DCMP : Le Conseil d’Administration veut reprendre les choses en main ! 

Ce samedi 23 mars, autour du patriarche Jonas Mukamba Kadiata Nzemba, que les membres du Conseil d’administration de l’équipe Daring Club Motema Pembe de Kinshasa (DCMP/k) réunis ont pris, à l’unanimité, 4 fortes décisions pour la suite de la vie du club:

La Mise en place d’une commission pour trouver des solutions aux différents contentieux qui touche le club Vert et Blanc de la capitale.

Le Conseil d’administration a mobilisé séance tentante une somme 30 000 Dollars Américains pour amorcer les processus de paiement des dettes pour aboutir à la levée de la de la suspension de non recrutements des nouveaux joueurs qui frappe l’équipe

« Le Conseil d’administration invite ce mercredi 27 mars le président de coordination et son comité pour un échange sur la situation du club et les nombreux contacts en faveur du club », indique-t-il, avant d’ajouter que le Conseil d’administration condamne avec la dernière énergie les actes de vandalisme perpétrés dans la résidence du patriarche Jonas Munkamba.

Pendant ce temps, la coordination de la même équipe annonce l’arrivée imminente d’un preneur du club pour relancer les activités.

OM




L’IGF devant l’Assemblée générale du syndicat TJS pour expliquer les mécanismes de l’alerte contre les antivaleurs

L’Inspection générale des finances (IGF) a été sollicitée pour son expertise en la matière, vendredi 22 mars 2024, à l’assemblée générale du Syndicat interprofessionnel transparence et justice sociale (TJS) qui s’est tenue dans l’enceinte du ministère des Affaires étrangères autour du thème « Lutte contre la corruption par l’implémentation de la transparence : mécanisme d’alerte ».

La corruption étant un phénomène qui représente aujourd’hui un sujet majeur contre le développement de la RDC dont les méfaits sont ancrés dans les institutions publiques, le syndicat TJS a permis à ses adhérents de s’informer sur des mécanismes d’alerte à mettre en œuvre contre les antivaleurs tels que les détournements, la fraude, la corruption et tant d’autres.
Ayant pour mission de lutter avec rigueur contre les antivaleurs prônant la défense des droits, ainsi que des intérêts matériels et moraux, collectifs et individuels des travailleurs, le syndicat JTS a, pour ce faire, associé l’IGF qui y a été représentée par l’inspecteur général des finances et coordonnateur adjoint, Henry-Paul Kazadi.
Le représentant de Jules Alingete Key a exposé sur les mécanismes d’alerte pour lutter contre la corruption. Il a sensibilisé les participants à faire preuve, à chaque instant, du sens patriotique en incitant les citoyens à dénoncer dans toutes les formes d’antivaleurs auxquels ils pourraient être témoins ou victimes.
« Notre participation c’est essentiellement au niveau des mécanismes de saisie de l’IGF, lorsqu’on est au courant des méfaits de corruption, de détournement, de fraude en matière des finances publiques. Nous savons que la lutte contre la corruption est une lutte qui est globalisante, transversale ; Nous sommes une branche de l’administration, il y a la société civile et d’autres structures de l’Etat qui sont appelées à concourir contre tous ces méfaits», a expliqué Henry-Paul Kazadi.
Le président du TJS estime qu’à travers la lutte ardente à laquelle est engagée l’IGF dans les institutions publiques, les finances de l’Etat sont bien encadrées.
« Nous luttons contre les antivaleurs présentes dans nos institutions publiques de manière à ce que les finances publiques de notre pays puissent être en bonne santé et qu’en contre-partie les agents de l’Etat, les travailleurs aillent les rémunérations auxquelles ils ont droit », a fait savoir le président du TJS qui a par ailleurs souhaité que l’IGF ne travaille pas seule, le peuple doit prendre à bras-le-corps cette lutte, de manière à identifier et mieux combattre les comportements inadmissibles présents dans les finances publiques pour le décollage de la RDC.
Le président du TJS, Henry Paul Kanakana, pense qu’il était nécessaire pour cette structure de connaitre les mécanismes d’alerte pour pouvoir accompagner l’IGF dans cette tâche.
Vu l’importance des matières abordées par les intervenants à cette assemblée générale, il revient maintenant aux travailleurs et agents publics de rendre utiles les enseignements reçus afin de combattre efficacement ces antivaleurs dans le pays.

Celcom IGF/DMM




Élections des gouverneurs au Sud-Kivu : l’ADIB invite les députés à faire un choix judicieux

L’association pour la défense des intérêts du Kivu-Bukavu (ADIB) a organisé le 14 mars 2024 un atelier de réflexion sur la problématique de la gouvernance au Sud-Kivu au Centre interdiocésain de Kinshasa pour actualiser les résolutions d’autres séminaires ateliers et tables rondes organisés précédemment à Kinshasa et à Bukavu sur le même sujet afin de proposer aux élus provinciaux, électeurs des sénateurs, gouverneur et vice-gouverneur, quelques recommandations pouvant garantir la stabilité des institutions provinciales notamment le profil idéal du prochain gouverneur de province.

Reçu sur le plateau de Télé 50, Gustave Bagayamukwe Tadji, président de cette association sans but lucratif ASBL ADIB, a fait remarquer que le problème de sa province part du démembrement du Grand-Kivu qui devrait être suivi d’une évaluation deux ans plus tard, afin d’examiner si l’objectif de rapprocher davantage les gouvernants des gouvernés visé par la décision du comité central, (assemblée nationale) de l’époque était favorable à la bonne gestion des entités décentralisées pour l’étendre dans d’autres provinces, si non revenir au Grand-Kivu dont la ville de Bukavu était le chef-lieu. Cependant, a poursuivi le notable, beaucoup de coïncidences malheureuses se sont accumulées et ont atteint leur point culminant en 2010 avec les crises institutionnelles qui n’ont pas permis aux gouverneurs imposés d’une manière ou d’une autre, de garder la tête de l’exécutif provincial plus d’une année en moyenne.

Le constat est que “de 1997 jusqu’à ce jour, le Sud-Kivu compte 17 gouverneurs pendant que les autres provinces en compte au maximum 7, surtout, comparativement à celles du Nord-Kivu et du Maniema qui ont connu les mêmes périodes d’occupations particulières sous les régimes AFDL et RCD . Le constat amer qui nous a réveillés c’était en 2010. A l’époque c’était une crise institutionnelle très grave, parce que non seulement les députés provinciaux eux-mêmes avaient voté une motion de défiance contre le bureau de l’Assemblée provinciale, mais aussi et concomitamment Kinshasa avait rappelé le gouverneur de province de l’époque en consultation et finalement l’obligé de démissionner”. C’est dans ces circonstances que l’ADIB a découvert que pendant 14 ans aucun des gouvernements provinciaux qui se sont succédés n’a eu le temps matériel de travailler pour le développement de la province alors que le pouvoir central doté à la province des fonds nécessaires à la réhabilitation des routes, à la relance de la cimenterie de Katana, la sucrerie de Kiliba, pour ne citer que ces projets parmi tant d’autres.

Ce leader regrette que la conférence de 2010 tenue à Kinshasa ayant rassemblé plus de 400 filles et fils du Sud-Kivu ait abouti à des résolutions qui n’ont jamais été mises en pratique pour baliser la bonne gouvernance et une paix durable dans la Province du Sud-Kivu.

 

A l’en croire, le rejet des gouverneurs par la population est une réaction naturelle du fait de son comportement développé pour résister aux guerres et occupations imposées antérieurement par les rébellions Muleliste, les mercenaires de Jean Schrame, Bob Denard, l’AFDL et le RCD. Cette population refusera toujours les gouvernants imposés d’une façon ou d’une autre.

C’est l’explication que donne le Président de l’ADIB, Monsieur Gustave BAGAYAMUKWE comme résultante de la crise de confiance de la part de la population à travers l’assemblée provinciale aux gouvernements provinciaux émanation actuelle des arrangements politiques au detriment malheureusement de la volonté populaire.

Les gouverneurs qui répondent aux ordres des autorités morales de leurs familles politiques en lieu et place de répondre aux aspirations profondes de la population.

C’est pourquoi, a-t-il argumenté, cette fois-ci les Sud-kivutiens désirent avoir à la tête de leur province une personnalité connue et qui connaît les vraies réalités de toute la province avec son histoire et ses réalités de terrain, une personnalité qui maîtrise les réalités de tous les 8 territoires constitutifs de la province et qui a prouvé qu’il est rassembleur et vit au-dessus des pesanteurs identitaires d’ordre tribalo-ethniques.

Porte-voix de la population du Sud-Kivu, Gustave Bagayamukwe Tadji invite les décideurs à porter une oreille attentive aux cris de détresse de cette dernière en lui donnant l’occasion cette fois-ci d’être dirigée par un Gouverneur choisi parmi ses leaders indépendamment des appartenances politiques et origines tribales.

Un homme qui répond au critère principal de la méritocratie, l’excellence et l’élitisme parmi les candidats gouverneurs affichés.

Quelque soit son parti politique et ses origines, la démocratie doit être bien encadrée pour que chacun des grands électeurs fasse son choix librement en fonction des critères recommandés.

1) Etre de nationalité congolaise ( père mère et conjoint)

2) Justifier d’une forte personnalité

3)Être patriote, rassembleur et bon communicateur

4)Avoir une bonne connaissance de la province (Bukavu et les 8 territoires) ainsi que des relations intercommunautaires

5)Avoir une expérience avérée dans la gestion de la chose publique

6) Avoir un niveau de formation suffisant (au moins de niveau graduat)

7)Faire preuve d’un sens élevé de dignité, d’intégrité, d’honorabilité, d’équité, d’humilité et d’altruisme

8)Etre au dessus de tout soupçon des malversation financière

9)Etre capable d’associer les gouvernés à la conduite des affaires publiques de la Province et de rendre compte régulièrement

10) S’abstenir d’exercer le commerce même par personne interposée durant le

Ainsi, Gustave Bagayamukwe Tadji a déclaré que sa sortie médiatique s’inscrivait dans la ligne droite de l’interpellation du chef de l’État qui a appelé la ministre de la Justice à mettre toutes les batteries en marche pour combattre la corruption, puisque c’est grâce à cette dernière que beaucoup de candidats gouverneurs sans vision et non portés par le peuple se font élire.

DMK




La Dotation-TFM lance les travaux d’asphaltage de 2,3 km de la voirie de Tenke

Dans l’exécution de sa responsabilité sociétale, TFM s’est employé depuis son avènement dans la région à livrer des services de base de qualité à sa communauté riveraine. Par divers instruments, notamment le Cahier des charges et le Fonds social communautaire de TFM, l’entreprise a réalisé de grands ouvrages dans différents secteurs, dont la santé, l’éducation, l’agriculture, les infrastructures, et bien d’autres.

 

Dans cette optique, avec la Dotation-TFM, auparavant Fonds social communautaire de TFM, la voirie de l’agglomération de Tenke continue à être renforcée. 2,3 km de route asphaltée vont être ajoutés aux 5 km déjà livrés à la communauté par le Fonds social communautaire de TFM.

 

Cette route est la principale artère routière de l’agglomération de Tenke. Sa remise en état totale va désenclaver durablement l’agglomération en lui ouvrant une voie d’accès à la route nationale nº 39, connue sous le nom de route Kolwezi, mais aussi en reliant ses différents quartiers, et ainsi contribuer à relever l’économie locale.

 

Cette rénovation du réseau routier combiné au réseau ferroviaire existant du Sud Katanga donne à Tenke une importance stratégique pour la RDC. La cité de Tenke est une interconnexion ferroviaire qui relie le chemin de fer Benguela, qui vient de l’ouest, et le chemin de fer Le Cap – Le Caire, dans une direction sud-nord. Par la ligne de chemin de fer de Benguela, la cité accède à Kolwezi, Dilolo, Luena, Huambo et Lobito. Par la ligne Cabo-Caire, Tenke accède aux villes de Sakania, Lubumbashi, Kamina et Kindu.

 

Sous les ovations de la population locale et un couvert musical traditionnel local rendu par le groupe folklorique Lwanzo lwa Mikuba, les travaux ont été lancés le mercredi 20 mars, par les responsables de cette nouvelle structure, la Dotation-TFM.

En partenaire et bailleur de fonds de la Dotation-TFM, la société TFM a été représentée à cette cérémonie par son Directeur Générale adjoint, John Woto, ainsi que le représentant de la société TFM au sein de la dotation, Hugo Sinza.

 

C’est promis ! Au bout de 4 mois, hors intempéries, cette section de route va être livrée, a fait savoir l’entrepreneur Invest Congo. Elle sera identique à la section de 5 km déjà livrée par le Fonds social communautaire de TFM. Une couche de roulement de 7 m de largeur, des bordures alternées, des assainissements de drainage des eaux, en plus des trottoirs en béton pour piétons.

 

Appelant la population à pérenniser les œuvres communautaires, le Directeur Provincial du Fonds de promotion sociale exhorte la population à nourrir des relations fructueuses avec TFM, le bailleur de fonds de la DOT-TFM. Il salue l’initiative de TFM d’avoir été à « l’avant-garde de la constitution de la dotation 0,3 % ». Son message a été relayé par plusieurs responsables présents à la cérémonie.

 

C’est depuis le mois de novembre 2023 que le Fonds social communautaire de TFM a officiellement rendu ses passifs et actifs à la Dotation-TFM, qui, comme sa génitrice, bénéficie de l’allocation de 0,3 % du chiffre d’affaire de TFM.

Dans un passé récent, joignant l’utile à l’agréable, le Fonds social communautaire de TFM a rénové le réseau électrique de l’agglomération de Tenke et celui de Fungurume. Tenke et Fungurume sont les deux grands centres urbano-ruraux de la concession de TFM, comptant respectivement une population d’environ 50 000 et 270 000 habitants.




13ème rue Limete : La DGRK dénonce une tentative de spoliation d’une de ses propriétés 

La spoliation des biens immobiliers de l’état Congolais persiste en RDC.

Une autorité militaire a tenté de spolier une parcelle de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa, située sur la 13ème rue résidentielle, dans la commune de Limete.

Ayant appris la nouvelle, le Directeur Général de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa, M. Musaka Mayelenkay Michée, a envoyé une délégation conduite par Mme Sanganyi Bulambo Mamie, Directeur de la Coordination, Etudes et Contentieux.

“Nous sommes la délégation de la DGRK. Nous avons été chargée par notre DG Michée Musaka, pour venir nous enquérir de la situation qui se passe dans notre parcelle”, a déclaré Mme Mamie Sanganyi.

Mme le Directeur de la Coordination, Etudes et Contentieux qui a dénoncé cette troisième tentative de spoliation, rappelle que la DGRK a tous les documents nécessaires concernant cette propriété.

Personne ne peut venir prétendre que c’est sa parcelle ou tenter d’acheter la propriété sous peine de poursuites judiciaires.

Notons que cette parcelle est répertoriée comme étant un bien appartenant à la DGRK.

“Tout celui qui ose ou qui osera venir spolier le patrimoine de la DGRK, trouvera la DGRK sur son chemin”.

Mamie Sanganyi déplore par ailleurs que l’autorité militaire qui veut spolier cette parcelle mise pourtant en valeur par la DGRK, a placé des bornes.




Désavoué par son regroupement: Le coordonnateur de la Dynamique Bahati Lukwebo fait son mea culpa à l’AFDC-A et réitère son soutien à Félix Tshisekedi

Le coordonnateur national de la Dynamique Bahati Lukwebo (DBL) Sam Bakasende, a présenté ses excuses auprès de son regroupement politique AFDC-A après avoir tenu des propos jugés “inacceptables et irresponsables” à l’endroit de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS-Tshisekedi.), parti partenaire au sein de l’Union Sacrée.

 

Dans une déclaration faite ce samedi 23 mars 2024, Sam Bakasende promet de ne plus récidiver. Il réitère de ce fait, sa confiance et loyauté à l’autorité morale de l’AFDC-A Modeste Bahati Lukwebo et au Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ainsi qu’à tous les membres de l’AFDC-A qu’il invite à l’unité et à servir le pays.

 

« Faisons amande honorable à Son Excellence Monsieur le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Père de la Nation et garant de bon fonctionnement des institutions. Prenons l’engagement devant la Nation et l’histoire de ne plus succomber. Réaffirmons comme dynamique notre soutien à Son Excellence Monsieur le Président de la République et notre attachement à sa vision comme frère du sang et comme patriote pour la réussite de son deuxième mandant », a juré Sam Bakasende.

 

En outre, le numéro un de la Dynamique Bahati Lukwebo (DBL) a également présenté ses excuses aux membres du présidium de l’Union Sacrée, plus particulièrement à Augustin Kabuya, secrétaire général du parti présidentiel.

 

« Profitant de l’occasion également pour faire amande honorable à tous les autres camarades de l’Union Sacrée dont le camarade Augustin Kabuya , Enfin, notre amande honorable va à l’autorité morale de notre famille politique, le professeur Bahati Lukwebo », a rajouté Sam Bakasende Wa Kasende.

 

Ce dernier affirme avoir réagi par émotion après les arrêts de la Cour constitutionnelle qui ont dépouillé l’AFDC-A, son regroupement politique, des neuf sièges à l’Assemblée Nationale à la suite des contentieux électoraux. Sam Bakasende Wa Kasende espère être pardonné par sa hiérarchie qui l’avait pourtant déféré devant la commission de discipline pour y être entendu.

 

Osk




Attaque terroriste à Moscou : Félix Tshisekedi condamne ce drame ayant coûté la vie à 93 citoyens Russes

C’est par le biais de son ministère des affaires étrangères que le gouvernement congolais a exprimé sa solidarité envers les autorités et le peuple de la Fédération de Russie mais aussi condamné fermement l’attaque terroriste survenue, le vendredi 22 mars dernier, au Crocus City Hall.

De son côté, le Chef de l’État congolais Félix Tshisekedi, a également condamné l’acte terroriste avant d’adresser ses sincères condoléances au Président Russe Vladimir Poutine, au peuple russe et en particulier aux familles des victimes, témoignant ainsi de sa profonde sympathie et de son soutien en cette période difficile.

La Russie qui a récemment approuvé le projet d’accord militaire avec la RDC, initié par les deux État depuis 1999, peut cependant compter sur la sympathie des autorités et du peuple congolais après ce drame survenu dans la journée du vendredi.

Notons qu’un nouveau bilan provisoire fait état de 93 morts dans l’attaque terroriste du Crocus City Hall de Moscou revendiquée par le groupe État islamique. Pour Moscou, l’Ukraine est également un suspect évident et idéal dans ce drame.

Faudra-t-il le rappeler qu’en début de soirée du vendredi 22 mars dernier, des hommes armés se sont introduits dans une salle de concert située dans la banlieue de Moscou. Ils ont ouvert le feu avant qu’un incendie ne se propage sur près de 13 000 m², occasionnant plus de 93 morts.

 

JL makoyi




A Lusaka : La Sadc évalue ses missions déployées en Rdc et au Mozambique 

La mission de la Sadc en RDC ( SAMIDRC) et la mission de la Sadc au Mozambique ( SAMMI) sont au centre des discussions des chefs d’Etat de la Communauté de développement de l’Afrique Australe ( SADC) réunis depuis ce matin au Centre International des conférences Mulengeshi à Lusaka en Zambie dans une réunion de la double Troïka.

Deux allocutions ont marqué la cérémonie d’ouverture à savoir : le discours de bienvenue du secrétaire exécutif de la Sadc et l’allocution d’ouverture de M. Hakainde Hichilema, président de la République de Zambie et président en exercice de la troïka sécuritaire de la Sadc.

Dans leurs discours respectifs, les deux dirigeants ont reconnu que la paix et la stabilité dans la partie Est de la RDC demeurent un grand défi au sein de la sous-région.

Le président Hakainde et le secrétaire exécutif Elias Mpedi Magosi ont appelé à la mutualisation des efforts afin de rétablir la paix dans la partie Est de la RDc « dont la situation sécuritaire et humanitaire demeurent très préoccupantes. »

« Tout en reiterant l’engagement des pays contributeurs de la SAMIDRC à doubler d’efforts, nous soutenons aussi les efforts politiques et diplomatiques pour une paix durable dans l’Est de la RDC notamment le processus de Luanda et de Nairobi », a dit le secrétaire exécutif de la Sadc.

La suite du sommet se tient à Huis clos.

Les présidents Hakainde Hichilema ( Zambie), Joao Lourenco ( Angola), Félix Tshisekedi ( RDC), Dr Lazarus Chakwera ( Malawi), Philippe Nyusi (Mozambique), Emerson Namgangwa ( Zimbabwe) ainsi que le premier ministre du Lesotho, les vice- présidents de la Namibie et de la Tanzanie, le ministre de la Défense du Botswana et le ministre à la présidence d’Afrique du Sud participent à ces travaux , assistés des experts de leurs pays.

Un communiqué final est attendu.




Sommet de la Sadc sur la Rdc : Tshisekedi déjà à Lusaka

Le Président de la République, Félix- Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo est arrivé, ce samedi à Lusaka, en Zambie, pour participer au sommet extraordinaire de la Communauté de développement de l’Afrique Australe (SADC), sur la sécurité dans l’Est de la République Démocratique du Congo et à Cabo Delgado, en Mozambique.

Une dizaine de Chefs d’État représentant la Troïka de l’Organe, à savoir la Zambie, la Tanzanie et la Namibie ; la Troïka de la SADC composée de l’Angola, du Zimbabwe et de la RDC ainsi que les pays contributeurs du personnel à la Samim (Mission de la SADC au Mozambique) et à la Samirdc (Mission de la SADC en RDC) prennent part à cette rencontre.

Les participants seront informés des progrès de ces missions de la SADC, déployées pour fournir un appui aux gouvernements de la RDC et du Mozambique, en vue de restaurer la paix, la sécurité, la stabilité et d’ouvrir la voie à un développement durable au sein de la sous-région.

Le sommet a été précédé d’une série des rencontres des experts militaires et des ministres de la Sadc.

Les VPM Jean-Pierre Bemba (Défense) et Christophe Lutundula (Affaires Étrangères), le Haut Représentant Serge Tshibangu, le Chef d’État-major général des FARDC, le Général d’armées Christian Tshiwewe et d’autres experts font partie de la délégation présidentielle à ce sommet de Lusaka.




Kinshasa : Un groupe des civils portant des tenues policières interpellé par le commissaire provincial de la Police 

Le chef de la police ville province de Kinshasa a effectué une ronde d’inspection ce vendredi 22 Mars à Kinshasa précisément dans les communes des Mont Ngafula, Makala, Kisenso et Masina.

Le Général Blaise Kilimbalimba a lors de cette descente, mis la main sur quelques personnes n’ayant pas qualité des policiers en plein service dans la Commune de Masina. Selon le chef de la police, ces faux policiers sont impliqués dans les tracasseries des populations de cette partie de la capitale.

 

Le commissaire divisionnaire adjoint révèle que ces inciviques n’ont aucune formation policière et ne seraient pas également identifiés dans les effectifs de la Police Nationale Congolaise.

 

‹‹ nous avons trouvé ici des policiers qui ne doivent pas être appelés comme tels dans le rang de la police nationale congolaise. Ces gens ne peuvent donc ni toucher ni manipuler les équipements de la police parce que ces effets il faut d’abord connaître comment les utiliser et les manipuler. Ceci constitue un grand danger pour eux et pour la population qui est censée bénéficier de ces matériels. Ces faux policiers seront attendus sur le procès verbal et les conséquences seront tirées›› a dit le chef de la police.

 

Le Général Blaise Kilimbalimba a par la même occasion salué la collaboration entre la police nationale et les autorités politico-administratives à l’instar des bourgmestres en ce qui concerne la sécurisation de la population et leurs biens dans la capitale.

 

Notons que cette inspection avait pour but d’évaluer l’exécution des recommandations de la ville sur le plan de la sécurisation de la population et leurs biens dans ces 4 communes de la capitale

 

 

Osée kalombo