KIM JONG IL; Un long périple marqué de dévouement patriotique

Tous les mois de février suscitent au Peuple de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire en voie de la poursuite du statut de la Puissance économique et où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR) un immense regret pour le Généralissime KIM JONG IL (1942-2011). Ce grand Homme a consacré toute sa vie pour la richesse, la puissance et la prospérité de sa Patrie ainsi que pour le bonheur de son Peuple. Les tournées dinspection quil a poursuivies sans relâche jusquau dernier moment (dans son train exclusif, NDLR) de sa vie était un long périple patriotique sans précédant dans lHistoire.

En voici un simple exemple du février 2009. Il se rendit au Combinat dEngrais de Hung-nam (Province Sud-Hamkyong) qui était en effervescence pour entraîner un nouvel essor. Se renseignant sur létat de production, il apprit que le manque du séparateur doxygène de grande taille (15.000m3/h, NDLR) posait un problème dans la production dammoniac gazéifié. Il dit que puisque la fabrication de ce séparateur doxygène était importante, il devait, bien que difficile, aller, une fois de plus, au Combinat Mécanique de Rakwon (Province Nord-Phyongan) quil avait visité 3 mois auparavant, et prit sa direction vers Rakwon loin des milliers de lieues (01 lieue = 04km, NDLR) de Hung-nam. Et, après ce Combinat Mécanique de Rakwon, il visita, encore successivement, le Combinat Sidérurgique KIM Chaek (1903-1951; Martyr dans la Résistance antijaponaise 1930-1945, NDLR) et les usines et entreprises de Ranam (Province Nord-Hamkyong) et de Manpho (Province Jagang), avant de poursuivre ses tournées dinspection dans dautres régions y compris Tokchon (Province Sud-Phyongan), Jaeryong (Province Sud-Hwanghae), Huichon (Province Jagang) et Anju (Province Sud-Phyongan).

Un jour, il dit à ses collaborateurs quil comptait se reposer et dormir tout content comme son Peuple le voulait, si celui-ci pourrait vivre heureux sans avoir rien à envier au monde ou pour être le plus heureux du monde. Tout au long de sa vie, il parcourut plus de 167.461 lieues (selon les Archives Nationales, NDLR), soit près de 17 tours autour de la Terre, pour faire ses tournées dinspection dans tout le Pays (123.214km2).

Grâce à ce long périple quil avait effectué avec abnégation, le potentiel national de la RPDC a pu se renforcer sensiblement et de solides bases de lédification dun Etat riche et puissant, établies.

Ce 16 février, le Peuple de la RPDC est en pleine célébration de la Journée (instituée le mois suivant du décès de KIM JONG IL, NDLR) de l’Etoile Etincelante; le 82ème anniversaire de naissance de KIM JONG IL, l’une des 2 fêtes nationales suprêmes de l’Etat. Et, toute lHumanité progressiste comme les filles et fils du Héros National Patrice-Emery LUMUMBA accompagne la RPDC dans cette commémoration significative.

 

【source】Sylvère BOSWA ISEKOMBE (1966- ; appelé, communément, Lion au Cœur Rouge depuis 2018, NDLR);

Candidat à la Députation Nationale 2024-2028

Secrétaire Général (№ 1) du Parti Communiste Congolais (PCCo) de la République Démocratique du Congo

Coordinateur sous-régional pour l’Afrique Centrale du Conseil Mondial de la Paix (CMP créé en 1950 avec son siège à Athènes, Grèce)




Félix Tshisekedi devrait se chercher des contradicteurs privés. De préférence ceux qui le connaissent bien et ceux qu’il connaît très bien !

L’initiative est inspirée d’une anecdote révélée par Didier Mumengi sur Top Congo Fm au sujet de ses relations avec Mzée Laurent-Désiré Kabila. S’étant rendu compte que son ministre de l’Information osait le ” défier ” en se permettant de lui faire des remarques même jusque dans son habillement – ce que ses compagnons de l’Afdl s’abstenaient d’entreprendre de peur de l’effaroucher- le tombeur de Mobutu avait confirmé le défaut de cuirasse ou le tendon d’Achille propre à tout homme normal : il avait cédé ! En effet, il avait nommé Mumengi son contradicteur personnel. Pourtant, Mzée Kabila était soupçonné d’être un bloc de glace, sinon de granite.

Être humain comme tout le monde, Félix Tshisekedi ne peut pas ne pas avoir lui aussi son défaut de cuirasse, son tendon d’Achille.

Les cinq ans de son premier mandat doivent l’avoir édifié sur la gestion non pas que de la famille biologique et de la famille politique, mais de l’Etat.

Il a pris conscience de la portée de chacun de ses actes. D’où l’aveu fait, dans son discours d’investiture le 20 janvier 2024, des erreurs commises au cours de son premier mandat, erreurs qu’il n’entend pas répéter au cours de son second et dernier mandat.

C’est ici l’occasion de lui dire que tant qu’il vit, il n’arrêtera pas de commettre des erreurs. Cependant, il y a des erreurs à éviter absolument.

Comment n’y reviendrait-il pas s’il continuait à entretenir des courtisans qui le félicitent dans tout ce qu’il dit ou fait, même quand l’erreur est visible ?

Nous retenons pour cette chronique trois preuves.

La dernière (troisième) est cette désignation ou nomination prématurée d’un informateur au moment où l’Assemblée nationale n’est même pas à 50 % de sa procédure d’installation.

Une semaine après, Augustin Kabuya s’est présenté le jeudi 15 février 2024 aux médias avec son bureau, preuve que le Trésor public met déjà à sa disposition des fonds pour fonctionnement et rémunération.

 

Or, pour entamer les consultations, il doit attendre la plénière de l’Assemblée nationale à consacrer à la DÉCLARATION D’APPARTENANCE prévue à l’article 26 durèglement intérieur de la chambre basse.

Il y a déjà risque de le voir perdre deux semaines avant d’entamer en formel sa mission.

La deuxième preuve est en rapport avec les manifestations publiques contre la Monusco et contre les ambassades des États-Unis, de la Grande Bretagne et de la France à Kinshasa.

Après les attaques menées concomitamment contre les installations de la Monusco et l’ambassade des États-Unis sur l’avenue des Aviateurs, celles qui ont suivi ont failli déraper avec la tentative de pillage des commerces tenus par les étrangers au Centre-ville. De quoi rappeler le pillage de 1991 ayant mis tué au sens propre du terme l’économie congolaise, au grand plaisir d’un parti politique de l’Opposition.

Les opérateurs économiques ont dû baisser les stores pour se mettre eux-mêmes à l’abri, affectant les efforts déployés jusque-là dans le cadre de l’amélioration du climat des affaires.

Résultant d’un incident lié à la Can avec pour première victime le diffuseur Canal Plus, ces manifestations voient l’autorité de l’Etat bafouée par des forces agissant en électrons libres. Le VPM Peter Kazadi s’époumoné pour dégager la responsabilité des Forces du progrès dans ces manifestations, structure impliquée dans plusieurs actes délictueux. S’affichant de l’Udps, ces forces avaient déjà été désavouées par le président intérimaire Augustin Kabuya au lendemain du saccage, par elles, de la maison de Franck Diongo et des installations d’une église protestante à Ngaliema, Cité des Anciens combattants.

Comme si cela ne suffisait pas, les consignes du Gouvernement interdisant la circulation des moto-taximen et l’attroupement de 5 personnes à Gombe ont été violées ouvertement. Les Wewa et les femmes du Pouvoir sont passés outre.

Tour à tour, autour de ces manifestations publiques, on a vu le VPM Jean-Pierre Bemba prendre courageusement fait et cause pour la Monusco et le VPM Christophe Lutundula, très embarrassé devant le corps diplomatique visé, obligé de rassurer les partenaires que la RDC n’est pas sortie des processus de Nairobi et de Luanda.

Pour avoir déclaré pendant la campagne électorale qu’il ne rencontrera Paul Kagame que devant Dieu (une façon de signifier à Joao Lourenço la fin de sa mission), Félix Tshisekedi ne peut pas ne pas admettre avoir isolé un peu plus la RDC.

C’est finalement un Lutundula diminué qui va déclarer devant les diplomates : “Les solutions existent, la RDC est ouverte au dialogue, mais il faut créer les conditions du dialogue”

sur base de l’existence du processus de Nairobi et de la feuille de route de Luanda en tant que “*initiatives parrainées par l’Union africaine, les Nations unies et soutenues par l’Union européenne».

Bref, quand on connaît les réactions épidermiques des Kinois, ces incidents devraient absolument être évités.

Première preuve (la plus grave de toutes) : l’annonce unilatérale de la non-participation des territoires de Rutshuru et Masisi ainsi que de la province du Mai Ndombe aux élections du 20 décembre 2023.

Selon l’article 3 de la loi électorale qui la régit, “La CENI est chargée de l’organisation de tout processus électoral et référendaire. Elle en assure la régularité”.

En termes simples, elle est le seul pouvoir organisateur des élections et du référendum en RDC. Le seul à déterminer le calendrier électoral et à annoncer la participation ou non de telle circonscription électorale ou de telle autre. Ce n’est ni l’Exécutif national (Président de la République et Gouvernement), ni le Législatif (Assemblée nationale et Sénat), moins encore les Cours et Tribunaux…

Or, le Président de la République a pris sur lui la responsabilité d’exclure Rutshuru et Masisi de ce processus sans en discuter avec la Céni, ni avec le Gouvernement, moins encore avec l’Assemblée nationale et le Sénat.

Il n’a même pas pris l’avis des Cours et Tribunaux.

Autrement, on en aurait trouvé trace dans un compte-rendu d’un conseil des ministres ou dans une communication d’une réunion inter-institutionnelle.

Ayant quant à elle pour moyen de communication les COMMUNIQUÉS DE PRESSE avec références précises, la Ceni n’a pas dans ses archives entre les 10 et les 19 novembre 2023 un seul document y relatif.

Pour rappel, le 14 novembre, Félix Tshisekedi a délivré au Congrès son dernier discours annuel sur l’état de la Nation. Il n’y a pas fait allusion.

Par contre, le 16 novembre 2023, soit 48 heures après, il fera cette annonce dans une interview à France 24-Rfi !

Il n’était pas sans savoir qu’il y avait des revendications territoriales sur Rutshuru et Masisi exprimées respectivement par Paul Kagame en avril 2023 pendant son séjour au Bénin et par Bertrand Bisimwa le 15 septembre de la même année, la veille de l’assemblée générale des Nations Unies.

Soustraire ces deux circonscriptions du processus électoral devrait être une décision collégiale et non individuelle prise consciemment en violation de la loi électorale.

Que faire alors pour prévenir, pour éviter la répétition des erreurs du passé au cours de son second et dernier mandat ?

La tentative de réponse est dans le titre : Félix Tshisekedi doit se chercher des contradicteurs privés. De préférence ceux qui le connaissent bien et ceux qu’il connaît très bien !

Des contradicteurs qu’il doit cependant sécuriser dans tous les sens du terme. Il trouvera sans doute la formule de les gérer avec discrétion et efficacité.

Il en va autant de son intérêt que de celui de la République.

Probablement que le seul fait pour les courtisans de tous bords d’apprendre l’existence de ces contradicteurs sera un facteur incitatif pour tous les collaborateurs à changer de narratif !

Omer Nsongo die Lema




“Accès à l’Education 2022-2027” : Airtel et UNICEF s’engagent à soutenir l’apprentissage numérique en Rdc

Airtel RDC et l’UNICEF RDC travaillent ensemble en vue d’augmenter et améliorer la connectivité Internet dans les écoles et les communautés en RDC. L’objectif de cette collaboration est de favoriser l’apprentissage numérique avec pour conséquence l’accès continu à l’éducation et l’amélioration des résultats scolaires.

Cette initiative s’insère dans le cadre du partenariat “Accès à l’Education 2022 – 2027” conclu entre Airtel Africa et l’UNICEF. Il cible 13 pays de l’Afrique subsaharienne et fait partie de l’initiative mondiale “Réimagine Education”.

Selon un communiqué de presse parvenu à notre rédaction, ce programme, mis en œuvre en collaboration avec le ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique (EPST) permet à 20 écoles secondaires dans les provinces de Kinshasa (10) et Haut-Katanga (10) de bénéficier d’une meilleure connectivité et faciliter l’apprentissage des élèves du niveau élémentaire. Pour ce faire, il est mis à leur disposition des outils qui permettront un meilleur accès à la connaissance.

« Ce programme est d’autant plus important qu’en RDC, la fracture numérique constitue un obstacle majeur à la continuité et à la qualité de l’apprentissage. Selon l’enquête par grappes à indicateurs multiples (MICS 2018), seulement 1,3% des ménages congolais a accès à Internet (2,4% en milieu urbain et 0,5% en milieu rural) et seulement 0,5% d’écoles primaires et 0,4% d’écoles secondaires disposent d’ordinateurs », indique la même source qui ajoute que des milliers de Congolais et congolaises restent en marge de la connectivité, ce qui affecte aussi les catégories sociales impliquées dans les processus éducatifs : élèves, enseignants, directeurs scolaires, inspecteurs et parents d’élèves.

A travers ce programme, 10.000 élèves, dont 48% de filles, seront progressivement connectées à l’internet et vont bénéficier d’opportunités d’apprentissage de qualité grâce à l’utilisation de supports numériques. A cet effet, des routeurs et des unités extérieures ont déjà été installés dans les 20 écoles secondaires ciblées.

En outre, Airtel RDC travaille avec le ministère de l’EPST pour rendre la plateforme nationale d’éducation « Ma Classe » accessible gratuitement. Ce qui constitue un effort considérable pour réduire l’écart d’apprentissage entre les élèves congolais et ceux d’autres pays.

Ce projet s’inscrit également dans le cadre des actions plus vastes menées par l’UNICEF pour offrir à tous les enfants des expériences d’apprentissage personnalisées, sûres et de qualité, garantir le développement de l’apprentissage et des compétences, réduire la fracture numérique et introduire des solutions novatrices et évolutives qui répondent aux enjeux éducatifs.

 




La Dypro de Constant Mutamba, 1ére formation à être consultée par l’Informateur 

Désigné pour dégager une coalition majoritaire à l’assemblée nationale en vue de la formation du futur gouvernement, l’informateur Augustin Kabuya a échangé le vendredi 16 février 2024 avec la délégation de la Dynamique progressiste révolutionnaire conduite par son président.

Constant Mutamba dit être venu ” répondre à l’appel du chef de l’Etat pour consolider l’unité et la cohésion nationale face aux défis socio-économiques et sécuritaires qui plombent notre pays”.

Un cahier de charge reprenant les propositions de la dypro a été remis à l’informateur.

“Nous avons vu un informateur calme,serein , mesuré, compétent, humble et ouvert. Ces consultations vont aboutir car il y a plus de forces positives que négatives… ” a aussi déclaré Constant Mutamba

 

Derick Katola




37ième session du Sommet des chefs d’État de l’UA: Félix Tshisekedi va dénoncer l’agression rwandaise

Une forte délégation de la République démocratique du Congo participe en ce moment, aux travaux de 37ième session ordinaire du Sommet des chefs d’État et de gouvernement qui sont précédés par la Réunion de la 44ième session ordinaire du Conseil exécutif de l’Union Africaine où les Ministres des États membres sont en train d’examiner les différents rapports présentés par les experts interétatiques en vue de préparer les recommandations à soumettre au Sommet des chefs d’États et des gouvernements.

Ces assises se tiennent du 14 au 18 février 2024 à Addis-Abeba la capitale éthiopienne.

Il est vrai que plusieurs matières y sont examinées, mais le contexte actuel de la République démocratique du Congo requiert que la délégation puisse mettre plus l’accent sur l’aspect sécuritaire de la diplomatie pour juguler la crise qui endeuille l’est du pays suite à l’agression rwandaise avec la complicité des Puissances obscures.

Dans cette optique, une séance spéciale dédiée à la communauté d’Afrique de l’Est (EAC) se tient ce 16 février 2024 et leurs Excellences Christophe Lutundula Apala pen’Apala et Antipas Mbusa Nyamwisi, respectivement vice-premier ministre, en charge des Affaires étrangères et ministre d’État en charge de l’Intégration Régionale y participent pour le compte de la République démocratique du Congo.

Il sied de noter déjà que grâce à la diplomatie agissante impulsée par le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, avant même la fin des assises, la République démocratique du Congo vient d’être élue par les trois quarts des Membres comme Membre du Conseil de paix et de sécurité de l’Union Africaine pour un Mandat de deux ans.

La fin du Sommet marquera, la fin du Mandat de la Présidence des Comores et le passage du Flambeau à la Mauritanie pour un Mandat d’un an à la tête de l’Union Africaine. Le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est attendu en personne dans la capitale éthiopienne pour marquer sa présence audit sommet.




Soirée de solidarité nationale : Sama Lukonde remet un chèque de 15 milliards de Francs congolais aux victimes des affres de guerres et catastrophes naturelles 

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, au nom du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a présidé la soirée de solidarité nationale, organisée jeudi 15 février 2024, à Fleuve Congo hôtel, par le ministère des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale, en faveur des victimes des inondations, éboulement des terres et autres catastrophes naturelles observés récemment à travers le pays et des déplacés internes.

Ainsi, dans le soucis de résorber la crise humanitaire qui secoue le pays à la suite de la guerre d’agression imposée à la République démocratique du Congo par le Rwanda sous le couvert du M23, et des catastrophes naturelles, notamment dans les provinces du Nord-Kivu, de l’Ituri, de Kwilu, de Kwango, la ville de Kinshasa, le Kasaï-Central,  à Malemba-Nkulu, le Gouvernement de la République est sur tous les fronts pour répondre positivement à l’appel de solidarité nationale lancé par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo depuis 2022.

C’est dans ce cadre que le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a remis un chèque de 15 milliards de francs congolais (environ 5 millions de dollars US) au ministre des Affaires sociales, Actions humaines et Solidarité nationale, à Fleuve Congo hôtel, à la soirée de solidarité nationale en faveur des compatriotes victimes du drame humanitaire occasionné par la guerre d’agression rwandaise au Nord-Kivu, des atrocités des groupes armés en Ituri, du conflit interethnique dans le Malemba-Nkulu et des catastrophes naturelles du Kasaï-central et à travers le territoire national.

« Je profite de l’occasion pour remercier tous nos partenaires qui sont à mon côté et en œuvre dans cette action sociale et le gouvernement pense que cela a été demandé ici par la Caisse de solidarité nationale et de gestion humanitaire de catastrophe. Il s’engage à travailler pour la création en faveur de cette même caisse effectivement d’un mode de prélèvement pérenne quant à la mobilisation des ressources pour sauver. C’est à ce prix que nous participons tous à la construction d’un monde meilleur pour tous dans notre pays. Je voudrais rappeler que nous avions déjà organisé, lors du lancement de la caisse, une première collecte.

Il y avait eu des engagements individuels. Mais surtout un engagement du gouvernement. Pendant que les images passaient, je me suis revu en train de donner le chèque, à l’époque, de 20 milliards de francs congolais. Et donc, pour ce soir, je voudrais annoncer cette fois-ci un chèque de 15 milliards de francs congolais pour la Caisse de solidarité nationale et de gestion humanitaire de catastrophe. Et donc j’espère que ça sera un bon élan pour permettre aux autres donateurs qui sont dans la salle de poursuivre, et au-delà, des personnes qui pourront nous suivre à travers leurs écrans, leurs radios ou tout autre média vont leur permettre d’avoir cette information, d’être à côté de nos compatriotes, à travers cette Caisse de solidarité sociale, de ne pas hésiter. Ce ne sont pas que des milliards de francs qui sont attendus de chacun, mais, c’est chaque franc de toutes les personnes qui seront émues par cette situation qui va permettre d’avoir ces milliards », a dit le Premier Ministre Sama Lukonde.

Répondre à l’appel à la mobilisation générale

Bien avant cela, au début de son discours, le Chef du gouvernement, Jean-Michel Sama Lukonde a rappelé la détermination du Chef de l’État pour servir la nation. Il a remercié le ministre des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale, pour tous les efforts conjugués par rapport à la Caisse de solidarité nationale et de gestion humanitaire des catastrophes.

« Au nom de Monsieur le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, que j’ai l’honneur de représenter en cette soirée spéciale dédiée à la solidarité nationale, je tiens d’abord à remercier le ministre des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale, pour tous les efforts conjugués de concert avec la Caisse de solidarité nationale et de gestion humanitaire des catastrophes, quant à l’organisation de cette soirée en faveur de la solidarité nationale. Et rappeler que dès son accession à la magistrature suprême, le Chef de l’État s’est engagé à être à l’écoute et au service de la population.

Aujourd’hui, notre pays rappelle son attachement aux valeurs universelles de la solidarité, tel qu’affirmé par les conventions internationales et notre loi fondamentale. Ces trois dernières années ont été des années de tous les défis dont les effets continuent de se faire ressentir sur le quotidien de notre population. La COVID-19, qui n’a épargné aucune région du monde et a eu un impact considérable sur notre économie. Elle a posé des problèmes majeurs de sécurité alimentaire et de nombreux ménages ont été affectés. Ce sont des millions de personnes sur toute l’étendue du territoire national”, a déclaré le Chef du Gouvernement.

Tout en demandant à l’ensemble du pays de répondre positivement à l’appel à la mobilisation générale lancé par le Chef de l’État, le Premier Ministre Sama Lukonde a insisté sur le bien-fondé de la Caisse nationale de solidarité. Il a appelé les uns et les autres à s’approprier cette belle initiative.

Quelques membres du Gouvernement, les ministres des Affaires sociales, Action humanitaire et Solidarité nationale, de la Recherche scientifique, du Plan, des mandataires des entreprises publiques et privées ainsi que plusieurs autres compatriotes ont pris part à cette soirée de la solidarité nationale.




Envoyés spéciaux du Facilitateur de la crise politique au Tchad: Didier Mazenga et Gilberto Dapiedade Verissimo présentent le rapport évaluatif à mi-parcours de la transition

C’était face aux représentants du gouvernement Tchadien, le conseiller spécial, représentant du Premier Ministre de la transition, les diplomates, les chefs des partis politiques et la société civile, que les émissaires du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, facilitateur de la transition Tchadienne, se sont livrés à cet exercice. Il était question de voir dans le fond, ce qui est déjà fait depuis le début de la transition, qu’est ce qui est fait, que ce qui n’est pas encore fait et ce qui devra être fait.

Prenant la parole, Didier Mazenga Mukanzu, a mis un accent particulier, sur les efforts fournis par la CEEAC pour assurer le retour de la normalité institutionnelle au Tchad, avec le retour de plusieurs opposants au pays, à l’instar du 1er Ministre Succès Masra, Mahamat Ahmat Lazina d’il y a peu et bien d’autres.

Il faut noter qu’il y a un débat houleux et plusieurs chefs des partis politiques ont au cours de cette rencontre, salué le travail abattu par la CEEAC, au travers le Président de la République Démocratique du Congo Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, facilitateur de la crise Tchadienne, ils ont formulé à la fois plusieurs suggestions à la CEEAC, pour un retour de la paix effectif au pays.

Il sied de rappeler que, le Président Congolais avait été désigné et reçu mandat de conduire cette transition au Tchad, au cours d’une session extraordinaire du conseil de paix et de sécurité de la CEEAC tenue à Kinshasa, le 25 Octobre 2022.

Signalons que les envoyés spéciaux du facilitateur de la transition Didier Mazenga Mukanzu et Gilberto Dapiedade, rencontrent ce vendredi 16 Février, Mahamat Idriss Deby Itno, Président de la transition.




Pour l’exercice 2024 : Les titulaires des droits miniers et/ou de carrières invités à retirer les Notes de Débit et de Perception relatives aux droits superficiaires annuels par carré aux guichets du CAMI

La Direction Générale des Recettes Administratives, Judiciaires, Domaniales et de Participations (DGRAD) et la Direction Générale du Cadastre Minier « CAMI », informent les titulaires des droits miniers et/ou de carrières que les Notes de Débit et de Perception relatives aux droits superficiaires annuels par carré, pour l’exercice 2024, sont disponibles aux guichets du CAMI, situés:

– A Kinshasa, au croisement des Avenues Mpolo Maurice et Kasa-Vubu, dans la Commune de la Gombe;

-A Lubumbashi, Avenue Lumumba, N’2575, Commune de Kampemba;

– A Bukavu, Avenue Kalehe, N° 35, Commune d’Ibanda;

-A Kisangani, Boulevard du 30 juin, Rond-Point Canon, Commune de Makiso;

-A Kindu, Avenue du 4 janvier, N° 344, Commune de Kasuku.

Par conséquent, tous les titulaires sont invités à les retirer en vue de procéder au paiement desdits droits, au plus tard le 31 mars 2024, conformément aux dispositions légales et réglementaires.

Passé ce délai, le CAMI se réserve le droit d’enclencher la procédure de déchéance du droit minier et/ou de carrières non payé et ce, sans préjudice de l’application, par la DGRAD, des pénalités prévues par la loi.

Par ailleurs, il est rappelé aux titulaires des droits miniers et/ou de carrières, conformément à l’article 196 du Code minier, le maintien de la validité de leurs droits, est notamment subordonné au paiement des 100% des droits superficiaires annuels.




Emerse Fae rejoint la liste des entraîneurs africains ayant remporté la CAN 

Vainqueur de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies 2023, Emerse Fae,le sélectionneur de la Côte d’Ivoire 2023, Emerse Fae, vient d’ajouter son nom à la liste des tacticiens africains qui ont décrocé le titre de champion d’Afrique.

La 34e édition de la compétition la plus prestigieuse d’Afrique s’est achevée le dimanche 11 février par une finale opposant qui a vu la Côte d’Ivoire, pays organisateur, s’imposer face au Nigeria 2-1 au stade olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé.

Cet exploit historique a été réalisé sous la direction avisée d’Emerse Fae, 40 ans, qui a succédé à Jean-Louis Gasset à la tête de l’équipe après que celle-ci a été sauvée en terminant parmi les troisièmes meilleures équipes de la phase de groupes.

Depuis l’édition inaugurale de la compétition en 1957, onze entraîneurs africains ont remporté le titre.

La première édition de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies a été remportée par Mourad Fahmy (Égypte), suivi par Charles Gyamfi (Ghana), qui détient le record du plus grand nombre de titres de la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies (3) avec Hassan Shehata (Égypte).

Sur les sept titres détenus par l’Egypte, cinq ont été obtenus sous l’égide d’un entraîneur local. Deux des trois titres ivoiriens ont été acquis par un tacticien africain : Martial Yeo (1992) et Emerse Fae (2024)

Abdelhamid Kermali a été le premier entraîneur à mener l’Algérie au succès continental en 1990, tandis que Djamel Belmadi, né en France mais qui a ensuite représenté les Fennecs entre 2000 et 2004 avant d’accéder au plus haut poste de sélectionneur de l’Algérie.

Parmi les autres entraîneurs africains qui ont mené leurs nations respectives à la gloire, citons Fred Osam Doudu (Ghana), Abdelhamid Kermali (Algérie), Clive Barker (Afrique du Sud), Mohamed Al Gohari (Égypte), Stephen Keshi (Nigeria) et Aliou Cissé (Sénégal).

Les sélectionneurs africains qui ont remporté la CAN

1957 – Mourad Fahmy (Égypte)

1963 – Charles Gyamfi (Ghana)

1965 – Charles Gyamfi (Ghana)

1978 – Fred Osam Doudu (Ghana)

1982 – Charles Gyamfi (Ghana)

1990 – Abdelhamid Kermali (Algérie)

1992 – Martial Yeo (Côte d’Ivoire)

1996 – Clive Barker (Afrique du Sud)

1998 – Mohamed Al Gohari (Egypte)

2006 – Hassan Shehata (Egypte)

2008 – Hassan Shehata (Egypte)

2010 – Hassan Shehata (Egypte)

2013 – Stephen Keshi (Nigeria)

2019 – Djamel Belmadi (Algérie)

2021 – Aliou Cissé (Sénégal)

2023 – E

merse Fae (Côte d’Ivoire)




La CENI reporte la clôture de dépôt des dossiers de candidature à l’élection des Sénateurs, Gouverneurs et Vice-gouverneurs de province au 1er mars 2024

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) porte à la connaissance de l’opinion publique que la clôture de la période de dépôt et de traitement des dossiers de candidature à l’élection des Sénateurs, Gouverneurs et Vice-gouverneurs de province initialement prévue le 16 février 2024 est reportée au 1er mars 2024.

La CENI invite les candidats indépendants, les partis et les regroupements politiques à mettre à profit cette prolongation pour soumettre leurs dossiers de candidature à temps.