Taekwon-do ITF: Ce qu’a été la poursuite du séminaire animé par trois experts de la Fédération internationale

Démarré vendredi 16 février 2024 dans la matinée au terrain annexe du Stade des Martyrs, le séminaire qu’animent Michaël Ditrich, Président de la Fédération Belge de Taekwon-do I.T.F, son fils Me Konstantin Ditrich, entraineur de l’équipe nationale belge de taekwon-do I.T.F et Me O’Brien Ruain de la Fédération Irlandaise de Taekwon-do I.T.F et chef technique de la mission, tous trois experts de la Fédération Internationale de Taekwon-do I.T.F, s’est poursuivi normalement.

En effet, le même vendredi dans la soirée et hier samedi 17 février 2024 au Congo Loisirs en deux vacations. Et ce dimanche 18 février 2024 au Congo Loisirs. Il est prévu de 10h00 à 13h00 : entrainement avec les experts. Sont concernés : athlètes de l’équipe nationale, le coach national, le coach national adjoint et les entraineurs provinciaux. Clôture et fin du séminaire.

Il faudra noter que ces trois experts sont invités par la Fédération de Taekwon-Do du Congo ITF ‘’FETAECO/ITF’’ que préside Me Willy Makengo pour exploiter 3 modules pendant le séminaire, à savoir :

-1er module dont : les techniques de base

-2è module dont : les techniques de compétition et

-3è module dont : les formes de combat contre plusieurs adversaires que l’on appelle communément les TULS ou Patterns (les japonais les désignent par le terme ‘’Katas’’.

Le vendredi16 février 2024, la séance d’entrainement au terrain annexe du stade des martyrs dans la soirée s’était focalisée sur les Tulls. En dépit de la pluie qui s’était déversée dans la ville, les trois experts et les pratiquants ITF ceux des clubs de la capitale porteurs de la ceinture bleue et les grades supérieurs et quelques-uns venus des provinces de la RDC, avaient poursuivi sous la pluie.

 

Antoine Bolia




Contentieux des résultats à la Cour constitutionnelle: Tirs croisés des députés fraudeurs contre les juges de la Haute Cour

Des rumeurs mal ficelées, généralement fruits des personnes mal intentionnées, sont distillées à longueur des journées dans l’opinion publique en générale et congolaise en particulier depuis un certain temps, citant quelques juges de la Cour constitutionnelle, qui auraient perçu des sommes colossales pour donner des sièges aux candidats non élus, en remplacement des vrais élus.

Selon les mêmes auteurs de cette désinformation, le plan serait de perturber la majorité de l’Union sacrée de la nation, car des conflits naîtront de ce jeu. Le pire dans cette affaire serait, selon les mêmes fake news, un leader des groupes armés qui agressent le pays dans l’Est serait cité dans le transfert de fonds probablement fournis par le Rwanda, pour chambouler la majorité de l’USN. Et le comble serait que tous les députés qui haussaient le ton contre l’agression rwandaise, sont des cibles principales visées par le serial killer Paul Kagame.

A la lecture de toutes ces fausses nouvelles, des sources proches de la Cour constitutionnelles rejettent en bloc ces informations dénuées de tout fondement logique, et qui semblent être le fait des candidats députés fraudeurs et fausseurs non autrement identifiés.

En effet, des députés fraudeurs qui savent qu’ils sont mal positionnés, et qu’ils ne l’emporteront pas devant les juges de la Cour constitutionnelle, veulent malheureusement manipuler l’opinion en leur faveur. Une recette périmée qui ne passera plus devant l’équipe de juges conduite par Dieudonné Kamuleta, président de la Cour constitutionnelle et du Conseil supérieur de la magistrature.

En réalité, ceux qui sont à la base de ces fausses nouvelles sont des gens qui reçoivent régulièrement des financements venus du Rwanda de Paul Kagame, mais qui veulent ternir l’image de marque des juges de la Cour constitutionnelle et provoquer leur désaveu au niveau de l’opinion tant nationale qu’internationale.

Ces Congolais qui ont vendu leurs âmes à Kagame voudraient tout simplement salir l’image de la République démocratique du Congo en faisant circuler une fausse information selon laquelle l’argent utilisé pour corrompre les juges de la Haute cour vient du Rwanda.

Il est vrai que tous les juges de la Cour constitutionnelle sont des hommes intègres et aucun d’eux n’est en contact avec le monde extérieur. Il nous revient de nos fins limiers que pendant tous ces temps, les juges de la Haute cour évitent tout contact avec le monde extérieur.

« A voir la manière dont le président Dieudonné Kamuleta est en train de conduire les débats, tout porte à croire que le contentieux électoral est bien géré en toute responsabilité dans le respect des règles de l’art et des droits de la défense », affirment-ils.

C’est dans ce contexte que plusieurs voix s’élèvent pour demander à la population congolaise de laisser à tout le monde exprimer ses points de vue devant la Cour constitutionnelle. Rien ne sert d’intimider ou de déstabiliser les juges de la Haute cour pour les empêcher d’examiner le fond des dossiers. Et ce, d’autant qu’il n’appartient pas à la Cour d’entrer dans le jeu des politiciens.




Une comédie dramatique : Douche froide pour Benbetouche

Face à la manipulation grossière tentée par le chef de la milice séparatiste du Polisario, Brahim Ghali, qui fanfaronne avec une soi-disant visite à Dublin, les autorités irlandaises ont dû exposer le mensonge du « Polisario ». Par une Déclaration claire et sans ambiguïté, diffusé son Ambassade à Rabat, l’Irlande met fin à cette tentative de manipulation.

La présence en Irlande du chef de la milice séparatiste du polisario était de nature « privée », et non pas « officielle » comme le prétend la propagande séparatiste.* La Déclaration officielle de l’Irlande affirme : « La visite des représentants du Front Polisario en Irlande la semaine dernière était une visite privée ». Elle est organisée par une micro association pro-polisario active en Irlande. Le Gouvernement irlandais n’est, en aucune manière impliqué ou responsable de cette activité, qu’il n’a d’ailleurs pas autorisée.

Les séparatistes n’ont été reçus par aucun membre du gouvernement irlandais.* La Déclaration officielle de l’Irlande, telle que diffusée par son Ambassade, le dit avec un flegme acerbe : la visite des séparatistes « n’était pas basée sur une invitation officielle ». Malgré leurs demandes insistantes et l’appui de leurs relais, les séparatistes n’ont eu aucun entretien – ni officiel ni officieux – avec le Premier ministre irlandais Leo VARADKAR ou ses Services, ni avec le Ministre des Affaires étrangères Micheal Martin.

Les agents de la milice séparatiste n’ont pas été reçus par le pouvoir législatif irlandais, non plus.* Les Présidents des deux Chambres, ainsi que le Président de la Commission mixte des Affaires étrangères, ont refusé de les recevoir. Seuls certains parlementaires sympathisants et relais du groupe séparatiste les ont été reçus, à titre personnel – et non pas au nom du Parlement.

La position de l’Irlande sur la question du Sahara marocain est non seulement inchangée, mais elle a été clarifiée et réaffirmée.* La Déclaration officielle de l’Irlande, diffusée par l’Ambassade irlandaise, affirme que : « L’Irlande ne reconnait pas » la pseudo « rasd ».

L’Irlande, qui ne reconnaît pas et n’a jamais reconnue la pseudo « rasd », maintient une posture constructive*. Cette position, telle que définie par le Gouvernement irlandais, est réaffirmée dans la déclaration officielle irlandaise d’aujourd’hui : « la position de longue date de l’Irlande sur le Sahara Occidental est un soutien total au processus mené par les Nations Unies et aux efforts du Secrétaire Général pour parvenir à un règlement politique définitif et mutuellement acceptable sur cette question ».




L’Ambassade des Etats-Unis en Rdc rejette toutes les allégations de soutien au M23 et au Rwanda

Les manifestations ayant visé ces derniers temps la Monusco et certaines représentations diplomatiques en Rdc, notamment celle des Etats-Unis d’Amérique, fustigeant le soutien de certaines puissances à l’agression du M23, se sont basées, dans la grande majorité, sur la désinformation. Et pourtant, tout porte à croire que Washington n’est plus de mèche avec le régime de Kagame qu’il a du reste sanctionné, en lui privant de sa manne financière. De même, des responsables du M23 sont sanctionnés et les Etats-Unis ne voient aucun intérêt de soutenir un groupe terroriste qu’ils ont eux-mêmes sanctionnés.

Désinformation : Les États-Unis soutiennent le M23

Réalité: Au contraire. Nous appelons tous les groupes armés non étatiques, y compris le M23 sanctionné par les États-Unis, à cesser les hostilités et à déposer les armes, et nous avons appelé ouvertement et à plusieurs reprises le Rwanda à mettre fin à son soutien au M23. Nous avons été les premiers à le faire. Le M23 a commis de multiples violations des droits de l’homme et atteintes au droit humanitaire international, notamment des viols et des exécutions sommaires de civils. Nous le condamnons de la manière la plus absolue.

Les États-Unis ont sanctionné le M23 en janvier 2013 pour avoir commis des crimes graves impliquant le ciblage d’enfants dans le conflit en RDC, y compris le recrutement ainsi que des meurtres, des mutilations et des violences sexuelles.  Le M23 a également été désigné pour avoir reçu des armes et du matériel lié à des activités militaires qui contribuaient directement au conflit à cette époque. Nous continuons de mettre en œuvre et d’étendre les sanctions et les restrictions à l’encontre des principales figures du M23, y compris, plus récemment, à l’encontre du porte-parole militaire Willy Ngoma en décembre 2023 et du commandant adjoint des opérations et du renseignement Bernard Byamungu en août 2023.

« Nous condamnons le M23, soutenu par le Rwanda, qui fait l’objet de sanctions américaines depuis 2013 ». – Ambassadeur Lucy Tamlyn, février 2024

« Le secrétaire d’État Blinken et le président Tshisekedi ont discuté de l’importance et de l’urgence du retrait et du désarmement du M23, conformément au communiqué de Luanda». – Compte rendu de l’appel du secrétaire d’État Blinken avec le président Tshisekedi, mai 2023

« Le secrétaire d’État Blinken a clairement indiqué que tout soutien extérieur aux groupes armés non étatiques en RDC doit cesser, y compris l’aide du Rwanda au M23, un groupe armé qui a été désigné par les États-Unis et les Nations unies ». – Compte-rendu de l’appel du secrétaire d’État Blinken avec le président Kagame, décembre 2022.

Désinformation: Les États-Unis imposent au gouvernement congolais des négociations avec le M23.

Réalité: Les États-Unis ne peuvent pas forcer la RDC ou tout autre pays du monde à négocier. Nous travaillons quotidiennement avec nos partenaires du gouvernement congolais pour trouver la meilleure solution de paix, et toute solution doit être approuvée et soutenue par eux. Nous continuons à soutenir les efforts de médiation menés par le président angolais Joao Lourenço et l’ancien président kényan Uhuru Kenyatta, dans le cadre des processus de Luanda et de Nairobi, pour résoudre les tensions régionales dans l’est de la RDC.

Désinformation: Les États-Unis ne veulent pas que les FARDC défendent leur territoire.

Réalité: Nous avons dit à plusieurs reprises que nous respectons et réaffirmons le droit souverain de la RDC à défendre son intégrité territoriale et son peuple face aux menaces internes et externes. Nous pensons toutefois que la crise dans l’est du pays exige une solution politique et non militaire. La poursuite des combats ne fera qu’exacerber une grave crise humanitaire et entraînera de nouvelles pertes en vies humaines. Nous pensons que la meilleure voie vers la paix est que toutes les parties s’engagent pleinement à respecter les accords conclus dans le cadre des récents processus de médiation régionale. À cette fin, les États-Unis restent concentrés sur la désescalade de la violence dans l’est de la RDC et utiliseront tous les outils diplomatiques disponibles pour isoler et condamner ceux qui sapent la paix et la sécurité dans l’est de la RDC.

Désinformation : Les États-Unis soutiennent les actions du Rwanda en RDC.

Réalité: Les États-Unis ont appelé publiquement et à plusieurs reprises le Rwanda à mettre fin à son soutien au M23 et à retirer toutes les troupes des forces armées rwandaises du territoire de la RDC. En septembre 2023, les États-Unis ont inscrit le Rwanda sur la liste du Child Soldiers Prevention Act (qui est une Loi sur la prévention des enfants soldats) pour son soutien au M23, un groupe armé qui recrutait et utilisait des enfants soldats. Cette désignation limite l’aide américaine à la sécurité et les licences pour les ventes commerciales directes d’équipements militaires.

« Le gouvernement de la République démocratique du Congo se félicite vivement des sanctions que le gouvernement américain vient d’infliger au Rwanda pour son soutien au groupe terroriste M23 et à l’un de ses hauts fonctionnaires impliqués dans l’aventure criminelle au Congo». – Président Félix Tshisekedi dans son allocution à l’Assemblée générale des Nations-unies à New York, septembre 2023.

« Ne suivez pas ce qui se dit sur les réseaux sociaux. Les États-Unis étaient le premier à indexer le Rwanda comme étant le pays qui agresse la RDC». – ministre de l’Intérieur Peter Kazadi, lors d’une conférence de presse à Kinshasa, février 2024.

Désinformation : Les États-Unis soutiennent la « balkanisation » de la RDC.

Réalité: La politique officielle des États-Unis est de respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC.  Il s’agit d’un élément essentiel pour rétablir la paix dans l’est du pays et il n’y a pas d’ambiguïté de notre part à ce sujet.

Désinformation : Les États-Unis ne se préoccupant pas de l’est du pays.

Réalité: Les États-Unis travaillent avec les partenaires congolais et régionaux pour mettre un terme à la violence dans l’est de la RDC. C’est une priorité pour nous. La visite de la directrice du Renseignement national, Avril Haines, à Kinshasa en novembre 2023 et les conversations régulières entre les responsables gouvernementaux américains et le président Tshisekedi en sont une preuve éloquente. Nous continuerons à utiliser nos capacités de renseignement et nos ressources diplomatiques pour surveiller et impliquer toutes les parties dans la poursuite de cet objectif. Nous condamnons les violences qui ont fait tant de morts, de blessés et de déplacés et nous pensons que les auteurs de ces actes doivent être tenus pour responsables. Les États-Unis restent également le plus grand donateur d’aide humanitaire en RDC, la majorité de notre aide étant destinée aux populations de l’est du pays.

Désinformation : Les États-Unis ne font rien pour la sécurité de la RDC.

Réalité: L’ambassade des États-Unis finance chaque année des projets d’assistance militaire et de formation militaire professionnelle pour les officiers et les soldats des FARDC. Nous menons également des efforts pour former et équiper des centaines de policiers et construire des infrastructures telles que des postes de police, avec des puits d’eau ouverts aux communautés environnantes.

Désinformation : Les Etats-Unis ne font rien pour la RDC.

Réalité: Les États-Unis sont de loin le plus grand bailleur de fonds de la RDC. L’aide américaine n’est pas toujours visible, mais elle a un impact considérable. Par exemple, dans le secteur de la santé, nous avons fourni des tests de dépistage du VIH à plus de 5 millions de Congolais et administré un traitement vital à plus de 200 000 personnes. Nous poursuivons nos efforts dans de nombreux domaines – notamment la promotion du commerce et des investissements, la fourniture d’une assistance sanitaire vitale, la protection de l’environnement et l’amélioration de la qualité de l’éducation – lesquels profitent à nos deux peuples.

Désinformation : Les États-Unis ne s’intéressent qu’aux minerais de la RDC.

Réalité: Le renforcement des liens commerciaux est l’un de nos nombreux objectifs. Dans le secteur minier, notre but est de stimuler les investissements du secteur privé américain en RDC afin de développer les ressources d’extraction minière d’une manière qui soit responsable sur le plan fiscal, qui profite aux communautés locales et qui respecte les meilleures pratiques en matière de transparence et de protection de l’environnement. Nous soutenons les systèmes et les investissements qui permettront à la RDC d’ajouter de la valeur à ses ressources minières – et pas seulement d’exporter des matières premières – afin que les mineurs et les communautés locales tirent profit de leur travail. Nous soutenons également une série de programmes visant à lutter contre le commerce illégal de minerais en RDC qui menace la paix, la sécurité et la stabilité dans la région des Grands Lacs.

Désinformation : Les Etats-Unis veulent perpétuer l’instabilité dans l’Est pour que les entreprises américaines puissent avoir accès aux ressources minières de la RDC.

Réalité: Les entreprises américaines ne sont pas en mesure d’investir dans l’est de la RDC précisément à cause de l’instabilité. Le gouvernement américain cherche activement à rétablir la stabilité parce qu’elle attirera des investissements responsables comme ceux des entreprises américaines qui apportent des emplois, de bons salaires, de la formation, du développement de compétences et de l’innovation technologique tout en contribuant à la croissance des communautés qui les accueillent.




Sahara : La gifle magistrale de l’Irlande au Polisario

Une ferme et claire mise au point officielle de l’Irlande a mis un terme à la tentative d’instrumentation par le chef du Polisario, Brahim Ghali, de sa récente visite à Dublin.

Douloureux camouflet en effet pour la milice des séparatistes et son chef, dont la propagande mensongère, faisant croire à son accueil officiel par les responsables irlandais -et donc à un supposé changement de position de l’Irlande concernant la question du Sahara- a été stoppée net.
C’est une Déclaration officielle de l’Irlande, dont s’est chargée son Ambassade au Maroc qui a apporté des démentis on ne peut plus clairs aux allégations du chef de la milice de Tindouf.
D’abord, contrairement à ce que prétend la propagande séparatiste, la Déclaration officielle irlandaise affirme : « La visite des représentants du Front Polisario en Irlande la semaine dernière était une visite privée ».
Le Reporter a, par ailleurs, appris de sources présentes à Dublin que cette visite a été organisée par une micro Association pro-polisario active en Irlande.
Ainsi, le Gouvernement irlandais n’est en aucune manière impliqué ou responsable de cette activité, qu’il n’a pas autorisée.
Les séparatistes n’ont été reçus par aucun membre du gouvernement irlandais.
La Déclaration officielle de l’Irlande diffusée par l’Ambassade, dit ceci : la visite des séparatistes « n’était pas basée sur une invitation officielle ».
Selon nos sources, malgré leurs demandes insistantes et l’appui de leurs relais, les séparatistes n’ont eu aucun entretien, ni officiel ni officieux, avec le Premier ministre irlandais Leo Varadkar ou ses Services, ni avec le ministre des Affaires étrangères Micheal Martin.
Quant aux Présidents des deux Chambres et le Président de la Commission mixte des Affaires étrangères, ils ont refusé de les recevoir !
Seuls, certains parlementaires sympathisants et relais du groupe séparatiste les ont été reçus, mais à titre personnel et en aucun cas au nom du Parlement.
Enfin, le Polisario reçoit une gifle magistrale.
La position de l’Irlande sur la question du Sahara est non seulement inchangée, mais elle a été clarifiée et réaffirmée. La Déclaration officielle diffusée par l’Ambassade irlandaise, dit clairement que : « L’Irlande ne reconnait pas » la « rasd ».
Et Dublin d’ajouter : «la position de longue date de l’Irlande sur le Sahara Occidental est un soutien total au processus mené par les Nations Unies et aux efforts du Secrétaire Général pour parvenir à un règlement politique définitif et mutuellement acceptable sur cette question ».
Usant de son habituel cocktail de « Manip » et d’ »intox », le Polisario a cru pouvoir tromper l’opinion publique en manipulant l’Irlande. Son insolente utopie tourne au cauchemar avec les cinglants démentis de l’Irlande.
LR




Démasqué par la dénonciation mondiale du génocide silencieux des congolais: Kagame saisit le Conseil de sécurité par diversion !

En date du 16 février 2024, dans une lettre adressée à Carolyn Rodrigues-Birkett, Présidente du Conseil de Sécurité de l’ONU, Vincent Biruta, ministre rwandais des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale, s’oppose au soutien de la Mission de l’ONU pour la stabilisation en RDC (MONUSCO) à la Force de la SADC, présente dans l’est de la RDC, et a saisi officiellement le Conseil de Sécurité de l’ONU. Rappelant que le Conseil de sécurité avait demandé à la MONUSCO d’étudier la possibilité de fournir un soutien logistique et opérationnel limité à la Force de la SADC, le diplomate rwandais a demandé au Conseil de Sécurité de ne pas aggraver le conflit dans l’Est de la Rdc en ne révisant pas la demande de soutien logistique et opérationnel à la coalition menée par les FARDC. En outre, le ministre rwandais a dénoncé la durée du conflit dans la région, imputant la faute à la communauté internationale pour avoir négligé les causes profondes du conflit. Dans une tentative pour occulter la vague mondiale des dénonciations du silence mondiale face aux atrocités et massacres perpétrés par l’armée rwandaise dans l’Est de la RDC, le Rwanda accuse donc la communauté internationale. 

Le ministre rwandais a prévenu que le soutien logistique et opérationnel de l’ONU à la SADC encouragerait la RDC à chercher une solution militaire plutôt qu’une solution négociée et pacifique de la crise. Ce qui fait échos au message, le même 16 février 2024, de l’ancien Chef de l’Etat sud-africain Thabo Mbeki, (dont le pays est membre de la SADC), affirmant que la solution au conflit RDC-Rwanda est politique.

Biruta a alerté sur les risques de l’initiative de la MONUSCO, notamment la remise en cause de toute solution pacifique de la crise, la recrudescence de violences ethniques et le danger de conflit régional.

Le Rwanda considère que la SADC manque de neutralité et l’accuse de comprendre, entre autres, les FARDC, la MONUSCO, l’armée burundaise et les rebelles hutus rwandais des FDLR.

Selon un natif du Nord-Kivu réfugié au Burundi, ses allégations relèvent de la diversion car, « dans sa haine du hutu, Kagame considère tout congolais non-tutsi comme FDLR qu’il faut exterminer. Pour manipuler l’opinion internationale, il crie au génocide du tutsi pendant qu’il se donne à cœur à la tuerie des millions des congolais ».

En annonçant son soutien logistique à la force de la SADC, le chef de la diplomatie rwandaise, Vincent Birutha, estime que « l’ONU ferait un mauvais choix ». Il fallait que la MONUSCO condamne les déclarations belliqueuses des présidents de la RDC et du Burundi. L’armée burundaise était la seule des forces de l’EAC à combattre le M23 pendant que le Rwanda renforçait les positions de ces criminelles.

Démasqué, Kagame se fourvoie dans la victimisation

Pourquoi le Rwanda s’oppose au soutien de l’ONU à la Force de la SADC, déployée dans l’Est de la RDC ? Kambale, vivant à Beni dans la partie est de la RDC, estime qu’il ne s’agit que des manœuvres dignes de l’Ubwenge, l’art du mensonge et de la diversion pour distraire le monde et détourné l’attention de l’opinion internationale des manifestations anti occident contre les chancelleries et la vague de dénonciation à travers le monde partie de la CAN. Aussi, « aider l’instrument de prédation anglo-saxonne qu’est la MONUSCO, à rebondir pour ne plus partir malgré toutes les demandes de Kinshasa pour le retrait de la MONUSCO du territoire congolais. Le rwandais a toujours cru que le bantou n’est pas intelligent et oublie vite mais cette fois-ci c’est différent », renchérit un autre originaire de Beni.

Il faut se rappeler que le pays de Paul Kagame a toujours nié soutenir le M23 qui commet des atrocités en RDC. Le Seigneur des mille collines, accusait plutôt le président congolais Félix-Antoine Tshisekedi de chercher à reporter les élections dans son pays. Comme cela n’a pas été le cas, il a donc fallu changer de narratif et donne ainsi l’impression de craindre que le soutien logistique et opérationnel de l’ONU à la Force de la SADC n’encourage la RDC à privilégier une solution militaire au lieu d’une solution négociée et pacifique de la crise. D’après les enquêtes menées par les experts de l’ONU, la SADC et les FARDC, les deux missiles qui sont tombé dans l’aéroport international de Goma ont été tirés « à partir du Rwanda ». Un acte d’agression qui mérite que la RDC applique le droit de riposte ou de poursuite mais, ‘le voleur qui crie au voleur !’

Le Rwanda « donne l’impression de redouter que le déploiement de la Force de la SADC n’aggrave la situation sécuritaire dans la région en provoquant des violences ethniques et un risque de conflit régional. Pourtant, il a le soutien de la Communauté internationale dont il est le bras séculier. Un coup fourré du génie diabolique ubwenge, de la pure diversion ! », dénonce Kambale.

Ce natif de Beni estime que Paul Kagame qui affirmait être prêt à soutenir une ‘résolution pacifique’ du conflit tout en armant de missile sol-air le M23 et se défendant contre « les menaces des présidents de la RDC et du Burundi de renverser son gouvernement et contre la présence des forces génocidaires rwandaises dans l’est de la RDC », ne donne que l’illusion d’être en position de faiblesse pour ensuite frapper.

En effet, les experts de l’ONU ont déjà mis en évidence le soutien du président rwandais, Paul Kagame, au M-23 et des images de drone ont montré un véhicule rwandais équipé de missiles sol-air au service des terroristes RDF/M23. Entre temps, « Kagame continue de tuer et de jouer la victime », dénonce un membre de la LUCHA qui dénonce en outre que « tout cela se perpétue sous le parapluie des puissances mondiales qui se murent dans l’omerta avec la complicité de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo (MONUSCO) ».

Alors que la vague des dénonciations, pour dénoncer le silence autour des massacres des congolais par le Rwanda, dont l’épicentre a été la 34ème coupe d’Afrique des nations en Côte d’Ivoire où les Léopards, lors de la demi-finale, ont exécuté l’Hymne national mains droite couvrant la bouche et deux doigts de la main gauche à la tempe, la MONUSCO a révélé son intention d’appuyer la force de la communauté pour le développement de l’Afrique australe (SADC) qui combat, aux côtés de l’armée congolaise, contre les terroristes du Mouvement du 23 mars soutenus par l’armée rwandaise.

Kagame s’oppose ‘vraiment’ au soutien de la MONUSCO à la SADC ?

L’on se souviendra que la date du retrait de la MONUSCO du sol congolais était fixée pour le 08 décembre 2023, cela après des protestations anti MONUSCO, accusée de collaborer avec le M23, pour pérenniser le pillage des richesses minières de la RDC au profit des multinationales occidentales. Alors qu’il était décidé du déploiement des troupes de la SADC lors de la réunion de hauts fonctionnaires du comité ministériel de l’organe de la communauté de l’Afrique australe tenue de le vendredi 3 novembre 2023 à Luanda, conjointement avec les FARDC, la mission onusienne avait annoncé lundi 06 novembre 2023, le lancement d’une opération conjointe avec les FARDC dénommée « Springbok ».

Le springbok (Antidorcas marsupialis), étant une antilope sauteuse d’Afrique australe (région de la SADC), présent en Afrique du Sud, en Namibie, au Botswana et en Angola dont le nom afrikaans signifie : «spring » (sauteur, qui saute) et « bok » (bouc). En présence de prédateurs, l’espèce est en effet connue pour effectuer des sauts verticaux (des rebonds) qui sont vraisemblablement un signal honnête de bonne santé !

« Le choix même de ce nom était un message, alors que les congolais exige le départ de la MONUSCO, celle-ci saisira toutes les occasions qui s’offrira à elle pour rebondir et demeurer en RDC », affirme un partisan du départ de la MONUSCO qu’il considère comme n’étant qu’un instrument des prédateurs qui protègent Kagame dans l’holocauste congolais.

Pour manifester son refus de ce « rebond » de la MONUSCO, la LUCHA avait appelé à un sit-in le 15 novembre 2023 dans la ville de Goma pour réclamer le départ de la mission de l’ONU, et de la force d’Afrique de l’Est (EAC) indexée comme cohabitant et collaborant avec le M23/RDF. La force de l’EAC, dont fait partie le Rwanda et la MONUSCO, devait être remplacées toutes les deux, par la SADC après leurs départs. En apportant son appui à la SADC, la MONUSCO demeure et confirme l’opération « Springbok ».

Willy Makumi Motosia




Face-à-face Tshisekedi – Kagame: La paix mais pas à n’importe quel prix

Organisé par le Président angolais Joao Lourenco, médiateur entre la RDC (l’agressée) et le Rwanda (l’agresseur), visant à relancer le processus de paix dans la région, fortement compromis par l’escalade des combats dans l’est de la RDC, mini-sommet d’Addis-Abeba (Ethiopie) sur la paix et la sécurité dans la région Est de la République démocratique du Congo (RDC), a clôturé ses travaux samedi 17 février 2024. Débuté vendredi 16 février à Addis-Abeba en Éthiopie, ce mini-sommet a été convoqué dans le but de de réfléchir ensemble en vue d’obtenir un cessez-le-feu entre la RDC et le M23/RDF ainsi que rétablir un dialogue direct entre les chefs d’État congolais et rwandais.

Bien que cela soit la mission de l’organisateur, le président angolais Joao Lourenco, le Président Félix Tshisekedi qui a pris part aux côté des 6 chefs d’Etats qui ont répondu présent sur les 10 chefs d’État attendus, notamment Joao Lourenco (organisateur), Felix Antoine Tshisekedi (RDC pays agressé), William Ruto( Kenya), Paul Kagame ( Rwanda, pays agresseur) et Cyril Ramaphosa ( Afrique du Sud), les autres pays ayant été représentés par des hauts représentants.

Dans son mot d’introduction, le président Angolais, médiateur désigné pour renouer le dialogue entre la RDC et son agresseur le Rwanda a indiqué que cette initiative est prise afin de relancer le processus de paix qui a connu un recul avec l’intensification des combats et les conséquences humanitaires et économiques désastreuses pour la population congolaise.

« La situation se détériore et il y a risque d’embrasement dans les sous-régions de l’EAC et de la SADC», a dit en substance le président angolais.

Selon la cellule de communication de la présidence de la RDC, s’exprimant en premier lors du huis clos, les présidents Félix Tshisekedi et Kagame étaient assis aux extrémités de la salle et ne se sont pas salués. Le protocole n’a pas non plus prévu une photo de famille, a fustigé l’implication du Rwanda dans l’entretien de l’insécurité et le pillage des richesses dans l’Est du Congo.

Le Président Félix Tshisekedi a exprimé sa position en présence du Président Rwandais Paul Kagame dont l’essentiel a tourné autour de : Origine de la guerre, le refus de négocier avec le M23, l’exigence de retrait du M23, la paix à tout prix mais pas à n’importe quel prix. Un communiqué final a sanctionné ce mini-sommet dont l’extenso suit.

Willy Makumi Motosia




Formation du gouvernement : L’ACP-A de Gentiny Ngobila Mbaka consultée par l’Informateur Augustin Kabuya. 

Débutées le vendredi, les consultations de l’informateur se sont poursuivies le samedi 17 février 2024 à l’hôtel Hilton dans la commune de la Gombe.

Pour ce deuxième jour des consultations, l’Informateur a reçu, tour à tour, plusieurs autres personnalités politiques du pays, notamment, Matata Ponyo, Bahati Lukwebo, Lambert Mende, Pius Muabilu, Augustin Kibassa et Gentiny Ngobila Mbaka.

Tous ces chefs des délégations respectives de leurs partis et regroupements politiques avaient été consultés par l’Informateur Kabuya pour dégager la majorité à l’Assemblée nationale, en vue de la formation du prochain gouvernement.

 

Le leader du Regroupement Alliance des Congolais Progressistes et Alliés (ACP-A), Gentiny Ngobila Mbaka a été également reçu par le secrétaire général de l’UDPS en sa qualité de l’Informateur désigné par le chef de l’État.

 

À la tête d’une délégation des cadres de son parti dont le secrétaire général Charles Mbutamuntu, Gentiny Ngobila a réitéré son appartenance à la majorité présidentielle, avant de signer officiellement l’acte de son engagement.

Au sortir de l’audience, l’autorité morale de L’ACP-A, le gouverneur de la ville de Kinshasa Ngobila Mbaka a fait savoir qu’il a confirmé auprès de l’Informateur que son regroupement reste un grand partenaire du chef de l’État.

 

“Nous avons été invités pour discuter avec l’informateur, Monsieur Augustin Kabuya en vue de le confirmer notre appartenance à cette majorité. Nous l’avons confirmé, nous sommes de la majorité présidentielle et nous participons de façon active à cette majorité”, a-t-il déclaré au terme des échanges avec Augustin Kabuya.

 

Pour rappel, l’ACP-A de Gentiny Ngobila a obtenu neuf (9) sièges à la députation nationale à l’issue des scrutins combinés du 20 décembre 2023 organisés par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).

 

Il ya lieu de signaler qu’à la fin de ces consultations, l’Informateur fera le rapport au président de la République, puis viendra la nomination du formateur du gouvernement.

 

 

Jomik




Consulté par l’Informateur Augustin Kabuya: Muabilu veut une majorité pour Fatshi qui va s’assumer en tout lieu et en toutes circonstances

Désigné Informateur par le président de la République, Augustin Kabuya, Secrétaire général de l’UDPS a pour mission de former une coalition majoritaire à l’Assemblée nationale en République démocratique du Congo. Sa mission de 30 jours consiste à consulter les partis politiques et les personnalités pour faciliter la formation d’un gouvernement solide.


C’est dans ce sens qu’il a entamé les consultations. Pour ce samedi 17 février 2024, il a reçu la délégation que conduisait M. Pius Muabilu Mbayu Mukala, ministre de l’Urbanisme et habitat dans le gouvernement sortant dirigé par le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde.
A ce jour, Pius Muabilu pèse près de 30 députés provinciaux sur l’ensemble du territoire national et plusieurs députés nationaux. Autorité morale du regroupement politique « Alliance pour l’Avènement d’un Congo Prospère et Grand » (AACPG) et du Congrès National Congolais (CNC), Muabilu constitue une force avec laquelle il faudra compter. Il est attendu, pour le leader majeur et précurseur de l’Union sacrée de la nation de jouer un rôle majeur et déterminant lors des sénatoriales qui pointent à l’horizon et dans les discussions en cours.
Au sortir de cette séance de travail avec l’Informateur Augustin Kabuya et son équipe, Pius Muabilu a affirmé que tous les députés élus de notre regroupement sont les députés du président de la République. « Je crois que les choses doivent être claires, dans la mesure où nous œuvrons pour le président de la République une véritable majorité, une majorité non seulement compacte, mais qui va s’assumer en tout lieu, en toutes circonstances, qui va s’aligner dans la volonté du président de la République pour qu’il puisse réussir son mandat que ce peuple lui a offert », explique-t-il.
Muabilu a terminé par se dire fier du geste que le président de la République a posé à l’endroit d’Augustin Kabuya qu’il soutien à 100%.
Disons que l’AACPG est présent tant à l’Est avec 6 élus en Ituri, 5 élus au Maniema ; au Centre 4élus au Kasaï et 2 élus au Kasaï Central ; à l’Ouest 1 élu à Kinshasa, 7 élus au Kwilu, 4 à Lomami et 1 élu au Sud Ubangi. Avec 30 députés provinciaux, en toile géostratégique sur toute l’étendue de la République, Alliance pour l’Avènement d’un Congo Prospère et Grand assume ainsi sa grandeur et joue désormais dans la cour des Grands.