Tshopo : Le regroupement AACPG de Pius Muabilu se félicite de la confirmation de l’élection de Me Meschack Mandefu et Me Fautaine Mangala

Les membres du Regroupement Politique Alliance pour l’Avènement d’un Congo Prospère et Grand (AACPG), Coordination Provinciale de la Tshopo, Regroupement Politique cher à l’honorable Pius Muabilu Mbayu Mukala, ministre d’Etat, ministre de l’Urbanisme et l’Habitat de surcroit membre de l’Union Sacrée de la Nation, disent avoir appris avec joie en date du mardi 12 mars 2024, par voix des ondes, la publication de l’arrêt de la Cour Constitutionnelle portant confirmation définitive des élus nationaux.

A en croire M. Thomas Makuya Eboga, Coordonnateur provincial, le regroupement politique (AACPG) province de la Tshopo, tient à remercier vivement le Chef de l’Etat, Félix- Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République et Garant du bon fonctionnement des Institutions congolaises par le biais de la Cour Constitutionnelle pour une justice indépendante, équitable et garantie.

A cette occasion, l’AACPG par sa Coordination Provinciale de la Tshopo félicite très sincèrement les Députés nationaux notamment l’honorable Me Meschack Mandefu élu de la circonscription électorale de Kazumba conjointement de son collègue Député national, l’honorable Me Fautaine Mangala élu de la Ville de Kisangani.

Les mêmes remerciements s’adressent de manière particulière à l’Autorité morale, le ministre Pius Muabilu Mbayu Mukala pour son sens élevé de clairvoyance avérée.

Le Regroupement Politique Alliance pour l’Avènement d’un Congo Prospère et Grand (AACPG), Coordination Provinciale de la Tshopo vous rassure de son accompagnement dans toutes vos actions tendant à la matérialisation de la vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

« Puisse, Dieu le Tout Puissant Maître de Temps et de circonstance leurs comble de la sagesse et de l’intelligence, afin, d’accomplir différentes aspirations de la population Congolaise », le document publié à cet effet.




« Il n’y aura pas de cérémonie officielle à l’occasion du 20 mars, journée internationale de la Francophonie »

Le 20 mars de chaque année est célébrée, dans le monde entier, comme journée internationale de la Francophonie. Cette année, la célébration de cette journée est placée sous le thème « créer, innover, entreprendre en français ». Ce thème a, par ailleurs, été retenu comme thème principal du prochain Sommet de la Francophonie qui se déroulera, les 4 et 5 octobre 2024 à Villers-Cotterêts, en France, afin de mettre à l’honneur celles et ceux qui expriment leur créativité, leur inventivité et leur esprit d’entreprendre en français ».
Cette année, indique M. Mabiala, Ma-Umba, Délégué général à la Francophonie, Correspondant National de l’OIF pour la RDC, la célébration du 20 mars coïncide avec une période douloureuse pour la République Démocratique du Congo (RDC), avec les conséquences désastreuses de la guerre que nous impose le Rwanda, dans l’Est du pays. Le cœur n’est donc pas à la fête mais c’est l’occasion de jeter un regard critique sur l’appartenance de la RDC à la communauté francophone, sur le rôle qu’elle peut jouer au sein des instances de la Francophonie, sur les bénéfices que la RDC peut en tirer, sur la Francophonie comme instrument au service des intérêts stratégiques de la RDC, sur la Francophonie comme espace de concertation, de dialogue politique et de solidarité internationale, sur la communauté francophone comme espace linguistique de coopération économique et culturelle.
Des émissions en lieu et place de la célébration
C’est dans cette perspective que la Délégation Générale à la Francophonie et la RTNC organisent des émissions spéciales de télévision sur le thème « La Francophonie que nous voulons»!
« Ces émissions visent à expliquer à la population congolaise les différentes facettes de la francophonie, les bénéfices éventuels que pourrait tirer la RDC de son appartenance à la Francophonie et ce que la RDC devrait faire pour jouer un rôle plus prépondérant au sein de l’espace francophone et au sein de la Francophonie institutionnelle », indique-t-il.
Au cours de ces émissions, ajoute-t-il, il sera question de discuter de l’état actuel des rapports que la RDC entretient avec la communauté francophone et la Francophonie institutionnelle. Les opportunités de coopération qui existent avec les institutions de la Francophonie seront expliquées à la population congolaise. Des réponses seront apportées aux questions que se pose la population congolaise concernant la place de la RDC au sein de la Francophonie, notamment en ce qui concerne les enjeux de la guerre de l’Est. Des pistes d’actions seront expliquées à la population congolaise pour que la RDC puisse mieux tirer profit de son appartenance à la communauté francophone et à la Francophonie institutionnelle. Ces émissions seront diffusées en soirée, après le journal télévisé, le lundi 18 mars, le mardi 19 mars et le mercredi 20 mars 2024.
Un message spécial du Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Etrangères et Francophonie, Christophe Lutundula Apala Pen’Apala, sera également diffusé le mercredi 20 mars 2024.
En dépit du fait qu’il n’y aura pas de célébration officielle à l’occasion du 20 mars, le Délégué Général à la Francophonie encourage la société civile à mettre en œuvre les activités qu’elle a prévues dans le cadre de la semaine et de la journée de la Francophonie.
Le Délégué Général à la Francophonie rappelle que la RDC est membre de plein droit de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Aujourd’hui, l’OIF compte 88 Etats et gouvernements membres. En nombre de locuteurs réels, la RDC est le plus grand pays francophone, après la France. L’OIF est un cadre de concertation politique, un espace de dialogue permanent entre États et gouvernements qui ont le français en partage et un espace de coopération et de solidarité pour promouvoir le développement de ses États et gouvernements membres.
La Délégation Générale à la Francophonie est une structure permanente du Ministère des Affaires Etrangères et de la Francophonie qui sert d’interface entre la RDC et les institutions de la Francophonie.




RDC: Pas de cérémonie officielle pour la célébration de la journée internationale de la Francophonie en 2024

Le gouvernement de la République Démocratique du Congo par le biais du ministère des affaires étrangères à annoncé qu’il n’y aura pas de cérémonie officielle pour la Journée internationale de la Francophonie cette année. Cette décision a été prise en raison de la situation sécuritaire difficile dans l’est du pays, causée par les conflits armés.

Le ministère des affaires étrangères a également souligné l’importance de la Francophonie comme instrument au service des intérêts stratégiques de la RDC, espace de concertation, de dialogue politique et de solidarité internationale.

Malgré l’absence de la cérémonie officielle, la Délégation Générale à la Francophonie et la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC) organiseront des émissions spéciales télévisées sur le thème “La Francophonie que nous voulons”.

Ces émissions seront diffusées en soirée, après le journal télévisé, du 18 au 20 mars 2024. Elles permettront de réfléchir sur le rôle de la Francophonie dans le contexte actuel et de proposer des pistes d’avenir pour cette organisation.

L’absence de la cérémonie officielle pour la Journée internationale de la Francophonie en RDC le 20 mars 2024 est un symbole fort au regard du contexte difficile que traverse le pays. Cependant, les émissions spéciales organisées par la Délégation Générale à la Francophonie et la RTNC permettront de maintenir le dialogue et la réflexion sur le rôle de la Francophonie dans le monde d’aujourd’hui.




RDC: Stanis Bujakera condamné à 6 mois de prison 

Le journaliste Stanys Bujakera condamné à 6 mois de prison pour falsification et contrefaçon et faux en écriture. Le verdict du tribunal de Grande Instance de Kinshasa-Gombe a été rendu dans la soirée de ce lundi 18 Mars 2024.

Le correspondant de Jeune Afrique est aussi sommé de payer 400 dollars de dommages et intérêts.

En détention depuis près de six mois, Stanis Bujakera devra en principe quitter la prison dans les heures qui suivent.

Notons que le procureur de la République avait requis 20 ans de prison et 7500 dollars de Dommages et intérêts.

Notons que le directeur de publication adjoint d’ACTUALITE.CD et correspondant de Jeune Afrique est détenu à la prison de Makala depuis près de sept mois. Il a été accusé d’avoir publié un extrait du rapport de la DEMIAP sur l’assassinat de Chérubin Okende

 

 

Loup solitaire




« Notre planète ne saurait être vivable si les espèces sauvages ne sont pas préservées »

En 2014, lorsque le Groupe de la Banque mondiale a pris part à une réunion sur le commerce illégal d’espèces sauvages organisée sous l’égide du prince Charles, un éléphant était victime de braconnage toutes les 20 minutes. Dix ans plus tard, le braconnage recule dans une grande partie de l’Afrique, et ce résultat est le fruit des efforts acharnés déployés par les pays, les communautés et la société civile. Quelles sont les avancées que nous avons obtenues cours de la dernière décennie ?

La criminalité environnementale opère souvent à l’échelle transnationale, et le combat doit être mené au même niveau. Il y a dix ans, 46 pays ont signé la déclaration de Londres sur le commerce illégal des espèces sauvages, une étape importante dans la coopération mondiale pour la conservation de la faune sauvage. Ces pays se sont engagés à renforcer les lois contre le braconnage et à faire reculer la demande de produits issus d’espèces sauvages en modifiant les comportements et en adoptant une législation qui criminalise l’importation ou l’utilisation d’espèces vendues illégalement. Consciente des risques de surexploitation, la déclaration appelait également à une utilisation durable, licite et traçable des espèces sauvages. Elle est venue compléter les dispositions de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), qui avait ouvert la voie à une riposte coordonnée — depuis l’offre jusqu’à la demande — grâce à de solides partenariats entre les organismes chargés de l’application de la loi, le secteur privé et les populations concernées.

Ce cadre favorable a encouragé l’adoption par les pays de politiques et de mesures coercitives visant tous les maillons de la chaîne du trafic, ces actions s’accompagnant de la mise en place d’institutions publiques mieux dotées en ressources et soutenues par la société civile et les organisations communautaires. La création du Programme mondial pour la vie sauvage illustre les bienfaits de cette coopération. Doté de 365 millions de dollars et financé par le Fonds pour l’environnement mondial (GEF), ce programme est mis en œuvre dans 38 pays. Il a pour objectif d’aider les pouvoirs publics à renforcer un développement économique fondé sur la vie sauvage, à éliminer la criminalité liée aux espèces sauvages et à favoriser la coexistence entre l’être humain et la faune sauvage. Grâce à ce programme, les mesures anti-braconnage ont été renforcées dans près d’une centaine de sites essentiels pour la biodiversité mondiale. Des éléphants du désert au Mali aux tigres et rhinocéros de l’écosystème du Leuser sur l’île indonésienne de Sumatra, on observe déjà une réduction du braconnage dans 20 de ces sites. Ainsi, en Éthiopie, grâce à l’amélioration des capacités de contrôle et de répression, 90 % des affaires de commerce illégal d’espèces sauvages portées devant les tribunaux du pays aboutissent désormais à des condamnations assorties de peines appropriées. En Thaïlande, des initiatives visant à modifier les comportements ont permis de réduire de 30 % l’intention des consommateurs d’acheter de l’ivoire et des amulettes à base de peau de tigre.

La lutte contre la criminalité liée à la faune sauvage passe aussi par l’utilisation de techniques nouvelles et anciennes. Par exemple, au Viet Nam, les technologies numériques permettent aux responsables de zones protégées de mieux surveiller, patrouiller et signaler les cas de braconnage et les autres menaces directes qui pèsent sur la biodiversité. En République du Congo, des chiens renifleurs spécialisés peuvent désormais détecter les produits illégaux issus de la faune sauvage, tandis qu’au Gabon, le Groupe de la Banque mondiale a contribué à financer le premier centre d’analyse génétique de la faune sauvage en Afrique centrale qui permet d’identifier la provenance de l’ivoire. Les gardes forestiers, lorsqu’ils sont dotés de protections adéquates, d’équipements adaptés et d’un encadrement coopératif, restent le principal moyen de prendre les criminels sur le fait et, mieux encore, de les dissuader de passer à l’acte.

Ces succès s’accompagnent toutefois de nouveaux défis. La résurgence des populations d’animaux sauvages a des conséquences pour les humains. Selon 73 % des personnes interrogées dans le cadre d’une enquête menée par le Programme mondial pour la vie sauvage, les conflits entre l’homme et l’animal sont en hausse dans leur pays et, dans les pays à faible revenu, ils menacent la sécurité alimentaire et, souvent, la vie des habitants. Dans le sud du Panama, par exemple, l’augmentation de la population de jaguars met en danger le bétail. Ici aussi, des technologies anciennes et nouvelles sont mises à contribution. Elles permettent de protéger le bétail en suivant les habitudes migratoires des jaguars et en établissant les habitudes de pâturage. L’installation de clôtures et d’alarmes est également utile, comme on l’a observé dans la région de l’Himalaya, en Inde, où des systèmes d’alarme dissuasifs ont permis de réduire de 50 à 75 % les pertes agricoles dues aux moutons bleus. La mise en place de systèmes d’assurance, qui servent de filets de sécurité pour compenser les pertes de récoltes ou de bétail, peut également être une option de dernier recours, mais elle joue un rôle de plus en plus important car nous partageons les mêmes espaces que les espèces sauvages.

En fin de compte, rien ne saurait mieux faire reculer la criminalité liée aux espèces sauvages et éviter le risque d’une hausse des conflits entre l’homme et l’animal qu’une économie légale et florissante. En Zambie, où 40 % des terres bénéficient d’une protection, les voyages et le tourisme procurent 7,2 % des emplois et 7 % des revenus de la population. Deux parcs nationaux fournissent à eux seuls plus de 35 000 emplois. Lorsque la faune sauvage crée des emplois et contribue aux revenus, cela incite les communautés locales et les pouvoirs publics à en améliorer la gestion et la conservation, au profit de tous.

Notre mission est de mettre fin à la pauvreté sur une planète vivable. Rien n’illustre mieux cette mission que la présence d’animaux sauvages en bonne santé, à la fois porteuse d’emplois et incarnation d’une nature préservée.




Hanane Thamik : la démocratie à la chinoise est une approche unique qui priorise la participation, la consultation et la stabilité

Dans une interview accordée à CGTN Français, la Marocaine Dr Hanane Thamik a donné sa lecture de la démocratie populaire intégrale en Chine. Pour elle, cette forme de démocratie contribue à la gouvernance efficace et à la stabilité sociale de la Chine.

Dr Hanane Thamik, collaboratrice de CGTN et du magazine canadien États de splendeur, a affirmé que la démocratie à la chinoise est inclusive dans la mesure où elle favorise un sentiment de responsabilité parmi les citoyens. Ce qui contribue à la gouvernance efficace et à la stabilité sociale en Chine, selon elle. « La mise en œuvre de la démocratie populaire en Chine est un système complexe et multiforme qui diffère considérablement des modèles de démocratie occidentaux. Ce système met l’accent sur l’importance de la participation et de la consultation directes de la population à différents niveaux de gouvernance », a expliqué Dr Thamik.

De son avis, la recherche du consensus et la consultation est une des caractéristiques de la démocratie populaire en Chine. A titre d’exemple, les processus décisionnels impliquent souvent de vastes consultations avec diverses parties prenantes. Une autre caractéristique, a décrit Dr Hanane Thamik, est l’accent mis sur la participation à la base. « Grâce à des mécanismes tels que les comités de village et les conseils de quartier, les citoyens ont la possibilité de participer directement aux processus décisionnels locaux. Cela renforce non seulement la légitimité de la gouvernance, mais également favorise un sentiment de responsabilité parmi les citoyens pour le développement de leurs communautés », a-t-elle argué.

Aux dires de Dr Thamik, la démocratie à la chinoise est une approche unique qui priorise la participation, la consultation et la stabilité. « Bien qu’elle diffère considérablement des modèles de démocratie occidentaux, elle présente des caractéristiques et des avantages distincts qui contribuent à une gouvernance efficace et à la stabilité sociale en Chine », a-t-elle souligné.




Diplomatie : L’UDS félicite le président russe Vladimir Poutine pour sa réélection

La Fédération de Russie a organisé, du 15 au 17 Mars 2024 l’élection présidentielle à laquelle a participé le président sortant en tant que candidat.

À l’issue de cette présidentielle remportée haut la main par Vladimir Vladimirovitch Poutine avec plus de 87%, l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, par le biais de son président national, monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, vient d’adresser un message de félicitations au grand vainqueur.
Ce message est ainsi libellé:
“Monsieur le Président,
“Au nom des Membres de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, et au mien propre, je m’empresse de Vous présenter mes sincères félicitations à l’occasion de Votre réélection à la Présidence de la Fédération de Russie lors de l’élection présidentielle du 15 au 17 Mars 2024.
“L’annonce de Votre éclatante et brillante victoire a été très bien accueillie par l’ensemble de la Communauté Internationale qui lutte, sans relâche, en faveur de l’avènement du Nouvel Ordre Mondial Multipolaire dont Vous êtes l’un des ténors au sein des BRICS.
“Porte-étendard des victimes injustes de l’impérialisme déshumanisant caractérisé par le néocolonialisme, le pillage, la violation de la Charte des Nations-Unies, Vous avez encore un rôle important à jouer dans le concert des Etats en lutte pour l’instauration d’une paix mondiale durable et la sécurité internationale sur notre planète.
“Notre Parti, Union des Démocrates Socialistes, UDS, qui soutient inconditionnellement la lutte anti-impérialiste, Vous accompagnera dans Vos louables et inlassables efforts en faveur d’un monde juste, pacifique, débarrassé de toutes formes de violence injustifiée et de l’asservissement.
“Votre réélection constitue, à notre humble avis, un gage de sécurité pour tous les Peuples du monde en ce sens que Vous poursuivrez Votre noble combat pour la cohabitation pacifique entre les Etats.
“L’Union des Démocrates Socialistes, UDS, reste enfin convaincue de Votre inébranlable détermination qui a mis en échec les ennemis de la Fédération de Russie. Car, les récentes 15 000 ignobles sanctions contre le régime russe n’ont fait que renforcer l’adhésion du Peuple Russe à Votre illustre personne.
“Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’assurance de ma très haute considération.
“LE PRESIDENT NATIONAL,
“Crispin KABASELE TSHIMANGA BABANYA KABUDI “Sénateur honoraire
“Membre du Mouvement International Russophile
“Co-Fondateur du Conseil d’Affaires Crimée-Afrique”
Ce message de félicitations renforce, une fois de plus, les relations entre les membres du Mouvement International Russophile, MIR.
Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




Dr Hanane Thamik : L’impact global s’avère bénéfique quant aux échanges entre les pays africains et la Chine dans le domaine de la démocratie et de la législation

Dr Hanane Thamik est collaboratrice de CGTN et du magazine canadien États de splendeurs. Originaire du Maroc, elle a déclaré dans une interview accordée à CGTN Français que son pays et d’autres États africains ont accentué la coopération avec la Chine dans plusieurs secteurs du développement. Les domaines de la démocratie et de la législation ne sont pas en reste dans ces échanges.  Ils contribuent à une compréhension mutuelle.

En dépit de la différence entre les systèmes politiques chinois et africains, les échanges entre les pays africains et la Chine dans les domaines de la démocratie et de la législation favorisent un partage d’expériences précieuses, d’apprentissage et de compréhension mutuelle. Tel est l’avis de la Marocaine, Dr Hanane Thamik. « Un aspect notable de cette coopération est l’échange d’idées et de meilleures pratiques en matière de processus législatifs et de modèles de gouvernance. Les pays africains, dont le Maroc, ont eu l’occasion d’observer l’approche unique de la Chine en matière de gouvernance et l’accent mis sur le développement économique tout en maintenant la stabilité politique », a-t-elle indiqué. A l’entendre, ces échanges entre les deux parties ont souvent débouché sur des résultats probants. Les pays africains, a soutenu Dr Thamik, ont été capables d’adapter certains aspects des stratégies de développement de la Chine à leur propre contexte, en particulier dans des domaines tels que les infrastructures, la réduction de la pauvreté et l’industrialisation.
Dans l’ensemble, elle a laissé entendre que l’impact global des échanges et de la coopération entre les pays africains et la Chine dans le domaine de la démocratie et de la législation peut être considéré comme bénéfique. Ces partenariats, selon elle, favorisent le dialogue et la collaboration et contribuent à l’apprentissage et au développement mutuel. Ils dynamisent sur la même lancée la capacité des pays africains et de la Chine à relever les défis complexes de la gouvernance.




Kinshasa : Un immeuble de 6 étages s’affaisse à Gombe

Un immeuble de 6 étages en construction s’est affaissé ce lundi 18 Mars au Rond-point Safricas non loin de l’hôpital “médecin de nuit” dans la commune de la Gombe sous l’œil impuissant des riverains et autres passagers.

Alerté, le gouverneur de la ville de Kinshasa est descendu sur le lieu pour s’enquérir de la situation.

Selon les témoins sur place, les voisins ont dès lors évacué leur biens et vidé les lieux. Ils indiquent aussi que les constructeurs de cet immeuble ont pris la fuite.

 

JL Makoyi




Kinshasa : Gentiny Ngobila inspecte l’évolution des travaux sur les avenues Nguma et Boboliko

Le gouverneur de la ville de Kinshasa, a effectué, le week-end dernier, une visite d’inspection des chantiers sur les avenues Nguma et Boboliko respectivement dans les communes de Ngaliema et de Kintambo.

Une visite d’inspection qui a permis à l’autorité urbaine de pousser la société Aaron Sefu Sarl à accélérer avec les travaux sur ces deux chantiers. Sur place, Gentiny Ngobila Mbaka a reçu de la part des ingénieurs chefs des chantiers de cette société, certaines doléances relatives aux difficultés qui ralentissent l’évolution des travaux, entre autres les câbles de la Snel et les tuyaux de la Régideso. Le chef de l’exécutif provincial a promis de s’impliquer pour qu’une solution soit vite trouvée.

Par ailleurs, le gouverneur de la ville a loué le partenariat entre son gouvernement et la société Aaron Sefu Sarl, soulignant que cette entreprise de droit congolais travaille avec préfinancement, et s’est engagée d’assurer l’entretien de ces ouvrages pendant 13 ans.

Poursuivant son itinérance, le premier citoyen de la ville de Kinshasa s’est rendu au parc Ngobila qui est en plein aménagement en aval du pont Bongolo dans la commune de Kalamu. Là aussi, Gentiny Ngobila a instruit les ingénieurs de la société Afrimex d’appuyer sur l’accélérateur en vue de finir la construction du canal sur la rivière Kalamu.

L’occasion faisant le larron, l’autorité urbaine a annoncé l’inauguration du Marché central de Kinshasa pour la fin du mois d’avril. Il a rassuré que les travaux de cette imposante batisse sont presque finis. Dans l’optique de la pérennisation de sa vision, le patron de la ville de Kinshasa a émis le vœu de voir son successeur poursuivre sur cette lancée, afin que la ville de Kinshasa se modernise davantage tel que voulu par le Président de la République Félix Tshisekedi.

 

 

Mboshi