La Rdc dénonce la signature d’un accord de soutien militaire entre la Pologne et le Rwanda pour endeuiller les Congolais

D’après une note verbale des Affaires étrangères consultée par Africanews, cet accord prévoit d’armer et de renforcer les capacités logistiques de cet Etat agresseur dénoncé pourtant par la communauté internationale.

Dans cette note, le ministère des Affaires Étrangères de la Rdc proteste contre cette attitude bicéphale de la Pologne qui a soutenu la Rdc au niveau de l’Assemblée Générale de l’ONU pour condamner fermement le Rwanda du fait de son agression et de son soutien irréfutable aux terroristes M23 pour endeuiller les Congolais dans leur pays.

« À l’évidence, cette attitude pousse à croire que la Pologne s’est alliée au Rwanda dans son agression contre la République démocratique du Congo dont les troupes commettent impunément des actes d’atrocités sur le territoire Congolais », lit-on dans la Note verbale.

Face à ce comportement indélicat et délibéré du Gouvernement polonais, la Rdc se réserve le droit d’en tirer toutes les conséquences.




AN : le bureau Mboso reçoit déjà les rapports des commissions de vérification des pouvoirs

Le bureau provisoire de l’Assemblée nationale, sous la conduite de son président, Christophe Mboso N’Kodia Pwanga, assisté de deux secrétaires, a procédé, ce jeudi 8 février 2024 dans la salle des Congrès du Palais du peuple, à l’évaluation des travaux de 26 commissions de vérification des pouvoirs des députés provisoirement élus. Ce travail se fait province par province

Bien auparavant, Christophe Mboso a rappelé aux membres des bureaux des commissions les 3 missions essentielles de la session extraordinaire, notamment la validation des pouvoirs, rédaction du Règlement intérieur et, enfin, l’installation du bureau définitif.

Par ailleurs, le président du bureau provisoire a demandé à différents bureaux de présenter la situation générale, aucune majeure difficulté a été rencontrée, sauf quelques cas d’omissions, de manque de logos ou de photos qui ont été vite réglés.

La province de Maï-Ndombe, qui devrait en principe examiner les dossiers des élus du Kasaï Oriental, a été absente et la solution a été trouvé séance tenante.

A l’issue de cet échange avec les bureaux des commissions de vérification des pouvoirs, Christophe Mboso s’est exprimé en ces termes :

« Je suis venu rencontrer les 26 commissions qui ont pour mission de vérifier les pouvoirs des députés. Beaucoup de commissions ont terminé le travail, d’autres ont même déjà déposé leurs rapports au bureau et d’autres encore sont en train de rédiger les rapports pour les adopter ce soir ou demain matin.

En général, tout a été bien fait. Le lundi 12 février, nous pourrons avoir une plénière parce que nous aurons déjà sur notre table tous les rapports. Ils ont travaillé sur les vérifications des pouvoirs ».

Avant d’ajouter ces précisions pour le Maï-Ndombe qui devait examiner les pouvoirs des députés du Kasaï Oriental.

« Nous avons trouvé la solution. Nous avons mis en place une commission qui va se charger de ce dossier, ainsi que celui des collègues de Lualaba, où il y a eu un déficit de membres. Nous avons trouvé des solutions et cela été réglé. Les collègues que nous avons envoyés dans ces commissions  ont siégé et ils ont terminé le travail ».

 




Le plus long chemin commence par le 1er pas, dit-on

Les Congolais doivent savoir qu’ils n’ont pas d’autre choix que de se doter d’une armée très puissante et d’un armement suffisamment dissuasif.

Faisons de notre armée l’instrument pivot de notre développement. Il nous faut une armée de 3 à 5 millions de soldats, avec ses écoles, de primaires aux universités, ses écoles de métiers, techniques et professionnelles ses centres médicaux, des dispensaires aux hôpitaux universitaires, des domaines agro-pastoraux dans chaque territoire de la RDC, avec le génie militaire actif dans la construction de routes, de chemins de fer. Notre armée doit disposer de chars d’assaut, des avions de chasse, des hélicoptères, un armement moderne. Tout ceci, nous pouvons nous le procurer en troquant certains de nos gisements minutes. Nous ne mangeons ni cuivre, ni étain, ni chrome.

Montrons nos muscles, montrons que nous sommes là RDC, eloko ya makasi.

En attendant, il n’est même pas nécessaire de gaspiller notre énergie avec un État lilliputien et mercenaire comme le Rwanda de Paul Kagame. Déployons seulement 50.000 militaires non originaires de la partie Est de notre pays dans le Nord/Kivu et l’Ituri, avec 10 à 20 militaires dans chaque village.

Annonçons la cessation de la production de nos minerais stratégiques jusqu’à la cessation du soutien des pays occidentaux au Rwanda.

Annonçons la cessation l’importation de tous les occidentaux en RDC tant ces pays soutiendrons Paul Kagame.

Organisons des manifestations monstres  dans chaque chef-lieu de province (avec au moins 1 million de marcheurs pour Kinshasa). L’on doit voir à la tête des cortèges des religieux, des enseignements, des étudiants, des élus, des membres de gouvernements, des chefs des partis politiques, etc.

Nous n’avons pas besoin de la MONUSO, de l’aide des pays étrangers, ni de mercenaires.

Il faut, pour cela, beaucoup de volonté politique, de courage, et un sens élevé de patriotisme, au-delà des discours creux et populistes.

Hic et nunc, mettons fins au calvaire de nos frères et sœurs de la partie Est de notre pays.

Kinshasa, le 8 février 2024.

Corneille Mulumba

Membre co-fondateur de l’UDPS.




Hugo Broos : “Nous sommes motivés”

Hugo Broos, le sélectionneur de l’Afrique du Sud, Hugo Broos, a déclaré que son équipe était motivée pour affronter le Nigeria en demi-finale de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023.

Selon Hugo Broos, le fait d’atteindre les demi-finales est une source de motivation pour l’équipe, compte tenu des récentes performances du pays lors de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies.

“Nous sommes très heureux et motivés de jouer la demi-finale. Pour beaucoup de gens, c’était inattendu mais nous l’avons fait et nous avons fait en sorte que l’Afrique du Sud devienne une bonne équipe.” a lancé le tacticien belge.

Le tacticien belge a reconnu la qualité du Nigeria, mais il a confiance en son équipe pour ce match crucial.

“Nous jouons demain contre une excellente équipe, numéro 6 au classement CAF, ce qui signifie beaucoup pour les joueurs qui jouent pour nous.”

Le Nigeria a pris l’ascendant sur l’Afrique du Sud lors des dernières rencontres, mais cette situation n’est pas inquiétante pour Broos.

“Nous sommes confiants et motivés pour faire en sorte que cela n’arrive pas et que l’Afrique du Sud participe à la finale pour la première fois depuis 20 ans”, a-t-il conclu.

 

 




Le rêve d’un nouveau titre en CAN s’envole pour la RD Congo

La RD Congo s’arrête en demi-finales de la 34è édition de la Coupe d’Afrique des nations CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023. Les Léopards se sont inclinés 0-1 face aux Eléphants mercredi au stade Alassane Ouattara d’Ebimpe à Abidjan.

Malgré un très bon tournoi, la RD Congo ne connaitra pas une nouvelle finale de CAN après 1974. C’est d’ailleurs à cette année que remonte le deuxième et dernier titre africain des Léopards (à l’époque Simba). Six ans plus tôt, la RD Congo anciennement appelée Zaïre avait remporté pour la première fois la CAN en 1968 en Ethiopie.

Sur les bords de la lagune Ebrié, la RD Congo aura vécu une CAN CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023 intense.

Une première phase de groupes sans gagner le moindre match (3 nuls) mais réussissant à se qualifier pour les huitièmes de finale. C’est à partir du second tour que les hommes de Sébastien Desabre ont sorti le grand jeu, sortant l’Egypte après une séance de tirs au but épique avant de disposer sans grande difficulté en quarts de finale de la Guinée (3-1).

Mais la marche était trop haute dans le dernier carré face à la Côte d’Ivoire. Une étape que la RDCongo n’avait plus connue en CAN depuis 2015 en Guinée équatoriale et elle rêvait d’une finale depuis 50 ans.

Les Léopards devront donc se mobiliser à nouveau pour aller chercher la médaille de bronze qui couronnera une belle Coupe d’Afrique des nations CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023.




Après une semaine de visite en Rdc : Jean-Pierre Lacroix fait le point de sa mission en Rdc

Au terme d’une visite de presqu’une semaine en République démocratique du Congo, M. Jean-Pierre Lacroix, Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux Opérations de paix a animé une conférence de presse. A l’en croire, la visite s’inscrit naturellement dans un contexte marqué par la situation post-électorale, bien sûr, des dynamiques politiques afférentes. Le plan de désengagement de la MONUSCO, qui a été négocié et agréé avec les autorités congolaises à la fin de l’année dernière, qui a été endossée par le Conseil de sécurité, bien sûr, les évolutions de la situation sécuritaire et nous avons aussi voulu mettre un accent particulier sur les mesures qui sont prises pour renforcer la lutte contre les abus sexuels dans le système des Nations Unies en République démocratique du Congo ; faire le point sur les mesures qui sont en cours et évaluer ce qui doit être fait en plus de ces mesures, le cas échéant. 

Cette visite les a conduits dans l’Est de la République démocratique du Congo, à Beni, à Bukavu et à Goma. « Nous avons eu des contacts avec les autorités provinciales, avec la société civile, bien sûr avec nos collègues de la MONUSCO. Et ici, à Kinshasa, j’ai rencontré le chef de l’État qui était accompagné de plusieurs Vice-Premiers ministres et ministres et nous avons aussi bien sûr rencontré à nouveau les représentants de la société civile, les forces politiques, évidemment bien sûr les collègues de la MONUSCO », dit-il.

Du plan de désengagement

Le désengagement de la MONUSCO répond à une demande faite par les autorités congolaises. Notre feuille de route, c’est ce plan de désengagement dont j’ai parlé tout à l’heure, qui a été maintenant endossé par le Conseil de sécurité. Il prévoit une première étape qui concerne le Sud-Kivu avec un horizon de temps qui consiste à ce que le désengagement soit total de cette province à la fin du mois de juin. C’est un processus qui est en cours.

« Je vous avais dit que nous étions à Bukavu précisément pour faire le point de ce processus, pour évaluer avec les interlocuteurs, et notamment les collègues de la MONUSCO, mais aussi les autorités provinciales où nous en étions, quelles pouvaient être les défis à relever ? Il y a un certain nombre de défis logistiques de notre côté, que nous allons nous efforcer de surmonter. Il y a aussi l’importance qui s’attache à ce que, comme cela est prévu dans le plan de désengagement, le désengagement graduel de la MONUSCO s’accompagne du redéploiement graduel des composantes de l’État, les composantes en uniforme, forces armées, forces de police et aussi la composante civile de l’État », avoue-t-il.

Et nous avons notamment souligné l’importance qui s’attachait à ce que ce redéploiement des composantes de l’État, et notamment des composantes de sécurité, soit bien au rendez-vous de manière à ce que nous puissions effectuer cette première phase du désengagement dans les meilleures conditions possibles.

Il a expliqué que l’objectif, d’une manière générale, c’est que le désengagement se fasse d’une manière ordonnée et responsable. Et si je ne me trompe, ce sont les mots qui sont utilisés également par les plus hautes autorités de l’État congolais. Nous sommes totalement en phase sur la nécessité de faire en sorte que ce désengagement soit donc opéré de façon raisonnée, ordonnée et responsable.

Maintenant, nous sommes également allés au Nord-Kivu, comme je vous l’ai indiqué, à la fois à Beni et aussi à Goma. La situation sur place, vous le savez, est très préoccupante et est inquiétante. Elle fait planer le risque d’une déflagration au niveau régional, en tout cas d’une intensification très forte avec une caractéristique régionale, une composante régionale accrue avec une implication de divers pays de la région de manière renforcée, d’ailleurs de part et d’autre.

Pour ce qui concerne la MONUSCO, il y a bien sûr l’horizon du plan de désengagement. Je vous parlerai tout à l’heure de prochaines étapes du plan de désengagement. Il y a aussi le court terme, le court terme, c’est ce que fait la MONUSCO pour contribuer aux efforts afin de traiter, de répondre à ces défis sécuritaires et humanitaires. Sur le plan sécuritaire, la Force de la MONUSCO travaille très étroitement avec les autres composantes déployées sur place. La MONUSCO et les Forces armées congolaises et aussi la Force de la SADC dont une partie des éléments se sont déjà déployés et il s’agit en particulier de protéger la région de Goma.

« Nous avons déployé beaucoup d’éléments pour atteindre ces objectifs et nous espérons que les opérations en cours se poursuivront dans la meilleure coordination possible avec les autres composantes que j’ai évoquées. Sur le plan humanitaire, bien sûr, nos collègues continuent de faire le maximum dans des conditions difficiles pour répondre aux besoins des populations qui sont en souffrance et qui pour beaucoup d’entre elles, sont en situation de déplacement », note-t-il.

Un mandat plus large de la Monusco

Parallèlement à cela, j’ai mentionné la Force de la SADC et vous le savez, nous avons depuis le début pris l’initiative, il y a déjà pas mal de temps, de proposer que la MONUSCO puisse avoir un mandat de la part du Conseil de sécurité plus large pour apporter un soutien plus significatif à la Force de la SADC.

« Nous sommes en train de travailler sur des options en liaison avec la SADC et aussi les autorités congolaises. Options qui seront présentées au Conseil de sécurité puisque nous dépendons des décisions du Conseil de sécurité pour que la MONUSCO se voie donner, nous l’espérons, un mandat pour soutenir davantage cette Force de la SADC qui est en cours de déploiement, et dont le déploiement se poursuivra dans les semaines et mois à venir », explique Jean-Pierre Lacroix, Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux Opérations de paix.

Maintenant, sur le long terme et parallèlement à cet horizon du désengagement de la MONUSCO et compte tenu de la dégradation de la situation dans cette zone, il est aussi essentiel que les efforts diplomatiques reprennent.

Il y a plusieurs processus que vous connaissez, le processus de Luanda, le processus de Nairobi, le rôle de l’ancien président du Kenya, le président Kenyatta en tant que médiateur. L’engagement d’autres partenaires dans le continent africain et au-delà qui ont fait des efforts, qui ont déployé un certain nombre d’actions pour engager les parties. Et alors que la phase électorale est maintenant derrière nous, il nous semble essentiel que ces efforts diplomatiques reprennent et les Nations Unies souhaitent, et le font déjà d’ailleurs, activement soutenir la reprise de ces efforts diplomatiques, puisque la solution de cette situation dans l’Est du Congo et plus généralement dans la région des Grands Lacs, devra être une solution diplomatique et impliquant tous les acteurs de la région.

Alors bien sûr, le désengagement, comme je vous le dis, commence à s’opérer dans la province du Sud- Kivu. Le plan de désengagement négocié avec les autorités congolaises prévoit une évaluation conjointe avec ces autorités, donc évaluation de la part de la MONUSCO avec les autorités congolaises tous les trois mois. La première et la prochaine évaluation devra être conclue fin mars et à partir des constats et des conclusions de ces évaluations, eh bien les prochaines étapes du désengagement seront déterminées, sachant que nous sommes déterminés à respecter ce plan de désengagement et à aller de l’avant en ce sens. Mais sachant également que tout ça doit être fait encore une fois, comme le souhaite de manière appuyée les plus hautes autorités de l’État congolais, mais également nous-mêmes, que tout ça se fasse de manière raisonnable, ordonnée, digne et de manière à faire en sorte que les conséquences sur la situation en général, et bien sûr en particulier la protection des civils soit le plus possible minimisées.

Beaucoup reste à faire

Jean-Pierre Lacroix, Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux Opérations de paix a expliqué qu’il y a beaucoup à faire naturellement dans un contexte qui est difficile. Mais un point mérite aussi d’être souligné, c’est le fait que, au-delà du désengagement de la MONUSCO, les Nations Unies resteront. Il ne s’agit pas d’un départ des Nations Unies du Congo. Nos agences, fonds et programmes, ceux qui travaillent dans le domaine humanitaire, dans le domaine du soutien au développement, dans le domaine de la promotion des femmes, des jeunes, des droits de l’homme poursuivront leurs activités et elles se préparent avec nous à une situation d’activités Post-MONUSCO.

Elles auront besoin bien sûr de soutien et notamment de soutien financier, et nous nous sommes engagés à faire le plaidoyer pour que les ressources nécessaires à ces activités soient au rendez-vous. Ce qui n’est pas facile parce que, comme vous le savez, les crises humanitaires, malheureusement, se sont multipliées dans le monde et ça exerce une forte contrainte sur les capacités des donateurs. Mais nous avons la responsabilité en tout cas de préparer cette transition au mieux. Transition qui n’est pas de la MONUSCO aux agences des Nations Unies, transition qui est de la MONUSCO aux autorités congolaises, parce que notre objectif numéro un, c’est de soutenir le renforcement et le redéploiement de la présence de l’État. Mais les agences des Nations Unies continueront leur travail, auront donc besoin de bien préparer cette transition et d’avoir des ressources adéquates. Voilà, je m’arrête là et je vous remercie à l’avance de vos questions.

JMNK




Mining Indaba en Afrique du Sud : Miguel Kashal rassure sur les opportunités qu’offre le développement de la chaîne de valeur en Rdc

Au cours de cette conférence, le Directeur général de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé Miguel Kashal Katemb a présenté aux dirigeants d’entreprises venus de différents pays les opportunités d’investissement qu’offre le développement de la chaîne de valeur en Rdc avec notamment l’application intégrale de la Loi sur la sous-traitance.

Dans son allocution, le Dg Miguel Kashal a évoqué également la politique du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi sur la promotion du contenu local en vue de permettre la création d’une vraie classe moyenne congolaise.

« En Rdc le président Félix Tshisekedi a compris que c’est à travers le contenu local qu’on peut diffuser une richesse dans la population » a expliqué le Dg de l’ARSP au cours de son allocution faite devant plusieurs délégués des entreprises principales et sous-traitantes présents à cette 30eme édition de Mining Indaba .

Profitant de cette occasion,  le DG de l’ARSP a annoncé des réformes en cours de traitement concernant la Loi sur la sous-traitance, afin de promouvoir le contenu local et protéger la chaîne de valeur congolaise

Cette présentation a impressionné les participants qui ont estimé que le DG de l’ARSP leur a permis de mieux cerner la question du développement de la classe moyenne congolaise .

” Moi je viens du Canada, et son intervention était très brillante sur le potentiel économique et Minier de la RDC et il l’a exprimé d’une manière perspective avec ce qui peut aider la population et c’est encourageant “, a laissé entendre un participant qui a été complété par un autre qui a estimé que « Le Directeur Général de l’ARSP est entré dans la vision du chef de l’État , ça signifie que le Chef de l’État cherche des investisseurs pour que le Congo se développe “, a martelé ce participant.

Au cours de cette conférence, Le Directeur Général de l’ARSP a souligné que la RDC était l’une des meilleures opportunités au monde remplie des affaires florissantes, ainsi le respect des lois notamment celle sur la sous-traitance favoriserait directement la création de la classe moyenne.

Pour donner un exemple concret des investisseurs qui ont fait confiance à la RDC, le Directeur général Miguel Kashal a présenté le milliardaire américain Robert Friedland président du groupe Ivanhoe dont la filiale Kamoa est considérée comme un modèle d’investissements gagnant-gagnant en Rdc.

JMNK




Taekwondo : Clôture ce jeudi 8 février à Pointe-Noire du Stage animé par Me Cheikh Ahmadou Bamba Mbaye

Me Morel Ntalani, CN 5è Dan,  Secrétaire Général a.i de la Confédération Africaine de Police Taekwondo et Secrétaire Général de Taekwondo Police au niveau de l’Afrique Centrale l’APTAC ‘’Afrique Centrale’’, vient de faciliter la tenue d’un stage avec la Fédération Congolaise de Taekwondo et la Ligue Départementale de Pointe Noire que préside Me Brandon Rizet, CN 3è Dan national et CN 1er Dan Kukkiwon. Démarré le 6, ce stage animé par Me Cheikh Ahmadou Bamba Mbaye, CN 5è Dan kukkiwon, Instructeur kukkiwon 3è classe et double champion d’Afrique de Poomsae s’est clôturé en beauté ce jeudi 8 février 2024.

Axé sur les mouvements de base, les poomsee et la règlementation internationale, ce stage, précise Me Brandon Rizet, était organisé à l’initiative conjointe de la Ligue Départementale de Pointe-Noire et la Fédération Congolaise de Taekwondo visait entre autres objectifs d’élever les standards congolais aux normes internationales de kukkiwon.

 

Le Programme du Stage s’est articulé de manière suivante:

Jour 1 – 06 février 2024 (19h30): Mouvements de Base et Théorie

– Session pratique mettant en lumière les mouvements de base du Taekwondo.

– Approfondissement théorique sur les principes fondamentaux du Taekwondo.

– Interaction avec Me Cheikh Ahmadou Bamba Mbaye pour des éclaircissements.

– Sessions pratiques pour renforcer la compréhension.

Jour 2 – 07 février 2024 (18h) : Poomsee

– Entraînement intensif sur les Poomsee, mettant l’accent sur la précision et la fluidité.

– Démonstrations avancées et conseils pratiques de Me Cheikh Ahmadou Bamba Mbaye.

– Sessions pratiques pour renforcer la compréhension des Poomsee.

Jour 3 – 08 février 2024 (18h) : Réglementation, Arbitrage et Poomsee

– Présentation détaillée de la réglementation internationale en Taekwondo.

– Formation sur les principes de l’arbitrage, en particulier liés aux Poomsee.

– Application pratique des règles et démonstration d’arbitrage.

Ce qu’il faut retenir est que ce programme a été conçu pour maximiser l’apprentissage et la compréhension des aspects essentiels du Taekwondo par les taekwondoins congolais de Brazzaville. Le encourager à  une participation active et poser des questions afin de profiter pleinement de l’expertise de Me Cheikh  Ahmadou Bamba Mbaye. Ce dernier est member de taekwondo police comme Me Morel. Il était en mission à Pointe-Noire et a profité pour organiser ce stage au profit des taekwondoins congolais, c’est vraiment une prevue d’amour pour ses frères.

Antoine Bolia




EPFKIN : Début de la 11è Journée ce jeudi 8 février

Ce jeudi 8 février 2024 a marqué le début de la 11è journée du championnat de l’Entente Provinciale de Football de Kinshasa ‘’EPFKIN’’. Deux sites à savoir le terrain Unikin et le terrain Kurara Mpova ont abrité  les rencontres programmées.

Terrain Unikin

Forum vs Jupiter : 0-1

RC Bumbu vs Nouvelle Vie : 4-2

Aigle Royal vs Mbudi : 0-3

Liwanda vs Limete : 1-3

Terrain Kurara

Standard vs AJ Vainqueurs : 2-3

Kayolo  vs Kito : 0-0

AJAX vs Bol’s : 2-1

RC Matete vs FONAK : 0-1

Suite du calendrier ce vendredi 09 février 2024

Terrain Kurara

9h00 : St Christian vs Lumière :

11h00 : OCD  vs ICK :

13h00 : TP Les Croyants vs PJSK :

15h00 : Robi vs Céleste :

Terrain Unikin

9h00 : Kratos vs Ujana :

11h00 : Pharmagros vs Don Bosco :

13h00 : TP Les Anges  vs CS Les :

15h00 : Mweka vs RC Promesse :

Samedi 10 février 2024

Terrain Kurara

11h00 : St Etienne vs Ndanu City :

13h00 : OC Les Elites vs Normands :

 

Ci-dessous rappel de tous les résultats enregistrés Lundi 5 février 2024.

Stade Tata Raphaël

Kito vs Liwanda : 1-1

Fonak vs St Christian : 1-1

Jupiter vs Ajax : 2-1

Mbudi vs RC Matete : 0-0

Terrain Unikin

AJ Vainqueurs vs Kayolo : 1-0

Lumière vs Forum : 2-1

Bol’s vs Standard : 1-2

SFC Limete vs RC Bumbu : 1-2

Terrain Kurara

Monzo vs Aigle Royal : 1-1

Antoine Bolia




Situation politique au Tchad : Didier Mazenga présente à Félix Tshisekedi le rapport des séances de travail entre le Gouvernement Tchadien et l’opposant Mahamat Ahmat Lazina

L’Envoyé spécial du président de la République,  Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo,  dans la mission de facilitation à la transition  au Tchad, Me Didier Mazenga Mukanzu, Secrétaire général chef du Parti Lumumbiste Unifié (PALU) et ministre  congolais du Tourisme était mercredi dernier à la Cité de l’union de l’union africaine pour présenter au Facilitateur,  le rapport des  séances de  travaux qu’il a eu pendant trois jours au Fleuve Congo Hôtel de Kinshasa   avec d’une part le gouvernement tchadien représenté par le ministre tchadien de la Communication et porte-parole du Gouvernement,  M. Abderaman Koulamallah, et l’opposant tchadien  Mahamat Ahmat Lazina, président du parti politique (Mouvement national pour le changement au Tchad, “MNCT”).

L’objectif de ces travaux mission était d’harmoniser les points de vue concernant le retour au Tchad de Mahamat Ahmat Lazina, président national du  Mouvement National pour le Changement au Tchad (MNCT).

Ce dernier a exprimé son désir de rentrer au Tchad et s’est montré réceptif à un dialogue ouvert et constructif. Dans un esprit d’apaisement et de réconciliation nationale, le gouvernement tchadien a accepté de faciliter son retour et de garantir sa sécurité.

Par ailleurs, le président du MNCT a souligné son engagement envers le respect des lois et règlements en vigueur au Tchad, ainsi que sa volonté de ne pas entreprendre d’activités politiques perturbatrices.

Le  gouvernement Tchadien par le biais de son porte-parole a exprimé sa profonde reconnaissance envers  Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la République Démocratique du Congo, pour ses efforts incessants en faveur de la paix et la stabilité au Tchad.

En effet, le chef de l’État congolais joue un rôle crucial dans le dialogue et la médiation entre les différentes parties impliquées dans le processus de transition au Tchad.

Ainsi, le gouvernement tchadien a salué  son leadership et son dévouement envers la cause de la paix et de la stabilité, et son soutien continu dans les efforts visant à construire un avenir meilleur pour le peuple tchadien.