Accrochage entre les inspecteurs de l’IGF et le ministre de L’EPST: Tony Mwaba traduit en justice pour séquestration et humiliation.

Quelques jours après l’accrochage entre 3 inspecteurs de l’IGF et le ministre de l’EPST, le Syndicat des inspecteurs de l’IGF décide de porter plainte contre Tony Mwaba pour séquestration et humiliation à la cour de cassation.

Répondant aux questions au cours d’une émission d’une télévision de la place, le président du syndicat des inspecteurs de l’inspection générale des finances, l’inspecteur Matadi a fait preuve de son indignation à la suite de ces incidents impliquant le ministre de l’enseignement primaire, secondaire et technique à ces collègues pourtant détenant un ordre de mission.

“Mais ce qui s’est passé là, c’est regrettable, que les collègues soient envahis par les badeaux venus de je ne sais où au bureau de l’État. Nous ne nous battons pas, nous sommes là pour vérifier si les textes sont respectés par ceux qui gèrent les fonds publics. Nous, le syndicat des inspecteurs des finances allons déposer une plainte à la cour de cassation parce que le ministre a humilié les inspecteurs des finances », a déclaré l’inspecteur Matadi

Rappelons que le mercredi 31 janvier 2024, un incident avait opposé le ministre de L’EPST à 3 inspecteurs de l’IGF après leur contrôle effectué auprès du comptable public de la DINACOPE. Dans une vidéo devenue virale, l’on pouvait voir le ministre de l’enseignement primaire secondaire et technique réprimandé 3 inspecteurs de l’IGF présentés comme des malfrats, qui auraient séquestré le comptable public dans son ministère. Les agents de l’IGF lui auraient ravi 1000$ + 200€ et le chéquier.

Derick Katola




Kasai : Les Congolais refoulés de l’Angola vivent dans des conditions déplorables, la société civile Kamako tire la sonnette d’alarme

Depuis maintenant 13 jours, le gouvernement Angolais a décidé de refouler les Congolais qui vivaient en situation irrégulière pour permettre au pays de Edwarado satons de s’organiser.

Ces Congolais refoulés vivent dans des conditions déplorables sans aucun encadrement .

D’après monsieur l’abbé Trindo Keshilemba, la situation semble être compliquée vu que les personnes âgées, les mineurs et femmes enceintes sont exposés à des maladies au regard des conditions de leur vie.

Les personnes refoulées sont pour la plupart des exploitants des diamants ( creuseurs), les commerçants sans papiers et les personnes qui entrent d’une manière illégale.

La société civile plaide pour l’implication des autorités de prendre en charge ces compatriotes.

 

 

Jean-Luc Bakampenda depuis la ville de Tshikapa




Affaires candidats députés invalidés: la cour constitutionnelle va rendre son arrêt le 8 février prochain

Au total, 64 dossiers des candidats députés invalidés par la Ceni lors des élections législatives du 20 decembre dernier ont été examinés par la cour constitutionnelle. Le début des audiences de ces contentieux électoraux a eu lieu le lundi 5 février à Kinshasa.

Il s’agit des candidats députés dont les suffrages étaient annulés pour fraude électorale, détention illégale des machines à voter, bourrage des urnes et vendalisme des locaux de la centrale électorale.

Selon le Président de la cour constitutionnelle, Dieudonné Kamuleta, la Cour a examiné dans un premier temps les requêtes de Nsingi Pululu, Gentiny Ngobila Mbaka, Collette Tshomba et de Charles Mbuta Muntu.

Prenant ses réquisitoires, le procureur général près la Cour Constitutionnelle a demandé à la Cour de déclarer recevables mais non fondées toutes ces requêtes sous examen. Pour le haut magistrat, Mukolo Nkonkesha, le juge Constitutionnel est à ce stade juge des contentieux des résultats provisoires tels que publiés par la CENI. Il n’est pas ici juge de la régularité des scrutins.

Jusque-là, seul le président de la République a été confirmé par la haute cour. Les autres résultats publiés par la commission électorale nationale indépendante sont encore provisoires en attendant la confirmation par la cour constitutionnelle.

 

Jomik Wanga




Insécurité en RDC : Cédric Bakambu mobilise les Congolais à mettre la même énergie qu’ils ont mis pour parler de la CAN

Les sportifs congolais en général et les Léopards en particulier sont aussi préoccupés de la situation sécuritaire qui sévit dans la partie Est du Congo Kinshasa.

L’équipe nationale de la République démocratique du Congo qui enchaîne les performances de grande classe se retrouve aujourd’hui en demi-finale de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2023 qui se joue en Côte d’Ivoire. Pendant ce temps, la rébellion du M23 soutenue par l’armée rwandaise continue d’étendre la zone sous son influence dans le Nord-Kivu. Cédric Bakambu, l’un des joueurs des Léopards espère que l’influence de la sélection congolaise sera mise à profit pour attirer l’attention du monde sur les massacres à l’Est du Congo.

Cédric Bakambu l’international congolais a passé un message de sensibilisation sur son compte X, ex-Twitter.

“Tout le monde voit les massacres à l’Est du Congo. Mais tout le monde se tait. Mettez la même énergie que vous mettez pour parler de la CAN pour mettre en avant ce qu’il se passe chez nous, il n’y a pas de petits gestes”, s’est-il exprimé.

Il faut rappeler que le M23/RDF se rapproche de plus en plus de la ville de Goma. Pour preuve, une bombe a été larguée sur la ville volcanique de Goma la semaine dernière.

Cette situation depuis 1994 ne cesse de causer des morts, des viols, des déplacements massifs et plusieurs victimes.

 

Jomik Wanga




Cumul des fonctions : Le conseil d’État rejette la requête du gouvernement Sama Lukonde  

Le premier ministre Jean Michel Sama Lukonde et ses 39 membres du gouvernement élus députés nationaux devrait choisir d’ici le mercredi 7 février soit de rester au gouvernement, ou d’occuper leur siège au parlement. La requête sur le cumul des fonctions des membres du gouvernement et le mandat électif a été tué par le Conseil d’État.

 

Cette plus haute juridiction de l’ordre administratif de la République démocratique du Congo vient de trancher sur la requête introduite par le premier ministre Sama Lukonde, pour solliciter l’autorisation d’expédier les affaires courantes en attendant la nomination et l’installation du nouveau gouvernement.

 

La réponse du Conseil d’État a tranché que le régime d’interdiction de cumul des fonctions et mandats électifs en RDC reste, conformément à la loi, d’application dès lors que les responsables publics opèrent leur choix en faveur de leur nouveau mandat électif.

 

Le conseil d’État a précisé que seul le président de la République est concerné par la continuité de l’État.

 

Par conséquent, le Conseil d’Etat note qu’il s’agit d’un régime d’interdiction stricte de cumul des dites fonctions ou desdits mandats, se justifiant par la volonté manifeste du législateur d’éviter la confusion des rôles et les dédoublements des paiements à charge du trésor public, de prévenir des possibles conflits d’intérêts et de faire respecter l’équilibre des pouvoirs contenus tant dans la constitution que dans les différentes autres lois de la République.

 

Et de marteler sur le fait que « ce choix emporte pour effet immédiat la cessation automatique et définitive de leurs fonctions ou mandats actuels ».

 

Le Conseil d’État a souligné que cette interdiction de cumul des fonctions et des mandats est d’autant plus stricte pour le mandat de député national et de sénateur particulièrement, étant donné qu’elle vise en réalité à protéger l’exercice par le pouvoir législatif de sa mission de contrôle du pouvoir exécutif.

 

Conformément à l’article 19 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, chaque ministre élu député national doit faire le choix, endéans 8 jours à partir de la première plénière, entre son mandat de député et ses fonctions de membre du gouvernement.

 

Étant donné que la première plénière de la quatrième législature de la 3 ème République a eu lieu le 29 janvier dernier, Sama Lukonde et ses ministres élus députés nationaux ont jusqu’à mercredi 7 février pour opérer ce choix.

 

 

Jomik Wanga




Processus électoral : Félix Tshisekedi auréolé d’un diplôme d’honneur pour avoir tenu au respect de la Constitution 

Le Secrétaire général auprès du Président de la République, Jean-Jacques Luboya Tshishima, a réceptionné, lundi, dans son cabinet, un diplôme d’honneur décerné, par le Consortium panafricain pour la Paix, au Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour avoir tenu à respecter la Constitution en organisant les élections conformément au calendrier de la Centrale électorale.

Pour Ernest Nounga Djomo, Président exécutif du Consortium, cela a pu consolider l’élan démocratique sur lequel est engagée depuis quelques années la République démocratique du Congo.

Ce Consortium estime que le Chef de l’Etat congolais est un modèle et une référence en matière de gestion au niveau du continent. Allusion faite à son passage à la Présidence de l’Union africaine et à la tête du comité qui a œuvré pour calmer la crise tchadienne née de l’avènement de Deby le fils au pouvoir.

“L’enjeu de notre présence était à double titre. Premièrement, pour présenter nos civilités à Son Excellence et lui donner le rapport préliminaire de la Mission d’observation que nous avons menée pour les élections générales du 20 décembre 2023.

Ensuite, remettre un diplôme à titre de président d’honneur à Son Excellence, Monsieur le Président de la République parce que notre Consortium l’a choisi comme Président d’honneur de notre mouvement panafricain vu ce qu’il a eu à réaliser pendant son passage à l’Union Africaine, vu la médiation qui a permis au Tchad de se stabiliser, vu l’appel qu’il a lancé lors du Sommet des Trois Bassins en République démocratique du Congo.

Tout ça a fait en sorte que le Consortium porte ce choix judicieux”, a déclaré, au terme de l’audience, Ernest Nounga, qui a saisi l’occasion pour féliciter la CENI pour avoir assuré l’organisation des scrutins de façon transparente et apaisée. Pour lui, c’est une première en Afrique.

EM




Christella Motandi Adouma : « Mon rôle est donc d’inspecter chaque dossier pour s’assurer que tout est bien conforme »

Calme et vigilante, Christella Motandi Adouma, Responsable risques Douane chez AGL, scrute le moindre détail autour d’elle comme elle le ferait pour chaque dossier transit. C’est une déformation professionnelle née de son métier. Elle choisit d’ailleurs de nous en expliquer le bien fondé.

Qu’entendez-vous par risque douanes et pourquoi y prêter attention ?

Le risque douanes est la probabilité que la législation douanière puisse être violée notamment lorsque certains délais ou certaines normes ne sont pas respectés. Mon rôle est donc d’inspecter chaque dossier pour s’assurer que tout est bien conforme. Car les amendes sont importantes et peuvent mettre nos clients en difficulté. Nous n’avons donc aucun intérêt à tomber dans la non-conformité.

Et si vous compariez votre travail à une équipe de football ?

Bien évidemment. Voyez-vous ? Ce que font le gardien et les joueurs sur le terrain pour remporter la victoire, c’est ce que fait AGL au travers de ce service risque douanes pour préserver au mieux les intérêts de ses clients.

Pour rappel, AGL est un acteur de référence de la logistique en République Démocratique du Congo. L’entreprise assure le transport, le stockage, l’entreposage et la livraison des marchandises au travers de ses 25 agences déployées dans tout le pays. Elle est certifiée ISO 9001/2013, ISO 14001/2015 et ISO45001/2015. Spécialiste de la consignation maritime, commissionnaire agréé en douane, elle offre des solutions logistiques sur-mesure et apporte son expertise aux opérateurs miniers. Fort de ses 800 collaborateurs, AGL RDC participe au développement socio-économique du pays dans plusieurs domaines notamment le secteur de la santé, l’éducation et l’environnement. www.aglgroup.com




Jp Bemba : « tout est mis en œuvre pour que la ville ne tombe pas»

Ce lundi, le Président Félix Tshisekedi a réuni le Conseil supérieur de la défense. “Un tour d’horizon a eu lieu sur des questions militaires et opérationnelles au Nord-Kivu”, a dit Jean-Pierre Bemba, Vice-Premier ministre, ministre de la Défense nationale.

“Le Conseil supérieur de la défense lance un message à toute la population que tout est mis en œuvre pour que la ville ne tombe pas. L’armée met également tout en œuvre pour récupérer toutes les localités occupées par les Forces rwandaises”, a indiqué M. Bemba.

“Il faut faire attention aux réseaux sociaux qui alimentent pour créer une certaine peur, une fragilité dans les esprits. Attention, ce n’est pas la réalité. L’ennemi y est pour quelque chose. L’armée congolaise fait un travail extraordinaire”, a poursuivi Bemba

« Enfin, le Conseil supérieur de la défense a demandé au Chef de l’État de pouvoir lever le moratoire sur la peine capitale, en ce qui concerne les questions de traîtrise au sein des Forces de défense et de sécurité », a conclu M. Bemba




Littérature : le livre “Christ crucifié, la faveur absolue de la Rdc” de Paul David Olangi porté sur les fonts baptismaux 

Le monde scientifique RD congolais vient d’être enrichi d’un nouvel ouvrage. Il s’agit du livre intitulé “Christ crucifié, la faveur absolue de la RDC”, plume de l’évêque général Paul David Olangi, qui a été portée samedi 3 février à Kinshasa sur fonts les baptismaux.

Riche en contenu, cette œuvre scientifique est subdivisée en trois tomes dont le premier explique l’Afrique avant et après la connaissance de Jésus-Christ. Le second parle de la manifestation de la bénédiction africaine, et le troisième aborde la restauration de la 4è personne de la divinité Africaine et son impact dans la société.

Paul David Olangi, auteur de ce livre, plonge ses lecteurs dans l’univers de connaissances bibliques. Il dévoile certains secrets cachés dans les écritures saintes qui coïncident avec les évènements de l’heure. L’auteur démontre dans son ouvrage, entre la loi et la foi qu’est-ce qui a sauvé l’humanité ?

« Nous croyons que cette pensée d’aujourd’hui qui est la pensée capitale de Dieu pour l’humanité, que c’est à travers cette pensée que l’humanité a été rachetée, sauvée, purifiée, délivrée et qui a été ramenée dans la présence de Dieu. Voilà pourquoi nous sommes heureux que cette pensée nous a été donnée et nous croyons qu’elle va impacter cette nation parce que cette pensée, toutes les nations qui l’ont reçu, ont impacté le monde, et ont dominé le monde. Et la RDC, au moment où est en train d’entrer dans sa gloire, sa destination, il était nécessaire aussi que cette pensée redevienne le moteur, le fondement de la foi de notre église », a indiqué Paul David Olangi.

Se succédant à la tribune, Djamba Baluketa, avocat de profession a décelé trois grandes dimensions dans cette œuvre scientifique qui vont sûrement le placer à l’échelle mondiale au regard de la documentation approfondie, contenue dessus. « En lisant cet ouvrage, j’ai retenu trois choses ; il y a d’abord une dimension doctrinale, ensuite une dimension prophétique et une autre dimension qui est patriotique. Ouvrage doctrinal pourquoi ? Est un ensemble d’œuvres extrêmement documentées. Je pense qu’aujourd’hui même à l’échelle mondiale, le révérend Paul David Olangi va devenir une référence quand on va discuter théologie parce qu’il répond à une problématique qui est ancienne ; qu’est-ce qui sauve, la loi ou la foi ? Mais lui, il amène une fraîcheur dans les raisonnements », a commenté Djamba Baluketa.

A son tour, le docteur Josué Corneille Tshanga, secrétaire permanent du conseil des évêques du Congo s’est appesanti sur les recommandations contenues dans cet ouvrage qui appelle entre autres les pères des églises à taire leurs différends pour privilégier la paix et l’unité dans le corps du Christ.

Baptisant le livre, l’archevêque président et représentant légal de l’Eglise du Réveil du Congo ERC Ejiba Yamapia Evariste a émis le vœu que cet ouvrage trouve sa place sur les tables des décideurs du Congo et du reste du monde , « Christ crucifié, faveur absolue de la RDC que ça soit lu par le Président de la République, que ça soit lu par les membres du gouvernement, que ça soit lu par les membres du parlement, que ça soit lu par les hommes d’affaires non seulement de la République Démocratique du Congo mais aussi au travers des nations. Entre dans les maisons de rois. Entre dans des grandes sociétés, dans des filières financières et impacte les gens pour que les messages de Christ soit reçu et accepté », a-t-il souhaité.

Cette cérémonie de vernissage qui s’est soldée par la vente aux enchères du livre “Christ crucifié, la faveur absolue de la RDC” a connu la participation des plusieurs imminents hommes de Dieu, venus de Kinshasa et d’ailleurs.

Osée Kalombo




CMG dévoile les points forts technologiques de son gala de la Fête du Printemps

Le gala de la Fête du Printemps, également connu sous le nom de « Chunwan », est diffusé en direct chaque année depuis 1983. Il est considéré comme un symbole culturel majeur des célébrations traditionnelles du Nouvel An lunaire en Chine. Cette année, l’événement sera diffusé le 9 février, à la veille du Nouvel An chinois.

Le gala de la Fête du Printemps 2024 de China Media Group (CMG) constitue une importante plateforme pour promouvoir l’innovation intégrée « idées + art + technologie » et un « dîner de réveillon » avec un plaisir audiovisuel immersif et un sens de la technologie pour le public.

 

Le gala de cette année introduit de manière innovante le mode de production cinématographique PV (production virtuelle), créant un système de production ultra-haute définition RE (réalité étendue) + fusion physique et virtuelle PV. Grâce à de nouvelles techniques de tournage telles que le story-board dynamique et les liens entre ombres et lumières virtuelles et physiques, le système transformera le studio en un espace virtuel et physique magnifique et réaliste.

Pour la première fois, un système immersif d’interaction scénique a été déployé dans le studio du gala, qui peut recueillir tous les aspects des mouvements des acteurs en ultra-haute définition, capturer les moments merveilleux des programmes et fournir au public une perception visuelle unifiée grâce à la production IA et au rendu artificiel en temps réel.

Le studio est équipé de centaines d’écrans LED et d’un système de gestion et de contrôle vidéo ultra-haute définition développé par l’entreprise elle-même. Ils permettent des transitions fluides entre les scènes pendant le gala. Le studio dispose également d’un total de 1 462 lumières de scène, ce qui constitue un record historique.

Le gala sera retransmis sur plus de 100 écrans extérieurs à ultra-haute définition dans plus de 100 villes chinoises et sur plus de 3 000 écrans publics dans 34 pays sur six continents.

Les chaînes en anglais, espagnol, français, arabe et russe de CGTN, ainsi que les plateformes de nouveaux médias en 68 langues, diffuseront le gala dans le monde entier, avec plus de 1 500 médias dans plus de 200 pays et régions.