Ligue des champions(Afrique ): le TP Mazembe atteint le dernier carré cinq ans après

En position défavorable après son match nul (0-0) concédé à domicile à l’aller, le TP Mazembe a arraché sa qualification en surprenant Petro Atletico (2-1) ce samedi 6 Avril à Luanda à l’occasion des quarts de finale retour de la Ligue des champions africaine.

Pourtant menés jusqu’à la 81e minute, les Corbeaux de Lubumbashi frappent un grand coup et se hissent dans le dernier carré pour la première fois depuis 5 ans !

Lorsque Jonathan Toro a ouvert le score pour les Angolais (29e), les choses semblaient pourtant très mal embarquées pour les Corbeaux de Lubumbashi, contraints de marquer au moins un but face à une défense invulnérable depuis 7 matchs dans la compétition ! Les hommes de Lamine Ndiaye ont pourtant disposé de plusieurs occasions, mais ils ont cruellement manqué d’efficacité, à l’image de Kabwit, qui a loupé l’immanquable juste avant la pause après avoir pourtant éliminé le gardien adverse.

Un quart d’heure renversant !

Les visiteurs ont longtemps poussé mais sans parvenir à trouver la faille… jusqu’au but libérateur signé Philippe Kinzumbi à la 82e minute au terme d’un beau mouvement collectif. Virtuellement qualifiés en raison de la règle du but à l’extérieur, toujours en vigueur en Afrique, les Congolais ont ensuite tenu bon face à des adversaires contraints de marquer.

Le gardien sénégalais Faty a notamment réalisé un arrêt déterminant avant que Joel Beya ne mette définitivement le TPM à l’abri, à la conclusion d’un contre pour punir le gardien adverse, monté pour jouer le tout pour le tout (90+6). Les Congolais affronteront Al-Ahly, tenant du titre, en demi-finales. Une autre paire de manches !




Jules Alingete rend hommage à Simon Kimbangu, précurseur de l’émancipation congolaise et africaine

Dans la lutte pour l’émancipation du peuple congolais du joug colonial belge, Simon Kimbangu se distingue comme un précurseur. Dès 1921, il a courageusement critiqué la politique coloniale belge avec un discours non-violent. Kimbangu a prôné l’égalité des droits devant la loi et a éveillé la conscience noire face à l’idéologie dominatrice du colon belge. Pour les Congolais de l’époque, Simon Kimbangu était un prophète de Dieu, un nationaliste. Cependant, les missionnaires et l’autorité coloniale le considéraient comme un personnage dangereux, incitant la population congolaise à la révolte. Son histoire et son combat ont marqué l’histoire de la République démocratique du Congo (RDC).

Jules Alingete : Gardien des Finances Publiques

Jules Alingete Key, économiste congolais et expert-comptable agréé, est un homme dont le parcours est exemplaire. Né à Kinshasa le 25 juin 1963, il a été recruté sur concours à l’Inspection Générale des Finances (IGF) en 1988. Depuis lors, il a brillé dans divers postes, devenant un pilier du système Tshisekedi. Voici quelques points saillants de sa carrière :

1. Conseiller au ministère des Finances: Il a exercé ce rôle avec brio, contribuant à la gestion des finances publiques.

2. Coordonnateur au cabinet du gouverneur de la ville de Kinshasa (1997-2000): Son expertise a été précieuse dans cette fonction.

3. Commissaire aux comptes à la REGIDESO (2006-2018): Il a veillé à la transparence dans la gestion des ressources.

4. Directeur des recettes à la DGRK (2008-2010): Son travail a eu un impact significatif sur les recettes publiques.

5. Conseiller spécial du gouvernement en matière du climat des affaires: Il a contribué à améliorer le climat des affaires en RDC.

6. Inspecteur Général des Finances depuis juillet 2020: Jules Alingete a été un allié essentiel dans la lutte contre l’impunité et le détournement des deniers publics, une priorité du président Félix Antoine Tshisekedi .

L’IGF sous la Loupe d’Alingete

L’Inspection Générale des Finances (IGF) joue un rôle crucial dans la mobilisation des recettes publiques. La patrouille financière qu’il a mise en place est la clé de l’éradication des antivaleurs dans la gestion publique. Jules Alingete est un homme qui résiste aux menaces verbales, à la corruption et à la diabolisation. Il incarne l’espoir d’un Congo nouveau, bâti sur des valeurs d’intégrité et de transparence.

En somme, la commémoration de Simon Kimbangu et le travail de Jules Alingete convergent vers un idéal de justice, d’équité et de progrès pour la RDC. Leur héritage inspire les générations actuelles et futures à poursuivre la lutte pour un pays meilleur.

Didier Mbongomingi




Communiqué du Front Commun pour le Congo (FCC) suite aux accusations sans fondement récemment portées contre son Autorité morale  

Suite aux propos abjects, irresponsables et sans fondement, du Secrétaire Général de l’UDPS à l’endroit du Président de la République Honoraire, Autorité Morale du FCC, Joseph Kabila Kabange, et aux aveux stupéfiants et invérifiables, visiblement arrachés de force, publiés par un service spécialisé en violation du sacro-saint principe du secret de l’instruction près- juridictionnelle, le Front Commun pour le Congo, FCC en sigle, tient à faire ce jour, 6 Avril 2024, la mise au point suivante:

1. Le FCC condamne, avec la plus grande fermeté, les allégations, susceptibles de poursuites judiciaires pour imputations dommageables, dans un Etat de droit, faites à charge de son Autorité Morale, véritable antithèse de ce dont on l’accuse et qui est connu pour être un homme de paix et de dialogue, un patriote et démocrate avérés, un Homme d’Etat respectueux de la Constitution de la République, ainsi que de son serment de respecter cette loi suprême du pays;

2. Interpellé, par les militants de son parti, sur la non tenue des promesses démagogiques qui leur avaient été faites, ainsi qu’à la population congolaise, le Secrétaire General de l’UDPS, en bon Porte-Parole d’un régime affabulateur, a une fois encore, justifié leur manque de résultats concrets au terme du mandat précédent et les mauvaises augures actuelles en chargeant injustement Joseph Kabila Kabange;

3. Le FCC rappelle que, durant les dix-huit ans de Joseph Kabila Kabange à la tête du pays, ce dernier a été, plus d’une fois, confronté à des rébellions, tentatives de putschs et agressions extérieures, sans soutien avéré des « nouveaux patriotes qui n’ont découvert le patriotisme que depuis 2019 et qui le travestissent cyniquement, pour masquer leur incapacité chronique et accuser ceux qui ne sont pas de leur obédience d’une traitrise à géométrie variable;

4. Tout en prenant acte de la mauvaise foi et de l’ingratitude de ceux qui, il y a cinq ans, ont été les principaux bénéficiaires de la première passation pacifique de pouvoir en RDC, le FCC tient à rappeler, qu’en sa qualité d’unique Président de la République Honoraire vivant, de Sénateur à Vie et de principal artisan de la première alternance pacifique au Sommet de l’Etat en soixante ans d’indépendance du pays, dans une sous-région de l’Afrique où l’alternance démocratique est une denrée rare, Joseph Kabila Kabange, en lieu et place d’être vilipendé et injustement mis en cause, mérite plutôt d’être reconnu comme patrimoine national à préserver, et traité avec respect et considération ;

5. Le FCC souligne que la convoitise des richesses du Congo, les desseins expansionnistes de certains voisins et la traîtrise de quelques compatriotes égarés au service des intérêts étrangers ont toujours été des défis pour la gouvernance de ce pays-continent, béni de Dieu, qu’est la République démocratique du Congo. Faire croire qu’ils ne le sont que depuis 2019 et les présenter comme étant la cause de l’échec à tous égards du pouvoir actuel, en lieu et place des politiques naïves, peu réfléchies et mal appliquées, prônées et mises en œuvre par ce dernier, est donc une supercherie;

6. A ceux qui ne connaissent pas l’histoire, feignent de l’ignorer, ou ont la mémoire courte, le FCC rappelle qu’à son avènement au pouvoir en Janvier 2001, Joseph Kabila Kabange, alors âgé de seulement 29 ans, avait hérité d’un pays “balkanisé”, dont le pouvoir central ne contrôlait que le tiers du territoire national, le reste, soit les deux tiers, étant divisé en quatre pseudo- Etats ayant chacun, non seulement son administration, son armée et sa police, mais aussi son parrain extérieur. Malgré son jeune âge preuve qu’aux “âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années”, Joseph Kabila Kabange avait cependant compris que c’est aux Congolais qu’il revient, d’abord et avant tout, de régler les problèmes du Congo, que la cause de ces problèmes soit endogène ou exogène. Il savait aussi qu’être Chef, mieux, être Chef de l’Etat, c’est savoir s’assumer et assumer; que, face aux problèmes, le peuple n’attend pas que le Chef de l’Etat se comporte en chroniqueur.

Au lieu de discourir à longueur de journées et d’ériger des murs de lamentations, le Chef de l’Etat doit plutôt réfléchir, consulter, écouter, planifier, organiser, unir, motiver, mobiliser, décider et agir. Aussi, en dépit du lourd héritage lui légué, n’y a-t-il pas, en dix-huit ans de pouvoir, de discours de Joseph Kabila Kabange chargeant ses prédécesseurs ou une partie du peuple congolais pour justifier la lenteur, la modicité ou l’absence des résultats. Pas plus qu’il n’a jamais excipé de l’agression extérieure, de l’existence de groupes armés ou de l’activisme parfois violent de l’opposition politique, pour s’exonérer de son devoir de redevabilité vis-à-vis du peuple congolais;

7. Plus fréquent à l’intérieur du pays que dans les palaces étrangers, privilégiant l’action réfléchie et concertée aux effets d’annonces et aux oukases, usant à bon escient du dialogue et de la puissance publique, l’Autorité Morale du FCC avait réussi à déjouer les pronostics; à réunifier, pacifier et démocratiser le pays, le dotant d’une Constitution moderne; à apurer la dette extérieure, stabiliser le cadre macro-économique, relancer la croissance et amorcer la reconstruction des infrastructures, au point de léguer à son successeur, au moment de la première alternance pacifique depuis l’Indépendance, le 24 Janvier 2019, un pays uni dans ses frontières du 30 Juin 1960, un Etat moderne, démocratique, fonctionnel et solvable; une économie redynamisée et résiliente; un peuple réconcilié et acquis au principe du vivre ensemble par-delà sa diversité;

8. S’agissant plus précisément de la crise sécuritaire dans l’Est du pays, et confirmant en cela la sagesse millénaire selon laquelle “il n’y a pas de mauvaises troupes, il n’y a que de mauvais chefs”, le FCC rappelle que, sous le leadership compétent et efficace du Président Joseph Kabila Kabange, le M23 fut militairement vaincu en 2013 par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, qui sont aujourd’hui accusées, par leur propre gouvernement, d’être infestées de traitres et d’infiltrés. Cette prouesse avait été réalisée grâce à l’opération “Pomme Orange” d’heureuse mémoire, conçue par le Commandant Suprême d’alors, et exécutée de main de maître sur le terrain par des dignes fils du pays, dont les Généraux Etumba et Bahuma, ainsi que le célèbre Colonel Mamadou Ndala. Elle l’a été aussi grâce au concours de la SADC et à une architecture de sécurité régionale stable, soutenue par l’Accord Cadre d’Addis-Abeba avec, pour effet combiné, d’avoir fait bénéficier des dividendes de la paix au pays et à l’ensemble de la région des Grands Lacs pendant près de dix ans ;

9. La diplomatie post-alternance, inexpérimentée, naïve et erratique a rompu cet équilibre par son manque de lucidité analytique et de profondeur stratégique, l’une des manifestations en étant le séjour à Kinshasa, pendant 14 mois, tous frais payés par le trésor public, des représentants du M23, groupe armé aujourd’hui désigné comme suppôt des intérêts étrangers et ennemi de la Nation;

10. Pour le FCC, c’est à tout le moins téméraire et vexatoire, que les tenants de ces politiques irresponsables et sans résultats jusque-là, accusent de collusion avec l’ennemi, le seul Commandant Suprême des FARDC qui, confiant en l’armée nationale, a combattu et vaincu plusieurs groupes armés dont le M23, en a fait traduire en justice certains des dirigeants et a obtenu des sanctions internationales contre d’autres;

11. N’en déplaise à ceux qui, pour exister, doivent nécessairement effacer ou, à défaut noircir, le souvenir de leurs prédécesseurs, quitte à falsifier l’histoire, le FCC fait confiance au peuple congolais, agent et sujet de sa propre histoire. Le FCC est convaincu que le peuple n’est pas dupe. Qu’il sait donc, contrairement à ce que veulent faire accroire les dirigeants actuels du pays, que c’est la mauvaise gouvernance de ces derniers, et non le FCC, moins encore le Président de la République Honoraire Joseph Kabila Kabange, qui est la cause des maux indicibles qui l’accablent dont:

l’inflation et la dépréciation continue de la monnaie nationale qui, aujourd’hui, frôle le taux de 3000 francs congolais pour un dollar, rendant le panier de la ménagère plus léger chaque jour, et plongeant environ 40 millions de nos compatriotes, soit 40% de la population congolaise, dans une insécurité alimentaire chronique de niveau modéré à sévère;

14. Fort des prescrits de l’article 64 de la Constitution de la République, cadre exclusif dans lequel s’inscrit son action, le FCC estime qu’agir autrement, face à des gouvernants doublement illégitimes, parce que fruit d’une fraude électorale sans précédent et exerçant le pouvoir en violation de la Constitution, serait violer le serment de ses membres de « ne jamais trahir le Congo »!

Pour le FCC,

La Conférence Elargies des Présidents entendue,

Raymond Tshibanda N’Tungamulongo




DGRK : Michée Musaka reçoit le trophée d’excellence « Moto ya sika »   

M. Michée Musaka Mayelenkay, Directeur général de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa (DGRK), a reçu ce vendredi 05 avril, le trophée d’excellence ” Moto ya sika “, prix du Citoyen congolais, lui décerné par l’ASBL ” Moto ya sika “.

La cérémonie de remise du trophée s’est déroulée à l’hôtel Hilton, dans la commune de Gombe.

L’ASBL a suivi avec attention particulière le fonctionnement de la DGRK depuis plusieurs années. Pour la structure, cette institution financière provinciale de la Ville province de Kinshasa connaît à ce jour, un élan d’épanouissement très remarquable, grâce à la politique managériale du comité de gestion conduit par Michée Musaka Mayelenkay nommé Directeur général à la tête de cette régie il y a à peine 5 mois.

Cet effort du changement, ajoute les Responsables de cette ASBL, mérite des encouragements pour l’avancement de la DGRK.

C’est ainsi que les Membres de l’ASBL “Moto ya sika”, prix du Citoyen Congolais, demandent aux Agents et Cadres de la régie financière de la capitale de soutenir le DG, Michée Musaka.

Prenant la parole, le Patron de la DGRK qui a reçu ce trophée récompensé aux hautes personnalités a accueilli cet événement avec joie et surtout humilité.

En cinq mois seulement à la tête de la DGRK, Michée Musaka Mayelenkay se dit surpris que l’ASBL suit de près les activités de la régie qui travaille pour l’intérêt de la ville de Kinshasa.

“16 ans après, il a fallu attendre qu’une Association puisse reconnaître les activités et les actes posés par la Haute Direction de la DGRK à travers ma modeste personne”, a déclaré Michée Musaka Mayelenkay qui applique depuis sa nomination la politique de proximité avec les assujettis dans le but d’atteindre tous les contribuables de la capitale, booster le niveau de mobilisation des recettes, élargir l’assiette fiscale et accroître la bonne volonté des Agents et Cadres dans le dévouement du travail.

Michée Musaka Mayelenkay s’est engagé par ailleurs à travailler encore plus pour l’amélioration des Agents et Cadres de la DGRK, car plusieurs défis sont à relever.

Avant de terminer son discours de remerciement, le Patron de la régie financière de la capitale a rendu hommage au Chef de l’Etat, M. Félix Tshisekedi qui a permis cet élan de bonne gouvernance et qui se soucie de mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.

Sans oublier le Gouverneur de la Ville province de Kinshasa, M. Gentiny Ngobila Mbaka qui a jeté son dévolu sur sa modeste personne pour présider aux destinées de la DGRK et avec pour mission de remettre cette administration fiscale sur les rails.




Accusations contre Kabila : Le Pprd met en garde le régime de F. Tshisekedi

Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et le Démocratie (PPRD), Parti cher à Joseph Kabila Kabange, lance une mise en garde à un régime en panne de démarreur et des solutions stratégiques pour ramener la paix et la sécurité dans le pays en général et à l’Est en particulier et lui demande de cesser de se servir du nom de Joseph Kabila Kabange et de sa famille politique pour créer des comédies aux fins de nuire à l’image de cette personnalité de la République qui fait peur par son silence éloquent.
Dans un communiqué de presse, le Parti du Peuple pour la Reconstruction et le Démocratie (PPRD), dénonce avec véhémence la mesquine campagne de diabolisation de son Président National, le Camarade Joseph Kabila Kabange, Président honoraire de la République Démocratique du Congo et Premier Sénateur à vie sous la 3ème République; campagne menée par un régime aux abois, totalement vampirisateur, à travers les réseaux sociaux par des courtisans et flatteurs bien connus de Monsieur le Président Félix Tshilombo sur ce qui se passe à l’Est du Pays. Sans la moindre preuve et dans un montage grossier, on cite le Président Kabila pour une affaire qu’il ne connaît pas et qui ne peut pas l’intéresser pour avoir dirigé la RDC avec patriotisme, abnégation, conviction et vision.
Le professeur Emmanuel Ramazani Shadary qui signe ce communiqué souligne que le PPRD, Parti qui prône la non-violence rappelle à l’opinion nationale et internationale que le M23 est une œuvre ressuscitée par le régime de M. Félix Tshilombo qui l’a hébergé selon ses propres termes ici à Kinshasa pendant 14 mois et avec lequel il aurait signé des accords secrets alors que ce mouvement été déjà défait en 2013 par notre armée sous la houlette du Président Joseph Kabila Kabange.
« Le PPRD, Parti avant-gardiste rappelle également que le même régime actuellement au pouvoir, au lieu de donner des moyens conséquents à nos vaillants FARDC pour neutraliser tous les groupes armés, ce régime s’emploie à signer des accords multiples notamment des mutualisations des forces et des cessez-le feu qui mettent à genoux la République sans espoir de libérer l’espace territorial de la RDC où notre souveraineté est déjà entamée », indique-t-il.
Ainsi, le Parti cher à Joseph Kabila Kabange lance une mise en garde à ce régime en panne de démarreur et des solutions stratégiques pour ramener la paix et la sécurité dans le pays en général et à l’Est en particulier et lui demande de cesser de se servir du nom de Joseph Kabila Kabange et de sa famille politique pour créer des comédies aux fins de nuire à l’image de cette personnalité de la République qui fait peur par son silence éloquent.
Le PPRD porte connaissance à la communauté nationale et internationale qu’il se réserve le droit de saisir les instances internationales pour réhabiliter l’honneur de ce Grand Homme et de poursuivre sa lutte pour sauvegarder la démocratie et l’Etat de droit en RDC.
Enfin, le PPRD appelle le peuple congolais opprimé et qui ne voit rien du progrès social à ne pas céder aux intimidations pour l’anéantissement de l’opposition et de la résistance et à se lever comme un seul homme pour faire échec à cette dérive dictatoriale dans une pétaudière en embouteillage politique.




Beni : un grand chef terroriste et ses 4 collaborateurs neutralisés par la coalition FARDC-UPDF

La traque des combattants ADF se poursuit sans relâche dans la zone de Beni dans le Nord-Kivu. Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo appuyées par l’armée Ougandaise annoncent la neutralisation d’un chef terroriste islamiste MTM/ISCAP de nationalité Ougandaise surnommé BAGDAD et 4 de ses gardes du corps de nationalité Congolaise, le vendredi 5 avril 2024.

Le porte-parole des opérations sokola 1 Grand Nord qui livre cette information, précise que ces Djihadistes sont tombés sur le sol Congolais précisément à la colline ABUSIRE située dans la forêt TINGWE à plus ou moins 16 Km de la cité d’Erengheti,dans la province du Nord-Kivu.

Les Forces conjointes FARDC-UPDF ont également récupéré 2 armes de guerre de type AK47, des Motorola et plusieurs autres effets militaires.

 

Osk




Affrontements entre FARDC et la coalition M23-RDF-AFC: plusieurs bombes ennemies larguées ce samedi sur saké et ses environs

Des affrontements sont signalés depuis la matinée de ce samedi 06 Avril 2024 au tour de la cité de Sake dans le territoire de Masisi au Nord Kivu. La coalition M23-RDF-AFC lance des bombes dans plusieurs directions jusqu’à Mugunga, un des quartiers de la ville de Goma.

L’un des habitants de Mugunga précise que de fortes détonations d’armes lourdes sont entendues depuis tôt aux alentours de Sake sur la colline de Kiuli dans la localité de Kimoka et sur la colline de Vunano.

Des bombes du M23 en provenance des collines de kiuli et Vunano tombent dans la cité de Sake, à Mubambiro et à côté du nouveau camp militaire de Munzenze au quartier Mugunga, précise-t-il.

 

Osk




Judith Suminya Tuluka, une étoile montante du Kongo Central, honorée par l’ABAKO

Dans une récente annonce qui a suscité l’enthousiasme et l’admiration à travers le Kongo Central, Mme Judith Suminya Tuluka a été nommée à un poste de haute distinction, un événement qui marque un tournant dans sa carrière déjà impressionnante.

L’Alliance des Bâtisseurs du Kongo (ABAKO), parti politique d’avant garde de l’indépendance dédiée au développement et à la prospérité de la région et toute la République, a exprimé sa fierté et ses félicitations les plus chaleureuses à Mme Tuluka. Dans un communiqué, l’ABAKO a souligné son parcours exemplaire et son engagement indéfectible envers le Kongo Central, la qualifiant de source d’inspiration pour la jeunesse et les professionnels aspirants. Le Docteur Pierre Anatole en est ravi.

La nomination de Mme Tuluka est perçue non seulement comme une reconnaissance de son talent et de son travail acharné, mais aussi comme un symbole d’espoir pour de nombreux citoyens qui voient en elle un modèle de réussite et de dévouement au service de leur communauté.

L’ABAKO a réitéré son soutien à Mme Tuluka et a exprimé son désir de collaborer étroitement avec elle pour continuer à promouvoir les valeurs et les objectifs de l’organisation. Ce partenariat promet de catalyser des initiatives novatrices et de renforcer les fondations déjà solides sur lesquelles le Kongo Central continue de se construire.

La nomination de Mme Tuluka est un rappel puissant que le Kongo Central est une terre de possibilités où le mérite et la persévérance sont récompensés. L’ABAKO et toute la région attendent avec impatience les contributions futures de Mme Tuluka et lui souhaitent un succès continu dans ses nouvelles responsabilités.




Sondage d’opinion Le peuple d’abord

Top de 10 ministres ayant excellé par les augmentations des recettes et plusieurs innovations dans leurs secteurs respectifs

Le premier quinquennat du chef de l’Etat Félix Tshisekedi a été marqué par des travaux gigantesques dans beaucoup de secteurs, dans le cadre du programme de reconstruction du pays et de relance des activités. Néanmoins, des performances n’ont pas été remarquées partout. Si nombre des membres du gouvernement sortant ont brillé par la léthargie ici et là, d’autres par contre, se sont illustrés par des travaux ayant consisté à revaloriser des ministères qui ont longtemps sombré dans l’inactivité.

Ainsi, à l’heure où le président de la République entre de plain-pied dans son second quinquennat, et où la nouvelle Première ministre Judith Tuluka se prépare à mettre sur pied l’équipe gouvernementale, il importe de mettre en exergue les membres de l’ancien gouvernement ayant excellé dans l’exercice de leurs fonctions. Ce sont leurs innovations qui ont abouti à l’augmentation des recettes, ici, et à la restauration de l’ordre public, là.

Molendo Sakombi, Affaires foçncières: 80% 

Les Affaires foncières ont, en effet, pulvérisé les assignations de 63,2 milliards de francs. Grâce au leadership de Molendo Sakombi, l’administration foncière avait entrepris, avec succès, l’accentuation et la taxation de la redevance sur les concessions ordinaires, le contrôle foncier et immobilier pour signaler des changements illicites d’usage et de configurations des parcelles en vue de taxer les amendes transactionnelles, la numérisation du cadastre foncier.

Mais pour autant, Sakombi Molendo reconnaît que ses agents et cadres ne sont pas encore rémunérés au diapason de leur engagement. Le patron de l’administration foncière s’est dit rassuré qu’une nouvelle ère dans la gouvernance foncière s’installe en RDC. De leur côté, les agents et cadres soutiennent que les Affaires Foncières se sont mieux comportées sous le mandat de Molendo Sakombi. Déterminé à éradiquer les antivaleurs, source de désordres et de fuite des recettes dues au Trésor public, le ministre avait initié l’organisation des séminaires de renforcement des capacités des agents et cadres de son ministère de manière à les rendre plus performants dans la réalisation des objectifs leur assignés. Sur le plan conjoncturel, d’importantes réformes comme celles portant bancarisation des transactions foncières et immobilières; le relèvement des taux relatifs aux opérations hypothécaires; le compte centralisateur des flux générés par ces opérations; l’adoption de la nouvelle Mercuriale; la restructuration de la Chambre des experts immobiliers; le projet de création de l’Ordre des géomètres; la création de la Police foncière, la promulgation du Document de politique foncière nationale qui constitue une avancée remarquable dans le processus de la réforme foncière, sont autant d’innovations à mettre à l’actif de Molendo Sakombi.

Antoinette Kipulu, FPM: 78% 

Antoinette Kipulu Kabenga a mené, dans le lot des réalisations, plusieurs actions venues dans le cadre de la vision du chef de l’Etat, notamment dans sa recherche des solutions au déficit en  main d’œuvre qualifiée  dans plusieurs secteurs du pays, et sa décision de mettre l’homme au centre de l’action du gouvernement, et de faire de la  promotion du capital humain, une grande cause nationale à travers la Formation professionnelle et métiers. Parmi ces actions réalisées, l’on peut mentionner le lancement des épreuves préliminaires de l’examen national de fin d’études professionnelles;  l’organisation de l’épreuve nationale de fin d’études professionnelles dans toutes les provinces du pays; la construction des Centres d’excellence  et de pratique professionnelle au Grand Kasaï, au Kwilu et à Kinshasa, et la réhabilitation  de quelques Centres de formation professionnelle, la matérialisation de certains projets sur le renforcement des capacités des formateurs, du personnel administratif du ministère et la dotation en équipements des centres en matériels didactiques, l’évaluation de l’examen national de l’ENFEP sur toute l’étendue du territoire national; la construction des infrastructures et équipements adaptés aux différentes formations envisagées, des programmes de formation agréés et des descripteurs des compétences ainsi que des centres formation  sur l’ensemble du territoire national.

Nicolas Kazadi, Finances: 72% 

L’organisation régulière des réunions des experts issus de différents horizons pour examiner concrètement l’impact des projets financés par la Banque mondiale en RDC. La Cellule de suivi des projets et programmes financés par les bailleurs externes se dit consciente que malgré l’augmentation du portefeuille à 8,5 milliards USD en 2023, l’ampleur et la pertinence de ces investissements restent controversées, voire méconnues dans l’opinion.  D’où la nécessité de dresser l’état des lieux des projets financés par la Banque mondiale durant les cinq dernières années et des principaux résultats et impacts générés par ces financements.  Ces travaux devaient consister à l’identification des forces et faiblesses institutionnelles et opérationnelles dans la mise en oeuvre des projets, mais aussi à la proposition des actions stratégiques et pratiques axées sur le renforcement de la collaboration entre la Banque Mondiale et le gouvernement congolais.  Le ministre a insisté sur l’importance d’améliorer l’impact social de ces projets.

Aimé Boji Sangara, Budget: 69% 

Après sa nomination, il avait commencé par l’état des lieux pour identifier des imperfections. Dans le secteur de la santé, l’on peut citer l’alignement de manière graduelle de 60.000 infirmiers afin de mettre fin à cette question de prise en charge de la catégorie des corps soignants. Il s’était aussi penché sur la question de prime de risque et de salaire des médecins qui constituent la motivation des prestataires de services de santé, et l’un des piliers pour la réalisation de la couverture sanitaire universelle.

Julien Paluku, Industrie: 68% 

Le ministre a posé des fondamentaux constituants une boussole pour l’industrialisation de notre pays. C’est le cas du DPSI et du Plan Directeur d’Industrialisation avec ses six composantes notamment routières, ferroviaires, aéroportuaires, portuaires, centrales hydro-électriques et les Zones économiques spéciales. Pour faciliter l’accès aux crédits, il a baissé le taux d’intérêt débiteur au niveau du Fonds de Promotion de l’Industrie de 9% à 6% pour les grandes entreprises et de 4% pour les jeunes et les femmes. Il a aussi facilité le financement et subventions du gouvernement à travers le FPI de plusieurs entreprises industrielles. La construction de la centrale photovoltaïque de Tshipuka de dix mégawatts, l’aménagement de la route à péage Mbuji-Mayi-Kananga, mais aussi un hôpital moderne et écoles à Mbuji-Mayi, dans l’espace Kasaï, ont également bénéficié de cet appui.

Il a appliqué la politique du chef de l’Etat, celle de la transformation locale des matières premières grâce au développement des ZES. Le but de sa création est de faire de l’industrie un facteur de paix et de stabilité dans la partie Est du pays longtemps secoué par les conflits armés. Dans l’espace Equateur, on trouve la ZES de Miluna en territoire de Budjala. Il y a également le projet d’installation de l’usine de fabrication des précurseurs des batteries, des batteries et véhicules électriques; le projet de l’introduction de farine de manioc dans la production du pain et des produits de la pâtisserie. S’agissant de la promotion de nouvelles technologies appliquées à l’industrie, un accélérateur de développement industriel et durable a été mis sur pied et a assuré la formation de 100 porteurs des projets sélectionnés à l’issue de la première édition de la Master Class des Innovateurs et Inventeurs congolais. Enfin, l’on peut signaler la mise en place de plusieurs établissements publics dans le but de créer des richesses et des emplois aux Congolais, notamment l’Agence des Zones Économiques Spéciales qui a la mission d’assurer l’administration, la régularisation, le contrôle et les activités ayant trait à l’aménagement et la gestion des Zones économiques spéciales;  la Direction générale des Corridors de Développement Industriel dont le rôle est de créer, administrer, réguler, contrôler et gérer les corridors de développement industriel; le Conseil congolais de la Batterie chargé d’identifier les partenariats pour attirer et promouvoir les investissements, l’innovation et la technologie pour la transformation des minerais stratégiques de la fabrication des batteries électriques, proposer et mettre en œuvre les normes de production des précurseurs des batteries et des véhicules électriques en RDC; le Bureau national d’études et de planification industrielle dont la mission est de conseiller le gouvernement dans le domaine de la planification du développement industriel; le Guichet de mise à niveau dont le but est de renforcer les capacités techniques et financières des entreprises congolaises afin de faire face à la concurrence actuelle des produits importés.

Guy Loando 62%, 

Il aura marqué son mandat à la tête du ministère de l’Aménagement du Territoire d’une empreinte indélébile par des efforts visibles pour transformer un service autrefois dilué dans d’autres secteurs, en un ministère à part entière. Des améliorations ont été observées dans la mise en place de nouvelles structures et de textes pour accompagner la vision renouvelée de ce ministère. Il a également démontré sa détermination à faire évoluer l’Aménagement du territoire dans notre pays. L’une des avancées notables réside dans les efforts de structuration du ministère. L’établissement de textes réglementaires et de structures spécialisées dont le Fonds de l’Aménagement du Territoire, l’Agence nationale de l’Aménagement du Territoire, l’Observatoire de l’Aménagement du Territoire, sont autant d’actions qui ont posé des bases solides pour accompagner la nouvelle vision de l’aménagement du territoire en RDC.

Antoinette Samba, Mines: 58% 

Elle s’était engagée à redorer le blason terni du ministère. On compte parmi ses actions phares, hormis la gestion quotidienne du domaine minier et la régulation des activités minières, les actions suivantes: les états généraux des Mines, pour identifier les problèmes récurrents du secteur minier en vue de proposer des solutions possibles; les missions d’itinérances pour faire un état des lieux du secteur. Concernant la gestion du domaine minier, elle s’est engagée à protéger des actifs miniers contre le bradage, en annulant les titulaires de 386 droits miniers et de carrières en vue de récupérer les actifs dont l’octroi ne bénéficie guère à l’Etat congolais, elle a suspendu l’octroi des permis de recherches, ainsi que les cessions et amodiations des titres miniers, l’intensification des missions d’inspection et de contrôle sur terrain. Ce qui a eu pour effet, un accroissement des recettes du secteur minier, la mise en place une commission multisectorielle pour faire le suivi de la cession d’actions ou parts sociales à l’Etat, à l’occasion de l’octroi et du renouvellement des permis d’exploitation; la mise en place du cadre juridique de la gestion de la dotation de 0,3% du chiffre d’affaires des compagnies minières, comme contribution aux projets de développement communautaire. Des études géologiques qui ont permis d’instituer des Zones d’exploitation artisanale viables et les zones d’exploitation industrielle qui seront octroyées par appel d’offre.

Marc Ekila Likombo, Transports et voies de communication: 55%

Dans le sous-secteur aérien, la RVA devra construire des infrastructures aéroportuaires, la réhabilitation et modernisation de la piste, l’aérogare, la tour de contrôle et les matériels d’assistance à la navigation des avions. Ainsi, l’on a assisté à la réhabilitation de l’aéroport de Mbuji-Mayi, de Kananga, l’aéroport du Lualaba, de Bangboka à Kisangani, la modernisation de l’aéroport international de Goma, et de Kindu, l’aménagement de la piste de l’aérogare de Boende, la finalisation des travaux des aéroports de Mbandaka et Gbadolite, ainsi que la modernisation de l’aéroport de Tshimpi au Kongo Central, sans oublier le processus de certification de quelques aéroports internationaux. Ce qui n’avait jamais été imaginé auparavant. Pour sortir la RDC sur la liste noire de l’Union européenne, des recommandations ont été données pour remplir des conditions et se conformer aux normes de l’OACI. Des avancées sont aussi notées dans le sous-secteur ferroviaire. Aujourd’hui, la SNCC a acquis 100 wagons, et 9 achetés sur fonds propres du gouvernement. La SNCC c’est aussi l’exploitation fluviale, lacustre et maritime. Pour cela, la société a acquis quatre vedettes neuves qui vont desservir Goma et Bukavu avec 80 places et un VIP. Concernant l’Onatra, le quai de Matadi est en train d’être réhabilité en plus d’un vaste projet de réhabilitation et modernisation du chemin de fer Kinshasa-Matadi avec une firme canadienne.

Jean Lucien Bussa, Commerce extérieur: 53% 

Son bilan est axé sur le plan de la conduite de politique en matière d’import-export; la qualité de produits qui entrent sur le sol congolais; les réformes en matière d’exportation et la zone de libre-échange continentale africaine-ZLECAF. Primo, la conduite de politique en matière d’import-export: la conduite de politique d’import-export a une grande incidence sur la production intérieure brute, la protection de l’industrie locale, la protection de l’emploi, l’accroissement de parts de marché des industries locales et l’accroissement de participation des industries du budget de l’État. Secundo: la qualité de produits qui entrent sur le sol congolais. Des directives ont été communiquées à l’Office congolais de contrôle pour la construction de nouveaux laboratoires modernes répondant aux normes internationales. Ce, dans l’objectif de mieux contrôler les produits locaux et venant d’ailleurs. Tertio: les réformes en matière d’exportation. L’Agence nationale de promotion d’exportation a vu le jour avec pour mission principale de permettre au pays d’avoir des politiques de pénétration du marché intérieur.

Peter Kazadi, Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières: 51%

Ses récentes réalisations sont notamment la mise sur pied d’une Commission technique, sur instruction du chef de l’Etat,  pour une solution au conflit Teke-Yaka, dans l’espace Bandundu. Cette Commission qui sera dirigée par le VPM en charge de l’Intérieur, est constituée des représentants des chefs coutumiers Teke (Mai-Ndombe) et Yaka (Kwango), des notables des deux communautés, des membres du cabinet du ministre de l’Intérieur, des représentants de la Présidence de la République ainsi que ceux des autorités traditionnelles de la province du Kongo Central et de l’espace Grand Kasaï. Les  Yaka ont suggéré notamment la libération de ceux de leurs membres en détention, le retrait et  remplacement des militaires par la Police dans leur espace, ainsi que la réhabilitation de toutes les infrastructures endommagées au moment des affrontements. Les Teke ont, de leur côté, recommandé la mise en place d’une Commission ad hoc d’enquête pour identifier les coupables et établir les responsabilités; l’organisation des procès publics contre les auteurs des atrocités dans le plateau de Bateke; le retour des chefs coutumiers Teke et de leurs populations dans leur terre et le désarmement de la milice Mobondo, l’indemnisation des victimes et la prise en compte de la dimension coutumière avant la réconciliation entre les deux communautés (Des cérémonies ancestrales, dont la purification des terres), ont été également revendiquées.

Il y a enfin l’opération Panthère noire qui a permis l’arrestation au total, de 130 bandits urbains tombés dans les mailles du filet de la Police nationale congolaise. Ce premier bilan chiffré de présumés délinquants juvéniles s’inscrit dans le cadre de l’opération «panthère noir» nouvellement initiée par le gouvernement pour traquer les bandits urbains dans la ville de Kinshasa. Panthère noire est la énième opération destinée à combattre la criminalité sur toute l’étendue du territoire. Elle est exécutée par la Légion Nationale et a été présentée à l’exécutif national lors de la réunion du Conseil des ministres du 29 mars 2024. Elle succède aux opérations « likofi l et Il; Mbata ya bakolo et Tolérance zéro». Le bien-fondé de cette opération d’envergure de la police se justifie par le fait que la Légion Nationale d’Intervention, comme réserve générale de la police nationale, a pour but de renforcer les commissariats provinciaux lors des émeutes ou toute autre opération de police. Elle est chargée notamment d’exécuter des opérations anti-terroristes, de participer à la lutte contre toute mutinerie dans une prison, de participer à la lutte contre les actes de grand banditisme.

Le peuple d’abord




Kasaï Central: John Kabeya Shikayi désigné candidat de l’Udps/Tshisekedi à l’élection de Gouverneur 

Le candidat de l’Udps/Tshisekedi à l’élection de gouverneur du Kasaï Central a été désigné. Il s’agit de John Kabeya Shikayi, Gouverneur sortant de la même province, candidat à sa propre succession.

C’était à l’occasion de la rencontre à Kinshasa, entre les s députés provinciaux du Kasaï Central et le secrétaire général du parti présidentiel Augustin Kabuya le Jeudi 04 Avril 2024.

Au cours de ces échanges, les élus provinciaux ont communiqué au secrétaire général de l’Udps, leur motivation ayant concouru à jeter leur devolu sur la personne de John Kabeya Shikayi, choix de la raison.

Selon le porte-parole de la circonstance, le député provincial Katanga, le candidat gouverneur John Kabeya Shikayi bénéficie d’un soutien indéfectible de tous les députés Udps et mosaïques.

 

“Nous nous sommes retrouvés autour de notre père qui est le Secrétaire

Général Augustin Kabuya, le gestionnaire au quotidien du parti. Tous les députés provinciaux de la province du Kasaï Central élus sur la liste de l’Udps et des mosaïques, c’est-à-dire cette grande famille de l’Udps, se sont retrouvés autour de leur chef pour planifier comment gérer la province de manière à rendre honneur au Chef de l’État”, a-t-il indiqué.

 

Et d’ajouter : “On a pris la ferme décision de faire élire le gouverneur John kabeya Shikayi afin de matérialiser la vision du Chef de l’État dans notre province “, précise-t-il.

Et de poursuivre : “Prévoyant, le SG nous a aussi demandé d’accompagner notre ticket dans tous les projets à impact visible afin de redonner un sourire aux lèvres du peuple centre Kasaïen”.

 

Mboshi