Mon hommage à l’apôtre Roland Dalo pour ses 60 ans d’âge (Alain Kiuka)  

Je vois l’Apôtre Roland Dalo pour la 1ère fois en 1994 lors d’une convention de la Jeunesse de l’église Cef La Borne et des églises sœurs des Assemblées de Dieu. Je suis alors un jeune chrétien né de nouveau évoluant dans le Département des jeunes de l’église CE LA Trinite Profil fondée par le Pasteur Garry Dickenson et dirigée par notre patriarche Pasteur Barthelemy Masuaku. Je découvre à l’époque un prédicateur et orateur hors pair qui, non seulement sait manier la langue de Voltaire, mais plus sait agencer les versets bibliques et l’actualité socio-politique et économique du monde contemporain. Bref un homme avec un grand bagage à la fois culturel et spirituel.

J’aurai après cette convention plusieurs occasions de suivre ses prédications en présentiel et à la télévision. Et puis vint mes débuts en 1996 comme étudiant à l’ISTI (Institut des Sciences et Techniques de l’Information) devenu aujourd’hui IFASIC (Institut Facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication). Par la grâce de Dieu, nous serons parmi les dirigeants du GBU/ISTI (Groupe Biblique Universitaire) aux côtés de mes frères Pellet Kipela et Alain-Claude Christian Djate sans oublier mes sœurs Madeleine Amisi et Bijou Bamenga, Servante Tina A Bumba Lessie, la liste n’est pas exhaustive. Nous organiserons un premier grand événement où nous inviterons le Pasteur Roland Dalo comme orateur principal. Dieu sera au rendez-vous et sauvera à l’occasion plusieurs âmes sur ce site universitaire. J’aurais alors l’opportunité de tisser une relation personnelle avec cet homme de Dieu qui par sa locution discursive pouvait bluffer bon nombre des auditeurs à la radio le prenant pour un prédicateur blanc.

Je vous épargne d’autres étapes de la construction d’une relation franche et sincère empreinte de respect, de fraternité et même d’amitié.

Je serai incomplet si je n’évoque pas l’épisode de notre intégration, moi et mon épouse Jolly Sassa La Restaurée au Centre Missionnaire Philadelphie à Gombé peu après l’implantation de cette nouvelle communauté chrétienne. C’est par une révélation expresse du Seigneur Jésus-Christ que nous déciderons en 2010 de devenir membres du CMP dont l’Apôtre Dalo est le visionnaire et patriarche. Là encore nous allons vivre de moments inoubliables avec celui que j’appelle affectueusement Ya Dalo et sa très chère épouse, la servante de Dieu maman jusqu’à notre installation en dehors du pays en 2020. Le temps manquerait de parler du dédoublement du CMP qui nous a conduit d’évoluer au sein de Phila – Cité d’Exaucement avec comme Pasteur responsable Athom’s Mbuma, toujours sous la supervision de l’Apôtre Roland Dalo. Même nos rencontres à l’étranger revêtent d’un cachet particulier et sont marquées d’un sceau divin.

A l’occasion ce 60ème anniversaire de naissance, m’a prière est que l’Éternel continue à inspirer, guider, orienter, diriger, soutenir, protéger et bénir Son serviteur et toute sa famille. Ceci afin qu’il soit toujours une grande bénédiction pour l’Église Corps du Christ et pour notre pays, la République Démocratique du Congo et ses dirigeants.

Heureux et flamboyant anniversaire à toi Ya Dalo Ministries.

Mbutukulu kia mbote !

Mbotama elamu !

Happy Birthday




La doctorante Eulalie Bashige recommande à la femme une utilisation rationnelle et responsable des réseaux sociaux

Face à la presse , à deux jours de la célébration le 8 mars 2024 de la journée internationale des droits de femmes, l’ADG honoraire de l’Institut Congolais pour la Conservation de la nature, Chef des Travaux et Doctorant à l’Université Pédagogique Nationale, Eulalie Bashige, a recommandé aux jeunes filles l’utilisation rationnelle des réseaux sociaux pour non seulement se former et pour leurs autonomisation mais également pour ne pas ternir l’image de la femme congolaise.

Au cours de l’émission « MALOBA NA BASE » de ce mercredi 06 mars 2023 sur les antennes de la RTGA, dont le thème était « Femme à travers les réseaux sociaux : expression de liberté ou avilissement de son image » en lingala, « Kilelo ya réseaux sociaux, eza bonsomi to kobebisa lokumu ya ba maman? », l’ADG honoraire de l’Institut Congolais pour la Conservation de la nature (ICCN), Eulalie Bashige, a affirmé que de nos jours les réseaux sociaux offrent une grande opportunité d’apprendre et une occasion pour la femme de s’exprimer .

En cette heure du numérique, le monde est réduit en un simple village planétaire et cela, grâce entre autres, aux réseaux sociaux. « Cet outil valorise la femme et grâce aux réseaux sociaux l’on est au courant de ce qui se passe à l’autre bout de la terre quasi instantanément. Il permet aux femmes, généralement très réservée en public, de donner leurs points de vue sans affronter la timidité consécutives aux regards dans des milieux publics », explique Eulalie Bashige.

De nos jours, le téléphone est d’une grande importance dans la vie quotidienne de la femme .Par ses multiples usages, il a imprimé un nouveau mode de vie aux humains. Dans plusieurs aspects de la vie, l’internet s’est imposé. La recherche, le marketing digital et autres domaines encore, on recourt à la magie du numérique, de l’outil informatique. L’internet est devenu donc l’instrument incontournable.

Toutefois, comme toute création humaine, l’internet et les réseaux sociaux ont également leur revers de médaille. « Par un usage permanent, parfois aux détriments des contacts physiques, les réseaux sociaux peuvent devenir avilissants. L’adduction aux réseaux sociaux peut créer une très forte dépendance au point d’entrainer l’oisiveté », déplore l’enseignante de l’Université pédagogique nationale, la Doctorante Bashige.

L’expression de liberté ou avilissement de l’image de la femme ?

Comme chercheuse, la Doctorante Bashige affirme se ressourcer également sur des réseaux sociaux où elle puise beaucoup de matières dans son domaine de recherches « Moi personnellement j’apprends énormément des choses sur les réseaux sociaux (…) j’ai suivi sur un réseau social une formation sur les énergies renouvelables mon domaine de recherches », a –t-elle martelé.

Toutefois, il s’avère que certaines personnes, notamment des jeunes filles, n’entreprennent plus rien du tout mais passent des journées collées sur les réseaux sociaux mais que postent elles ? « Il est de notoriété publique que les congolaises s’en donnent à publier uniquement sur la musique et des danses hérissant la pudeur », a déploré l’ADG honoraire, la Cheffe des travaux à l’UPN. « C’est la face avilissante des réseaux sociaux qui terni l’image de la femme ».

Plusieurs couples et familles se disloquent suite aux mauvais usages des réseaux sociaux ils sont à la base de certains divorces. Certains parents affirment que « le téléphone est un élément destructeur des jeunes par le fait qu’ils ne se contrôlent pas, connectés aux réseaux-sociaux, ils manipulent cela en route sans tenir compte des conséquences qui peuvent surgir. D’autres jeunes se promènent avec le casque aux oreilles tout en augmentant le volume au maximum pourtant ils marchent des fois tout près du boulevard. Les jeunes filles deviennent accros au plus avec leur tiktok, Snapchat, Facebook et autres où elles publient chaque jour, et parmi elles, il y a celles qui ne savent pas cuisiner. Les autres au moment où elles préparent, elles utilisent en même temps le téléphone tout en étant en ligne. Il arrive qu’elles oublient la marmite au feu plongées dans des réseaux sociaux. Tout cela est à la base des inconvénients des réseaux sociaux ».

Malgré toutes les tares déplorées, Eulalie Bashige conclu que « comme toute invention humaine, les réseaux sociaux ont des avantages et des inconvénients. Ces derniers ne viennent pas des réseaux sociaux eux même mais de leurs utilisations. La femme, fut elle jeune filles, doit donc en faire une utilisation rationnelle et responsable », a conclu Eulalie Bashige, ADG honoraire de l’Institut Congolais pour la Conservation de la nature, Chef des Travaux et Doctorant à l’Université Pédagogique Nationale.

MackPower




Augustin Kabuya candidat aux sénatoriales ! N’est-il pas déjà fait valider son mandat de député national ? 

L’information est du média en ligne mediacongo.net. Publiée le 26 janvier 2024, elle a pour titre : “Assemblée nationale : Augustin Kabuya s’est fait enregistrer comme député “. Elle est introduite en ces termes : “Élu député national dans la circonscription électorale de Mont-Amba, le Secrétaire général de l’UDPS, Augustin Kabuya, s’est fait enregistrer, ce vendredi 26 janvier 2024, auprès des services administratifs de l’Assemblée nationale. Il s’agit d’un exercice recommandé par la coutume parlementaire, en prélude à la convocation de la session extraordinaire de la nouvelle législature” (…). “Le Secrétaire général du parti présidentiel a visité, sous la conduite du protocole de ce lieu, les locaux qui abritent les divers services de l’Assemblée nationale au sein du palais du peuple”. Il y a surtout à retenir cette affirmation émanant de lui-même : «il faut que le monde sache que je suis député national, non pas par la volonté de ma famille biologique, mais par celle de mon parti l’UDPS».

Et voilà qu’en sa qualité de secrétaire général de l’Udps, il signe en date du 2 mars 2024 la liste des candidats de l’Udps pour les sénatoriales. Pour la ville de Kinshasa, ils sont au nombre de 8, en l’occurrence :

1. NZENZA MPANGU François,

2. KABUYA TSHILUMBA Augustin,

3. KABASELE TUBAJICKA Micke,

4. MIDI GAAMANY ZOZEY Ambroise

5. ABLAVI EBOMA,

6. TSHISEKEDI ILUNGA Roger,

7. MULUMBA WA NKONGOLO Gecoco et

8. MBAYO Marcel.

Passe encore que sur les 8 candidats, 5 soient de l’Espace Kasaï dans une ville de Kinshasa représentative de toutes les 26 provinces et 4 zones linguistiques nationales. Mais, de là à revoir Augustin Kabuya Tshilumba parmi les candidats, alors que l’homme a déjà fait valider son mandat en qualité de député national a de quoi surprendre. Et même gêner.

En effet, c’est la preuve que même si leurs mandats ont été validés conformément au règlement intérieur, les députés nationaux de la législature 2023-2028 continuent de disposer de la liberté de postuler pour d’autres mandats publics. Par exemple le gouvernorat de province.

Certes, les Congolais ont été et sont suffisamment avertis du fait que dans leur pays, “Le salut du peuple est la loi suprême”, c’est-à-dire pour l’intérêt du peuple, on est en droit d’écraser la Constitution et les lois de la République !

Mais, on doit bien se demander quel est cet intérêt du peuple qui permet à un député national, qui s’est confirmé lui-même comme tel, puisse du jour au lendemain postuler pour le sénat avec, sans doute, objectif de succéder à Modeste Bahati Lukwebo, donc à faire conserver au Pouvoir Udps le poste de président de la République en cas de vacance à la magistrature suprême !

Pour l’heure, en se positionnant pour les sénatoriales, Augustin Kabuya doit déjà céder son mandat de député national à son premier suppléant avant même l’installation du Bureau définitif de l’Assemblée nationale.

C’est en plus un indice sérieux que la primature, que certains observateurs lui attribuaient dans le cadre de sa première mission d’informateur convertie en mission de formateur, s’est éloignée de plus en plus de ses ambitions naissantes.

Il faut avouer que là, l’Udps est en train d’envoyer un message non rassurant à ses partenaires de l’Union sacrée de la nation en particulier, tout comme au peuple et à la communauté étrangère.

En définitive, cette façon cavalière de quitter la chambre basse (en pleine installation) pour la chambre haute comme si le parti était en manque de compétences trahit une évidence choquante : l’Udps s’enfonce dans la navigation à vue.

Déjà, depuis le 24 janvier 2019, il n’a pas de président national, ni même président national intérimaire. On en veut pour preuve la qualité du signataire de la liste des candidats sénateurs : secrétaire général. Drôle de façon d’appliquer l’Etat de Droit dont il aura été le chantre depuis février 1982.

Omer Nsongo die Lema




Qatar : Félix Tshisekedi inaugure la journée de la Rdc à l’Expo Doha 2023

Le Président Félix Tshisekedi est arrivé, ce lundi à Doha, au Qatar, pour une visite de travail de deux jours durant laquelle le Président aura d’importantes rencontres en vue du renforcement des relations bilatérales entre le Qatar et la RDC. En clôture de sa mission au Qatar, le Président Félix Tshisekedi a participé ce mardi à la journée du Congo (RDC), célébrée dans le cadre de l’Expo Doha 2023, “Green Desert, Better Environment”.

Le Président Félix Tshisekedi a achevé sa mission de deux jours à Doha, au Qatar, durant laquelle il a eu plusieurs rencontres notamment un tête-à-tête avec l’Emir du Qatar pour échanger sur des questions de coopération bilatérale et d’investissements.

Le Chef de l’Etat a profité de sa présence à Doha pour participer à la journée du Congo (RDC), célébrée dans le cadre de l’Expo Doha 2023, “Green Desert, Better Environment”, une foire d’exposition placée sous le thème de la promotion d’une agriculture et d’une horticulture durables, vertes et respectueuses de l’environnement dans un monde en pleine lutte contre le réchauffement climatique.

A cette occasion, le Président Tshisekedi a visité le pavillon de la RDC qui expose les richesses naturelles de notre pays et montre le rôle primordial joué par la RDC pour la préservation du climat mondial.

Mme Valérie Lusamba Kabeya, ambassadrice de la RDC au Qatar s’est exprimée à cet effet : « l’expo de Doha est une opportunité qui a été offerte à tous les pays du monde de montrer leur progrès dans les domaines de l’agriculture et de l’horticulture ».

Elle a ajouté : « Pays en voie de développement, nous avons saisi cette opportunité de montrer, au-delà de l’agriculture, nos cultures, nos richesses. C’est pourquoi vous avez vu que notre pavillon présente toutes les richesses de la RDC ».

Enfin, l’ambassadrice de la RDC au Qatar a relevé la nécessité d’entretenir de bonnes relations bilatérales avec son pays d’accueil : « Le Qatar est différent dans son approche. C’est un pays très riche qui porte très haut ses valeurs. Pour la RDC c’est une opportunité de nouer des liens forts avec ce pays où nous n’avions pas une présence forte jusqu’à ce jour ».

L’Expo Doha 2023 se tient au Qatar jusqu’au 28 mars 2024.




Le 10 mars prochain à Luanda : Antipas Mbusa Nyamwisi représentera la Rdc au conseil des ministres de la SADC

Depuis le 03 au 11 mars 2024, plusieurs experts des Etats membres participent aux travaux préparatoires du Conseil des ministres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) à Luanda, capitale de la République d’Angola.

Ces assises ont pour thème général : “le capital humain et financier vecteur principal de l’industrialisation durable de la région de la SADC à l’intercontinental”.

Le programme prévoit, du 10 au 11 mars, des réunions du conseil des ministres qui se clôtureront pat une réception offerte par le président du Conseil, à savoir le ministre angolais des Relations extérieure, Tete Antonio.

“Cette réunion va débattre de 7 points, notamment l’état des finances, la mise en place du programme régional en faveur des jeunes de la SADC, et les questions diverses où la RDC a fait un point d’information sur sa volonté de devenir membre de la troïka de l’organe en Août 2024”, apprend-on. Puis: “La République Démocratique du Congo est fortement représentée et l’arrivée de son ministre d’État en charge de l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi, est annoncée à Luanda le 10 mars pour participer au Conseil des ministres de la SADC”.

La Communauté de développement de l’Afrique australe a pour principaux objectifs de réaliser des objectifs de développement économique, d’établir la paix et la sécurité, de favoriser la croissance économique, de réduire la pauvreté, rehausser le niveau et la qualité de vie du peuple de l’Afrique australe et d’appuyer les défavorisés sociaux par le biais de l’intégration régionale. Ces objectifs seront atteints grâce à une intégration régionale approfondie, des principes démocratiques consolidés et un développement équitable et durable.

Ces objectifs généraux de la SADC sont définis à l’article 5 de son Traité de la SADC.

En sa qualité de pays membre, la RDC, confrontée à la guerre barbare lui imposée par le Rwanda bénéficie du soutien de la SADC qui a déployé une force militaire avec un mandat offensif pour combattre le RDF/M23 qui occupe quelques territoires congolais en déployant des missiles sol-air, entre autres, Rutshuru et Masisi. Cette force s’appelle la Mission de la SADC en RDC (SAMIRRDC).




Du 19 au 20 mars à Kinshasa : Julien Paluku conférencier au colloque qu’organise l’APUKIN 

Julien Paluku Kahongya, Doctorant en Sciences Politiques et Administratives à l’Université de Kinshasa, Expert en management des conflits armés dans la région des Grands-Lacs et en Décentralisation ainsi qu’en Développement sera conférencier au colloque qu’organise l’Association des Professeurs de l’université de Kinshasa (APUKIN) du 19 au 20 mars dans la capitale congolaise

“RDC : Quelle gouvernance pour les 5 prochaines années “, c’est le thème de ce colloque qui va réunir les intelligences dans plusieurs domaines a fait savoir le Professeur, David Lubo Yambele, Président de l’APUKIN.

Au cours de cette rencontre, une invitation a été remise officiellement au Ministre de l’Industrie et Ancien Gouverneur du Nord-Kivu pendant 12 ans par la délégation de l’APUKIN

« Nous sommes l’Association des professeurs de l’Université de Kinshasa (APUKIN). Nous sommes venus, parce que vous savez que nous sortons des élections du 20 décembre 2023. Nous avons un nouveau parlement qui est déjà installé au niveau de l’Assemblée nationale ; nous attendons le Sénat. Nous avons un président de la République qui a un mandat qu’il exerce déjà. L’APUKIN a voulu donner sa contribution pour participer à la gouvernance de 5 prochaines années. C’est-à-dire que nous organisons un colloque qui se tiendra du 19 au 20 mars à l’hôtel du Fleuve pour que chacun de nous professeur, acteurs politiques ou sociaux, nous puissions contribuer, dans son domaine de compétence, à 5 prochaines années », note M. David Lubo Yambele.

Ainsi, il ne sera pas dans la littérature. Il sera question d’analyser le passé et de proposer des pistes de solution pour que la gouvernance soit améliorée. « Nous nous retrouvons ici parce qu’il y a quelqu’un qui a un triple intérêt : il est membre du Gouvernement, un chercheur, un conférencier et qui a aussi un passé très riche pour la situation dans notre pays. Il fut gouverneur de la province du Nord-Kivu pendant plusieurs années, il a un amour pour la science, puisque nous le voyons dans beaucoup de colloques. Nous croyons que comme gouvernement, il devait avoir un intérêt dans ce que nous proposons », poursuit-il.

Soulignons que Julien Paluku sera parmi les intervenants à ce colloque dont le thème est : « Rdc, quelle gouvernance pour les 5 prochaines années ? ».

 

CELLULE DE COMMUCATION ET PRESSE




CCB : Bientôt le lancement des appels d’offres après l’atelier de partage d’informations

L’évaluation du projet gigantesque de l’industrie des batteries électriques piloté par la République Démocratique du Congo a été au centre d’une réunion technique ce lundi à Kinshasa entre le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya et la Direction Générale du Conseil Congolais de la Batterie (CCB), accompagnée de ses experts.

Au cours de cette rencontre stratégique, le ministre a reçu des explications techniques sur le choix des lieux où sera exécuté ce grand projet panafricain, mais aussi des manières par lesquelles les intrants y seront acheminés.

Désormais, des appels d’offres seront lancés après l’atelier de partage d’informations qui va réunir sous peu à Kinshasa les ministres de l’Industrie ,des Mines, des Finances, des Ressources Hydrauliques et Électricité, des Travaux Publics et Infrastructures, du Portefeuille et du Transport et Voies de Communication accompagnés de leurs experts respectifs. Ceci, dans l’objectif de faciliter une appropriation de ce méga projet, a déclaré le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya.

Pour Denis Lecouturier, Directeur Général du Conseil Congolais de Batterie (CCB), ce projet constitue une opportunité pour l’industrialisation de la Rdc.

« Nous faisions le point sur cette future industrie, savoir où nous en étions. Nous sommes au niveau de faire très bientôt l’appel à manifestation d’intérêt dans les différents secteurs comme les infrastructures, les batteries, etc. Nous sommes dans les domaines transversaux pour fournir l’industrie, les infrastructures et voir comment faire un atelier », souligne-t-il.

Signalons que le pragmatisme du Ministre de l’industrie pour accélérer la matérialisation de ce projet a été salué à cette occasion par le Comité de Gestion du CCB.




Devant 120 investisseurs : Julien Paluku déroule les secteurs prioritaires dans lesquels la Rdc a besoin d’investissements tant nationaux qu’étrangers

Au nom du Gouvernement congolais, le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya invite les 120 investisseurs venus des 17 pays à travers le monde en tournée en République Démocratique du Congo d’y rester et d’y investir dans les secteurs prioritaires dont l’agro-industrie, les Zones économiques spéciales, les infrastructures et l’énergie mais aussi de rejoindre le grand projet de l’industrie des batteries; car les appels d’offre seront lancés dans un bref délai par l’Etat congolais.

Appel lancé ce mardi à Kinshasa au cours du forum économique focalisé sur le développement des réseaux d’entreprises et la valorisation des opportunités de commerce et d’investissement en RDC.

« Je suis heureux d’avoir représenté le gouvernement dans cette tournée d’hommes d’affaires en Rdc. Il s’agit de 120 investisseurs qui viennent de partout à travers le monde et qui représentent 17 pays, qui ont appris que la Rdc est une terre d’opportunités. Voilà pourquoi j’ai été délégué par le Gouvernement pour venir parler des grandes opportunités de la Rdc. 1, c’est sa population, 100 millions des consommateurs. 2, son espace. J’ai dû démontrer les secteurs prioritaires dans lesquels la Rdc a besoin d’investissements tant nationaux qu’étrangers. Il s’agit de l’agriculture, les infrastructures, l’énergie, le secteur ferroviaire et les Zones économiques spéciales », explique Julien Paluku.

A l’en croire, ce message était passé pour changer d’avantage l’image de la Rdc qui est souvent perçue à travers le monde comme un pays seulement de guerres, comme un pays où personne ne peut venir. « J’ai déroulé également, pour assurer les investissements, la politique du gouvernement pour améliorer le climat des affaires, la politique du gouvernement de lutter contre la corruption. Car depuis que ce gouvernement est en place, nous venons de récupérer 10 places sur l’indice de perception de la corruption à travers le monde ».

Comme pour dire que toutes ces informations ne sont pas véhiculées dans les médias. On a toujours véhiculé les informations relatives à la guerre dans l’Est et non pas montrer l’autre bonne face qui permettrait aux investisseurs de venir. Avec ces 120 investisseurs, nous avons passé en revue tous les secteurs prioritaires et nous leur avons demandé de rester désormais en Rdc, d’investir en RDC avec des projets qui sont en chantier avec des appels d’offres qui sont en train d’être faits. Si chacun pouvait choisir un secteur, ensemble avec eux, le Gouvernement va faire un pays solution comme e chef de l’Etat l’a toujours dit.

Notons qu’à cette occasion, le CEO d’EQUITY-BCDC et le Directeur des Opérations de la Banque mondiale en RDC ont déclaré être séduits par les opportunités qu’offre la RDC bien vendues par le ministre de l’Industrie. Signalons que cette tournée qui a démarré depuis le 4 mars à Kinshasa va se clôturer le 7 mars prochain avant de se poursuivre du 7 au 9 mars à Lubumbashi dans le Haut-Katanga.




Séduits par le discours de Julien Paluku : Des responsables de plusieurs entreprises décident de s’installer en Rdc  

Après avoir été attirée par l’exposé pédagogique du ministre de l’Industrie sur le Plan Directeur d’Industrialisation lors du panel sur les opportunités d’investissement en République Démocratique du Congo, une partie de 120 investisseurs en tournée en Rdc a été reçue ce mardi dans la soirée par le ministre Julien Paluku Kahongya.

Les responsables de plusieurs entreprises dont Mohan Mutha, spécialisée dans l’industrie des batteries électriques, l’agro-industrie, la fabrication des panneaux solaires, Securities Limited-CLG qui œuvre dans la transformation des minerais stratégiques, TVS Motors Campany Limited qui produit des motos et tricycles et Confédération of India Industry ont décidé de signer des mémorandums d’entente avec le Gouvernement congolais par l’entreprise du ministère de l’industrie et d’installer leurs bureaux de représentation, car séduits par les avantages fiscaux, parafiscaux et douaniers qu’offre une Zone Économique Spéciale en RDC

« Lorsqu’on est arrivé en Rdc, il y avait beaucoup de choses, mais nous avons compris que c’est une terre d’opportunités et nous avons senti que nous sommes vraiment chez nous. Nous voulons signer un mémorandum d’entente demain et nous avons une attitude très positive pour créer des industries en énergie, l’eau et construire des maisons », a indiqué Ramesh Kumar Mutha, Directeur général de Mohan Mutha.

Et d’ajouter que nous voulons aussi exploiter les mines en Rdc. Nous allons amener un message à d’autres hommes d’affaires pour qu’ils viennent investir en Rdc. Comme je dis, l’énergie solaire, mais aussi fabriquer des panneaux solaires, produire de l’eau buvable. Nous allons discuter avec nos partenaires techniques et positivement, ils viendront.

Soulignons que le ministre de l’Industrie leur a promis la protection et l’accompagnement de l’Etat congolais.




Sur le projecteur : Rentrée culturelle et sportive au Centre Culturel de Lemba avec Me Rama Force

Le week-end (le samedi 2 et dimanche 3 mars 2024) était marqué par la rentrée culturelle et sportive au Centre Culturelle et sportive de Lemba ex Centre Franco-congolais de Lemba avec Me Rams Ramazani Amuzati dit Rama Force.

Ce dernier est la tête de l’Académie des Arts Martiaux Rama Force qui est une structure qui englobe plusieurs disciplines sportives.

Il s’agit de :

  1. Taekwondo WT
  2. Tang Soo Do
  3. Taekwon-Do ITF
  4. Requin-Do Kick Punch
  5. Boxe Anglaise
  6. Kick Boxing
  7. Karaté Traditionnel

Le dojo de l’Académie des Arts Martiaux Rama Force est situé au Centre Culturel de Lemba, sise avenue By-Pass N°12 Quartier Echangeur, commune de Lemba. Le Formateur et fondateur Me Ramazani Amuzati Rams invite les parents d’envoyer les enfants pour leur encadrement. Ceux qui veulent s’adonner dans l’une ou l’autre discipline peuvent le contacter au numéro téléphone 0896741595.

Antoine Bolia