les générations futures sur la manière dont le sport peut et doit résister aux pressions politiques, affirmant son rôle en tant que bastion de la liberté, de la justice et de l’intégrité. Le monde du football, et au-delà, toute la communauté internationale, retient son souffle, attendant de voir si la justice prévaudra dans cette bataille pour la liberté d’expression et l’intégrité dans l’univers passionnant, mais parfois orageux, du sport international.