TPM : Cinq à sept matchs au mois mars

Le TPM a entamé depuis Pretoria un mois de mars plutôt chargé. Entre les play-offs de la Ligue 1 et le quart de finale aller de la Ligue des Champions qui arrivera au lendemain de la trêve internationale (18 au 26 mars), certains Corbeaux atteindront un total de 7 matchs au cours de ce mois. Le point.

Tout va vite pour le TPM. Après son dernier match de la phase de groupes, la bande à Lamine NDIAYE est rentrée à Lubumbashi, dont le dernier groupe a atterri ce lundi 4 mars. Pas de temps de répit, dès ce mercredi, place à la phase des play-offs du championnat national, avec le début d’une série de cinq matchs prévus au cours du mois de mars.

Premier adversaire, le FC Lubumbashi Sports en clôture de la première journée émaillée de surprises et des rebondissements. Des Kamikazes qui réussissent bien aux Corbeaux : deux victoires, 11 buts marqués sans en prendre un seul lors de la phase classique

SOUVENIRS

– 4 Janvier 2024 : TP Mazembe 8-0 Lubumbashi Sports

– 10 septembre 2023 : Lubumbashi Sports 0-3 TP Mazembe

Le reste du calendrier s’annonce démentiel, avec un déplacement à Goma avant d’enchaîner deux matchs à domicile (Maniema Union le 13 mars et Don Bosco le 17 de ce même mois). Un total de quatre matchs en 11 jours, voyage par avion, escales y compris. Le derby face à Lupopo sera à coup sûr reporté, tombant sur une date CAF.

L’issue du tirage au sort des quarts de finale déterminera quel adversaire, Mazembe recevra au cours de la fourchette du 29 au 30 mars.




Numérisation des notes de perceptions : la ville de Kinshasa dote la Dgrk des outils informatiques pour la formation des agents 

C’est en prévision de la formation des ordonnateurs et taxateurs de la Direction générale des recettes de Kinshasa (Dgrk) commis à la mission de la grande échéance des taxes attendue au 31 mars 2024 que l’Exécutif provincial représenté par le ministre provincial des Finances et Economie Félicien Nkuluta a procédé ce lundi 4 mars à la remise d’un lot des matériels de bureau et d’informatique à la Direction générale des recettes de Kinshasa.

Et ce, pour rendre possible la grande formation qui s’avère importante pour la régie financière provinciale dans sa mission. La remise de ce premier lot d’outils informatiques et leurs consommables a été rendue possible grâce au contrat qui lie la ville de Kinshasa et la société Africa union développement.

Cette formation qui s’avère très importante pour la Dgrk viendra résoudre un sérieux problème, celui de l’absence des notes de perception pour les recettes dites non fiscales, notamment les taxes, les redevances et autres droits dus. Cette mise à niveau des cadres et travailleurs de la Direction générale des recettes de Kinshasa s’inscrit dans le cadre des stratégies de la mobilisation accrue des recettes, son cheval de bataille pour donner à l’exécutif provincial de Kinshasa les moyens de sa politique.

Pour Jean-Marc Makempo, chef de division en charge des taxes, cette formation pour la ville de Kinshasa était le vœu du gouverneur de la ville et du ministre provincial des Finances et Economie qui veulent que la ville puisse à présent utiliser les notes de perception numériques qui comptent beaucoup d’avantages, que nous allons étaler pendant la formation. « Cette procédure est juste une transition en quittant le système manuel pour le celui qui est informatisé », précise-t-il.

De son côté, le Directeur général adjoint de la société Africa union développement Wayeye Tshamala, ayant la charge de donner cette formation au bénéfice des agents de la Dgrk, a rapporté que les formateurs de cette session sont déjà prêts et la remise de ce matériel fera en sorte que les choses avancent dans le temps.




L’ANAPEX a pris part à la deuxième édition du « Business Forum » de l’OMC

Conduite par son Directeur Général, Mike Tambwe Lubemba, une forte délégation de l’ANAPEX a pris part à la deuxième édition du « Business Forum » organisé parallèlement à la 13ème Conférence Ministérielle (MC13) par l’Organisation Mondiale de Commerce (OMC) et la Chambre de Commerce Internationale (CCI).

Ouverts par le Directeur Général de l’OMC, Mme Ngozi Okonjo-Iweala, qu’accompagnaient le Secrétaire Général de la Chambre de Commerce International, M. John Denton AO ainsi que le Ministre du Commerce Extérieur des Emirats Arabes Unis, M. Thani Al Zeyoudi, les travaux de ce forum ont permis aux intervenants des secteurs privé et public de discuter des questions les plus urgentes auxquelles l’OMC est confrontée, et notamment de la réforme de l’OMC.

En marge de ce Business Forum, le Directeur Général de l’ANAPEX a eu de nombreux contacts à Abou Dhabi. Il a organisé des séances de travail bilatérales avec les responsables du Centre de Commerce International, dont le Directeur en charge de la Division de la Compétitivité des Entreprises et des Institutions ainsi que le Directeur chargé des Communautés Vulnérables, des Femmes et des Jeunes.

Leurs échanges ont tourné autour de la préparation de la prochaine conférence des Organismes de Promotion de Commerce (OPC), de la consolidation de la collaboration entre l’ITC et l’ANAPEX, et en particulier de la perspective de mise en place d’un programme d’accompagnement personnalisé de l’ANAPEX. D’autres questions liées au nouveau paquet du programme de l’ITC en faveur des OPC des pays d’Afrique Centrale, du programme de digitalisation du commerce et des fonds y consacrés, de la facilitation de l’insertion des femmes et des jeunes au commerce international ont également été abordées.

Les deux parties ont enfin discuté des études à mener et de la possibilité de mise en place d’une stratégie conjointe ITC-ANAPEX dans l’optique de mobiliser les ressources, d’accompagner les entreprises congolaises à acquérir de la compétitivité, de générer de l’impact et des résultats sur les exportations congolaises à terme (3-5 ans).




Déclaration de Kristalina Georgieva, Directrice générale du Fonds monétaire international, à l’issue de la première réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales du G20

Kristalina Georgieva, Directrice générale du Fonds monétaire international, a prononcé le discours suivant lors de la première réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales du G20 à São Paulo, au Brésil :

« Je voudrais remercier les autorités brésiliennes pour leur hospitalité et l’accueil chaleureux qu’elles nous ont réservé, ainsi que le ministre des Finances Fernando Haddad et le gouverneur Roberto Campos Neto, pour la détermination exceptionnelle dont ils font preuve pour nous guider dans l’ambitieux programme du G20 qui vise à construire un monde plus équitable, plus prospère, plus durable et plus coopératif, fondé sur un système monétaire international fort.

L’économie brésilienne continue d’afficher de bons résultats et les réformes menées devraient contribuer à améliorer les perspectives de croissance et le niveau de vie de la population. Je souscris aux projets des autorités, qui souhaitent que la transformation du pays mène à une économie durable, inclusive et respectueuse de l’environnement. Je souhaite également féliciter le Brésil, qui s’impose comme un chef de file mondial en matière d’innovation financière.

Je participe à ces réunions avec un message clair à faire passer : alors que les perspectives mondiales à court terme se sont récemment améliorées, les décideurs du G20 ont la possibilité de donner un nouvel élan à leurs politiques économiques et de se tourner vers les défis économiques à moyen terme. »

Perspectives mondiales, risques et enjeux

« Dans le monde entier, nous sommes prêts pour effectuer un atterrissage en douceur mais l’avion n’a pas encore touché le sol. Selon les projections, la croissance devrait s’établir à 3,1 % cette année, contre 2,9 % lors de notre dernière rencontre. L’inflation diminue plus rapidement que prévu. Dans notre scénario de référence, l’inflation globale dans le monde devrait baisser à 5,8 % cette année et à 4,4 % l’année prochaine. Cette embellie profite également aux pays en développement qui ont été coupés des marchés depuis un certain temps, comme la Côte d’Ivoire, dont la récente émission d’obligations a été plusieurs fois sursouscrite, mais aussi le Bénin et d’autres.

C’est encourageant bien sûr, mais nous devons garder trois choses en tête.

La première, les risques pouvant entraîner une révision des perspectives à la baisse. Par exemple, une inflation plus persistante en raison de nouvelles flambées de prix qui pourraient résulter de chocs géopolitiques ou d’autres perturbations des chaînes d’approvisionnement (telles que des événements climatiques), ou encore d’un assouplissement des conditions financières, qui pourrait ralentir la normalisation de la politique monétaire. Les perspectives pourraient également être revues à la hausse si l’inflation chutait encore plus rapidement que prévu. Ce serait bien sûr une bonne nouvelle pour tout le monde.

La deuxième, c’est que nous ne devons pas crier victoire trop vite, car la croissance est encore faible : 3 % par an, contre une moyenne de 3,8 % au cours de la décennie avant la pandémie. Pire encore, dans beaucoup de cas, cette situation est due à une faible productivité. Les pays qui se portent bien, comme les États-Unis et certains pays émergents, ont réalisé des gains de productivité.

La troisième, c’est que si les taux d’intérêt restent élevés plus longtemps, les risques dans le secteur financier pourraient augmenter. Une étroite surveillance est donc requise. Nous devons faire attention aux premiers signes de tension et traiter systématiquement les facteurs de vulnérabilité, en particulier au sein des institutions financières non bancaires. »

« Pour les décideurs, 2024 s’annonce comme une année délicate. Les banques centrales doivent continuer à traiter le problème de l’inflation en décidant soigneusement de réduire ou non leurs taux et selon quel calendrier, en évitant de le faire trop lentement pour ne pas affecter négativement la croissance. Les autorités des pays doivent poursuivre leurs efforts de rééquilibrage budgétaire pour reconstituer des réserves et se préparer aux chocs qui pourraient encore survenir. Nous leur conseillons d’élaborer des programmes budgétaires à moyen terme pour contribuer progressivement à ce rééquilibrage. Lorsque l’on regarde ce qui se passe dans le monde, on voit que les pays adoptent des postures différentes en matière de politique monétaire et budgétaire. Les autorités ne peuvent donc pas simplement s’inspirer de ce qui se fait ailleurs. Nous devons nous appuyer sur les données propres aux pays pour identifier l’orientation appropriée en matière de politique monétaire. Lors de cette réunion, de nombreux responsables ont parlé à juste titre des réformes structurelles qu’ils entreprennent pour augmenter la productivité, stimuler la croissance et améliorer le niveau de vie. Enfin, concernant l’intelligence artificielle (IA), les services du FMI ont produit un indicateur national très intéressant sur l’état de préparation à l’IA, qui pourrait guider les efforts des pouvoirs publics dans la transition numérique. »

Un secteur financier pour le 21 e siècle

« Les innovations nous parviennent de plus en plus vite et façonnent les paiements et la finance. Elles apportent aussi leur lot d’avantages et de risques. Nous devons veiller à regarder des deux côtés de la médaille et ne pas nous concentrer uniquement sur les risques.

Néanmoins, pour le FMI, ce sont les risques pour la stabilité macrofinancière qui sont légitimement prioritaires. Seulement, nous examinons également deux points : comment les innovations financières peuvent contribuer à l’inclusion financière et, par là même, à la croissance, et dans quelle mesure elles peuvent servir à combler les écarts entre ‘les meilleurs et les autres’. Le FMI a une dimension quasi universelle, nous avons la responsabilité de ne laisser aucun pays à la traîne. Nous portons notre attention sur trois domaines :

Premièrement, les monnaies numériques de banque centrale (MNBC). Elles ont le potentiel d’augmenter l’accessibilité. Elles peuvent également contribuer à améliorer la stabilité et l’efficacité des paiements, tant au niveau national qu’au-delà des frontières. Ces monnaies démontrent déjà leur valeur aujourd’hui. Seulement, nous devons garantir leur interopérabilité dès le départ et éviter de devoir revoir notre copie plus tard. Nous devons être conscients des risques de désintermédiation bancaire au niveau national et de sorties de capitaux au niveau mondial. Au FMI, nous nous efforçons de réunir les acquis. Nous avons rédigé un manuel sur les MNBC pour aider à partager les connaissances et les leçons tirées dans ce domaine. Il s’agit d’un document évolutif et nous comptons sur votre aide pour le rendre aussi utile que possible pour nos pays membres.

Deuxièmement, la montée en puissance des cryptoactifs. Dans ce domaine, il est nécessaire d’apporter une réponse stratégique et réglementaire globale. Les risques d’utilisation de ces actifs à des fins délictueuses n’ont pas échappé à notre attention. Nous continuerons à aider les pays à mettre en œuvre la feuille de route approuvée par le G20 pour lutter contre ces risques. Le Conseil de stabilité financière et les organismes de normalisation y travaillent. Ce que nous essayons de faire, c’est de devenir une ligne de transmission en liaison avec environ 150 superviseurs répartis dans quatre régions en organisant des activités de sensibilisation et des missions d’assistance technique.

Troisièmement, nous nous intéressons aux avancées réalisées en matière de paiements internationaux et aux innovations sur les marchés financiers, notamment la tokénisation des actifs. À cet égard, notre travail consiste à faire en sorte que les systèmes de paiement existants fonctionnent le mieux possible, et dans ce domaine, nous collaborons étroitement avec la Banque mondiale. Mais en parallèle, nous accordons un certain intérêt aux nouvelles catégories de plateformes internationales proposant des paiements et l’échange d’actifs financiers sous forme de jetons, ou tokens. Nous sommes conscients que les infrastructures de paiement doivent être compatibles avec tous ces nouveaux actifs pour que nous puissions en tirer le meilleur parti. Le travail à abattre est énorme et nous n’avons pas de temps à perdre. »

Inégalité

« Au FMI, nous mettons l’accent sur la solidité des fondamentaux macroéconomiques, afin que les pays puissent développer leur économie et élargir les horizons de leurs populations. Néanmoins, nous nous intéressons également aux inégalités, car elles pèsent sur la cohésion sociale et affectent la productivité et la croissance. À cet égard, nous avons tiré d’importantes leçons sur le rôle des dispositifs de protection sociale. Nous espérons inscrire ces dispositifs dans une démarche plus volontaire, pour aider les gens à s’aider eux-mêmes. Pour ce qui est du rôle des marchés du travail et de l’inclusion financière, nous accordons une attention toute particulière à la place des femmes dans la population active. Une de nos politiques est également là pour établir une valeur plancher pour les dépenses sociales dans nos programmes, afin que les ressources destinées à l’éducation et à la santé, qui sont des objectifs sociaux primordiaux, restent protégées.

Je tiens également à souligner l’importance d’avoir une économie mondiale intégrée, car nous savons que les échanges commerciaux sont bénéfiques à tous les pays, mais qu’ils le sont particulièrement aux pays à faible revenu. Au FMI, nous prenons à cœur de bien identifier les opportunités que nous devons saisir. L’intelligence artificielle est évidemment l’une d’elles, mais cette technologie risque également d’augmenter les inégalités si son développement n’est pas correctement encadré.

Et pour finir, les données. Disposer de meilleures données permet d’élaborer de meilleures politiques publiques. Nous jouons un rôle important dans l’initiative du G20 sur les lacunes en matière de données, notamment sur la manière de fournir des données exhaustives pour lutter contre les inégalités. »

Financement du développement et du service de la dette

« Je remercie la présidence d’avoir souligné que le financement du développement était le principal enjeu de notre époque. Malheureusement, nous donnons l’impression de reculer plutôt que d’avancer sur ce plan. Nous avons besoin d’un ensemble extraordinaire de mesures nationales et de soutien extérieur.

En ce qui concerne les mesures nationales, au FMI, nous travaillons en étroite collaboration avec la Banque mondiale et d’autres organisations pour aider nos pays membres à assurer la solidité de leurs fondamentaux macroéconomiques, et ce pour leur permettre d’atteindre des taux de croissance plus élevés et relever les niveaux de vie. Nous mesurons l’importance de la mobilisation des ressources intérieures, la source de capacité financière la plus importante dans laquelle puisent les pays pour aider leurs populations. En collaboration avec la Banque mondiale, nous avons lancé une vaste initiative de mobilisation des ressources intérieures, dans le cadre de laquelle nous aiderons nos pays membres à examiner de manière globale comment augmenter les ressources publiques, comment utiliser cet argent le plus efficacement possible, comment gagner la confiance du secteur financier pour que l’épargne se transforme en investissement productif et comment créer des marchés intérieurs de capitaux pour accroître l’efficience et l’efficacité de chaque centime placé.

En ce qui concerne le soutien extérieur, notre rôle est d’être là pour les pays membres qui ont des besoins de financement de leur balance des paiements, et je tiens à remercier les membres du G20 d’avoir contribué à renforcer la capacité financière du FMI en soutenant une augmentation de 50 % des quotes-parts lors des Assemblées annuelles de Marrakech. Nous avons maintenant besoin que nos pays membres achèvent leurs procédures respectives pour rendre cette augmentation effective. Grâce aux contributions faites aux comptes de bonification et de prêt du fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance (fonds fiduciaire RPC), nous avons atteint l’objectif de collecte de fonds de la première phase à Marrakech. En outre, les 40 milliards de dollars promis pour le fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité (fonds fiduciaire RD) permettent désormais de mettre en œuvre 17 programmes en une seule année. Nous travaillons très efficacement avec les banques multilatérales de développement (la Banque mondiale, la Banque interaméricaine de développement et les autres institutions de développement) car nous savons que ce n’est qu’ensemble que nous pourrons faire plus.

Enfin, en ce qui concerne la dette, comme beaucoup l’ont dit, le fardeau du service de la dette constitue un problème pour un certain nombre de pays très vulnérables, limitant les ressources qui pourraient être consacrées au développement. J’applaudis les efforts déployés jusqu’à présent par les membres du G20 pour que le Cadre commun soit efficacement appliqué. Quatre pays ont désormais entrepris une restructuration de leur dette, chacun bénéficiant du Cadre plus rapidement que le précédent. Je m’engage à contribuer à faire progresser les travaux visant à remédier aux vulnérabilités en matière d’endettement par le biais de la Table ronde mondiale sur la dette souveraine, et ce afin que nous puissions mieux aborder certains points, tels que le calendrier, la prévisibilité et la comparabilité de traitement. Ensemble, nous pouvons faire la différence. »




Le Supérieur général invite à la sainteté les missionnaires Oblats de la Rdc et de l’Angola

Le Supérieur général des Missionnaires Oblats de Marie Immaculée invite ses confrères de la Province du Congo à la sainteté.

Le père Luis Ignacio Rois Alonso a participé à l’Assemblée provinciale tenue à Ifwanzondo, dans le diocèse d’Idiofa, province du Kwilu, du 26 février au 2 mars. A la clôture, le Supérieur général souhaite que ses confrères prennent au sérieux les Constitutions et Règles qui totaliseront en 2026 deux cents ans depuis leur approbation par le pape Léon XII. Ce bicentenaire des Constitutions et Règles préparera les Oblats de la RDC et de l’Angola à mieux célébrer, en 2031, le centenaire de la présence de la congrégation au Congo.

Pour le Supérieur général des Oblats, vivre les Constitutions et Règles prépare tous les Oblats à vivre l’évangile, sur la voie de la sainteté, sur les traces de Jésus-Christ.

« Pourquoi ne pas rêver, a-t-il dit, qu’un Oblat qui a vécu au Congo soit déclaré bienheureux par l’Eglise » ?

Le supérieur général a présidé la messe de clôture de l’Assemblée provinciale du Congo. Il a fait baiser aux participants la croix généralement portée à la ceinture par chaque Oblat à vœux perpétuels. L’original de la croix venue de saint Eugène de Mazenod, fondateur de la congrégation, est transmis à chaque nouveau Supérieur général. Dans ses voyages, l’actuel supérieur général fait vénérer cette croix aux Oblats et à tous ceux qu’il rencontre pour leur rappeler la miséricorde de Dieu et la mission de la congrégation des Oblats de Marie Immaculée.

Après le Supérieur général, le père ROIS ALONSO, le supérieur provincial du Congo, le père Constant Kienge-Kienge, qui avait convoqué l’Assemblée provinciale, l’a clôturée après avoir remercié les 86 participants venus de la RDC et de l’Angola. Parmi eux, il a mentionné la présence particulière de six laïcs dont 2 femmes associés au charisme et à la congrégation des Oblats.

Le père Kienge-Kienge, supérieur provincial depuis quelques mois, a dit avoir reçu de l’Assemblée de ses confrères la vision et les priorités définies ensemble comme une boussole pour marcher pendant les trois ans de son mandat en pèlerins d’espérance en communion, suivant le thème de l’Assemblée reçue dans la foulée du Chapitre général des Oblats tenue en Italie en 2022. JBMK/RV




Pour couronner les efforts consentis par le DG Junior Mata : l’Agence Française de Normalisation décide de maintenir la validité de son Certificat ISO 9001en faveur de la CNSSAP 

C’est une première à la CNSSAP. L’Agence Française de Normalisation vient de livrer les résultats de son audit de surveillance 1 réalisé début février 2024 vient de livrer les résultats de son audit de surveillance 1 réalisé début février 2024. La CNSSAP maintient la validité de son Certificat ISO 9001. Et, jamais depuis son enrôlement au système de management de la qualité en 2019, la CNSSAP n’avait réussi un audit, sans non-conformité.

Difficile de ne pas voir derrière cette quasi-perfection la marque du Top Manager Junior Mata, qui se montre singulièrement parcimonieux, dans le droit fil des orientations de la Tutelle Jp Lihau Ebua. Le mérite revient également à l’encadrement d’un Conseil d’administration très alerte.

Il va sans dire que nonobstant le volume de travail intensifié par la réforme du secteur de la sécurité sociale publique initiée par le Chef de l’État, Félix Tshisekedi et son rayonnement actuel, le pilotage opérationnel et organisationnel de la CNSSAP demeure satisfaisant.

TL/CNSSAP




Des hauts responsables de la BAD chez Junior Mata pour discuter autour des opportunités d’accompagnement dans le financement privé

Le Directeur Général de la CNSSAP, M Junior Mata, a présidé une importante réunion de travail, ce jeudi 29 février 2024, avec des hauts représentants de la Banque Africaine de Développement, BAD en RDC, en l’occurrence, M. Mohamadou Hayatou, Responsable en chef régional de la BAD, et

M. HONKPEHEDJI Boris, Chef des opérations du Secteur Privé pour les pays en transition, accompagnés de leurs collaborateurs.

Les échanges éminemment techniques entre les deux parties ont tourné autour de la mission de la BAD en RDC, celle d’identifier les opportunités d’accompagnement dans le financement privé. Les établissements publics à caractère privé figurent bien évidemment dans l’escarcelle des bénéficiaires.

L’occasion faisant le larron, le DG de la CNSSAP a saisi le moment pour brosser le topo de l’historique de l’organisme de sécurité sociale qu’il gère. Le Top Manager de la CNSSAP a ainsi relevé les prouesses financières notables enregistrées au sein de l’institution lors de l’exercice 2023, à la suite de l’application de la réforme sous-tendue par la promulgation de la Loi n.22/031 par le Chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi.

L’appel lancé par la BAD ayant trouvé un écho favorable lors de ces discussions, il a été convenu de la poursuite des travaux entre experts des deux institutions, en vue d’identifier les meilleurs projets de collaboration, qui soient mutuellement avantageux.

TL/CNSSAP




Doha : Tshisekedi en visite au Qatar pour renforcer la coopération et les échanges commerciaux

Le Président Félix Tshisekedi est arrivé, ce lundi à Doha, au Qatar, pour une visite de travail de deux jours. Au programme : d’importantes rencontres en vue du renforcement de la coopération bilatérale et des échanges commerciaux entre le Qatar et la République Démocratique du Congo (RDC).

Lors de cette première journée de sa mission, le Chef de l’État a visité l’ambassade de la RDC au Qatar dirigée par Mme Valérie Lusamba Kabeya, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la RDC au Qatar.

Sur place, le Président Tshisekedi a reçu les civilités du personnel de ladite représentation diplomatique avant de rencontrer des représentants de la communauté congolaise basée au Qatar.

Ensuite, le Président Félix Tshisekedi s’est entretenu avec une délégation d’ambassadeurs des pays de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) venus lui témoigner de leur soutien pour la défense de la souveraineté de la RDC.

Le Chef de l’État va poursuivre sa visite ce mardi avec des rencontres de haut niveau et quelques séances de travail dans le domaine de la coopération économique.

Dans le but de contribuer au développement de la RDC, le Qatar se positionne comme un potentiel investisseur dans différents secteurs tels que le transport, les infrastructures, les mines, l’énergie et l’agriculture.