Attaque des sièges de la Monusco à Kinshasa : Bintou Keita monte au créneau et condamne ces actes de vandalisme. 

Une forte manifestation contre l’indifférence de la communauté internationale a été organisée ce samedi 09 février dans la ville province de Kinshasa, particulièrement dans la commune de la Gombe.

 

Les manifestants ont d’assaut quelques bureaux de la MONUSCO à Kinshasa. Ils ont saccagé plusieurs biens de cette mission Onusienne en RDC. Ils accusent la mission onusienne d’être silencieuse face aux massacres perpétrés contre la population civile dans la partie Est du Congo par le M23 appuyé par le Rwanda.

 

La cheffe de la Monusco Bintou Keita est montée au créneau pour condamner ces attaques contre le personnel de son institution.

 

Cette fonctionnaire internationale pense que s’en prendre à la Monusco serait une mauvaise politique qui pourrait renforcer le camp de l’ennemi de la RDC.

 

“Plusieurs de nos véhicules ont été incendiés. Affaiblir la Monusco, c’est renforcer les forces négatives qu’elle combat avec ses partenaires congolais, notamment les FARDC et la PNC”, a-t-elle indiqué.

 

A Kinshasa, plusieurs shops de Canal + ont également sabotés. Selon les manifestants, c’est par ce que “les supporters congolais n’étaient pas filmés pour passer des messages contre les massacres dans l’Est du pays lors du match RDC-Côte d’Ivoire en demi-finale de la Coupe d’Afrique des nations”.

 

 

Jomik




L’AZES et la SOCITEQ signent le contrat d’Aménagement de la Zone économique spéciale de Musienene (Lubero)

Consolidation de la mise en œuvre du Plan Directeur d’Industrialisation de la Rdc, le contrat d’Aménagement de la Zone Économique Spéciale de Musienene basée dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu a été signé ce vendredi à Kinshasa par le Directeur général de l’Agence des Zones Économiques Spéciales (AZES), Augy Bolanda et le Président du Conseil d’Administration de la Société d’Investissement Tuvali Équateur (SOCITEQ), Isse Malyona, aménageur

Ce contrat augure la signature d’un arrêté interministériel- Industrie et Finances qui accorde des avantages fiscaux, parafiscaux et douaniers à la SOCITEQ et aux entreprises qui viendront s’ installer dans cette zone qui dispose désormais son statuts définitif a fait entendre le Directeur général de l’AZES, Augy Bolanda

« La cérémonie de ce jour, c’est pour la signature du contrat d’Aménagement de la Zone économique spéciale de Musenene. Comme vous le savez tous, au niveau du Gouvernement, nous avons un plan directeur d’industrialisation et dans ce plan, les Zones économiques spéciales constituent le 6ème pilier. Et parmi les axes, il y a celui de l’Est du pays », explique-t-il.

Disons que la ZES de Musienene est la première qui est en train d’être mis en place avec un partenaire privé, la société SOCITEQ à Lubero. « Nous avons suivi ce projet ça fait plus de 2 ans et aujourd’hui c’était la signature du contrat d’Aménagement qui va ouvrir la voie à la construction des infrastructures au niveau de cette ZES et permettre à l’Aménageur de bénéficier des avantages qui sont prévus dans la loi. Aussi, dire, comme le chef de l’Etat l’avait dit lors de son investiture, que ce mandat est celui d’actions. Et que parmi les 6 axes de son intervention pendant ce quinquennat, il y a au moins trois qui nous concerne. C’est comme ça que nous sommes déjà dans le feu des actions du chef de l’Etat pour commencer déjà à industrialiser le pays et nous avons commencé cette année par la partie Est du pays », ajoute-t-il.

M. le Directeur général de l’AZES, Augy Bolanda a profité de l’occasion pour remercier le ministre Julien Paluku qui a donné des instructions précises pour continuer à suivre les Zones économiques spéciales. « Le message aux opérateurs économiques du Nord-Kivu, ce que chacun peut avoir un rêve, mais la réalité commence à partir du rêve. Nous avons eu à mener quelques activités là-bas, c’est à eux de venir dans la Zone économique spécial de Musienene qui est développée par des Congolais. Nous leur demandons de venir s’associer à ce qui est fait, pour que cette partie qui est connue puisse devenir un hub pour l’industrialisation du pays. Nous savons qu’il y a des problèmes dans la partie Est du pays. Mais qu’ils sachent que nous sommes avec eux et c’est pour cela que nous avons concrétisé ce projet. Nous leur demandons de venir dans la ZES parce qu’il y a beaucoup d’avantages. Les avantages qui viennent dans la ZES vont bénéficier de 10 ans d’exonérations et l’Aménageur aura 20 ans », termine-t-il.

L’Aménageur déjà à l’œuvre

C’est une étape décisive franchie dans la viabilisation de cette Zone Économique Spéciale qui va jouer un rôle capital dans la promotion de l’économie de la région avec mise en contribution de l’ADN entrepreneurial de la population du Nord-Kivu a déclaré de son côté, le PCA de la SOCITEQ, Isse Malyona.

« Les travaux d’aménagement sont déjà en cours et comme vous le savez, la population du Nord-Kivu est très dynamique. Les jeunes entrepreneurs qui se sont impliqués dans ce projet avaient pris le taureau par les cornes en anticipant ce que nous vivons aujourd’hui. Je dirais qu’aujourd’hui, c’est un jour spécial où le travail de plusieurs années vient d’aboutir par la signature de ce contrat d’aménagement de la ZES de Musienene. C’est une ZES qui va dans la vision du chef de l’Etat et soutiendra son programme d’industrialisation nationale », souligne-t-il.

Q cette occasion, il a invité tous les investisseurs qui souhaitent participer au développement de cette région, de venir s’impliquer dans la ZES de Musienene. « Il y aura beaucoup d’avantages, beaucoup de facilités qui permettront d’éclore plusieurs initiatives. Nous invitons les jeunes aussi pour qu’ils soient encadrés dans la création des Startups et des nouvelles initiatives des innovations. Dès que nous rentrons, nous allons poursuivre ardemment la lutte pour le développement de cette ZES. Il y a plusieurs investisseurs qui s’annoncent déjà pour la construction de cette ZES. Cette année, nous allons voir un certain nombre qui vont commencer à s’installer et l’Aménageur a déjà entamé les travaux de construction des routes, etc. », rassure-t-il.

Présidant cette cérémonie au nom du ministre de l’Industrie, Jean-Dieudonné Kavese, Directeur de Cabinet a ajouté que l’opérationnalisation de la Zone Économique Spéciale de Musienene va contribuer à matérialiser la vision du Chef d’Etat, Félix Tshisekedi, celle de faire de l’industrie un facteur de paix et stabilité au Nord-Kivu victime des violences armées.

« Le ministre, n’eut été la réunion du conseil des ministres, il serait avec nous. Il a félicité le président Félix Tshisekedi qui a reconnu que notre ministre est parmi les meilleurs non seulement de la Rdc, mais de l’Afrique. Et ce, au regard des activités que nous menons et du Plan directeur d’industrialisation dont la construction des Zones économiques spéciales fait partie des axes principaux », dit-il.

Et d’ajouter que vous comprenez que chaque fois qu’il se retrouve dans cette partie de la Rdc, la première des questions qu’on lui pose, c’est de savoir, quand est-ce qu’il va industrialiser le Nord-Kivu ? Sachant que s’il y a des industries, ces jeunes gens qui s’adonnent à cette sale besogne vont abandonner la brousse et commencer à travailler dans les industries. Vous comprenez que c’est une grande préoccupation pour le ministre.

Signalons que les membres du conseil d’administration et agents de l’AZES ont pris part à cette cérémonie




La maison Mlimani Éditions réédite les Femmes De Pakadjuma new-look de Ange Kasongo Adihe

« Je suis heureuse de vous annoncer ce vendredi la renaissance de mon premier bébé littéraire : Les femmes de Pakadjuma », indique Ange Kasongo Adihe sur son mur Facebook qui se sent reconnaissante.

Et d’ajouter, alors qu’Ophélie, le personnage principal du livre arrache à la narratrice l’histoire et décide de l’écrire à la première personne, il me vient à l’esprit de nous encourager d’avoir l’audace de raconter notre histoire, notre propre version des faits.

Bien souvent, poursuit-elle, nous laissons les autres raconter notre histoire s’éloignant parfois de la réalité, de nos forces, nos faiblesses, nos victoires célébrées et nos échecs assumés. Chacun a pourtant des mots pour raconter et décrire son histoire.

Les Femmes De Pakadjuma new-look est réédité par la maison d’édition Mlimani Éditions que je remercie énormément pour des échanges fructueux qu’ils ont bien voulu lancer avec moi autour des thématiques que le livre aborde; notamment la quête identitaire, la mémoire, la perception que l’on a sur l’autre, l’insécurité, etc.

Un grand merci pour les encouragements reçus par Tata N’longi Bia Titudes, Blaise Ndala et Madimba Kadima-Nzuji, ce dernier pense que je peux écrire un livre chaque année.

Et grand merci à mes fidèles lecteurs/lectrices, toujours prêts à me lire et me suivre dans mes aventures littéraires.




Week-end chaud à Kinshasa : Manifestations anti américain et contre Canal Plus 

Partant du point focal l’ambassade des Etats –Unis à Kinshasa, ce samedi 10 février 2024, des manifestants anti -occident ont craché leur courroux à l’entrée de l’avenue de l’hôtel abritant les ambassades de Chine, Etats – Unis, Espagne et le QG de la MONUSCO (Mission de l’organisation des Nations-Unies au Congo). Ces manifestants ont dénoncé ‘la complicité américaine et des puissances internationales dans l’holocauste congolais’, perceptible par leur silence coupable digne de la loi de l’omerta de la maffia, une tuerie qui dure depuis 30 ans, principalement dans sa partie orientale dans le Kivu où plus de 12 000 000 des Congolais ont payé de leurs vies, victimes du capitalisme sauvage américain. Ces manifestants principalement des jeunes ont brûlé des pneus devant des représentations occidentales et particulièrement devant la représentation de Canal Plus aux environs de l’immeuble SOZACOM.

Les jeunes se sont attaqués au bâtiment de Canal+ et ont même brûlé une jeep de la Monusco. Depuis déjà un moment, la grogne gronde a atteint son paroxysme au début du mois de février à l’ouverture du « National Prayer Breakfast, le « petit déjeuner national de prière », un rassemblement de personnalités chrétiennes, religieux, élus ou entrepreneurs le 1er Février 2024 à Washington aux USA, où le président rwandais Paul Kagame, en présence de la diaspora rwandaise, s’est solennellement adressé au officiels américains (membres du gouvernement américains et du sénat), aux puissants représentants des multinationales, pour plaider la cause des « tutsis » menacé de génocide par suite de la haine tribale. Cette grande messe sera suivi le lendemain 2 Février puis le 3Février 2024, toujours à Washington du ‘Rwanda day 2024’ sous le thème « Rwanda: Un héritage d’inclusion au sein et au-delà de nos frontières ».

C’est exactement à cette date que l’unité spéciale de l’armée rwandaise, le M23/RDF lance sa marche vers Goma. Malgré le communiqué de l’ambassade pour infirmer son soutien au massacre des Congolais et son appel à l’arrêt des hostilités la crise de confiance entre Congolais et Américain était au point critique. Seul la finale de la CAN servait encore de soupape de sécurité pendant ce temps de tension pour éviter l’explosion. Cela n’a tenu que jusqu’au match de la demie Rdc-Côte d’Ivoire, dont les images des Congolais affichant des calicots, banderoles et autres symbole pour dénoncer le silence de la communauté internationale face à la boucherie humaine au Kivu perpétré le l’organisation secrète ‘Tutsi power’ propulsé par la ‘haine’ du hutu, qui procède à la purification ethnique et au remplacement de la population autochtone pour installer la population venue du Rwanda sur la terre congolaise, ces images ont été censurées sur Canal +. Pour les Congolais et plusieurs observateurs, dont le célèbre écrivain camerounais Charles Onana, le Rwanda seul ne peut réussir cette mission et tenir tête à l’armée congolais pendant trois décennies, sans le concours des occidentaux et les américains en tête.

Des supporters congolais zappés à la Can Total Energie 2024

Juste après le match Côte d’Ivoire-Rdc remporté par le pays organisateur, la toile est entrée en ébullition. « Canal + a censuré les supporters congolais. Le média français n’a pas montré les supporters congolais pour éviter de diffuser leurs messages pour la paix dans l’Est de la Rdc. Ce qui est perçue comme preuve du complot mondial contre le Congo », accuse un internaute. Malgré les explications de Canal+ après l’intervention du congolais Mbuya de l’entreprise française, c’était la goutte d’eau qui déborda la vase. Certains expert en communication ont tenté d’évoquer la ligne éditorial mais en vain !

« La ligne éditoriale est dictée par certaines considérations qui ne sont pas toujours journalistiques et qui obéissent à des pesanteurs que seul le propriétaire de la chaîne connait. Canal + est une multinationale, c’est une branche de l’empire Bolloré qui est français. Ces dernières années, la France fait des courbettes au Rwanda qui est en vaste offensive de communication dans sa guerre médiatique lancée depuis des années contre la Rdc. Souvenez de ‘visit Rwanda’ dans les championnats européens. C’est en termes de million de dollars de publicités et les médias vivent de publicités. Entre-temps, le message des supporters congolais devait passer… gratuitement ! Comprenez qu’aucun homme d’affaire n’aimerait perdre un gros client de la trempe de Kagame.

« En s’attaquant à Canal+, on le fait au second degré. Canal+ ne produit pas la CAN, mais s’occupe des à – côtés à travers ses reporters qui réalisent des interviews et font des analyses. A ce niveau, aucune interview n’a été diffusée mettant en avant plan un Congolais avec son calicot contenant un message. Dans notre profession, comme cela sort de l’ordinaire, l’attention devait être focalisée sur ça. De deux, dans leurs analyses sur le plateau après le match, aucune allusion n’a été faite sur les gestes des Congolais pourtant visibles. Voilà la complicité de Canal+ », déplore un journaliste congolais. Et un autre de renchérir que « la CAF a peur d’ouvrir cette brèche qui fera désormais jurisprudence. Les supporters viendront au stade défendre toutes sortes de causes idéologiques et politiques et cela ne pourrait être géré ».

Pourtant, certains observateurs citent, comme jurisprudence dans l’organisation des manifestations sportives, « le cas du soutien à l’Ukraine victime de l’invasion russe, comme la Rdc victime d’une invasion par procuration du Rwanda qui cache les Etats-unis, la Grande Bretagne , la France etc… »

« Celui qui a conçu cette initiative sait que la caf et la FIFA ne tolèrent pas le mélange du foot et de la politique. Le cas d’Ukraine est une exception qui avait étonné tous les bons esprits sportifs. Les grandes puissances se cachent derrière l’Ukraine pour combattre la Russie. Elles sont loin de s’associer au combat de la RDC contre son voisin. L’Ukraine reçoit des milliards que le Monde n’est pas prêt à prêter à la RDC. L’Ukraine reçoit des armes que notre pays ne peut avoir malgré ses richesses du sous-sol ». En soutenant l’Ukraine par tous les moyens y compris le foot la communauté internationale a ouvert une boîte à pandore dans un domaine extrêmement sensible. Ce qui pose le vrai problème d’indépendance sur le plan des médias et même de la Culture. Ainsi donc, le cas Ukraine comme contre-exemple pour la RDC, est une illustration de l’effectivité de la puissance du capitalisme sauvage américain qui ne jura que par ‘le profit avant tout’, malgré ses discours d’agneau.

Willy Makumi Motosia




Chūnjié Kuài Lè !: Bonne année du dragon !

Ce samedi 10 février 2024, le zodiaque chinois marque l’entrée dans l’année du Dragon et le le Dragon est un signe de puissance, de courage et de chance. C’est la deuxième nouvelle lune après le solstice d’hiver et le début du printemps, ce qui lui fait désigner comme étant la fête du printemps ou le Nouvel an lunaire. Cette fête chinoise emblématique est la pierre angulaire de la culture du pays de la civilisation millénaire, le pays de la grande muraille. Bien qu’elle soit principalement associée à l’ethnie Han, majoritaire en Chine, la fête de nouvel an chinois, le jour de l’an du Dragon est célébrée par environ 2 milliards de personnes, dont 29 des 55 groupes ethniques minoritaires de Chine, ainsi que par de nombreuses autres nations d’Asie de l’Est, avec des jours fériés en Chine, à Hong Kong, à Macao, à Taïwan, à Singapour, en Malaisie, en Corée du Nord, en Corée du Sud, aux Philippines, en Indonésie, au Vietnam et au Brunei.

Dès le jeudi 8 février 2024, environ 12,45 millions des chinois avaient pris le train,à en croire le correspondant de la RFI à Pékin qui précisait qu’ ils devaient être encore 8,3 millions le vendredi, avec une densité dans les gares que l’on n’avait pas connues depuis longtemps. Les réseaux sociaux débordaient d’images de la grande migration de « Chunjie », la « fête du printemps », qui rassemble les familles venues des quatre coins d’un pays continent. Au total, 1,8 milliard de billets ont déjà été vendus, affirment les autorités du rail. « Les billets de train sont si populaires que de nombreuses personnes choisissent de rentrer chez elles en voiture », euphémise l’agence Chine Nouvelle.

Selon des croyances, on affirme que sans projet, sans but à atteindre, le Dragon (natif de l’année du dragon, se sent complètement perdu. Animé d’un enthousiasme et d’une énergie à toute épreuve, il a tendance à avancer sans tenir compte du rythme et des capacités physiques de ceux qui l’entourent. Il est attiré par les projets ambitieux de grande envergure et aime les challenges, les missions supposées impossibles. Plus cela semble difficile plus il trouve de la motivation pour y remédier.

Il n’est pas motivé principalement par l’argent et son ambition est de créer, d’apporter de la nouveauté. C’est pourquoi il peut parfois abandonner aux autres les résultats financiers de ce qu’il a lui-même mis en place.

Il est perçu comme un être admirable, irrésistible qui peut tomber amoureux mais versatille en amour préférant le tumulte extérieur à la tranquillité d’un doux foyer ce qui peut créer des incompréhensions avec les enfants comme avec sa ou son partenaire. Bref, le dragon est définît comme intelligent, impulsif et anticonformiste

On peut citer comme Dragon célèbres : Monica Bellucci, Rihanna, Adele…

Voici quelques autres caractéristiques des Dragons.

 

Dragon de Bois

Le Dragon de Bois brille par sa créativité et son imagination. Très ouvert d’esprit, il aime être entouré de personnes au profil différent. Mais pour se sentir bien, il lui faut dominer, avoir le statut de chef. Il est persuadé de posséder la vérité. Ce qui ne manque pas de lui créer quelques animosités.

Dragon de Feu

Égocentrique et coléreux, le Dragon de Feu a tendance à se croire seul au monde. Personne, selon lui, ne lui arrive à la cheville. Il n’en fait qu’à sa tête et refuse toute contradiction. Il rêve de reconnaissance et de gloire. Son côté généreux et son charisme, heureusement, lui permettent d’obtenir la clémence de son entourage.

Dragon de Terre

Le Dragon de Terre connaît ses limites et accepte, malgré sa fierté légendaire, la contradiction. Même s’il aime dominer les événements et les personnes. Par contre, il est très susceptible et peut montrer les crocs s’il estime être victime d’une injustice. Lorsqu’un proche le déçoit, sa rancune le condamne à jamais.

Dragon de Métal

Le Dragon de Métal est un travailleur-né. Il aime les efforts, les remises en question et les challenges. Hélas, tous ceux qui ne sont pas comme lui sont immédiatement condamnés. Il abhorre les personnes ayant une sensibilité contemplative. Son orgueil le trahit souvent. Il est en quête d’une belle cause devant laquelle il se posera comme son plus ardent défenseur.

Dragon d’Eau

Le Dragon d’Eau est, peut-être, le plus tolérant des Dragons. Il ne recherche pas une position de supériorité et aime jouer les philosophes. Mais cela ne l’empêche pas d’afficher et de défendre ses positions avec un talent évident. Moins idéologue que ses pairs, il recherche des challenges mesurables et réalistes. Son goût pour l’argent est réel.

Willy Makumi Motosia

(Le Quotidien)




Kinshasa : Gentiny Ngobila a lancé ce vendredi les travaux de construction des digues à Limete Ndanu

Le Gouverneur de la ville de Kinshasa Gentiny Ngobila Mbaka poursuit sans désemparer le lancement des travaux à travers la capitale. Ce vendredi 9 février 2024, l’autorité provinciale a procédé à Limete Ndanu, au lancement des travaux d’aménagement de deux digues parallèles, dont l’une à Limete et l’autre à Masina.

En lançant lesdits travaux, le gouverneur de Kinshasa a indiqué qu’à part ces digues longues de 3.240 mètres, un collecteur sera construit afin de canaliser les eaux de ruissellement vers la rivière N’djili. Ceci pour lutter contre les inondations récurrentes dans ce coin de la capitale.

« C’est toujours un grand honneur d’offrir à nos populations congolaises un climat sain que se justifie notre présence ici à Kingabwa au quartier Ndanu dans la commune de Limete. Il est cette fois-ci question de procéder au lancement d’une série des travaux de grande envergure notamment la construction sur la rivière Ndjili dont la longueur est estimée à 3.240 mètres chacune, une digue du côté de Limete et une autre digue du côté de Masina et un collecteur pour canaliser les eaux de ruissellement vers N’djili », a déclaré le premier citoyen des tous les Kinois.

Avant d’ajouter que « concernant la construction de ces digues, il convient de vous rassurer vous nos populations riveraines de Masina que vos cris de détresse sont bel et bien parvenus à nos oreilles et surtout à celles du Président de la République Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui n’a cessé de réfléchir pour trouver des solutions aux problèmes des inondations récurrentes dont vous êtes victimes. Force est de reconnaître que cette solution tendant à endiguer les inondations est le fruit de l’ingéniosité de l’entreprise Aaron Sefu. Il faut noter que la réalisation de ces digues ainsi que de ces avenues, nous amène à procéder à l’expropriation pour cause d’utilité publique, vu l’intérêt supérieur que ce projet incarne ».

Pour sa part, le conseiller technique du gouverneur a décrypté les difficultés auxquelles sont confrontés les habitants du quartier Ndanu. L’architecte de la ville a fait savoir que ces travaux contribueront au désenclavement de Kingabwa et amélioreront la mobilité urbaine et les échanges entre citoyens Kinois. « Après Makala, Selembao, Ngaba, Bumbu, Camp Luka, nous voici aujourd’hui au quartier Ndanu. Le quartier Ndanu est situé dans une zone inondable à cause des facteurs suivant : son sol est marécageux et avec une saturation qui ne permet pas aux eaux de ruissellement de s’infiltrer.

Pour remédier à cette situation déplorable de manière à garantir la quiétude de la population, il est projeté l’aménagement de deux digues parallèles en béton armé d’une longueur de 3.240 kilomètres. Il y aura une digue à Masina et une autre digue à Ndanu Kingabwa. Ces deux digues empêcheront le trop-plein de la rivière N’djili pendant les inondations. Il y aura l’aménagement des routes de deux digues. Interviendra la construction des collecteurs et autres réseaux de drainage le long de deux digues afin d’amener les eaux de ruissellement vers la rivière N’djili. Et afin, la réhabilitation de quelques artères principales. Ces travaux visent à enclencher une transformation progressive de notre capitale », a affirmé…

Dans son mot de bienvenue, la bourgmestre de la commune de Limete, Nathalie Alamba Feza a remercié le gouverneur de Kinshasa Gentiny Ngobila Mbaka pour avoir écouté les cris de détresse de ses administrés, surtout de les avoir sensibilisés contre le phénomène Kuluna.




Suspendre l’élection des sénateurs et gouverneurs pour la paix à l’Est et la moralité publique  

L’absence de volonté politique largement partagée contre la corruption 

La vedette prise par le problème des « voleurs » à l’investiture du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, le 20 janvier 2024, avec la prière du pasteur Roland Dalo, marque l’ampleur de la crise morale de la société congolaise.

La quasi-unanimité sur une erreur à corriger : la lutte mitigée contre la corruption et le détournement des deniers et autres biens de l’Etat congolais. Mais l’erreur de qui ? De la société congolaise, peuple et gouvernants, telle qu’elle est organisée avec une Constitution piégée et une démocratie consensuellement limitée à l’organisation des élections et au libertinage anti-citoyen dans les médias et sur la voie publique.

Les vertus républicaines sont mises à rude épreuve avec un refrain du constat de corruption et détournement endémiques, nous rendant spectateurs de l’essoufflement des pouvoirs publics. On se console avec le classement d’une ONG étrangère pour avoir pris 5 ou 10 places avant les autres pays corrompus du monde. On compte les infrastructures et recettes réalisées en hausse et on miroite les 16 milliards du budget national.

Quand la majorité des kinois crie à la mauvaise gestion de la Ville de Kinshasa, très sale et livrée à l’insécurité, au chômage, aux embouteillages et à la famine, on voit les fanatiques du Gouverneur sur les plateaux de télévision justifier son positif bilan en nous comptant le nombre de tronçons rétablis, une pelouse et des fleurs plantées le long du boulevard Lumumba, quelques poteaux pour un peu de lumière publique…

Visiblement certains politiciens et la population n’ont pas la même vision du bonheur collectif. La démocratie ne fonctionne pas pour connaître les réels besoins de la population à assouvir. Une démocratie en panne quant aux informations sur le programme d’action arrêté et les fonds décaissés pour sa réalisation, le montant effectivement décaissée, le mécanisme d’attribution du marché public, le pourquoi des travaux inachevés ou en retard de livraison malgré la totalité des fonds décaissés …La démocratie congolaise, hostile au contrôle citoyen et à la transparence dans la gestion, se confine dans les élections, bonnes ou mal organisées, l’essentiel étant de les tenir pour obtenir le certificat de bon élève de l’école occidentale.

C’est vrai, le trou est profond, et on remonte petit-à-petit ; effectivement au rythme d’une faible et même insignifiante volonté de changement dans la constitution et l’exercice du triple Pouvoir Législatif-Exécutif-Judiciaire. Il manque indubitablement la ferme volonté politique, largement partagée, du Pouvoir et de la classe politique, y compris des soi-disant opposants, contre la corruption et le vol de la richesse du peuple. Le peuple marche avec la discipline imprimée par les pouvoirs publics, qui ont tous les instruments de redressement, de correction, d’orientation, d’harmonisation de la vie politique et de bon fonctionnement des institutions de la société civile (famille, églises, école, entreprises…).

Lorsque le pouvoir politique est sérieux, c’est-à-dire exercé pour et avec le peuple d’abord, la complicité du peuple dans la destruction de son propre bonheur disparait, si elle n’est pas contenue et isolée chez quelques délinquants résistants. Le sérieux du pouvoir élimine la double vitesse du bonheur social : celle des politiciens et leurs familles en TGV pour dominer et celle du caméléon par « avancée-recul » imposé au peuple gouverné pour le prendre en otage.

La seule volonté politique du Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, laquelle a du mal à contaminer la classe politique, particulièrement de son entourage, et les prouesses de l’Inspecteur Général des Finances, le valeureux Jules Alingete, ont montré leurs limites dans la lutte contre la corruption et les détournements des fonds et biens de l’Etat.

Le comble est atteint avec la demande du Conseil Supérieur de la Défense de lever le moratoire sur l’exécution de la peine de mort pour les cas de trahison dans les forces de défense et de sécurité. La trahison opère avec la corruption, la fraude et le vol.

L’erreur particulière de la société civile et sa responsabilité de se comporter en propriétaire du pouvoir

L’industrie politique de création de richesse fonctionne à merveille avec le soutien des membres de famille, du village, de la tribu, de l’église, du clan, ainsi que des amis de jeunesse et des frères de la loge mystique. La société civile s’est ainsi fortement politisée en se mettant à la traine du politique, qui la finance et lui dicte la voie à suivre.

Il faut une prise de conscience sur cette réalité d’inversement des rôles et y mettre fin comme peuple responsable et soucieux de son bien-être. Les églises, associations sans but lucratif, les institutions éducatives, les médias, les acteurs culturels et artistiques ont la lourde responsabilité d’activer leur leadership dans cette prise de conscience individuelle et collective. C’est eux qui doivent rester au contrôle du pouvoir morale, intellectuel, culturel et spirituel où le politique se ressource.

L’action la plus décisive des congolais est celle qui leur fera avant tout prendre conscience de leurs faiblesses et de leur pouvoir de stopper les faux représentants et de se battre pour la vie par l’acceptation des sacrifices.

La peur de mourir arme à la main, d’affronter la faim en commençant à zéro, du rabaissement social et de recommencer l’ascension du progrès après avoir été humilié, tue en nous la dignité du patron des gouvernants. Cette peur est plus forte que le souci de l’honneur chez ceux qui se plaisent à la trahison, à la corruption, à l’exploitation et à l’appauvrissement de leurs compatriotes.

Nous pensons maintenant nous préoccuper du silence de la communauté internationale, que pourtant notre action peut briser. Le silence à briser en priorité est celui qui fragilise les congolais de l’intérieur en acceptant de le garder et le caresser sur ceux qui viennent s’enrichir illicitement en politique, sur les infiltrés bien connus qui nous espionnent au profit des puissances étrangères, sur les traîtres nichées dans nos institutions, sur les kulunas en cravate et voleurs de nos familles, églises, groupes d’amis.

Il faut agir. La première action est intérieure, celle qui sera dirigée vers le peuple congolais pour le nettoyage personnel et autour de soi, pour renforcer l’amour de la patrie et l’unité nationale. C’est dans l’unité autour des valeurs morales, spirituelles, culturelles et intellectuelles, dans une vision commune de notre avenir, que nous réussirons face aux ennemis visibles et cachées de notre pays. Les politiques publiques devront avoir ce souci de cohésion nationale sur l’essentielle de la vie commune.

Le besoin ressenti d’une solution de lutte structurée et organisée devra mobiliser l’ensemble du peuple congolais contre le mauvais esprit de la fraude. Les patrouilles antifraudes devront naître dans la société civile pour s’assurer d’un comportement citoyen et constructif.

Pas de Sénat et Gouvernorat sur fond d’une corruption à ciel ouvert

En 2019, le Président de la République avait voulu le report des Gouverneurs et ViceGouverneurs et retardé la prise de fonction des sénateurs élus à cause des accusations de corruption. Il était allé jusqu’à demander au Parquet de mener des enquêtes pour débusquer les sénateurs et députés provinciaux trempés dans la corruption.

Les élections des sénateurs et gouverneurs s’accompagnent depuis 2006 de la clameur publique de corruption contre laquelle la CENI, le Gouvernement et la Justice manifestent une impuissance troublante. Un tourbillon difficile à stopper.

Le gout succulent de la fraude et de l’enrichissement illicite affecte le mécanisme constitutionnel de la conquête du pouvoir politique, donnant lieu à des faux représentants. Ayant choisi une forme représentative de la gouvernance, comment parler de démocratie, lorsque les sénateurs, gouverneurs et Vice-gouverneurs sont ceux sur qui pèse une forte présomption de corruption ?!

Proposée en solution globale contre le système de prédation, la Kombolisation, prônée par Madame Marie-Josée Ifoku, candidate Président de la République en 2018 et en 2023, planche sur une politique cohérente et structurée de changement des mentalités du peuple et de ses dirigeants en vue de la renaissance de la République. Il faut une politique courageuse de transformation de la société, par l’éducation, la promotion culturelle et une spiritualité fondée sur les vertus que révèle le balai (kombo) : nettoyage personnel et collectif des antivaleurs, don de soi, unité dans la diversité, bonne gouvernance, nettoyage des règles juridiques et institutions qui tuent l’Etat et renaissance de l’Etat-Nation.

Par son message sur X, le 8 février, Marie-Josée Ifoku, fidèle à sa philosophie politique et aux valeurs qu’elle défend, propose de ne pas sacrifier la paix à l’Est du pays, la stabilité politique et la moralité publique pour l’élection des gouverneurs et sénateurs. Elle déplore les conditions déplorables du trou noir et profond de la corruption qui émaillent la désignation des institutions inutilement budgétivores.

La gravité de la crise morale et l’impérieuse nécessité d’arrêter le cycle infernal de la fraude et de la corruption à la naissance des institutions obligent d’agir en peuple libre et souverain. Il ne faut pas courir, au péril de la nation, vers le formalisme suicidaire du respect d’un calendrier électoral.

La légitimité des institutions, fondée sur la confiance et le respect que le peuple a à leur égard, manque s’il est de notoriété publique que leurs animateurs ont été désignés dans l’illégalité. Et c’est une porte ouverte aux abus et à plus de « bêtises » dans le chef de ceux qui doivent chercher à acheter la confiance et le respect. On ne sait plus mettre fin au cycle infernal de la corruption et des détournements.

Lorsque la Constitution ne peut permettre de normaliser la vie publique, par inefficacité de ses animateurs et/ou par incompatibilité des normes, il faut trouver une solution de sagesse pour sauver la nation.

En attendant une nouvelle constitution adaptée à la situation des congolais et du pays, pour inventer une manière appropriée de nous organiser, de conquérir le pouvoir, de choisir nos dirigeants et de nous gouverner, il s’avère utile de recourir à l’énorme pouvoir réservé au Chef de l’Etat à l’article 69 de la Constitution. Il représente la nation. Il est le symbole de l’unité nationale. Il assure par son arbitrage le fonctionnement régulier des pouvoirs publics et des Institutions ainsi que la continuité de l’Etat. Il peut donc, au regard de ces pouvoirs, suspendre l’élection des sénateurs et nommer à titre provisoire et conservatoire les dirigeants des provinces et autres entités à mandat électif.

A travers un cadre plus fédérateur, plus technique et moins politique, le Chef de l’Etat fera le choix des personnes compétentes, appropriées aux circonstances et moralement crédibles. Le moment se prêtant bien d’exclure les voleurs et corrompus de cette partie de la gestion publique. D’ailleurs le développement des 145 territoires, qui ne peut être favorisé par l’environnement politique actuelle des Provinces, se portera mieux.

Sans déclaration de guerre, nous sommes pourtant en guerre depuis 30 ans contre les terroristes venus de l’extérieur qui nous agressent sur le sol congolais. Il faut une gestion du pays adaptée à cette situation, y compris par application de l’article 143, dernier alinéa de la Constitution : « Les droits et devoirs des citoyens, pendant la guerre ou en cas d’invasion ou d’attaque du territoire national par des forces de l’extérieur font l’objet d’une loi. »

Le potentiel naturel géantissime de puissance de la RDC se transforme en force de révolution économique, en force militaire dissuasive, en force diplomatique convaincante à l’égards des parrains du Rwanda et des investisseurs étrangers.

Le 10 février 2024

BAMUANGAYI KALUKUIMBI Ghislain

bamuangayi@gmail.com +243999942752




Côte d’Ivoire-Nigéria : les Joueurs à surveiller côté Super Eagles

En moins de 24 heures, les Super Eagles du Nigéria seront face aux Éléphants de Côte d’Ivoire dans une affiche épique, en finale de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2023.

La 34e édition de la plus grande compétition de football africain se termine avec une bataille entre les deux géants du football africain qui cherchent à enrichir leur collection de titres continentaux.

Les Super Eagles aligneraient un quatrième titre en cas de succès au Stade Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpe.

CAFOnline présentent les stars qui pourraient jouer un rôle déterminant pour le Nigeria dans cette finale.

Stanley Nwabali

C’est le mur de la défense des Super Eagles. Stanley Nwabali a été une révélation pour les Super Eagles du Nigéria, réalisant des arrêts héroïques. Il n’a encaissé que deux buts depuis le début de la compétition dont un sur penalty.

Le gardien de Chippa United a également été le héros de la demi-finale contre l’Afrique du Sud, après avoir stoppé deux penalties pour propulser le Nigeria en finale.

William Troost-Ekong

Le capitaine des Super Eagles a fait preuve d’un excellent leadership sur le terrain depuis la base arrière. Son expérience et sa belle lecture du jeu ont été déterminantes pour les Super Eagles tout au long de la compétition.

Toujours prêt à se mobiliser et à prendre ses responsabilités, Troost-Ekong a à chaque fois été au rendez-vous

Victor Osimhen

Le footballeur africain de l’année a joué un excellent rôle dans les performances du Nigeria. Bien qu’il n’ait pas réussi à trouver le fond des filets autant qu’il l’aurait souhaité, Victor Osimhen a mis les défenseurs à rude épreuve. Il est généralement à l’origine des occasions de but, des coups de pied arrêtés et des penalties obtenus son équipe.

La finale donne l’occasion à ce tueur à gages de terminer le tournoi en beauté, avec pourquoi pas, un ou plusieurs buts contre le pays hôte.

Adémola Lookman

Ademola Lookman cherchera certainement à clôturer le tournoi sur la belle lancée qu’on lui connait jusque-là.

Avec sa vitesse, ses qualités de dribbles et sa facilité à conclure les actions, il a constitué une terreur pour les défenses tout au long du tournoi. Avec trois buts à son compteur, Ademola Lookman aura joué un rôle clé pour les Nigérians qui visent un quatrième titre continental.




Dylan Batubinsika : “Retenir que le positif de notre parcours” La République Démocratique du Congo a tenté mais a rompu face à l’Afrique du Sud lors de la fatidique séance des tirs au but (0-0 6 tab 5). Malgré cela, un joueur congolais a su tirer son épingle du jeu, le défenseur Dylan Batubinsika. Le numéro 5 des Léopards a été tout simplement brillant lors de ce match de classement, coupant toutes les trajectoires des offensives sud-africaines, mais cela n’a pas été suffisant pour remporter la mise: “On a manqué de réalisme dans le dernier carré. On a vu que l’Afrique du Sud était assez émoussée car elle venait d’enchaîner deux prolongations de suite.” a lancé celui qui a été nommé Homme du Match CAF TotalEnergies de ce match barrage. Conscient d’être passé à côté d’un événement historique, Dylan Batubinsika dresse un premier bilan de la compétition de son équipe dans cette Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2023 : “Je ne vais retenir que le positif de notre parcours. Mon meilleur reste notre victoire face à l’Égypte. C’était un match âpre et difficile et on en sort victorieux face aux vice-champions d’Afrique en titre.” a conclu le Congolais avec un large sourire.

La République Démocratique du Congo a tenté mais a rompu face à l’Afrique du Sud lors de la fatidique séance des tirs au but (0-0 6 tab 5). Malgré cela, un joueur congolais a su tirer son épingle du jeu, le défenseur Dylan Batubinsika.

Le numéro 5 des Léopards a été tout simplement brillant lors de ce match de classement, coupant toutes les trajectoires des offensives sud-africaines, mais cela n’a pas été suffisant pour remporter la mise: “On a manqué de réalisme dans le dernier carré. On a vu que l’Afrique du Sud était assez émoussée car elle venait d’enchaîner deux prolongations de suite.” a lancé celui qui a été nommé Homme du Match CAF TotalEnergies de ce match barrage.

Conscient d’être passé à côté d’un événement historique, Dylan Batubinsika dresse un premier bilan de la compétition de son équipe dans cette Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2023 : “Je ne vais retenir que le positif de notre parcours. Mon meilleur reste notre victoire face à l’Égypte. C’était un match âpre et difficile et on en sort victorieux face aux vice-champions d’Afrique en titre.” a conclu le Congolais avec un large sourire.




CAN 2023 : Hugo Broos fier de ses joueurs

Le sélectionneur Hugo Broos n’a pas tari d’éloges à l’égard de ses joueurs après la troisième place obtenue lors de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023, face à la République Démocratique du Congo, après avoir remporté la séance des tirs au but 6-5.

Avec très peu d’occasions, les hommes de Broos ont été impressionnants pendant leur parcours en Côte d’Ivoire, où ils ont démantelé des poids lourds du football africain comme le Maroc avant de terminer sur le podium.

Hugo Broos a couvert d’éloges son équipe, faisant une mention spéciale aux joueurs qui étaient sur le banc.

“J’ai dit après le match du Nigeria que j’étais fier de cette équipe, et je pense qu’aujourd’hui les gens peuvent voir pourquoi je dis que je suis fier de cette équipe. Nous n’étions pas frais, mais quand vous voyez la mentalité de ce groupe, c’est impressionnant”, a déclaré le sélectionneur, ravi.

“Les garçons se sont très bien comportés. Ils ont fait preuve d’une grande mentalité. Ils ont essayé de faire ce que je leur demandais, et je comprends que c’était difficile. Cela montre que si nous avons des problèmes, nous pouvons compter sur ceux qui sont sur le banc. J’étais satisfait des joueurs sur le terrain, mais je l’étais encore plus de ceux qui étaient sur le terrain. Ils les encourageaient et les poussaient. A partir de là, vous savez que vous avez 23 gars qui veulent une chose et c’est la victoire” a conclu le coach.