Dieudonné Kamuleta bat un nouveau record : Plus de 1.200 dossiers traités en trois semaines
Mine de rien. Tous ceux qui prenaient à la légère le travail de la Cour constitutionnelle, devront regretter leur manque de considération. Beaucoup d’eaux aura coulé au moulin de la Haute cour. Qu’est-ce qu’on n’a pas entendu ? Certains ont prétendu que des juges seraient corrompus pour valider le choix de la Ceni. Au file de temps, tous ces bruits déstabilisants se sont avérés faux, car la Cour constitutionnelle, droite dans ses bottes, poursuit sans désemparer son travail de titan.
En effet, c’est avec brio que la Cour constitutionnelle vient de terminer ses audiences en contentieux électoraux. Dieudonné Kamuleta vient de battre un nouveau record. Au nom de son ménagement, il a pu gérer l’avant-contentieux, c’est-à-dire la phase de dépôt des candidatures, avec une très bonne organisation.
Il nous revient qu’il a également réussi à gérer la période des contentieux électoraux proprement dite avec une excellente organisation. Cette fois-ci, il a battu le record en traitant plus de 1200 dossiers en trois semaines, du lundi au vendredi, de 11 heures jusqu’à la fin des éléments inscrits dans l’extrait de rôle.
Des sources internes de la Haute cour indiquent que Dieudonné Kamuleta a dirigé les audiences avec maîtrise et sagesse. Cependant, un groupe d’individus tente de semer la panique au sein de la population en affirmant que 70 % des élus seront invalidés. Il est important de souligner que ces personnes qui divulguent ces informations ont déjà tenté de parler de corruption sans succès.
Maintenant, elles veulent malheureusement semer la panique dans la population afin de susciter un conflit entre la classe politique et la Cour constitutionnelle en prétendant que celle-ci souhaite invalider 70 % des élus. Dans les cas où des erreurs matérielles sont constatées, la Cour appliquera la loi, rassure-t-on.
Cependant, cela ne signifie pas que la Cour invalidera les candidats de manière injuste et injustifiée. « Chaque dossier sera traité avec rigueur et objectivité afin de permettre à ceux qui ont mérité leurs sièges de le garder. Il s’agit donc d’un message provenant de réseaux cherchant uniquement à semer la panique, la confusion et la psychose au sein de la population, tout en créant un conflit entre la classe politique congolaise et la Cour constitutionnelle » affirme notre source.
Ainsi, rien ne sert de spéculer sur la finalité du travail de la Ceni. Il s’agit d’un traitement technique et professionnelle qui n’est pas laissé à la portée de tout le monde. De même, que les gens évitent de considérer l’avis du Ministère public comme étant un jugement défini de la Cour constitutionnelle.
JMNK