ONEM : Tshisekedi lance la matinée de l’emploi 

Ce mercredi à Kinshasa, le Chef de l’État Félix Tshisekedi a présidé la cérémonie d’ouverture des travaux de la matinée de l’emploi organisée par l’Office national de l’emploi (ONEM) pour la création d’un avenir professionnel solide en République Démocratique du Congo (RDC).

« Cet événement découle de la vision du Président Tshisekedi de créer plus de 6,4 millions d’emplois à l’horizon 2028, en accélérant notamment la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes », a fait savoir la ministre sortante de l’Emploi, Mme Claudine Ndusi.

Prenant la parole, le Chef de l’État est revenu sur l’importance de l’événement du jour : « l’intérêt particulier que j’accorde à cette question de l’emploi justifie à lui seul ma présence en ce lieu. Je suis déterminé à faire de mon engagement, de créer plus d’emplois, une réalité vivante durant ce quinquennat ».

Pour sa part, Fanon Beya, Directeur général de l’ONEM a salué la clairvoyance du Président de la République pour avoir « fait de l’emploi le premier de ses 6 objectifs quinquennaux. Il a relevé que « placer l’emploi parmi les priorités de développement en RDC est une première dans l’histoire du pays ».

Lors de son investiture le 20 janvier 2024 au Stade des Martyrs, à Kinshasa, le Président Tshisekedi avait affirmé que son nouveau mandat avait entre autres pour but « de créer plus d’emplois en accélérant la promotion de l’entrepreneuriat notamment celui des jeunes ».

L’ONEM est un organe de régulation du marché de l’emploi en RDC. Il a pour mission l’enregistrement des demandeurs d’emploi, la délivrance des cartes de demandeurs, le visa de contrat de travail, la prospection d’offres d’emploi, la collecte, le traitement et la diffusion des statistiques liées au marché de l’emploi en RDC.




Mes félicitations




RDC : Le président Félix Thsisekedi lance la matinée de l’emploi E PRÉSIDENT FÉLIX de l’Onem 

Le Chef de l’État, Félix Tshisekedi a présidé ce mercredi 03 Avril, la cérémonie d’ouverture des travaux de la matinée de l’emploi organisée par l’Office national de l’emploi ONEM, pour la création d’un avenir professionnel solide en République Démocratique du Congo.

«Cet événement découle de la vision du Président Tshisekedi de créer plus de 6,4 millions d’emplois à l’horizon 2028, en accélérant notamment la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes », a fait savoir la ministre sortante de l’Emploi, Claudine Ndusi.

Dans son mot, le Chef de l’État est revenu sur l’importance de l’événement du jour .

« l’intérêt particulier que j’accorde à cette question de l’emploi justifie à lui seul ma présence en ce lieu. Je suis déterminé à faire de mon engagement, de créer plus d’emplois, une réalité vivante durant ce quinquennat », a fait savoir le président de la République.

Pour sa part, Fanon Beya, Directeur général de l’ONEM a salué la clairvoyance du Président de la République pour avoir fait de l’emploi le premier de ses 6 objectifs quinquennaux. Il a relevé que placer l’emploi parmi les priorités de développement en RDC est une première dans l’histoire du pays.

Rappelons que lors de son investiture le 20 janvier 2024 au Stade des Martyrs, à Kinshasa, le Président Tshisekedi avait affirmé que son nouveau mandat avait entre autres pour but de créer plus d’emplois en accélérant la promotion de l’entrepreneuriat notamment celui des jeunes.

 

L’ONEM, organe de régulation du marché de l’emploi en RDC, qui a pour mission l’enregistrement des demandeurs d’emploi, la délivrance des cartes de demandeurs, le visa de contrat de travail, la prospection d’offres d’emploi, la collecte, le traitement et la diffusion des statistiques liées au marché de l’emploi en RDC.

 

 

Mboshi




Message de Félicitations à Son Excellence Madame le Premier Ministre de la République Démocratique du Congo, Mme JUDITH TULUKA SUMINWA. 

C’est avec joie que j’ai appris votre élévation au rang du Premier Ministre par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi. Vous êtes la première femme congolaise à occuper ce poste prestigieux depuis l’accession de notre pays à la souveraineté nationale et internationale.

Votre nomination constitue à la fois une reconnaissance à l’égard de la femme congolaise victime des plusieurs atrocités d’une part et une grande responsabilité en ce moment où notre pays est agressé à l’est du pays d’autre part.

Que ce mandat soit un succès total. Que notre Dieu guide chaque action que vous mènerez durant ce mandat en vue d’ amener notre pays vers la paix et le développement.

En tant qu’ancien ministre du Plan, Gouvernement Sama 2, votre professionnalisme n’est plus à prouver. C’ est ce qui a conduit le Président de la République à vous choisir parmi tant des femmes et hommes que compte la République.

Je vous souhaite un fructueux mandat et que l’Eternel vous guide pour le bien de la nation. Vous aurez notre soutien total dans toutes vos actions en faveur de notre peuple.

Pour la MRRC

BOLOZI BOMBOKO MBOLI Didier,

PRÉSIDENT NATIONAL




Ituri : une attaque armée fait un mort et un autre grièvement blessé à Mambasa

Des hommes armés qui seraient des miliciens Maï-maï ont attaqué le village de Mahulo, situé au Sud du territoire de Mambasa dans la province de l’Ituri.

Selon John Vuleveryo, coordinateur de l’ONG Convention pour le respect des droits humains CRDH évoluant à Mambasa, ces miliciens voulaient récupérer de force le carré minier d’or où était loger les expatriés Chinois qui exploitent cet espace.

Il dresse un bilan d’un chinois tué par balle et un autre grièvement blessé, conduit dans une structure sanitaire au côté d’une importante somme d’argent et quantité de l’or emportées par ces miliciens.

« C’était vers 23 heures que les éléments Maï-maï ont attaqué le site minier de Mahulo exploité par les expatriés Chinois dans la chefferie de Babila-Babombi en territoire de Mambasa. Ceux-ci avaient bien-sûr l’objectif de ravir des matières précieuses exploitées par les sujets Chinois. Pour l’instant le blessé poursuit avec des soins dans une structure sanitaire vers Biakato», explique John Vuleveryo.

Ce défenseur des droits humains déplore par ailleurs que certaines entreprises et sociétés d’exploitation qui utilisent les étrangers ne contribuent rien sur le développement du milieu où les travaux s’effectuent. Il appelle les autorités oeuvrant dans le secteur minier de revoir les contrats autorisant l’exploitation des matières premières afin de réserver quelques pourcentages à la population locale pour l’émergence de l’entité.

Alain Wayire/ Béni




Recherche scientifique: Les académiciens reprennent le travail

L’année académique 2024-2025 est déjà effective en République démocratique du Congo. A cet effet, les académiciens qui font partie de la société savante au Congo, viennent d’emboîter le pas aux étudiants qui ont déjà repris le chemin de l’université.

L’ouverture officielle de leur année académique 2024 a eu lieu le week-end dernier à l’amphithéâtre du ministère des affaires étrangères. Ils étaient une quinzaine des professeurs dont une femme, tous vêtus de toges spéciales singulières distinctes d’autres corps de métiers.

Parmi ces têtes couronnées, le célèbre chercheur, Jean Jacques Muyembe, qui est en même temps leur doyen.

Une autre présence très remarquée au cours de cette cérémonie de haute portée scientifique ayant rassemblé la crème scientifique de la République démocratique du Congo, est celle du ministre de la recherche scientifique et Innovation technologique, Dr Gilbert Kabanda Kurhenga lui-même aussi universitaire.

De la prise de parole du ministre Kabanda qui, ayant remonté dans les années 80 au plus fort du régime Mobutu jusqu’au régime de Joseph Kabila, en passant par celui de Laurent Désiré Kabila, a peint un tableau pas du tout reluisant du fonctionnement des classes dirigeantes de la communauté nationale en grandes difficultés de tous ordres et à mal des solutions pour résoudre les problèmes d’ordre sociétal pendants ou courants.

Le ministre Kabanda a lancé un message pathétique et patriotique au double plan des sciences exactes et des sciences humaines, à savoir chercher et trouver les solutions à même de permettre aux Congolais de consommer congolais à base de richesses propres en sol et en sous-sol mais aussi les solutions pouvant venir à bout des faiblesses morales et de déficit managérial des cadres congolais.

Pour le coup, le ministre Kabanda a annoncé aux académiciens la tenue au mois d’août 2024 du deuxième forum du génie scientifique congolais.

Bernetel Makambo




Election des gouverneurs et vice-gouveneurs: Déo Kasongo dépose son recours à la Cour d’Appel de Kin/Gombe

Ecarté par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le candidat Déo Kasongo s’en remet à la justice congolaise au sujet de sa candidature à l’élection des gouverneurs pour la ville province de Kinshasa.

Accusé d’avoir déposé sa candidature hors délai, Déo Kasongo s’attend à une réhabilitation.

Ses avocats étaient lundi dans les locaux de la Haute Cour où ils ont introduit un recours à la Cour d’Appel de la Gombe portant annulation de la décision “inique” de la Centrale électorale.

Ainsi, la Cour d’Appel a jusqu’au 6 avril pour se prononcer sur les différents contentieux.

Pressenti favori à ces scrutins, le jeune entrepreneur Déo Kasongo dit avoir un projet ambitieux pour la ville de Kinshasa. Il continue donc de croire en la justice de son pays pour dire le bon droit.

Signalons qu’il y a eu 231 candidatures qui ont été validées sur les 237 en lice pour les élections des gouverneurs et vice-gouverneurs en ce qui concerne l’ensemble du territoire national, soit 97%, dont six candidatures ont été déclarées irrecevables par la Commission électorale indépendante (CENI), soit 3%. Ces élections ne concernent pas les provinces de l’Ituri et Nord-Kivu placées sous état de siège.

Bernetel Makambo




Prétendu soutien de Joseph Kabila à l’AFC/M23: Christophe Lutundula : ”Ancien Chef de l’État ou non, il y a les lois de la République”

Le vice-premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula a réagi à la question sur une relation qui lierait l’ancien président congolais, Joseph Kabila et la rébellion dans l’Est de la RDC. Sans affirmer cette révélation, le chef de la diplomatie congolaise a seulement rappelé que le code pénal condamne la rébellion ou toute collision avec toute puissance étrangère.

“Nous ne sommes pas des dupes, nous connaissons tout, il y a des formations qui se passent maintenant, il y a des armes qui sont achetées, et nous nous préparons en conséquence”, a-t-il fait savoir de prime à bord.

Ainsi, avec l’adhésion massive des cadres du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) de Joseph Kabila à l’Alliance du Fleuve Congo (AFC/M23) de Corneille Nangaa, le patron de la diplomatie congolaise affirme que les services de sécurité travaillent pour déceler les collisions et trahisons internes.

“Il est curieux de voir que les partisans de l’ancien chef d’Etat adhèrent à un mouvement rebelle, et ils ne se cachent pas, ils le disent. Les services de sécurité ne sont pas pour rien, ils travaillent, et il y a des informations que nous avons, que nous sommes en train de vérifier. Il y a des éléments qui sont même en termes techniques des renseignements qu’il faut croire, qu’il y a quand même des collisions internes, des trahisons par rapport à ce mouvement que le Rwanda est en train de monter”.

Les lois de la République existent

Quant à la prétendue complicité de l’ancien président de la République, comme l’a dit Augustin Kabuya, Secrétaire général de l’Udps, Lutundula brandit les lois du pays.

“Que ça soit le président Kabila, j’ai beaucoup du respect pour lui, que ça soit tout autre congolais, chacun sait ce qu’il fait. La rébellion, il y a le Code pénal. L’alliance Fleuve Congo a fait alliance avec le M23, qui est soutenu, connu par tous, par un pays étranger, le Rwanda, c’est une trahison, il y a des lois de la République pour ça… Ancien Chef de l’Etat ou non, il y a les lois de la République… Il n’y a que lui qui peut confirmer l’information. Nous nous sommes en train d’enquêter et il y a déjà les éléments des services”, a-t-il martelé.

Quid des travaux préparatoires de Luanda

Quant aux travaux préparatoires de Luanda, en perspectives de la rencontre Tshisekedi-Kagame, où il est prévu une seconde rencontre avec la partie rwandaise, le VPM Christophe Lutundula a fait savoir que “c’est une rencontre préparatoire qui donnera de la matière au têtê-à-tête entre Félix Tshisekedi et Paul Kagame”. Ainsi pour lui, la condition pour la RDC reste la même : “le retrait des troupes rwandaises sur le sol congolais”.

« Nous avons privilégié la cessation des hostilités qui globalement comprennent la fin de la guerre et surtout le rrtrait des troupes rwandaises du territoire congolais. Pour nous c’est un élément essentiel pour un dialogue constructif, et qui ne sera pas superficiel, mais qui va nous ramener par la suite à attaquer les questions qui sont dans le cahier des charges », souligne-t-il.

Félix Tshisekedi exige le retrait des forces rwandaises sur le sol congolais. Christophe Lutundula a précisé que : « ce que nous disons, ce n’est pas que les deux chefs d’Etat ne peuvent pas se rencontrer, mais cette rencontre aura comme matière prioritaire la question du retrait. Le président Tshisekedi l’a dit, nous n’accepterons pas l’infamie de négocier sous occupation. Aujourd’hui, il ne fait aucun doute que le Rwanda a la plus grande responsabilité dans la crise sécurité et que les troupes rwandaises sont au Congo. Donc si on veut créer les conditions nécessaires à un dialogue constructif qui va mettre fin à la crise, il faut que le Rwanda se retire de la RDC”.

Bernetel Makambo




RDC : la première ministre Judith Suminwa présentée aux militants de l’Udps par Augustin Kabuya

Un jour après sa nomination par le chef de l’État Félix Tshisekedi, la première ministre Judith Suminwa a été reçue ce mardi 02 Avril 2024, par le secrétaire général du parti présidentiel à la 10 ème rue dans la commune de Limete au siège du parti.

Reçue en qualité de la cheffe du gouvernement, Judith Suminwa a été également présentée aux militantes et militants de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social. Un meeting de circonstance avait été improvisé en vue de permettre à la remplaçante de Sama Lukonde de saluer ses camarades et de leur inviter à soutenir le président de la République, ainsi que son gouvernement qui sera formé dans les tous prochains jours.

 

Judith Suminwa Tuluka a reconnu que la tâche n’est pas du tout facile, mais ensemble on peut parvenir à trouver des solutions aux maux qui rongent la République Démocratique du Congo, notamment, le social, la paix dans la partie Est du pays, l’économie en maîtrisant le taux de change et tant d’autres.

 

Dans sa communication en lingala, la désormais première femme des congolaises a promi de célébrer la clôture du mois de la femme avec toutes les mamans de l’Udps dans un bref délai. Elle a saisi cette occasion pour remercier encore le président de la République pour la confiance placée en sa personne, surtout pour sa qualité du champion de la masculinité positive, qui sait reconnaître la place et le rôle de la femme dans la société.

 

Prenant la parole à son tour, Augustin Kabuya, secrétaire général de l’Udps a promi tout le soutien et l’accompagnement de son parti au nouveau leadership à la tête du gouvernement pour ainsi mettre fin aux antivaleurs qui ont caractérisé la gestion de la chose publique.

 

Il a expliqué aux membres du parti présents au siège que l’Udps n’a pas eu la primature pour saigner la caisse de l’état, mais plutôt servir la population, donc servir la République.

 

“L’Udps a pris le pouvoir pour corriger les erreurs du passé “, a-t-il renchérit.

 

Rappelons que c’est depuis le 01 Avril que le pays a une nouvelle personne à la tête du gouvernement, en remplacement de Jean Michel Sama Lukonde. Il s’agit de madame le premier ministre Judith Suminwa Tuluka, originaire du Kongo Central dans le territoire de Songololo, mère de deux enfants.

 

 

Mboshi




Scrutins combinés du 20 décembre 2023: La CENI salue la bravoure de vaillantes femmes victimes des violences électorales

Le 2e Vice-Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Didi Manara, a représenté le Président de l’institution, Denis Kadima (empêché), à la cérémonie de clôture du mois de la femme organisée à la salle Abbé Apollinaire Malu-Malu à laquelle prenaient part notamment les membres de l’assemblée plénière de la Centrale électorale.

Occasion pour la CENI, par la voix de son 2e Vice-Président, de manifester, haut et fort, devant un parterre d’invités, sa solidarité à l’endroit des victimes des violences électorales, dans certains coins de la République. Il a salué leur bravoure pour avoir affronté et surmonté ces pénibles épreuves lors du déroulement des scrutins combinés du 20 décembre 2023.

Non sans avoir rappelé le contexte de la célébration de ce mois dédié à la gent féminine (68e du nom) commémorée au niveau national sous le thème ‘’Accroître les ressources nécessaires en faveur des femmes et filles dans la paix pour un Congo paritaire’’, en communion avec les femmes et filles résidant, en particulier, dans la partie orientale du pays victimes des affres de la guerre si injustement imposée à la RDC par des ennemis de la paix et de l’évolution positive des pratiques démocratiques observées dans le pays.

Dénonçant, par ailleurs, avec vigueur les actes de barbarie perpétrés au cours de cette journée électorale, Didi Manara a sollicité de la part des instances judiciaires la traque systématique des auteurs de ces infractions pour qu’ils ne se reproduisent plus.

Il a mis en évidence particulièrement la vaillance de ces femmes, agents, candidates et observatrices électorales ayant subi toutes sortes de sévices corporels publiquement alors qu’elles ne remplissaient que leur devoir.

« Finalement ce que la CENI redoute est que ces agissements adieux perpétrés contre elles et toutes les autres personnes vulnérables ne soient pas à la base de leur démobilisation et refus de participer aux prochaines échéances électorales. Et pourtant, dans la stratégie visant l’inclusion effective des femmes, jeunes, personnes vivant avec handicap et peuples autochtones, nous sommes, avec la participation de nos partenaires et du gouvernement, dans une lancée ascendante », a souligné le 2e Vice-Président.

En leur suggérant de ne pas bloquer leurs ambitions et de se transcender, parce que capables de réaliser les exploits, Didi Manara les a exhortées plutôt à persévérer.

« J’invite les Congolaises à différents niveaux du processus électoral pour leur participation et représentation accrues dans les institutions de la République », a-t-il exhorté félicitant, de vive voix, particulièrement celles qu’il a qualifiées « d’héroïnes ayant osé et celles qui ont été élues avec succès aux échéances électorales de décembre 2023 de continuer à croire en elles ».

Pour leur part deux membres de la plénière, Adine d’or Omokoko a retracé l’historique de cette commémoration, son impact et son rapport avec les élections, tandis que Joséphine Ngalula Kabeya a formulé des recommandations préconisant, entre autres, d’éviter d’impliquer les directeurs d’écoles dans le processus comme agents électoraux.

Elle a appelé les partis politiques à sensibiliser leurs militants au respect des lois et procédures en lien avec les élections en ravitaillant, au mieux, les forces de l’ordre pour bien exercer leur rôle de sécuriser les agents et les électeurs.

Ces différentes interventions ont été entrecoupées de quelques témoignages des victimes, encore sous le choc, qui ont ému l’assistance au regard de la brutalité dont ont fait usage les auteurs de cette barbarie allant jusqu’à dénuder certaines qu’ils ont traînées publiquement dont beaucoup en gardent des séquelles traumatisantes.

Peu avant de clôturer la cérémonie, il a été procédé à la remise, à titre symbolique, des trophées en guise d’encouragement à un échantillon des courageuses femmes concernées.

Le Quotidien