RDC: Le prochain premier ministre sera membre de l’UDPS-TSHISEKEDI (Kabuya)

Les dés sont jetés! Le futur premier ministre du premier gouvernement du second mandat de Félix Tshisekedi sortira des rangs de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, le parti présidentiel.

La confirmation a été faite ce dimanche 10 Mars 2024 par le secrétaire général de l’UDPS-Tshisekedi au cours d’une matinée politique au siège de ce parti à la 10e rue dans la commune de Limeté à Kinshasa.

« La primature va revenir de droit à l’UDPS. Le Président de la république m’a rassuré : je vous aviez dit que si vous revenez avec la majorité je vous donnerai la primature. Je vous demande d’être discipliné pour que le Chef de l’État nous donne ce qu’il a promis” a fait savoir Augustin Kabuya

Sachez que le parti présidentiel est la première force politique au sein de l’assemblée nationale avec ses 70 députés nationaux, sans compter les sièges raflés par ses partis mosaïques.

 

Loup solitaire




OCC : le Dr Etienne Tshimanga inspecte tous les postes et sections de Matadi

En visite d’inspection dans le Kongo Central, c’est le vendredi 8 mars, date qui coïncide avec la « journée de la femme », que le Directeur Général a entrepris ces visites d’itinérance dans les différents postes et sections de l’Office Congolais de Contrôle de la ville de Matadi.

Après avoir présenté ses civilités à Matadi, au gouverneur de la province du Kongo Central, le Dr Etienne a voulu d’abord s’enquérir de l’état d’avancement des travaux de construction de différents bâtiments de l’Office. Sa visite a commencé par le chantier de Kala-Kala où est construit l’immeuble qui abritera les services de la Direction Provinciale. Il sied de noter que le contrat de construction de cet immeuble avait été signé depuis le 20 avril 2010. Malheureusement, 14 ans après, les travaux sont totalement aux arrêts.

Le Directeur Général Etienne Tshimanga, soucieux de redynamiser les services et surtout moderniser les infrastructures de l’OCC, a instruit les responsables de la province à relancer ce dossier et si nécessaire de lui mettre en contact avec l’architecte, propriétaire de la « Maison Prospérity House ».

Le Centre de santé de l’OCC/Matadi a été la deuxième étape de la visite d’inspection. Le Directeur Général Etienne Tshimanga, dans sa casaque de médecin est très regardant en ce qui concerne la santé des agents et cadres de l’Office. De sa mission d’itinérance, le Directeur Général a opté plus pour l’écoute des désidératas des travailleurs. C’est ainsi que le responsable du Centre médical a soulevé quelques problèmes qui préoccupent le bon fonctionnement notamment le manque des équipements médicaux, du laboratoire Biomédical, d’imagerie médicale, du bloc opératoire, de la Kinésithérapie, pour ne citer que cela.

La ville de Matadi étant la porte de sortie et d’entrée des marchandises, le Dr Etienne Tshimanga est allé également s’enquérir des fonctionnements des différents quais où œuvrent nos différents inspecteurs de conformité ainsi que les sections et postes de l’Office. C’est la raison de sa visite au Port maritime de l’ex-Onatra qui est la grande porte. Les difficultés que rencontrent les agents dans leurs prestations, lui ont été présentées. En vue de booster la production, le Directeur Général a promis de trouver des solutions adéquates dans un temps record.

Résoudre le problème de la mobilité

Le Directeur Général et sa suite ont continué leur pèlerinage jusqu’à la frontière avec l’Angola à la section d’Ango-Ango de l’OCC où depuis un certain temps, le trafic commercial est devenu intense. Ici, le N°1 de l’OCC a palpé du doigt les problèmes que connait cette section. Comme partout où il est passé le grand problème reste celui de la mobilité.

Toujours dans son itinérance, le Directeur Général a également visité le Poste de SECOPE, le laboratoire de Contrôle des Hydrocarbures en construction à côté du terminus de SEP Congo. Tard dans la soirée, le DG Etienne Tshimanga a assisté à la grande fête qu’a organisé les mamans de l’OCC à l’occasion de la journée de la femme.

Le Directeur Général Etienne Tshimanga visite le centre médical de l’OCC

C’est le samedi 9 mars 2024 que le Directeur Général était en face de la masse laborieuse de Matadi et de ses différents postes. Le Directeur Général a introduit son mot par remercier le Premier entre les congolais, le Champion de la masculinité positive, le Président de la Républiques Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour sa vision claire du développement du Pays et particulièrement pour la défense et la promotion des droits de la femme.

Il a ensuite remercié les agents et cadres pour l’accueil combien chaleureux à son endroit et toute la forte délégation qui l’a accompagnée. Le Dr Etienne Tshimanga a expliqué aux agents et cadres de Matadi que sa visite consistait à palper du doigt les réalités de l’office dans le Kongo Central. Lors de cette assemblée, le Directeur Général a eu à répondre aux questions soulevées par les agents.

Dans les après-midi, le Directeur Général a accordé des audiences aux différentes catégories des travailleurs : le staff dirigeant de la province et les divisionnaires, la délégation syndicale provinciale, l’association des mamans « AFOCC », les pensionnés, les retraités, etc……

Le quotidien




Paneliste à la 1ère édition du sommet de la femme : Christelle Muabilu conseille à la femme de croire en ses capacités, de briser les stéréotypes et d’avancer    

Mme Christelle Muabilu, Directeur général adjoint de l’Office Congolais de Contrôle (OCC) a pris part ce samedi 9 mars 2024 dans la salle des spectacles du Palais du peuple à la première édition du sommet de la femme congolaise organisée par l’Asbl Mwasi Ya Motuya. Les panelistes ont débattu autour du thème : « Égalité liée au genre en Rdc, où en sommes-nous? ». Ceci, dans le cadre du mois de mars dédié à la promotion des droits de la femme.

Cette conférence de réflexions et de partages entre panelistes et participants, subdivisée en trois Panels, a connu l’intervention des personnalités de renom et a retenu l’attention de l’assistance, majoritairement composée des jeunes femmes. Une séance de questions-réponses a séparé chacun des panels.

Le premier panel, avec comme thème : « Existe-t-il en Rdc l’égalité de genre ? », a connu la participation du Directeur général qdjoint de l’OCC, Mme Christelle Muabilu, du représentant de la Ministre de Genre et famille, Me Roger, et du représentant de l’IPAS en RDC, le Docteur Jean-Claude Mulunda, sous la modération de la journaliste et présentatrice , Mme Euphrasie Kayembe.

Honneur fait à la femme, le DGA de l’OCC, Mme Christelle Muabilu a ouvert les échanges, en définissant succinctement la notion « d’égalité de genre » comme étant l’équivalence qui existe entre l’homme et la femme.

Introduisant son intervention, Mme le DGA a rendu hommage au Chef de l’Etat, Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, champion de la masculinité positive qui ne ménage aucun effort pour accompagner et promouvoir les droits de la femme, et même de la jeune femme, en lui confiant notamment de lourdes responsabilités dans la société.

Dans son intervention, Mme Christelle Muabilu est revenue sur son combat qui consiste à la promotion de la femme, la lutte contre les VBG ainsi que l’autonomisation de la femme et surtout de la jeune fille mère. Pour la DGA de l’OCC, la femme congolaise doit croire en ses capacités, briser les stéréotypes et avancer.

Certes notre pays a fait un grand pas vers l’égalité du genre, surtout avec le champion de la masculinité positive Monsieur le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, mais beaucoup reste à faire. Nous devons multiplier des stratégies pour arriver à atteindre les objectifs de développement à l’horizon 2030, a laissé entendre la première femme de l’Office Congolais de Contrôle.

Pour ce qui concerne le secteur des femmes occupant des postes de décision, Mme le DGA estime qu’il existe plusieurs avancées quoiqu’il y ait encore beaucoup à faire ; point de vue partagé du reste par l’un des panelistes, le Docteur Jean-Claude Mulunda. Elle a salué la bravoure de la femme de l’Office, qui œuvre dans cet établissement public, hautement technique, scientifique et sensible en contrôlant tout ce qui entre et sort de notre pays et l’exhorte à croire en ses capacités, briser les stéréotypes et avancer.

Répondant aux questions lui adressées de plaidoyer pour une embauche des femmes, le DGA, Mme Christelle a fait mention des femmes, qui, grâce à leurs atouts professionnels, études faites et expériences professionnelles, occupent des postes de décision sans forcément être issues d’une classe politique. Clôturant son intervention, le DGA, Mme Christelle Muabilu a martelé en disant que dans un contexte professionnel, elle milite plus pour l’égalité plutôt que sur la complémentarité. Nous devons multiplier des stratégies pour arriver à atteindre les objectifs de développement à l’horizon 2030, a laissé entendre la première femme de l’Office Congolais de Contrôle.

Le quotidien




Voici les 10 stratégies d’Anicet Yomboranyama pour consolider les acquis de Félix Tshisekedi entre 2024 et 2028

Dans une tribune parvenue à notre rédaction, le Communicateur de la patrie et Tshisekologue Anicer Yemboranyama présente 10 stratégies pour consolider les acquis du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo entre 2024 et 2028. Il s’agit de privilégier la méritocratie dans le choix des animateurs à tous les niveaux et investir davantage dans le capital humain (1), la lutte sans merci contre les antivaleurs (2), rendre notre justice plus opérationnelle et plus coercitive (3), la diversification économique et la création d’une chaine de valeur agricole (4), la construction des infrastructures des transports (5), la réduction des dépenses publiques (6), investir dans l’eau et l’électricité (7), l’investissement dans l’armée (8), l’amélioration de la situation économique (9) et l’amélioration de l’accès des congolais aux soins de santé de qualité (10).




A Luanda: Mbusa porte très haut la voix de la Rdc au Conseil des ministres de la SADC   

Antipas Mbusa Nyamwisi, ministre d’Etat à l’Intégration nationale, poursuit son périple régional. Après Malabo où il a participé à la 24ème session ordinaire de la Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC), le minEtat est arrivé à Luanda le samedi 9 mars 2024 à 23h 30 pour participer au Conseil des ministres de la SADC qui débute du 10 au 11 mars 2024.

Ces assises qui ont pour thème général : “le capital humain et financier, vecteur principal de l’industrialisation durable de la région SADC”, est subdivisé en 7 points.

Ce matin après la photo de famille, le ministre des Affaires extérieures de l’Angola, l’ambassadeur Tete Antonio, a ouvert les assises par la situation sécuritaire préoccupante en RD-Congo dont l’attaque d’une base militaire de la SADC a coûté la vie aux deux militaires de la paix. Une minute de silence a été observée dans la salle pour cette attaque ainsi que pour le décès du président namibien.

Juste après s’en est suivi l’analyse minutieuse des 7 points de 47 propositions inscrites à l’ordre du jour.

Est-ce, après un travail intense d’analyse du comité des Hauts fonctionnaires de la SADC.

Concernant les finances, le secrétariat exécutif reconnaît avoir reçu un total de 126. 819 .496 USD, au titre des contributions annuelles des pays membres sauf l’Union des Comores et la République de Madagascar qui font objet des sanctions pour des arriérés. La RDC par contre a entamé le paiement de ses contributions supplémentaires, notamment celles approuvées pour SAMIDRC.

Pour ce qui est de la gestion des catastrophes dans la région SADC, des risques des cyclones ont été annoncés depuis fin 2023 et se poursuivent en 2024. Le conseil des ministres va adopter la convocation d’une réunion des États membres afin de s’exprimer pour obtenir le fonds pour pertes et dommages.

Un autre point est celui de la sécurité alimentaire suite à la sécheresse ou une pluviométrie très élevée. Le cas du Lesotho, Botswana Zambie, Mozambique, RDC, Angola, etc.

Le Conseil a exhorté les Etats membres à réaliser d’urgence des évaluations au niveau national, l’impact de la sécheresse et inondation afin de déterminer les mesures à prendre, d’apporter un soutien aux communautés des agriculteurs touchés. La RDC avait profité pendant les travaux des hauts fonctionnaires pour évoquer l’insécurité causée par les groupes armés qui favorise la mal nutrition dans la région. Les travaux se poursuivent jusqu’au lundi 11 mars à 16 h 09 où le Conseil procédera à l’adoption des décisions prises.

Notons que dans ce format 1+6, le ministre d’État à l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi, est accompagné des experts du ministère de l’Intégration régionale, de la Défense nationale, du Plan et des Affaires étrangères.




Tribune du Communicateur de la patrie et Tshisekologue Anicet Yomboranyama: Voici dix (10) stratégies pour consolider les acquis du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo entre 2024 et 2028

Avant l’arrivée du Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO au Palais de la Nation, la République Démocratique du Congo battait de l’aile. Mais aujourd’hui, notre pays reprend du poil de la bête grâce aux multiples réalisations tangibles notamment, la construction des infrastructures dans le cadre du Programme de Développement Local à travers les 145 territoires (les routes, les écoles, les hôpitaux, les belles aérogares, …), la gratuité de l’éducation, la gratuité de la maternité, la mobilisation accrue des recettes publiques grâce à la lutte contre la corruption, etc. Le fait pour notre peuple d’avoir réaffirmé sa prédilection pour le Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en lui accordant ce second mandat qui lui permettra de parachever avec brio les chantiers structurels dont il est le précurseur dans notre pays, est une illustration du dévouement indéfectible que nous avons tous pour sa vision sur le développement de notre pays. A titre d’exemple : depuis des décennies, le financement des dépenses publiques en RDC était totalement resté tributaire de la volatilité des cours des matières premières au point de nous faire oublier la myriade d’autres opportunités ou potentialités dont regorge la RDC. C’est pourquoi, le Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO a envoyé des signaux forts dans plusieurs secteurs, en mettant en exergue le fait que, pour son développement pérenne, la RDC a intérêt à diversifier ses sources de financement dans le but de sevrer son économie avec rigidité de sa dépendance irrépressible et incommensurable du secteur minier. En ma qualité de communicateur de la patrie et TSHISEKOLOGUE convaincu, j’ai pris avec joie et une volonté inébranlable, l’engagement d’accompagner le Président de la République Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO sur le plan communicationnel pour faire partie d’autres compatriotes qui s’ingénient déjà sans répit à briser l’incommunicabilité qui a tenté d’opacifier ses innombrables prouesses rendues possibles durant son premier quinquennat. Mon ambition est celle de faire usage du paradigme de la perceptibilité, socle d’une luminosité communicationnelle transversale qui prend en charge tous les secteurs structurants de la vie nationale. Comme tout le monde peut bien le deviner, cette tâche est rude, car elle requiert beaucoup d’exigences tant sur le plan matériel que sur le plan immatériel. Sans atermoiement, tout est désormais limpide : je m’offre en holocauste comme volontaire pour la communication du Président de la République, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO.

Pour plus d’efficience, et pour une consolidation concrète et optimale de ses acquis, je propose 10 (dix) stratégies ci-après :

 

Première stratégie : privilégier la méritocratie dans le choix des animateurs à tous les niveaux et investir davantage dans le capital humain. La RDC n’est pas encore totalement sortie de l’auberge. C’est pourquoi, l’engagement ferme de mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut, et surtout en temps opportun, dans le strict respect des règles d’éthique, devrait dorénavant chevaucher la gouvernance institutionnelle dans notre pays. En ce qui concerne l’autre volet relatif à l’investissement dans le capital humain, Il s’agit d’un ensemble des connaissances, aptitudes, expériences, talents et qualités accumulées par une personne, une équipe, ou une organisation, déterminant en partie ou en totalité sa capacité de travailler ou produire des biens et/ou des services pour elle-même et pour les autres au sein de la société. L’employabilité et l’inemployabilité des congolais dépendent respectivement de leur adaptation et inadaptation aux exigences modernes dans le secteur de l’emploi ou de la création des richesses. L’investissement dans l’homme requiert son formatage qui doit s’acclimater à la gestion moderne avec un accent particulier sur l’éthique. En même temps, il y a la conscience qui entre en ligne de compte y compris le changement des mentalités et par conséquent, le changement du comportement. C’est ici où trouve une place de choix le secteur de l’éducation pour lequel nous tenons à féliciter le Président de la République pour les efforts qu’il ne cesse de déployer, en l’occurrence, la gratuité de l’enseignement.

 

Deuxième stratégie : la lutte sans merci contre les antivaleurs. Avant l’arrivée du Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO à la magistrature suprême, la RDC battait de l’aile. En sus de la situation socio-économique et politique désastreuses, notre pays était confronté à une avalanche de tares qui s’étaient érigées en véritables goulets d’étranglement, à savoir : la concussion, la corruption, le népotisme, le régionalisme, l’impunité, la mauvaise gouvernance, la permissivité, la liste n’est pas exhaustive. Au sujet de la lutte contre la corruption particulièrement, il faudra que le gouvernement de la république organise régulièrement avec l’appui de l’Inspection Générale des Finances, des campagnes de sensibilisation, la construction et le renforcement des capacités de toutes les couches sociales et surtout des gestionnaires à tous les niveaux pour purifier notre écosystème politique, économique et social.

 

Troisième stratégie : rendre notre justice plus opérationnelle et plus coercitive. Il est connu de tous que le fonctionnement de la justice est régi par les trois grands principes suivants : l’indépendance, la gratuité, et la publicité.

A) l’indépendance de la justice : l’article 149 de notre constitution dit très clairement que le Pouvoir Judiciaire est indépendant du Pouvoir Législatif et du Pouvoir Exécutif. Faire respecter ce principe constitutionnel, permettra au gouvernement de mieux consolider les acquis du Président de la République sans beaucoup de difficultés. L’indépendance de la justice est une garantie pour des jugements impartiaux en faveur des justiciables (les personnes qui prennent part à un procès). Ce principe permet au magistrat de prendre une décision à l’abri de toute injonction ou pression extérieures.

B) la gratuité de la justice : A ce stade, c’est l’Etat qui rémunère les magistrats même si les justiciables doivent toutefois prendre à leur charge les frais de justice liés aux coûts des procédures et aux honoraires des avocats. Les personnes sans ressources ou dont les ressources sont modestes, peuvent être exonérées des frais de justice et peuvent solliciter de l’aide juridictionnelle. C’est alors l’Etat qui prend en charge les frais de justice en totalité ou en partie. Grosso modo, pour une indépendance effective de la justice, l’amélioration des conditions de travail des magistrats par l’Etat est une condition sine qua non qui ouvre la voie à des procès équitables, et cela constitue le gage d’un Etat de droit.

C) la publicité de la justice : lorsque nous parlons de la publicité, nous faisons allusion au fait que les audiences doivent être publiques et accessibles à tous, notamment en utilisant les médias de masse dans le but de ratisser large.

 

Quatrième stratégie : la diversification économique et la création d’une chaine de valeur agricole. C’est la transition vers une structure plus variée de la production nationale et des échanges en vue d’augmenter la productivité, créer des emplois et poser les jalons d’une croissance économique soutenue, permettant de résorber la pauvreté. Assurément, le secteur agricole reste le mieux indiqué pour créer une véritable chaine de valeur capable d’impacter positivement d’autres secteurs. Ici, c’est l’agribusiness qui va s’imposer au travers de sa contribution dans l’augmentation de la production agricole, la transformation et la commercialisation des produits issus de l’agriculture.

 

Cinquième stratégie : la construction des infrastructures des transports. Il s’agit de l’ensemble des installations fixes ou dynamiques nécessaires à aménager pour permettre la bonne circulation de différents modes de transports dans des systèmes des transports terrestres, aériens ou maritimes. Les infrastructures des transports génèrent des emplois et des activités économiques qui contribuent au développement. Elles permettent également de fournir des services y afférents pour favoriser le bon fonctionnement de l’économie.

 

Sixième stratégie : la réduction des dépenses publiques. Elle permettra d’engranger des ressources supplémentaires pouvant contribuer surtout à la création d’une classe moyenne ou intermédiaire, caractérisée par un niveau de richesse supérieur aux classes populaires (classe ouvrière et personnes en situation d’exclusion sociale) mais inférieur à celui de la classe dirigeante (Élite entrepreneuriale et administrative). Dans la même veine, l’action d’entreprendre ou de mener à bien des projets pour la création des richesses, devrait bénéficier d’une attention particulière du gouvernement de la république dans l’optique de déblayer le terrain de l’envol économique.

 

Septième stratégie : investir dans l’eau et l’électricité. L’eau et l’électricité sont indispensables dans tous les projets de développement. Dans la perspective de placer la RDC sur la trajectoire des pays émergents, l’inoxydable Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO a pour ambition légitime, d’industrialiser notre pays. C’est pourquoi, les investissements dans l’eau et l’électricité demeurent un enjeu majeur à prendre en compte pour atteindre les objectifs.

 

Huitième stratégie : l’investissement dans l’armée. Il servira de pilier pour cristalliser l’étanchéité de nos frontières. A ce sujet, je salue très sincèrement les efforts titanesques du chef de l’Etat dans le but de restaurer la paix et la sécurité, particulièrement dans l’Est de notre pays. Le président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO est un Héros vivant car ses réalisations sont plus expressives que le simple verbiage. A titre illustratif, notre pays dispose aujourd’hui d’une ordonnance-loi portant programmation militaire, et des moyens importants sont mis à la disposition de nos forces de défense pour maintenir la sécurité nonobstant les velléités expansionnistes du Rwanda.

 

Neuvième stratégie : l’amélioration de la situation économique. Il est question ici de peaufiner beaucoup de stratégies visant la mobilisation décuplée des ressources domestiques en rationalisant les choix budgétaires et en améliorant la qualité de la dépense publique. Il s’agit aussi d’améliorer la coordination entre la politique budgétaire, et la politique monétaire. De manière plus explicite, l’élargissement de l’assiette fiscale demeure la clef de voûte pour respecter les engagements contenus dans les différentes Lois de Finances.

 

Dixième stratégie : l’amélioration de l’accès des congolais aux soins de santé de qualité. Après la belle initiative du chef de l’Etat sur la gratuité de la maternité dans le cadre de la couverture santé universelle, il est important que le gouvernement poursuive ses efforts visant la construction des hôpitaux et centres de santé à travers toute l’étendue du territoire national car c’est ça en d’autres termes l’une de meilleures réponses en rapport avec la justice sociale.

 

En guise de conclusion, j’affirme ici à haute et intelligible voix que je suis Anicet YOMBORANYAMA, communicateur de la Patrie et TSHISEKOLOGUE convaincu. Je suis un admirateur inconditionnel, incontestable et surtout incontesté du Président de la République, Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO en raison du fait qu’il est sans nul doute le Président le plus crédible de l’histoire de notre pays, la RDC, pour avoir instauré la bonne gouvernance sur base de son leadership légendaire, caractérisé par la transparence dans la gestion de la chose publique.

Par conséquent, j’exhorte toutes les congolaises et tous les congolais à s’entrelacer au tour de la vision précieuse du Président de la République : il s’agit d’une vision qui va briser le cercle vicieux de la pauvreté dans notre pays. Soutenons Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO notre Héros vivant, faisons-lui confiance et soutenons-le avec sincérité pour le développement pérenne dont nous avons toujours rêvé.

Malgré quelques défis résiduels qui tentent de ralentir l’élan du développement dans notre pays, et surtout malgré la jalousie de ceux qui convoitent nos richesses jusqu’à nous imposer une guerre injuste, la RDC vaincra.

Anicet YOMBORANYAMA, communicateur de la patrie et TSHISEKOLOGUE




Retard de la paie de Février : L’APUKIN désapprouve et crie au manque de respect à l’égard des fonctionnaires 

Les fonctionnaires de l’État y compris les Professeurs d’Universités sont en désarroi suite au non paiement de leur salaire du mois de février alors que l’on s’achemine vers la quinzaine du mois de Mars.

Victime de ce silence inouï de l’exécutif Congolais, l’association des professeurs de l’université de Kinshasa désapprouve le retard prolongé.

“Ce qui est vraiment regrettable c’est que, on ne justifie même pas, on explique rien et donc, comme si nous avons des gouvernants qui n’ont pas de comptes à rendre au peuple. Et ça c’est inacceptable et surtout que vous savez que nous venons des élections, le score obtenu par le Président de la République ne pouvait autoriser personne même pas lui-même, à réserver un traitement inapproprié aux Congolais” a déclaré le Professeur Charles Odiko, secrétaire rapporteur de l’APUKIN.

L’APUKIN exige à cet effet, du gouvernement congolais, le paiement dans un bref délai des salaires des fonctionnaires particulièrement du corps professoral pour mettre au fin à l’endettement auquel il se livre pour nourrir leurs foyers.

 

Loup solitaire




Chine, 2024 (Par Elias Jabbour)

Il y a un réel décalage entre ce que l’on lit dans la presse et dans les revues académiques occidentales sur l’état actuel de l’économie chinoise et la réalité elle-même. Pour ceux qui vivent dans les pays du Nord, la Chine vivrait une crise majeure, qui donnerait les premiers signes de l’épuisement de son « modèle ». Pour d’autres, il s’agit d’une « leçon » : la Chine doit accroître le rôle de la consommation au détriment d’un modèle obsolète basé sur les exportations et les investissements.

En réalité, nous avons vu une croissance économique de 5,2 % en Chine. Dans le même temps, les États-Unis ont progressé de 2,5 %, le Japon de 1,9 %, la France de 0,9 %, tandis que le Royaume-Uni et l’Allemagne ont reculé de 0,1 %. En termes de productivité du travail, la croissance chinoise a été de 4,8 % en 2023, tandis que les États-Unis ont connu une croissance négative de -0,7 % et l’Allemagne, -0,3 %. D’une manière générale, cela signifie que la Chine continue de rattraper les économies capitalistes majeures, tout en disposant déjà d’une autonomie technologique totale dans plusieurs secteurs de pointe.

Le plus intéressant est de noter que les performances économiques de la Chine se situent, depuis 2020, à des niveaux supérieurs à ceux nécessaires pour atteindre les objectifs fixés pour 2035. En d’autres termes, cela signifie que le pays devrait atteindre le niveau de développement souhaité par les dirigeants du pays avant même la date prévue. Par conséquent, il convient de s’interroger sur les raisons pour lesquelles la Chine a réussi non seulement à maintenir les niveaux de croissance nécessaires pour, par exemple, la création de 11 millions d’emplois urbains prévus dans le 14e plan quinquennal, mais aussi à se maintenir comme la principale source d’exportation de prospérité vers le reste du monde, en particulier les pays du Sud. Par exemple, en septembre 2013, le président chinois Xi Jinping a défini les grandes lignes de ce que l’on appelait alors la « Ceinture économique de la Route de la soie », aujourd’hui l’Initiative « la Ceinture et la Route ». Depuis lors, 154 pays ont officiellement rejoint le projet, avec environ 1 000 milliards de dollars investis sur presque tous les continents du monde.

En d’autres termes, la réalité ne montre pas un soi-disant « moment Tchernobyl » pour l’économie chinoise. On exagère les problèmes survenus dans le secteur de l’immobilier. Bien sûr, une crise quasi soudaine dans un secteur qui représente environ 30% de l’économie d’un pays de la taille de la Chine n’est pas anodine, de même qu’aucun pays capitaliste dans le monde n’est capable de planifier une transition dans la dynamique qui implique un changement gigantesque entre les secteurs économiques et les régimes de propriété.

Un exemple de cette transition est l’augmentation des crédits au secteur industriel, notamment ceux liés au secteur de haute technologie, proportionnellement à la réduction des ressources bancaires allouées au secteur immobilier. Les données fournies par la Banque populaire de Chine montrent qu’au cours des trois premiers trimestres de 2018, le crédit au secteur de la construction a augmenté de 24,9 %, contre environ 5 % au secteur industriel. Cette tendance a changé depuis. Au troisième trimestre 2023, le secteur industriel a connu une croissance de l’accès au crédit de 34,2 %, contre seulement 4,8% au secteur de l’immobilier. Ce qui est implicite dans ces données, c’est la concentration totale des énergies sur la construction de la pleine souveraineté technologique de la Chine dans un monde où le pays subit un processus d’intimidation commerciale et technologique de la part des États-Unis.

Cette transition, bien que difficile compte tenu de l’ampleur de son fonctionnement, accélère la construction d’une dynamique de développement dite « de haute qualité », car elle implique l’expansion des services publics tels que les trains à grande vitesse, de lourds investissements visant à maintenir la Chine à l’avant-garde de la révolution industrielle actuelle basée sur les industries d’énergies renouvelables, ainsi qu’un processus d’urbanisation guidé par l’expansion de l’accès populaire à de nouveaux droits et équipements tels que les hôpitaux modernes, les écoles, les villes inclusives et intelligentes.

Toutes ces nouvelles dynamiques de croissance économique constitueront la base de ce que le président Xi Jinping a appelé les «nouvelles forces productives de qualité », c’est-à-dire l’émergence d’un développement économique largement basé sur des technologies nouvelles dans tous les domaines de l’activité sociale. En ce sens, beaucoup de ceux qui s’intéressent à l’avenir du développement chinois poseront une telle question : est-il possible de maintenir des niveaux de croissance compatibles avec les besoins du pays ? Par exemple, l’objectif de croissance de 5 % pour 2024 annoncé à l’ouverture des « Deux sessions » par le Premier ministre Li Qiang.

La réponse est oui. Il ne s’agit pas d’un pur optimisme quant à l’avenir de l’économie chinoise, mais plutôt d’une vision particulière de ceux qui ont suivi la construction au cours des dernières décennies d’une grande machine, étatique et institutionnelle, capable de diriger l’économie dans le bon sens, de prévenir les obstacles et de les anticiper avec des innovations institutionnelles rapides et suffisantes.

Les avantages que la Chine compte à ses côtés pour atteindre ses objectifs de croissance et d’emploi sont souvent négligés en Occident :

1) un vaste noyau productif et financier de nature publique centré sur 96 grands conglomérats d’entreprises publiques et 144 institutions financières publiques visant à favoriser le développement, et

2) l’inauguration de nouvelles formes supérieures de planification économique basées sur l’utilisation généralisée d’innovations technologiques de rupture telles que le Big Data, l’intelligence artificielle et la 5G.

Telles sont les raisons pour lesquelles je suis convaincu que la croissance économique chinoise restera à des niveaux compatibles avec les besoins du pays, et même du monde. L’année 2024 devrait être marquée par la consolidation d’une dynamique de développement fondée sur les « nouvelles forces productives ».

 

(Elias Jabbour : consultant auprès de la présidence de la Nouvelle banque de développement (NDB) et professeur associé à la Faculté des sciences économiques de l’Université d’Etat de Rio de Janeiro (FCE-UERJ). Auteur, avec Alberto Gabriele, de « Chine : socialisme du XXIe siècle » (Boitempo, 2021). Lauréat du Prix spécial du livre de Chine 2022.)




Une délégation de l’INAP à l’IGF pour obtenir les éléments d’informations sur la gestion de la CNSSAP

Les syndicalistes de l’Intersyndical de l’administration publique et entreprises publiques (INAP), conduits par leur président Fidèle Kiyangi, ont été reçus le vendredi 08 mars par le Chef de Service de l’IGF Jules Alingete Key, qu’accompagnaient tous les membres de la Direction de l’IGF.

La rencontre entre les deux parties était axée sur la recherche des informations sur la gestion de la CNSSAP. Les syndicalistes voulaient obtenir ces éléments d’informations pour s’assurer de la bonne gestion de cet établissement public qui collecte les cotisations des fonctionnaires pour organiser la retraite des agents publics .

L’IGF leur a communiqué les éléments à sa disposition suivant les observations de la mission de la patrouille financière placée à la CNSSAP.

Didier Mbongo Mingi




CULTE DU DIMANCHE 10 MARS AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH