Communiqué nécrologique

Voici le programme des obsèques de notre papa Willy Mikanda.

Dimanche 21 Avril veillée mortuaire dans la salle Maison Blanche située sur l’avenue Mopulu numéro 1, commune de Ngaba, référence route Université.

Levée du corps lundi 22 avril à la morgue de Bobila sur l’avenue Bukanga dans la commune de Ngaba voir hôpital de référence de mère et enfant de Ngaba, route Kianza entre commune de Ngaba et Super Lemba, suivi de l’Enterrement à Kinkole nouvelle cité.




Plénière très mouvementée à l’Assemblée provinciale du Haut Katanga

Plénière très mouvementée à l’Assemblée provinciale du Haut katanga ce vendredi 19 avril 2024. Sous la direction de la présidente du nouveau bureau d’âge Liliane Komba assistée de 2 benjamins, la séance a connu un débat à couper le souffle autour duquel plusieurs vérités ont été dites par les députés provinciaux afin de préserver l’harmonie au sein de l’hémicycle provincial et l’intérêt du peuple.

Ayant fait son entrée dans l’hémicycle sans suivre les dispositions protocolaires, l’honorable Jean Ladislas Umba BA Lungange a précisé qu’il ne faut jamais par des moyens mythiques, mettre le Haut-Katanga en péril. C’était avant de plaider pour l’harmonie dans l’Assemblée.

Cherchant à sauver l’honneur de la première institution en province, l’honorable Khiler Mubambe de ensemble pour la République, a soulevé une motion de procédure qui selon lui, était irrégulière. Fort malheureusement la motion a été rejetée au motif que ça n’a pas été prévu à l’ordre du jour. Par cet acte, les députés de l’opposition ont claqué la porte laissant ainsi le vote de déchéance de Lungange et son ancien bureau en cours. Vote qui a abouti à la déchéance de l’ancien bureau par 35 députés présents dans la salle.




Prétendue arrestation de Mme le Secrétaire général à l’EPST : Voici la mise au point de la Cellule de communication

Une vidéo viralement partagée ce matin dans les réseaux sociaux fait état d’une arrestation de Mme le Secrétaire général de l’EPST, Christine Nepa Nepa pour détournements sur fond d’un mandat d’amener.
La Cellule de Communication du Ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, apporte un cinglant démenti et indique qu’il s’agit d’une vieille vidéo datant de 2023, prise par des hors-la-loi lorsque la patronne de l’Administration à l’EPST était menacée, agressée et injuriée par une clinique des délinquants appelée Syndicat TJS habituée à vandaliser et diffamer sans mandat les autorités de l’EPST.
En effet, Mme Christine NEPA NEPA, un haut cadre de l’Administration a été suspendue par le Vice-premier Ministre et Ministre de la Fonction publique en cette période d’expédition des affaires courantes sur base d’un caprice d’une jeune femme, Directrice de l’Agence Française de Développement. Elle a introduit son recours gracieux et attend la réponse.
Elle n’a jamais été ni interpellée, ni mise aux arrêts à ce jour.
Il s’agit d’une fausse information fabriquée dans les laboratoires qui tentent par tous les moyens à salir le professeur Tony Mwaba Kazadi, Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique après avoir échoué de le déboulonner par toutes sortes de mensonges, d’intox, de désinformation et de diffamation ou calomnie à son égard.




Les Inspecteurs des Finances et l’Initiative personnelle : Un Nouveau modèle d’acquisition de héhicules

Dans une démarche autonome, les Inspecteurs des Finances ont pris les devants pour l’acquisition de véhicules, marquant un tournant dans la gestion des ressources et la lutte contre la corruption.

Dans un contexte où la gestion des fonds publics est scrutée avec une attention accrue, l’Inspection Générale des Finances (IGF) fait face à des rumeurs infondées concernant l’achat de véhicules pour ses inspecteurs. Cependant, une enquête approfondie révèle la vérité derrière ces allégations : aucun achat de véhicules n’a été effectué par l’IGF pour ses membres.

En réalité, les Inspecteurs des Finances ont bénéficié d’un crédit personnel et individuel octroyé par RAWBANK, une initiative qui souligne leur autonomie et leur engagement envers une gestion responsable. Cette démarche indépendante a été organisée en collaboration avec le Syndicat, qui a constitué une délégation d’inspecteurs pour se rendre à Dubai dans le but d’acquérir des véhicules.

Cette action, qualifiée de ridicule par certains, représente en fait une rupture avec les pratiques antérieures et pourrait être interprétée comme un signe de ralentissement de la prédation et un succès dans la lutte contre la corruption. Les inspecteurs, armés de leur crédit, ont pris en main leur destinée, démontrant que l’autonomie peut être synonyme de transparence et d’intégrité.

L’initiative des Inspecteurs des Finances est un exemple éloquent de la manière dont les individus peuvent contribuer à la transformation des institutions et à la promotion de la probité. C’est un pas de plus vers une administration publique où la prévention de la corruption n’est pas seulement un slogan, mais une réalité tangible.

 

DMK




La crise persistante en République Démocratique du Congo : Entre espoir et désillusion

Instabilité politique et conflits armés

Depuis son accession à l’indépendance nationale en 1960, la République démocratique du Congo (RDC) a été le théâtre de conflits incessants, de crises politiques et de violences généralisées. Ces épreuves ont profondément entravé le développement socio-économique du pays et miné la confiance de sa population envers les institutions gouvernementales. Malgré les espoirs suscités par l’arrivée au pouvoir de Félix Tshisekedi, fils d’Etienne Tshisekedi, les défis auxquels le pays est confronté semblent insurmontables, révélant les fractures profondes qui persistent au sein de la nation congolaise.

Les multiples rébellions, coups d’État et conflits ethniques ont fragmenté la société congolaise et affaibli l’autorité de l’État central. Ces troubles sont souvent alimentés par des rivalités politiques, des revendications territoriales et des intérêts économiques divergents, créant un climat de méfiance et d’hostilité entre les différentes communautés ethniques et politiques du pays.

Malgré les tentatives de réconciliation nationale et de consolidation de l’État, la polarisation politique et l’absence de consensus sur les questions clés continuent de miner les efforts visant à instaurer une paix durable en RDC. Les défis sécuritaires demeurent parmi les plus pressants, avec la présence persistante de groupes armés et de milices rebelles menaçant la stabilité du pays, notamment dans les régions orientales.

Les richesses naturelles abondantes de la RDC, telles que les minerais précieux, ont souvent été au cœur de ces conflits, attisant les tensions et alimentant la violence. Malgré les efforts déployés par les forces de sécurité congolaises et les missions de maintien de la paix de l’ONU, la situation sécuritaire demeure précaire dans de nombreuses régions du pays.

La crise humanitaire en RDC est parmi les plus graves au monde, avec des millions de personnes déplacées, victimes de la faim, de la malnutrition et privées d’un accès aux soins de santé de base. Les femmes et les enfants sont particulièrement vulnérables aux violences sexuelles et aux abus, perpétrés par les groupes armés et les forces de sécurité.La gouvernance effective et transparente reste un défi majeur en RDC, où la corruption endémique et l’inefficacité des institutions gouvernementales entravent le développement économique et social du pays. Les ressources publiques sont souvent détournées à des fins privées par une élite politique corrompue, privant ainsi la population congolaise des services de base et des opportunités économiques.

La reconstruction nationale exige des réformes profondes dans les domaines de la justice, de l’administration publique et de la lutte contre la corruption, ainsi qu’un engagement sincère de la part des dirigeants congolais à servir l’intérêt général plutôt que leurs intérêts personnels.

En dépit de ces défis immenses et complexes, l’espoir persiste que la RDC puisse surmonter ses divisions et ses difficultés pour ouvrir la voie à un avenir meilleur. Cela nécessitera un engagement sincère et durable de toutes les parties prenantes, tant nationales qu’internationales, pour mettre fin au cycle de violence et de corruption qui entrave le développement du pays.

Les conflits armés récurrents en République démocratique du Congo (RDC) ont profondément altéré le tissu social congolais, instaurant un climat de méfiance et de peur parmi la population. Ces confrontations ont non seulement occasionné d’innombrables pertes humaines, mais elles ont également exacerbé les clivages ethniques et politiques préexistants, fragmentant davantage les communautés. En conséquence, la confiance entre les différentes factions de la société congolaise a été gravement compromise, entravant la construction d’un consensus national autour des questions cruciales telles que la gouvernance, la sécurité et le développement.

Les conflits en RDC ont été alimentés par une multitude d’intérêts nationaux et internationaux, transformant le pays en un théâtre de rivalités régionales et mondiales. Les richesses naturelles abondantes de la RDC, notamment ses minerais précieux et son pétrole, ont attisé les convoitises des puissances étrangères et des entreprises multinationales. Ces acteurs ont souvent soutenu des groupes armés locaux en échange d’un accès à ces ressources, prolongeant ainsi les conflits et sapant la souveraineté nationale.

Malgré les tentatives de résolution des conflits, la pacification et la consolidation de l’État demeurent des objectifs difficiles à atteindre. La corruption endémique au sein des institutions gouvernementales mine la légitimité de l’État et nourrit le ressentiment populaire envers le gouvernement. De plus, l’impunité des auteurs de violences, y compris les membres des forces de sécurité, perpétue le cycle de violence et d’instabilité en RDC. Enfin, l’ingérence étrangère continue de compromettre les efforts visant à renforcer l’État congolais, sapant la cohésion nationale et alimentant les tensions régionales.

Pour surmonter ces défis, la communauté internationale doit jouer un rôle plus proactif dans la résolution des conflits en RDC. Cela implique un engagement ferme en faveur du respect de la souveraineté nationale et du soutien aux efforts de pacification menés par le gouvernement congolais. De plus, des mesures efficaces doivent être prises pour lutter contre la corruption et l’impunité, renforcer les institutions démocratiques et promouvoir le dialogue et la réconciliation nationale. Enfin, un investissement substantiel dans le développement économique et social de la RDC est indispensable, en mettant l’accent sur la création d’emplois, l’amélioration de l’accès aux services de base et la promotion de la justice sociale.La résolution des conflits en RDC nécessite une approche holistique et multilatérale, prenant en compte les multiples dimensions du conflit. En adoptant une approche centrée sur les droits de l’homme, la justice sociale et le développement durable, il est possible de créer les conditions propices à une paix durable et à la stabilité en RDC.

Violations des droits de l’homme et crise humanitaire

Les violences sexuelles infligées aux femmes congolaises lors des conflits armés en RDC ne sont pas de simples actes isolés, mais plutôt une stratégie délibérée utilisée par les groupes armés pour terroriser les populations civiles et affaiblir les communautés. Ces atrocités visent à déshumaniser les victimes, semer la terreur et exercer un contrôle tyrannique sur les territoires disputés. En ciblant spécifiquement les femmes et les filles, les groupes armés cherchent à infliger des souffrances indicibles à l’ensemble de la communauté, laissant des traumatismes profonds qui persistent longtemps après la fin des hostilités.

Les conséquences des violences sexuelles sont dévastatrices, tant sur le plan physique que psychologique, pour les femmes et les communautés touchées. Les survivantes sont souvent confrontées à des blessures graves, à des infections sexuellement transmissibles, à des traumatismes psychologiques et à des stigmatisations sociales. Ces atrocités laissent des cicatrices profondes, entraînant la désintégration des tissus sociaux et familiaux, ainsi qu’une perte de confiance dans les institutions locales et internationales.

En parallèle des violences sexuelles, la crise humanitaire dans certaines régions de la RDC aggrave encore la souffrance des populations civiles. La malnutrition, les déplacements forcés et les maladies sont monnaie courante dans les zones touchées par les conflits, où l’accès aux services de base est gravement entravé. Les femmes et les enfants, déjà vulnérables, sont particulièrement exposés aux effets dévastateurs de cette crise, étant souvent les premières victimes de la faim, de la maladie et de l’insécurité.

Malgré les efforts déployés par les organisations internationales, de nombreux défis persistent. La présence de groupes armés entrave l’accès humanitaire et met en danger le personnel. De plus, le manque de ressources, les obstacles logistiques et les contraintes sécuritaires rendent difficile la fourniture efficace d’une assistance vitale aux populations les plus vulnérables.

Les violences sexuelles en RDC et la crise humanitaire qui en découle exigent une réponse urgente et coordonnée de la part de la communauté internationale. Il est impératif de mettre fin à l’impunité des auteurs de ces atrocités, de renforcer les mécanismes de protection des droits de l’homme et de fournir une assistance humanitaire adéquate aux populations civiles affectées. Seulement ainsi pourra-t-on espérer mettre un terme à la souffrance inacceptable des femmes et des communautés en RDC.

Crise économique et corruption endémique

La corruption endémique qui sévit au sein de l’élite politique congolaise a eu un impact dévastateur sur le développement économique et social du pays. Les fonds destinés à des secteurs cruciaux tels que la santé, l’éducation, les infrastructures et le développement rural ont été détournés à des fins privées, privant ainsi la population congolaise des services essentiels et des opportunités de progrès. Cette mauvaise gestion des ressources publiques a exacerbé les inégalités sociales et économiques, favorisant l’enrichissement d’une minorité au détriment de la grande majorité des citoyens.

Les richesses naturelles de la RDC, notamment ses minerais précieux tels que l’or, le coltan, le cobalt et le diamant, ont été pillées et exploitées au détriment de la population locale. Les entreprises minières nationales et étrangères ont bénéficié de contrats lucratifs avec le gouvernement congolais, mais ont souvent négligé les normes environnementales, les droits des travailleurs et les retombées économiques pour les communautés locales. Cette exploitation a alimenté la corruption et l’enrichissement personnel de l’élite politique et économique, laissant les populations locales dans la pauvreté et la marginalisation.

Les pratiques népotistes et clientélistes qui prévalent dans la gouvernance de la RDC favorisent l’enrichissement personnel de certains individus et groupes au détriment de l’intérêt général. Les nominations politiques et les contrats publics sont souvent attribués sur la base de liens familiaux, d’amitiés ou de faveurs politiques, sapant ainsi la confiance des citoyens dans leurs institutions gouvernementales et alimentant un sentiment de désespoir et de frustration parmi la population.

La corruption endémique et le pillage des ressources naturelles compromettent la capacité du gouvernement congolais à fournir des services publics efficaces, à garantir la sécurité des citoyens et à promouvoir un développement économique durable. Ces pratiques minent la légitimité de l’État, alimentent le mécontentement social et peuvent contribuer à l’instabilité politique et aux conflits en alimentant les frustrations et les aspirations de changement chez les citoyens.

Pour surmonter ces défis, une réforme profonde et systémique est nécessaire, impliquant des mesures de lutte contre la corruption, de renforcement de l’état de droit et de promotion de la transparence et de la responsabilité dans la gestion des ressources publiques. Seulement ainsi pourra-t-on restaurer la confiance des citoyens dans leurs institutions et ouvrir la voie à un développement économique et social durable en RDC.

Défi de la gouvernance et de la reconstruction nationale

Les divisions internes au sein de l’Union pour la Nation , regroupementdes partis au pouvoir en RDC, entravent sérieusement la gouvernance efficace et la prise de décisions cohérentes. Ces divisions, qu’elles soient motivées par des différences idéologiques, des rivalités personnelles ou des querelles de pouvoir, paralysent souvent l’action gouvernementale et sapent la confiance des citoyens dans leur leadership. L’absence d’une unité de vision et de but au sein du regroupement retarde les réformes structurelles nécessaires pour surmonter les défis socio-économiques et politiques de la RDC, compromettant ainsi les perspectives de progrès et de développement.

Un autre facteur qui entrave la capacité du gouvernement congolais à relever les défis est le manque de leadership visionnaire et de volonté politique de la part des dirigeants. Un leadership efficace exige une vision à long terme, un engagement envers le bien-être de la population et la capacité de prendre des décisions difficiles pour le bien commun. Malheureusement, certains dirigeants politiques en RDC semblent plus préoccupés par la préservation de leur propre pouvoir et de leurs privilèges que par la résolution des problèmes nationaux, compromettant ainsi les perspectives de paix, de stabilité et de prospérité pour l’ensemble de la population congolaise.

Les conséquences de ces défis sur la paix et la prospérité en RDC sont dévastatrices. L’incapacité du gouvernement à surmonter les divisions internes compromet la stabilité politique du pays et aggrave les tensions sociales. Sans réformes structurelles et politiques cohérentes, l’économie congolaise continue de stagner, privant la population d’opportunités d’emploi, d’éducation et de soins de santé. De plus, le manque de confiance dans les institutions gouvernementales alimente le mécontentement populaire et peut potentiellement conduire à des manifestations, à des troubles civils voire à des conflits armés, menaçant ainsi la sécurité et le bien-être de la population.

Face à ces défis, il est impératif que les dirigeants congolais fassent preuve de leadership fort, unifié et visionnaire pour surmonter les divisions internes et mettre en œuvre les réformes structurelles nécessaires. Cela exige un engagement envers les principes démocratiques, la primauté du droit et la transparence dans la gouvernance. De plus, il est crucial que les dirigeants politiques mettent de côté leurs intérêts personnels et partisans pour travailler ensemble dans l’intérêt supérieur de la nation. Seulement alors pourra-t-on espérer ouvrir la voie à une paix durable, à une stabilité politique et à une prospérité économique pour l’ensemble de la population congolaise.

Conclusion : Vers une sortie de crise ?

Malgré les défis considérables auxquels elle est confrontée, la République démocratique du Congo (RDC) détient un potentiel significatif pour un avenir meilleur. La richesse de ses ressources naturelles, la diversité de sa population et son emplacement stratégique en font un pays doté d’atouts importants pour le développement. De plus, l’aspiration des citoyens congolais à la paix, à la stabilité et à la prospérité est une force motrice qui alimente l’espoir et la détermination à surmonter les obstacles sur la voie de la reconstruction nationale.

La communauté internationale a un rôle crucial à jouer dans le soutien aux efforts de stabilisation, de reconstruction et de consolidation de l’État congolais. Cela implique non seulement un engagement financier et matériel, mais aussi une assistance technique et un soutien politique pour renforcer les institutions gouvernementales, promouvoir la démocratie et les droits de l’homme, et renforcer les capacités des acteurs nationaux à répondre aux besoins de la population. La pression internationale peut également jouer un rôle important dans la lutte contre la corruption et l’impunité en RDC, en exigeant des normes élevées de gouvernance et de responsabilité de la part des dirigeants congolais.

Cependant, pour que ces efforts réussissent, un engagement sincère et durable est nécessaire de la part de toutes les parties prenantes, tant nationales qu’internationales. Cela exige un partenariat solide entre le gouvernement congolais, la société civile, le secteur privé, les organisations régionales et les acteurs internationaux, basé sur la confiance mutuelle, le respect des principes démocratiques et la responsabilité partagée. De plus, il est essentiel que cet engagement soit à long terme, reconnaissant que la construction d’un État stable et prospère en RDC est un processus complexe et évolutif qui nécessite un investissement continu dans le temps.

Enfin, pour réaliser pleinement son potentiel, la RDC doit mettre fin au cycle de violence et de corruption qui entrave son développement. Cela nécessite non seulement des réformes institutionnelles et juridiques, mais aussi un changement culturel profond qui promeut la responsabilité, la transparence et l’intégrité dans tous les domaines de la vie publique. En mettant fin à l’impunité des auteurs de violence et de corruption, la RDC peut créer un environnement propice à la paix, à la stabilité et à la croissance économique, ouvrant ainsi la voie à un avenir meilleur pour ses citoyens et pour la région dans son ensemble.

En conclusion, malgré les défis considérables auxquels elle est confrontée, la RDC conserve un potentiel significatif pour un avenir meilleur. Avec un engagement sincère et durable de la part de la communauté internationale et de toutes les parties prenantes, il est possible de surmonter les divisions et les difficultés actuelles pour construire un État stable, démocratique et prospère pour l’ensemble de sa population.

 

Jean Aime Mbiya Bondo Shabanza

Vice-Président Fédéral en Charge de la Politique et de la Diplomatie

Fédération des États-Unis d’Amérique ,Udps-Tshisekedi

Email : jean.mbiyabondo@iarsociety.org

Téléphone : 243981228121 ; 243837456078




L’ARSP démantèle un réseau maffieux 

L’Autorité de Régulation de la Sous-Traitance dans le Secteur Privé (ARSP) vient de démanteler un réseau des actionnaires figurants utilisé par leur patron au sein de neuf entreprises de sous-traitance exécutant de grands marchés. Il s’agit de: METALKOL, FRONTIER, BOSS MINING et COMIDE installées dans les provinces du Lualaba et Haut-Katanga

Cette action de l’ARSP sous la direction de son Directeur général Miguel Kashal Katemb est le résultat d’une mission de contrôle réalisé dans le Grand Katanga qui a permis de découvrir ce cas flagrant lié au phénomène prête-nom dans le domaine de la sous-traitance.

Pour tirer au clair ce dossier, le DG de l’ARSP a organisé une séance d’audition au cours de laquelle ont pris part un représentant du groupe ERG en la personne de M. Pavel, les avocats, des directeurs de l’ARSP et tous les associés figurants de neuf sociétés de sous-traitance concernées ci-dessous :

1. ROCADA

2. ROCHE SOLIDE

3. STANDAR FIABLE

4. TECHNOLOGIES GLOBAL

5. ETALON SA

6. SURTEK

7. SOCOM

8. TRANSVERSAL

9. VISION

En effet, il ressort de cette séance d’audition que la multinationale Eurasian Ressources Group (ERG) appartenant à des sujets russes et Kazakhs s’est malicieusement arrangée pour créer les neuf sociétés sous-traitantes citées ci-haut dans lesquelles les Congolais ont été placés avec des parts sociales fictives en les faisant passer par la suite pour des associés majoritaires dans le seul but d’échapper à la Loi congolaise sur la sous-Traitance qui dispose de plus de 50% des parts devant être détenus par des Congolais dans une entreprise de sous-traitance. Cette stratégie de prête-nom a servi à couvrir leur mafia qui vise à expédier les richesses financières vers l’étranger au détriment de l’économie congolaise à travers un circuit financier non élucidé à en croire les chiffres d’affaire révélés séance tenante.

Il s’agit des montants colossaux qui échappent au pays, car tous les paiements se font dans des circuits bancaires inconnus des prétendus actionnaires majoritaires qui ne touchent que 500 ou 1000 dollars le mois et qui n’ont jamais touché aux dividendes alors que le chiffre d’affaires réalisé au cours de l’année 2023 est évalué à hauteur de 535.369.909.67 USD dont voici la répartition pour quelques sociétés :

1. SURTEK : exécute à l’entreprise minière METALKOL à Kolwezi le marché de fourniture des réactifs pour un chiffre d’affaires de 227.111.448.38 USD réalisé en 2023

2. Etalon S.A : fourniture des réactifs auprès de METALKOL pour un chiffre d’affaires 97.638.695.44 USD en 2023

3. Roche solide SAS, fourniture des réactifs auprès de METALKOL pour un chiffre d’affaires de 81.638.906.14 USD en 2023

4. Standard fiable SAS : fourniture de la chaux et du calcaire auprès de METALKOL, pour un chiffre d’affaires de 52.422.600 USD en 2023

Le total des chiffres d’affaires réalisé est évalué à 535.369.909.67 USD alors que chaque actionnaire congolais (Associé figurant) n’a pu toucher que 6000USD par an soit un montant de 500 USD par mois dans l’ignorance des bénéfices réalisés dans les entreprises dans lesquelles ils occupent les fonctions de DG et DGA

Il sied de noter que ce dossier illustre parfaitement l’exploitation de la population congolaise par des groupes miniers étrangers par des comportements économiques prohibés par la loi

Devant cette évidence, l’ARSP à travers son DG Miguel Kashal, entend prendre des mesures idoines suivies des sanctions exemplaires contre ces cas avérés de fraude à la loi et de complicité entre les actionnaires figurants et le groupe ERG qui les a utilisés comme des prêtes noms.

Après qu’ils soient passés aux aveux, la partie congolaise explique que ces expatriés d’origine multiple ont profité de leur hospitalité pour les extorquer étant donné que ce chiffre d’affaire n’était que mystère pendant plus de 2 ans

Le gendarme du président Tshisekedi en matière de la sous-traitance en RDC se dit être déterminé à combattre farouchement cette incroyable barbarie dans son secteur afin de parvenir à la création de la classe moyenne véritablement congolaise.

Le Quotidien




Le DG de l’ANAPEX et le ministre conseiller de l’ambassade de la Rdc en Suisse échangent sur les préparatifs de Business Day 2024

Le DG de l’ANAPEX, M. Mike Tambwe Lubemba, a reçu dernièrement dans son cabinet de travail le Ministre-conseiller de l’ambassade de la République démocratique du Congo en Suisse, M. Jean-Pierre Yodi Kasongo. Cette rencontre s’est inscrite dans le cadre des préparatifs du BUSINESS Day 2024, un salon d’exposition qui va se dérouler très prochainement en Suisse.

Occasion de raffermir les relations entre les deux pays et en même temps promouvoir les produits agroalimentaires congolais sur le marché suisse.

La Suisse étant reconnue pour son expertise dans le domaine pharmaceutique, elle représente un partenaire commercial privilégié pour la RDC. En collaborant avec des entreprises suisses lors de cet événement, la RDC espère accroître la visibilité et la compétitivité de ses produits sur le marché international.

La visite du ministre-conseiller de l’ambassade à l’ANAPEX marque le début d’une collaboration fructueuse entre la RDC et la Suisse dans le domaine des exportations agroalimentaires, ont indiqué les deux parties.

Le Quotidien




Nicolas Kazadi et Aimé Boji planchent sur des questions pendantes de la 6ème revue du PEG

Réunions de printemps 2024 du FMI et de la Banque Mondiale à Washington DC, le Ministre des Finances Nicolas Kazadi et le ministre d’État du Budget Aimé Boji ont échangé ce 16 avril 2024 avec la Mission du FMI pour la RDC sur les questions pendantes de la 6ème revue du programme économique du gouvernement.

Concernant la conclusion de ce programme soutenu par la facilité élargie de crédit, les discussions se poursuivront à Kinshasa la semaine prochaine en perspective de la réunion du Conseil d’administration du FMI prévue en fin juin de cette année.

Dans la 2è réunion à laquelle s’est adjointe la Gouverneure de la Banque centrale du Congo (BCC), Malangu Kabedi, Nicolas Kazadi et Aimé Boji ont eu un entretien fructueux avec le Directeur du Département Afrique, Abebe, qui a félicité le gouvernement congolais pour la performance réalisée dans le cadre du Programme finissant.

Le Directeur du Département Afrique du FMI a également insisté sur la nécessité de maintenir la stabilité macro-économique.

Le Quotidien




5 ans passés au Commerce extérieur: Le satisfecit de Jean Lucien Bussa 

Après 5 ans passés à la tête du ministère du Commerce extérieur de la Rdc, le ministre Jean-Lucien Bussa dresse un bilan “élogieux” de son mandat depuis son avènement à la tête de ce ministère considéré comme le poumon de l’économie nationale. Au cours d’un échange le mercredi avec un groupe des journalistes, Jean-Lucien Bussa s’est dit satisfait d’avoir apporté beaucoup de changements, innovations et réformes dans ce secteur qu’il avait trouvé dans une précarité sans précédente.

« Quand je suis venu dans ce ministère, je n’ai rien trouvé ni en terme de politique, ni en terme des mesures de régulation. Aujourd’hui on peut vous appeler de l’Angola, du Congo Brazzaville, on a mené des politiques, nos industrielles étaient en difficulté, aujourd’hui ce n’est pas le cas. Plusieurs secteurs ont été boostés notamment les brassicoles, les cimentiers et fonderies, Kwilu Ngongo également. Aujourd’hui avec les Zones économiques spéciales, nous avons la production des carreaux et faïences pour protéger ces industries, j’ai dû prendre les mesures pour restreindre l’importation des carreaux afin de permettre aux Congolais de s’approvisionner à Maluku et non à Dubaï ou en Chine ».

En ce qui concerne l’amélioration des conditions de travail, la politique et le réforme, de stratégies pour booster l’économie interne et externe, plusieurs efforts ont été engagés, affirme le patron du Commerce extérieur de la Rdc.

« Nous avons pris des mesures stratégiques, on a créé des structures comme l’Anapex pour penser la stratégie d’entreprise. En terme d’amélioration des conditions des travailleurs, l’Occ était en situation difficile, il y a plusieurs dossiers notamment les arriérés des salaires. Plus de 12 à 13 ans, non-paiement des décomptes finales pas des laboratoires. Aujourd’hui on a réglé les problèmes des décomptes finals, les laboratoires sont en train d’être développés et d’autres en construction et en bâtiment administratif dans le Lualaba à Kolwezi.

Notre contribution au niveau de la réflexion économique en termes de mise en cohérence de la politique économique était importante au niveau du gouvernement. Comme économiste, je suis encore prêt à réformer le parc que nous considérons parce que les atouts sont énormes, les potentialités sont immenses aussi bien au niveau interne que mondial nous devons transformer tous ceci en véritable richesses et ça c’est possible, a-t-il rassuré.

Plusieurs combats ont été menés pour sécuriser la production intérieure par les produits importés et vendus en RDC au bat prix et surtout par la fraude. Parmi ces produits, on pouvait citer les ciments et autres boissons qui menaçaient sérieusement la production locales et les emplois. Par la politique menée par le numéro 1 du Commerce en RDC, tous ces marchés noirs qui étaient nuisibles à l’économie congolaise ont été neutralisés.

Un autre exploit réalisé était l’assainissement du cadre des affaires. La Rdc avait procédé à la suppression des 14 taxes illégales et en baissant les taux des 19 prélèvements ceci avait pour but d’améliorer le climat des affaires et permettre aux citoyens d’augmenter leurs chiffres d’affaires. Plusieurs défis restent encore à relever dans ce secteur, d’autant plus que la RDC doit arriver à transformer ces richesses pour attirer plus d’investisseurs et aussi amener les devises au pays et surtout rendre l’économie congolaise forte et dynamique.

Osée Kalombo




Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme Volker Türk conclut sa visite officielle en Rdc

Pour Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, les pays qui soutiennent les groupes armés ou qui ont une influence sur eux doivent assumer leurs responsabilités et veiller à ce que les combats cessent. Au Nord-Kivu, tout rôle joué par le Rwanda dans le soutien au M23 doit cesser et une solution doit être trouvée de toute urgence. Il en va de même pour tout pays qui soutient des groupes armés actifs en RDC.

Dans son discours de clôture, Volker Türk a expliqué que c’est sa première visite en République démocratique du Congo en tant que Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, bien qu’il ‘y sois déjà venu à plusieurs reprises. Il remercie le Président de l’avoir invité, et se dit reconnaissant de l’excellente coopération avec le gouvernement et tous nos partenaires.

L’immensité de cette nation – qui s’étend sur une superficie géographique équivalente à celle de l’Europe occidentale – est marquante, affirme-t-il, avant d’ajouter que la RDC est immensément riche de la résilience et de la force de son peuple. Elle dispose également d’abondantes ressources naturelles. Ce pays pourrait tout simplement être l’un des plus riches du monde. Mais malheureusement, il est aujourd’hui l’un des plus pauvres.

« Les défis du pays en matière des droits humains sont nombreux et complexes. Permettez-moi de me concentrer sur la situation dans les provinces de l’est, où vit une population épuisée et profondément traumatisée, écrasée par des décennies de guerre et de conflit », indique-t-il.

Au Nord-Kivu, le groupe armé M23 continue de semer la terreur, tuant et enlevant la population locale, et s’attaquant fréquemment aux défenseurs des droits humains, aux journalistes et aux leaders des communautés. Des enfants sont également recrutés de force dans ses rangs.

Depuis octobre, cinq-cents-mille personnes ont été déplacées des zones contrôlées par le M23, ce qui porte le nombre total des personnes déplacées à près de 2,7 millions.

En Ituri, outre les affrontements intercommunautaires entre les groupes armés CODECO et Zaïre, le groupe armé ADF (Forces démocratiques alliées) multiplie les attaques contre la population civile, entraînant plusieurs abus flagrants des droits humains et des violations graves du droit international humanitaire. À ce jour, la province compte quelque 1,8 million de personnes déplacées.

Les forces de sécurité nationales et les milices comme le Wazalendo commettent également des violations des droits humains qu’il faut prévenir.

« La guerre nous a tout volé, y compris notre avenir»

« Au cours de ma mission, j’ai visité des camps de personnes déplacées à Bunia, dans la province d’Ituri, et à Goma, dans la province du Nord-Kivu. Bien que les conflits qui se déroulent dans ces deux provinces soient différents, le résultat est tragiquement similaire. Les personnes présentes sur les deux sites m’ont décrit comment elles avaient fui les combats et qu’elles cherchaient désespérément de l’aide et du soutien. Elles ont également exprimé leur profond désir de rentrer chez elles. Comme me l’a dit un défenseur des droits humains : « La guerre nous a tout volé, y compris notre avenir. »

Le nombre des victimes des violences sexuelles a considérablement augmenté dans les zones où se déroulent les combats, mais aussi dans les camps. Dans le camp de déplacés de Bulengo à Goma, mes interlocuteurs m’ont décrit comment les femmes étaient attaquées alors qu’elles allaient chercher du bois pour préparer les repas, et comment certaines femmes et filles étaient obligées de se vendre pour survivre.

Il est impératif que l’État soit en mesure de jouer pleinement son rôle à l’Est, pour assurer non seulement la sécurité, mais aussi l’éducation, la santé et un système judiciaire efficace et équitable.

Les pays qui soutiennent les groupes armés ou qui ont une influence sur eux doivent assumer leurs responsabilités et veiller à ce que les combats cessent. Au Nord-Kivu, tout rôle joué par le Rwanda dans le soutien au M23 doit cesser et une solution doit être trouvée de toute urgence. Il en va de même pour tout pays qui soutient des groupes armés actifs en RDC.

Tous les Congolais ont droit à la paix. Sans paix, il n’y aura ni développement ni progrès.

L’une des causes profondes de bon nombre de ces conflits est l’exploitation des ressources naturelles de la RDC, qui appauvrit la population locale au lieu de lui profiter. Le gouvernement, ainsi que les puissances régionales et internationales, ont des obligations à cet égard. Le secteur privé a également des responsabilités importantes, y compris les entreprises qui extraient des ressources, telles que le coltan, qui sont si précieuses pour le monde.

Se poser la question de sa responsabilité

« Nous utilisons tous des téléphones portables dont l’utilisation est rendue possible, en grande partie, grâce aux ressources de la RDC. Le monde ne peut pas continuer à consommer sur le dos du peuple congolais. Chacun doit se poser la question de sa responsabilité », note-t-il.

La préoccupation immédiate des populations touchées par le conflit est leur sécurité. Les autorités congolaises et la communauté internationale doivent continuer à travailler en partenariat pour éviter un vide de protection qui mettrait davantage en danger les civils.

Et de marteler que de réelles inquiétudes quant à ce qui pourrait arriver aux civils en cas de retrait précipité de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (MONUSCO). Les forces nationales et d’autres forces régionales et internationales jouent un rôle essentiel à cet égard. « Au cours de mes réunions, j’ai exhorté la mission de la Communauté de développement de l’Afrique australe en RDC (SAMIDRC) à établir et à mettre en œuvre un cadre solide de conformité aux droits humains et au droit international humanitaire afin d’éviter qu’il y ait les victimes civiles et de conserver le soutien et la confiance de la population, ce qui est essentiel », pense-t-il.

L’impunité et l’absence de responsabilité sont également des causes profondes du cycle interminable de la violence.

Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme n’a pas manqué d’apprécier le fait que les autorités ont récemment pris des mesures pour que certains responsables de violations des droits humains et d’abus rendent compte de leurs actes. Cependant, il reste encore beaucoup à faire. La corruption au sein des institutions de l’État doit être efficacement combattue. L’administration de la justice doit être renforcée. Enfin, les premières mesures positives visant à mettre en place une justice transitionnelle pour traiter les crimes du passé, rendre justice aux victimes et favoriser une paix et un développement durables pour le pays doivent se traduire par des actions tangibles, cohérentes et concrètes. Pour ce faire, il est nécessaire de placer les victimes et les communautés concernées au centre du processus.

« Je suis préoccupé par la récente décision du gouvernement de lever le moratoire sur l’application de la peine de mort. Les Nations Unies sont claires à ce sujet. La peine de mort devrait être abolie partout dans le monde », mentionne-t-il.

Le dynamisme de la société civile congolaise me donne de l’espoir. Au cours de ma mission, j’ai rencontré des défenseurs des droits humains dans l’est du pays et ici à Kinshasa. J’ai été impressionné par leurs idées, leur courage et leur engagement en faveur des droits humains. Leur sécurité doit être protégée à tout moment et leur travail doit être soutenu par nous tous et toutes. Le maintien et la protection d’un espace civique ouvert, fort et libre sont essentiels pour consolider cette situation. La liberté d’expression doit être protégée. Le rôle vital des défenseurs des droits humains, des journalistes et des partis politiques doit être respecté.

Soulignons qu’il a également exhorté le gouvernement à redoubler d’efforts pour garantir une tolérance zéro à l’égard de l’incitation à la violence et des discours de haine.

En fin de compte, il est nécessaire de réunir les efforts et de renforcer la cohésion sociale en RDC. Un contrat social solide entre le peuple et le gouvernement est un élément fondamental pour faire avancer ce pays dans l’intérêt de tous et de toutes.

Le Quotidien