Assemblée nationale : Augustin Kabuya ne sera plus candidat premier vice-président !

Le SG de l’UDPS Augustin Kabuya a annoncé qu’il renonce à ses ambitions de briguer le poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale. Il l’a dit ce mardi aux combattants.

Il justifie sa décision par son désir de participer activement au processus de conservation du pouvoir de l’UDPS.

“Je serai avec vous durant les cinq prochaines années pour jouer pleinement mon rôle de protecteur du régime”, a-t-il dit.

Le chef du parti présidentiel prévenant néanmoins que le pouvoir va traverser les zones de turbulences dans les prochains jours.

 

Loup solitaire




AVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATION D’INTERET




Ituri : Le gouverneur militaire en mission de service dans le territoire d’Aru pour évaluer la situation sécuritaire 

Le gouverneur militaire de la province de l’Ituri séjourne dans le territoire d’Aru depuis l’avant-midi de ce mardi 9 Avril 2024. Objectif, évaluer les enjeux de gouvernance et la sécurité opérationnelle afin d’y apporter des solutions adéquates.

A son arrivée, le gouverneur militaire a félicité la population de ce territoire pour son comportement dans le maintien de la paix et son courage dans la poursuite de la vie dans cette partie du pays.

 

Dans son agenda, le gouverneur inspectera aussi les troupes déployées dans cette zone. Il prévoit également de rencontrer la population et interagir avec les troupes opérant à Ariwara.

 

Des informations surplace renseignent que l’autorité provinciale fera Aru, Ariwara, Ingbokolo et Kengezi-base.

 

Il va visiter aussi la route Aru-Ngote, pour se rendre compte de l’évolution des travaux.

 

 

Mboshi




Le Réseau de Défense de l’Humanité s’indigne de l’assaut contre l’ambassade du Mexique en Équateur 

L’intervention des forces armées équatoriennes ayant conduit à l’arrestation de l’ancien vice-président Jorge Glas, le vendredi 5 Avril 2024 soir, est « sans précédent dans l’histoire contemporaine de l’Amérique latine.

Les forces armées équatoriennes ont pénétré dans l’enceinte de l’ambassade du Mexique à Quito, capitale de l’Équateur, où elles ont procédé à l’arrestation de l’ancien vice-président Jorge Glas qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt et qui y avait trouvé refuge.

Cette violation de l’article 22 de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques de 1961 — qui garantit l’inviolabilité des locaux des missions diplomatiques — a suscité une vague d’indignation régionale et internationale, faisant émerger certaines lignes de fracture en Amérique latine.

En rapport avec ce triste événement diplomatique, neuf États d’Amérique latine et des Caraïbes ont, le lundi 8 Avril 2024, fermement condamné cette action, parmi lesquels les principales puissances régionales : Brésil, Argentine, Chili, Colombie. Par contre, treize pays n’ont pas condamné l’Équateur mais ont fait part de « préoccupations » ou « d’inquiétudes ».

Au total, tous les pays du cône sud ont réagi à l’exception du Salvador de Nayib Bukele.

Beaucoup de ces États ont exprimé leur position via un communiqué de la Communauté caribéenne (CARICOM), qui regroupe 17 pays de la région dont le Guyana, les Bahamas, Belize ou Trinité-et-Tobago.

La présidente du Honduras, Xiomara Castro, qui a condamné «fermement cette violation de la souveraineté de l’État mexicain et du droit international», assume en ce moment la présidence de la CELAC.

Le Mexique et le Nicaragua sont les seuls États ayant suspendu leurs relations diplomatiques avec l’Équateur «compte tenu de la violation flagrante de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques et des blessures subies par le personnel diplomatique mexicain en Équateur».

Cet alignement du Nicaragua sur le positionnement du Mexique peut être compris par le fait que dans l’ambassade nicaraguayenne au Panama se trouve l’ancien président panaméen Ricardo Martinelli, qui a été condamné à 10 ans et 8 mois de prison pour blanchiment d’argent dans l’affaire New Business — à qui le Nicaragua a donc donné l’asile politique.

En fonction de l’évolution du cas de l’Équateur, la prochaine crise diplomatique impliquera peut-être le Panama et le Nicaragua.

Les États-membres de l’Union européenne, par la voix du Haut représentant Josep Borrell, ainsi que les États-Unis, ont eux aussi fermement condamné cette violation. Le ministère des Affaires étrangères du Canada a déclaré être «profondément préoccupé par la violation apparente de la Convention de Vienne de 1961 sur les relations diplomatiques», sans exprimer néanmoins de condamnation formelle contre Quito.

Il est à noter, comme le souligne l’ancien ministre des Affaires étrangères équatorien Guillaume Long, que Noboa a effectué une visite officielle au Canada début mars dans le but de nouer des liens notamment économiques.

Pour le moment, la Russie et la Chine ne se sont pas exprimées publiquement sur le sujet. L’Iran a «souligné l’importance et la nécessité de respecter l’immunité, d’assurer la sécurité et la sûreté des sites et des missions diplomatiques et consulaires, et a qualifié d’inquiétantes les nouvelles concernant l’assaut contre l’ambassade mexicaine à Quito».

Selon Guillaume Long, une telle violation du droit international est «sans précédent dans l’histoire contemporaine de l’Amérique latine».

Par ailleurs, dans un communiqué de presse rendu public, le samedi 06 Avril 2024 à La Havane au Cuba, le Réseau d’intellectuels et d’artistes pour la défense de l’humanité, en sigle REDH, dont est membre le Président National de l’UDS, monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, a exprimé son rejet le plus énergique de l’assaut contre l’ambassade du Mexique à Quito, en Équateur, pour procéder à l’enlèvement du demandeur d’asile diplomatique, ancien vice-président équatorien, Jorge Glass.

Selon le REDH, “ce fait contrevient à la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques (art.22-29) qui garantit l’inviolabilité du territoire diplomatique et transgresse la Convention sur l’asile diplomatique (Art IV) qui consacre le pouvoir de l’État qui accorde l’asile de qualifier le statut de la personne cherchant protection, selon sa propre compréhension de la persécution”.

Le REDH a “appelé le gouvernement de Daniel Noboa à présenter les excuses les plus réfléchies au gouvernement et au peuple mexicains et à modifier rapidement toute action erratique qui porte atteinte à la bonne coexistence entre les pays de la région, comme le prescrit la déclaration de la région Amérique latine et Caraïbes, comme zone de paix de la CELAC”.

Le Réseau de Défense de l’Humanité a insisté pour que “l’Équateur respecte, une fois de plus, les institutions démocratiques et les droits de l’homme, comme le prévoient sa Constitution et sa législation interne”.

“La réinstitutionnalisation souveraine du pays sera la garantie d’éradiquer les entreprises illicites, tandis que la réitération des États d’exception et la déclaration de conflit interne ne font qu’encourager l’impunité pour les violations des droits de l’homme et les persécutions politiques”, souligne le communiqué de presse du REDH qui a mis à profit cette occasion pour “exprimer son respect au peuple et au gouvernement mexicains, en particulier à la représentation diplomatique en Équateur, pour laquelle le gouvernement Noboa doit offrir toutes les garanties”.

Le REDH a enfin “exigé la libération immédiate de Jorge Glass, la restitution du droit d’asile politique ou diplomatique et la cessation immédiate de toutes les formes de persécution politique et d’actes de justice qui affectent le Mouvement de Révolution Citoyenne et d’autres mouvements sociaux et populaires”.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




RDC: Les Casques bleus chinois de la MONUSCO quittent le pays après plus de 20 ans de service

Une cérémonie d’hommage a été organisée ce mardi 9 avril à Bukavu pour saluer la contribution des Casques bleus chinois de la MONUSCO à la consolidation de la paix et de la sécurité dans la province du Sud-Kivu. Après plus de 20 ans de service en RDC, ce contingent quitte le pays, marquant une étape importante dans le désengagement de la MONUSCO initié en début d’année.

La Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU, Bintou Keita, a souligné le rôle crucial joué par les Casques bleus chinois.

 

“Leur départ marque une étape importante dans le désengagement de la MONUSCO de la RDC, initié en début du mois de janvier 2024”, a-t-elle déclaré.

 

Et de réaffirmer l’engagement de la MONUSCO à collaborer avec les autorités congolaises pour garantir un retrait ordonné, responsable et durable de la mission.

 

“Le désengagement de la MONUSCO de la province du Sud-Kivu ne signifie pas le départ des Nations Unies de la RDC. Il représente plutôt une reconfiguration de la présence des Nations Unies pour continuer à soutenir le peuple et le gouvernement de la RDC”, a-t-elle conclu.

 

Le contingent chinois a contribué à renforcer l’infrastructure de la province du Sud-Kivu en réalisant plus de 580 projets d’ingénierie, dont la réparation de 1 800 kilomètres de routes, la réhabilitation de plus de 80 ponts et la construction de 20 héliports.

 

Le gouverneur par intérim du Sud-Kivu, l’ambassadeur de Chine et le délégué général du Gouvernement chargé de la liaison avec la MONUSCO ont également participé à la cérémonie pour rendre hommage aux Casques bleus chinois.

 

Après le retrait de la MONUSCO, les agences, fonds et programmes des Nations Unies continueront à soutenir la RDC conformément à leurs mandats. Le gouvernement congolais assumera la responsabilité de la protection et de la sécurité des civils.

 

Orchidée




La ville de Kinshasa menacée par des catastrophes climatiques (Par Alain Botoko)

Les deux pluies diluviennes de la nuit de samedi et dimanche ont été à la base d’énormes dégâts humains et matériels dans plusieurs communes de la ville province de Kinshasa, ajouté à cela les vagues des chaleurs qui battent records depuis plusieurs décennies, avec comme moyennes des températures (ressentie qui va jusqu’à 45 °C et ambiante qui est autour de 34 °C). La ville est victime ces derniers mois des tempêtes et inondations en répétition, que nous avons fait mention dans plusieurs articles dans ce media.

La pluie de la nuit du samedi 06 au petit matin de dimanche 07 Avril 2024, dans la ville province de Kinshasa a causé d’énormes dégâts en vies humaines et en matériels. En titre illustratif, les sources concordantes parlent de 8 personnes d’une même famille mortes suite l’effondrement d’un mur de leur maison sur l’avenue Zamba, au quartier Jolie Parc, dans la commune de Ngaliema.

Et à une moindre distance de cet accident mortel, il y a la commune de Kitambo, c’est dans cette commune que plusieurs riverains de la rivière Makelele ont fait état des pertes énormes de leurs biens à cause du débordement des eaux de cette rivière. C’est ici l’occasion de rappeler une loi très importante pour la gestion durable des écosystèmes aquatiques (sources d’eau, lacs, rivières, fleuves et la côte océanique). A des grands maux, des grands remèdes, toutes les constructions qui fâchent la loi doivent être démolies, car la loi est claire là-dessus.




Primature : La délégation syndicale et l’intersyndicale reconnaissantes envers Sama Lukonde

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a échangé, dans son cabinet de travail, à la Primature, ce lundi 08 avril 2024, avec la délégation syndicale de la Primature et l’intersyndicale de la Primature sur le cahier des charges déposé sur sa table, depuis un temps, par cette structure de défense des intérêts des agents et cadres.

Le président de la délégation syndicale, Saturnin Gabia Lusamba, qui s’est confié à la presse au sortir de cette audience, n’a pas pu cacher sa satisfaction en avouant que le Premier Ministre les a reçus en bon père de famille, qu’étant à l’écoute, il a dit qu’il fera ce qu’il peut et a promis de mettre le reste sur la table de sa successeuse.

” Monsieur le Premier Ministre nous a reçus pour échanger avec nous sur le cahier des charges que nous avions déjà déposé, en son temps, sur sa table. Pendant que nous avions perdu l’espoir d’être reçus, pensant que c’était déjà dans les oubliettes, nous étions surpris, tôt ce matin, lorsqu’on nous a appelés pour nous dire que le Premier Ministre veut vous recevoir. Nous, la délégation syndicale de la Primature et l’intersyndicale de la Primature. Nous avons parlé de notre cahier des charges. Il est resté, comme un bon père de famille, à l’écoute. Il a dit qu’il fera ce qu’il peut et a promis de mettre le reste sur la table de madame la Première Ministre, qui nous arrive “, a-t-il dit.

Il faut noter que depuis la nomination, le 01 avril dernier, de Mme Judith Suminwa Tuluka à sa succession et en attendant son investiture par le parlement, le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde expédie, comme de droit, les affaires courantes dans le cadre de la continuité de l’État.




Kinshasa : Les avenues Kasa-Vubu, Commerce et Rwakadingi fermées pour réhabilitation

L’Hôtel de ville de Kinshasa a annoncé lundi 8 avril la fermeture des avenues Kasa-Vubu, Commerce et Rwakadingi pour des travaux de réhabilitation. Ces travaux, qui débutent aujourd’hui et devraient durer deux semaines, visent à améliorer l’état des routes et des trottoirs, à moderniser l’éclairage public et à rendre ces avenues plus agréables pour les piétons et les automobilistes.

La fermeture de ces artères majeures de Kinshasa pourrait entraîner des perturbations dans la circulation routière. Cependant, les autorités locales ont mis en place des déviations pour guider les automobilistes vers d’autres itinéraires.

Les travaux de réhabilitation s’inscrivent dans le cadre des efforts de la municipalité pour améliorer l’urbanisme et l’infrastructure de la ville. Ainsi, les autorités de la ville appellent les habitants de Kinshasa à se montrer patients et compréhensifs pendant la durée des travaux.

Ce projet de réhabilitation des avenues Kasa-Vubu, du Commerce et Rwakadingi permettra d’améliorer la qualité de vie des citoyens et de contribuer au développement économique de la ville.

Orchidée




Les Casques bleus chinois de la MONUSCO s’apprêtent à quitter

Après plus de 20 ans de service en République démocratique du Congo, les Casques bleus du contingent chinois quittent le pays. Une cérémonie d’hommage a été organisée pour saluer leur contribution à la consolidation de la paix et de la sécurité dans la province du Sud-Kivu où ils étaient déployés. Leur départ marque une étape importante dans le désengagement de la MONUSCO de la RDC, initié début janvier 2024.

La Représentante spéciale du Secrétaire général (RSSG) en République démocratique du Congo (RDC) et Cheffe de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (MONUSCO), Mme Bintou Keita, le gouverneur par intérim du Sud-Kivu, M. Marc Malago Kashekere, l’ambassadeur de Chine, SEM Zhao Bin, le délégué général du Gouvernement chargé de la liaison avec la MONUSCO, Ambassadeur Noel Mbemba, ont participé à cette cérémonie d’hommage ce mardi au camp du contingent chinois d’ingénierie, à la périphérie de Bukavu, dans la province du Sud-Kivu.

Depuis 2003, le contingent chinois a contribué à renforcer l’infrastructure de la province grâce à une série de projets, dont l’achèvement de plus de 580 projets d’ingénierie, la réparation de 1 800 kilomètres de routes, la réhabilitation de plus de 80 ponts et la construction de 20 héliports. Leur contribution a facilité la mise en œuvre du mandat de la MONUSCO dans la région.

“Je tiens à exprimer ma profonde gratitude à la République populaire de Chine pour ses Casques bleus déployés au Sud-Kivu, qui se sont distingués par leur savoir-faire, leur professionnalisme et leur discipline afin de relever un certain nombre de défis dans des conditions parfois très difficiles. Ils ont considérablement contribué à la paix et à la sécurité en RDC”, a déclaré Mme Bintou Keita, la RSSG.

Au cours de la cérémonie, Mme Keita a souligné l’engagement de la MONUSCO à collaborer avec les autorités congolaises dans l’exécution du plan de désengagement, garantissant un retrait ordonné, responsable et durable de la mission de la RDC.

“Le désengagement de la MONUSCO de la province du Sud-Kivu ne signifie pas le départ des Nations Unies de la RDC. Il représente plutôt une reconfiguration de la présence des Nations.

Prince Yassa




TPM : Averti, Baggio Siadi a purgé sa peine et réintègre le groupe

Le gardien Baggio Siadi Ngusia a repris du service ce lundi 8 avril. Suspendu à titre conservatoire puis écarté du groupe pour manquement à ses obligations contractuelles, le gardien est autorisé à réintégrer le groupe.

Baggio Siadi Ngusia a purgé les sept jours de suspension infligés par la direction conformément au Règlement d’Ordre Intérieur. Sa peine a pris fin ce dimanche 7 avril avec tous les effets corollaires. Le joueur est autorisé à reprendre les entraînements ce lundi 8 avril à Kamalondo avec le groupe que supervise Isaac Kasongo.

Baggio Siadi Ngusia qui avait présenté ses excuses par la suite est désormais averti qu’en cas de récidive ou d’un autre manquement à la discipline au sein du groupe entraînera des sanctions plus sévères allant jusqu’à la résiliation de son contrat.