Pour encourager le partenariat public-privé: Le DG Mika Kayemba Mukeba visite les concessions situées aux PK 9 et PK 11

En mission de service depuis le dimanche 25 février 2024 à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo, le Directeur général de l’Agence congolaise de promotion immobilière (ACOPRIM), Mika Kayemba Mukeba se devait d’abord d’échanger avec les membres du Gouvernement provincial, pour leur expliquer les missions de cet établissement public à caractère scientifique et technique, et obtenir d’eux un accompagnement. Ceci, à travers la mise à la disposition de l’ACOPRIM des sites pouvant lui permettre de construire des logements décents et les équipements sociocommunautaires de base, mais aussi des villas qui vont désormais abriter les bureaux de l’ACOPRIM dans cette partie du territoire national.

La deuxième étape de cette mission consiste en la visite des sites pouvant permettre à l’ACOPRIM de développer des logements au profit de la population Tshopolaise. Conduite par Mme Claudine Malosi Dez’dale, le cortège du Dg Mika Kayemba a pris la RN 4 pour apprécier des terrains des privés, dans l’optique de conclure des partenariats publics privés. Au PK 9, plus spécialement au quartier Kilanga 2, dans la commune de Kisangani, le DG a apprécié un terrain de 9 hectares appartenant à feu le Général Mulubi. Par la suite au PK 11, dans la même commune, mais le quartier Batiakanga, le DG Mika a visité un site de 2 hectares.
Partout où il est passé, telle n’a pas été la joie du DG de l’ACOPRIM qui voudrait d’abord réunir des informations nécessaires avant que son établissement public ne se décide.


« Nous venons de visiter deux sites, le premier au PK 9 qui est de 9 hectares et le deuxième autour duquel nous sommes au PK 11 qui mesure 2 hectares. Ce sont des initiatives à encourager. Nous sommes avec Mme Claudine qui est technicienne géomètre Sud, mais travaille aussi dans l’immobilier », explique-t-il.


Et d’ajouter, étant donné que les besoins en logements sont immenses, l’Etat à lui seul ne saura pas au regard des lourdes charges qu’il a. C’est ainsi que nous encourageons le secteur privé en procédant au partenariat public privé. C’est donc le sens à donner à la visite des sites appartenant à un privé et nous verrons dans quelle mesure mettre en place un mécanisme pour travailler ensemble et construire sur ces sites des logements.
Il a souligné que par principe, le Gouvernement provincial est largement disposé à accompagner l’ACOPRIM. D’ailleurs, il s’est tenu ce mardi 27 février 2024 une grande réunion qui a réuni autour du ministre des Affaires foncières, Urbanisme et habitat, M. Alexis Bauma Lifetha, tous les chefs des divisions entre autres le cadastre, urbanisme et Habitat pour localiser et voir les patrimoines du domaine privé de l’Etat à mettre à notre disposition. Mais aussi les sites sur lesquels nous allons construire des logements que ça soit au centre-ville ou dans la périphérie de Kisangani.


Soulignons que M. Mika Kayemba Mukeba, Directeur général de l’Agence congolaise de promotion immobilière (ACOPRIM), bien qu’il ait collecté des informations utiles, il va les soumettre au Conseil d’administration qui est un organe de conception, d’orientation, de contrôle et de décision de l’Agence. C’est lui qui définit la politique générale, en détermine le programme, arrête le budget et approuve les états financiers de fin d’exercice.
Le besoin, le contexte et la situation de la Tshopo exigent de l’ACOPRIM une autre approche basée sur la proactivité dans la prise des décisions. L’ouverture et la détermination des autorités provinciales de la Tshopo est un atout qu’il faut capitaliser si on veut accompagner le chef de l’Etat déterminé à doter aux Congolais des logements décents et abordables, à créer des emplois, …




Nord-Kivu : Une délégation mixte Gouvernement-Assemblée nationale est attendu à Goma pour assister les déplacés de guerre

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a échangé, ce mardi 27 février 2024, dans son cabinet de travail, à la Primature, avec une délégation du caucus des députés nationaux élus du Nord-Kivu. Au menu de leur entretien, la prise en charge, par le gouvernement, du drame humanitaire qui prévaut dans cette province en proie à l’agression rwandaise.

“Nous avons reçu le cri d’alarme de nos compatriotes du Nord-Kivu. Un cri d’alarme qui a été saisi par le gouvernement au niveau du Conseil des ministres, qui était présidé par le chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, qui a instruit le Premier Ministre et le ministre des Finances pour que cette situation trouve une solution idoine le plus rapidement possible. Dans les heures qui viennent, nous nous rendrons, cette délégation conjointe, à Goma pour essayer d’apporter tant soit peu le soulagement à cette population en détresse “, a confié Modeste Mutinga, le ministre des Affaires sociales Actions humanitaires.

Jeannette Kavira Mapera, présidente du caucus des députés du Nord-Kivu qui s’est aussi confiée à la presse au sortir de cette audience, a confirmé l’arrivée imminente de cette délégation à Goma.

” Nous sommes une délégation des députés élus du Nord-Kivu. Nous sommes venus voir le Premier Ministre par rapport au drame humanitaire qui est en train de se vivre à Goma, à Beni, à Lubero, à Butembo, et partout au Nord-Kivu. Nous sommes venus lui dire qu’il est plus qu’urgent que le gouvernement de la République puisse venir très rapidement en aide aux populations qui sont en errance provenant de Masisi, de Rutshuru, de Beni également. Et que c’est un drame humanitaire qui mérite que l’on s’y penche le plus rapidement possible.

Il nous a confirmé que le gouvernement de la RDC a déjà pris la décision d’envoyer une délégation à Goma le plus tôt possible pour que cette situation puisse être rencontrée. Il y aura une délégation mixte gouvernement-Assemblée nationale pour aller dans les quatre coins dont nous venons de parler, c’est-à-dire Beni, Butembo, Lubero, et bien sûr, Goma, qui aujourd’hui prend le plus grand nombre de réfugiés qui sont au Nord-Kivu “, a-t-elle affirmé.

Il est important de souligner, en effet, que les exactions et les atrocités commises par l’armée rwandaise et ses supplétifs du M23 a occasionné le déplacement des populations par millions. Ce qui nécessite une prise en charge gouvernementale pour venir en aide à ces compatriotes qui ont été forcés à abandonner leur milieu de vie naturel.




ERC : l’équipe Ejiba prête à accueillir Dodo Kamba

Destitué depuis le 4 décembre 2023 par les fondateurs de l’Eglise de Reveil du Congo, l’archevêque Dodo Kamba Israël vient de démissionner pour des raisons personnelles, a-t-il signalé dans sa lettre adressée au ministre de la justice congolaise.

Et comme on dit, les linges sales se lavent en famille, cet adage veut s’appliquer aussi au sein de l’ERC, longtemps secouée par le démon de division. Il faut noter que cette crise a fragilisée l’église depuis le mois d’Août 2023. C’est ainsi que, Bravo Martin Yoka l’un des fondateurs a félicité mardi 27 février, Dodo Kamba Israël, pour avoir démissionné de ses fonctions de représentant légal de l’ERC.

Démission qu’il qualifie tout de même d’une fuite en avant. Bravo Martin Yoka soutient que l’église de Réveil du Congo se dit prête à accueillir le prophète Israël Dodo Kamba, en sa qualité d’ archevêque, conformément aux statuts régissant cette structure.

«Il n’y a pas les lettres de démission. Dodo Kamba a été déjà démis de ses fonctions et il n’était plus en fonction depuis le 4 décembre. C’est une fuite en avant, c’est une manière de confirmer qu’il ne veut pas avoir la honte de toutes les façons, c’est Dodo Kamba peut être qui avait été mis en fonction que les gens avaient peut-être acceptés de donner l’impression que le Saint-Esprit fait toujours un travail de se ressaisir pour devenir ce qu’il est. Je voudrai l’encourager et le féliciter. Lui, je ne le chasserai pas. Comme il est devenu archevêque il n’y a pas de problème », a-t-il déclaré.

Cependant, Bravo Martin Yoka somme les acolytes de Dodo Kamba Israël de pouvoir présenter également leurs démissions dans un bref délai sous peine d’exclusion au sein de la confession religieuse ERC.

« Nous sommes entrain d’organiser l’Eglise, il aura sa place mais tous ses complices, les personnes qui ont injurié et raconté des histoires doivent présenter leurs démissions pour que nous puissions comprendre que ce sont les personnes qui peuvent se convertir mais sinon nous n’arrivons pas à la fin du mois, la liste de l’exclusion de toutes ces personnes sera rendue publique. Je félicite le prophète Dodo Kamba, l’archevêque de la décision qu’il a prise parce qu’il pouvait continuer de rêver qu’il était encore président », a-t-il ajouté.

Après un long moment de tergiversations, le désormais ancien représentant légal de l’ERC Dodo Kamba Israël a décidé de jeter l’éponge pour a-t-il dit dans son communiqué, consolider la paix, la cohésion, l’unité et la quiétude au sein de l’église.

 

 

Osée kalombo




Ituri : les auteurs d’une cabale contre Johnny Luboya Nkashama visés par la justice congolaise.

Au cœur d’une cabale montée avec comme objectif de saper l’image du Lieutenant Général Luboya N’kashama Johnny sur les réseaux sociaux, dans les différentes plateformes, notamment les groupes WhatsApp, quelques blogs, ainsi que Facebook, les auteurs de cette cabale viennent d’être démasqués et identifiés. L’administration militaire qui se dit être préoccupée par cette mésaventure, promet d’engager la justice pour que les auteurs de ce sale besogne répondent de leurs actes devant la justice congolaise.

 

Par le truchement de son conseiller en communication et porte-parole, l’autorité provinciale de l’Ituri, victime de ces actes, met en garde tous les auteurs et diffuseurs de ces messages ayant comme but d’intoxiquer l’opinion. Pour le Lieutenant Jules Ngongo, ces messages ne ciblent pas seulement le gouverneur militaire mais l’armée congolaise qu’il représente en Ituri.

 

«Tous ceux-là qui sont dans cette campagne de diabolisation, en réalité, ils ne sont pas contre l’autorité, mais contre l’armée. Parce que, le code pénal militaire qualifie tous ces propos comme l’outrage à l’armée. Parceque nous reconnaissons le Lieutenant Général Luboya comme l’un des officiers des FARDC. Dans l’article 87 du code pénal militaire, il est clairement écrit que, toutes expressions injurieuses à l’endroit ou contre les officiers, sous officiers, et hommes du rang sont punissables et qualifiés comme outrages à l’armée. Et la peine est de six (6) mois à cinq (5) ans de prison ferme» a explicité Jules Ngongo.

 

Selon le porte-parole du gouverneur, un bon nombre d’auteurs de ces messages ont été bien identifiés et connus à présent. Il a profité de l’occasion pour annoncer l’action de la justice qui va débuter dans les prochaines heures contre ces présumés auteurs. Parmi les suspects, quelques journalistes ont aussi été repérés.

 

«Nous allons les traquer cette fois-ci. Nous vous assurons, ils seront jugés en pleine air. Tous les commanditaires seront dans le même sac. Qui qu’ils soient » a précisé le porte-parole du gouverneur militaire de l’Ituri.

 

Sachez que l’autorité provinciale fait l’objet des critiques et dénigrements sur les réseaux sociaux, suite à la récente attaque des éléments de CODECO et Zaïre dit « autodéfense » en Irumu et Djugu deux, entités considérées comme épicentre des troubles des groupes armés dans la province de l’Ituri.

 

 

Osée kalombo




Ça n’arrive pas tous les jours : 6 élèves foudroyés à Kabare au Sud-Kivu sont morts.

Ils sont au total, 6 morts et plusieurs blessés, tous, élèves d’une même classe tel est le bilan d’une scène d’un coup de tonnerre survenu ce mardi dans l’Ecole Primaire Kalangane de Mumosho dans le territoire de Kabare dans la province du Sud-Kivu, suite à une forte pluie torrentielle qui s’est abattue dans cette partie du pays.

 

Selon un membre de la société civile locale , ‹‹ une forte pluie a surpris les élèves en plein cours dans leur classe alors que survient ce drame qui nous étonne tous , nous venons de compter 6 élèves morts et plusieurs blessés surplace ›› a t-il souligné.

 

L’Administrateur du territoire de Kabare qui confirme la nouvelle précise pour sa part que les blessés sont transférés dans un hôpital de la place.

 

‹‹ 9 élèves ont été touchés par ce drame. 6 sont morts sur place et 3 autres blessés , les rescapés ont été admis dans une structure sanitaire de la place ››.

 

A noter que la même scène s’était produite dans l’école primaire Bukiringi, en chefferie de Walendu-Bindi dans le territoire d’Irumu. Cette fois-ci dans la province de l’Ituri, causant ainsi la mort de 5 élèves foudroyés, un certain mardi 12 décembre 2023.

 

 

Osk




Affaire Brunette Nsiliwele, surnommée Mwana Nsuka : JB Mpiana n’a pas répondu au rendez-vous de la justice

Attendu par la justice ce mardi, dans l’affaire Brunette Nsiliwele, connue sous le sobriquet Mwana Nsuka, l’artiste musicien JB Mpiana, président de l’orchestre BCBG, a brillé par son absence dans les locaux de la police spécialisée.

 

Accusé par son ex danseuse de l’avoir déflorée et violée à l’âge de 15 ans, l’artiste Jean Bedel Mpiana Tshituka n’est pas encore prêt pour coopérer avec la justice congolaise sur les accusations qui pèsent actuellement sur lui.

 

Après la sortie médiatique de madame Brunette Nsiliwele alias (Muana Nsuka) qui fut danseuse au sein du groupe Wenge BCBG orchestre cher à JB Mpiana , la justice congolaise n’est pas restée indifférente. L’unité de protection de l’enfant, prévention et lutte contre les violences sexuelles qui suit ce dossier de près , avait approché madame Brunette pour en savoir un peu plus .

 

Après avoir entendu suffisamment la concernée, un mandat de comparution avait été lancé au patron du groupe BCBG pour une confrontation avec Madame Brunette Nsiliwele qui est aussi la mère de son enfant.

 

Attendu depuis 10 h de ce mardi au bureau de la police, JB Mpiana n’a pas mis son pied dans les locaux de cette unité spécialisée de la police pour être à son tour entendu.

 

Selon des sources policières, une nouvelle invitation sera envoyée de nouveau à l’artiste afin qu’il se présente au bureau de l’unité de protection de l’enfant, prévention et lutte contre les violences sexuelles afin que la justice congolaise soit suffisamment éclairée autour de cette affaire qui continue à défrayer la chronique.

 

Osk




RDC : les confessions religieuses appellent l’Union Européenne à se désengager de son accord signé avec le Rwanda sur les matières premières.

Sous la conduite de l’archevêque président et représentant légal de l’Eglise de Réveil du Congo (ERC), Ejiba Yamapia, les chefs des confessions religieuses ont appelé mardi 27 février, l’Union Européenne (UE) à se désengager de son protocole d’accord récemment signé à Bruxelles avec le Rwanda, pays agresseur de la RDC.

Après avoir dévoilé le contenu de leur mémorandum au siège de l’UE à Kinshasa, ces hommes de Dieu ont exigé à l’Union Européenne, une implication visible dans l’agression dont la RDC est victime depuis juin 2022 de la part du Rwanda qui opère sous couvert du M23/RDF.

«Ils doivent se désengager de leur contrat. Deuxièmement, une implication visible, pas une implication de façade, on vous dit à la bouche nous sommes impliqués mais sur terrain nous n’observons rien donc nous attendons d’eux qu’ils ordonnent au M23 avec leur parrain le Rwanda que ces gens là sortent de notre territoire », a déclaré Ejiba Yamapia Evariste.

 

Les chefs des confessions religieuses qui ne jurent que sur la paix, gage du développement, ont pris rendez-vous avec les autorités de l’UE à Kinshasa pour échanger de vive-voix. Occasion pour eux, d’exprimer leurs attentes face à l’agression Rwandaise.

 

«Aujourd’hui nous avons rencontré l’ambassadeur de l’Union Européenne, nous lui avons donné le mémo, nous ne disons pas le contenu du mémo maintenant parce qu’il a accepté que nous puissions avoir une séance de travail avant que la semaine ne termine et nous attendons leur invitation. C’est pourquoi nous disons que tous les chefs des confessions religieuses ont pris rendez-vous pour parler du Congo à ceux qui sont de l’Union Européenne », a fait savoir Ejiba Yamapia.

 

Déterminés dans leur démarche, les chefs des différentes confessions religieuses abattent un travail de titan sur terrain pour contribuer tant soit peu au rétablissement de la paix dans l’Est de la République Démocratique du Congo.

 

 

Osée kalombo




Religion : Dodo Kamba démissionne de son poste du président de l’ERC.

Le feuilleton Dodo Kamba – Ejiba Yamapia appartient enfin au passé. L’évêque général Dodo Kamba, a dans une lettre adressée au ministère de la justice et garde des sceaux congolais, déposé officiellement sa démission de ses fonctions de Représentant légal de l’ERC.

Cette démission de Dodo Kamba intervient au moment où l’Eglise de Réveil du Congo est en pleine crise de leadership et à quelques jours seulement de la rencontre entre le conseiller spécial du chef de l’État et les chefs des confessions religieuses à la présidence.

Déchus par les pères fondateurs de l’ERC et remplacé par l’évêque Ejiba, Dodo Kamba avait saisi le conseil d’État pour casser la décision des pères fondateurs qui selon lui, violait non seulement la procédure et règlements qui régissent l’association de L’ Église du Reveil du Congo.

Pendant ce temps, l’église du réveil du Congo s’apprêtait à tenir son Assemblée générale devant permettre à cette structure d’être doté d’un nouveau comité.

Hugo Matadi




Opération Kin Bopeto: Gentiny Ngobila à Luanda pour réceptionner des engins d’assainissement en provenance de la Turquie

Dans le cadre de renforcer l’assainissement de la ville de Kinshasa, le Gouverneur Gentiny Ngobila accompagné de la commissaire générale chargée de l’environnement Bena Kabamba, a réceptionné, depuis le port de Loanda en Angola, des matériels en provenance de Turquie, dans l’objectif de lancer, avec son partenaire turque “Albarayk”, des grands travaux d’assainissement dans la capitale congolaise. Ceci rentre dans la droite ligne de son programme “Kinshasa-Bopeto”.

Composés notamment de Balayeuses électriques, de gros camions poubelles pour l’évacuation des déchets, de camions bennes et de compacteurs, tous ces engins ont été réceptionnés ce mardi 27 février 2024.

Il ya lieu de rappeler que le gouverneur Gentiny Ngobila faisait également partie de la délégation qui a accompagné le président Félix Tshisekedi en Angola pour répondre à l’invitation de son homologue Angolais, le président Joâo Lourenço, pour poursuivre des négociations en vue de pacifier la partie Est de la RDC.

Jomik




Soupçon de détournement à l’EPST : Papy Mangobe, n°1 de l’Ex-SECOPE convoqué à comparaitre

Sur ordre de la Présidence de la République, 12 inspecteurs de l’Inspection Générale des Finances ainsi que de la Cour des Comptes accompagnés des inspecteurs judiciaires sont à pied d’œuvre pour un contrôle sur la gestion des fonds alloués à l’EPST et dont la gestion des listings de paie se fait au niveau de la DINACOPE, Direction Nationale du Contrôle de la Paie des Enseignants.

Déjà, les observateurs patentés des tirs croisés entre l’IGF et l’EPST présageaient que le contrôle annoncé pour lundi 26 février allait secouer le Ministère chapeauté par Tony Mwaba Kazadi.

Et, visiblement, ils ne croyaient pas si bien dire puisque ce mardi le Directeur Chef de Service de la DINACOPE, anciennement appelée SECOPE, sieur Mangombe Moleka Papy a été appelé à comparaitre à la Coordination Nationale de la Police Judicaire.

Jusque-là aujourd’hui les regards restent braqués sur l’ex-Casier judiciaire où ce dernier est sensé se présenter pour y être informé des faits lui reprochés. Entre-temps, les habitués du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et technique repensent à la douloureuse épisode sous Tony Mwaba où un autre DCS à cette direction s’est vu être condamné de 20 ans comme colistier d’une fraude à grande échelle. L’on murmure qu’il faudrait justifier près de 70 millions de dollars américains. Vérité ou intox ? Wait and see !

Didier Mbongomingi