L’Ubwenge tutsi signifie la perfidie Tutsi ! 

Selon Paul Kagame, “les Tutsi Congolais du M23 et les Banyamulenge se battent pour leurs terres ancestrales à l’est du Congo ! ”

Voici ma réponse cinglante à Paul Kagame:

C’est par un proverbe Bongando de chez moi que je réfute cette invention de l’histoire de Kagame à l’instar des envahisseurs Européens en Amérique:

“A force de piler les noix de palme à longueur des journées, ils ne se pourront jamais devenir une patte comme le Lituma” (patte de bananes plantains).”

Demain les Tutsi qui viennent de s’installer au Congo Brazzaville, en Centrafrique, en Tanzanie, au Mozambique, etc., vous diront qu’ils occupent leurs terres ancestrales. L’expérimentation anglo-americano-tutsi ne doit jamais réussir en RDC. Levons-nous et luttons contre l’Ubwenge, la perfidie tutsi dont la plus grande manifestation c’étaient les tueries inter-ethniques de 1994 au Rwanda.

Lisez à cet effet le livre qui restitue toute la vérité sur les évènements qui ont eu lieu en 1994 au Rwanda, écrit par la journaliste canadienne Judi Rever et intitulé: “Rwanda: Éloge du sang” Un titre vraiment évocateur !

Refusons d’être soumis à l’esclavage en plein 21eme siècle ! Vengeons les victimes de l’holocauste au Congo en libérant l’ensemble du territoire congolais de l’expansionnisme tutsi !




Debut de la bataille des idées pour l’intérêt supreme du Congo

1. Si c’est moi qui deviens Président de la RDC, je construis une prison au périmètre de l’aéroport qui est en train d’être construit à Minembwe où seront incarcérés tous pires criminels venant de tous coins et recoins de la RDC.

2. Si c’est moi qui deviens président de la RDC, avant d’engager des pourparlers avec Paul Kagame – que j’ai confronté à Londres d’ailleurs – ou avec Museveni, je fais tout pour faire capturer quelques généraux commandants rwandais et ougandais au front que j’amènerai avec moi dans le lieu des pourparlers et je les présenterai comme preuves.

2. Debut de la bataille des idées pour l’intérêt suprême du Congo

Si c’est moi qui deviens président de la Rdc, voici comment je met fin à la guerre de l’Est et de l’Ouest (…)

1. Je dote mon cher et beau pays de 4 sattelites pour suivre tous les mouvements le long de ses frontières en vue de les sécuriser fermement (force d’intervention rapide) en cas de moindre violation: au nord, au sud, à l’est et à l’ouest.

2. Mon pays devient ipso facto une puissance nucléaire dissuasive.

3. Je dote mon cher et beau pays d’une armée forte de 60,000 hommes et femmes bien formés, bien rémunérés et bien équipés.Chaque famille congolaise doit à tour de role envoyer l’une ou l’un de ses jeunes membres pour servir dans l’armée en contrepartie, elle ne paie pas les facture d’eau et de courant durant la période de service de ce membre là.

4. Chaque congolaise et chaque Congolais doit à l’âge de 18 ans faire le service militaire comme c’était le cas au Royaume Kuba qui faisait la crainte de ses voisins a cause de la force de son armée et qui par conséquent n’a jamais connu la traite des esclaves.

3. Debut de la bataille des Idées pour l’intérêt suprême du Congo

Si c’est moi qui deviens president de la Rdc, voici comment je met fin à la guerre de l’Est et de l’Ouest (…)

1. Tous les commandants, tous les généraux au recyclage région militaire par région militaire à commencer par celles de l’est. C’est pendant cette épisode que la justice militaire fera son travail.

2. 10-20% des armes détenues par les FARDC doivent être des armes arrachées à l’ennemi. C’est pourquoi les grades au sein de l’armée se méritent par la bravoure.

3. Il ne doit plus jamais exister un camp de déplacés internes à l’intérieur de nos frontières. Chaque Congolais doit vivre librement sur les terres lui léguées par des ancêtres avant l’arrivée des colons belges .

4. Construction de 4 siderurgies nationales: au nord, au sud, à l’est, à l’ouest afin de doter le pays d’une Industrie lourde et d’une industrie légère. En d’autres termes, fabrication des armes lourdes et légères sur place au Congo sans oublier la qui quinquellerie, matériaux de construction.

5. Je créerai un corps indépendant chargé de l’approvisionnement des troupes au front. L’argent ne passera plus par les mains des généraux pour se construire des châteaux.

6 Les forces d’autodéfense populaire seront mobilisées en cas de guerre.

7. Les elements des forces armées, de la police et les politiciens impliqués dans l’affairisme, le commercialisme militaire et l’entretien des milices dans des sites miniers risquent la prison à vie.

8. Les éléments des groupes armés étrangers et leurs complices locaux capturés risquent la prison à vie.

4. Suite…

Debut de la bataille des idées pour l’intérêt suprême du Congo. Si c’est moi qui deviens président de la Rdc, voici comment je met fin à la guerre de l’Est et de l’Ouest (…).

1. Plus question du déploiement des troupes de l’ONU ou des armées etrangeres en RDC. Pas question des bases militaires étrangères en RDC.

Nous allons plutôt construire une académie militaire dans chaque région militaire où seront accueillis des formateurs étrangers venus de vrais pays partenaires stratégiques et amis de la RDC.

5. Sur le plan diplomatique: Si c’est moi qui deviens président de la Rdc

1. Je coupe immédiatement les relations diplomatiques entre la RDC et le Rwanda et entre la RDC et l’Ouganda.

2. Je convoque le corps diplomatique accrédité dans mon pays en vue de l’établissement d’un tribunal spécial pour le Congo après l’holocauste au Congo, et cela à l’occasion de l’inauguration d’un monument et d’un Centre de Mémorial pour les victimes congolaises de l’holocauste Tutsi au Congo.

3. Trouver une solution au contentieux belgo-congolais au moment de l’indépendance.

6. Sur le plan judiciaire: Si c’est moi qui deviens président de la Rdc:

1. J’établis l’Office des Biens Acquis (OBA) qui convoquera toute personne ayant exercé le pouvoir depuis la mort de Mzee Laurent Désiré Kabila à ce jour et qui devra se trouver dans l’obligation de déclarer publiquement ses biens et comment elle les a acquis.

2. J’établis une cour spéciale pour rejuger tous les crimes politiques (massacres, assassinats politiques) commis depuis la fin de la Révolution Pardon de Mzee Laurent Désiré Kabila.

7. Sur le plan politique: Si c’est moi qui deviens président de la Rdc

1. Je suspends l’Assemblée Nationale et le Sénat car j’estime que la RDC N’A PAS BESOIN D’UNE ASSEMBLÉE NATIONALE ET D’UN SENAT BUDGETIVORES!

2. Est-ce que notre Parlement (Assemblée Nationale + Sénat) assure-t-il vraiment le contrôle de l’exécutif ? Non! C’est un parlement tampon entretenu par les billets verts lui déversés par l’Exécutif en contrepartie de l’achat de son silence sur tous les dossiers et décisions sensibles susceptibles de faire agiter et déranger le pouvoir et menacer sa survie.

4. A la place du parlement, j’établis, moyennant la révision de la Constitution bien entendu, un gouvernement éléphantesque, soit-il, mais à la taille du Grand Congo Démocratique, et au sein duquel chacun des 145 territoires plus les villes seront représentés.

5. Les élections présidentielles dont les campagnes sont menées grâce aux fonds du trésor public au profit du parti au pouvoir seront supprimées.

6. Ne seront organisées en RDC que les élections des députés nationaux suivies des élections locales, y compris des chefs de territoires et chefs des secteurs.

7. Les députés des villes seront élus non pas par commune mais au niveau de chaque point cardinal. Ainsi Kinshasa, par exemple, aura quatre représentants au gouvernement issus de Kin ouest, Kin Est, Kin Centre, Kin nord. Tous ces députés issus des 145 territoires et des villes, élus à l’issue des élections locales au niveau de la base suffiront pour faire tout le travail. Leurs adjoints arrivés à la deuxième pourront chapeauter les cours et tribunaux, entreprises publiques, les services secrets, l’armée, la police, ect. Tout dépendra de la compétence de chacune et de chacun des élus.

8. Les 145 députés élus au niveau des territoires plus les villes et leurs adjoints établiront un projet de société ou projet national commun sur tous les plans, qui s’étendra sur toute l’étendue du territoire national, et qui ne sera contesté par personne parce que consensuellement établi, écartant toute forme d’opposition à un tel plan qui incarne l’intérêt national suprême.

9. Ce n’est qu’après celà que les 145 députés nationaux représentants les 145 territoires plus les villes et leurs adjoints éliront chaque responsable à chaque poste (DG, ADF, ect) et puis le Président de la République, issu soit du Congo Central, de Kinshasa, du Grand Équateur, de la Grande Orientale, du Grand Bandundu, du Grand Kassai, du Grand Kivu et du Grand Katanga, à tour de rôle, bien entendu et ne pouvant exercer le pouvoir que pendant un.mandat de 5 ans renouvelable une seule fois (si on a bien fait pendant le premier quinquennat). 10 candidats entreront en compétition après les primaires jusqu’à ce que le meilleur soit élu.

10. Dans ce contexte, il sera très difficile pour le président de la République de centraliser tous les pouvoir. Le Président a surtout le rôle important de coordination et de surveillance.

11. Le derapage ne sera pas permis car tous formeront une toile d’araignée et les incompétents et les corrompus seront vite remarqués, démasqués et débarqués.

12. Si quelqu’un est élu député à partir de son territoire ou au niveau d’un point cardinal de sa ville et il devient ministre, il servira le pays tout entier et non son ethnie sur base d’un plan de reconstruction nationale consensuellement établi. Il est comme un anneau dans la chaîne. Tous forment une toile d’araignée.

13. En plus le président sera élu par tous les représentants de chaque territoire plus les villes et leurs adjoints et là on écartera la corruption et le tribalisme.

14. Ça sera vraiment salutaire pour la RDC notre pays étant donné qu’un tel gouvernement jouera le rôle de parlement et de gouvernement à la fois et je ses membres toucheront le même salaire qui reflète le niveau de vie du peuple pour leur service à la fois comme député et ministre ou PDG.

15. Le contrôle de l’exécutif sera assuré volontairement par les comités de pouvoir populaire, de la base au sommet, du niveau local jusqu’au niveau national. Quand on établit un plan national consensuellement accepté par tous les représentants de chaque territoire plus les villes, qui aura encore besoin d’un million de partis politiques en RDC ? Les querelles politiciennes n’auront plus leur raison d’être.

8. Sur le plan économique, social et culturel: Debut de la bataille des idées pour l’intérêt suprême du Congo

1. Je me fixe comme objectif de faciliter au peuple d’atteindre le même niveau de vie dans les villes, grandes agglomérations et les villages à travers:

2. L’électrification de tout le pays.

3. La construction d’une autoroute et d’un chemin de fer nationaux qui relient toutes les provinces. La construction d’un port (là où c’est nécessaire, d’un aéroport, grand hôpital, école technique dans chaque territoire. Quatre universités dans chaque province. Autonomisation des universités. Chaque université doit fonctionner comme une entreprise avec ses propres projets avec comme but le service de la communauté .

4.. La connection de tous les coins du pays par la poste, les télécoms, la radio, la télévision, l’internet.

5. L’État Congolais doit tirer 51% dans chaque contrat qu’il signe avec des partenaires étrangers (contrats miniers, forestier, ect.) car c’est lui le propriétaire de son patrimoine. Cela s’applique aussi dans le cas des carrés miniers, forestier detenus par les nationaux.

6. Ne pas payer les taxes et la douane est un crime économique qui mérite 10 ans de prison.

7. Il sera interdit de vendre des terres aux étrangers sur toute l’étendue du territoire national. Les étrangers ne peuvent que louer les terres pour une période ne dépassant pas 18 ans.

8. La construction de 4 usines dans chaque territoire (y compris une usine de purification d’eau, de textile, de transformation de produits agricoles, ect) pour transformer nos ressources naturelles, minières, produits agricoles sur place et créer des emplois et des marchés pour notre peuple.

9. Une agriculture mécanisés grâce aux agronomes bien formés et déployés dans chaque secteur.

10. Fabrication des avions, des véhicules (y compris les véhicules électriques), des motos, des tracteurs sur place au Congo (Industrie lourde).

11. Centre de recherche et de développement de nouvelles technologies dans chaque province.

12. Valorisation et rentabilisation des aires protégées (tourisme).

13. Recherche approfondie sur notre culture en vue du changement des mentalités, de la libération mentale et spirituelle – lutte contre la corruption.

14. Formation d’une main d’oeuvre locale de qualité.

15. Lancement de 4 banques nationales d’investissement dans l’agriculture, l’énergie, les infrastructures, les nouvelles technologies (transformation). C’est ça se prendre en charge (financement des coopératives rurales). Pourquoi devons-nous importer même les tenues , les bottes de nos policiers et soldats? A quoi sert le génie militaire dans notre pays ?

Se prendre en charge demeure le seul système qui correspond à nos réalités.

16. Un peuple qui ne produit pas où qui ne transforme pas ses ressources localement mais qui ne consomme que des produits finis fabriqués dans d’autres pays industrialisés avec ses propres matières premières d’ailleurs, est un peuple esclave mais sans le savoir.

17. Et il est clair qu’en RDC, tout se passe comme si ce sont les présidents, les premiers ministres, les ministres, le DG qui ont les droits de consommer plus que les autres !!!

18. Je rétablis le service de cantonage après avoir avoir reconstruit toutes les routes du pays, construit de nouvelles routes, reconstruit toutes les routes de desserte agricole et des ponts métalliques sur chaque rivière qui traverse ces routes.

19. Je fais de la protection des forêts, de la faune et de la flore, de la biodiversité. Une priorité des priorités.

20. Je crée une société de droit public pour s’occuper de la protection des forêts, de la faune, de la faune et de la flore, de la biodiversité et de la salubrité publique.

L’exploitation du bois doit être précédée de reboisement,de la plantation des arbres. Avant de couper un arbre, il faut d’abord planter un arbre. On ne peut exploiter la forêt que pendant certains mois de l’année pour laisser le temps à la nature de se régénérer. De même pour la pêche et la chasse. Il faut promouvoir l’élevage.

La création d’une police d’hygiène. Les contrevenants doivent payer des amandes endéans 24 heures.

La pollution sonore sera considérée comme un crime punissable par la loi et les instruments confisqués et récupérés moyennant une amande.

Les bars s’ouvrent à 17h et se ferment à 23 heures les jours ouvrables.

21. Si ce sont les minerais stratégiques qui sont à la base des guerres d’agression récurrentes Tutsi, moi si je deviens président je reconstruis et construis des infrastructures routières, ferroviaires et portuaires de la RDC pour que les ressources congolaises avec une valeur déjà ajoutée et pas à l’état brut ne soient exportées qu’à partir du territoire congolais. Jamais à travers un autre pays africain. Trop c’est trop !

22. Je combat vigoureusement la pollution morale dans le chef des Congolais.

L’homosexualité, le lesbianisme, l’esprit de coop, la drogue, la double nationalité, les églises sans assises qui exploitent les autres, la dépravation des mœurs ne passent pas ! L’âge du consentement c’est 18 ans.

23. Je lutte aussi bien évidemment contre la pollution environnementale. Il y a presqu’une rivière puissante qui coule dans chaque territoire de la RDC et le pays se trouve dans le noir. Je construis des micro-barrages partout et j’exporte l’excédent du courant.

Et comme vous le savez, les barrages hydroélectriques ne polluent pas.

9. Conclusion

Chaque Congolais a des droits et des devoirs. Devoir d’apporter sa part pour l’essor national et droit de se retrouver lors du partage du gâteau national qui doit être agrandi pour pour justement que chaque Congolais se retrouve pour s’affranchir de la pauvreté. C’est ça la vraie notion des droits de l’homme. Le reste n’est que du verbiage.

Dr Prof Antoine Roger Lokongo




Haut-Katanga : bureau d’âge déchu, élection du bureau définitif déportée 

Le bureau d’âge de l’assemblée provinciale du Haut-Katanga a été déchu par les députés provinciaux ce vendredi 12 avril 2024. Les élus estiment que ce bureau a failli à sa mission en voulant reporter l’élection du bureau définitif. Cette élection était pourtant prévue ce même jour selon le calendrier rendu public par le bureau déchu.

A en croire l’ACP qui nous donne cette information, 34 députés provinciaux ont signé la pétition exigeant la démission du bureau provisoire de l’assemblée provinciale dirigé par le doyen d’âge Ladislas Umba. Les élus provinciaux pensent que ce bureau a failli à sa mission en reportant la date de l’élection du bureau définitif prévu par lui-même ce vendredi 12 avril 2024.

Dans ce climat tendu, difficile d’organiser l’élection du prochain bureau. Les députés sont déchainés. « On vous démet aujourd’hui. Si vous faites ça, on écrit et vous met dehors », explique Kitambala Patience, Député pétitionnaire

Dans la salle de plénière, ça chante et ça crie dans tous les sens. Une nouvelle équipe doit être installée dans un bref délai pour l’organisation de l’élection du bureau définitif, le bureau d’âge ayant démissionné après la pétition initiée contre lui.

« Nous avons tous constaté qu’ils ont failli à leur mission. Eux-mêmes ont prononcé leur déchéance à travers la démission qu’ils viennent de déposer. Donc, nous allons confirmer ce bureau d’âge qui est ici», pense Thomas Lupata, député provincial

Le nouveau bureau d’âge qui sera mis en place n’aura pas seulement comme mission d’organiser l’élection du bureau définitif. Son installation permettra également à la CENI d’organiser l’élection du Gouverneur et du Vice-Gouverneur de province dont le programme d’action devra être adopté par les élus provinciaux.




Angola : Le Président Motsepe rencontre le ministre des Sports, le Président de la Fédération, des représentants des clubs locaux et des acteurs économiques

Le Président de la Confédération Africaine de Football (CAF), Dr Patrice Motsepe, a entamé ce vendredi sa visite de travail de deux jours en Angola. A cette occasion, il a rencontré le Ministre de la Jeunesse et des Sports, Rui Falcão, le Président de la Fédération Angolaise de Football, Artur de Almeida e Silva et des parties prenantes du football dans le pays.

Ce samedi 13 avril 2024, le Président de la CAF rencontrera le Chef d’État de l’Angola, le Président João Lourenço.

Cette semaine, Dr Motsepe qui est accompagné par le Secrétaire Général de la CAF, Veron Mosengo-Omba, a visité quatre pays, notamment São Tomé et Príncipe, la Guinée équatoriale, la Guinée-Bissau et le Maroc.

Au cours de la journée du vendredi, le Président Motsepe a rencontré de nombreuses parties prenantes, dont le Comité exécutif de la Fédération Angolaise de Football et les dirigeants du football dans le pays, les clubs de football ainsi que les acteurs économiques de la région avec lesquels il a parlé de l’importance des partenariats.

Plus tôt dans la journée, Dr Motsepe s’est entretenu avec le Ministre des Sports, M. Rui Falcão, à Luanda. Le Président de la CAF l’a remercié pour sa passion et son engagement dans le développement du football en Angola.

Le Ministre Falcão a déclaré : “La présence du président de la CAF est un grand événement pour l’Angola. Vous (le président Motsepe) êtes un nouveau visage. Vous essayez de faire quelque chose de différent pour l’Afrique. Nous l’apprécions.”

Samedi, à 12h00 heure locale, le Président de la CAF tiendra une conférence de presse à l’Epic Sana de

Luanda.




Linafoot : Quatre matchs du TPM reportés

Pendant son séjour à Kinshasa, préparant le classico du dimanche contre l’As Vita Club, le TPM vient d’apprendre ce vendredi en fin de journée, que ses quatre prochaines rencontres du championnat national sont reportées.

En effet, la Commission de gestion s’est rendue à l’évidence après une publication tronquée de son calendrier de la phase retour, où les matchs des Corbeaux étaient programmés dans un enchevêtrement inextricable. Initialement, les hommes de Lamine Ndiaye devaient jouer quatre matchs en cinq jours, soit le 16 avril contre Don Bosco, le 17 avril contre Lupopo et Lubumbashi Sport, contre l’AS Dauphin Noir le 21 avril, sans évoquer le duel face à Vita ce 14 avril. Injouable!

Ainsi, “pour des raisons d’organisation, ces matchs sont remis à des dates ultérieures qui seront communiquées en temps utile”, lit-on dans un communiqué signé par le secrétaire national adjoint Antoine Luzizila Mbala. Au-delà de cette incohérence des dates, le TPM devait également se concentrer pour son match aller de demi-finale de la Ligue des Champions CAF le 20 avril contre Al Ahly.

Finalement le retour à la Ligue 1 des Corbeaux s’effectuera le 4 mai contre… le FC Saint-Eloi Lupopo si le calendrier ne fait pas de nouveaux caprices.




Visite du cardinal Sarah au Cameroun 

Par le Mouvement de l’Incarnation Le 7 avril 2024, dimanche de la divine Miséricorde, le cardinal Robert Sarah, préfet émérite de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a présidé une messe au Centre de retraite « Parole de Dieu » dans le diocèse d’Obala, au Cameroun.

Un rassemblement de foi et de joie

Il est exactement 9h38 lorsque les pas du cardinal Sarah foulent le sol du Centre de retraite, accompagné de Mgr Sosthène Bayemi, évêque du diocèse d’Obala. Il est chaleureusement accueilli par le Dr Henri Bayemi, fondateur et responsable général du Mouvement de l’Incarnation créé en 1996 à Bamenda au Cameroun. Environ 1 500 fidèles sont venus vivre cette célébration eucharistique dans une atmosphère de fête. Dans son propos introductif, le Dr Henri Bayemi a exprimé sa gratitude à Dieu pour la joie d’avoir un « envoyé de Dieu au milieu de nous ».

Un enseignement qui interpelle

Dans son homélie, le cardinal Sarah a souligné l’importance de la miséricorde divine. Il a affirmé : « Le premier résultat de la miséricorde de Dieu, c’est de rassembler ses enfants et détruire les murs de haine qui divisent la communauté humaine. Nous devons rechercher la paix qui vient de Dieu, cultiver une foi profonde et nous laisser transformer par la Parole de Dieu. Le chrétien doit accepter la croix, se nourrir de l’Eucharistie et se rapprocher de la Vierge Marie. » Il a par ailleurs encouragé les fidèles à expérimenter et à embrasser le silence.

Une visite mémorable

À la fin de la messe, le cardinal a assisté à un spectacle d’évangélisation sur scène, composé de scénettes et comédies musicales invitant à vivre la Parole de Dieu. Il a ensuite béni la grotte mariale « Notre Dame de l’Incarnation » du Centre de retraite. Puis Mgr Sosthène Léopold Bayemi a souligné l’impact durable de cette visite : « Je crois qu’il laisse des traces non seulement concernant l’importance du silence que l’on retient de lui mais également de la foi. ». Pour sa part, le cardinal Sarah a exprimé sa joie d’être dans un lieu dédié à la Parole de Dieu et a encouragé le Mouvement de l’Incarnation à faire du Centre de retraite, qui pourra accueillir deux mille participants, un lieu de rayonnement de la foi pour le Cameroun, l’Afrique et le monde.




Philippines : une jeune de 13 ans en route vers la béatification  

Ce dimanche 7 avril 2024, en ce jour de la divine Miséricorde, la phase diocésaine du procès en béatification de la jeune Niña Ruiz-Aba s’est ouverte à Laoag, au nord des Philippines. Le Vatican a accordé le « nihil obstat » (« rien ne s’oppose ») en mars dernier. La cérémonie d’ouverture s’est tenue en la cathédrale Saint-Guillaume de Laoag. Elle a été présidée Mgr Renato Mayugba, évêque de ce diocèse.

Celui-ci avait reçu le plein soutien de la Conférence des évêques catholiques des Philippines, lors de son assemblée de juillet 2023. Niña Ruiz-Aba est morte en août 1993 d’une crise cardiaque. Elle avait 13 ans. Elle a laissé derrière elle le témoignage d’une foi fervente. Véritable disciple missionnaire, « elle était un témoignage ambulant de piété et de religion, elle était toujours vêtue de blanc et avait un chapelet autour du cou », rapporte l’agence Fides.

Lorsque le P. Danny Pajarillaga, un prêtre catholique, a rencontré Niña pour la première fois en 1993, il a immédiatement compris qu’il s’agissait d’une enfant unique, spirituellement « spéciale ». Elle se distinguait de ses camarades par son amour de l’Eucharistie et par sa prière intense. Dès son plus jeune âge, elle prenait du temps pour distribuer des chapelets, des bibles, des livres de prières et des images saintes dans son quartier et à l’école. Niña est enterrée dans un cimetière public à Sarrat, pas très loin de Laoag.

Sa tombe est un lieu de pèlerinage. « Aujourd’hui, les enfants et les jeunes s’inspirent de la vie de Niña Ruiz-Abad pour vivre une vie ancrée dans la prière. Son histoire continue de toucher le cœur de nombreuses personnes. Niña était un exemple de la façon dont, avec Dieu, on peut surmonter les obstacles » a écrit la Conférence épiscopale des Philippines.




Afrique : Focus sur le dialogue interreligieux 

Du 9 au 10 avril 2024, le Dicastère pour le dialogue interreligieux a organisé un atelier consultatif pour les commissions épiscopales qui coordonnent le dialogue interreligieux en Afrique et à Madagascar. Cette rencontre avait lieu à Nairobi, au Kenya, et avait pour thème : « Le christianisme en dialogue avec l’islam et les religions traditionnelles africaines : défis et opportunités. »

Les évêques concernés par le dialogue interreligieux était présents, ainsi que des responsables en pastorale venant de nombreux pays d’Afrique et de Madagascar. L’atelier visait à réfléchir sur la situation actuelle du continent africain, d’explorer les voies et moyens d’y répondre de manière interreligieuse, en vue de construire une culture de paix et de fraternité.

« Nous reconnaissons la diversité du continent africain. Nos valeurs religieuses, sociales et culturelles mettent l’accent sur les relations, l’hospitalité, la solidarité, la convivialité et l’inclusion de toutes les idées religieuses et visions du monde » disent-ils dans un communiqué commun, publié au terme de la rencontre. Les participants ont mis l’accent sur l’importance de l’éducation au dialogue interreligieux, notamment avec la religion traditionnelle africaine et l’Islam, afin de faire grandir le respect entre les religions. Le dialogue étant fondamental pour l’Église, qui est appelée à collaborer au projet de Dieu envers toutes les personnes, notamment les plus pauvres.

L’Église africaine est préoccupée par les conflits et les violences continues dans certains pays d’Afrique, ainsi que la radicalisation religieuse, en particulier en Afrique de l’Ouest, en Afrique centrale et en Afrique de l’Est, qui peuvent être attribués à divers facteurs, notamment socio-économiques et politiques : « Cette situation s’aggrave lorsque certains individus et groupes instrumentalisent la religion. »

« Le continent africain ne pourra parvenir à un développement intégral et durable que s’il peut promouvoir une culture de paix et de fraternité fondée sur les principes de liberté, de justice, de démocratie, de respect et de solidarité, Une culture qui, par le dialogue, la diplomatie et la négociation, respecte les droits et la dignité de l’homme et rejette la violence. »




Le pape souhaite l’inclusion intégrale des personnes handicapées 

Le pape François a rencontré ce jeudi 11 avril 2024 les membres de l’Académie pontificale des sciences sociales, qui sont ces jours-ci en Assemblée plénière et réfléchissent sur le thème des personnes porteuses de handicap. La vulnérabilité et la fragilité font partie de la condition humaine. Le Saint-Père a parlé de la dignité des personnes handicapées, en rappelant « que tout être humain a droit à une vie digne et à se développer pleinement, même s’il est moins performant, même s’il est né ou a grandi avec des limites ».

Pour lui, la sollicitude de l’Église envers les personnes fragilisées s’appuie sur l’exemple même de Jésus qui pose un regard nouveau et plein de compassion. « Toute condition humaine, même marquée par de graves limites, est une invitation à tisser avec Dieu une relation singulière qui permette aux personnes de s’épanouir à nouveau. » Le pape a expliqué l’importance d’intégrer les personnes porteuses de handicap, plutôt que de les exclure, en disant que « les handicapés sont des «exilés cachés», traités comme des corps étrangers de la société ».

Il dénonce la culture « du déchet » bien présente dans le monde actuel, qui « n’a pas de frontières ». Pour combattre cette mentalité, le pape parle « d’inclusion intégrale » des personnes handicapées, afin qu’elles ne soient pas passives, mais participent à la vie sociale comme protagonistes du changement.

« Atteindre ces objectifs, en reconnaissant chaque être humain comme une sœur ou un frère, et en recherchant une amitié sociale qui inclut tout le monde, ne sont pas de simples utopies. Elles requièrent la décision et la capacité de trouver des chemins efficaces qui en assurent la possibilité réelle. Tout engagement dans cette direction devient un noble exercice de charité » a-t-il dit au terme de cette rencontre.




Le pape François avec les enfants de Saint-Jean-Marie-Vianney

Communiqué de presse du Dicastère pour l’évangélisation du 11 avril 2024

Traduction par Zenit

Ce jeudi 11 avril, le pape François a rencontré environ 200 enfants de la paroisse Saint-Jean-Marie-Vianney, dans la banlieue de Rome, pour la première rencontre de l’« École de prière » voulue par le Saint-Père à l’occasion de l’Année de la prière. Cette rencontre s’inscrit dans le prolongement de l’expérience des « vendredis de la miséricorde », qui a vu le pape François rencontrer à l’improviste quelques communautés de personnes.

Le pape François catéchiste

Les enfants, faisant partie des groupes de catéchisme qui préparent à la première communion, ont accueilli de manière festive le pape, arrivé par surprise dans la communauté. Ils ont été très surpris lorsque, à la place des catéchistes avec qui ils pensaient suivre le catéchisme comme chaque semaine, ils ont vu le pape François entrer dans la salle paroissiale.

Et pendant près d’une heure, le pape a catéchisé les enfants. Il a répondu à leurs questions et a proposé une courte catéchèse sur le thème de la prière d’action de grâce. Celle-ci est l’une des plus importantes de la vie chrétienne, a-t-il souligné. « Il est important de dire merci pour tout. Par exemple, si vous entrez dans la maison d’une personne et que vous ne lui dites pas merci, puis s’il vous plaît , ou si vous ne dites pas bonjour, est-ce bien ? Le premier mot est merci, le deuxième mot est s’il vous plaît », a-t-il expliqué aux jeunes du quartier de Borghesiana, dans le secteur Est du diocèse.

Pour terminer, « le troisième mot est pardon » a poursuivi le Saint-Père. « Une personne qui ne s’excuse jamais est-elle bonne ? Il est souvent difficile de s’excuser, à cause de la honte et de l’orgueil. Mais il est important de s’excuser lorsque l’on se trompe. Trois mots : merci, s’il vous plaît, pardon. »

La prière des enfants

Ensuite, le pape a demandé aux enfants : « Mais priez-vous ? Comment priez-vous ? Que dites-vous dire au Seigneur ? » L’un des enfants a rappelé qu’avec sa famille, il priait avant les repas. « Il a dit quelque chose d’important. Mais sais-tu qu’il y a tant d’enfants qui n’ont rien à manger ? Est-ce que je remercie le Seigneur de me donner à manger ? Est-ce que je le remercie de m’avoir donné une famille ? »

Enfin, la dernière question aborde le sujet de la foi. « Mais êtes-vous chrétiens ? » a demandé le pape François. « Avez-vous la foi ? Disons-le ensemble. Merci, Seigneur, de m’avoir donné la foi. » « Comment remercier le Seigneur dans la maladie ? » Au cours du dialogue, l’une des questions les plus émouvantes a été posée par Alice, 10 ans.

« Comment remercier le Seigneur dans la maladie ? »

« Même dans les moments difficiles, nous devons remercier le Seigneur, parce qu’il nous donne la patience de supporter les épreuves. Disons ensemble : Merci, Seigneur, de nous donner la force de supporter la douleur. » D’autres enfants ont demandé les raisons de la mort et de la solitude.

En revanche, Sofia, qui fera dans quelques jours sa première communion, est très affectée par les nouvelles des guerres, et elle a demandé au pape comment on pouvait dire merci dans des moments aussi tragiques. « Nous devons le remercier toujours, à tout moment. Je vous donne un conseil », a ajouté le pape en conclusion. « Avant de vous endormir, pensez : que quoi puis-je remercier le Seigneur aujourd’hui ? Remerciez-le ! »

Souvenir d’un moment extraordinaire

À la fin de la rencontre, les enfants ont récité avec le Saint-Père une prière d’action de grâce, composée pour l’occasion, qui restera comme le souvenir d’un moment extraordinaire de leur vie. Avant de partir, le pape François, en les saluant et en plaisantant avec eux, a remis à chacun des enfants du catéchisme un œuf en chocolat. Aux prêtres et à la vingtaine de catéchistes, il leur a remis les six premiers volumes publiés de la série « Notes sur la prière ». Ces outils sont conçus par la première section du Dicastère pour l’évangélisation afin de soutenir la vie pastorale des communautés sur le chemin de la redécouverte de la primauté de la prière en préparation du Jubilé 2025.