Réuni en conseil des ministres, le Gouvernement fait le point de la situation sécuritaire du pays

Comme à l’accoutumée, le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a réuni, ce vendredi à la Cité de l’Union Africaine, le gouvernement en réunion du conseil des ministres.

Le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde et tous les membres du gouvernement participent à cette première réunion ordinaire de l’équipe gouvernementale depuis qu’elle est entrée dans le régime d’expédition des affaires courantes.

L’ordre du jour de cette 126e réunion ordinaire prévoiyait, outre la communication du président de la République, l’état de l’administration du territoire ainsi que la situation sécuritaire du pays qui ont été présentés respectivement par les VPM de l’intérieur et de la défense.

Au cours de cette réunion, le ministre de la Jeunesse devrait exposer sur le lancement du programme des motos électriques et sur le lancement du Corps des jeunes volontaires.

Le ministre porte-parole du gouvernement fera le compte-rendu de cette réunion en début de soirée.




Les Corbeaux face à leur destin ce samedi : Un TPM-Pyramids de tous les enjeux

Il est temps de confirmer toutes les promesses! Le TPM s’apprête à disputer le match le plus important de sa saison continentale. Ce samedi 24 février 2024, l’enjeu est prépondérant face aux Égyptiens de Pyramids FC pour la 5e journée de la phase de groupes de la Ligue des Champions de la CAF. Sérieux, serein et ambitieux, Lamine Ndiaye a donné les premières indications sur son équipe en conférence de presse d’avant-match. Apprendre de ses erreurs, jouer simplement son football, donner le maximum en mouillant le maillot, le TPM veut jouer la meilleure partition pour ses retrouvailles face aux Héritiers des Pharaons. A Kamal City, l’apport du public est vivement attendu.

Voici les temps forts du speech du coach :

“C’est un match important. J’avais dit aux joueurs, après la défaite face à Pyramids lors de la première journée, qu’en 2012 également, au bout de deux journées, nous avions deux points. Et après la 5ème journée, nous étions qualifiés. C’est la même configuration. On a perdu le premier match contre une bonne équipe de Pyramids, même si ce jour-là, on n’avait pas montré notre vrai visage et la défaite était assez logique. Nous avons la chance de jouer ce match de demain devant notre public qui pourrait nous apporter gros en termes de soutien. J’espère que l’équipe jouera bien et gagnera.”

Comme une finale

“Dans ce genre de compétition, il y’a six matchs. Quand tu gagnes tes matchs à domicile (3) et tu accroches un nul à l’extérieur, 9 points sur 10, c’est la qualification. Les deux premiers matchs, nous les avons gagnés, maintenant il reste un troisième match face à une équipe qui va jouer son va-tout parce qu’une défaite la condamne. C’est une finale à la limite, qu’on va livrer demain. Je crois que la victoire sera belle et nous ferons le tout pour l’emporter et nous nous sommes préparés en conséquence.”

 

Merceil Ngimbi certain

“Il y’a des chances qu’il joue. Il a repris avant la trêve. Nous ne voulons pas prendre de risque, il est resté trois mois en dehors des terrains. Il s’entraîne normalement depuis la reprise et il ne s’est pas plaint. Comme un élément important. Peut-être, il ne pourra pas tenir tout le match mais son apport est important pour le groupe.”

Absence de matchs pendant un mois

“On verra. Quand on a attaqué la Ligue des champions, c’était dans la même configuration. Nous avons essayé de tout faire pour que les joueurs soient bien. Maintenant, la réalité du terrain est tout autre, nous verrons comment ils réagiront pour prendre leur revanche. La défaite de l’aller nous a fait beaucoup de mal et j’espère qu’on aura plus de réussite.”

Une absence

“Tout le monde est important, personne n’est indispensable. Seul Boaz Ngalamulume est suspendu pour cumul de cartons. Sinon, tout l’effectif est sur le pont.”

Travail de fond devant le but

“En football, pour gagner, il faut marquer des buts, c’est ce qu’on cherche. Nous avons eu beaucoup de réussite sur la fin de la première partie du championnat. Maintenant, c’est une autre compétition qui recommence, après un mois et demi de trêve mais on n’a pas changé nos habitudes. Le travail a continué avec les attaquants, tout le monde afin qu’il y ait une osmose. Toutefois, la Ligue des champions est différente, c’est la crème du football africain. Avec des équipes bien organisées, bien meilleures qu’en championnat. Ce n’est pas facile. Il y’a beaucoup d’étrangers et d’internationaux dans des équipes. Tout peut arriver en football. Même un 1-0 nous comblerait de bonheur, l’essentiel est de prendre trois points pour passer au prochain tour. Nous comptons sur notre public. J’espère qu’il viendra nombreux pour pousser son équipe.

Jouer simplement, bien jouer, gagner les duels, respecter les consignes, s’appliquer devant le but et être courageux. Ça ne va pas être une partie de plaisir, car en face il y’a du répondant avec de très bons joueurs. Il va falloir qu’on sorte le meilleur de nous-mêmes pour espérer l’emporter.”

S’adapter à la situation, La Ligue 1 absente

“Nous aurions préféré que les choses se passent autrement avec deux ou trois matchs. Tout de suite, on est dans le vif du sujet sans se lamenter. On est focus sur le match de demain et tout donner. Que chaque joueur à son poste donne le meilleur de lui-même et avec l’apport du public et de vous tous, nous y arriverons.”

Au poste de gardien de but

“Qui va jouer, qui va être sur le banc, nous n’avons pas encore pris de décision. Peut-être dans nos têtes, mais personne n’a une place gardée. C’est un choix qu’on fait.”

Changement d’entraîneur à Pyramids

C’est vrai Pacheco est parti, mais ce sont les mêmes joueurs. L’organisation est la même par rapport à ce qu’on a vu. Peut-être le nouveau coach pourra changer, personne ne sait. La façon dont il joue, est similaire à celle qu’ils ont utilisée contre nous à l’aller avec un Mayele seul devant. Alors que lors du précédent match, Mayele est entré en seconde période. Nos joueurs sont entraînés pour parer à n’importe quelle situation ou organisation. Nous sommes là pour nous adapter et essayer de trouver les failles dans le plan de l’adversaire. Ils ont des qualités, mais aussi des failles qu’on va essayer d’exploiter.”




Lamine Ndiaye : “C’est le plus dur qui commence”

Deux mois plus tard, les interclubs de la CAF reprennent leurs droits avec un week-end qui s’annonce explosif. Huit matchs décisifs de la 5ème journée de la phase de groupes. Ayant son destin en mains, le TPM joue un match capital contre les Égyptiens de Pyramids FC samedi 24 février 2024.

Le doublé de Cheick Fofana le 19 décembre 2023 dernier face à Nouadhibou dans les derniers instants, a servi de détonateur pour la saison africaine des Corbeaux. Cette deuxième victoire à domicile en phase de groupes de la Ligue des champions, l’ambiance confirmait aussi le grand retour de la fierté des Corbeaux dans leur antre, souvent infernale : “Je pense que les joueurs sont conscients de l’enjeu et croient en leur possibilité. Si on travaille bien et que tout le monde s’y met (comité, joueurs, staff, fans…), nous y parviendrons”, a assuré le coach Lamine Ndiaye.

L’enjeu majeur de cette rencontre de samedi à 13h00 GMT, 15h00 à Lubumbashi est de se rapprocher de la qualification en quart de finale : “C’est un tournant de la saison. Tout sera conditionné par ce match”, reconnaît l’entraîneur franco-sénégalais, qui estime que son équipe a progressé mais “c’est le plus dur qui commençait.”

Co-leader au classement partiel du groupe avec Mamelodi Sundowns, le TPM veut mettre les chances de son côté pour franchir cette étape et ainsi confirmer son grand retour parmi les ténors du continent. Lamine Ndiaye se veut rassurant : “Il faut confirmer la bonne première partie de saison. La confirmation est souvent difficile, avec les mêmes joueurs, le même contexte. C’est le money time de la saison. Maintenant, en gagnant des matchs, on avance de trois à quatre pas. Il faut se préparer, en vivant avec la pression, l’appréhender et l’apprivoiser surtout afin de faire mieux”, a insisté le coach.

De la rigueur et de la réussite, du travail et de la fierté : c’est sûr, les coéquipiers de Glody Likonza mouilleront le maillot ce samedi.




Qualification d’Al-Ahly pour les quarts de finale de la Ligue des Champions CAF

Al Ahly, le champion d’Afrique en titre Al-Ahly s’est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des Champions CAF TotalEnergies pour la huitième foisconsécutive après une victoire 1-0 sur le club ghanéen de Medeama lors de la cinquième journée de la phase de groupes, vendredi.

Grâce à une réalisation de Hussein El-Shahat en seconde période, les Égyptiens ont décroché leur qualification pour le grand huit de la Ligue des Champions.

Les spectateurs du stade Baba Yara de Kumasi, ont été les témoins privilégiés d’un match haletant. Le gardien Mostafa Shobeir s’est tout de suite mis au travail en repoussant les tentatives de Medeama.

Cependant, c’est El-Shahat qui a volé la vedette à la 48e minute, en marquant calmement d’un tir bien exécuté pour assurer la victoire d’Al-Ahly.

Grâce à cette victoire, les géants du Caire restent en tête de leur groupe et s’assurent une qualification pour le prochain tour avec une confortable avance de quatre points sur Belouizdad et Young Africans, qui s’affronteront plus tard, ce week-end.

Medeama, quant à lui, se retrouve en bas du tableau avec quatre points.

Al-Ahly peut désormais se concentrer sur son prochain match contre Young Africans, où la formation égyptienne tentera de consolider sa position en tête du groupe. Un match nul suffirait à l’équipe égyptienne pour s’assurer la première position.

À noter que le but d’El-Shahat a non seulement propulsé Al-Ahly vers la victoire, mais il a également marqué un tournant personnel dans la carrière de ailier, qui a inscrit son 16e but pour le club en la Ligue des Champions CAF TotalEnergies.




Et si Félix Tshisekedi parlait de la culture et arts !

Pour son premier échange après sa réélection à la tête de la RDCongo, le Président Félix-Antoine Tshisekedi a réservé la primaire à la presse congolaise pour un face-à-face, sans gants. Mais, il n’a pas tout dit.

Plusieurs questions ont été évoquées durant ce jeu de ping-pong, deux heures durant. L’impression, Fatshi, s’est présenté comme une autorité qui maîtrise son fief, le Congo.

Partant de la situation sécuritaire dans l’Est, en passant par l’économie jusqu’au sport annonçant même qu’il envisage la soumission de la candidature de la Rdcongo pour l’organisation de la CAN 2029, le numéro un congolais a évoqué plusieurs questions sauf les questions culturelles et artistiques de son pays. Et souvent, c’est le cas lors de ses grandes sorties médiatiques.

Le secteur culturel est-il moins rentable ? moins attractif ? Ou dans le choix des journalistes, il n’y avait pas de la manie pour équilibrer les domaines vitaux du pays ?

L’art, l’absent de l’oral !

Sur la radio Vatican, le conseiller culturel et artistique de l’actuelle ministre de la Culture, des arts et patrimoines, Magloire Paluku, a reconnu, en juillet 2023 dernier que «depuis 1960, le Congo n’a pas encore développé une politique culturelle votée au parlement. Toutefois, le pays travaille à donner forme à «cette politique culturelle qui existait au niveau un tout petit peu élémentaire depuis tout ce temps où les artistes étaient reconnus sans avoir un statut spécial d’artistes».

Ce qui veut dire en d’autres termes que 64 ans après l’indépendance, malgré toute la créativité qui caractérise le peuple congolais, aucun régime n’a doté à ce peuple d’un texte pour réglementer ce secteur qui peut être un moteur de développement économique.

Ouvrons les placards des IXes Jeux de la Francophonie !

Pour revenir à l’oral du Chef, l’ambition pour la RDCongo d’organiser une coupe d’Afrique des Nations a été applaudie avec les deux mains Et, c’est ici l’occasion d’ouvrir les placards de l’After réussite des IXes Jeux de la Francophonie. Plusieurs prestataires sont non payés notamment les médias. Les protagonistes concernés, pour finir cette situation honteuse, se rejettent la responsabilité. Au niveau de la Direction nationale des IXes Jeux de la Francophonie, Nicolas Kazadi est celui qui bloque tout. Et ce dernier a accusé cette direction du dépassement budgétaire à outrance. Qui a raison, et qui a tort ?

Alors que lui-même, Félix Tshisekedi, a promis la création des millionnaires congolais, mais comment devenir millionnaire si l’Etat lui-même ne paye pas ses prestataires ? A ce jour rien ne filtre allant dans le sens d’apaiser les esprits des prestataires.

Forum sur la culture et les ICC en berne !

Malgré que son annonce a été émaillée des tiraillements entre les camps Nioka Longo (PCA de la SOCODA) et celui de la ministre de la Culture, le Forum sur la culture et les industries culturelles et créatives a été bien accueilli au sein de la communauté culturelle congolaise. Les initiatives prises par le délégué du Chef de l’État, Balufu Bakupa Kanyinda, en consultant chaque structures, ont posé des jalons d’une bonne rencontre scientifique surtout pratique afin d’apporter des solutions aux maux qui rongent la culture, l’industrie culturelle et la création. Baam ! Suspension, mieux, report pour les élections. Après les élections, silence radio. Au ministère, ici, c’est plus les voyages à l’extérieur qui intéressent.

Lors de ce grand oral du Chef de l’Etat, c’était l’opportunité de rassurer tous les secteurs de la vie, ici, au pays. Mais hélas ! Les culturels en sortent très déçus. Pour cause, pendant les débats sur des vraies questions de la société, le secteur culturel et artistique reste l’enfant orphelin, démuni et abandonné de la République.

Les artistes congolais sont pour la Rdcongo à l’image de ce proverbe, “Mobíni ya zoba, ba pesaka yě kwánga ezanga biloko “. Entendez, “la récompense d’un danseur sot est une miette”.

Il n’a pas effectivement tout dit. Lors de son investiture, cette ignorance au secteur catalyseur des énergies positives congolaises n’a reçu nullement de l’attention. Alors que, les artistes congolais sont ceux qui sont également au front pour dénoncer la “Rwanda-folie”. Gims, Fally Ipupa, Ferré Gola, les sorties médiatiques de Koffi Olomide,… Il faut ajouter à ceux-là les peintres surtout les jeunes comme M-Kadima, Edizon Musavuli,… pour tout ce travail remarquable, il ne fait pas l’objet d’aucun paragraphe. Aussi, le détournement de la Maison de la culture africaine et des afro descendants, rien n’a été dit.

L’erreur du coach ? Ou les questions ont manqué ? Oui il n’y a pas eu des questions dans ce sens, peut-on déduire la réponse. Mais pourquoi ? Parce que les journalistes politiques, économiques ont été choisis pour poser des questions à tour de rôle sans équilibrer la matière.

Conséquence : La culture congolaise, l’identité d’un peuple, a loupé une fois de plus l’attention du PR05.

Onassis Mutombo




La RDC vent debout contre un protocole d’accord entre l’UE et le Rwanda (Tv5)

“C’est comme si l’Union européenne nous faisait la guerre par procuration”: le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a vivement critiqué jeudi un protocole d’accord signé cette semaine entre Bruxelles et le Rwanda, pays qui soutient une rébellion dans l’est de la RDC.

Le ministre congolais des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, avait déjà dénoncé mercredi un “protocole d’accord sur les chaînes de valeur durables pour les matières premières” signé lundi entre l’UE et le Rwanda. Selon lui, ce protocole, “encourage le pillage des ressources naturelles congolaises par le Rwanda”.

“Quand vous achetez le produit d’un receleur, vous êtes vous-même coupable de vol”, a lancé Félix Tshisekedi lors d’une conférence de presse jeudi.

“Donc, l’Union européenne, j’espère, ne va pas jouer ce jeu-là”, a-t-il poursuivi, en affirmant que son pays allait “user de toutes les voies, diplomatiques et judiciaires, pour faire annuler ce +MoU+” (memorandum of understanding), pour “empêcher cette ignominie”.

Le gouvernement de Kinshasa accuse le Rwanda de vouloir faire main basse sur les ressources, minières notamment, de l’Est congolais, une des raisons pour lesquelles, selon lui, Kigali soutient la rébellion du M23, à l’offensive depuis plus de deux ans dans la province du Nord-Kivu dont elle contrôle de larges territoires.

“Tout le monde sait que le Rwanda n’a même pas un gramme de ces minerais dits +critiques+ dans son sous-sol”, a insisté le président congolais.

“L’UE est très mal engagée, car c’est comme si elle nous faisait la guerre par procuration”, a lancé Félix Tshisekedi.

L’Union européenne, “qui voulait venir surveiller nos élections ici pour dire qui a gagné, qui a perdu, qui nous donne à longueur de journée des leçons sur le respect des droits de l’Homme” est maintenant “en train de prêcher par le plus mauvais exemple qui soit”, a encore lancé Félix Tshisekedi.

Au pouvoir depuis janvier 2019, Félix Tshisekedi a été réélu pour un second mandat aux élections du 20 décembre dernier avec plus de 73% des voix.




Célébrer ensemble le nouvel an chinois sur «la Ceinture et la Route» : Un gala de fête du nouvel an chinois organisé avec succès à Kambove Mining SAS

Construire le rêve de KMS, aller en avant pour un nouveau voyage. Le 9 févier, la société a réussi à organiser un gala de fête du nouvel an chinois. Les dirigeants et le vice-président M. Simon de la société, l’Administrateur M. Désiré ainsi que les directeurs de la Direction des Participations de GECAMINES, le président intersyndical M. Christian, les représentants du bureau représentatif de CNMC y ont participé. Les employés sino-congolais ont chanté, dancé, et ont échangé les cultures des deux pays, afin d’accueillir ensemble l’année de dragon chinois.

Bon Courage-Mon Frère

Le PCA de KMS M. Wang Shougao qui est en mission en Chine prend la société à cœur, en souhaitant le dynamisme, la bonne santé, le bien travail et le bonheur familial au cours de ce nouvel an. Il a exprimé ses meilleurs vœux à tous les employés de la société.

Le DG de KMS M. Li Chong a passé en revue les exploits accomplis de la société pendant l’an 2023. Il a porté son regard sur le meilleur avenir de KMS, en souhaitant la bienvenue à tous les invités. Le Vice-Président de KMS M. Simon a prononcé un discours, il espère un nouveau chapitre de développement et coopération entre la Chine et la Rdc par des efforts conjoints de tout le monde, pour accueillir un lendemain plus brillant de partenariat sino-congolais!

Rumba Congolaise

Dance hip-hop SERGE BEYNOD/WEB

Soulignons que le Gala était ouvert dans la dance joyeuse congolaise. Avec la chanson Grande Scène de la Chine, la récitation du poème musique Ma Patrie et Bonjour KMS, les employés chinois ont présenté leurs sentiments patriotiques et les affections envers la société. Avec plein de l’humour, le dialogue comique Rêve d’Expédition II adapté par les employés eux-mêmes, a manifesté leurs talents en dehors de leurs spécialités. La chanson avec gaieté New Boy apportée par les employées féminines a brillé de dynamisme de la jeunesse.

La nation est le monde. Après le Gala du Nouvel An en 2023, la société a continué à attirer ses employés pour célébrer conjointement le Nouvel An Chinois sur « la Ceinture et la Route», et expérimenter le charme de la culture traditionnelle chinoise. Les employés congolais attirés par la culture chinoise profonde, ont apporté le Kung-Fu Chinois avec les gestes exactes, les chansons Aujourd’hui et Lune Représente Mon Cœur interprétées en langue chinoise ont transmis leurs sentiments d’’affection envers la société, la dance Le Troisième Cours a exprimé la joie et l’enthousiasme.

En même temps, à travers les chansons et les danses de la nation, Bon Courage-Mon Frère, Rumba Congolaise,Tia-Rj Kaniera, Joyeux Garçons, Rumba et Zouk, KCE Instrumental, SERGE BEYNOD/WEB et Fanda na yo, les employés congolais ont exprimé leurs joies du cœur.

Le petit chœur français Champs Elysées présenté par les employés sino-congolais revêtus de la fraîcheur et du romantisme; La chanson Amitié Eternelle a exalté l’amitié profonde sino-congolaise.

Accompagné des gongs et des tambours du Dragon de l’Epoque de Prospérité, un dragon doré a dansé et a agité l’atmosphère du Gala, avec la danse des membres de l’équipe de ce spectacle, le dragon avance et “s’élève dans le ciel”. Ce n’est pas un vrai dragon qui vaut mieux qu’un vrai dragon. Au moment où le dragon d’or brandissait la bannière de la « Grande Réalisation du Plan Grandiose », le « Dieu de la Richesse chinois » joué a envoyé des bénédictions, poussant l’atmosphère de la fête à son point culminant.

 

Pendant ce Gala de fête, il y avait également quatre tours des tirages au sort sur place, les bouteilles thermos, les écouteurs Bluetooth, les sacs de football et les phones ont été respectivement attribués aux quatorze spectateurs qui ont de la chance.

 

Le Gala de fête a pris fin dans la chanson Demain Sera Meilleur. Cette fête a exposé bel et bien les cultures sino-congolaises qui ont toutes leurs charmes, et a renforcé les communications et intégrations entre les cultures des deux pays. Le dragon de prospérité accueille le Nouvel An et nous nous efforçons de poursuivre nos rêves et de composer des chapitres glorieux. Nous souhaitons à notre grande patrie la prospérité et la force, nous souhaitons une amitié éternelle entre la Chine et la RDC et nous souhaitons à KMS un demain meilleur !




Gianni Infantino appelle les associations membres européennes à agir ensemble pour éradiquer le #racisme

Le Président de la FIFA s’est exprimé lors du 48e congrès ordinaire de l’UEFA : “Nous devons mettre un terme à cette situation par tous les moyens”. Gianni Infantino souhaite une coopération autour d’une proposition à soumettre au Congrès de la #FIFA, en mai prochain. Les mesures et sanctions actuellement en place “ne suffisent pas”, a-t-il assuré aux délégués présents à Paris

Gianni Infantino a demandé aux associations membres européennes de rejoindre la FIFA et d’agir ensemble contre le racisme. Il a notamment appelé à une collaboration autour de nouvelles réponses à présenter au prochain Congrès de la FIFA, au mois de mai.

S’exprimant dans le cadre du 48e congrès ordinaire de l’UEFA à Paris, Gianni Infantino a proposé aux 55 associations membres européennes de la FIFA de s’associer à la conception de mesures plus ambitieuses à présenter aux 211 associations membres de la FIFA lors du 74e Congrès de l’instance, le 17 mai prochain à Bangkok (Thaïlande).

“On dit que le football unit le monde, mais notre monde est divisé, en proie à l’agressivité et, au cours des dernières semaines et des derniers mois, nous avons malheureusement été témoins de nombreux incidents à caractère raciste. Ce n’est plus acceptable. Nous devons mettre un terme à cette situation par tous les moyens. Le racisme est puni par la loi. Le racisme est une chose grave”, a déclaré le Président de la FIFA.

“Ce que je vous propose, c’est de travailler tous ensemble au cours des trois mois qui nous séparent du Congrès de la FIFA à Bangkok. Nous pourrons ainsi nous retrouver en mai pour présenter une résolution forte autour de laquelle les 211 pays de la FIFA pourront s’unir pour combattre le racisme. Éradiquons le racisme. Maintenant. Et faisons-le ensemble.”

Le Président de la FIFA a également rappelé aux délégués que la FIFA avait déjà mis en place une “procédure à trois étapes” qui permet aux arbitres d’agir en cas d’incidents racistes. Si la première annonce réclamant la fin de ces agissements n’est pas suivie d’effets, les arbitres peuvent suspendre le match et même l’arrêter définitivement si les exactions se poursuivent ou se répètent.

Il n’a pas échappé au Président Infantino que ces mesures, en place depuis 2018, n’ont malheureusement pas suffi à débarrasser le football et la société du fléau du racisme. Il a cependant estimé que le football devait présenter un front uni pour s’attaquer à ce problème efficacement.




Le Maroc souligne devant la Cour Internationale de Justice l’engagement de SM le Roi, Président du Comité Al Qods, en faveur de la cause palestinienne

Le Maroc a souligné l’engagement de SM le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al Qods, en faveur de la cause palestinienne, dans le cadre de la procédure en cours devant la Cour Internationale de Justice (CIJ), dans l’affaire de demande d’avis consultatif sur les conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques d’Israël dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est.

Le Royaume, représenté par l’ambassadeur de SM le Roi à la Haye, Mohamed Basri, a pris part aux audiences de la CIJ, qui se déroulent du 19 au 29 février. Dans ce cadre, l’ambassadeur du Maroc a assisté en soutien à l’exposé oral de la Palestine, qui a eu lieu le 19 février, aux côtés de la délégation palestinienne, présidée par M. Riyad Al Maliki, ministre palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés.

La présence du Maroc aux plaidoiries orales dans cette affaire, s’inscrit dans la continuité de l’engagement actif du Royaume dans ce dossier devant la Cour internationale. Ainsi, dans le cadre de la même affaire, le Maroc avait soumis à la CIJ un plaidoyer écrit, dont la Cour a pris dûment compte.

Dans ce plaidoyer, le Royaume du Maroc, dont le Souverain est Président du Comité Al-Qods issu de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), a réaffirmé sa détermination à “œuvrer par tous les moyens légaux à sa portée, pour protéger le statut juridique, historique, politique et spirituel de la Ville sainte, et la préserver dans sa vocation unique de ville de paix et de rencontre pour les fidèles de toutes les religions monothéistes”.

Le Royaume a réitéré, en outre, “son engagement actif en faveur du respect du droit international et de la promotion de la paix au Moyen-Orient, laquelle passe par la mise en œuvre d’une solution juste, globale et durable, fondée sur le principe des deux Etats : un Etat Palestinien indépendant sur la base des frontières du 04 juin 1967, avec Al-Qods/Jérusalem-Est comme capitale, vivant côte-à-côte avec l’Etat d’Israël, dans la paix et la sécurité et ce, conformément à la légalité internationale, aux résolutions de l’Organisation des Nations Unies, et dans le prolongement de l’Initiative arabe de paix”.

Le plaidoyer du Maroc s’est appuyé sur les principes consacrés dans “l’Appel d’Al-Qods/Jérusalem”, signé le 30 mars 2019 entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI – Amir Al Mouminine – et le Pape François. Ce document majeur souligne, notamment, qu’il est « important de préserver la Ville sainte de Jérusalem/Al-Qods Acharif comme patrimoine commun de l’humanité et, par-dessus tout, pour les fidèles des trois religions monothéistes, comme lieu de rencontre et symbole de coexistence pacifique, où se cultivent le respect réciproque et le dialogue. Dans ce but, doivent être conservés et promus le caractère spécifique multireligieux, la dimension spirituelle et l’identité particulière de Jérusalem/Al-Qods Acharif. Nous souhaitons, par conséquent, que dans la Ville sainte soient garantis la pleine liberté d’accès aux fidèles des trois religions monothéistes et le droit de chacune d’y exercer son propre culte, de sorte qu’à Jérusalem/Al-Qods Acharif s’élève, de la part de leurs fidèles, la prière à Dieu, Créateur de tous, pour un avenir de paix et de fraternité sur la terre ».

En outre, le plaidoyer du Maroc a rappelé le « consensus de la communauté internationale sur le statut juridique des colonies israéliennes implantées dans certaines parties du Territoire palestinien occupé – y compris Al-Qods/Jérusalem-Est », soulignant qu’elles « constituent un obstacle à la paix et menacent de rendre impossible une solution à deux États : un Etat Palestinien indépendant et viable dans les frontières de 1967, vivant côte-à-côte avec l’Etat d’Israël, dans la paix et la sécurité ».

« Le règlement du conflit israélo-palestinien par le dialogue et la négociation, dans le respect du cadre de négociation des Nations Unies, et notamment les résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité, demeure la clé de voûte pour une paix et une stabilité durables au Moyen-Orient », souligne le plaidoyer du Maroc.

« Ce dessein structure l’action du Royaume du Maroc tant sur le plan bilatéral, qu’au niveau multilatéral au sein de l’Organisation des Nations Unies – dans le cadre des travaux de l’Assemblée générale et de ses six grandes Commissions, et des groupement régionaux représentant la Ligue des Etats arabes et l’Organisation de la coopération islamique – au sein de laquelle Sa Majesté le Roi Mohammed VI exerce la présidence du Comité Al-Qods».

Enfin, le Maroc a rappelé, dans sa plaidoirie, le Message de SM le Roi à l’occasion de la célébration, en novembre 2022, de la journée internationale de la solidarité avec le peuple palestinien dans lequel le Souverain a affirmé : “Nous soulignons une fois de plus que le blocage du processus politique entre Israéliens et Palestiniens ne rend pas service à la paix que Nous souhaitons voir régner dans la région. Dans le même temps, nous encourageons tout signe positif et toute initiative louable, susceptibles de rétablir le climat de confiance et de favoriser l’amorce de négociations responsables dont l’issue serait un règlement juste, global et durable de la question palestinienne, conformément aux décisions de la légalité internationale et sur la base de la solution réaliste à deux États”.




Situation sécuritaire à l’Est : Pourquoi Kinshasa a toujours peur d’interpeller Washington ?

Félix Tshisekedi a tenu sa première conférence de presse le jeudi 22 février 2024 depuis son investiture pour le second mandat constitutionnel. Quoi de plus normal que la question essentielle ait concerné l’expression ” à la moindre escarmouche “. Deux déductions à tirer pour l’heure : primo, l’ordre institutionnel n’est pas complet pour déclarer la guerre (pas d’Assemblée nationale avec Bureau définitif, pas de Sénat dont les élections sont reportées à plus tard faute de financement et pas de Gouvernement investi par la chambre basse dès lors que l’informateur nommé avant la Déclaration d’appartenance n’a pas encore rendu son rapport).

Mais, il y a une troisième déduction, et c’est la plus importante : se voulant et étant un homme de paix, il prend en compte les conseils des partenaires bilatéraux (États-Unis, Russie, Grande Bretagne, Chine et France) et multilatéraux (Onu/Monusco, Union africaine, Sadc, Eac etc.). Ainsi, la guerre brandie pendant la campagne et qui a produit les effets escomptés a moins de chance d’avoir lieu…

Retrait du territoire congolais

Quand on compare les dernières prises de position de Washington et de Paris, on croirait à un copier-coller.

Effectivement, les deux capitales, fermes à l’égard du M23, davantage à l’égard du Rwanda, donnent injonction à Kigali à retirer du territoire congolais et ses troupes et son arsenal.

Pour circonscrire ce ” copier-coller “, deux dates de référence : 17 et 20 février respectivement pour les États-Unis et pour la France sur les mêmes sujets.

Tenez !

Sur le retrait du territoire rdcongolais :

le 17 février 2024, s’adressant au Rwanda et au M23, “_Les États-Unis condamnent le soutien du Rwanda au groupe armé M23 et lui demandent de retirer immédiatement tout le personnel de la Force de défense du Rwanda de la RDC et de retirer ses systèmes de missiles sol-air qui menacent la vie des civils, des forces de maintien de la paix des Nations unies et régionales, des acteurs humanitaires et les vols commerciaux dans l’est de la RDC_”.

Le 20 février 2024, “_La France condamne la poursuite des offensives du M23 avec le soutien du Rwanda, et la présence des forces rwandaises sur le territoire congolais. Le M23 doit cesser le combat immédiatement, et se retirer de toutes les zones qu’il occupe, conformément aux décisions prises dans le cadre du processus de Luanda. Nous appelons le Rwanda à cesser tout soutien au M23 et à se retirer du territoire congolais. La France appelle l’ensemble des groupes armés à mettre un terme aux violences_”.

Sur le soutien de la RDC aux Fdlr.

Le 17 février, les États-Unis utilise le bémol en déclarant : “_Nous appelons le gouvernement de la RDC à continuer à soutenir des mesures destinées à favoriser la confiance, notamment en cessant de coopérer avec les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), un groupe armé qualifié de « force négative » par les organismes régionaux et le gouvernement de la RDC, et qui expose la population civile à des risques_”.

Le 20 février, la France déclare : “_Conformément à leurs engagements, les forces armées de RDC doivent cesser toute collaboration avec les FDLR, mouvement issu des milices ayant commis le génocide perpétré contre les Tutsi au Rwanda en 1994_

Et sur la facilitation angolaise

le 17 février, sur la facilitation angolaise, les Américains disent : “_Nous continuons à appuyer les actions diplomatiques régionales qui favorisent la désescalade et instaurent les conditions d’une paix durable en RDC et nous appelons toutes les parties à participer de manière constructive à la recherche d’une solution négociée_.

le 20 février, “_La France réitère son plein soutien aux processus régionaux de médiation pour trouver une solution négociée au conflit_”.

Un foyer juif, pardon tutsi dans les Grands Lacs

Encouragés pour la consommation populaire, ces processus régionaux ont pour acteurs majeurs deux pays, en l’occurrence l’Angola et le Kenya plus proches, que disons-nous, trop proches aujourd’hui des États-Unis que de la France. Deux pays bien installés dans les zones d’influence américaine, l’une côte Océan Atlantique, l’autre côté Océan Indien.

On serait au cœur de la vérité et de la réalité en relevant que Washington a maintenant moins confiance dans Pretoria que dans Luanda et Nairobi pour la gestion des enjeux que représentent la Sadc et la Cae (East african community).

Conséquence : pour les États-Unis, il faut miser sur l’axe Luanda-Nairobi pour résoudre la crise des Grands-Lacs entre la RDC et le Rwanda.

Or, la RDC lie l’agression rwandaise au trafic des ressources naturelles congolaises. Et le Rwanda, de son côté, lie son soutien au M23 à la protection de la communauté congolaise tutsi qui, à l’en croire, est victime de discrimination. Prétendre défendre la cause de la Communauté tutsi équivaut à poser le problème de terre en RDC…

Aussi, entre l’exploitation illicite notamment des minerais, d’une part, et, de l’autre, la protection d’une communauté qualifiée à tort ou à raison de minoritaire, le choix est clair pour les ” maîtres du monde “. La balance penche pour celle-ci, surtout quand on brandit le spectre du génocide.

D’une guerre entre la RDC et le Rwanda, il est évident que la victoire militaire et populaire est du côté congolais. On chantera et on dansera.

En serait-il cependant de même de la victoire diplomatique ?

Rien n’est moins sûr. On pourrait se retrouver avec ce que justement Paul Kagame et ses parrains véritables cherchent à obtenir depuis belle lurette : un foyer juif, pardon tutsi dans les Grands Lacs, de façon que le Rwanda n’ait plus de frontière physique directe avec ce qui restera de la RDC.

En d’autres termes, en réaction à ” à la moindre escarmouche ” annoncée par Félix Tshisekedi, la finalité sera l’amputation du Congo.

Au regard de ce qui précède, il y a de quoi persister et signer : la solution à la crise des Grands Lacs – dont celle sécuritaire à l’Est de la RDC – n’est ni à Addis-Abeba (Union africaine) ou à Bruxelles (siège de l’Union européenne), ni à Luanda ou à Nairobi, ni même à New York (siège de l’Onu).

Elle est à Washington, précisément à la Maison-Blanche.

C’est tout de même surprenant que Kinshasa s’époumone à la chercher ailleurs, pointant le doigt accusateur sur des sous-traitants !

A dire vrai, le Rwanda n’est pas une menace majeure pour qu’on lui fasse une guerre…

Omer Nsongo die Lema