Tous les coups sont permis désormais contre l’homme anti-corruption du Président Félix Tshisekedi.

Oui, depuis qu’il a été nommé  Inspecteur Général des Finances par le Président Félix Tshisekedi, Jules Alingete a fait de la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics sa priorité. Avec son équipe de l’IGF, il a mené plusieurs enquêtes et audits qui ont révélé des scandales financiers impliquant des personnalités politiques et économiques du pays. Il a ainsi contribué à la récupération de plusieurs millions de dollars au profit du Trésor public et à la sanction de plusieurs agents véreux.

Le Président de la République, Chef de l’Etat, n’a pas manqué dans sa dernière sortie médiatique de louer l’activisme de l’IGF en le comparant à un chien méchant qui aboie contre tous les fossoyeurs essayant de détourner l’argent du trésor publique.

Mais cette croisade du ” chien méchant de fatshi contre les détournements ” n’est pas du goût de tout le monde. Certains de ces prédateurs, qui se sentent menacés par le travail d’Alingete, ont décidé de recourir à la désinformation et à la diffamation pour tenter de le discréditer et de le déstabiliser. Ils ont ainsi créé des usines à fake news, qui produisent et diffusent des documents falsifiés, des rumeurs infondées et des accusations mensongères contre l’Inspecteur Général des Finances.

Le Chef de l’Etat n’est pas dupe de ces manœuvres. Il connait la valeur et la moralité de Jules Alingete, qu’il a choisi pour mener à bien la réforme du secteur financier. Le Ciel est donc toujours bleu malgré cette vaine tentative d’accuser ce ” chien méchant de rage ”. Ici, par rage, il faudra donc comprendre ne se retrouve pas comme le prétendaient certains bons raconteurs dans les faits de corruption.

Ainsi, les tirs contre Alingete ne sont qu’un coup d’épée dans l’eau.

Poursuivant son séjour en Europe, le Président Congolais est arrivé ce vendredi à Antalya, en Turquie, où se déroule la 3 ème édition du Forum diplomatique Antalya DF.

En marge de ces assises, Félix Tshisekedi va mettre en profit son périple sur le sol Turc pour rencontrer le Président Erdogan et accordera quelques audiences.

Ce Forum qui va se dérouler pendant 3 jours, soit du 1er au 3 Mars 2024, est organisé sous les auspices de Recep Tayyip Erdogan, Président de la République de Turquie, et à l’initiative du ministère des Affaires étrangères de la République de Turquie.

Pour cette troisième édition, le Forum diplomatique d’Antalya rassemble des chefs d’État et des gouvernements, des ministres, des diplomates, des chefs d’entreprises, des universitaires, des groupes de réflexion, des représentants de la jeunesse et des médias pour un débat global.

Le thème général du Forum de cette année est « Faire progresser la diplomatie en période de troubles ». Il vise à servir de réflexion approfondie et de moyen pour rechercher une sortie pacifique de la période de turbulences que traverse notre monde.

Les guerres en cours, les actes de terrorisme, les migrations irrégulières, la montée de la xénophobie et de l’islamophobie, les risques imprévus liés à l’IA, le changement climatique, les catastrophes naturelles, les pandémies et l’élargissement des écarts socio-économiques constituent une liste non exhaustive des défis mondiaux. L’érosion, puis la perte de confiance dans l’ordre international fondé sur des règles, constitue également une tendance inquiétante, qui compromet la prévisibilité de l’environnement dans lequel les États opèrent.

Ce forum qui tombe à point nommé permettra à Félix Tshisekedi de parler de la situation de la RDC spécifiquement l’agression Rwandaise sous le label du M23 qui continue à endeuiller la RDC et provoque un déplacement massif de la population de leurs habitations habituelles.

Osée kalombo

24 heures après la publication du rapport d’enquête de l’Office du procureur général près la cour de cassation sur la mort de l’ancien ministre Chérubin Okende, son parti Ensemble pour la République refuse de cautionner les conclusions de cette enquête sur le décès de son Haut cadre Chérubin Okende.

Dans une mise au point faite ce vendredi 1er Mars, le parti de Moïse Katumbi appelle les amis de la RDC ainsi que les organisations de droit de l’homme à rassembler les efforts afin d’exiger que les experts internationaux rendent public leur rapport d’enquête.

“Ensemble pour la République réfute ces élucubrations et rejette ces conclusions qui sont totalement déconnectées de la vérité. Ce genre de comportement au sommet de l’appareil judiciaire confirme que notre justice gangrénée par l’incompétence, la corruption et l’immoralité de nombreux de ses animateurs, est plus que malade comme le rappelle souvent le Président Felix TSHISEKEDI lui-même.” peut-on lire dans ce document

Tout en condamnant fermement ce qu’il qualifie de “tentative d’occulter la vérité”, le parti Ensemble pour la République EPUBLIQUE continue d’exiger que justice soit rendue à Chérubin OKENDE et que sa mémoire soit honorée et respectée.

Derick Katola

Dans un communiqué de presse, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) porte à la connaissance de l’opinion publique que la clôture de la période de dépôt et de traitement des dossiers de candidature à l’élection des Sénateurs, Gouverneurs et Vice-Gouverneurs de province initialement prévue le 1er mars 2024 est reportée au 08 mars 2024.

Pour Mme Patricia Nseya Mulela, ce report se justifie par la recherche d’une inclusivité plus large ainsi que les contraintes d’ordre financier.

La CENI invite les candidats indépendants, les partis et les regroupements politiques à s’assurer que les formulaires et les pièces en annexes dûment signés ont été bel et bien déposés.

L’incarcération du confrère Stanis Bujakera à la suite d’un article de Jeune Afrique dont il n’a pas été l’auteur, a permis aux membres du Rassemblement des journalistes pour l’émergence du Congo, de suivre de près les enquêtes sur la mort de Chérubin Okende, ancien ministre des Transports et voies de communications et ex-porte-parole d’Ensemble pour la République.

« Devrons-nous rappeler que les mêmes enquêtes étaient à la base de l’interpellation du journaliste Peter Tiani, relaxé après la clameur publique et les pressions politiques 48 heures après », indique dans une déclaration Edmond Izuba, porte-parole du RAJEC.

Cette structure retient que beaucoup d’autres journalistes ont fait l’objet de menaces, violences verbales et actes d’intolérance par certains proches du régime et leurs fanatiques durant la période consacrée aux enquêtes judiciaires.

Devenu trop sensible parce qu’il y a eu mort d’un député en fonction, ajoute-t-il ce sujet a fait l’objet de plusieurs sorties médiatiques, souvent contradictoires, des autorités judiciaires qui interdisaient tout commentaire en attendant l’aboutissement des investigations.

Disons que bien avant la conclusion des enquêtes judiciaires, le chef de l’État Félix Tshisekedi a reconnu, comme le RAJEC et toutes les associations de défense et de promotion des droits des journalistes, que la justice congolaise est malade, illustrant son argumentaire sur le cas du journaliste Stanis Bujakera. Il a brisé le tabou en disant ouvertement que le journaliste Bujakera serait l’une des victimes de cette justice malade.

A noter que depuis le début du procès jusqu’à l’étape actuelle, la justice qui a entrepris de ternir le travail du meilleur journaliste congolais, Stanis Bujakera, n’a jamais réussi à présenter la moindre preuve sur sa participation à la rédaction de l’article incriminé de Jeune Afrique, moins encore à la fabrication du fameux rapport de l’ANR sur les enquêtes de Chérubin Okende.

Prend acte de la bonne foi du chef de l’État

Eu égard à ce qui précède, nous, membres du Rassemblement des journalistes pour l’émergence du Congo (RAJEC) : Dénonçons la mauvaise foi pure et simple de la justice qui maintient volontairement le journaliste Stanis Bujakera en prison sans aucune preuve d’accusation fondée ; Recommandons à notre confrère injustement incarcéré d’abandonner toute initiative allant dans le sens de solliciter sa remise en liberté provisoire face à ses bourreaux qui, visiblement, sont prêts à l’achever ; Prenons acte de la bonne foi du Chef de l’État, qui a reconnu l’état de notre justice et s’est jusqu’ici délibérément gardé d’agir en magistrat suprême ; Encourageons Stanis Bujakera de garder toujours haut son moral et de laisser son sort entre les mains de la justice divine.

Le Président du Mouvement de Libération du Congo (MLC), Jean-Pierre Bemba, et l’initiateur d’Agissons pour la République (AREP), Guy Loando, ont entrepris une mini-tournée significative dans la vaste province de l’Equateur. L’objectif principal de cette visite était de comprendre la situation politique actuelle dans la région.

Au cœur de l’Equateur, l’alliance MLC et AREP prend tout son sens. La présence de Jean-Pierre Bemba et Guy Loando a mis en lumière la nécessité d’une collaboration entre les leaders de ces territoires pour le bien de la province.

Commencée à Gemena dans le Sud-Ubangi et poursuivie à Mbandaka, les dirigeants du MLC et de l’AREP ont engagé des discussions fructueuses avec les élus provinciaux. L’objectif était de bénéficier de leur expertise locale tout en partageant la vision commune pour les défis à venir.

Il est à noter que Guy Loando était accompagné du Secrétaire Général d’AREP, M. Camy Richard Kalele, renforçant ainsi l’engagement de l’alliance pour une collaboration efficace entre les forces politiques.

Cette initiative s’inscrit dans la dynamique de contribuer activement à la réalisation des projets du chef de l’Etat Félix Tshisekedi, démontrant ainsi l’importance de travailler ensemble pour le bien-être de la province de l’Equateur.

L’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) a exprimé sa profonde déception ce vendredi face à la conclusion des enquêtes sur la mort de Chérubin Okende, ancien ministre des Transports de la RDC. Georges Kapiamba, président de l’ACAJ, a fustigé les “termes vagues” de la conclusion et a encouragé les parties à solliciter une contre expertise afin de faire éclater la vérité.

“L’ACAJ est profondément déçue par le manque de précision et de transparence dans la communication du Procureur Général. Il est crucial de garantir une justice impartiale et transparente dans cette affaire qui a profondément choqué la nation”, a déclaré Georges Kapiamba.

En attendant des nouvelles avancées dans l’enquête, l’ACAJ et d’autres organisations de défense des droits humains appellent à la retenue et à la patience.

Le 13 juillet 2023, Chérubin Okende a été retrouvé mort dans sa voiture, stationnée sur un boulevard de Kinshasa. Le décès de l’opposant a suscité de nombreuses interrogations et controverses. Son parti “Ensemble pour la République” avait accusé les autorités d’être des responsables de sa mort.

Gracia Kaboza

Accompagné de notables et élus du Kasaï, le conseiller du chef de l’État en charge des mines et énergies, maître crispin Mukendi Bukasa est arrivé dans la ville de Tshikapa le jeudi, par l’aéroport de Tshikapa.

Il a drainé une foule derrière lui, de l’aéroport jusqu’au bâtiment de la Ceni pour déposer sa candidature à l’élection des gouverneurs du Kasaï. On signale que l’homme du chef de l’État a reçu la bénédiction de sa famille politique, Union sacrée de la nation.

Ce dépôt officiel de la candidature du maître Crispin Mukendi s’est fait en présence du ministre national sortant de pêche, des députés nationaux, des députés provinciaux, des notables, chefs coutumiers, des structures des jeunes et un grand nombre des sympathisants des partis politiques de la famille politique du président de la République, question de marquer leur soutien à ce ticket de l’Union sacrée.

Dans une interview accordée à la presse après le dépôt de sa candidature à la centrale électorale, Crispin Mukendi promet d’étaler son programme lors de la compagne électorale.

“Je dis merci aux habitants du Kasaï pour leur accueil, merci pour l’amour, je suis flatté”, a déclaré le conseiller en charge des mines dans le cabinet du président de la République, avant d’ajouter qu’il “vient au nom de l’Union sacrée, et il a l’accompagnement de plusieurs députés nationaux de cette plateforme politique soutenant le Chef de l’État”.

Considéré comme un candidat de l’unité, maître Mukendi Bukasa devient le deuxième candidat gouverneur ayant déposé sa candidature, après Guy Mafuta.

Jean-Luc Bakampenda depuis la ville de Tshikapa

« Nous ne vaincrons jamais le SIDA en mettant de côté les autres ; le SIDA s’attrape à deux, mais se combat en groupe (…) Soyons solidaires et engagés pour un monde/une RDC sans discrimination, où chaque individu peut s’épanouir dans la dignité », a déclaré le secrétaire exécutif national de l’Ong UCOP +, Ange Mavula, à l’occasion de la célébration ce vendredi 1er mars, de la journée internationale « Zéro discrimination », liée au VIH/SIDA, sous le thème : «  Protéger la santé de tous, c’est protéger les droits de chacun ».

Selon le secrétaire exécutif national de l’Ucop +, la journée « Zéro Discrimination », instituée par le Programme commun des Nations unies contre le VIH/SIDA (ONUSIDA), vise à mettre en avant les problèmes liés aux discriminations et à les combattre. Et donc, elle est importante pour sensibiliser la population et lutter contre la stigmatisation et la discrimination liées au VIH et à d’autres formes d’exclusion sociale.

« Cette journée appelle chaque individu, partout dans le monde, à promouvoir et à célébrer les droits de chacun à vivre dans la dignité, indépendamment de son orientation sexuelle, de son appartenance ethnique, de son origine, etc. Même si elle est plus célébrée par les acteurs de lutte contre le VIH, cette journée ne se limite pas exclusivement à la lutte contre la discrimination envers les personnes vivant avec le VIH ; elle touche toutes les formes de stigmatisation et discrimination possibles. Je salue les efforts de la RDC pour questionner son cadre juridique et éliminer les lois discriminatoires. Je crois que la protection des Droits Humains est essentielle pour protéger la santé de tous. Le papillon a été choisi comme symbole de cette journée, car il représente la métamorphose que nous sommes invités à accomplir pour changer la donne », a exhorté le secrétaire exécutif national de l’Ucop + ce vendredi, 1er mars 2024.

Instituée le 1er mars 2014, la journée «  Zéro discrimination » totalise aujourd’hui dix ans. Ainsi, pense l’Ucop +, structure regroupant plusieurs associations des Personnes vivant avec le VIH, le monde a déjà accompli des progrès significatifs vers l’objectif de mettre fin au SIDA comme menace pour la santé publique d’ici 2030. Et ici, souligne Ange Mavula, il faut saluer ; «  le fait que la République démocratique du Congo soit classée parmi les pays ayant des lois non discriminatoires, mais beaucoup reste à faire dans la communauté et dans les formations sanitaires, malheureusement ».

Selon l’enquête Index stigma, réalisée en 2020 en République démocratique du Congo, 4,45% des PvVIH interviewées ont connu un refus de services de santé à cause de leur statut sérologique. Tandis que 12,75 % ont été exclus, dans les 12 mois précédant l’enquête, lors des activités sociales (mariages, funérailles, fêtes, etc.). 15,81% sont victimes de rejet sexuel alors que 14,66% ont subi la pression psychologique ou la manipulation de la part du conjoint à cause du statut sérologique, et 25,67% des personnes vivant avec le VIH ont déclaré avoir perdu leur emploi en raison des plages de discrimination.

« Tout ceci montre qu’il y a encore du travail dans ce domaine », a fait remarquer Ange Mavula, préconisant d’une part, la sensibilisation, l’éducation, la formation des communautés, des décideurs, des hommes de droits (hommes en uniformes, magistrats, OPJ), prestataires de soins, et d’autre part, assurer le suivi des mesures d’application des lois afin de mettre fin à la discrimination et stigmatisation, ces fléaux qui tuent à petit feu.

Prince Yassa

Dans son itinérance dans les différents départements de l’Office Congolais de Contrôle, la Première dame de l’Office Congolais de Contrôle, Christelle Muabilu a surpris ce vendredi 01 mars 2024, les agents et cadres du Département de Contrôle des Hydrocarbures.

Mme le Directeur Général adjoint est venue palper du doigt les conditions dans lesquelles les agents travaillent et s’enquérir des difficultés que le département rencontre dans son fonctionnement.

C’est ainsi que La première dame de l’Office Congolais de contrôle a visité les différents services que regorge le département de contrôle des Hydrocarbures, qui a dans sa mission, la certification qualitative et quantitative des produits pétroliers, des lubrifiants et des dérivés en vue de l’évaluation de la conformité .

Le Chef de Département de contrôle des hydrocarbures, Mme Malengo s’est dit agréablement surpris pour cette visite de Mme le DGA, Christelle Muabilu, avant de renchérir que Mme la DGA a voulu savoir comment se passer les prestations de son département et aussi savoir si notre département travaillait en collaboration avec le ministère des hydrocarbures.