Mercato 2023-2024 : Accord entre TPM et Zesco United pour le transfert de Tandi Mwape

Après sa participation à la 34ème édition de la CAN, Tandi Mwape ne reviendra pas au club comme prévu. Le polyvalent défenseur est cédé à Zesco United de la Zambie, suite à un accord entre les trois parties concernées.

Arrivé au club en 2019 en provenance des Kabwe Warriors, le joueur de 27 ans n’a pas été utilisé depuis le début de la saison suite à une blessure à la cuisse contractée lors de ses escapades en sélection. A quelques mois de la fin de son contrat, le TPM, Zesco United et Tandi Mwape se sont mis d’accord le jeudi 15 février pour le transfert du joueur.

Le TPM lui souhaite bonne chance pour la suite de sa carrière.




Stade de Kamalondo : Tribunes latérales, bancs de touche et salle de presse font peau neuve

Quand il s’agit de se conformer aux standards actuels voulus par les hautes instances, le TPM met le paquet. Son stade de Kamalondo va s’offrir un nouveau look dans certains compartiments, comme recommandés par les inspecteurs de la CAF lors de leur récente visite.

Les tribunes latérales vont faire peau neuve avec la rénovation des sièges qui seront dotés de dossiers. L’objectif est de permettre aux spectateurs de suivre le match avec aise.

Les deux bancs de touche mobiles s’élargissent désormais avec 23 places couvertes pour chaque équipe. Les sièges en cuir sont frappés du logo du TPM floqué, et entouré de huit étoiles. C’est là un respect de la nouvelle réglementation découlant de l’augmentation du nombre de personnes figurant sur la feuille de match. Entre les deux, un banc couvert et mobile au niveau du terrain avec des sièges pour les quatre officiels du match.

Bonne nouvelle également pour les professionnels des médias. La salle de conférence de presse du stade aura une nouvelle allure, avec plus de 35 sièges confortables, une estrade pour les caméras et des prises à micro pour rendre flexible le travail des représentants des médias.

Une transformation qui confirme la ferme volonté du chairman Moïse Katumbi de faire toujours du stade de Kamalondo une infrastructure moderne, répondant à toutes les exigences des hautes instances internationales, afin d’accueillir sans anicroche toutes sortes de rencontres sportives.

Les travaux de rénovation ont commencé depuis le lundi 12 février et prendront 15 jours pour l’installation des sièges dans les tribunes latérales et la salle de presse. Quant aux bancs de touche, ils seront opérationnels dès samedi 24 février lors de la réception de Pyramids FC à l’occasion de la 5ème journée de la Ligue des Champions.




Modeste Bahati salue Sama Lukonde, l’homme qui a pu bien faire son travail et qui a su mettre tout le monde d’accord

Le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde a reçu, ce samedi 17 février 2024, dans son cabinet de travail, à la Primature, le bureau du Sénat conduit par son président, l’honorable Modeste Bahati Lukwebo. Cette institution de la République est venue témoigner de tout cœur et de vive voix son appréciation au Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde pour la franche collaboration qui a existé entre le gouvernement de la République qu’il conduit et le Sénat dans un microcosme politique composite. Mais pas seulement. C’est aussi pour ses qualités de rassembleur, son humilité, sa fidélité dans la vision du Chef de l’État, et pour l’atteinte des objectifs. Bref, pour le bon travail accompli.

” Nous n’avons jamais connu un si bon Premier Ministre, qui a pu bien faire son travail et qui a su mettre tout le monde d’accord”, a dit le président du Sénat devant la presse au sortir de cette rencontre.

” Le bureau du Sénat de la République a tenu à rendre visite au Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge pour d’abord noter avec le bureau que nous avons apprécié la franche collaboration qui a existé entre le gouvernement de la République qu’il conduit et le Sénat, surtout, lorsqu’on sait que notre microcosme politique est composite. Et donc, nous avons apprécié d’abord son souci de rassembler. Il est conciliant. C’est quelqu’un qui a de l’humilité. Et, c’est ce genre de Premier Ministre dont nous avons besoin. Il a tout fait pour que les objectifs que le gouvernement s’était fixé soit accomplis, en tout cas poursuivis et, dans la vision du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Comme vous le savez, le Premier Ministre, c’est le chef de la majorité. Et, il doit se sentir fier, aujourd’hui, que grâce au travail qu’il a abattu, cette majorité s’est renforcée après les élections combinées du 20 décembre 2023, qui ont vu notre président être réélu, qui ont vu une majorité confortée, et qui, aujourd’hui, compte à peu près 450 députés nationaux, et qui est fortement majoritaire dans les Assemblées provinciales. Tout cela parce que le chef de la majorité, grâce à ses méthodes de gestion et de bonne gouvernance et grâce à ses capacités de concilier les points de vue des uns et des autres, il a pû atteindre ces résultats-là. Et nous, en tant que Sénat, qui représentons les provinces, nous nous sommes dit que nous devons aller féliciter le Premier Ministre, qui, aujourd’hui, est aussi élu comme député national. Nous l’en félicitons.

Mais également, nous nous sommes dits que si nous ne le disons pas, personne d’autre ne le dira. Nous sommes là pour lui témoigner de tout cœur notre appréciation. Nous n’avons jamais connu un si bon Premier Ministre, qui a pu bien faire son travail et qui a su mettre tout le monde d’accord. Voilà l’objet de notre visite aujourd’hui à la Primature”, a conclu le président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo.

Il est important de souligner que le président du Sénat a remis un cadeau au Premier Ministre, précisant que c’est en signe de collaboration institutionnelle, mais aussi pour les loyaux services que ce dernier a rendus à la nation congolaise.




Halte aux rumeurs sur l’arrestation de Julien Paluku

Au sortir de la conférence avec tous les érudits scientifiques sur les 18 ans de notre Constitution organisé au Palais du Peuple ce samedi 17 février 2024 de 10h à 18h, des messages pleuvent dans mes téléphones sur une prétendue arrestation, écrit Julien Paluku, ministre de l’Industrie sur son compte X.

Il a profité de cette occasion pour dénoncer cet acharnement, depuis quelques jours, sur sa personne. « Et les laboratoires qui s’y prennent sont en voie d’être identifiés. Ils trouveront Julien Paluku, toujours prêt à défendre la République contre les forces de déstabilisation qui se sont trompées de cible », dit-il.

« Merci à vous tous qui m’ont cherché pour l’amour et la considération. Mes téléphones étaient sous mode silencieux vu la pertinence de la thématique », affirment-ils, avant de rassurer : « toujours droit, imperturbable et défenseur des acquis de la République, je le demeure. Halte à l’intox sur ma personne. Je comprends entre les lignes que Dieu et les hommes épris de paix devront veiller sur ma sécurité ».




Conférence- débat sur les 18 ans d’existence de la constitution: Julien Paluku propose la révision constitutionnelle pour faire de la décentralisation un instrument de développement de la Rdc

Paneliste à la conférence-débat sur les 18 ans d’existence de la constitution de la République Démocratique du Congo organisée ce samedi à Kinshasa au Palais du peuple par l’Institut pour la Démocratie, la Gouvernance, la Paix et le Développement de l’Afrique-IDGPA, Julien Paluku Kahongya, ministre de l’Industrie, ancien Gouverneur du Nord-Kivu pendant 12 ans, expert en Décentralisation et Doctorant en Sciences Politiques et Administratives à l’Université de Kinshasa a développé aux côtés des éminents professeurs d’universités le thème : “Regard politologique sur la Constitution de la RDC: Une Décentralisation piégée ?”

Puisant dans son expérience dans la territoriale, Julien Paluku Kahongya préconise la révision constitutionnelle pour faire de la Décentralisation un instrument de développement de la République Démocratique du Congo pour ainsi corriger les faiblesses enregistrées pendant 18 ans passés.

« Il m’a été demandé de porter un regard politologique sur la constitution du 18 février 2006 pour voir si cette constitution n’a pas piégé elle-même la décentralisation qu’elle estime faire son mode de gestion. Notre exposé part du fait que la constitution participe à la construction de l’Etat. Est-ce que la constitution n’a pas participé à la destruction de l’Etat ? Est-ce qu’on ne doit pas passer à la tropicalisation de cette constitution ? Il y a trois mots qui rongent les institutions de la République. Le premier mal, c’est la myopie institutionnelle qui fait référence au Gouvernement qui ne veut pas voir loin pour anticiper ce qui doit arriver », dit-il.

Le 2èmal, poursuit Julien Paluku, c’est la précipitie institutionnelle qui fait référence au Parlement qui, dans son contrôle, ne s’inscrit pas dans la dynamique de changement et de développement. Le 3ème mal, le cartenisme institutionnelle qui fait référence à la justice qui voit du blanc là où il y a du noir. Notre exposé démontre les monstres que la constitution a créés pour que la décentralisation ne fonctionne pas très bien. Le premier monstre, c’est le télescopage administratif ou financier.

De son côté, le Professeur André Mbata, Directeur Exécutif de l’IDGPA a plaidé pour la réexamination de cette loi fondamentale en tenant compte de ses forces et faiblesses.

Pour éviter les coups d’Etat institutionnels et militaires, il faut bien organiser la gouvernance au pays a fait entendre le Professeur Jean-Luc Esambo. Au Professeur Jacques Ndjoli de renchérir qu’il faut opérer la réelecture et la réécriture de la constitution actuelle, fruit d’un compromis ou de sortie de crise.

Pour terminer, le Professeur Isdore Ndaywel a quant à lui insisté sur la mise place d’une commission pluridisciplinaire pour évaluer la constitution de février 2006. Il en a profité pour fustiger le procès d’intention des gens qui parlent d’un agenda caché entretenu par une main politique invisible pour raviser cette constitution.

 

 

CELLULE DE COMMUCATION ET PRESSE




37eme sommet de l’UA: Lula Da Silva interpelle les Africains 

Une quarantaine des chefs d’État et de gouvernement participent depuis ce samedi aux travaux de la 37eme session de l’Assemblée générale des chefs d’État et de gouvernement de l’Union Africaine, parmi lesquels le chef de l’État congolais Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par les traditionnelles prises de parole. Intervenant en premier, le président de la commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat a peint un tableau peu reluisant de la situation sécuritaire, humanitaire et politique dans le continent.

Moussa Faki s’est dit préoccupé par l’aggravation de la crise dans l’Est de la RDC. Il s’est par ailleurs réjouit de la mise en marche, quoi qu’à un faible rythme de la zone de libre-échange continental (ZLECAF).

Invité à ce sommet, la Palestine par la voix de son premier ministre a saisi l’occasion pour solliciter l’assistance de l’Afrique dans la guerre avec l’Israël.

Invité spécial du 37 e sommet de l’UA, le président du Brésil, Lula Da Silva a livré in message fort aux africains.

Lula Da Silva tient à un partenariat stratégique privilège avec l’Afrque. Plus de 60% des brésiliens se considèrent agri-descendants, a-t-il dit. « Nous avons une dette historique de 300 ans avec l’esclavage et la seule manière de la payer, c’est avec notre solidarité et le partage » a conclu Lula.

Au cours de cette séance d’ouverture, le président en exercice sortant Azali Assoumani a cedé son fauteuil de présidence annuelle tournante à son homologue de Mauritanie Mohamed Ould Ghazouani.




Le mini-sommet sur la Rdc s’est clôturé en format bilatéral

Le mini-sommet des chefs d’Etat sur la situation sécuritaire à l’Est de la Rdc s’est poursuivi ce samedi dans un format bilatéral.

Le médiateur et organisateur du sommet Joao Lourenco a rencontré séparément les présidents Felix Tshisekedi et Paul Kagame.

Le président Lourenco a fait savoir qu’il va poursuivre sa médiation auprès de chacun des protagonistes à Luanda dans le même format bilatéral séparé afin de convenir d’une issue favorable à cette question.

Initialement prévus pour deux heures ce vendredi, les travaux du mini-sommet d’Addis-Abeba sur la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC se poursuivront ce samedi après la cérémonie d’ouverture de la 37ème assemblée générale des chefs d’État et de gouvernement de l’Union Africaine.

La journée a été marquée par les prises de parole des présidents Felix Tshisekedi et Paul Kagame dans une séance à huis clos. Aucune communication publique n’a été faite en dehors de l’annonce de suspension des travaux.

Tous les participants sont unanimes quant à la montée de tension entre les deux protagonistes. Basé sur du factuel, l’exposé du président Tshisekedi a clairement désigné le régime du Rwanda comme instigateur et responsable de l’insécurité et du pillage des richesses congolaises.

Comme à l’accoutumée, la partie rwandaise a développé sa rhétorique génocidaire. Il n’y a pas eu de poignée de mains ni photo de famille à cette journée inaugurale.




Agression de la Rdc: La NSCC formule 5 recommandations au Gouvernement congolais

Dans un communiqué publié ce 18 février 2024, la NSCC annonce l’organisation des matinées d’éveil patriotique et de prise de conscience nationale en vue d’établir un fichier des pays qui apportent leur soutien au Rwanda dans la déstabilisation et pillage des ressources de la RDC et dresser la liste de leurs produits commerciaux sur le sol congolais en vue d’en tirer conséquences économiques.

La « Nouvelle Société Civile Congolaise » (NSCC) suit avec inquiétude l’évolution de la situation sécuritaire dans la partie Est de la RDC en proie des violences d’une rare cruauté inhumaines et l’organisation du mini-sommet tenu à Addis-Abeba, capitale de l’Ethiopie ce 17 Février 2024 sur initiative du Président angolais, Joao Lorenzo en marge du 37ème Sommet de l’Union Africaine.

La NSCC note que depuis trois décennies, la paix de la population dans la partie orientale du pays reste troublée en permanence par les pays voisins, le Rwanda et l’Ouganda qui tentent d’instrumentaliser certains mouvements subversifs et terroristes dit M23 et autres, cela sous l’œil complaisant et complice de la Communauté Internationale.

Par ailleurs, l’implication satanique du Rwanda et de l’Ouganda documentée dans plusieurs rapports des Experts de Nations Unies dans l’entretien de l’insécurité et le pillage des richesses de la RDC devient de plus en insupportable et interpelle plus d’une conscience nationale. Cette situation d’injustice ne doit pas demeurer longtemps ainsi, la RDC est victime d’un vaste complot international organisé par les multinationales impliquées dans l’approvisionnement illégal des minerais du sang des innocents congolais pillés par le Rwanda via Kigali.

Les 5 engagements de la NSCC

Pour toutes raisons et en vertu de l’article 63 de la Constitution, alinéa 1 « Tout congolais a le droit et le devoir sacré de défendre le pays et son intégrité territoriale face à une menace ou une agression extérieure », la NSCC entend jouer sa part :

1. Elle apporte son soutien total au Président de la République Démocratique du Congo dans sa volonté de ne jamais négocier avec les marionnettes M23 quel qu’en soit le prix à payer et l’exhorte à prendre langue avec d’autres pays amis pouvant aider la RDC dans son combat pour la sauvegarde de l’unité du pays et l’intégrité de son territoire, sous peine de haute trahison (Cfr. Art 63 de la Constitution alinéa 3).

2. Elle exige du Gouvernement de la RDC la fermeture de nos frontières, de nos ambassades et la rupture des relations diplomatiques avec le Rwanda et l’Ouganda.

3. Demande au Gouvernement de la RDC de cesser toute coopération avec les Forces touristes de mutualisation ougandaises ainsi que celles de l’EAC et d’exiger leur départ sans délai du sol congolais.

4. Elle appelle à la mobilisation générale du peuple congolais à travers les manifestations pacifiques de soutien aux FARDC en disant non à l’hypocrisie complice de la Communauté internationale et dénoncer leur soutien au Rwanda. Un vibrant appel est lancé à toutes les forces vives de la nation pour la réussite des matinées d’éveil patriotique et manifestations pacifiques. Commerçants, étudiants, élèves, confessions religieuses toutes tendances confondues, mouvements citoyens, partis politiques majorité et opposition, autorités traditionnelles, enseignants, syndicats, mouvements des droits des femmes, journalistes, professeurs d’universités, ordres professionnels, ONG des droits de l’homme, association des wewa (motards), associations des jeunes, etc. Réveillons-nous l’heure est grave, sauvons notre alma mater.

5. Enfin, la NSCC annonce à l’opinion publique qu’elle prendra une initiative dans un avenir proche d’organiser des tribunes d’expression populaire d’éveil patriotique et de prise de conscience nationale en vue d’établir un fichier des pays qui apportent leur soutien au Rwanda dans la déstabilisation et pillage de ressources de la RDC et dresser la liste de leurs produits commerciaux sur le sol congolais en vue d’en tirer conséquences économiques en pareille circonstance. A ce sujet, les inscriptions se prendront au Siège National de la NSCC ou dans nos bureaux provinciaux à partir du 20 au 28 février 2024.




PALU : les nouvelles autorités du parti présentées aux militants 

Le Parti Lumumbiste Unifié, PALU, passe à la vitesse supérieure, après la tenue de son 3 ème Congrès extraordinaire qui a eu lieu au mois de janvier dernier. Ce samedi 17 février, à la 4 ème rue Limete industriel à Kinshasa, une matinée politique a été organisée avec comme objectif, la présentation de nouvelles autorités qui vont présider à la destinée du parti.

Le nouveau leadership a été salué par l’ensemble de militants et militantes qui pensent que le parti connait cette fois-ci un vent nouveau qui permettra à récupérer sa place datant dans l’espace politique de la République Démocratique du Congo.

A en croire Robert Ngambi, le Palu d’Antoine Gizenga se refait sa santé politique avec tous les animateurs de tous les organes du parti nommé par le secrétaire général et chef du parti Didier Mazenga.

“L’intérim a été confié au secrétaire général adjoint avec mission d’organiser un congrès extraordinaire pour combler le vide. Le congrès a été tenu au mois de janvier dernier et ce congrès a élu un secrétaire général chef du parti, le camarade Didier Mazenga Mukanzu. L’activité d’aujourd’hui a tenu à présenter les nouvelles autorités du parti en commençant par le secrétaire général chef du parti”, a expliqué Robert Ngambi, porte parole du parti.

Pour lui, il n’y a pas plusieurs Palu. Il a par ailleurs souligné que le siège de la 4 ème rue là où s’est tenue l’activité a été bel et bien occupé.

Il faut rappeler cette matinée matinée est une première depuis la tenue du congrès extraordinaire de ce parti.

 

Jomik




Envoyé spécial du président Félix Tshisekedi: Didier Mazenga présente au président Mahamat Idriss Deby Itno le rapport à mi-parcours de sa mission de facilitation  

Le Président de Transition, le Général Mahamat Idriss Deby Itno a reçu en audience ce vendredi 17 février 2024, une délégation de la Communauté Économique des États d’Afrique Centrale (CEEAC), conduite par Me , ministre congolais du Tourisme et Envoyé Spécial du Facilitateur désigné de la CEEAC pour la transition au Tchad, le Président de la RDC, él– .

La délégation a rencontré le Chef de l’Etat Tchadien pour lui transmettre le rapport à mi-parcours de sa mission de facilitation et lui présenter le contenu de l’accord ayant permis le retour au pays du Président du Mouvement National pour le Changement au Tchad (MNCT), , en exil depuis une année.

Peu après, la délégation a regagné Kinshasa, dans un vol spécial affrété par le président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.