Guerre contre le M23 : 3 Véhicules remplis de minerais interceptés à Kitsanga  

En dépit de l’occupation des certaines agglomerations des territoires de Rutsuru et Masisi dans la province du Nord-Kivu par les rebelles du M23/ RDF, les richesses du Congo ne cessent d’être pillées par ces terroristes en complicité avec certains groupes armés locaux .

Ce jeudi 14 mars 2024, trois (3) véhicules remplis de minerais, notamment, coltan du site minier de Rubaya ont été interceptés à Kitsanga, dans le territoire de Rutsuru en direction du Rwanda.

Selon Aimé Mbusa Mukanda, notable de Rutsuru, ce trafic de minerais s’effectue en complicité avec certains jeunes Wazalendo qui contrôlent le site minier de Rubaya depuis le delogement des terroristes du M23 dans cette zone.

“C’est depuis la semaine dernière, nous avons alerté sur le trafic de minerais de coltan de Rubaya vers mushaki. Il y’a certains jeunes que nous qualifions de faux Wazalendo qui veulent à tout prix transformer la guerre de l’Est à un commerce. Voilà pourquoi nous sollicitons aux vrais Wazalendo de traquer ceux qui sont entrain de collaborer avec l’ennemi. Encore ce jeudi 14 mars, trois autres camions de marque TATA à son bord plusieurs chargements des minerais ont été interceptés à Kitsanga en provenance de Mushaki pour le Rwanda. Nous sommes étonnés que certains jeunes travaillent avec le Rwanda”, regrette-t-il.

Pour mettre un terme à cette situation, ce notable pense que la seule solution reste les opérations de grande envergure contre les terroristes du M23 soutenus par le Rwanda.

Il demande ainsi aux jeunes résistants Wazalendo d’éviter de coopérer avec les rebelles qui tuent la paisible population.

En rappel, certaines localités des territoires de Rutsuru et Masisi restent sous le contrôle des rebelles M23 depuis maintenant plus d’une année.

 

Alain Wayire / Beni




Suivi de la mise en œuvre de la couverture CSU: Le Premier ministre en réunion avec les parties prenantes

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a présidé, ce jeudi 14 mars 2024 à l’immeuble du Gouvernement, une réunion sur le suivi de la mise en œuvre du programme de la couverture santé universelle institué par le président de la République, chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour permettre à tous les Congolais d’avoir accès à des soins de santé de qualité.

Le Dr Samuel-Roger Kamba, Ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention, qui s’est confié à la presse au sortir de cette rencontre, a souligné qu’ils ont passé en revue tous les éléments qui permettent d’étendre la gratuité de l’accouchement, d’étendre le paquet des soins, et la prise en charge des corps spécialisés, notamment les militaires ainsi que des policiers, selon les instructions du président de la République.

” Cette réunion a été convoquée par le Premier Ministre à la suite du dernier Conseil des Ministres du vendredi dernier où le président de la République avait insisté sur la poursuite de la mise en place effective de la couverture santé universelle. Le Chef de l’État avait insisté sur plusieurs points, dont l’extension de la gratuité des accouchements tels que prévus dans son processus initial, et l’extension du paquet des soins pour prendre en charge d’autres personnes en dehors des femmes enceintes et des nouveau-nés. Le cas du corps spécialisé comme l’armée et la Police.

La réunion d’aujourd’hui était la suite à donner à cette instruction du Chef de l’État. Et donc, nous avons passé en revue tous les éléments qui permettent d’étendre la gratuité, d’étendre le paquet des soins, et la prise en charge des militaires ainsi que des policiers. Les conclusions sont très bonnes, parce qu’en fait, nous avons dégagé différentes pistes, notamment des pistes de financements, d’équipements et de prise en charge. C’est au Premier Ministre de présenter effectivement ces travaux au Conseil des Ministres pour les présenter au président de la République”, a fait savoir le Ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention.

Ont pris part à cette réunion, les Vices-Premiers Ministres, Ministre d’Intérieur et de la Défense, le Ministre de la Santé, la Ministre du Travail, les membres de la coordination de la Couverture Santé Universelle, ainsi que quelques membres du cabinet du Premier Ministre.

Le quotidien




L’IGF satisfaite de la signature de l’avenant au contrat minier Sino-congolais renégocié

Jeudi 14 mars 2024 à Kinshasa, le chef de l’État, Félix Tshisekedi, a présidé la cérémonie de signature du contrat minier renégocié avec le Groupement des entreprises chinoises (GEC). C’est le 5è avenant de cette convention de collaboration conclue en avril 2008.

L’avenant permet à la Rdc de disposer de 7 milliards Usd pour construire 6.000 Km de routes dans 15 ans en Rdc en raison de 400 Km par an.

Les travaux de construction vont démarrer dans un mois à Kinshasa, dans le Grand Équateur, au Kasaï-Oriental, dans le Haut- Lomami et au Lualaba.

Il est prévu la construction en 2023-2024 à Kinshasa d’une première route de Mbudi, UPN, Kimwenza, Ndjili Brasserie, avenue Ndjoko-Aéroport de Ndjili. La deuxième route concerne Gombe – long du fleuve – Aéroport de Ndjili, la troisième de Mbuji-Mayi – Muene Ditu- Kaniama – Kalemie – Luena -Nguba, la quatrième Mbuji-Mayi – Kabinda – Kindu- Bukavu- Goma et cinquième route Akula au Grand Equateur.

Il sied de rappeler qu’en février 2023, un rapport publié par l’IGF mettait en évidence d’importants décaissements effectués en faveur des entreprises chinoises établies en Rdc, mais de très faibles investissements en infrastructures au profit du pays ont été effectués.

L’IGF, le gendarme des finances publiques congolaises, avait ainsi relevé plusieurs cas de déséquilibre dans cet accord qualifié de « contrat du siècle ». Elle notait une «modicité des investissements des infrastructures » et c’est ce qui a amené à la révision dudit contrat.

Presse IGF/Didier Mbongomingi




Sur Instructions de SM le Roi, Président du Comité Al Qods, l’Agence Bayt Mal Al Qods Acharif lance l’opération humanitaire dans la Ville Sainte à l’occasion du mois sacré de Ramadan

Sur Instructions de SM le Roi, Président du Comité Al Qods, l’Agence Bayt Mal Al Qods Acharif lance l’opération humanitaire dans la Ville Sainte à l’occasion du mois sacré de Ramada

Sur Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, Président du Comité Al Qods, l’Agence Bayt Mal Al Qods Acharif a lancé, jeudi dans la Ville Sainte, l’opération d’aides humanitaires sur les esplanades de l’hôpital Augusta Victoria (Al Mutlaa), en présence du directeur chargé de la gestion de l’Agence, Mohamed Salem Echarkaoui, de plusieurs dignitaires religieux, d’éminentes personnalités maqdessies et de représentants des établissements sociaux.
L’Agence Bayt Mal Al Qods précise, dans un communiqué, que cette opération s’inscrit dans le cadre de la Haute sollicitude constante dont SM le Roi Mohammed VI entoure la ville d’Al Qods et sa population, à travers le rôle que joue l’Agence, sous la supervision directe de Sa Majesté le Roi, que Dieu Le préserve, depuis plus d’un quart de siècle pour contribuer à l’amélioration de la situation socio-économique des Maqdessis et au soutien des institutions de la Ville.
Ces aides humanitaires consistent en la distribution de 2000 paniers alimentaires au profit de 2000 familles nécessiteuses, comprenant 22 produits de base, dont ceux destinés aux enfants et d’autres aux personnes suivant un régime alimentaire spécifique.
Elles portent également sur la distribution de 1000 repas quotidiennement, ce qui permet d’assurer une grande partie des besoins alimentaires des personnes bénéficiaires en ce mois béni, notamment celles enregistrées sur les listes des associations partenaires et celles admises aux centres hospitaliers ou résidant dans les maisons d’accueil.
L’Agence a pris en considération, dans la gestion de l’opération de distribution des aides alimentaires, plusieurs dispositions spéciales ainsi qu’un calendrier bien défini qui prend en compte la situation à Al Qods, dans le strict respect des conditions de sécurité sanitaire des produits.
Les bénéficiaires des paniers alimentaires et des repas sont répartis dans les différents quartiers d’Al Qods, tels que Al Balda Al Qadima, Salouane, Cheikh Jarrah, le camp de Chaafat, Attaouri, Al Isawiya, le camp de Qalandia et Al Ram.

 




Macky Sall : président bâtisseur de l’émergence au Sénégal

La décision du Chef de l’Etat sortant Macky Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, de ne pas briguer un nouveau mandat et de quitter le pouvoir le 2 avril prochain, s’inscrit dans le cadre de la tradition démocratique du Sénégal. Une décision qui présente d’importants défis pour les candidats, contraints à une campagne plus courte et qui se déroulera, pour la première fois, durant le mois de ramadan.

Ayant démontré une vision claire pour le développement du Sénégal, le Président Macky Sall a mis en place des stratégies ambitieuses pour promouvoir la croissance économique et améliorer les conditions de vie de ses citoyens. Respecté à l’échelle mondiale pour son leadership responsable et ses efforts en faveur de la paix et de la stabilité dans la région Ouest-africaine, il a fait du Sénégal un acteur implorant sur la scène internationale.

Ainsi, en prenant des mesures audacieuses pour lutter contre la corruption, renforçant la transparence et la responsabilité dans la gouvernance, et en contribuant à renforcer la confiance des citoyens dans les institutions de l’Etat, le Sénégal a fait des progrès significatifs dans plusieurs domaines clés tels que l’énergie, l’éducation, la santé et l’emploi, témoignant de son engagement envers le bien-être et l’épanouissement de tous les sénégalais.

Sous sa direction, le Président Macky Sall a démontré un profond respect pour les institutions démocratiques du Sénégal, en garantissant l’indépendance et le bon fonctionnement des organes électoraux. En effet, le Sénégal continue à consolider ses acquis démocratiques en organisant régulièrement des élections nationales et locales. Son engagement essentiel envers le respect des droits fondamentaux, y compris le droit de vote et de participation politique, témoigne de sa vision d’une démocratie dynamique et inclusive et à maintenir des élections libres, justes et transparentes pour renforcer la démocratie et la confiance des citoyens dans le système politique.

Toutefois, malgré ces défis, le Chef de l’Etat a souligné « les progrès tangibles réalisés par le Sénégal. Un Budget national en constante augmentation, passant de 2344 milliards de FCFA en 2012 à 7003 milliards pour l’année 2024. Le pays a vu une expansion significative de ses investissements dans divers secteurs productifs. Ces investissements ont permis de concrétiser des projets d’envergure, témoins de révolution et de l’ambition du Sénégal émergent », a-t-il souligné.

De même, Les avancées dans les infrastructures routières et autoroutières, de 1500 km de routes en 2012, le Sénégal compte désormais 2900 km de routes avec une progression remarquable dans la construction d’autoroutes, passant de 32 km à 189 km et prochainement 500 km grâce à des chantiers en cours. La transformation du secteur de l’énergie est aussi un fait marquant. Ce, avec les nouvelles centrales électriques à énergie propre, entre autres à Bokhole, Malicounda, Taiba Ndiaye, Meouane et Merina Dakar. Avec seulement 500 MW et un réseau vétuste de 501 km de lignes électriques, les coupures d’électricité étaient longues et fréquentes avant 2012, jusqu’à occasionner des émeutes. Aujourd’hui, le pays a plus que triple ses capacités électriques, avec 1787 MW, et un réseau de lignes porté à 1552 km. Nombre des localités qui vivaient dans l’obscurité sont maintenant éclairées, le taux d’électrification rurale étant passé de 27% en 2012 a 61% en 2023.

Les efforts du gouvernement ont porté sur les trois piliers pour avoir une souveraineté alimentaire, l’agriculture, dont le budget a plus que doublé entre 2012 et 2023, la pèche et l’élevage. Ces trois secteurs continuent de bénéficier de financements massifs, pour les infrastructures et équipements, les intrants, la transformation des produits, les gilets, pirogues et moteurs, les cultures fourragères et l’amélioration génétique des espèces végétales et animales.

Le Chef de l’Etat lancera prochainement le chantier du Mémorial de Gorée et va créer de nouveaux villages artisanaux à Bambey, Fatick, Kaffrine, Kebemer, Linguere et Tivaouane, les chantiers de Kedougou, Matam et Velingara étant en cours de finition. S’y ajoute la Zone d’activités des mécaniciens et professionnels de l’automobile, avec 488 ateliers établis sur 60 hectares. Ce qui permettra aux mécaniciens et autres professionnels de l’automobile d’y trouvent un cadre de travail moderne et organise, générant plus de 5000 emplois, qui pourrait être duplique dans les autres régions.

Le Président a soulevé, aussi, l’importance de la formation et de l’accompagnement des jeunes et des femmes à travers divers programmes de développement, ainsi que le renforcement constant du secteur de l’enseignement supérieur avec la création de nouvelles universités et l’amélioration des infrastructures éducatives.

Dans son dernier discours de fin d’année, le Président Macky Sall a partagé un bilan exhaustif de ses années au pouvoir, tout en offrant un aperçu de l’essor continu du Sénégal émergent. Au cœur de son message, le Président a exprimé ses pensées envers les défunts et les malades tout en dressant un tableau des défis rencontres par le pays au cours de l’année écoulée, marquée par des violences regrettables ayant entrainé des pertes en vies humaines, des dommages matériels conséquents, et diverses attaques cybernétiques contre des infrastructures vitales.




Rdc : L’Intersyndical du transport routier expose ses doléances à Mbusa Nyamwisi 

Il ne se taira plus, l’Intersyndical professionnel du transport routier, après la tripartite de novembre tenue suite à leur grève monte au créneau pour décrier le malaise entre transporteurs congolais et ceux de l’Angola. Il n’existe aucune structure de coopération entre commerçants de ces deux pays en vue d’assainir le climat des affaires.

Dans leurs échanges avec le ministre d’ État en charge de l’ Intégration régionale Antipas Mbusa Nyamwisi, le président de l’ Intersyndical professionnel du transport routier de la RDC, M. André Tshikoji, a relevé quelques difficultés que rencontrent les transporteurs routiers de part et d’ autres.

Du côté congolais le mal est profond, ils sont soumis à des visas dont le délais d’ obtention est exagéré 2 à 3 mois d’ attente, le refus des chauffeurs congolais des camions transportant des marchandises d’ entrer en Angola pendant que les Angolais en RDC obtiennent des visas à la frontière et peuvent circuler librement de Lufu à Kikwit , le principe de réciprocité entre pays frontaliers n’ est pas appliqué, le non-respect de périmètre d’ accès aux frontières par des camions provenant de l’ Angola, le 30km à l’ intérieur doit profiter aux transporteurs congolais.

Les Angolais de leurs côtés se plaignent de payer des montants exorbitants lorsqu’ils sont en transit par exemple de Noki à Kabinda et les péages à tous les niveaux.

L’Intersyndical de transporteur routier de la RDC a demandé au ministre d’Etat, responsable des Affaires africaines, la mise en œuvre d’un cadre des discussions bilatérales pour proposer des solutions idoines à ce problème.

Après avoir écouté les transporteurs, le minEtat Antipas Mbusa Nyamwisi a promis de s’impliquer dans le cadre de ses responsabilités à la résolution de ces problèmes qui touchent à plusieurs secteurs. Question de leur faciliter les transactions.




Mbusa Nyamwisi informé de la disponibilisation de 70 millions d’euros d’aide humanitaire aux déplacés de l’Est par l’Union européenne 

Le ministre d’Etat en charge de l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi, a échangé ce jeudi 14 mars 2024 avec l’ambassadeur des États membres de l’Union européenne, Nicolas Berlanga Martinez, à son cabinet de travail à Kinshasa. Au cours de cette rencontre, plusieurs points notamment l’aggravation de la situation sécuritaire à l’:Est de la République Démocratique du Congo, et l’aide humanitaire pour les déplacés ont été évoqués.

Au sortir de cette audience, Nicolas Berlanga a informé à la presse qu’il est venu demander son opinion sur la situation sécuritaire à l’est de la RDC.

Suite à la catastrophe humanitaire qui frappe cette partie du pays, l’Union européenne vient d’octroyer 70 millions d’Euro pour alléger la souffrance des déplacés internes.

Concernant la situation militaire, l’UE reste attachée à son communiqué appelant au retrait des forces rwandaises sur le sol congolais et l’arrêt d’appui du régime Kagame au M23.

L’UE par le canal de son ambassadeur se dit disponible à accompagner l’initiative du dialogue que prône le président angolais João Lourenço, facilitateur désigné par l’Union africaine afin que les hostilités cessent dans l”Est de la RDC.

Dernièrement, le Rwanda avait signé un protocole d’entente avec l’Union européenne sur les matières stratégiques que le Rwanda ne dispose pas. En réaction, la RDC avait demandé à l’UE de ne pas appliquer cet accord dénonçant le fait que cela ressemblerait à faire une guerre par procuration à la RDC.

 




Kinshasa : 4 blessés, bilan d’une altercation entre les militaires et les policiers sur Poids-Lourd à Kinshasa (Police)

4 blessés dont 3 policiers et un militaire, c’est le bilan d’une altercation ce jeudi 14 Mars entre les militaires et les policiers sur l’avenue Poids lourds dans la commune de Limeté à Kinshasa.

Tout est parti d’une tentative d’arrestation d’un officier de la Police par les éléments de la Police militaire (PM) sans passer par son commandement, renseigne le chef la Police de Kinshasa.

Le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba dément les informations faisant état d’une dizaine de morts à l’issue de ces troubles.

“Il n’y a pas eu de morts dans les échauffourées entre les éléments de la Police et des FARDC” ce jeudi 14 mars au quartier Kawele, mieux connu sous le nom de Pakadjuma dans la commune de Limete à Kinshasa. Cette précision est du commandant de la police Ville de Kinshasa.

Il annonce que les auteurs de ces Incidents sont déjà interpellés.

 

 

Loup solitaire




Kasai: Les arrêts de la Cour constitutionnelle confirment l’élection de Théo Kazadi entant que député national. 

48 heures après les arrêts de la Cour constitutionnelle sur les contentieux électoraux, le parti politique Dynamique pour la Transformation du Congo réagi, dans une interview nous accordée ce matin. Maître Emil Prince Longi, président fédéral de ce parti membre de l’Union sacrée, a salué le travail abbatu par la haute Cour en toute neutralité.

Il dit remerci les juges d’avoir clairement dit le droit.

“Comme les processus d’alternative est irréversible, notre prière est de chasser les moutons gris pour booster le développement et transformer le Congo, car les injustices, les règlements des comptes et le tribalisme ont joué un grand rôle dans notre pays depuis un temps. Ceci étant, ceux qui ont de près ou de loin pratiqué tous ces fléaux se déportent de leurs pensées machiavéliques. Le pays a besoin actuellement des hommes et femmes capables de transformer les choses à tous les niveaux”, a déclaré Emil Longi avant d’ajouter que “les moutons gris sont nombreux, vous comprendrez qu’ils sont les fruits de la mauvaise politique qui n’a pas surtout aidé le pays. Champion en colportage pour justifier leurs incompétences et la haine, les ennemis de la DTC et de la RDC ont eu une bonne réponse de la justice congolaise. La cour constitutionnelle vient de tirer au clair sur l’avenir de notre pays”, notre le président fédéral du parti DTC de l’honorable Théo Kazadi.

Dans le même message, Emil Longi a aussi présenté ses félicitations à l’honorable Théo Kazadi confirmé par la cour constitutionnelle. Unique fils du Kasaï à la tête d’un regroupement politique avec 11 députés nationaux, et son regroupement AA/C a bénéficié un siège de plus sur les 10 qu’il comptait. Ceci montre la bonne politique du député Théo Kazadi.

DTC appel la population à faire confiance à la justice congolaise et plaide pour la transformation du Congo par les hommes dignes et plein de bonnes qualités.

 

 

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa Ville




Kinshasa : tirs meurtriers entre militaires et policiers à Limete: bilan 11 morts

Des tirs d’armes à feu ont éclaté ce jeudi dans le quartier Kawele, dit Pakadjuma, dans la commune de Limete à Kinshasa. Il s’agit selon les sources sur place, d’un accrochage entre des militaires des forces spéciales basées à l’aéroport de Ndolo et des policiers. Les circonstances exactes de l’incident restent encore floues. La police n’a pas encore fourni de détails précis sur la cause du conflit et le bilan officiel n’est pas encore connu. Cependant, des sources concordantes indiquent que les militaires des forces spéciales auraient tenté de récupérer un suspect appréhendé par la police, ce qui aurait provoqué la résistance des forces de l’ordre.

Des témoins affirment que les échanges des tirs ont été intenses et ont duré plusieurs minutes. Le bilan provisoire, toujours selon des sources non officielles, fait état de 11 morts, dont 4 policiers, un militaire et 6 civils. De nombreux blessés auraient également été évacués vers des centres hospitaliers du coin.

Cet incident tragique a semé la panique au sein de la population de la première rue à Limete forgeron. La circulation a été coupée dans le secteur et les forces de l’ordre ont été déployées en masse pour rétablir l’ordre.